Première de toutes ces humiliations : l’impossibilité, pour le Ministre de la Justice, de convoquer le Conseil supérieur de la Magistrature (CSM), bloqué dans une inertie sans nom depuis cinq ans. Seconde humiliation : son incapacité à faire exécuter la convocation pour une audition judicaire, adressée au Secrétaire général de la Présidence en 2022 sur les scandales Covid et CAN en 2022. Troisième défaite de Monsieur ESSO : la stagnation totale de l’affaire GLENNCORE dans laquelle le nom de M. NGOH NGOH apparaîtrait en bonne place parmi les récipiendaires mafieux des 07 milliards allégués. Et ultime effondrement : celui de l’extrême manipulation de la justice et du détricotage de ses missions, par une surenchère des règles d’exception, dans l’affaire Amougou Belinga, procédure judiciaire manipulée de bout en bout, ne serait-ce que par son affectation du Tribunal militaire.