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Limoges, Béziers, Nîmes… Ces villes sont marquées par des violences urbaines de plus en plus fréquentes. Ce week-end elles ont été particulièrement intenses et généralement liées au trafic de stupéfiants. Face à cela, Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police, s’inquiète de voir les jeunes délinquants utiliser des «armes de guerre».

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Transcription
00:00Ce qu'on dit depuis de nombreux mois, c'est vraiment des enfants soldats.
00:04Et ce qu'on a peur, la crainte, c'est qu'ils utilisent, après les feux d'artifice, des armes.
00:07Les armes de guerre qu'on trouve trop souvent dans beaucoup de perquisitions,
00:11dans les perquisitions entre eux, ça va, on sait très bien, ça va aller sur nous.
00:15On le sait. Et ça, ça fait de plusieurs mois qu'on alerte,
00:18parce qu'on le voit, ces filiales d'armement qui arrivent d'Ukraine,
00:21ce sont des armes qui avaient été livrées aux soldats ukrainiens.
00:25Malheureusement, la mafia en capte une partie et les redistribue et les revende dans les cités.

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