• il y a 5 mois
Avec Yoann Gillet, journaliste & Franz-Olivier Giesbert, éditorialiste et écrivain

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##C_EST_DANS_L_ACTU_9-2024-07-28##

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Transcription
00:00Bonjour François-Olivier Gisbert !
00:04Bonjour !
00:06Éditorialiste écrivain, bonjour mon cher ! Bonjour Yohann Gilet !
00:10Éditorialiste au point !
00:12Bonjour Laurent, bonjour François !
00:14Bonjour Yohann Gilet !
00:16Journaliste politique, pas au point !
00:20Très bon journal le point !
00:22Alors dites-moi, avant de parler de trêve politique, de trêve olympique ou de trêve estivale,
00:28un petit mot quand même sur la cérémonie d'ouverture des JO, parce que là je sais pas si vous avez vu,
00:32mais sur les réseaux, cérémonie encore critiquée par l'extrême droite,
00:36jugée notamment décadente, woke, avec la fameuse scène de la Seine,
00:40avec les drag queens aussi qui auraient heurté certains catholiques.
00:44Qu'est-ce que vous en avez pensé vous François-Olivier Gisbert de cette cérémonie ?
00:48Je trouvais qu'il y avait des bons moments, mais c'était un peu patronage,
00:52et puis quand on faisait la comparaison avec l'espèce de cérémonie
00:56qu'il y avait eu dans les jeux chinois à Pékin,
01:00c'est vrai que c'était un petit peu accablant pour la France.
01:04Il y a quelque chose qui ne calait pas.
01:06Alors en même temps il y a des très grands moments d'émotion.
01:10Il y avait ce cheval Rex, formidable ce cheval en fer,
01:14c'était vraiment absolument extraordinaire sur la Seine.
01:18Il y a eu aussi le moment Céline Dion, parce qu'elle sortait des ténèbres,
01:22la pauvre, on voit très bien cette maladie atroce,
01:26la maladie de l'homme raide.
01:28Elle surmontait tout ça, on voyait que c'était quand même très dur pour elle.
01:32C'était quand même un très beau moment.
01:34Donc il y avait des bons moments, mais en même temps je trouvais que ce n'était pas tout à fait...
01:38Comment dire ?
01:40Si vous voulez, les grands moments comme ça, il faut de la diversité.
01:44Il y en avait la diversité là quand même.
01:48Non mais je ne dis pas dans le sens diversité humaine.
01:54Vous voyez, vous vous interprétez très mal.
01:58De la diversité dans le genre, il en faut pour tout le monde.
02:00Ce n'était pas le cas.
02:02Un truc comme ça, il en faut.
02:04Parce que ça doit rassembler tout le monde.
02:06C'était un peu une fête de patronage, de lycée.
02:10Ce n'était pas au niveau, ce n'est pas un grand pays.
02:14On va peut-être demander à Yohan Gilet ce qu'il en pense.
02:18Et Victor Hugo, et tout ça.
02:20J'avais aimé Victor Hugo, parce que Victor Hugo c'est la France, et puis Molière.
02:24Ça manquait ces figures.
02:26Yohan Gilet, vous alors ?
02:28Comment vous avez trouvé cette cérémonie ?
02:30Je ne vais pas donner mon avis personnel, qui n'a pas beaucoup d'intérêt.
02:32Mais plutôt mon analyse.
02:34Je pense qu'ils ont essayé de faire un grand voyage entre notre époque contemporaine
02:40et puis une époque un peu plus éloignée.
02:42Quelques grands auteurs ont été cités.
02:44Il y a quand même eu des références historiques importantes.
02:48Et puis des grands hommes, ou plutôt des grandes femmes à qui on a rendu hommage.
02:52Et ça, c'était un bel élément.
02:54Je n'ai pas envie de critiquer, parce que la réalisation était quand même remarquable.
02:58Et c'est un travail énorme.
03:00Et qui sommes-nous pour juger un tel travail ?
03:03On peut effectivement se poser la question partout.
03:05Qui sommes-nous ? Non mais Yohan, il ne faut pas parler comme ça.
03:07Il ne faut pas juger les films, il ne faut pas juger les livres.
03:10Enfin, en demandant de ce qu'on en pense.
03:12Mais ne soyons pas cul-cul à ce point.
03:14Pourquoi il vous traite de cul-cul ?
03:16Tranquillisons-nous.
03:18Je disais que mon avis, à titre personnel, n'avait pas d'importance.
03:20Par contre, mon analyse journalistique qui consiste à dire que
03:23les symboles qui ont été choisis sont intéressants.
03:26Parfois, on a été poussé un petit peu à l'extrême, pour ne pas dire à la caricature.
03:30Ce qui fait qu'au lieu de rassembler, comme on pouvait le faire en voyageant à travers les époques
03:34et en donnant finalement un peu à tout le monde pour quelqu'un s'y retrouve un peu,
03:38on a parfois poussé le bouchon un petit peu loin,
03:40qui faisait que ça ressemblait un petit peu quand même à de la provocation.
03:43Et on l'a vu tout de suite, puisque d'ailleurs, Sandrine Rousseau et d'autres personnes sur les réseaux sociaux
03:47ont dit tout de suite que c'est la meilleure réponse à porter à l'extrême droite.
03:49Donc, au lieu d'être une fameuse trêve politique, c'était, j'ai envie de dire,
03:53une petite provocation à ceux qui sont considérés comme réactionnaires ou conservateurs.
03:58Et on a vu que c'était le cas, puisqu'effectivement, il y a eu une petite bataille politique sur Twitter.
04:03Donc, on n'était pas près de la trêve.
04:05C'était plutôt dans la démonstration de force, un peu idéologique, avec des messages très...
04:09Oui, Jean-Luc Mélenchon a également critiqué, il n'a pas aimé la scène chrétienne.
04:13Il a critiqué Marie-Antoinette, la parution de Marie-Antoinette.
04:16Attendez, ce n'est pas une scène chrétienne.
04:18On n'était pas sur le tableau de la scène, on était plutôt sur le festin des dieux,
04:22qui s'intéressent plutôt aux dieux grecs plutôt qu'aux dieux catholiques.
04:27Donc, on n'est pas du tout dans la même symbolique.
04:30Et il ne faut pas se tromper et il ne faut pas hystériser les choses.
04:34Justement, sur le plan journalistique, je voulais juste dire par là que sur le plan esthétique, chacun a son avis.
04:39Moi, j'ai le mien sur différentes scènes, sur différents tableaux.
04:42Mais par contre, sur le plan sociétal, si je puis dire,
04:46effectivement, ce qui est intéressant, c'est que ça nous permettait de tester aujourd'hui
04:51la liberté d'expression dans son impact et ça nous permet de voir qui réagit à quoi.
04:56Ça nous permet d'avoir une bonne lecture, finalement, de notre société aujourd'hui,
04:59qui est prêt à quoi, c'est intéressant.
05:01En tout cas, c'est Raymonique qui a été saluée par la presse étrangère.
05:04Trêve, trêve, trêve politique.
05:07Alors, 77% de nos auditeurs n'y croient pas du tout à cette trêve politique durant les JO.
05:12Autre sondage par Elabe.
05:146 Français sur 10 pourtant se disent favorables à cette trêve.
05:17Alors, essentiellement chez les électeurs du camp présidentiel,
05:21un peu moins chez les électeurs du RN et moins du côté du Nouveau Front Populaire.
05:26Vous y croyez-vous à cette trêve politique et olympique voulue par le président Macron ?
05:30François-Philippe Heisbert ?
05:33Oui, mais ce n'est pas parce que Macron l'a voulu,
05:36c'est parce qu'il y a les JO en ce moment et que les Français sont passionnés par les JO.
05:40Mais ça, c'était prévisible.
05:41Et d'ailleurs, ça commence très bien avec cet extraordinaire Antoine Dupont,
05:45pour qui j'ai beaucoup d'admiration en tant qu'ancien rugbyman.
05:49Et puis toute la suite qui va arriver, on le sait très bien.
05:51Et ça, c'est toujours très beau, les JO.
05:54Moi, j'ai fait le ronçon sur le spectacle
05:57parce que je trouvais que ça manquait un peu d'ampleur par moment,
05:59même s'il y avait des bons moments, je les ai soulignés.
06:01Mais là, franchement, le spectacle, en revanche, des JO en tant que tels,
06:05c'est absolument formidable.
06:07Et si vous voulez, moi, je suis en général souvent d'accord avec vos auditeurs.
06:11Mais je pense qu'on verra, on pourra faire le bilan dans un mois.
06:15On verra bien qu'il y a eu une trêve, c'est obligatoire.
06:17Cette trêve est obligatoire.
06:18En plus, les Français sont en vacances.
06:20Qu'est-ce qu'ils font ? Ils regardent les JO.
06:22Et forcément, on parle moins politique,
06:24en plus qu'on attend toujours le vrai candidat approuvé par tout le monde
06:30au poste de Premier ministre du Nouveau Front Populaire.
06:34Et ce candidat qui n'arrivera jamais.
06:36Parce que c'est l'Arlésienne, parce qu'ils n'en ont pas,
06:37parce qu'ils ne sont pas d'accord, parce qu'ils le disaient, etc.
06:39Donc, ils en ont. Attendez, c'est des blagues.
06:42Attendez, excusez-moi.
06:43Lucie Casté, ce n'est pas une blague.
06:45Pardon ?
06:46Lucie Casté, ce n'est pas une blague.
06:47Il y a un nom, quand même.
06:48Ah bon, ce n'est pas une blague.
06:50Pour moi, c'est une blague.
06:51C'est une blague parce que, je veux dire,
06:52un Premier ministre, ce n'est pas quelqu'un qui a juste travaillé pendant...
06:56Enfin, il faut arrêter de donner le pouvoir à des gens qui n'ont pas l'expérience,
07:00surtout à un poste comme ça, dans des moments aussi difficiles.
07:03Enfin, excusez-moi, c'est quelqu'un...
07:04Elle est depuis un an directrice des affaires financières de la ville de Paris.
07:08Non, non, mais il faut arrêter ça.
07:09Il faut être...
07:10Soyons un peu sérieux, là.
07:12C'est le moment d'être sérieux.
07:13Je crois qu'on a fait assez d'erreurs au cours des dernières années,
07:15quand on voit l'embêtement de la France et quand on voit tout ça.
07:18Je pense qu'il est temps de choisir des gens avec un peu de bouteille.
07:23Avec un peu de bouteille.
07:24C'est votre avis aussi, Yohann Gellet, ou pas ?
07:27D'abord, je ne sais pas ce que c'est qu'une trêve politique.
07:30Une trêve politique.
07:31Je ne sais pas ce que c'est, une trêve politique.
07:33Ça veut dire quoi ?
07:34Ça veut dire qu'on arrête de gouverner ?
07:35Ça veut dire qu'on arrête de discuter ?
07:37Ça veut dire qu'on arrête de faire des propositions ?
07:39Ça veut dire qu'on arrête de s'occuper des Français ?
07:40C'est quoi, une trêve politique ?
07:42Du pain et des jeux, et puis pour le reste, on verra plus tard ?
07:44Non, je suis désolé.
07:46Il faut que Jupiter redescende sur Terre.
07:50Il faut que les dieux de l'Olympe redescendent à hauteur d'homme.
07:54Les fins de mois, elles, elles n'ont pas de trêve.
07:57Les situations de désertion des services publics,
08:00elles n'ont pas de trêve.
08:01La désertion des hôpitaux.
08:02Demandez aux médecins si pendant l'été, ils ont des trêves
08:05et s'ils n'ont pas besoin de moyens.
08:06Non.
08:07La trêve politique, on a l'impression qu'on est dans un jeu de société
08:10où on fait une petite pause.
08:11C'est un jeu de société au sens premier du terme.
08:13C'est-à-dire que c'est la société qui a besoin d'être structurée,
08:16de savoir si elle va pouvoir avoir un premier ministre.
08:18Non, on va attendre septembre.
08:19Mais on ne suspend pas comme ça le mouvement politique.
08:22En plus, je ne comprends pas bien cette idée de trêve.
08:25Je crois qu'à un moment donné, la politique,
08:29personne n'a dit que la politique, c'était la guerre.
08:32Mais la politique, c'est effectivement faire en sorte
08:35que le mouvement soit continu.
08:37Il n'y a pas de trêve à avoir ni pendant les vacances
08:40ni pendant les Jeux Olympiques.
08:41La trêve, elle dure quand même depuis un petit bout de temps
08:43puisqu'on est en pause totale en termes d'action
08:47et de prise de décision politique.
08:49Donc non, il ne faut pas une trêve politique.
08:51Il faut peut-être du dialogue politique.
08:53Là, je suis d'accord avec vous.
08:55Il faut que les Jeux Olympiques soient l'occasion d'un dialogue
08:58et d'une réconciliation de la France avec elle-même.
09:00Si je pouvais d'ailleurs faire une petite remarque,
09:02je trouve que ce qui a manqué dans cette cérémonie d'ouverture,
09:06c'est le peuple.
09:07On ne voyait pas, on ne sentait pas le peuple.
09:09C'était quelque chose qui était pour la télévision.
09:12C'était très beau, je ne vais pas critiquer.
09:14C'était très beau, mais on ne sentait pas le peuple.
09:16Tout comme d'ailleurs, on ne le sent pas depuis plusieurs années,
09:19lors du 14 juillet.
09:20Et effectivement, aujourd'hui, on est beaucoup dans le symbole,
09:23on est beaucoup finalement dans la seule chose qui reste
09:25au Président de la République, c'est-à-dire la para.
09:28Mais il n'y a plus de...
09:30Ah, on vous a perdu, Yohann Gilet.
09:34François de Villiers-Gilbert, je vais vous faire bon dire,
09:36la trêve politique n'existe pas.
09:37La trêve olympique qui serait aussi un cache-misère de la crise politique,
09:41ce n'est pas votre opinion aussi, à vous ?
09:44François de Villiers ?
09:45Je ne suis pas trop d'accord avec ce que vient de dire Yohann,
09:49parce que c'est vrai qu'il y a quand même une trêve politique,
09:52il y a toujours une trêve politique l'été.
09:54De temps en temps, il y a des exceptions,
09:56parce que des pouvoirs politiques sont arrivés en juin, par exemple,
09:59et il y a eu des réformes, des sessions parlementaires extraordinaires l'été, etc.
10:03Mais en principe, il y a toujours un peu une trêve politique,
10:05on parle moins politique.
10:06Et je dirais, d'autant plus, c'est comme dans les périodes, vous savez,
10:10de coupe du monde de football ou de JO,
10:15forcément, les gens sont un peu plus devant le téléviseur,
10:18et ils parlent un peu plus sport que politique,
10:20mais c'est tout à fait normal et naturel.
10:22Donc le problème, ce n'est pas ça, c'est qu'il faut effectivement...
10:25Alors ça, c'est un autre problème.
10:26Il y a tellement de sujets, enfin de défis que la France doit relever,
10:30c'est qu'il serait temps quand même qu'on commence à s'atteler aux problèmes,
10:35qui ne sont pas seulement sociétaux, mais qui sont aussi,
10:39parce que c'est le grand angle mort du macronisme déjà depuis des mois,
10:43c'est l'économie.
10:44Ce sont les finances,
10:45ce sont les risques de crise financière que nous avons à un moment donné,
10:48parce qu'à force...
10:49Vous savez, quand vous pensez que le budget de la France,
10:51enfin, quoi qu'on fait quand on dépense,
10:54il manque un quart de l'argent.
10:55Et cet argent, ce quart de l'argent,
10:57pour toutes nos dépenses, on l'emprunte.
10:59Quand vous avez compris ça,
11:01vous avez compris que dans quelque temps,
11:02il faudra bien payer l'addition,
11:03parce que ces additions-là, à un moment donné,
11:05en économie, elles se payent toujours.
11:07Et je suis désolé, l'économie, c'est fondamental.
11:09Je veux dire, on a passé notre temps à essayer de ne pas en parler,
11:12à essayer de ne pas l'évoquer avec un président qui faisait des acrobaties
11:17pour éviter de parler des choses importantes.
11:19Mais l'économie, c'est une des choses les plus importantes dans une société
11:22comme la société française,
11:23qui était quand même un grand pays sur le plan économique,
11:28qui était quand même une puissance forte.
11:30Et cette puissance, elle est aujourd'hui attaquée de l'intérieur, c'est évident.
11:34Justement, Yohann Gilet, pour rebondir avec vous,
11:36vous disiez un gouvernement des affaires courantes.
11:38Est-ce que c'est un gouvernement qui gouverne ?
11:40On parle d'économie avec François-Olivier Gisbert,
11:43mais on parle aussi de sécurité avec les JO.
11:45C'est une vraie question aussi.
11:51Là où on voit bien qu'on est en pause totale,
11:53c'est qu'il y a quelques relations quand même
11:56dans la police et du côté de la gendarmerie,
11:59d'autant que je suis en train de faire en ce moment un film sur la gendarmerie.
12:02Je peux vous dire que les relations que j'ai du côté de la police,
12:07du côté d'un certain nombre de commissaires,
12:10nous disent qu'aujourd'hui, ils sont livrés à eux-mêmes totalement.
12:13C'est-à-dire qu'il n'y a plus de gouvernance.
12:15Il n'y a plus du tout de gouvernance.
12:17C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on se repose totalement
12:20sur le savoir-faire des hommes et des femmes engagés sur le terrain,
12:22mais il n'y a plus de tête, il n'y a plus de chef.
12:24Et ça, ils nous le disent partout, sur tous les territoires.
12:27Il y a aujourd'hui effectivement, non pas une trêve politique,
12:31mais il y a une trêve de la gouvernance.
12:33Et France évoquait la semaine dernière ce qui s'était passé en Belgique.
12:37Nous sommes totalement là-dedans.
12:39C'est-à-dire que là, Emmanuel Macron est en train de gagner la médaille d'or de l'apnée.
12:44C'est-à-dire qu'il est en train, là, il a la tête sous l'eau,
12:47il ne sait plus où il va, il s'accroche à tous les éléments
12:50pour essayer de dire, on prend une petite respiration,
12:53allez s'il vous plaît, une respiration, parce qu'il est en apnée,
12:55il ne sait plus comment faire, il ne sait plus comment sortir la tête de l'eau
12:58et surtout comment sortir la tête du pays de l'eau.
13:01Et là, le problème, c'est que nous n'avons aucune visibilité
13:04sur ce qui va se passer en septembre.
13:05Moi, je n'en ai plus aucune idée, je n'ai plus de lecture, honnêtement.
13:08Parce que je crois que lui-même n'a plus de lecture de ce qu'il va faire.
13:10Il cherche.
13:11Lui, il n'est pas en trêve.
13:13Il est en train de chercher sa porte de sortie, Emmanuel Macron.
13:16Écoutez, on poursuivra ce débat ensemble,
13:19si vous le voulez bien, peut-être dimanche prochain,
13:22enfin, assurément.
13:23Merci beaucoup, François-Olivier Gisbert, et puis bon J.O.
13:26Merci d'avoir été là.
13:27Merci.
13:28Et merci à vous, Yohann Gillet.
13:30Merci d'avoir été là.

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