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«Les codes des réseaux sociaux ont pénétré l’Assemblée nationale», estime Yann Algan
Europe 1
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16/01/2025
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00:00
Europe 1 Soir, 19h21, Pierre de Villeneuve.
00:04
Avec à mes côtés Jules Torres, bonsoir, journaliste politique au JDD, bonsoir Jean-Michel Salvatore,
00:09
bonsoir Pierre, chroniqueur politique, bonsoir à vous Yann Elgand,
00:14
bonsoir, et merci d'être avec nous, vous êtes professeur d'économie à HEC
00:17
et vous êtes co-auteur de cette note qui est intitulée
00:21
« La fièvre parlementaire, ce monde où l'on cache colère, polarisation et politique ».
00:26
TikTok à l'Assemblée nationale, c'est publié par le CEPREMAP,
00:31
le Centre pour la Recherche Économique et ses Applications.
00:34
Alors concrètement, vous vous êtes penché sur ce monde assez étonnant
00:41
que sont les députés dans l'arène parlementaire qui ont dû s'adapter
00:45
et qui sont très différents des députés sous Charles de Gaulle et sous François Mitterrand.
00:51
Pourquoi ? Parce que d'un côté il y a les réseaux sociaux
00:53
et donc c'est une forme de politique spectacle,
00:57
mais qui dit spectacle dit également émotion.
01:00
Tout à fait, donc c'est une étude jointe avec Thomas Renaud et Hugo Subtil
01:05
et nous avons étudié grâce à l'intelligence artificielle
01:10
deux millions de discours entre 2007 et 2024.
01:14
Il y a plein de graphiques d'ailleurs.
01:15
Voilà, soit vraiment le passage entre l'ancien monde et le nouveau monde.
01:19
Et on a trois grands enseignements dans cette étude.
01:23
La première, c'est que la rhétorique émotionnelle a explosé surtout depuis 2017
01:29
et encore plus en 2022.
01:32
Et dans cette rhétorique émotionnelle domine surtout la colère.
01:36
Et quand je parle de rhétorique émotionnelle,
01:37
c'est une rhétorique qui fait appel aux émotions,
01:40
au détriment de débats fondés sur des faits, sur des arguments, sur de la raison.
01:46
Et ça, il y a un côté vraiment saisissant dans cet os.
01:49
Les débats sont moins chiants, entre guillemets, mais ils sont plus fake.
01:52
C'est-à-dire que cette colère...
01:54
Vous dites d'ailleurs que LFI et RN sont deux colères qui s'affrontent,
01:58
mais les évolutions sont opposées.
02:00
C'est-à-dire qu'on mime.
02:02
C'est une sorte d'acteur studio.
02:04
Et évidemment, le fond disparaît comme avant.
02:07
On avait effectivement des débats sur le fond qui n'existent plus.
02:11
Oui, tout à fait.
02:11
Donc, ce qui est saisissant, c'est effectivement la place de la colère,
02:15
surtout du côté des bandes LFI et du RN.
02:17
75% des émotions sont dominées par la colère.
02:21
Les évolutions sont disjointes.
02:23
Le RN est dans une stratégie, en particulier depuis le 22,
02:27
beaucoup plus de normalisation, ce qu'on appelle la stratégie de la cravate,
02:32
alors que LFI continue dans une progression assez vertigineuse,
02:36
ce qui est fidèle à l'esprit de conflictualisation assumée
02:39
par Jean-Luc Mélenchon en lien avec Chantal Mouffe.
02:44
Alors après, la question que vous posez,
02:47
est-ce que cette colère est légitime ?
02:49
Elle est juste là pour traduire une colère des Français ?
02:52
C'est un constat que je fais, parce qu'avec Jules Torres qui est là aussi,
02:56
et quelques autres journalistes politiques,
02:58
on constate quand même qu'il y a quand même moins de fond et plus de...
03:03
Vous rigolez, mais c'est le cas.
03:06
Il y a quand même moins de fond et il y a plus de...
03:08
Voilà, on essaie de se mettre en scène.
03:10
Il n'y a qu'à voir d'ailleurs...
03:12
C'est une baisse du niveau global.
03:13
Non, mais il n'y a qu'à voir le nombre de députés
03:16
quand on regarde des séances au Parlement,
03:18
ou quand on y va justement,
03:20
les nombres qui se filment,
03:22
ou qui sont sur leur téléphone portable,
03:24
et qui ne sont absolument pas en train de suivre
03:26
la déclaration de politique générale,
03:28
qui sont en train de regarder combien de followers
03:30
ils ont sur leur compte Instagram.
03:32
C'est vraiment...
03:34
C'est le but de cette étude,
03:36
c'est d'objectiver ce que beaucoup de personnes ressentent.
03:39
Lorsque vous êtes un peu au perchoir,
03:41
et vous voyez, vous n'entendez même plus ce qui se dit dans un certain domaine,
03:45
essayez d'objectiver,
03:47
et de traduire cela vraiment en données.
03:49
Et effectivement,
03:51
il y a un côté un peu
03:53
catch et réseaux sociaux,
03:56
c'est un peu le grand enseignement de cette étude,
03:59
c'est dire que les codes des réseaux sociaux
04:02
ont pénétré l'Assemblée.
04:05
Qu'il y ait des débats contradictoires,
04:08
ça a toujours été le cas,
04:10
que l'Assemblée ait un côté spectaculaire,
04:12
ça a été le cas lors de la Troisième République,
04:14
de la Quatrième, de la Cinquième République.
04:16
Sauf qu'auparavant, les députés
04:18
parlaient aux autres députés, ou alors parlaient aux journalistes.
04:20
Et face aux journalistes, aux journalistes d'Europe 1 par exemple,
04:23
il fallait quand même prouver qu'on était un bon député,
04:25
on avait bossé son dossier,
04:27
on était basé sur des chiffres.
04:29
Là maintenant, à partir de l'analyse de la durée des discours,
04:33
ou du fait qu'effectivement on trouve
04:35
dans les comptes rendus que des députés
04:37
recommencent plusieurs fois une même prise,
04:40
disent plusieurs fois la même chose,
04:42
mais à des amendements différents,
04:43
et lorsque d'autres députés leur disent
04:45
mais ce n'est pas possible,
04:46
ils se retournent en disant
04:47
mais ma première prise était mauvaise.
04:48
Donc on voit bien que là,
04:50
le théâtre est toujours là,
04:52
mais c'est le public qui a changé.
04:55
Le public maintenant,
04:57
c'est celui des followers sur les réseaux sociaux,
04:59
avec tous les effets pervers des réseaux sociaux
05:01
sur la polarisation des discours.
05:03
Jean-Michel Salvatore,
05:04
qui se souvient de la Quatrième République.
05:06
Je ne te raterai pas Pierre.
05:10
Non mais moi je trouve que
05:12
c'est l'arrivée de la télévision
05:14
qui a changé les choses au Parlement,
05:17
parce que même lorsqu'il n'y avait pas encore les réseaux sociaux,
05:19
lorsqu'il y avait les questions au gouvernement
05:22
qui étaient télévisées,
05:23
on voyait qu'il y avait un véritable biais
05:25
et qu'il y avait énormément de députés
05:27
qui ne venaient jamais en séance,
05:29
mais qui venaient toujours
05:30
lorsqu'il y avait des questions au gouvernement
05:32
et qui essayaient toujours de poser leurs questions
05:34
pour que dans leur circonscription
05:36
ou dans leur parti,
05:38
on les remarque
05:39
et ils fassent la démonstration de leur utilité.
05:41
Et donc moi je me pose une question
05:43
qui est peut-être un petit peu anachronique,
05:45
mais qui est de dire,
05:46
mais au fond,
05:47
est-ce qu'on ne pourrait pas interdire
05:49
les caméras et les images
05:51
dans les hémicycles,
05:53
de même qu'on le fait dans les tribunaux
05:55
d'une certaine façon,
05:56
parce que ça trouble la sérénité
05:58
des débats ?
05:59
Est-ce que ce n'est pas une solution ça ?
06:01
Après tout,
06:03
on interdit bien les portables dans les lycées.
06:06
Alors,
06:07
nous on est dans le diagnostic,
06:09
vous vous apportez les solutions.
06:11
Ça, ça veut dire que ce n'est pas un bon moment
06:13
à cette question.
06:14
C'est une belle réponse de Ben !
06:16
Sur l'émotion !
06:18
Non, mais en revanche,
06:19
je veux bien apporter quelques éléments de réponse.
06:21
Tout d'abord, vous avez tout à fait raison,
06:23
oui, bien sûr,
06:24
depuis que c'est filmé,
06:25
vous avez une mentée en émotion
06:27
et on le constate,
06:28
c'est un peu l'intérêt de cette étude,
06:30
c'est de remonter quand même jusqu'à 2007.
06:32
On peut remonter,
06:33
même depuis le début de la Ve République
06:35
et on voit bien que quand vous êtes dans l'opposition,
06:37
en particulier,
06:38
vous montez un peu en passion.
06:40
En revanche,
06:41
nous, on constate vraiment,
06:43
avec cette nouvelle génération
06:44
et surtout depuis 2017-2022,
06:46
une explosion de cette émotion,
06:48
même lorsque vous n'êtes pas dans l'émotion,
06:50
comme si les passions étaient un peu contagieuses.
06:53
Mais à l'époque de Jaurès,
06:54
Clémenceau,
06:55
est-ce qu'il n'y avait pas ça également ?
06:57
Oui.
06:58
Il y avait quand même des morceaux de bravoure !
07:00
Il y avait des morceaux de bravoure,
07:02
mais ces morceaux de bravoure étaient quand même...
07:04
Vous deviez montrer votre maîtrise des dossiers.
07:07
C'était fondé sur des faits,
07:09
sur des arguments,
07:10
sur de la rationalité.
07:11
Et c'est ça, selon nous,
07:12
qui a changé.
07:13
Donc on ne remet pas en cause
07:15
le fait que ça a toujours été un peu
07:17
une assemblée spectacle
07:19
et une assemblée qui pouvait être violente
07:21
quand même auparavant.
07:23
Mais en revanche,
07:24
l'intrusion vraiment des codes sociaux
07:26
introduit plusieurs biais.
07:29
Vous avez un biais sur le raccourcissement
07:31
de la prise de parole.
07:32
Vous êtes très loin des grands discours de tribun.
07:34
Maintenant, vous êtes sur des formats vidéo.
07:38
Vous êtes aussi sur des attaques
07:41
des autres députés
07:42
plutôt que de développer vos propres idées.
07:44
On montre quand même que
07:45
maintenant la moitié des interventions
07:47
sont des interruptions.
07:48
Et comme dans tout bon spectacle,
07:50
vous avez en plus à chaque fois
07:51
des applaudissements, des huées.
07:52
Et ça, ça a aussi explosé au cours de la période.
07:54
Vous avez un graphique
07:55
qui est très intéressant dans votre page.
07:57
C'est le nombre moyen de mots.
07:59
Alors ça, c'est assassin
08:01
parce qu'il y a effectivement
08:02
le graphique de la droite, de la gauche,
08:04
du centre, de LFI et du RN.
08:07
Et alors, le nombre moyen de mots le plus nul,
08:11
c'est celui de la droite.
08:13
C'est-à-dire qu'on est à un tout petit peu
08:15
plus de 200 en 2007.
08:17
C'est assez constant.
08:18
Et puis ça chute lamentablement
08:20
jusqu'en 2024.
08:22
On est à peine au-dessus de 150.
08:24
Tandis que LFI,
08:27
du coup, on est au-dessus de 250.
08:30
On arrive à 300.
08:32
Le RN, il y a aussi une espèce de courbe,
08:34
une montée en 2021.
08:36
Après, c'est aussi, j'imagine,
08:38
au nombre de discours.
08:40
C'est parce que LFI a gagné
08:42
dernièrement aux élections de 2022
08:45
et qu'ils ont été beaucoup plus nombreux dans l'hémicycle.
08:47
Tandis que la droite, c'était quasiment pas.
08:50
Oui, il y a plusieurs façons
08:51
à interpréter ce graphique.
08:53
Il y a une question un peu du nombre de députés.
08:55
Il y a aussi des interruptions.
08:57
Effectivement, lorsque vous êtes
08:59
interrompu fréquemment,
09:01
c'est beaucoup plus difficile de développer
09:03
un argumentaire long.
09:05
Mais nous, ça nous semble être
09:07
aussi vraiment le témoignage
09:09
du fait qu'il est, de toute façon,
09:11
très difficile maintenant de développer
09:13
un discours quand vous le voulez.
09:14
Un exemple vraiment symptomatique,
09:16
ça a été l'intervention de Dupond-Moretti.
09:18
C'était son...
09:20
Vous avez là, vraiment, le baron...
09:22
Pas le baron, excusez-moi.
09:24
Le maître des barons.
09:26
Capable et qui commence...
09:28
Et les questions fusent à droite,
09:30
fusent à gauche, avant même
09:32
qu'il prenne la parole.
09:33
A la fin, il se tend vers Richard Ferrand
09:35
en disant, mais que faire ?
09:36
Et Richard Ferrand dit, il n'y a rien à faire,
09:38
il faut juste souffrir en silence.
09:39
Et il arrête son discours.
09:40
Mais c'est parce que, avant,
09:42
l'Assemblée nationale était un lieu
09:44
où on avait des débats,
09:45
où il fallait de la contradiction.
09:47
Maintenant, ce ne sont que des
09:49
joutes verbales et encore,
09:51
c'est même plus que ça.
09:52
Ce sont des ennemis
09:53
qui se parlent par médias interposés,
09:55
par hémicycles interposés,
09:57
et qui n'écoutent même pas
09:59
la réponse qu'on va leur apporter.
10:01
Ils sont juste là pour faire
10:02
leur séquence TikTok, en fin de compte.
10:04
Vous avez tout à fait raison.
10:05
Il y a ceux qui découpent aussi.
10:07
Et c'est ce qu'on essaie vraiment de...
10:09
Et c'est ce qu'on essaie vraiment
10:11
de souligner en disant,
10:13
au moment même où l'Assemblée
10:15
devrait retrouver sa légitimité,
10:17
son pouvoir, on est dans une situation
10:19
de majorité relative.
10:21
D'ailleurs, c'est pour ça qu'on dit que la proportionnelle
10:23
ne serait pas nécessairement la solution,
10:25
tant que vous avez un peu une fèvre des passions.
10:27
À ce moment-là même,
10:29
finalement, les députés ne s'en saisissent pas
10:31
pour essayer de convaincre les autres.
10:33
Ils considèrent les autres non plus
10:35
comme des contradicteurs, mais comme des ennemis.
10:37
Et c'est justement tous les effets pervers des effets sociaux
10:39
d'avoir cette polarisation.
10:41
Vous êtes donc trois
10:43
à avoir travaillé là-dessus.
10:45
Vous-même, prof à HEC,
10:47
Thomas Renaud qui est prof à Paris 1,
10:49
qui est prof à l'université de Zurich
10:51
en Suisse.
10:53
Est-ce que vous avez eu des réactions
10:55
suite à la publication de cette note ?
10:57
Alors,
10:59
cette note a été publiée sur la page
11:01
du CEPREMAP la nuit même
11:03
où elle a été publiée.
11:05
La page a eu un shutdown, a été attaquée.
11:07
C'était une cyberattaque ?
11:09
Je ne sais pas, on est en train de l'analyser,
11:11
mais je pense que ça illustre...
11:13
Attraqué ou victime de son succès ?
11:15
Après, on a eu des réactions.
11:17
On a essayé vraiment d'être équilibré
11:19
dans cette note.
11:21
Il y a eu une cyberattaque ? Vous avez été menacé ?
11:23
Non, on n'a pas été menacé, mais force est de constater
11:25
qu'on a dû réparer un site
11:27
le lendemain.
11:29
Mais en revanche,
11:31
cette note a suscité
11:33
beaucoup d'intérêt
11:35
vraiment à tous les niveaux
11:37
parce que
11:39
d'une certaine façon, c'est une situation
11:41
qui est vécue par beaucoup de personnes,
11:43
par les journalistes,
11:45
par les députés, par quiconque va à l'Assemblée.
11:47
Mais en revanche,
11:49
il manquait un peu d'objectivation
11:51
et surtout de comprendre
11:53
ce que cela voulait dire.
11:55
Pour nous, ça veut dire un vrai changement
11:57
civilisationnel. On est à l'heure
11:59
de l'électeur émotionnel,
12:01
beaucoup plus porté par ses émotions dans ses votes
12:03
que par ses idéologies ou sa classe sociale.
12:05
Et en fait,
12:07
beaucoup de politiques surfent sur ses émotions.
12:09
Merci beaucoup Yanel Gant
12:11
d'avoir été avec nous.
12:13
Tant qu'il est encore en ligne,
12:15
il faut aller le voir
12:17
parce qu'on apprend beaucoup de choses.
12:19
Merci beaucoup d'avoir été avec nous.
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