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00:00 Au cours de précédentes auditions, on a beaucoup parlé de médicaments d'intérêt thérapeutique majeur dans ces auditions.
00:06 J'ai cru comprendre que beaucoup pensaient que c'était la NSM qui fixait la liste des médicaments majeurs.
00:15 Eh bien non, ce sont les laboratoires pharmaceutiques.
00:17 Et je suis le premier surpris de voir qu'il n'y ait pas d'homogénéité dans le traitement de ces médicaments.
00:25 Pour vous dire, il y a certains produits que nous déclarons comme majeurs et que d'autres génériqueurs ne déclarent pas comme majeurs.
00:33 Avec toutes les conséquences que ça a sur les gestions de stock, les pénuries qu'on pourrait avoir et le traitement de ces pénuries.
00:40 Donc, sachez qu'il y a à peu près 7000 médicaments qui sont définis par l'industrie pharmaceutique et par les labos eux-mêmes comme médicaments d'intérêt thérapeutique majeur.
00:51 Il faut bien faire la différence entre ceux qui sont importants et les médicaments critiques.
00:59 Et ce sont deux choses différentes.
01:00 Il y a des médicaments qui sont importants dans l'arsenal thérapeutique du médecin généraliste ou du médecin spécialiste.
01:07 Mais il y a des médicaments qui sont irremplaçables.
01:10 Et c'est deux choses extrêmement différentes.
01:13 Nous, au sein de notre labo, on s'est toujours attaché à essayer de trouver des médicaments pour lesquels il n'y avait pas d'alternative.
01:20 Et de remettre sur le marché, en produisant en Europe, ces mêmes médicaments.
01:25 Mais on ne peut pas traiter 7000 médicaments comme 200 médicaments.