Retrouvez William Leymergie entouré d’experts, du lundi au vendredi en direct dès 12h30, pour une émission dédiée aux problématiques de notre quotidien.
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00:00 *Musique*
00:05 Notre people du jour, cher Anthony Ruiz, est l'une des actrices américaines les plus en vogue du moment.
00:12 Et pourtant, le cinéma américain n'a pas été très généreux.
00:16 Il lui a refusé une nomination aux Oscars. C'est dommage.
00:18 - Oui, c'est Margot Robbie qui a déjà tourné avec Brad Pitt, Leonardo DiCaprio
00:23 et puis récemment avec Ryan Gosling dans le film Barbie qui a été un véritable carton quand même
00:28 et qui dénonce le patriarcat et la domination masculine.
00:32 Et pourtant, ni la réalisatrice Greta Gerwig ni Margot n'ont été nommées aux Oscars.
00:38 Ils ont vraiment tout compris au film alors que Ryan Gosling, lui, est nommé dans la catégorie "meilleur second rôle".
00:44 - Vous avez voté tant, vous savez, vous êtes garé en double-file.
00:46 - Oui, en fait, je dois partir à Los Angeles, que les people m'attendent.
00:49 Jusqu'à présent, Margot n'avait pas réagi à cette polémique pour le coup.
00:52 C'est maintenant chose faite et elle est plutôt, vous allez l'entendre, assez fair-play.
00:55 *Musique*
00:56 - Je suis tellement, tellement, évidemment, étonnée.
00:59 Tout le monde qui a reçu les applaudissements qu'ils ont reçu, c'est juste incroyable.
01:03 Et évidemment, je pense que Greta devrait être nommée comme réalisatrice parce que ce qu'elle a fait est...
01:08 *Applaudissements*
01:12 C'est une chose qui a été une fois dans sa carrière, une fois dans sa vie, ce qu'elle a fait, c'est vraiment...
01:16 Mais c'est un an incroyable et pour tous les films, vous savez, il n'y a pas de façon de se sentir triste.
01:23 - Elle a raison.
01:24 - Oui, elle a raison. Après, tout intérêt...
01:26 - Non, je ne suis pas nommée...
01:27 - On ne va pas taper non plus sur l'académie des Oscars, qu'on se soit bien avorté.
01:30 - Ça va, elle a une longue carrière devant elle maintenant.
01:32 - C'est clair.
01:33 - Allez, on reste aux Etats-Unis avec l'une des amies d'Anthony, Kim Kardashian,
01:37 quoi qu'il connaît toute la famille.
01:38 - Oui, je connais toute la famille, ce sont d'ailleurs des amis très proches.
01:40 Kim Kardashian, c'est quand même le symbole d'une réussite, qu'on le veuille ou non,
01:44 l'art aussi de la chirurgie esthétique, soyons aussi honnêtes, et du physique.
01:47 Parfait, sans défaut, c'est comme ça qu'elle a créé tout cet empire que l'on connaît.
01:51 Et pourtant, elle a décidé aujourd'hui de montrer une autre facette.
01:54 Sur son compte Instagram, suivi par 364 millions d'abonnés...
01:58 - Donc dans le monde entier.
01:59 - Dans le monde entier, absolument.
02:00 Elle a posté une vidéo de son psoriasis.
02:03 Je suis sûr que celui-là, tu l'as bien prononcé.
02:05 Non, mais c'est très important.
02:06 Alors, honnêtement, c'est une façon pour elle, en fait, de montrer son quotidien,
02:12 parce que c'est comme ça que ça se passe sur les réseaux sociaux.
02:14 Et surtout qu'elle a les mêmes problèmes un peu que tout le monde,
02:16 avec cette notoriété, sa pression, etc.
02:18 C'est une sorte de pression aussi des médias.
02:20 Et en fait, elle est énorme, son psoriasis.
02:23 - C'est curieux, comment vous interprétez ça ?
02:24 Le fait de montrer...
02:26 C'est pas très agréable à regarder.
02:27 - Non, c'est pas agréable à regarder, mais...
02:28 - C'est pour aider les gens à mieux vivre.
02:29 - Exactement.
02:30 - Oui.
02:31 - Exactement.
02:31 - Mais elle souffre, là, ou pas ?
02:33 Ça fait mal ?
02:34 - Non, c'est un développement anarchique des cellules cutanées.
02:37 Mais c'est bien, parce que comme ça...
02:39 C'est une maladie assez affichante, ça se voit.
02:41 Donc c'est bien d'oser le montrer.
02:43 Je trouve que pour les gens qui souffrent...
02:44 - Absolument.
02:46 - Elle est traitée, ça peut partir ou... ?
02:48 - Oui, il y a des traitements maintenant de plus en plus efficaces.
02:50 - Mais surtout que là, elle l'a sur la jambe,
02:51 donc elle peut "cacher".
02:52 Il y a des gens qui l'ont sur la tête, sur le crâne, les mains.
02:55 C'est assez compliqué.
02:56 Et Kim Kardashian, qui est quand même assez influente, pour le coup,
02:58 en effet, ça peut permettre aux gens peut-être de se décomplexer par rapport à ça.
03:02 - En tout cas, pour ceux qui souffrent de cette maladie-là, elle peut témoigner.
03:04 - Absolument.
03:05 - OK.
03:06 Et porter un message de...
03:09 Je ne sais pas, être sauvé de cette chose-là.
03:11 Allez, cette semaine, le blocage des agriculteurs a fait la une de tous les médias,
03:15 comme vous avez pu le voir vous-même.
03:17 Et certains sont devenus de vrais stars sur les réseaux,
03:21 soit parce qu'ils s'expriment très bien et qu'ils disent vraiment ce qu'ils ressentent,
03:24 soit parce qu'ils ont une bonne idée.
03:25 - Mais parce qu'en même temps, on va aussi le dire, tout a été plutôt pacifique.
03:29 Je veux dire, ils sont là pour se faire entendre,
03:32 pas pour casser ou pas pour embêter gratuitement.
03:34 Et entre nous, franchement, leur cause est quand même assez louable.
03:37 Certains automobilistes impactés par le barrage du Capitou,
03:40 en direction d'Aix-en-Provence, je n'ai pas la chance de connaître cet endroit,
03:42 ont eu, eux, en revanche...
03:44 Non, je ne connais pas le Capitou.
03:45 Ces gens-là qui passaient au barrage ont eu une chance incroyable
03:47 et vous allez voir pourquoi.
03:50 - Merci beaucoup pour ce jour-là.
03:54 - Allez, monsieur.
03:56 Merci beaucoup.
04:00 - Par Ciri.
04:01 - Bonjour.
04:03 - Merci à vous.
04:05 - Non mais c'est vrai, on n'avait pas pensé à ça.
04:07 Un petit coup de rosé, un petit saucisson.
04:10 - Alors à la consommer avec modération, bien évidemment.
04:12 C'est bien dommage que je ne prenne pas cette direction le matin en allant au travail.
04:15 Sinon, les téléspectateurs de CNews, eux aussi ont eu de la chance.
04:18 Alors, pour voir ce qu'eux ont vu, il faut bien regarder en arrière-plan.
04:23 - Nous qui travaillons avec au quotidien.
04:26 - Je vous remercie.
04:27 On va aller se tourner vers un stand, là-bas, Jean-Marc.
04:30 - Ouais, on va se décaler, c'est mieux.
04:34 - Je ne suis pas sûr qu'elle l'ait vue, la journaliste.
04:37 Ou alors elle a deviné, elle a eu une appréhension.
04:39 Elle s'est dit "Oh là là".
04:40 - Le cadreur lui a dit "Pousse-toi, pousse-toi".
04:42 - Non, le cadreur, lui, il était pudique.
04:44 - Mais en tout cas, ils ont réussi à se faire entendre.
04:46 - Ça lui a profité, la bonne mine, le monsieur, là.
04:48 - Oui, ça se passe bien.
04:50 - Il est joufflu. - Il est joufflu.
04:51 Bon, autre chose, nous avons été les 1ers à vous en parler.
04:57 C'était il y a quelques mois, avec Anthony, d'ailleurs, qui m'avait signalé ça.
05:01 On se doutait que ça allait fonctionner, de quoi il s'agit.
05:03 Attendez une seconde.
05:05 Mais on ne savait pas que ça allait fonctionner aussi bien.
05:07 - Bah écoutez, oui, souvenez-vous, je vous avais montré un peu affligé, d'ailleurs,
05:10 les images de la télé-réalité "Frenchy Shore",
05:12 émission de télé-réalité, justement, avec des candidats très décomplexés.
05:16 C'est-à-dire, pour être plus clair, ils ont oublié d'être pudiques, très clairement.
05:20 Le but de cette émission étant de montrer des candidats délibérément dénudés,
05:24 ou enfin, presque.
05:25 - Oui, presque totalement.
05:27 - Presque totalement, et avec surtout une très, très forte envie de faire l'amour.
05:32 Partout et tout le temps.
05:33 - Ah mais parce qu'ils le disent, en plus.
05:35 - Parce qu'ils le disent et ils le font.
05:36 Alors, les caméras, c'est pas du tout leur problème, soyons très honnêtes.
05:39 Ils sont au Cap d'Acq, dans une maison, avec des caméras un peu cachées,
05:41 ou d'autres assez misies.
05:42 - Mais au Cap d'Acq, c'est un endroit spécial, non ?
05:44 - Oui, non, ils étaient pas au camp de la Turiste, mais ils étaient au Cap d'Acq.
05:46 - Des cadraux d'idées de l'eau Cap d'Acq, alors.
05:48 - On est bien d'accord.
05:49 Donc du coup, c'était vraiment la fête.
05:50 Et en fait, personne, mais personne ne s'attendait au succès de cette émission.
05:54 C'est-à-dire que ça a été un succès dans les médias,
05:56 c'était un succès populaire, c'était un succès sur les réseaux sociaux.
06:00 Et ça a un peu révolutionné, si vous voulez,
06:02 le genre de la télé réalité qui s'essoufflait un petit peu.
06:04 Alors, Frenchy Shore, c'est fini maintenant,
06:06 mais il existe, comme vous en doutez, des déclinaisons dans le monde entier.
06:09 Et il y a maintenant Geordie Shore.
06:11 - Qu'est-ce que ça veut dire, ça ?
06:12 - C'est une partie de l'Angleterre.
06:14 - Geordie ?
06:14 - Une région de l'Angleterre.
06:15 - Ah bon. Et Shore, c'est quoi ?
06:17 - Shore, c'est...
06:18 Je sais même pas comment le traduire.
06:19 Frenchy Shore, c'est...
06:20 Voilà, un village ou l'endroit, si vous voulez, rivage.
06:24 Voilà, un truc par là, quoi.
06:25 Bon, écoutez, moi, je ne suis pas...
06:26 Je travaille pas pour la télé anglaise.
06:27 Donc...
06:28 - Bonjour !
06:32 Bonsoir !
06:33 J'adore !
06:34 - Bonjour !
06:35 Ça va ?
06:35 - Je m'appelle Mani.
06:37 - Je suis massive.
06:39 - Bonjour, ça va ?
06:41 - Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui !
06:43 Petit pois !
06:43 - Je m'appelle Abby.
06:45 - Oh là là !
06:45 - You went crazy for Frenchy Shore.
06:48 Now it is time to party with the real ones.
06:50 Geordie Shore !
06:51 Wouh !
06:52 - Encore des futurs candidats à l'ENA.
06:55 Donc on va bien sûr voter.
06:56 - C'est une grande délicatesse.
06:58 Beaucoup de...
06:59 Non, beaucoup de distinctions.
07:01 - Classe et l'égance.
07:02 - Mais en même temps, c'est le but de l'émission.
07:03 Et c'est ça, finalement.
07:04 C'est ça qui est extrêmement étrange.
07:05 C'est que ça dérange parce qu'ils sont nus,
07:07 parce qu'ils parlent de sexe.
07:08 - Ça dérange pas.
07:09 C'est pas très, très...
07:10 Elles ont toutes la même tête, les malheureuses.
07:12 - Oui, ça, c'est vrai.
07:12 Mais surtout, ça cartonne.
07:14 Et en fait, on le consomme un peu comme on veut
07:16 parce que ça passe pas à la télévision.
07:17 - Et c'est une curiosité.
07:18 C'est comme quand vous allez au zoo,
07:20 vous regardez.
07:21 - Mais là, c'est un peu pareil.
07:23 - Pareil.
07:24 - Non ?
07:25 - C'est exactement ça.
07:26 - C'est ça, un peu.
07:27 Bon, vous avez autre chose ou...
07:28 - Oui, un petit buzz du jour pour terminer.
07:30 Parce qu'il est très, très sympa, celui-là.
07:32 Si jamais un jour, vous oubliez vos clés,
07:34 vous pouvez toujours passer par la fenêtre,
07:36 à condition d'être au rez-de-chaussée, bien évidemment,
07:38 ou d'avoir des grandes fenêtres.
07:39 Sinon, c'est un peu compliqué.
07:41 - C'est quoi, là ?
07:44 - Ah, c'est...
07:48 (rires)
07:49 - C'est un chat !
07:54 (rires)
07:56 - Un poisson !
07:57 - C'est un poisson !
07:59 - Un chat !
08:00 (rires)
08:01 - Ah !
08:02 (rires)
08:03 (applaudissements)
08:05 (musique)
08:07 (cri)
08:08 - Ah !
08:09 - Parce qu'en plus, elle tombe, c'était évident.
08:11 - Oh, bah, aucun !
08:12 - Mais la copine, elle est pas très charitable, hein.
08:14 - Ah, la copine !
08:15 - Parce que dès qu'elle l'a vue comme ça, elle s'est...
08:17 - Elle a cassé.
08:18 - Elle est partie au moment où elle a vu ce raccord.
08:20 - Elle a laissé suspendue comme au saschninge.
08:22 - Oui, oui.
08:23 - Elle était comme au saschninge.
08:25 Elle a pendu.
08:26 (rires)
08:27 Ah, c'est drôle, ça.
08:28 C'est où ?
08:29 Ça se passe où ?
08:30 - Oh, sûrement aux Etats-Unis.
08:31 - En Angleterre.
08:32 - En France, on est pas loin de s'en approcher, quand même.
08:34 - Encore les Anglais.
08:35 Bon, allez, vous avez autre chose à dire ?
08:37 - Non, ça sera lundi.
08:38 Je vous laisse un petit peu de répit, parce que, vous savez,
08:40 je vous divertis tellement.
08:41 J'ai peur que...
08:42 - Non, non, puis soufflez un peu.
08:44 Tout va bien, mon garçon.
08:45 - Vous avez raison.
08:46 - Allez.
08:47 [Musique]