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  • 25/05/2025
DB - 25-05-2025

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Transcription
00:00Musique
00:30Que sont devenus André et Julien depuis quelques semaines ?
00:39Nous les avions quittés en pleine tempête, au milieu de la Méditerranée,
00:43sur le bateau du terrible capitaine Jérôme, sans appui et sans ressources.
00:53Une seule certitude, leur oncle François est à Bordeaux, malade, à l'hôpital.
00:58Ils l'ont appris de la bouche même de l'homme en noir, Adrien Lapalue,
01:03le vieil ennemi de l'oncle qui poursuit les enfants le long de leur route,
01:07dans l'espoir de s'approprier certains papiers qui pourraient l'envoyer en prison.
01:17Où sont-ils ces papiers ? Nul n'en sait rien.
01:20Ni l'oncle sans doute, ni les enfants qui pensent atteindre maintenant le terme de leur route.
01:25Est-ce pour bientôt ? Nous le saurons peut-être au cours de ce 27e épisode,
01:29dont la Maxime nous rappelle que le souvenir de nos parents soit toujours vivant dans nos cœurs.
01:34Au cœur des Pyrénées orientales,
01:52la Cerdagne déroule autour de Font-Romeux,
01:55sa haute plaine,
01:57ses pâturages infinis,
01:59balayés en toute saison par un vent rude
02:01qui porte à tous les échos le concert des cloches de vaches
02:05jusque par-dessus les monts,
02:07à deux pas de là, en Espagne.
02:08Ce matin-là, comme dans tous les villages de France,
02:33qu'ils soient de plaines ou de montagnes,
02:35le facteur rural s'était mis en route dès l'aube,
02:39distribuant les nouvelles par les monts et les vallées.
02:46Après la ville et les hameaux perchés sur les pentes,
02:49il lui fallait visiter les fermes isolées
02:51où les montagnards rouissent d'eux-mêmes, comme on dit,
02:54la laine de leurs moutons.
02:57Le facteur montait toujours.
02:58Pourtant, il n'y avait plus de fermes en vue ni de bergerie.
03:03La solitude.
03:04Des rochers, plus faits, semble-t-il,
03:06pour les oiseaux de proie que pour des hommes.
03:09Ils marchaient toujours.
03:11C'était bien la première fois de sa vie de facteur rural
03:13qu'il avait apporté une lettre adressée au refuge de la Perche,
03:17une sorte de grotte naturelle au milieu d'un chaos de rochers.
03:21C'était pourtant écrit sur l'enveloppe.
03:23Une enveloppe datée de Bordeaux.
03:25C'était là, à plus de 1500 mètres d'altitude,
03:35dans ce désert peuplé seulement de rocs fantastiques,
03:39que nos héros avaient trouvé un refuge nouveau pour leurs espérances.
03:43Il semblait d'ailleurs s'accommoder fort bien de la situation.
03:57La petite famille s'était même enrichie d'une nouvelle pensionnaire.
04:00Julien, dans ce cadre pourtant inhabituel,
04:26avait repris ses besoins de ménagère.
04:27André n'était pas loin.
04:36Son goût de la vie sauvage l'avait repris.
04:39Chasseur, pêcheur, un peu braconnier,
04:42il y avait de quoi s'occuper.
04:43C'était un vrai singlet.
04:45C'était un vrai singlet.
04:46Encore un vrai singlet.
04:46Il y avait de quoi s'occuper.
04:47C'était un vrai singlet.
04:48C'était une sorte de déjeuner,
04:48avec un vrai singlet.
04:49Sous-titrage MFP.
05:19Musique douce
05:49A interrompre une nouvelle fois leur voyage vers Bordeaux.
05:54Musique douce
05:56André !
06:05Oui ?
06:06Une lettre !
06:07De qui ?
06:08De l'oncle François !
06:11Donne !
06:12Non, je l'ai eu avant toi !
06:15Il y a autre voix ?
06:17Cher Julien, cher André.
06:20Julien le premier !
06:21Tu veux te dépêcher ?
06:23Mes très chers enfants, ils nous appellent ses enfants.
06:25Et alors ?
06:27On essaie une vœu, mais pour ses enfants.
06:29Tu feras tes commentaires après.
06:32Je vais beaucoup mieux.
06:34Il va mieux !
06:34Oui, j'ai entendu.
06:36Il en me restera bientôt de cet accident qui a mauvais souvenir.
06:40Je suis toujours à l'hôpital de Bordeaux, où je dois sortir le 15 juillet prochain.
06:45Dans une semaine juste.
06:46C'est toi qui m'interromps !
06:52Comme je ne sais pas à quelle adresse je serai à ce moment-là,
06:56et comme vous ne pourrez probablement me dire le jour exact de votre arrivée...
07:00Il ne doit plus avoir d'argent.
07:06Je vous attendrai chaque matin, à partir de ce jour-là, à 10 heures, devant le grand terrain de Bordeaux.
07:13Et le 15 juillet, qu'est-ce qu'on fera ?
07:14On aura l'argent, on fait ce qu'il faut pour ça.
07:17Je suis content que vous me le racontez,
07:20que vous soyez bien installés dans cette maison confortable.
07:27Tu pars.
07:28C'est toi qui lui a raconté ça.
07:30C'est pour qu'il ne s'inquiète pas.
07:33Puis c'est confortable.
07:35Très confortable.
07:36Un vrai palais.
07:38N'est-ce pas ?
07:38On peut rentrer, quand même.
07:40Faut que vous essuyez les pieds.
07:42Ah, bien, Seigneur.
07:43Qu'est-ce qui nous vaut le plaisir ?
07:45J'avais oublié une lettre.
07:47Une autre ?
07:48Je ne voulais pas me déranger pour une seule.
07:51Pour une fois que je monte juste ici.
07:54Les gens qui habitent ce palais, d'habitude,
07:57Oh, vous n'êtes pas les premiers.
08:00Ils ne reçoivent pas de courrier.
08:02Non.
08:02Ils préfèrent qu'on ne s'intéresse pas trop à eux.
08:05Pourquoi ?
08:06Des contrebandiers.
08:08Tu sais ce que c'est ?
08:10Un peu.
08:11Ben, tu sais que la frontière passe derrière.
08:13Ah, si elle pouvait parler.
08:16Elle en aurait des choses à te raconter, ta maison.
08:19C'est pas tout.
08:20Faut que je me change.
08:21Parce que va dîner en ville, sans doute.
08:24Non, je veux travailler.
08:26C'est qui, la lettre ?
08:28Du notaire de Chambéry.
08:29On sait ce que c'est.
08:30C'est vraiment pas le moment.
08:31C'est toi qui as voulu donner notre adresse.
08:34Quelle heure est-il ?
08:35Tu veux te dépêcher ?
08:38Qu'est-ce que c'est que ça ?
08:40Ah, ça, c'est la comptabilité.
08:43Chaque bâton représente 1000 francs.
08:45Quand on se revoit du tableau, on pourra partir.
08:48On doit aller à Bordeaux.
08:50Et comment que tu fais pour les cueillir, tes bâtons ?
08:52Tous les métiers.
08:54La pêche pour les hôtels, les courses.
08:56Les sphères, va.
08:58La fortune, ça vient sans qu'on y pense.
09:01Brusquement.
09:02C'est une lettre qui vous arrive, par exemple.
09:05La lettre du notaire.
09:07Il me demande l'adresse de mon oncle à Bordeaux pour lui annoncer bientôt une nouvelle.
09:10Tu vois ?
09:11Je me fais pas beaucoup d'illusions.
09:12Il faut y croire.
09:14Ça vient sans qu'on l'attende.
09:16Vous y croyez-vous au hasard ?
09:18Si je te disais combien j'en ai vu depuis 30 ans,
09:21des gens qui sont devenus riches ou heureux comme ça, brusquement,
09:24grâce aux lettres que je leur apportais.
09:26Et vous ?
09:26Oh, moi, non, j'ai jamais rien gagné.
09:30Des ampoules.
09:31Et encore, il y a longtemps.
09:33On finit par avoir les pieds endurcis dans ce métier.
09:36Décidément, je préfère ma méthode.
09:38Laquelle ?
09:39Ne pas attendre et faire ce qu'il faut.
09:41Excusez-moi, monsieur.
09:42Là, c'est là.
09:43Parcez mon prince.
09:45Le travail de Julien était d'une espèce assez particulière.
09:49Nous allons le voir.
09:51Chaque matin, une somptueuse voiture s'arrêtait devant la grotte.
10:24On s'arrêtait d'abord dans un coin perdu, devant une petite auberge de montagne.
10:46Julien en ressortait au bout de quelques minutes,
10:49équipé des pieds à la tête, avec un attirail de pêcheurs
10:53et accompagné de monsieur Edmond.
10:57Monsieur Edmond, le propriétaire de la voiture,
11:00avait embauché Julien depuis deux semaines.
11:04Il avait fait de Julien son compagnon, son protégé,
11:07son caddie au golf, son professeur de pêche, son guide, son ami.
11:13Peut-on dire son confident ?
11:15Monsieur Edmond parlait peu.
11:16Son visage était toujours mystérieux et ses occupations plus mystérieuses encore.
11:29Le plus souvent, on allait à la pêche.
11:31Mais cette pêche ne ressemblait guère à ce qu'on voit d'ordinaire.
11:35Arrivés au petit lac voisin,
11:39on trouvait le canot de monsieur Edmond
11:41et deux hommes aussi discrets que leur patron.
11:44Au même instant,
12:11à l'autre extrémité du lac,
12:14un autre canot quittait le rivage.
12:28Monsieur Edmond, lui, ne touchait jamais à une canne à pêche.
12:33Arrivé à une île située vers le milieu du lac,
12:36monsieur Edmond laissait Julien avec les deux hommes
12:39et s'éloignait vers l'autre rive
12:41où Julien le voyait de loin
12:43monter dans le second canot
12:45et se diriger vers la montagne.
12:48et s'éloignait vers la montagne.
12:51et s'éloignait vers la montagne.
12:53et s'éloignait vers la montagne.
12:56et s'éloignait vers la montagne.
13:00et s'éloignait vers la montagne.
13:02et s'éloignait vers la montagne.
13:04et s'éloignait vers la montagne.
13:36« Qu'allait donc faire cet étrange pêcheur
13:42et son escorte dans les rochers et dans les neiges ? »
13:50Julien ne se posait pas tant de questions.
13:53Il ignorait même que ces rochers
13:56se trouvaient de l'autre côté de la frontière,
13:58en Espagne.
13:59Jamais il ne s'était demandé
14:07ce que pouvaient contenir les sacs
14:09que les hommes de M. Edmond
14:11se passaient de main en main avec précaution,
14:13ni ces paquets que M. Edmond
14:15enfouissait rapidement dans la serviette
14:17dont il ne se séparait jamais.
14:19Julien était là pour pêcher,
14:26et il pêchait, quoi qu'il arrive,
14:28en attendant le retour de M. Edmond.
14:33Pendant ce temps, André s'affairait de son côté,
14:36vendant sa pêche,
14:37rendant mille services,
14:38glanant de ci et de là,
14:40de quoi grossir la petite somme
14:42qui leur permettrait bientôt de gagner Bordeaux.
14:44Au passage, André s'arrêtait volontiers à Montlouis.
14:51C'est là, dans la vieille citadelle bâtie par Vauban,
14:54que les savants d'aujourd'hui
14:56ont installé le plus grand four solaire du monde.
15:14Le soleil, capté par d'énormes miroirs,
15:24dirigé, concentré, séquestré,
15:27disent les gens du pays,
15:28asservi, domestiqué,
15:31fourni au centre du grand miroir
15:33une température de 3000 degrés.
15:44André s'amusait à regarder dans ces miroirs géants
15:50un visage qu'il n'était pas très sûr de reconnaître.
15:53Le visage d'un garçon qui allait avoir 15 ans ces jours-ci.
15:57Presque un homme.
15:59On était loin du petit garçon
16:01qui débarquait près d'un an plus tôt au Havre.
16:06Et dans les innombrables petits miroirs
16:08qui renvoient la chaleur du soleil jusqu'au centre du four,
16:11André cherchait les visages de tous ces gens
16:14rencontrés le long des routes
16:16et dont l'amitié les avait réchauffés.
16:19Toute leur histoire.
16:27Le soir, à l'auberge, au retour de la pêche,
16:30Monsieur Edmond faisait à Julien
16:31son premier sourire de la journée.
16:41Et il donnait à Julien autant de pièces de 100 francs
16:51que le petit pêcheur avait rapporté de poissons.
16:54de la vie.
16:56Et il neit par une chaleur de la vie.
16:57La chaleur de l'aider auLS
16:58Le soir, à la bouche de la chaleur de la chaleur
16:59et il neit pas d'un certain type de pêcheur au Sous-Sous-Sous-Sous-Sous-Sous-Moussous-Tour.
17:03il neit par une chaleur de la chaleur.
17:04Et il neit pas d'un certain type de pêcheur
17:05où il n'était pas un demi-chaleur.
17:06Il n'aiderait à Julien autant de pêcheur.
17:07Et il n'aiderait à Julien?
17:38Échappés de justesse au naufrage avec le capitaine Jérôme,
17:50ils attendraient ici tranquillement la guérison de l'oncle
17:53et le temps de rassembler l'argent nécessaire.
18:05On en avait vu d'autres, et de pire.
18:08La pauvreté, le danger, la solitude ne leur faisaient plus peur.
18:13Ce soir-là, justement, on s'apprêtait à célébrer les 15 ans d'André.
18:22Ce fut une belle fête.
18:24La montagne offrit ses plus jolies fleurs.
18:27On dîna copieusement de tout ce que la forêt, la lande, la rivière
18:31fournissent de plus succulents.
18:33Ils s'enivrèrent de grands airs, d'altitudes, de libertés,
18:38en contemplant leur royaume.
18:40Cette montagne déserte et rocheuse, où, pensaient-ils,
18:43plus rien de grave ne pourrait les atteindre.
18:48Pendant ce temps, dans la vallée,
18:50la voiture de M. Edmond continuait de mener sa course à l'Assad.
18:54M. Edmond ne savait pas rester en place.
18:58Où courait-il encore à cette heure ?
19:01Sûrement, dans les poissons.
19:02De la vallée, la voiture de M. Edmond,
19:10est là un peu plus longueur.
19:16Mais les pieds, la voiture de M. Edmond,
19:19c'est un peu plus longueur.
19:21La voiture de M. Edmond,
19:22vautents,
19:23des pietres qui veux que vous-même,
19:24vous-même,
19:25vous-même,
19:25vous-même,
19:25vous-même,
19:26vous-même,
19:28et le vois-quez,
19:29vous-même,
19:29vous-même.
19:29Vous-même...
19:30vous-même,
19:30vous-même,
19:31vous-même,
19:32Les enfants décidèrent d'aller finir de célébrer à l'abri de la caverne une fête si bien commencée.
20:02C'est là, quelques instants plus tard, alors qu'il mettait de l'ordre dans la fameuse valise de l'oncle, qu'André soudain poussa un cri.
20:12Viens revoir !
20:18Affaire la paix !
20:19Les papiers !
20:20Quels papiers ?
20:21Mais les papiers qui cherchent partout le manoir, qui suffiraient à l'envoyer en prison.
20:25Les papiers qui cherchent à obtenir de l'oncle.
20:27On ne savait même pas qu'on les avait.
20:30Ni l'oncle.
20:31Ni l'oncle François d'ailleurs.
20:32Il a dit oublier qu'ils étaient dans la valise.
20:34On va lui ordonner ?
20:35Excusez-nous, monsieur, il n'a pas lu.
20:46Rien, c'est les bords.
20:51T'as pas prêt ?
20:52Non.
20:54Je t'en supplie, on va.
20:57Qui est là ?
20:58Qui est là ?
20:59Monsieur, je vous ai fait peur, hein, les enfants.
21:11Un peu, oui.
21:14Il faut dire que cette heure-ci, je passe cette tempête.
21:15Vous avez envie de vous faire une petite visite ?
21:18Vous avez peur du vent ?
21:20Ça ne va pas, monsieur.
21:22Qu'est-ce qu'il y a, monsieur ?
21:24Mais rien du tout, les enfants, rien du tout.
21:27Souvent, dites-moi, ça...
21:28Ça vous ennuierait beaucoup si je passais la nuit chez vous ?
21:32Chez nous ?
21:34Bien sûr que non, si vous n'êtes pas trop difficiles.
21:37Il me donne la place.
21:38Merci, il vous laissera à sa chambre.
21:39Il couchera avec Julien.
21:41Chut.
21:44C'est pas quelqu'un qui m'entend de...
21:45Sylvain.
21:51Merci, les enfants.
21:55On est bien chez vous.
21:57C'est pas mal, faut aimer ça.
21:59C'est tranquille, surtout.
22:00Et crois-moi,
22:04la tranquillité, c'est plus précieux quelquefois que tout au monde.
22:08Vous voulez rire, monsieur Hennelon ?
22:09Je ne rie pas du tout, mon garçon, je t'assure.
22:12C'est drôle.
22:14Bien, vous voyez, nous, cette tranquillité,
22:16on la quitterait volontiers.
22:19Pourquoi faire ?
22:20Pour aller à Bordeaux, on doit retrouver notre oncle.
22:22Ton oncle, là, oui, c'est vrai.
22:25Le gamin m'en a dit quelque chose.
22:30Écoutez, les enfants, si ça ne vous ennuie pas,
22:38on va se coucher tout de suite.
22:39Je suis moulu, tu me raconteras ça demain.
22:41D'ailleurs, il y aura peut-être un moyen de s'arranger.
23:00Vous ne vous couchez pas, monsieur Hennelon ?
23:04Non, j'ai réfléchi, je pars.
23:07Monsieur Hennelon !
23:08Qu'est-ce que tu veux ?
23:10Est-ce qu'on pourrait faire quelque chose pour vous, monsieur Hennelon ?
23:13Ça me fait de la peine de vous quitter comme ça, les enfants.
23:20Vous m'avez rendu un fier service ce soir.
23:23Vous n'auriez pas couché, monsieur Hennelon ?
23:25On n'en dit pas ce soir, mais on se retrouvera.
23:28Et si vous l'emmenez avec moi à Carcassonne ?
23:30Comment on va tout de suite ?
23:31Ça ferait déjà une partie du chemin, service pour service.
23:34Bien sûr.
23:34Et si d'ici là...
23:36Eh bien ?
23:36Et on ne sait jamais, le vent tourne facilement dans le pays.
23:39Si le vent a tourné à Carcassonne, je vous emmène jusqu'à Bordeaux.
23:43Je n'ai pas l'habitude de les lâcher les ailes.
23:44Je ne voudrais pas qu'à cause de nous, on ne sait jamais, monsieur Hennelon.
23:53Et s'il va redoubler au contraire ?
23:55On ne sait pas le moment de discuter.
23:57Tu es d'accord ?
23:59On vous suit, monsieur Hennelon.
24:02Je m'invite.
24:04Je m'invite.
24:34La voiture était là, sans chauffeur.
24:52Elle démarra bientôt dans la nuit d'orage,
24:55emmenant vers leur destin nos héros
24:57et l'étrange monsieur Hennelon,
24:59qui malgré son angoisse d'homme traqué,
25:01n'avait pu résister pour son malheur peut-être,
25:04à faire un dernier cadeau à ses amis André et Julien.
25:08Sous-titrage MFP.
25:13Sous-titrage MFP.
25:18...
25:19...
25:23...
25:24...
25:28...
25:33...
25:58...
26:03...
26:04...

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