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  • 28/05/2025
Dans le service pédiatrie-néonatalogie du CHI de Mont-de-Marsan, les médecins trouvent bien plus qu’un poste : une équipe soudée, des liens forts avec les familles… et le sentiment d’être vraiment utiles.

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Transcription
00:00Si tu recherches une qualité de vie associée à un travail passionnant, polyvalent, en pédiatrie et néonatologie, je suis le bienvenu.
00:16C'est un centre hospitalier de moyenne importance qui a un niveau d'activité qu'on appelle 2B.
00:21Tous les services qu'on peut imaginer dans un hôpital périphérique,
00:25les choses qui ne vont vraiment pas être présentes par rapport à un CHU,
00:28ça va être de la neurochirurgie, de la chirurgie extrêmement spécialisée,
00:31mais on a tout un plateau technique, scintigraphie, PET scan, scanner, IRM.
00:38Il y a un service de pédiatrie de 12 lits, avec 4 lits de soins continus.
00:43On va recevoir sur ces lits de pédiatrie toute la pédiatrie générale,
00:46avec effectivement aussi de la pédiatrie plus spécialisée, comme de la diabétologie, de la neurologie,
00:52avec un travail très varié, et ça peut aller aussi à toutes les pathologies psy,
00:56donc l'anorexie mentale par exemple, où des fois les hospitalisations peuvent être longues.
01:00Gros travail de coordination aussi avec la PMI.
01:02On a aussi monté récemment une UAPED, une unité d'aide aux enfants victimes de violences.
01:07Nous avons aussi un centre de troubles des apprentissages.
01:09À la suite de ce service, il y a une hospitalisation de jours de pédiatrie.
01:13Nous disposons pour ce faire de 5 lits, puisque récemment nous avons aussi accueilli la chirurgie ambulatoire.
01:19Puis le service de néonatologie, avec ces 9 lits, dont 3 lits de soins intensifs.
01:24Un service de consultation, avec quasi toutes les surspécialités représentées.
01:31On a de la neurologie pédiatrique, de la néphrologie pédiatrique, de la pneumologie pédiatrique, de la rhumatologie pédiatrique.
01:39On a deux collègues qui sont titulaires du DU de réanimation pédiatrique.
01:43Une collègue qui a un DU d'allaitement maternel, puisqu'on est aussi hôpital IHAB, c'est-à-dire hôpital ami des bébés.
01:48Et moi, je fais donc de l'ONDOC, de la diabéto, de la nutrition, de la gastro et de la cancéro-hémato.
01:58On a un lien facile avec nos collègues adultes.
02:00Pour des pédiatres, c'est très important, parce que ça nous permet d'organiser des transitions,
02:04notamment chez les adolescents, pour les orienter après sur les services adultes de façon très étroite.
02:08Et aussi avec l'administration, parce que quand on veut mettre en place des projets, des formations, des formations d'équipe,
02:13c'est beaucoup plus facile d'aller plaider notre cause, de pouvoir se dire, là, il y a tel appel à projet qui passe.
02:19On a une équipe de recherche au niveau du centre hospitalier, très opérationnelle,
02:23et du coup, qui est toujours à l'affût, de nous trouver des programmes dans lesquels on peut rentrer,
02:27on peut insérer des patients.
02:28Et il n'y a pas le côté universitaire, mais il y a le côté formation.
02:31On a des étudiants nombreux dans le service, des internes de médecine générale, mais aussi des internes de spécialité.
02:36Aucune journée ne se ressemble.
02:40Vous avez une idée de ce que vous allez faire le matin, mais en fait, il peut se passer plein de choses dans une journée,
02:45et on peut vous demander multiples compétences.
02:48Il faut être un peu couteau suisse, et on peut être posé en consulte, discuter avec des familles,
02:52ou tomber sur une consultation sur un enfant qui va nécessiter beaucoup après de recherches et de demandes d'avis,
02:59comme on peut se retrouver en salle de naissance pour intervenir sur un bébé qui ne va pas bien du tout,
03:04et faire de la réanimation néonatale.
03:06Une équipe qui est très soudée, très familiale, qui sait se demander de l'aide.
03:13Il ne faut pas avoir peur d'interroger en disant « ça, je n'ai jamais fait, je ne sais pas faire ».
03:17Il y aura toujours un collègue qui pourra aider.
03:18Même sur la garde, on est joigné par téléphone, sans souci.
03:25L'atout fort de cette personne, c'est d'avoir envie de continuer de faire de la néonate et de la pédiatrie.
03:31Et même si c'est plutôt de la pédiatrie de l'adolescent qui veut développer,
03:34il a tout lieu de le faire et de ne faire plutôt de la néonate qu'en garde ou en week-end.
03:39Et si c'est quelqu'un qui souhaite faire plutôt de la néonate,
03:41rester en service sur la néonate, sur les soins,
03:44et parallèlement faire de la consulte.
03:46Et il sera amené à faire la pédiatrie plutôt sur les week-ends et dans l'urgence.
03:49Je pense arriver à allier une qualité de vie.
03:56On est quand même une région qui est attractive.
03:58On n'est qu'à une heure de la mer, on est à une heure et demie de la montagne.
04:01Et l'avantage qu'on a d'être un peu en recul, c'est qu'acheter une maison suffisamment grande,
04:06avoir une maison avec piscine, un bon terrain, pouvoir aller se balader, c'est assez facile.
04:11On est quand même dans une ville où on se sent en sécurité, où on peut faire plein d'activités.
04:16Il y a un niveau culturel tout à fait satisfaisant.
04:18Et à pouvoir avoir un travail vraiment de qualité, en lien avec les autres,
04:23développer sur le territoire l'accès aux soins pour tous les patients,
04:26pouvoir leur offrir en continuant à se former le même accès que s'ils allaient sur un centre de référence.
04:32Et ça, je milite pour ça, je trouve que c'est très important.
04:37On y va ?

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