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Olivier Mevel : « Le problème numéro un, ce sont les grandes surfaces ! »
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09/07/2024
Etats généraux de l’alimentation
Catégorie
🗞
News
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00:00
Non, non, non.
00:12
Bonjour et bienvenue à tous sur la SPACE TV.
00:15
On va parler de marge,
00:17
de répartition des marges dans les filières agroalimentaires.
00:21
Est-ce qu'il est possible de mieux répartir les marges
00:24
au bénéfice des agriculteurs ?
00:25
Est-ce que les agriculteurs vont rester ?
00:28
La variable d'ajustement, pour en parler,
00:33
j'accueille Olivier Mewel. Bonjour.
00:35
Bonjour. Merci de m'accueillir sur votre plateau.
00:38
Vous êtes maître de conférence à l'Université de Bretagne-Loire
00:41
et vous êtes un spécialiste de la répartition des marges
00:44
des filières agroalimentaires.
00:46
Vous travaillez beaucoup sur ce sujet.
00:48
Vous étiez d'ailleurs candidat à l'Observatoire
00:50
de la formation des prix et des marges.
00:53
J'ai d'abord une question d'actualité.
00:56
Les états généraux de l'alimentation
00:59
se déroulent en ce moment.
01:01
Selon vous, qu'est-ce qui va ressortir
01:04
de ce processus d'échange
01:08
entre acteurs des filières alimentaires ?
01:12
Très clairement, à la suite de l'élection du président,
01:16
ce dernier avait souhaité qu'il y ait des échanges fructueux,
01:19
qu'on espère tous fructueux.
01:22
Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'aujourd'hui,
01:23
j'espère qu'il en ressortira quelque chose.
01:26
Maintenant, les échos que j'ai, n'y participant pas moi-même,
01:29
sont plutôt des échos dans lesquels, finalement,
01:32
on voit couler une eau tiède.
01:34
Une eau tiède à l'heure où un des maillons...
01:36
Vous avez parlé de variable d'ajustement,
01:38
mais c'est tout à fait exact.
01:39
À l'heure où un des maillons est dans une situation critique.
01:43
Donc quand l'eau tiède coule,
01:45
ça veut dire qu'on ne dit pas forcément tout à fait les choses.
01:49
Et je pense qu'aujourd'hui, sur les ateliers,
01:52
j'ai rien à dire sur les titres des ateliers,
01:54
qui sont tous très intéressants.
01:56
Maintenant, j'aurais aimé connaître la composition des ateliers,
01:59
savoir qui y participe, et je trouve dommage
02:01
de voir que c'est gardé, finalement, secret.
02:04
On n'a pas accès non plus aux travaux des ateliers.
02:06
Donc je peux me poser la question de savoir aujourd'hui
02:09
est-ce qu'il va ressortir une souris ou une montagne ?
02:12
Je crois plutôt qu'on ira vers quelques petites ordonnances
02:15
et quelques petits décrets, si j'en crois les bruits qui courent.
02:19
La FNSEA, récemment, s'est positionnée en disant
02:23
qu'il faut réformer la loi de modernisation de l'économie
02:27
en travaillant, en réformant la réglementation
02:32
sur les seuils de vente à perte,
02:34
sur encadrer les promotions.
02:36
Réellement, concrètement, est-ce que ce sera suffisant
02:40
pour redonner des perspectives de marge de revenus
02:44
aux agriculteurs, sincèrement ?
02:47
Non, clairement, je ne crois pas.
02:49
Aujourd'hui, on va dire que les maillons vivent
02:54
sous une grande loi organique, la loi du 4 août 2008,
02:57
dite loi de modernisation économique.
02:59
Mais cette loi de modernisation économique, elle-même,
03:02
est le fruit d'une évolution législative très ancienne.
03:06
Et si on remonte déjà à la loi du 27 décembre 1973,
03:09
dite loi Royer,
03:10
si on suit par les lois Galland, les lois Raffarin,
03:13
on a des grandes lois qui ont structuré les relations commerciales
03:17
et aboutissent à des négociations commerciales difficiles.
03:20
Donc ce n'est pas tout d'un coup 2 mesurettes
03:23
qui vont changer l'état d'esprit
03:25
d'une loi puissamment déflationniste qu'est la LME.
03:28
Moi, j'en appelle au contraire à une mise à plat
03:31
de l'ensemble, aujourd'hui, de la législation
03:35
et la reconstruction d'une législation équilibrée
03:38
dans laquelle on n'est pas un rapport de force,
03:40
parce que je vous le rappelle aujourd'hui,
03:41
qui dit rapport de force veut dire construction d'un prix faux,
03:45
parce qu'un prix n'est que le produit
03:47
de la construction d'un rapport de force.
03:48
Et dans certaines filières alimentaires,
03:50
on peut clairement se demander
03:51
si on n'a pas clairement des rapports de soumission aujourd'hui.
03:54
Mais dans ce cadre-là,
03:56
qu'est-ce qu'il faut faire concrètement
03:57
pour rééquilibrer la chaîne de valeur ?
04:02
Le problème aujourd'hui est clairement...
04:05
Le problème numéro 1, ce sont les grandes surfaces.
04:08
Aujourd'hui, les distributeurs font des chiffres d'affaires
04:10
au mètre carré en France qui sont tout simplement intolérables.
04:13
En moyenne, un hyper aujourd'hui
04:15
est sur une base de 12 000 à 15 000 euros par mètre carré.
04:18
Tant que les grandes surfaces auront ce niveau
04:20
de chiffre d'affaires au mètre carré,
04:22
ils seront dans la possibilité de dire aux éleveurs
04:24
que vous avez besoin de me vendre,
04:26
je n'ai pas besoin de vous acheter.
04:27
Tant que ce phénomène perdurera, les rapports de force seront là
04:30
et les grandes surfaces pourront se permettre, en fin de compte,
04:33
de réaliser des marges à l'achat sur les produits agricoles
04:36
et se passer de marge à la vente,
04:37
puisque la LME aujourd'hui est déflationniste
04:39
et il y a guerre des prix à la vente.
04:40
Donc il y a peu de marge à la vente.
04:42
Quand on préparait cette émission, vous me disiez
04:44
qu'il faut absolument déterminer 2 prix.
04:48
Un prix entre le producteur et son transformateur
04:52
et un autre prix entre le transformateur et le distributeur.
04:56
Il faut que tout ce monde-là se mette d'accord dès le départ
04:59
sur ces 2 prix. C'est bien ça ?
05:02
Tout à fait. En fait, aujourd'hui, vous avez d'un côté la LME.
05:05
La LME qui va agir sur les rapports
05:07
entre la coopérative et la GMS,
05:09
entre les industriels privés et la GMS,
05:12
avec ce petit jeu du prix.
05:14
Et ce petit jeu du prix qui aboutit toujours en même perdant.
05:16
La coop ou l'industriel.
05:17
Quand on voit naître les 1ers groupes agroalimentaires mondiaux
05:20
qui, aujourd'hui, ont des difficultés
05:22
dans ces négociations commerciales avec les GMS,
05:24
on mesure bien, effectivement, le rapport de force
05:27
vis-à-vis des coops.
05:28
Maintenant, pour les coopératives,
05:31
c'est pas non plus complètement facile,
05:33
parce que les coopératives se retrouvent aujourd'hui
05:34
coincées entre la LMA, la loi de modernisation agricole
05:38
et les effets de la LMA,
05:39
et confrontées également aux effets de la LME.
05:42
Et c'est là qu'on voit que le produit législatif,
05:44
aujourd'hui, est plutôt négatif.
05:46
Et il faut reconstruire ça.
05:48
Donc, d'un côté, les prix agricoles
05:50
sont le fruit de 2 négociations.
05:52
Une 1re négociation terrible
05:55
d'un point de vue commercial, en aval.
05:58
Et puis, d'un côté, quand les distributeurs ont pu dire
06:01
j'ai pas besoin de vous acheter, mais monsieur, la coopérative,
06:04
vous avez besoin de me vendre,
06:05
la coopérative s'en retourne vers les éleveurs
06:07
pour dire venez voir ici ce que j'ai décidé.
06:09
C'est ça qu'il faut changer.
06:11
Il y a quelques semaines, vous étiez candidat
06:15
à l'Observatoire de la formation des prix et des marges.
06:17
Vous n'avez pas été retenu.
06:19
Philippe Chalmin a été reconduit dans ses fonctions.
06:21
Vous aviez proposé une remise à plat
06:23
parce que vous contestez la méthode de M. Chalmin.
06:27
Vous aviez proposé une remise à plat.
06:31
Aujourd'hui, pourquoi vous n'avez pas été entendu
06:36
par le ministère de l'Agriculture,
06:38
notamment, qui a pris cette décision ?
06:42
Alors, j'ai été entendu par le ministre de l'Agriculture
06:46
et son cabinet, mais je n'ai pas été entendu
06:48
par les hauts fonctionnaires du ministère de l'Agriculture.
06:50
En étant fonctionnaire d'Etat moi-même,
06:52
enseignant-chercheur,
06:53
je pensais qu'un sujet aussi sérieux,
06:55
à savoir la nomination d'un président
06:57
de l'Observatoire des marges et des prix,
07:00
qui, quelque part, va poser un avis
07:02
sur les 15 principales filières alimentaires,
07:06
l'agri-agro-français, c'est plus de 400 milliards d'euros.
07:09
Je pensais qu'un sujet aussi sérieux
07:10
méritait un débat public.
07:12
Et j'en ai parlé avec Laurent Pinatel,
07:14
qui était également candidat,
07:15
le président de la Confédération, aujourd'hui,
07:18
et puis moi-même.
07:20
Aucun débat organisé.
07:21
Est-ce que c'est sérieux ?
07:23
Non. La réponse est non.
07:25
Maintenant, ma candidature semblait gêner une technostructure.
07:28
Je parle même d'oligarchie technocratique
07:30
au sein du ministère de l'Agriculture.
07:32
Je ne parle pas là de Stéphane Travert,
07:33
qui a eu la courtoisie de m'expliquer,
07:36
effectivement, pourquoi je ne serais pas nommé.
07:38
Et si je n'ai pas été nommé, c'est tout simplement
07:41
parce qu'on me jugeait trop proche des éleveurs.
07:44
Trop proche des éleveurs.
07:45
Or, aujourd'hui, ce sont eux qui sont...
07:48
Ce sont ces acteurs-là de la chaîne alimentaire
07:49
qui se retrouvent en difficulté.
07:51
Donc si le ministère de l'Agriculture
07:53
avait bien fait son travail, entre guillemets,
07:55
il aurait peut-être un peu mieux considéré
07:57
votre candidature ou au moins votre méthode.
08:01
Peut-être. Mais en attendant,
08:03
vous avez parlé tout à l'heure de variables d'ajustement.
08:05
Et il est vrai que mes travaux de recherche, aujourd'hui,
08:07
gênent beaucoup certains
08:09
pour qui c'est circulé, il n'y a rien à voir.
08:11
Alors, ils sont nombreux à souhaiter que ce soit circulé,
08:13
il n'y a rien à voir.
08:14
Les GNMS, certains grands industriels,
08:16
et puis, également, un certain nombre de fonctionnaires
08:18
qui n'ont pas l'intention de remettre leur méthode en cause.
08:21
Aujourd'hui, l'Observatoire des marges et des prix
08:23
produit de faux résultats.
08:25
Parce que, d'un côté, j'ai fait ma thèse de doctorat
08:28
au sein du groupe Leclerc.
08:29
Je sais très bien que le métier principal d'un distributeur,
08:32
c'est la facturologie.
08:33
C'est présenter faussement ses résultats.
08:36
Eux ne gagnent jamais d'argent, disent-ils.
08:37
Or, aujourd'hui, j'attends de Philippe Chalmin
08:40
qu'il soit capable, alors que la loi Sapin 2
08:42
lui donne des pouvoirs exorbitants,
08:44
comme celui de demander les résultats
08:48
aux entreprises industrielles,
08:49
et notamment à l'actualisme et aux distributeurs,
08:52
j'attends que Philippe Chalmin fasse respecter la loi Sapin 2
08:55
et qu'il demande à M. Beignet de publier ses résultats.
08:58
Seulement, M. Chalmin, à peine élu,
08:59
a dit qu'il était simplement un animateur
09:02
de l'Observatoire des marges et des prix.
09:04
Est-ce que c'est sérieux dans une République
09:06
où, aujourd'hui, on peut se demander s'il y a vraiment débat ?
09:09
Alors, vous n'avez pas été retenu.
09:11
Votre discours ne semble pas entendu aujourd'hui.
09:15
En attendant, il y a des démarches
09:17
qui se mettent en place localement en Bretagne, en Normandie,
09:21
d'éleveurs qui montent des filières de lait équitable.
09:26
Vous avez participé, vous, à une initiative en Normandie,
09:30
Coeur de Normandie, ça s'appelle.
09:32
Vous pouvez m'en dire 2 mots ?
09:35
En fait, je suis prof d'université,
09:37
mais d'un autre côté, j'ai un cabinet de marketing.
09:39
Et j'ai commencé comme ça, dans l'agriculture,
09:41
en proposant aux éleveurs de construire des démarches équitables.
09:45
Et aujourd'hui, on s'aperçoit de choses tout à fait étonnantes.
09:48
D'un côté, quand vous regardez un linéaire laitier,
09:51
vous avez Candia et Lactel, les 2 stars du linéaire,
09:54
Sodial et Lactalis,
09:56
qui se vendent chez Leclerc à 84 centimes d'euro.
09:59
Et d'autre côté, vous avez des démarches qui se vendent à 99 centimes
10:03
en ayant le même contenu,
10:04
c'est de la brique demi-écrémée UHT.
10:07
Alors pourquoi certaines démarches arrivent à se vendre à 99 centimes
10:11
en rémunérant à 42 centimes TP, TB inclus, l'éleveur ?
10:15
Et pourquoi les 2 stars du linéaire n'en sont pas capables ?
10:18
Ca, c'était la problématique de départ.
10:20
Tout simplement, on s'aperçoit que quand on va interroger le consommateur,
10:23
quand on prend la peine d'interroger le consommateur,
10:26
on se retrouve avec un consommateur qui nous décrit ses nouvelles attentes.
10:30
Et aujourd'hui, je ne fais que respecter le consommateur.
10:34
Le consommateur souhaite qu'il y ait équité.
10:36
Il souhaite que les éleveurs soient correctement rémunérés.
10:39
Alors, dans la démarche Coeur de Normandie dont vous parlez,
10:42
la FDSE a de la manche,
10:44
puisque c'est elle qui a choisi d'initier cette démarche.
10:47
Et la FDSE a de la manche, elle a choisi de respecter le consommateur.
10:50
Et de là, en fin de compte,
10:51
on voit le consommateur qui a exprimé ses choix.
10:55
Ses choix, c'est je veux, à travers ma consommation,
10:58
participer d'un certain nombre de valeurs.
11:01
L'équité en est une.
11:02
Le bien-être animal pourrait en être une autre.
11:05
L'environnement aussi.
11:06
Aujourd'hui, la valeur star qu'anime le consommateur,
11:09
c'est d'aider l'éleveur.
11:10
Il sait très bien aujourd'hui que les éleveurs sont en difficulté.
11:13
Et beaucoup de consommateurs nous disant,
11:15
à travers ma consommation, j'essaye d'être équitable.
11:18
Concrètement, dans cette démarche,
11:19
le prix en rayons, il est de combien ?
11:22
Et le prix payé aux producteurs, il est de combien ?
11:24
Le prix en rayons est de 89 centimes
11:26
chez Intermarché et chez Carrefour aujourd'hui.
11:29
Chez Auchan aussi, ce sera sans doute le prix unique.
11:31
Et le retour aux éleveurs est de 39 centimes d'euro.
11:37
39 centimes d'euro,
11:38
c'est bien plus élevé aujourd'hui que le marché actuel.
11:42
Est-ce que vous pensez que de telles démarches peuvent se développer,
11:47
peuvent se massifier pour qu'un grand nombre de producteurs
11:51
puissent en bénéficier plus tard ?
11:54
Si je prends en exemple les échanges que je peux avoir
11:59
avec Emmanuel Faber, par exemple, de Danone,
12:01
finalement, il se rend compte d'une chose.
12:03
Lui, qui est tenant de grandes marques,
12:05
il se rend compte que les marques régionales
12:07
sont aujourd'hui en train de bouleverser la donne dans le linéaire,
12:11
dans des linéaires laitiers qui sont très chahutés par le consommateur.
12:14
Mais pourquoi ? Parce que le consommateur
12:16
n'y retrouve pas ce qu'il y cherche.
12:18
Vous avez une forme de naïveté marketing
12:20
dans ce linéaire laitier.
12:21
Tout est basé sur le produit.
12:22
Or, le consommateur veut aujourd'hui acheter du produit
12:26
plus des valeurs qui font sens pour lui,
12:28
aux marques de les lui donner.
12:29
Si les marques nationales ne veulent pas s'engager dessus
12:32
en raison d'un tabou qui est la moindre rémunération de l'éleveur,
12:35
c'est aux marques régionales et aux coopératives
12:37
de se saisir de ça pour créer des marques régionales
12:40
qui rémunèrent mieux les éleveurs.
12:42
C'est pas difficile.
12:43
Toutes les démarches qui ont été faites en ce sens,
12:45
comme Vendée L'Eleveur, par exemple, le démontrent.
12:48
Olivier Mevel, merci beaucoup pour cet éclairage.
12:50
Et puis je vous invite à retrouver toutes les informations
12:53
sur les états généraux de l'alimentation,
12:55
sur la répartition des marges sur Ternet.fr
12:57
et webagri.fr. Merci.
12:58
Merci.
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