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«Il faut qu’on permette une immigration de travail qui réponde aux besoins des Français», estime Charles Rodwell
Europe 1
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10/04/2025
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00:00
Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:04
Et avec mes camarades de la première heure, bonsoir Jules Torres,
00:07
bonsoir Pierre de Villeneuve, journaliste politique au journal du dimanche,
00:09
bonsoir Sébastien Ligné, bonsoir, chef du service politique de Valeurs Actuelles,
00:14
bonsoir Charles Auduel, bonsoir, merci d'être avec nous,
00:17
vous êtes à la tête de la commission d'enquête visant à lever les freins de la réindustrialisation de la France,
00:22
on va y venir dans un instant.
00:24
D'abord, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a présenté son bilan,
00:29
aujourd'hui Place Beauvau avec effectivement plus d'interpellations, moins de régularisation,
00:34
mais il le dit lui-même, c'est un gouvernement de coalition
00:40
et il n'a pas peut-être les rênes jusqu'au bout de ce qu'il voudrait faire.
00:46
Est-ce que c'est inquiétant pour un ministre de l'Intérieur ?
00:48
D'autant que Laurent Wauquiez lui fait rappeler encore aujourd'hui par tweet
00:52
disant que c'était déroutant d'avoir un ministre de l'Intérieur
00:56
qui n'a pas les pleins pouvoirs de son ministère.
00:59
On sent effectivement que la guerre fait rage chez les LR.
01:03
Je crois d'ailleurs que Laurent Wauquiez a fait la promesse
01:05
qu'il allait travailler main dans la main avec Bruno Retailleau
01:07
s'il était élu président républicain et s'est mal embarqué.
01:10
Mais ça, ce sont leurs affaires internes.
01:12
Non, moi je considère que le bilan de Bruno Retailleau
01:14
pour ses six premiers mois à la tête de Beauvau
01:18
est très prometteur, il est même solide
01:21
et nous sommes en plein soutien de son action.
01:23
Je vous prends quelques exemples.
01:24
Nous, c'est qui ?
01:25
Le socle commun.
01:27
Les députés qui se contiennent.
01:28
Tout le monde.
01:29
Vous pensez à qui ?
01:30
Je ne sais pas, je vous demande si tout le monde est aligné.
01:33
Ce qui est certain, c'est qu'il n'est pas soutenu par le Rassemblement National.
01:36
Non, mais je parle de la coalition.
01:38
Ce qui est sûr, c'est que le Rassemblement National n'aurait pas censuré.
01:39
Vous savez bien que dans le gouvernement, il y a une ligne ferme et une ligne douce.
01:43
Je vous laisse faire les questions et les réponses.
01:45
Non, mais ce n'est pas ça, c'est factuel.
01:47
Jean-Noël Barraud, au Grand Rendez-vous,
01:49
c'était la première fois qu'il l'a dit au Grand Rendez-vous d'Europe 1,
01:52
il dit qu'il y avait une ligne de fermeté qui ne marchait pas,
01:56
par exemple avec l'Algérie, qu'il fallait employer la méthode douce
01:59
et visiblement, il a eu gain de cause à ce stade.
02:02
Quels sont les textes sur lesquels il a manqué les voies du socle commun ?
02:05
Mais attendez, c'est une interro, vous êtes responsable péritique, je suis journaliste.
02:08
Mais puisque vous faites la réponse, je fais la question.
02:09
Bah non, faites les réponses.
02:11
Donc moi je vous dis simplement,
02:12
sur tous les textes qui ont été présentés à l'Assemblée Nationale
02:15
par le ministre de l'Intérieur,
02:17
d'ailleurs souvent en tandem avec le garde des Sceaux Gérald Darmanin,
02:20
il n'a pas manqué une voie du socle commun,
02:21
je pense notamment aux textes sur le narcotrafic.
02:24
Il ne vous a pas échappé Charles-Hordouel
02:25
qu'on n'a pas eu des textes révolutionnaires non plus
02:27
ces dernières semaines à l'Assemblée Nationale.
02:29
Donc Bruno Rétaline, depuis six mois, nous sommes d'accord.
02:31
Entre les deux, il y a eu la motion de censure,
02:34
qui a été votée par le Rassemblement National,
02:36
qui a censuré le gouvernement,
02:37
qui proposait la politique migratoire la plus à droite de la Ve République.
02:40
On n'a toujours pas expliqué pourquoi il l'avait faite d'ailleurs.
02:43
Donc sur six mois,
02:45
révolutionner la politique pénale de lutte contre le narcotrafic,
02:48
c'est plutôt un bon bilan.
02:49
Mais est-ce qu'il faut la remise en cause de la circulaire valse ?
02:52
C'est plutôt un bon bilan.
02:53
Non mais attendez,
02:54
c'est...
02:55
Vous nous demandez d'opiner du chef ou pas ?
02:58
Non mais moi je vous réponds, vous m'interrogez,
02:59
moi je considère que c'est plutôt un bon bilan,
03:01
et je vous cite des exemples.
03:02
Premier exemple,
03:03
la loi sur le narcotrafic qui révolutionne la politique pénale,
03:05
de lutte contre le narcotrafic,
03:07
mais c'est vrai.
03:07
Elle ne révolutionne pas la justice pénale.
03:11
Je vous prends un exemple.
03:12
Le seul exemple de comparaison que nous avons,
03:14
c'est la création du parquet national antiterroriste
03:16
pour lutter contre le terrorisme.
03:18
Ce que je constate,
03:19
c'est que jusqu'en 2015,
03:20
vous aviez des vagues d'attentats
03:22
contre le territoire français,
03:24
qui ont d'ailleurs fait des centaines de morts sur notre territoire.
03:26
Et à partir de la transformation de la politique pénale,
03:29
de la transformation de notre politique de renseignement
03:31
pour la lutte contre l'antiterrorisme,
03:33
ce que je constate,
03:34
c'est que nous n'avons eu plus,
03:35
et je touche du bois,
03:36
plus d'attentats de grande ampleur.
03:39
Je tiens juste à le souligner,
03:41
parce qu'il y a des hommes et des femmes
03:42
qui se battent tous les jours
03:43
pour assurer notre sécurité contre le terrorisme.
03:46
On a voulu limiter ce modèle.
03:47
Ils se battaient avant aussi.
03:48
Les services de renseignement sont sur les dents depuis des années.
03:51
La seule chose que je dis, Pierre Devineau,
03:52
c'est que la politique qui a fonctionné pour le moment,
03:56
pour lutter contre le terrorisme,
03:58
on veut la dupliquer,
03:59
évidemment avec ses spécificités,
04:01
pour lutter contre le narcotrafic
04:03
qui est devenu un danger vital pour notre nation.
04:06
Et donc à partir du moment où on vote une loi aussi importante
04:09
pour bâtir un parquet national dédié,
04:11
des magistrats dédiés,
04:12
une chaîne pénale dédiée,
04:15
une chaîne de renseignement et de sécurité dédiée
04:17
pour lutter contre le narcotrafic,
04:18
je pense qu'on peut tous se réjouir de manière unanime
04:20
de voir que ce gouvernement, honnêtement,
04:23
avance pour assurer la sécurité des gens.
04:24
On sent bien qu'il y a une volonté de s'auto-congratuler
04:27
un petit peu au sein du Socle commun
04:29
parce que c'est une victoire
04:30
et on ne peut pas dire qu'il y a eu énormément de victoires
04:31
ces derniers mois
04:32
et donc grand bien vous fasse.
04:34
Mais est-ce que selon vous,
04:35
est-ce qu'il faut aller plus loin selon vous ?
04:38
On prend par exemple l'immigration,
04:40
priorité régalienne numéro un des Français depuis dix ans.
04:43
Bruno Retailleau le dit,
04:44
il assume d'ailleurs,
04:45
il dit évidemment qu'il y a une voie réglementaire
04:47
qui est empruntée
04:48
et on arrive à proposer des résultats
04:51
par la voie réglementaire,
04:51
mais il sait pertinemment que sans une grande loi immigration
04:54
qui remettrait tout sur la table,
04:56
les résultats concrets n'arriveraient pas.
04:59
Est-ce que selon vous,
04:59
il faut une grande loi immigration,
05:01
une nouvelle après la loi d'Armanin ?
05:04
Et est-ce que vous pensez,
05:05
pour reprendre la question de Pierre de Villeneau tout à l'heure,
05:07
est-ce que vous pensez que sur une grande loi immigration
05:09
extrêmement ferme,
05:10
le Socle commun parlera d'une seule et même voie ?
05:13
Je réponds en deux temps.
05:16
Vous avez d'abord souligné que je m'autocongratulais,
05:18
non, la seule chose,
05:18
c'est que je suis très fier d'avoir voté cette loi
05:20
qui va permettre de changer la vie
05:22
de centaines de concitoyens sur ma circonscription
05:25
qui souffrent quotidiennement
05:26
à cause de la gangrène du narcotrafic.
05:28
Il y a seulement quelques semaines,
05:30
il y a eu une attaque entre deux gangs
05:31
qui se sont tirées dessus à la clashnikov,
05:34
qui ont failli tuer une petite fille
05:35
qui était en train de réviser ses devoirs
05:36
parce que la balle est passée à moins d'un mètre de sa tête.
05:39
Donc, quand j'entends cette mère qui me dit
05:41
« Monsieur le député, j'aimerais bien que vous votiez des lois
05:43
qui me permettent de renforcer la sécurité
05:45
pour éviter que ma fille tombe sous la balle d'une clashnikov »,
05:48
eh bien, moi, je suis très heureux d'avoir voté une loi
05:50
qui permet de créer un parquet national dédié
05:52
pour lutter contre le narcotrafic.
05:54
La question de Sébastien, c'est « Est-ce que c'est suffisant ? »
05:56
Non, mais je m'autocongratule,
05:57
non pas pour des choses politiciennes,
05:58
mais parce que je vois très concrètement tous les jours
06:00
le sujet sur la question de Sébastien.
06:03
La deuxième chose sur la loi immigration,
06:05
en fait, un, la loi immigration
06:07
que nous venons de voter en 2023
06:08
est un grand succès politique
06:10
qui est incomplet
06:11
parce qu'il y a une partie des articles
06:12
qui ont été censurés pour vise de forme
06:14
par le conseiller constitutionnel,
06:15
mais ce qui a déjà été adopté
06:16
va vraiment dans le bon sens.
06:17
On voit d'ailleurs que les décisions
06:19
qui ont été prises par Gérald Darmanin
06:20
puis Bruno Rétaillot
06:21
par voie réglementaire, par décret,
06:24
sont permises justement par cette loi immigration.
06:26
Le deuxième sujet,
06:27
si je peux avoir une minute sur ce thème,
06:29
on a voté...
06:29
C'est vous qui êtes pressé, c'est pas moi.
06:30
On a voté 30 lois immigration en 30 ans.
06:34
Et pourtant, il y a 78% des Français
06:36
qui considèrent qu'on n'a pas fait le boulot.
06:40
Moi, je pense, mais mon avis personnel,
06:42
c'est parce que nous n'avons pas donné de vision
06:43
à ces lois, à ces politiques,
06:45
et donc qu'elles sont, pour beaucoup d'entre elles,
06:47
sur ces dents d'analysés, inefficaces.
06:49
On peut déplorer ce que dit l'extrême-gauche,
06:51
on peut déplorer aussi ce que dit
06:52
le Rassemblement national,
06:53
mais l'immense atout que l'un et l'autre ont,
06:55
c'est qu'ils ont un discours très clair
06:56
sur l'immigration.
06:57
Il y en a un qui vous dit
06:58
que je veux une immigration de masse
07:00
pour créoliser la France.
07:01
C'est ce que vous dit Jean-Luc Mélenchon.
07:02
Ce que vous dit le Rassemblement national,
07:05
ou ses alliés,
07:07
je veux une immigration zéro ou proche de zéro
07:09
pour éviter le grand remplacement.
07:11
On peut être pour, on peut être contre,
07:12
mais ce sont deux visions qui sont très claires
07:13
sur l'immigration.
07:15
Moi, je ne sais pas quelle est la nôtre.
07:17
C'est comme un problème.
07:18
Non, non, mais ce que je dis,
07:18
parce qu'on a des désaccords
07:19
au sein du socle commun.
07:22
C'est évident.
07:22
Il y aurait des désaccords
07:23
au sein du socle commun.
07:24
Et par ailleurs, ces désaccords
07:25
intervenaient même pendant la loi d'Armandan.
07:27
Souvenez-vous, M. Rousseau,
07:28
Mme Rotaillot,
07:30
avait menacé de démissionner.
07:31
M. Rousseau, lui, avait même démissionné.
07:33
Il est où, M. Rousseau, maintenant ?
07:33
M. Rousseau, il est au NFP.
07:34
Mme Rotaillot ne va pas partir toujours.
07:36
La clarification est faite.
07:37
Le gouvernement,
07:37
mais la clarification, elle n'est pas faite.
07:39
Donc moi, ce que je vous dis sur ce sujet-là,
07:40
et c'est tout le travail qu'on mène
07:41
en interne chez nous,
07:43
c'est définir notre doctrine.
07:44
Et moi, la doctrine que je propose
07:45
au socle commun,
07:47
il y a qu'il faut qu'on parte
07:48
sur un principe
07:49
qui est l'immigration choisie,
07:50
massivement réduite,
07:51
fondée uniquement sur le travail
07:53
pour répondre aux besoins des Français.
07:54
Est-ce qu'il y a trop d'immigration en France ?
07:55
M. Rousseau, bien sûr.
07:56
Les flux sont insoutenables aujourd'hui.
07:58
Mais moi, je dis aussi
07:58
qu'au-delà des flux qui sont insoutenables,
08:01
500 000 personnes qui rentrent au bas mou
08:02
chaque année sur le territoire français,
08:04
c'est trop.
08:04
Mais en même temps,
08:05
à chaque fois que je vais visiter un hôpital,
08:07
un EHPAD,
08:08
un laboratoire,
08:09
une entreprise,
08:10
je constate qu'il y a beaucoup de gens
08:11
qui sont étrangers,
08:12
ou qui sont fils et filles d'étrangers,
08:14
qui contribuent à notre économie,
08:15
à nos services publics.
08:16
Donc moi, la seule chose que je dis,
08:18
c'est qu'il faut qu'on
08:18
permette une immigration de travail
08:21
qui réponde aux besoins des Français.
08:22
Mais il faut une nouvelle loi ?
08:23
Il faut une nouvelle loi ou non ?
08:24
Laissez-moi juste finir.
08:25
Et en même temps,
08:26
qu'il faut qu'on assume
08:26
d'assécher les autres voies d'immigration.
08:28
Les autres voies d'immigration,
08:29
c'est quoi ?
08:29
C'est l'immigration irrégulière,
08:31
c'est l'immigration médicale,
08:33
c'est le regroupement familial.
08:34
Je pense qu'il faut un moratoire
08:35
sur le regroupement familial
08:36
pour en redéfinir les règles.
08:37
Donc il faut une loi,
08:38
puisque par voie réglementaire,
08:39
par principe,
08:40
on ne peut pas faire tout cela
08:41
simplement par la voie réglementaire.
08:42
Là où je viens,
08:43
c'est qu'à partir du moment
08:44
où vous définissez un principe,
08:46
un objectif politique,
08:47
une doctrine politique,
08:48
derrière,
08:49
vous pouvez décliner vos lois.
08:50
Il ne faut pas partir du principe
08:51
parce qu'il faut une loi
08:51
et une pas-loi.
08:52
D'abord, il faut définir
08:53
ce que vous voulez,
08:54
quel est le principe
08:55
de la politique
08:55
que vous voulez porter,
08:56
et ensuite, derrière,
08:57
il faut juste voir
08:58
s'il faut des lois
08:58
ou pas des lois.
08:59
Sur les sujets que je vous propose,
09:01
il faut effectivement
09:02
des lois sur les objectifs
09:04
qu'il faut atteindre,
09:05
notamment sur le volet médical
09:06
et notamment sur le volet
09:07
du regroupement familial.
09:08
Le travail parlementaire continue,
09:09
vous en êtes l'exemple,
09:10
vous devez partir, je sais,
09:12
malheureusement,
09:12
on aurait bien voulu
09:13
poursuivre la discussion avec vous,
09:14
mais c'est comme ça,
09:15
19h28, vous reviendrez.
09:16
Je vous remercie beaucoup à vous.
09:16
Charles Rodouel,
09:17
invité d'Europe un soir.
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