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Dégradations sur le réseau SNCF et Fibre Optique
Europe 1
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29/07/2024
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Thomas Schnell pour débattre des actualités du jour.
Retrouvez "Les débats d'Europe 1 Soir" sur : http://www.europe1.fr/emissions/l-invite-actu
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00:00
Alors parmi les succès français, au-delà des succès sportifs, il y a les succès opérationnels,
00:06
pas de problème dans les transports en Ile-de-France aujourd'hui,
00:09
le succès de la SNCF qui a réussi à rétablir les liaisons en 48 heures à peine,
00:14
mais tout de même, demandons-nous, qui est derrière ces actes de sabotage
00:18
en série vendredi contre la SNCF, aujourd'hui contre des installations téléphoniques,
00:23
qui se cache, quelle stratégie, quel but derrière ces actes de vandalisme ?
00:28
On verra dans la durée ce que diront les enquêtes.
00:31
Vraisemblablement, si notre ministre de l'Intérieur, par intérim,
00:35
laisse penser que l'ultra-gauche est dans le collimateur,
00:39
ça veut dire qu'ils doivent avoir déjà un certain nombre d'informations.
00:42
On peut imaginer que ceux qui ont réalisé ce sabotage
00:47
sont un peu les mêmes que ceux qui, il y a un an et demi,
00:50
avaient provoqué un sabotage similaire sur la ligne Grand Est du TGV Paris-Strasbourg.
00:56
Après, il suffit qu'il y en ait un qui était maladroit,
00:59
qui ait laissé son téléphone branché ou qui voulait l'enlever,
01:01
et à partir de là, vous remontez la filière, par exemple.
01:03
C'est une des manières de remonter une piste.
01:05
Après, on efface, malheureusement, c'est ça qui est terrible aujourd'hui,
01:08
dans l'époque dans laquelle on est sur ce vieux continent,
01:11
qui est en difficulté, vous en parliez,
01:13
c'est qu'on a un certain nombre de mouvances
01:15
qui sont inscrites dans des projets de radicalité extrême et de déconstruction,
01:20
qui ne veulent rien de ce que le monde d'aujourd'hui leur offre,
01:23
et qui sont prêts à gâcher toutes les fêtes,
01:26
tous les modes de vie pour servir leur cause.
01:31
Ça peut aller des méga-bassines,
01:33
sur lesquelles, après, on a en plus l'alliance avec les Black Blocs,
01:35
pour venir effectivement défaire ce qui a peut-être du sens,
01:38
mais c'est pas grave, il n'y a rien à expliquer.
01:41
Pour eux, c'est non une fois pour toutes,
01:42
parce qu'en plus, c'est un modèle d'agriculture qu'ils ne veulent pas.
01:44
Là, ces JO, ils les rejettent,
01:46
parce qu'ils rejettent cette façon de faire du sport,
01:48
et c'est encouragé par les politiques.
01:49
Vous voyez, par exemple, ce matin,
01:51
c'est Sandrine Rousseau qui, par rapport aux JO de 2030,
01:54
dont la France est désormais attributaire,
01:56
sauf si, évidemment, il n'y a pas le...
01:58
Sans réserve de garantie financière du gouvernement...
02:00
Il faudrait quand même qu'il y ait une caution de l'État.
02:02
Mais normalement, on pense que ça devrait,
02:04
il faut espérer que ça le fasse,
02:05
parce que ce sont des puissants projets de transformation territoriaux,
02:07
et les non-montagnes ont besoin de s'adapter à ce qu'ils vont vivre.
02:10
Donc ce projet de JO 2030, c'est un projet intelligent
02:12
pour permettre de faire encore vivre la montagne l'hiver,
02:15
en période de réchauffement climatique.
02:17
Mais nos écolos, qui sont des idéologues avant toute chose,
02:20
et qui voient ça depuis Paris, n'en veulent pas.
02:22
Donc ils alimentent effectivement la machine
02:24
à destruction du modèle dans lequel on vit,
02:26
et non pas de transition.
02:28
Et ça, c'est extrêmement dangereux.
02:29
Et en plus, comme on est dans un cadre qui est celui de l'État de droit,
02:32
très difficile de combattre ces gens-là,
02:34
sauf quand on les prend la main dans le sac,
02:35
sauf quand on est certain qu'ils vont réaliser quelque chose par anticipation.
02:38
Mais c'est difficile.
02:39
Nathan Devers, ce serait la mouvance ultra-gauche,
02:41
comme semble le croire le ministre de l'Intérieur,
02:43
qui serait derrière ces actes de sabotage ?
02:45
Oui, alors, nous, on n'a pas toutes les informations,
02:47
même cachées, que le ministère de l'Intérieur peut avoir.
02:50
Je pense qu'il y a deux motifs de prudence, évidemment.
02:52
Le premier, c'est qu'en matière de sabotage de trains,
02:56
il y a un précédent qui avait été l'affaire de Tarnac,
02:58
qui avait été un fiasco judiciaire absolu.
03:00
2008, Julien Coupa, le Comité Invisible.
03:03
Avec énormément de fantasmes sur le Comité Invisible.
03:06
Et aucune condamnation.
03:08
Exactement, et tout cela qui avait été fait n'importe comment.
03:11
Donc je pense qu'il est très très important,
03:13
et que les commentateurs ont une grande responsabilité
03:15
sur des affaires comme ça,
03:16
quand on n'a pas d'informations,
03:18
pas plus que n'importe qui,
03:20
ce qui est notre cas,
03:21
de ne pas trop s'avancer.
03:22
La deuxième chose,
03:23
deuxième motif de prudence,
03:24
c'est qu'il ne faut pas oublier
03:25
que la France est un pays, aujourd'hui,
03:27
qui est exposé à des actions
03:30
de déstabilisation étrangère
03:32
très très puissante.
03:33
On l'a vu en 2017,
03:34
quand il y a un pays, la Russie,
03:37
qui a voulu s'immiscer dans nos affaires électorales.
03:40
On l'a vu tout au long de cette année,
03:41
quand la Russie, également,
03:42
a essayé de s'ingérer,
03:45
à la fois avec les étoiles de David,
03:47
les mains rouges,
03:48
en jouant sur toutes les névroses
03:50
qui pouvaient travailler à la société française.
03:52
On le sait aussi qu'il y a,
03:53
du côté des Iraniens,
03:54
des velléités de parasité
03:57
à la société française, etc.
03:59
Bon, maintenant,
04:00
en dehors de toute considération d'enquête,
04:05
il est vrai que ces mouvances,
04:07
entre guillemets, d'ultra-gauche,
04:09
sont des mouvances,
04:10
et je suis d'accord avec vous,
04:11
je n'emploierai pas le mot de déconstruction,
04:13
mais je suis d'accord avec vous là-dessus,
04:14
ce sont des mouvances qui sont dans une logique
04:16
de vouloir s'opposer à tout ce qui constitue
04:19
un projet pour aller vers l'avenir.
04:21
Et ce qui est très intéressant,
04:22
c'est de voir des gens qui sont très loin
04:24
d'être des imbéciles,
04:25
qui ont une dogmatique derrière,
04:29
une théorie,
04:30
et toute une vision systématique de la politique
04:32
qui est très élaborée,
04:33
mais qui cautionnent,
04:35
qui approuvent la violence.
04:37
Violence contre des biens,
04:38
violence contre des personnes aussi,
04:40
quand il s'agit par exemple de policiers,
04:42
et je pense qu'il y a une lutte,
04:45
non seulement sécuritaire,
04:46
mais avant tout une lutte intellectuelle
04:48
à avoir contre ces gens-là,
04:49
en disant, la vraie politique,
04:51
la politique la plus radicale,
04:52
quand on a une lutte,
04:53
quelle qu'elle soit,
04:54
c'est précisément la politique non-violente.
04:56
Alors c'est vrai Nathan Devers,
04:57
restons prudents,
04:58
toutefois c'est le ministre de l'Intérieur
04:59
qui ce matin,
05:00
chez nos confrères de France Télévisions,
05:02
a indiqué qu'il y avait des profils
05:04
identifiés dans l'enquête
05:06
appartenant à la mouvance d'ultra-gauche,
05:08
et la mouvance d'ultra-gauche,
05:09
je l'ai dit dans les années 2008,
05:11
mais auparavant si on s'en rappelle,
05:13
c'est eux qui étaient dépositaires
05:15
de la violence,
05:16
qui pendant plusieurs décennies,
05:18
a perpétré des attentats,
05:20
des enlèvements,
05:21
que ce soit en Allemagne,
05:23
en Italie,
05:24
en France,
05:25
on a été un peu moins touchés,
05:26
en tout cas par cette gauche radicale,
05:27
qui a perpétré plusieurs attaques,
05:30
et là,
05:31
quelle stratégie elle poursuivrait
05:34
en s'en prenant aux fibres optiques,
05:37
au réseau TGV,
05:39
il y a trois jours ?
05:41
C'est la stratégie de la désorganisation,
05:43
alors c'est intéressant,
05:45
parce qu'en fait,
05:46
ce sont des pénalisations
05:48
du fonctionnement du pays,
05:49
et de la vie de tout un chacun,
05:51
mais qui ont comme effet,
05:53
en tout cas,
05:54
de ne pas porter atteinte
05:55
à l'intégrité physique
05:56
de nos compatriotes,
05:57
donc il n'y a pas de sang,
05:59
il n'y a pas de blessés,
06:00
il n'y a pas de victimes,
06:01
et en même temps,
06:02
ça ne fait pas vraiment peur,
06:03
ça ne crée pas de climat d'anxiété,
06:05
ça crée de l'insécurité,
06:07
on se dit, tiens,
06:08
mon train va peut-être tomber en panne,
06:09
ou mon réseau interne, etc.
06:10
Mais en tout cas,
06:11
ça participe à une volonté
06:12
de perturber
06:13
le bon fonctionnement de l'État,
06:14
et c'est vrai que
06:15
on n'est pas du tout,
06:16
bien sûr,
06:17
à l'abri également
06:18
de menaces extérieures.
06:19
Maintenant,
06:20
les menaces extérieures,
06:21
elles sont quand même
06:23
très plausibles,
06:25
et très possibles,
06:27
mais il faut que les pays
06:28
qui les organisent
06:30
ne se fassent pas prendre,
06:31
parce que personne n'a vraiment
06:32
très envie d'être le pays
06:34
dont on a démontré
06:35
qu'il est venu gâcher la fête.
06:36
Parce que les JO,
06:37
malgré tout,
06:38
ça reste une espèce
06:39
de moment
06:40
où on accepte
06:41
de déclarer une espèce
06:42
de trêve.
06:43
Tous les pays
06:44
qui les organisent
06:45
le voient bien,
06:46
il y a eu des précédents douloureux,
06:47
bien sûr,
06:48
avec les Israéliens,
06:49
il y a une quarantaine d'années.
06:50
Mais globalement,
06:51
il y a cette espèce
06:52
de moment particulier
06:53
qui est là.
06:54
Donc,
06:55
si vous voulez vraiment,
06:56
je dirais,
06:57
semer le bazar dans un pays,
06:58
si vous êtes russe,
06:59
et que vous vous faites
07:00
prendre la main dans le sac,
07:01
parce que ce n'est pas impossible
07:02
ça laissera un souvenir
07:03
assez pitoyable,
07:04
parce que finalement,
07:05
quelle est la fin ?
07:06
Or,
07:07
vous avez vos athlètes,
07:08
vous avez le public,
07:09
vous avez le monde qui regarde,
07:10
et puis le monde entier regarde.
07:11
Personne n'a vraiment à y gagner.
07:12
En revanche,
07:13
ces mouvances-là,
07:14
elles sont dans leur logique
07:15
contestataire,
07:16
alternative,
07:17
et elles sont là.
07:18
Et elles ont évidemment
07:19
la capacité à agir
07:20
sur tout un territoire,
07:21
d'autant plus que nos forces de l'ordre
07:22
sont quand même très concentrées
07:23
sur quelques lieux,
07:24
donc c'est encore plus facile
07:25
pour elles d'agir
07:26
de manière plus impunie
07:27
là ou là.
07:28
Et on peut imaginer
07:29
que ça peut effectivement durer.
07:30
Ça, c'est possible aussi.
07:31
Ça, c'est déjà vu.
07:32
On peut imaginer
07:33
des services de renseignement
07:34
qui tireraient les ficelles
07:35
en agitant.
07:36
Ça, c'est déjà vu
07:37
en plein scénario,
07:38
dans plein de cas, bien sûr.
07:39
Oui, c'est pour ça
07:40
que j'appelais aussi à la prudence.
07:41
Ce n'est pas pour aller
07:42
contre le ministère de l'Intérieur,
07:43
mais ça ne me semblerait pas
07:44
complètement délirant
07:45
d'imaginer une mouvance
07:46
d'ultra-gauche
07:47
qui mènerait ces combats
07:49
même de manière presque sincère,
07:51
ça veut dire en y croyant pleinement,
07:53
mais en se faisant complètement manipuler
07:55
et instrumentaliser
07:56
par des empires autoritaires.
07:59
Quand vous voyez,
08:00
je vous donne un exemple
08:01
qui est un peu différent
08:02
de la Russie,
08:03
mais quand vous voyez
08:04
certaines personnes
08:05
qui ont milité,
08:07
évidemment, il faut militer
08:09
pour les civils de Gaza,
08:11
leur sort est tragique,
08:12
mais certaines personnes
08:13
qui l'ont fait
08:14
et qui n'étaient manifestement
08:15
pas dérangées
08:16
d'être instrumentalisées
08:17
par l'empire iranien.
08:18
Je pense notamment
08:20
quand on avait interviewé
08:21
Mme Rima Hassan
08:22
pour lui demander
08:23
est-ce que ça ne vous dérange pas
08:24
que le guide suprême iranien
08:25
reprenne des vidéos
08:26
de vos manifestations
08:28
des manifestations
08:29
soi-disant pour Gaza ?
08:31
Elle avait répondu
08:32
mais je ne connais pas
08:33
le guide d'Iranien,
08:34
je ne le suis pas sur Twitter.
08:35
Vous voyez bien,
08:36
c'était très hypocrite.
08:37
Et il y a quelque chose là-dedans,
08:38
évidemment,
08:39
où il y a parfois
08:40
chez ces gens-là
08:41
une telle obsession
08:42
à voir tout ce qui ne va pas en France,
08:43
et je pense qu'ils ont d'ailleurs raison
08:44
dans le fond sur ce qu'ils dénoncent
08:45
quand ils dénoncent
08:46
la société sécuritaire,
08:47
quand ils dénoncent
08:48
le nationalisme, etc.,
08:49
ils voient des choses,
08:50
mais en tout cas,
08:51
ils ont une telle obsession
08:52
à voir ce qui ne va pas en France
08:53
que finalement,
08:54
ils tombent parfois
08:55
dans une sorte de relativisme.
08:56
Vous voyez,
08:57
je pense,
08:58
il y avait une des fanzones
08:59
où on a hué l'équipe israélienne
09:00
lors de la cérémonie d'ouverture,
09:01
donc d'accord,
09:02
on hue l'équipe israélienne,
09:03
je n'ai pas entendu
09:04
qu'on ait beaucoup hué
09:05
l'équipe iranienne,
09:06
par exemple.
09:07
Vous voyez,
09:08
c'est quand même problématique
09:09
de tomber dans un tel relativisme.
09:10
Alors ces gens-là
09:11
ne sont pas manipulés,
09:12
enfin là, je parle des foules
09:13
qui ont hué l'équipe israélienne,
09:14
ne sont pas manipulés
09:15
au sens où il n'y a pas forcément
09:16
les services secrets iraniens
09:17
qui leur téléphonent le matin
09:18
pour leur dire de faire ça,
09:19
mais en tout cas,
09:27
évidemment qu'à la fin,
09:28
ils servent l'agenda politique
09:30
d'un empire autoritaire
09:31
qui en veut aux intérêts,
09:33
pas forcément de la France
09:34
en particulier,
09:35
mais de l'Occident en général,
09:36
bien sûr.
09:37
Nathan Devers,
09:38
Alexandre Malafaille,
09:39
restons ensemble
09:40
puisque dans un instant,
09:41
on va se demander
09:42
si la vie politique française
09:43
est partie à Brégançon
09:44
avec Emmanuel Macron
09:45
également pendant cette période estivale.
09:46
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avant normalement
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d'avoir un nouveau Premier ministre,
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