« La machine, de même que réaliser tous les travaux sur la ferme, sont les clés de l’indépendance des agricultrices », estime Marine Boyer. La reprise de l’élevage bovin viande familial n’a cependat pas été un long fleuve tranquille pour la jeune femme. Elle s’est d’abord heurtée à l’animosité du voisinage, puis à la frilosité de son entourage. Mais elle a tenu bon et est parvenue à s’intégrer dans le microcosme agricole local en s’investissant au sein de la Cuma.