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Punchline - Comment Bruno Retailleau peut-il rassembler les différents courants à droite ?
Europe 1
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19/05/2025
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🗞
News
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00:00
Voilà, 18h01min30s pour le rappel des titres de l'actualité.
00:04
Je salue nos invités, Louis de Ragnel, bonsoir, Rachel Kahn, Gauthier Lebrecht qui arrive en pleine forme.
00:09
Bonsoir Laurence.
00:10
Bonsoir, vous êtes très sérieux là ce soir, Gauthier Lebrecht.
00:11
Non, je suis très en forme, je suis très bien.
00:13
Joseph Massé-Scarmon, essayiste et écrivain, bonsoir à vous, et Eugénie Bastier, journaliste.
00:18
Bonsoir.
00:18
On commence par la droite ? Est-ce que la droite est de retour, Eugénie Bastier ?
00:22
Je vous ai déjà posé la question tout à l'heure, mais vous allez devoir me répondre à nouveau.
00:25
On va écouter Bruno Retailleau, il était l'invité ce matin de Sonia Mabrouk sur CNews et sur Europe 1.
00:31
Il a une démarche assez claire, je le disais, précise.
00:35
Il dénonce surtout une société laxiste en France.
00:38
Il a beaucoup fait campagne sur ce thème-là, sur la fabrique des barbares, et il maintient et il martèle ce message.
00:44
Écoutez-le.
00:46
J'ai indiqué qu'il y avait une société laxiste qui a déconstruit méthodiquement, méticuleusement,
00:52
tous les repères, les cadres communs que sont l'autorité, le respect de l'autre, les hiérarchies.
00:58
Cette société, précisément 68 Arnes, qui a puisé ses valeurs dans les années 68 Arnes,
01:04
a engendré, a accouché de cette fabrique des barbares.
01:07
Il faudra donc du temps pour que la famille, la restauration de l'autorité en famille, l'école,
01:13
il faudra du temps.
01:14
Et moi, on ne peut pas, en quelques mois, me demander d'effacer des décennies de laxisme.
01:18
Voilà, Gautier Lebret, l'axe est clair, il n'en bougera pas, Bruno Retailleau ?
01:22
Alors, l'axe est clair, ça c'est sûr, c'est sa ligne, c'est ce qui l'a fait triompher hier,
01:27
et il a eu raison de rester ministre de l'Intérieur jusqu'à hier soir,
01:31
puisqu'évidemment, s'il fait 75%, la question c'est, va-t-il le rester encore longtemps,
01:37
pour affirmer sa ligne, maintenant qu'il est président des LRS ?
01:39
Est-ce qu'il a encore besoin d'être ministre de l'Intérieur,
01:43
surtout si c'est pour montrer des désaccords avec Matignon ?
01:45
Alors, il parle beaucoup de Nicolas Sarkozy, qui est resté ministre de l'Intérieur
01:48
jusqu'au dernier moment, avant la campagne de 2007.
01:49
Oui, enfin, ça n'avait rien à voir, Nicolas Sarkozy, il était avec Jacques Chirac,
01:53
là, il est avec un macroniste, et avec François Bérou,
01:55
qui a appelé à voter Ségolène Royal.
01:57
C'est ce que dit Bruno Retailleau ?
01:58
Oui, enfin, c'est pas du tout le, excusez-moi, c'est pas du tout la même configuration.
02:03
Nicolas Sarkozy, en plus, il devient...
02:04
Mais il voulait créer la réduction avec Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy.
02:06
Oui, enfin, il a été ministre de Jacques Chirac, hors période de cohabitation,
02:10
avec une majorité absolue, à l'Assemblée nationale.
02:15
Nicolas Sarkozy, il fait la campagne de 2007 en asséchant totalement les voix de Jean-Marie Le Pen,
02:21
à qui il ne restait rien.
02:22
On est dans une configuration totalement inverse,
02:23
où on a un Jordan Bardella ou une Marine Le Pen qui ferait plus de 30%,
02:27
peu importe le cas de figure.
02:29
Donc, la question, c'est qu'il ne reste plus qu'une place en face, il reste une place.
02:32
Est-ce qu'elle est pour la gauche, qui serait unie ?
02:34
Est-ce qu'elle est pour un héritier du macronisme, type Édouard Philippe ou Gabriel Attal ?
02:39
Ou est-ce qu'elle est pour la droite ?
02:41
Et le chemin va être long, le chemin va être très compliqué,
02:44
parce que vous parliez d'une union des droites,
02:46
il va faire l'union des droites avec qui, Bruno Retailleau ?
02:48
Avec Sarah Knafo et Éric Zemmour ?
02:50
Bon, ce n'est pas une insulte que de dire que Reconquête ne fait pas 30% dans les sondages.
02:55
Ils ne vont évidemment pas faire une union des droites avec le RN,
02:58
qui n'a pas le même programme économique si c'est Marine Le Pen,
03:01
si c'est Jordan Bardella, ça se discute,
03:02
mais Jordan Bardella ne va pas aller se ranger derrière Bruno Retailleau,
03:05
et encore moins Marine Le Pen.
03:06
Donc, c'est un trou de souris qu'il y a pour la droite.
03:08
Alors, Eugénie Bassier.
03:09
Je pense que l'objectif à court terme de Bruno Retailleau,
03:12
c'est de tuer la candidature Édouard Philippe.
03:14
Oui, bien sûr.
03:14
C'est d'abord l'objectif numéro un,
03:16
après il aura les mains un peu plus libres,
03:18
mais là, dans les semaines qui précédaient,
03:21
il y avait cette rumeur d'un ralliement de Bruno Retailleau à Édouard Philippe,
03:26
ce qui doit imposer dans le débat, à mon avis,
03:28
Bruno Retailleau, c'est un ralliement d'Édouard Philippe à Bruno Retailleau,
03:30
c'est-à-dire que lui-même s'efface,
03:33
on verra s'il y arrivera,
03:34
mais je pense que son enjeu principal dans les semaines qui viennent à droite,
03:36
c'est de tuer ce rival qui, effectivement, le gêne dans sa configuration.
03:42
Ensuite, la droite est de retour.
03:44
Oui, on entend beaucoup ça.
03:46
On a beaucoup entendu ça ces dernières années.
03:47
Les électeurs de droite y ont cru à plusieurs reprises.
03:50
Ils y ont cru avec François Fillon, évidemment, en 2017.
03:53
Ils y ont cru avec François-Xavier Bellamy.
03:56
Ils y ont cru avec Valérie Pécresse.
03:57
Ils y ont cru avec Michel Barnier.
03:59
Ça a fait beaucoup de déceptions aux compteurs.
04:02
Donc, je pense que l'électorat de droite est quand même prudent sur ce sujet,
04:05
même s'il a toujours envie de croire à une candidature
04:09
qui pourrait faire échapper à la tenaille du macronisme et du lepénisme
04:11
qui, depuis dix ans maintenant, tient à notre pays.
04:17
Mais voilà, le chemin est semé d'embûches, évidemment.
04:20
C'est l'épreuve du feu, Louis.
04:21
Ce qui est vrai, c'est que le défi pour Bruno Retailleau est gigantesque.
04:24
Parce qu'il va falloir qu'il y ait deux mastodontes aujourd'hui.
04:28
Même, quoi qu'on pense d'Edouard Philippe, il est très haut dans les sondages.
04:30
Et que ce soit Jordan Bardella ou Marine Le Pen,
04:32
ils sont aussi très hauts dans les sondages.
04:34
Mais il a un avantage, et c'est peut-être la nuance que j'ai avec Gauthier Lebrecht,
04:37
c'est que les deux n'ont qu'un seul objectif,
04:39
c'est de rester à peu près avec le potentiel électoral qu'ils ont aujourd'hui.
04:43
Sauf que lui, Bruno Retailleau, part de beaucoup plus loin.
04:45
Il est à 10% à peu près de potentiel électoral.
04:48
Et donc, son objectif, ça va être d'aller casser un peu les genoux ou les chevilles,
04:53
à la fois du côté du RN et du côté d'Edouard Philippe.
04:56
Alors, ça, c'est tout son défi.
04:59
Est-ce qu'il y arrivera ? Ça, on le verra.
05:00
Mais l'élection présidentielle, elle est à la fois demain et en même temps, il lui reste aussi du temps.
05:05
Et ce qui va être extrêmement important, même déterminant pour Bruno Retailleau,
05:08
c'est le moment où il va devoir ménager, gérer sa sortie du gouvernement.
05:13
Il ne pourra pas rester jusqu'en 2027, quatre semaines avant l'élection présidentielle.
05:17
Et là, je suis d'accord avec Gauthier Lebrecht.
05:19
Il est obligé de montrer un projet de rupture, mais de rupture contre le macronisme.
05:25
C'est-à-dire que Nicolas Sarkozy, quand il fait son projet de rupture,
05:28
c'est plus par rapport au roi fainéant, c'est-à-dire qu'il ne se passait quasiment plus rien avec Jacques Chirac.
05:32
Donc, c'était ce que Nicolas Sarkozy avait créé.
05:36
C'était du dynamisme.
05:38
Il avait revu un peu le logiciel de la droite.
05:40
Il l'avait réactualisé, rafraîchi.
05:42
Et c'est ça qui a créé la dynamique de Nicolas Sarkozy.
05:44
Donc là, Bruno Retailleau n'est pas du tout dans la même situation.
05:47
Mais à un moment donné, il est obligé, il va être obligé de marquer sa grande différence fondamentale avec Emmanuel Macron.
05:53
Pourquoi ? Parce que déjà, son socle, les Républicains, globalement, il fallait être courageux pendant sept ans pour rester LR.
06:00
D'ailleurs, les Républicains, il suffisait de voir la dernière élection présidentielle.
06:03
Valérie Pécresse a fait un très mauvais score.
06:05
Donc, ce sont des gens qui, globalement, politiquement, détestent Emmanuel Macron.
06:09
Et vous ne pouvez pas les perdre, ces gens-là.
06:10
Donc, voilà, c'est ça qui est très important pour Bruno Retailleau.
06:13
Je trouve que c'est très intéressant parce que Bruno Retailleau, c'est une ascension fulgurante.
06:18
Il y a quelques mois, pour l'ensemble des Français, ce n'était pas quelqu'un de très connu.
06:23
Et c'est vrai que, un, le ministère de l'Intérieur, deux, maintenant, la tête de ce parti,
06:30
ça change les cartes au sein du gouvernement, non seulement par rapport à Emmanuel Macron,
06:34
mais aussi par rapport au Premier ministre.
06:37
C'est-à-dire qu'en termes de code de popularité.
06:40
Alors, comme quoi, c'est la preuve que lorsque l'on a des idées de la conviction,
06:45
et j'ai le sentiment, moi, qu'il parle en étant incarné et habité, en fait, de sa politique, ça fonctionne.
06:51
Alors, Joseph, vous êtes circonstruit ou pas ?
06:52
Je pense que l'élection de Bruno Retailleau, d'abord, nous apprend de la modestie.
06:57
Pourquoi ? Parce que, en fait, je me rappelle que lorsque Bruno Retailleau a été défait par Éric Ciotti,
07:03
je vois, y compris, évidemment, peut-être pas ici, maintenant, mais sur ce plateau, voilà,
07:09
en disant, bon, bah, de toute façon, Retailleau, c'est la vieille droite, on le range, et puis c'est terminé.
07:14
Et puis, de toute façon, on entendait, j'ai entendu, évidemment, en permanence,
07:17
je me suis opposé à ça, la droite est morte, la droite est morte.
07:21
Sauf que, quand vous êtes journaliste politique, aussi, vous vous intéressez aux partiels.
07:26
Et les partiels montrent, je suis désolé, que, objectifiquement, c'est beaucoup plus compliqué que ça.
07:32
Voilà, alors, évidemment, il y a parfois des alliances tactiques, entre les macronismes,
07:36
et je te passe ceci, cette circonscription, je t'en passe une autre, et tout,
07:40
mais, objectivement, le groupe LR est, aujourd'hui, plus nombreux qu'il ne l'était,
07:46
qu'il ne l'était il y a quelques mois, tout simplement.
07:49
Donc, ça, c'est un élément important.
07:51
L'élément Retailleau, maintenant, on découvre Retailleau, mais, par rapport à Macron, c'est simple,
07:57
il a l'opposition la plus franche, la plus terrible qu'il puisse y avoir,
08:02
avec Emmanuel Macron, qui n'est pas sur tel ou tel point du programme.
08:05
Cette opposition, c'est la cohérence.
08:07
C'est la cohérence, tout simplement.
08:08
Mais il faut la manifester pour l'exprimer, cette opposition.
08:11
C'est-à-dire que, Bruno Retailleau, depuis, évidemment, son soutien à Fignon,
08:16
depuis Force républicaine, on peut lui faire tous les défauts du monde,
08:20
sauf celui de l'insincérité, et sauf celui de l'incohérence.
08:23
Il est cohérent. Il est cohérent, c'est absolument évident, face à un adversaire.
08:28
Et il suffit qu'il continue et qu'il continue à parler, pour que, bien sûr, on voit la différence.
08:32
Par contre, il y avait plus de sièges LR avant la dissolution, à l'Assemblée nationale.
08:35
Oui, après, c'est vrai.
08:36
Ils ont perdu 20 sièges, à la dissolution.
08:38
On pensait qu'ils allaient en perdre beaucoup plus, mais...
08:40
Non, ce que je dis, c'est qu'ils ont gagné aux partiels récentes.
08:42
D'accord. Et la fille vient de prendre une rousse dans une partielle.
08:44
Voilà, absolument.
08:45
Et ça, c'est des éléments...
08:46
Une rousse électorale, oui.
08:48
Oui, c'est important, parce qu'elle passait de mémoire, elle a dû passer de presque 30 à 9 et quelques.
08:57
Donc, il y a une chute, et ça, c'est intéressant.
08:59
C'est ce que vous dites très souvent sur LFI.
09:00
Ce qui est marquant, c'est les adhésions LR.
09:03
Il y a eu une vraie poussée des adhésions.
09:05
Ils ont passé la barre des 100 000, ils sont autour de 120 000 adhésions.
09:09
C'est très important, ça.
09:10
La droite, elle n'est jamais menthe.
09:13
C'est-à-dire qu'on a bien commenté ici les municipales, mais on ne voulait pas vraiment commenter les municipales.
09:18
On disait, voilà, il y a tel ou tel point qui est spectaculaire.
09:22
C'est vrai, l'arrivée des écologistes, c'était autre.
09:23
Mais si on regardait quand même de près, le maillage électoral des LR est extrêmement fort.
09:28
Et je termine sur ce point pour me tourner vers Edouard Philippe.
09:33
Je crois que toute la stratégie de Montreux de Retailleau, c'est pour ça qu'il a parlé des municipales, va consister à vider Horizon.
09:40
Et ça, déjà, je peux vous le dire, pour le connaître, dans l'ouest de la France, Méné-Noir, ça ou autre,
09:48
les maires qui jusqu'à présent étaient Horizon se tournent aujourd'hui vers Bruno Retailleau.
09:52
Ils sont dans la salle d'attente, ils vont dans l'antichamps.
09:57
Et ce week-end, discours ultra-offensif, comme par hasard, d'Edouard Philippe à Marseille, à droite.
10:03
Toutes sur l'immigration, sur les questions sécuritaires.
10:06
Donc, le duel, et là, je suis 100% d'accord avec Eugénie et Joseph,
10:10
le duel Philippe-Retailleau a commencé ce week-end.
10:15
Et il a beaucoup plus de doigts à aller chercher, à mon avis, du côté d'Edouard Philippe que du côté du RN,
10:20
où c'est un vote de conviction bien accroché, que ce soit Marine Le Pen ou Bardella.
10:24
Ce sera un peu la configuration de la primaire Juppé-Fillon de 2017.
10:29
On sait comment ça s'est terminé, mais avec ses deux droites,
10:31
même si, verbalement, Edouard Philippe sur l'immigration,
10:35
il est quand même très ambigu sur l'islamisme, on l'avait vu, avec le voile dans le sport.
10:39
Si vous avez compris ce qu'il a dit à Sonia Mabon, personne n'a jamais compris ce qu'il avait dit à Sonia Mabon.
10:42
C'était très ambigu et il s'est tranché avec la clarté de...
10:44
Oui, mais peut-être, attendons que... Il faut faire ça avec prudence, du centrisme.
10:49
J'aime beaucoup votre analyse de la situation politique.
10:51
C'est vrai, c'est des sujets où il est moins franc que Bruno Rotaillot,
10:56
qui est très clair sur ses questions de laïcité, de lutte contre l'islamisme et sur les questions sécuritaires.
11:02
Et voir le discours d'Edouard Philippe aussi franc sur ces questions-là à quelques heures de la victoire de Bruno Rotaillot,
11:07
évidemment, politiquement, c'est intéressant.
11:09
C'est très savoureux. On fait une pause, on se retrouve dans un instant dans Punchline, sur CNews et sur Europe 1.
11:13
On reparlera évidemment de cette victoire de Bruno Rotaillot dans un instant.
11:16
On parlera aussi de la sécurité, parce que c'est quand même son job numéro 1 à Bruno Rotaillot,
11:20
c'est de faire en sorte qu'on vive en sécurité dans nos vies.
11:22
Et évidemment, c'est loin d'être le cas. A tout de suite.
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