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SMART PATRIMOINE - Sofica : quelle collecte ?
B SMART
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24/09/2024
Jeudi 26 septembre 2024, SMART PATRIMOINE reçoit Yann Le Quellec (Directeur Général, Cinemage)
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Et nous commençons tout de suite avec Patrimoine, Passion, le rendez-vous dédié aux investissements
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plaisir, passion ou alternatif de Smart Patrimoine et nous allons évoquer, comme souvent à
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cette période de l'année, en septembre ou en octobre, l'investissement dans le cinéma
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et l'audiovisuel au moyen d'une Sofica et pour cela nous avons le plaisir de recevoir
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sur le plateau de Smart Patrimoine Yann Le Quellec.
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Bonjour Yann Le Quellec.
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Bonjour Nicolas.
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Bienvenue sur le plateau de Smart Patrimoine, vous êtes cofondateur et directeur général
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de Cinémage et si on parle d'investissement dans le cinéma et l'audiovisuel, c'est parce
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que depuis début septembre s'est ouverte la période de collecte pour les Soficas qui
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ensuite iront financer le cinéma et l'audiovisuel en 2025.
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A l'occasion vous avez lancé Cinémage 20, c'est une période de collecte qui, rappelons-le,
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est ouverte jusqu'à la fin de l'année 2024.
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Absolument, la collecte vient de débuter, s'achève le 31 décembre 2024, peut-être
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pour rappeler le cadre de cette collecte qui démarre plutôt très bien parce qu'on
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est dans un environnement favorable à plusieurs égards.
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D'une part, l'avantage fiscal, comme vous le savez, est le plus important de toute niche
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fiscale confondue puisqu'il s'agit de 48% donc dans la limite de 18 000 euros par foyer
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fiscal. 48% de la somme investie fait l'objet d'une réduction d'impôts et tout ça
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dans un contexte extrêmement favorable du marché sur lequel on investit parce qu'il
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y a l'avantage fiscal mais il y a surtout les investissements, du cinéma qui se porte
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très bien à travers des succès, évidemment un petit truc en plus, mais également Anatomie
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d'une Chute dont on est partenaire parmi bien d'autres, mais également avec un marché
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des séries qui se développe très fort et la conjonction de tout ça fait que l'avantage
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fiscal plus un marché extrêmement dynamique nous permet d'avoir une collecte qui démarre
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très bien.
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Là la collecte démarre très bien, on est quoi, on est 10 jours après, 15 jours après
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le début de la collecte et on sent quand même une dynamique particulière sur cette
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année 2024 ?
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Oui, il me semble et je pense que les gens, vous parliez, on amorce d'investissement
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plaisir, bien sûr c'est un investissement donc il y a la dimension fiscale, il y a
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la dimension économique du sous-jacent des films sur lesquels on investit mais il y a
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également la question culturelle, du sens qu'on donne et je pense que les gens, beaucoup
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de gens ont retrouvé le goût d'aller en salle, on témoigne de nombreux succès ou
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de regarder des films sur de plus en plus de supports et dans de plus en plus de formats
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et donc il y a aussi des gens qui le font par passion et ils ont bien raison puisque
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ça c'est aussi un aspect peut-être plus méconnu des Sofica et en tout cas chez Cinémage,
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les investisseurs, les souscripteurs qui investissent chez Cinémage, bien sûr on leur envoie non
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seulement des newsletters mais on les convit à des avant-premières, on leur permet finalement
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de vivre un petit peu aussi ce que c'est que l'aventure du cinéma et donc de ce point
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de vue-là, comme en plus le cinéma est un actif décorrélé du reste des investissements
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ça fait tout un éventail de raisons qui font que beaucoup de gens semblent très intéressés
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et puis il faut le dire c'est un produit assez rare parce que l'ensemble de la collecte c'est
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73 millions d'euros, nous on est à 12 millions d'euros chez Cinémage qu'on a à collecter
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d'ici la fin de l'année et donc en fait il n'y a pas toujours du papier pour tout
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le monde donc c'est aussi pour ça qu'un certain nombre de souscripteurs fidèles souscrivent très tôt.
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Quand on investit dans une Sofica, on finance donc des films, généralement des
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films de cinéma mais on finance aussi plus généralement des projets audiovisuels, vous l'avez
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mentionné, des séries par exemple, quand on investit dans une Sofica en France, on
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investit uniquement dans des projets français où il y a une dimension internationale et à la
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possibilité d'aller toucher un marché plus gros dans les projets sur lesquels on a investi.
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C'est une excellente question, en réalité il y a une grande diversification de notre
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portefeuille d'investissement et en fait en réalité donc des films et des séries dans
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lesquelles on investit donc vous l'avez dit, les films on peut investir à travers les genres mais
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également sur des coproductions internationales pour répondre précisément à votre question.
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Or la France a des accords de coproduction avec de très nombreux pays donc pour donner,
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par exemple, dans le cadre du site de Cinémage, cette année on avait 20 films qui étaient
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sélectionnés dans les différentes catégories à Cannes. Sur ces films il y avait cinq ou six
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coproductions internationales, des films italiens, des films espagnols, qui selon des règles très
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précises et systématiquement on investit aux côtés du coproducteur français pour le soutenir et
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justement ouvrir un peu aussi cette cinématographie. Donc une majorité des investissements vont vers
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des productions à majorité française mais il est possible de façon sélectionnée, ça c'est tout
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le rôle d'un comité d'investissement, d'aller sur des investissements, des coproductions
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internationales, de films, ça peut être d'Almodovar, de Nanni Moretti, pour donner des noms de cinéastes
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connus, des cinéphiles. En matière de séries, vous constatez qu'il y a une proportion de plus
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en plus conséquente qu'on pourrait imaginer par exemple dans la part des projets financés ou le
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rôle d'une SOFICA reste quand même dans un premier temps de financer le cinéma avant d'aller vers
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d'autres projets audiovisuels ? Alors d'abord il y a différents profils de SOFICA, dans le cas de
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cinémage et donc il y a des SOFICA qui sont spécialisés sur l'audiovisuel, nous dans
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notre cas chez cinémage on a une ligne qui est effectivement vers le cinéma on va dire indépendant
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d'auteurs mais à potentiel économique, c'est typiquement des films qui vont à Cannes et sur
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lesquels on a vraiment un très bon positionnement mais on a également on investit vers des séries
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comme en thérapie, mytho, le bureau des légendes dont vous avez certainement entendu parler et là
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dessus on essaie de repérer des séries qui ont fort potentiel international donc ça c'est pour
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ce qui nous concerne mais l'ensemble des profils peuvent exister. Ce qui est certain c'est qu'on
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voit que le marché des séries a augmenté encore de 10% l'année dernière et grâce à un décret, c'est
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un petit peu technique mais je ne vais pas y revenir, les investissements des plateformes
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internationales ou françaises dans le cinéma, c'est à dire pour s'approvisionner en film, a quadruplé
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depuis 2020. Dans le cinéma ou dans les projets audiovisuels au
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global ? Alors dans le cinéma c'est à dire que pour se différencier les plateformes ont besoin de
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plus en plus de films donc c'est une bonne nouvelle pour les séries mais c'est également une bonne
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nouvelle pour les producteurs de cinéma puisque quand vous allez sur votre plateforme favorite
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vous allez probablement bien sûr regarder des séries mais également accéder à des films. Donc
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il y a en fait une dynamique très positive de demande qui permet aux films français de qualité
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de trouver différents moyens d'accéder au public. Une dernière question je reviens sur ce que vous
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disiez sur les séries et notamment sur cette volonté de trouver des projets de séries à
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dimension potentiellement internationale, on aura décidément une discussion très internationale
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aujourd'hui, comment on fait pour identifier un projet dont on se dit que ça va plaire en France
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mais ça va peut-être potentiellement plaire en Europe voire encore plus loin ? Alors dans notre
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cas chez Cinémage on a la chance d'avoir du coup par typologie d'investissement donc dans le cinéma
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mais également dans les séries un comité d'experts qui nous accompagne qui ont des profils soit de
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vendeurs internationaux dont le métier c'est précisément de se dire tiens telle série va
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avoir tel potentiel dans tel pays. Donc c'est des gens qui sont au coeur de cet élément là
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mais il y a également des gens qui produisent des projets et ou des gens qui sont du côté de
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chaînes de télévision qui vont acheter les droits de séries puisque vous savez que les films ils
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passent d'une plateforme à une autre, les séries passent d'une plateforme à une autre, se revendent
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et donc on a tout un ensemble d'experts très complémentaires en termes de compétences mais
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également en termes de connaissances géographiques qui nous permettent d'identifier en amont les
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projets qui nous semblent avoir le plus fort potentiel artistique parce qu'encore une fois
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on commence par là et également économique notamment à l'international ce qui est notre
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spécificité chez Cinémage. On s'arrêtera là dessus merci beaucoup Yann Le Calec de nous avoir
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accompagné dans Smart Patrimoine je rappelle que vous êtes cofondateur et directeur général de
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Cinémage merci beaucoup. Merci de votre invitation. Et Quentinon se retrouve tout de suite dans Enjeu Patrimoine.
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