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Elisabeth Lévy - "Retraites : Nous sommes un peuple de créanciers capricieux !"
Sud Radio
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17/09/2024
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##SOYEZ_LIBRES-2024-09-17##
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Transcription
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00:00
Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:04
Il est 8h10, Elisabeth Lévy, bonjour.
00:06
Bonjour Jean-Jacques, bonjour à tous.
00:08
Bonjour Elisabeth, vous souhaitiez ce matin
00:10
reparler de cette fameuse réforme des retraites
00:14
et de cette fameuse possibilité d'abroger cette réforme des retraites.
00:19
La gauche pourrait voter l'abrogation de la réforme des retraites
00:23
avec le Rassemblement National.
00:25
Du moins une bonne partie de la gauche, pas toute la gauche.
00:28
On va faire dans le détail maintenant.
00:31
Vous savez, on le répète depuis des mois,
00:33
jamais la France n'a été aussi fracturée idéologiquement et politiquement.
00:37
Il y a une majorité totalement introuvable.
00:40
Et pourtant, pardonnez-moi,
00:42
pourtant il y a une idée qui fait contempter
00:45
une grande cause nationale qui rassemble deux Français sur trois,
00:48
comme disaient les régis cardestins,
00:51
et qui pourrait aisément sans doute recueillir
00:53
une majorité à l'Assemblée Nationale.
00:55
Il s'agit donc de l'abrogation de la réforme maître des retraites
00:58
votée dans la Souffrance en mars 1923,
01:01
après des mois de...
01:02
– 2023, 2023, pas 1923.
01:05
– C'est vrai.
01:07
– Il serait dit qu'en 1923,
01:09
il y a peut-être une réforme des retraites qui avait été votée.
01:12
– Voilà, donc deux des trois blocs politiques
01:14
ont inscrit cette promesse au cœur de leur compagnie électorale
01:17
pour les européennes et les législatives.
01:19
Leur ambition pour la France,
01:21
c'est de nous rendre quelques mois de retraite.
01:23
Franchement, ça fait rêver.
01:25
Donc le 31 octobre,
01:26
l'abrogation de cette terrible loi
01:28
sera la proposition, à tous les cas,
01:30
le clou de la niche parlementaire
01:36
du Rassemblement National.
01:38
– De l'eau pour Elisabeth, s'il vous plaît.
01:40
– Et ça provoque beaucoup d'embarras
01:42
au Nouveau Front Populaire,
01:44
comme le racontait très bien un excellent article
01:46
de Wally Bordas dans Le Figaro.
01:48
Alors la gauche qui ne vote jamais un amendement
01:50
proposé par l'URN,
01:52
pourtant beaucoup sont sur la ligne de Fabien Roussel.
01:54
Merci pour l'eau.
01:56
Abrogation, quoi qu'il en coûte,
01:58
même s'il faut pour cela s'allier au diable.
02:00
Alors à ce micro d'ailleurs,
02:02
Philippe Brun, le député socialiste,
02:04
vous l'a dit hier, Jean-Jacques,
02:06
et même Raphaël Arnaud, c'était chez vous aussi,
02:08
n'exclut pas de voter cette abrogation.
02:11
Seule Sandrine Rousseau,
02:13
semble-t-il qui sera là tout à l'heure,
02:15
n'en démore pas.
02:17
Elle ne votera jamais avec Le Pen, au moins elle est cohérente.
02:20
Oui, Sandrine Rousseau qui va expliquer d'ailleurs
02:22
et nous expliquer pourquoi
02:24
alors que la gauche a demandé
02:26
mais n'a cessé de demander
02:28
l'abrogation de la réforme des retraites,
02:30
pourquoi Sandrine Rousseau ne votera pas
02:32
avec le Rassemblement national.
02:34
Je sens François Zobac...
02:36
Calmez-vous François Zobac.
02:38
Je le sens, je le sens.
02:40
Mais vous l'avez rappelé, Elisabeth,
02:42
les Français sont massivement favorables
02:44
à cette abrogation, sans vraiment connaître
02:46
ce qu'il y a dans la réforme.
02:49
C'est simple,
02:51
j'y viens.
02:53
Pour moi c'est tout le problème,
02:55
c'est que nous sommes confrontés
02:57
à un déni de réel collectif.
02:59
Pour moi c'est simple,
03:01
on vit plus vieux,
03:03
il faut travailler un peu plus longtemps
03:05
pour maintenir un taux entre actifs et inactifs
03:07
et cette conclusion simple
03:09
s'impose partout,
03:11
en Allemagne, en Italie, en Hollande.
03:13
On est déjà 67 ans
03:15
pour la légale, l'âge légal,
03:17
nous on trépigne...
03:19
Pardon...
03:23
On ne veut ni travailler plus,
03:25
ni gagner moins,
03:27
et surtout pas plus de 35 heures.
03:29
Alors évidemment, c'est une moyenne,
03:31
donc c'était une caricature,
03:33
parce qu'il y a beaucoup d'indépendants
03:35
qui triment énormément.
03:37
Mais la question du travail n'est pas seulement économique,
03:39
elle est anthropologique.
03:41
Alors bien sûr il y a des emplois
03:43
qui sont moins intéressants et moins gratifiants que d'autres,
03:45
mais subvenir à ces besoins,
03:47
je suis désolé, c'est une dignité en soi.
03:49
Or, ça nous sommes en train
03:51
de le perdre, le goût de l'autonomie,
03:53
de l'effort, du travail bien fait
03:55
avec lui l'élan et le désir
03:57
de conquête qui poussent les nations
03:59
à persévérer dans leur être
04:01
et ne rigolez pas Françoise.
04:03
Et ça commence à l'école, cette perte,
04:05
avec cette idée
04:07
qu'il ne faut pas traumatiser les élèves.
04:09
Eh bien oui, nous sommes un peuple
04:11
de créanci...
04:13
précieux, pardon.
04:15
Nous avons un rapport totalement névrotique à l'État
04:17
qui est perçu un peu comme l'ongue Picsou
04:19
à qui il faudrait arracher son magot.
04:21
Alors rappelons que l'État, c'est les autres,
04:23
c'est nos concitoyens.
04:25
Et quand on refuse
04:27
de travailler un ou deux ans de plus,
04:29
eh bien cela revient à dire à vos enfants,
04:31
à nos enfants, ces merveilleuses
04:33
générations futures qui soucient
04:35
tant de monde, eh bien, si vous ne voulez pas
04:37
travailler un an ou deux ans de plus, ça veut dire
04:39
pour cela, bosser, cotiser,
04:41
parce que moi je suis fatigué, eh bien c'est comme ça
04:43
qu'on sort de l'histoire.
04:45
Et désolé pour les blagues.
04:47
Non mais ça arrive Elisabeth, ça arrive.
04:49
Oui, je suis
04:51
assez d'accord moi avec Elisabeth.
04:53
Vous savez, je suis assez d'accord
04:55
avec Elisabeth.
04:57
Vous, Françoise, pas du tout.
04:59
On a eu ce débat toute l'année 2022-2023
05:01
avec Elisabeth, je pense qu'on a eu ce débat.
05:03
Je ne suis absolument pas d'accord,
05:05
on ne sort pas de l'histoire,
05:07
les Français ne sont pas un peuple de feignasses qui ne veulent pas travailler.
05:09
La réalité, c'est que
05:11
vous parlez de l'Italie,
05:13
qui est un pays que je connais très bien, puisque je vis
05:15
entre les deux, vous parlez de
05:17
l'Allemagne. L'Italie, Mélanie,
05:19
pense passer l'âge de départ
05:21
à la retraite à 70 ans
05:23
pour les fonctionnaires.
05:25
Ce qui se passe en Italie, c'est que
05:27
les gens sont tellement épuisés
05:29
comme en Allemagne, comme en Suède, c'est-à-dire
05:31
qu'ils partent finalement, ils ne peuvent pas aller jusqu'au bout
05:33
de leur carrière, ils partent
05:35
en prenant qu'une part de leur pension,
05:37
c'est-à-dire 70%, parce qu'ils
05:39
n'y arrivent pas, parce qu'au bout de 65 ans,
05:41
ils n'y arrivent pas, parce que souvent, ils font des métiers difficiles.
05:43
Et ce qui se passe, c'est que sur 10 ans
05:45
ou 15 ans, on se rend compte qu'il y a un appauvrissement
05:47
général des retraités, et souvent
05:49
des retraités obligés d'aller rebosser,
05:51
comme vous en voyez de plus en plus en Allemagne,
05:53
comme vous en voyez en Italie. C'est
05:55
exactement les mêmes images, si vous voulez,
05:57
qu'aux Etats-Unis, avec le type qui a 80 ans
05:59
et qui emballe...
06:01
Je vais pleurer, dans 5 minutes, je vais pleurer.
06:03
Elisabeth, nous ne faisons pas partie de ce monde,
06:05
mais je vous assure que c'est ce monde-là qui est général.
06:07
Le deuxième point, sur le vote avec le RN.
06:09
Vous savez que la gauche, depuis le début
06:11
de l'été, demande l'ouverture d'une
06:13
session parlementaire au Président de la République
06:15
qui doit la donner par décret,
06:17
il ne la donne évidemment pas,
06:19
pour présenter la proposition de loi d'abrogation.
06:21
Il y a deux solutions. Soit la gauche
06:23
voterait le 31 octobre
06:25
la liche parlementaire du RN,
06:27
personnellement, si j'étais député
06:29
de gauche, je serais sur la ligne de Sandrine Rousseau,
06:31
on se tient. Soit, c'est ce qui va
06:33
se passer, et Éric Coquerel l'a annoncé,
06:35
et le PS l'a annoncé aussi,
06:37
vont demander une niche, dans leur
06:39
niche parlementaire du mois de novembre,
06:41
faire une proposition de loi,
06:43
qu'à ce moment-là, la gauche voterait, et libre au RN
06:45
de voter ou de ne pas voter.
06:47
Vous savez, il y a plusieurs solutions...
06:49
Est-ce que je peux répondre à un moment ?
06:51
Allez-y, Elisabeth.
06:53
Donc, la première chose, si vous voulez, c'est que
06:55
vous ne me convainquez toujours pas que les Français sont faits
06:57
d'un autre bois que les autres. Vous ne répondez
06:59
pas à mon argument
07:01
anthropologique, qui est que même quand c'est fatigant,
07:03
et aux Etats-Unis, il y a cette
07:05
culture-là, subvenir à
07:07
ces besoins, sans attendre
07:09
de vos enfants, sans attendre de l'État,
07:11
sans attendre de la collectivité,
07:13
c'est une dignité.
07:15
Et par ailleurs... Non, écoutez, Francoise,
07:17
je viens de vous écouter, alors vous allez faire de même.
07:19
Donc ça, c'est la première chose, vous ne répondez
07:21
jamais à cet argument. Deuxièmement,
07:23
vous ne m'avez toujours pas convaincu
07:25
que la France
07:27
était une sorte d'îlot spécifique
07:29
ailleurs.
07:31
Et je vous rappelle juste qu'un jour,
07:33
et moi, finalement, je me dis que
07:35
c'est ça qui doit arriver parce qu'on est vraiment
07:37
indécrottable, un jour, le FMI va
07:39
s'installer chez nous, et là, vous allez voir,
07:41
vous n'allez pas discuter retraite par retraite,
07:43
ça ne va pas être marrant. Moi,
07:45
j'ai honte quand je vois
07:47
des gens, si vous voulez, dont la seule...
07:49
Non mais je n'ai pas fini, je suis désolée, je vous ai
07:51
écouté. Donc j'ai honte quand je vois des gens
07:53
dont la seule, le seul rêve,
07:55
la seule chance qui a mobilisé
07:57
les Français, c'est quoi ?
07:59
C'est on veut moins travailler, on ne veut pas
08:01
travailler plus. Je trouve ça déplorable.
08:03
Vous vous trompez sur le sens, excusez-moi,
08:05
vous vous trompez sur le sens profond de
08:07
la retraite. La retraite, vous savez,
08:09
c'est le capital de ceux qui n'en ont pas.
08:11
Et vous vous trompez profondément.
08:13
Ce ne sont pas des slogans, c'est la réalité
08:15
de la vie, Elisabeth, c'est la
08:17
réalité de l'existence.
08:19
La retraite, c'est véritablement
08:21
l'arrichège de chaque
08:23
salarié. Ce n'est pas parce que les gens ne veulent
08:25
pas avoir à payer des prix malades.
08:27
C'est le fruit du travail.
08:29
C'est très profond. Donc vous me
08:31
parlez d'anthologie et vous me parlez
08:33
d'anthropologie,
08:35
mais vous voulez faire de l'anthropologie sociale
08:37
sur quelque chose qui n'existe pas.
08:39
Vous êtes en train de m'expliquer
08:41
qu'en gros, qu'on
08:43
renonce à la valeur travail. Mais ça n'est pas vrai.
08:45
Je vous le dis, ce n'est pas parce que les autres
08:47
pays... Une connerie répétée
08:49
par 10 millions de personnes reste une connerie.
08:51
Donc on est vachement plus pauvres que les autres.
08:53
On est beaucoup plus malins.
08:55
Nous avons un modèle unique
08:57
que le monde nous envie.
08:59
Il faut le préserver.
09:01
Le monde n'en vit pas de fonctionner pléthorique.
09:03
Mais ça n'est pas vrai.
09:05
Elisabeth, demandez à tous les athlètes
09:07
au village olympique venus du monde entier
09:09
qui étaient sidérés de ne pas avoir...
09:11
Quel argument, franchement.
09:13
Ce n'est pas le seul argument que je peux vous donner.
09:15
J'en ai 10 000, c'est le plus récent. Je vous dis juste
09:17
Elisabeth, que la réalité...
09:19
Je vous réponds sur un point.
09:21
Pourquoi les gens dépriment
09:23
à la retraite ? Il y a plein de gens
09:25
qui défilent dans la rue, le jour où ils
09:27
partent, ils dépriment. Arrêtez !
09:29
Arrêtez de faire croire que la retraite
09:31
c'est le nirvana !
09:33
Ce sont des choses aux doigts mouillés. Je vous dis juste
09:35
qu'il n'y a pas...
09:37
Mais bien sûr, il n'y a pas...
09:39
En tout cas, les chiffres sont terribles sur l'approvisionnement
09:41
des retraités. Tous les régimes,
09:43
tous les pays qui sont passés,
09:45
qui ont augmenté, tous arrivent...
09:47
Mais l'approvisionnement des retraités n'a rien à voir.
09:49
Je vous ai expliqué pourquoi
09:51
mais vous n'avez pas écouté, à l'évidence.
09:53
Ne vous inquiétez pas parce que
09:55
ça va revenir dans l'actualité.
09:57
On n'est pas prêts d'oublier ce débat.
09:59
Juste un mot sur le vote avec l'ORN. Je trouve ça
10:01
tellement ridicule.
10:03
Tout est ridicule.
10:05
Tout paraît ridicule dans cette affaire.
10:07
Jusqu'au ORN d'ailleurs qui défend
10:09
62 ans, alors qu'en Italie, Mélanie
10:11
qui défend les mêmes idées.
10:13
On est à parler de 70 ans.
10:15
Mais on est beaucoup plus libéral !
10:17
Jean-Jacques et Elisabeth,
10:19
on n'est pas obligés
10:21
d'aller vers le bas.
10:23
Ce que je veux dire, c'est qu'on peut aller
10:25
vers le mieux, disons, social.
10:27
Vous êtes un souverainiste européen.
10:29
Moi aussi, je serais très
10:31
heureuse finalement que nous tirions
10:33
tous vers le haut
10:35
le caractère social et le caractère économique.
10:37
Je suis désolé de vous le dire.
10:39
On n'est pas obligés de plonger parce que tout le monde
10:41
plonge dans la sienne.
10:43
C'est ma croyance !
10:45
Nous dira Sandrine Rousseau !
10:47
Nous expliquera !
10:49
Sandrine Rousseau
10:51
nous expliquera pourquoi elle ne veut pas
10:53
voter l'abrogation de la
10:55
réforme des retraites avec le Rassemblement
10:57
national. 8h21.
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