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Nicolas Kert (Remake) : "Il ne faut pas investir dans une seule SCPI et il faut savoir diversifier au niveau des actifs !"
Sud Radio
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30/06/2024
Avec Nicolas Kert, Président & Co-fondateur Remake AM
Retrouvez Osez Investir tous les dimanches de 9h45 à 10h avec Thomas Binet !
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00:00
Sud Radio, oser investir, Thomas Binet.
00:04
Et on a trouvé Thomas Binet, que faire de votre argent, où le placer et comment le placer ?
00:07
On parle de quoi aujourd'hui ?
00:08
Et bien on va commencer par parler des ventes de logements en cette période instable
00:12
et on va recevoir comme invité Nicolas Quert, président de Rimec.
00:16
Comment bien choisir sa SCPI, Société Civile de Placement Immobilier ?
00:19
Ça sera notre thème central.
00:20
Et puis Céline Mainc, notre consultante en gestion de patrimoine
00:23
qui va nous parler de location touristique et de fiscalité.
00:26
Oui, bonne question et c'est le moment d'en parler tout de suite, c'est parti.
00:29
Au cœur des quartiers, pour mieux vous conseiller,
00:31
le réseau Century 21 et ses 960 agences immobilières vous présentent.
00:37
Sud Radio, oser investir, le conseil de la semaine.
00:41
Thomas, comment se portent les ventes de logements
00:44
durant cette période de turbulence politique ?
00:46
D'après vous Jean-Marie, pas très bien, c'est logique.
00:49
On attend le second tour ?
00:51
On attend le second tour, mais vous savez, d'une façon générale,
00:53
c'est toujours la même chose dans les périodes électorales.
00:56
Sauf que c'est dommage parce que les taux de crédit avaient un peu baissé.
01:00
Du coup, ça avait repris des couleurs depuis quelques mois.
01:02
Et la dissolution a eu pour effet de bloquer le marché de nouveau.
01:05
Et c'est ce qu'on peut dire qu'on n'en avait absolument pas besoin aujourd'hui.
01:09
Alors c'est à peu près comme à chaque période électorale ou pas ?
01:11
Exactement Jean-Marie, ce que j'avais commencé à vous dire.
01:13
Mais ce qui est sûr, c'est que la soudaineté de la décision
01:16
a un effet de sidération et d'inquiétude sur les investisseurs.
01:19
Globalement, ils se sont installés dans l'idée qu'il était urgent d'attendre.
01:22
L'idée incertaine, l'issue incertaine du résultat
01:26
confirme cette tendance.
01:27
N'oublions pas que le marché de l'ancien avait quand même chuté de 23% en 2023.
01:31
Les professionnels de la transaction, dont les téléphones sonnent moins
01:34
depuis deux semaines, sont totalement fébriles.
01:36
Ils attendent tout simplement.
01:38
Alors à quoi on doit se préparer pour les prochaines semaines ?
01:40
Très probablement à la poursuite d'un certain attentisme de la part des acheteurs
01:44
qui vont vouloir savoir qui occupera Matignon.
01:46
Et du coup, quelle politique fiscale et du logement seront mises en place ?
01:50
Et du côté des vendeurs, Jean-Marie, il en est de même.
01:53
Certains voudraient signer vite et d'autres sont attentifs.
01:56
Et attentistes, comme les acheteurs.
01:57
Dernier point, ce sont les taux.
01:59
Va-t-on du coup subir de nouveaux des hausses ?
02:01
C'est possible à défaut d'être probable à cette heure-ci.
02:04
Bon, mais on n'a plus qu'à attendre le second tour, en fait, c'est ça ?
02:06
Tout dépend de votre projet d'acquisition.
02:09
Si vous êtes vraiment pressé, allez-y, parce que les banques sont quand même devenues
02:12
plus agressives et cherchent des projets à financer.
02:14
Les acheteurs mûrs doivent se décider s'ils veulent profiter des taux actuels.
02:17
Bon, écoutez, on va suivre cette situation, évidemment, avec vous, Thomas Binet.
02:21
Tout de suite, on accueille votre invité de la semaine, Nicolas Quert,
02:24
qui est le président de Remake.
02:25
Bienvenue à vous sur Sud Radio, Nicolas Quert.
02:28
Vous êtes le président d'une société de gestion spécialisée dans l'investissement immobilier,
02:34
agréée par l'Autorité des marchés financiers en 2021, il y a trois ans.
02:37
Vous êtes l'invité de Thomas Binet.
02:39
Nicolas Quert, on va dans un instant parler de vous et de comment bien choisir ces pays,
02:44
ce que j'avais dit en lancement.
02:45
Mais avant toute chose, est-ce que le contexte actuel,
02:47
dont j'ai commencé d'ailleurs à parler aussi,
02:49
a une incidence sur ce marché des sociétés civiles de placement immobilier ?
02:53
Évidemment, même cause, même effet.
02:54
Vous disiez tout à l'heure que les taux d'intérêt pour investir dans l'immobilier avaient augmenté.
02:59
C'est intimement lié à l'augmentation des taux directeurs.
03:02
Je rappelle qu'ils étaient à moins 0,5 % en 2021.
03:05
Ils sont désormais à 4 %, donc l'argent coûte plus cher.
03:09
Et évidemment, les SCPI ne sont pas à l'abri de cette remontée des taux,
03:13
puisque la rentabilité qu'offre une SCPI se retrouve comparée avec la rentabilité qu'offre un placement monétaire.
03:19
Par exemple, la capitale garantie.
03:21
Donc, une SCPI qui rapportait 4 % de rendement en 2022, c'était bien.
03:25
Une SCPI qui rapporte 4 % de rendement aujourd'hui, ce n'est pas bien.
03:28
Du coup, elle est boudée.
03:29
Et si elle est boudée, on peut avoir des problématiques de liquidité
03:32
et puis aussi des baisses de valorisation.
03:35
C'est ce qu'on constate aujourd'hui sur un certain nombre de SCPI.
03:37
Ce que vous êtes en train de nous dire, c'est qu'on s'est habitué à ce que ça aille très, très bien.
03:41
Et du coup, dès que vous dites que ça va un peu moins bien, ça va très mal en fait.
03:44
En fait, les SCPI étaient lancés à 130 à l'heure sur l'autoroute
03:47
et se sont pris une falaise.
03:49
La falaise de la remontée des taux.
03:50
On est passé de moins 0,5 à 4 %.
03:52
On n'a jamais vu ça depuis très longtemps.
03:54
Ça a des répercussions sur la valorisation des immeubles détenus par les SCPI.
03:58
Parce que le plus bel immeuble à Paris en 2021 pouvait s'acheter à un rendement de 2,75 %.
04:03
Aujourd'hui, c'est 4 %.
04:04
Ça veut dire concrètement que ce même immeuble qui n'a pas bougé,
04:07
qui a les mêmes locataires, qui a les mêmes flux, qui a la même qualité,
04:10
il vaut 30 % moins cher.
04:11
C'est-à-dire que si vous revendiez votre immeuble que vous avez acheté en 2021,
04:14
vous le revendriez 30 % moins cher aujourd'hui.
04:17
Moins 40 % à Berlin, moins 25 % à Londres, moins 20 % à Madrid.
04:21
C'est ça, la réalité du marché.
04:23
Ce sont des baisses assez franches de l'immobilier.
04:25
Ce qui veut dire qu'aujourd'hui, même sur la collecte, on voit une incidence.
04:30
Les gens sont attentistes, là aussi ?
04:32
Évidemment.
04:33
Ils sont attentistes d'autant plus dans le contexte actuel où on reporte sa décision.
04:37
Mais ça avait commencé avant.
04:38
Oui, mais ce qu'on constate, c'est une espèce de polarisation.
04:41
C'est-à-dire, d'un côté, des SCPI qui ont chargé du patrimoine avant 2022,
04:45
donc sur des niveaux de valorisation de prix relativement élevés.
04:48
Mais bon, c'était les prix de l'époque.
04:50
Il n'y a aucune condamnation à faire.
04:51
Et donc, des prix, des valeurs d'immobilier qui baissent,
04:54
pour coller à la réalité du marché.
04:55
Et puis, de l'autre, des SCPI qui sont plus récentes,
04:58
qui se sont créées pendant ce cycle de baisse,
05:00
et donc qui achètent des immeubles décotés de 20, 30 %,
05:04
et donc capturent des rendements plus élevés.
05:06
C'est la raison pour laquelle on se retrouve avec, d'un côté,
05:08
des SCPI qui ont des problèmes de liquidité et des valorisations qui baissent,
05:11
et puis, de l'autre, des SCPI qui affichent des rendements très élevés,
05:14
avec des collectes très positives.
05:15
C'est une polarisation.
05:16
C'est ce qui explique que les grosses SCPI aient perdu de la valeur ?
05:19
Alors, qu'elles soient grosses ou pas, ce n'est pas vraiment le sujet.
05:21
C'est surtout, est-ce qu'elles ont, au sein de leur patrimoine,
05:23
beaucoup d'actifs qui ont été achetés, peut-être après les années 2020,
05:26
donc à des niveaux de valorisation élevés.
05:28
Et puis aussi, peut-être parce qu'elles ont des stratégies d'investissement
05:31
qui sont aujourd'hui peut-être un peu contestables.
05:33
Acheter du bureau en Ile-de-France, oui,
05:34
c'est peut-être pas le meilleur des investissements qu'on ait pu faire retrospectivement.
05:37
Mais si c'était bien dans les années 2010, ça allait peut-être un peu moins aujourd'hui.
05:40
Alors justement, vous parlez du bureau, vous me proposez la transition.
05:43
Est-ce que le télétravail a tué le bureau ?
05:45
Alors, le télétravail n'a pas vraiment tué le bureau.
05:48
C'est plutôt le flex-office, c'est-à-dire la capacité, en fait,
05:50
à mettre plus de gens dans les mêmes espaces de bureau.
05:53
Et le flex-office, ça nécessite des économies d'échelle,
05:56
c'est-à-dire que c'est plutôt destiné aux grandes entreprises
05:58
qui sont capables de concentrer les effectifs.
06:00
Mais les PME, elles ne connaissent pas le flex-office.
06:02
Elles ont autant de bureaux que de collaborateurs.
06:05
Donc, on voit que sur les PME, la consommation de surface est à peu près la même en bureau.
06:09
En revanche, sur les grandes entreprises, c'est vrai, il y a en fait une demande qui est moindre.
06:13
Néanmoins, ce qu'on constate aussi, c'est que l'offre de bureaux
06:15
n'est pas pléthorique dans la plupart des métropoles européennes.
06:18
C'est-à-dire qu'on a un marché qui est à peu près stabilisé.
06:20
On voit quand même à la Défense, pour ne pas la citer,
06:22
des étages entiers être libérés.
06:25
Absolument.
06:25
C'est complètement vide.
06:26
Alors, ce sont des épiphénomènes, pas au sens où c'est petit et que c'est pas très grave.
06:30
C'est simplement qu'il y a des localisations, comme Docklands à Londres, qui sont compliquées.
06:34
La Défense également, qui sont compliquées.
06:36
Parce que, quand vous livrez une tour à la Défense,
06:37
vous livrez 80 000 m² de bureaux.
06:39
80 000 m², vous vous rendez compte, il faut les remplir.
06:40
Ça fait beaucoup de milliers de personnes.
06:42
Donc, il faut le remplir.
06:43
Donc, fatalement, ce sont des secteurs, ou alors la boucle nord de la Seine,
06:47
qui souffrent plus que d'autres marchés parisiens, notamment, qui lui se portent très, très bien.
06:51
Alors, Nicolas Quart, on vous reçoit justement pour savoir comment bien choisir ces pays.
06:55
Quels sont les critères auxquels il faut s'attacher concrètement
06:57
quand on est un acheteur potentiel ?
06:59
Alors, déjà, la première chose à faire, c'est de diversifier son investissement en SCPI.
07:03
C'est-à-dire qu'on ne met pas tous ses œufs dans le même panier, dans la SCPI.
07:05
Donc, ça, c'est un principe de base.
07:07
Il ne vaut mieux pas investir en une seule SCPI, en ayant une croyance.
07:10
Donc, ça, c'est le premier point.
07:12
La deuxième chose, c'est qu'il nous semble qu'une allocation diversifiée, en fait,
07:15
est plus pertinente qu'une allocation sectorielle.
07:17
Parce qu'une SCPI vit 40 ans. Elle est destinée à vivre 40 ans.
07:20
Et donc, elle va acheter chaque année le millésime de la stratégie d'investissement en question.
07:24
Et si votre idée, c'était d'investir, par exemple, en Île-de-France sur du bureau,
07:30
Or, vous étiez investi en 2010. Vous étiez content en 2010.
07:33
Vos investissements en 2020, par contre, de la SCPI, ne sont pas aussi intéressants que ceux de 2010.
07:37
Parce que vous vous exposez à un cycle, à un marché.
07:40
Donc, du coup, il faut savoir l'assumer.
07:41
Ce que vous nous dites, que ce soit très concret,
07:43
les personnes qui veulent acheter des parts de SCPI ne doivent pas prendre des SCPI
07:47
totalement chargées, par exemple, en bureau, ou totalement en logistique, ou totalement en commerce.
07:51
C'est ça ?
07:52
C'est notre opinion. C'est notre opinion, exactement.
07:53
Et puis, il y a un deuxième, aussi, à faire regarder.
07:55
C'est est-ce que la SCPI joue avec des balles neuves ou pas ?
07:57
C'est-à-dire que si la SCPI est un patrimoine un peu ancien, qui a été acheté il y a longtemps,
08:01
peut-être qu'aujourd'hui, il va souffrir davantage avec cette hausse des taux, et donc des baisses de valeur.
08:05
En revanche, une SCPI qui vient de se créer, elle collecte de l'argent et elle achète les immeubles
08:09
avec des décotes à un instant T. Du coup, elle est moins exposée à ce risque.
08:12
On termine notre échange maintenant, mais juste une question.
08:14
Un point de vigilance, tout de suite, si vous en avez un, immédiatement.
08:17
Un point de vigilance, c'est la situation politique aujourd'hui,
08:20
qui crée de la certitude sur le volet, évidemment, fiscal,
08:22
même si en France, les niveaux de fiscalité sur l'immobilier sont les plus élevés,
08:25
donc on n'a pas trop de crainte du côté des SCPI sur ce volet-là.
08:29
Merci à vous.
08:30
Merci Nicolas Carte d'être passé du côté de Oser Investir sur Sud Radio.
08:33
Je rappelle que vous êtes le président de Remake.
08:35
Tout de suite, on explique quelque chose à nouveau.
08:48
Avec une nouvelle experte, c'est Céline Minc,
08:50
qu'on accueille aujourd'hui, consultante en gestion de patrimoine
08:53
et fondatrice d'Eden Finance.
08:55
Avec Céline, Thomas, vous allez nous parler de la location touristique,
08:58
évidemment, en cette période de Jeux Olympiques.
09:01
Jean-Marie, vous allez peut-être bientôt partir en vacances.
09:03
Oui.
09:04
Imaginons...
09:04
Je ne savais que je les ai repoussées à cause du second tour,
09:06
mais bon, ça, c'est le mot de beaucoup de gens.
09:08
Imaginons que vous soyez propriétaire de votre logement
09:10
et vous vous dites, pendant ces 15 jours, 3 semaines que je vais prendre,
09:13
je vais le mettre en sous-location.
09:14
On va voir, justement, avec Céline, tout de suite,
09:16
si d'abord vous avez le droit de le faire et comment ça va se passer.
09:19
Justement, Céline, c'est quoi ce statut actuel ?
09:22
Alors, il y a des gens qui vont vouloir bénéficier du fait qu'ils partent en vacances
09:28
pour ne pas payer à blanc leur loyer.
09:31
Et donc, ils vont avoir la possibilité, pour leur résidence principale,
09:35
de, peut-être, sous-louer.
09:37
Mais il y a certaines difficultés.
09:39
Alors lesquelles, justement ?
09:41
Alors, sur le plan financier, contrairement à ce qu'un certain nombre de personnes
09:45
peuvent penser, il va y avoir des contraintes.
09:47
Alors, il y a une petite franchise, on va dire, jusqu'à 760 euros par an.
09:52
En cas de dépassement, vous serez imposable sur la totalité des loyers nets que vous percevrez.
09:57
Mais jusqu'à 77 700 euros de bénéfices industriels et commerciaux,
10:02
puisque c'est des loyers meublés,
10:04
vous pouvez bénéficier du régime comptable, du micro-BIC,
10:07
avec un abattement de 50%.
10:09
Un point d'attention, c'est si vous êtes locataire,
10:13
il y en a qui vont avoir envie de profiter de ça aussi.
10:16
Vous pourrez le faire, vous pourrez sous-louer,
10:19
uniquement si votre bailleur vous en donne l'autorisation.
10:22
Si cette autorisation est écrite, ça va être mieux.
10:24
Mais attention, vous avez peut-être envie de vous enrichir sur le dos de votre propriétaire.
10:29
Ça, c'est pas possible.
10:30
Il faudra que vous fixiez le montant, mais pas plus élevé que celui de votre loyer.
10:36
Donc ça, c'est très important ce que vous venez de dire, il faudra bien y faire attention.
10:39
Alors, en quelques mots, rapidement, sur le plan réglementaire, ça se passe comment ?
10:43
Alors déjà, bien avoir en tête que ce dont on parle maintenant, c'est pour la résidence principale.
10:48
Sinon, c'est une autre réglementation qui s'applique.
10:50
Ensuite, dans les grandes villes et en zones tendues,
10:53
la loi plafonne la location ou la sous-location de cette résidence principale
10:58
à 120 nuits par année civile.
11:00
Il y a trois exceptions légales prévues pour déplafonner ces 120 jours.
11:05
Le motif professionnel, le motif médical et le cas de force majeure.
11:10
Enfin, même si la jurisprudence aujourd'hui semble être dans le camp des loueurs,
11:16
vous devez vous assurer de l'usage paisible qui va être fait de votre appartement.
11:21
Pas de soirée, pas de nouba dans l'appartement.
11:23
Attention au plan des voisins, un seul mot d'ordre soit irraisonnable.
11:26
Evidemment, mais ça, ça vaut pour tout le monde, que ce soit le locataire, le propriétaire,
11:29
celui qui est là en vacances ou pas d'ailleurs.
11:31
Bon, mais merci beaucoup en tout cas pour cet éclairage.
11:33
Et bonnes vacances, bonne location, je vous le souhaite.
11:36
Merci à vous également, Thomas Binet.
11:37
Merci Jean-Marie.
11:38
On se retrouve dimanche prochain en compagnie cette fois-ci de Clément Barguin.
11:41
On vous retrouvera très vite avec le plus grand plaisir.
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