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Limoges, Béziers, Nîmes… Ces villes sont marquées par des violences urbaines de plus en plus fréquentes. Ce week-end elles ont été particulièrement intenses et généralement liées au trafic de stupéfiants. Une violence parfois banalisée par une partie de la gauche. Mais pour le journaliste Louis Morin, «c’est une tentative de renversement de la démocratie».

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Transcription
00:00Vous avez tout à fait annoncé le mot clé qui a été par ailleurs très bien décrypté par Olivier Vial, c'est le mot de légitimer en fait,
00:09puisque le monopole de la violence légitime c'est celui de l'État et on voit bien qu'aujourd'hui on a des organisations politiques
00:18qui tentent de légitimer cette violence qui n'a pourtant rien de légitime si on s'en suit donc à la définition de la violence légitime.
00:29C'est donc une tentative de renversement de la démocratie et c'est ça qui est important de comprendre,
00:34c'est que derrière il y a l'idée que la démocratie n'a plus lieu d'être en France et c'est ça qui est extrêmement grave.

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