- 27/03/2023
Après les violences qui ont éclaté lors de manifestations contre la réforme des retraites, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure pointe un « problème de doctrine du maintien de l'ordre ».
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NewsTranscription
00:00 Oui, je suis confiant dans cette mobilisation parce que je vois qu'autour de moi, les gens continuent à être très mobilisés et très en colère avec un pouvoir qui n'écoute rien.
00:09 Et donc, il y a maintenant non seulement la contestation de la réforme, mais aussi la contestation de la méthode employée par le gouvernement.
00:16 Le 49.3.
00:18 Le 49.3, le 44.3, le 44.2, l'article 38 du règlement, etc.
00:22 Il y a une espèce d'addition qui fait même dire à des gens, j'ai lu le professeur Rousseau, qui n'est pas forcément...
00:30 Prostitutionnaliste.
00:31 Qui n'est pas un membre de la NUPES et qui n'est pas partitialiste non plus.
00:34 Et qui pour autant considère qu'il y a toutes les raisons aujourd'hui d'invalider un projet qui a été adopté dans des conditions qui sont absolument insincères et qui sont une brutalisation du Parlement.
00:47 Donc oui, je crois qu'il y a aujourd'hui une nature à se révolter.
00:51 Et ce que font les gens dans la rue, semaine après semaine...
00:54 Vous y serez dans la manifestation ?
00:55 Oui, j'y serai, comme depuis dix fois.
00:58 Depuis dix fois. Alors, vous parlez de cette colère. Il y a aussi eu des violences, notamment depuis le 49.3.
01:03 La semaine dernière, plus de 1000 casseurs.
01:05 Est-ce que vous faites confiance au syndicat et à la police pour que demain, ça ne se réédite pas ?
01:10 Je fais confiance à la raison, de celles et ceux qui ont intérêt à ce que ça se passe bien.
01:16 Et vous l'aurez noté, pendant des mois et des mois, il y a eu des manifestations qui se sont passées dans un ordre absolument irréprochable.
01:24 Mais ça a changé de nature.
01:25 Ça a changé de nature, mais alors pour quelles raisons ?
01:27 Qui en a la responsabilité ?
01:29 Eh bien, regardez comment les choses se faisaient.
01:31 Et moi, j'avais salué y compris la façon dont les choses avaient changé au moment où on est passé de Didier Lallement à Laurent Nunez, nouveau préfet de police de Paris.
01:39 On n'a pas rechangé depuis.
01:41 On n'a pas rechangé depuis.
01:42 En revanche, le mode de maintien de l'ordre, lui, a changé.
01:46 On voit débarquer les Bravem, la BAC, etc. et qui, eux, ont des méthodes de maintien de l'ordre, si on peut appeler ça du maintien de l'ordre.
01:54 Mais la violence est du côté de la police, c'est ce que vous dites.
01:56 C'est la faute aux policiers.
01:57 Mais vous avez aujourd'hui des jeunes, principalement, qui brûlent des poubelles.
02:01 Ça ne suppose pas, en réponse, que vous ayez des gens qui partent à l'hôpital, qui soient pris...
02:08 Il n'y a pas un millier de casseurs et de black blocs mélangés, là, jeudi dernier.
02:12 C'était des gentils étudiants qui brûlaient des poubelles.
02:15 Il ne s'agit pas de dire des gentils étudiants.
02:16 Il y a certainement des black blocs qui se mêlent aux manifestations.
02:18 Oui, notamment en thème du cortège, la semaine dernière.
02:20 Oui, peut-être qu'ils se mêlent.
02:22 Je ne sais pas où ils se mêlent.
02:23 Ce que je sais, c'est que ça existe.
02:24 Mais ça ne suppose pas de taper dans le tas, si vous voyez ce que je veux dire.
02:28 Parce que le problème, aujourd'hui, c'est que vous avez des gens qui sont là pour manifester, qui sont absolument non violents, et qui se retrouvent en garde à vue.
02:34 Et je pourrais vous donner des témoignages nombreux.
02:37 Et vous diriez qu'il y a de la répression policière, aujourd'hui, en France ?
02:40 Je dis qu'aujourd'hui, il y a un problème de doctrine de maintien de l'ordre.
02:43 Il y a un problème de violence policière ?
02:44 Aujourd'hui, ça supposerait de le vérifier sous les ordres de qui ?
02:48 Est-ce que c'est simplement les bravem ou la BAC qui, de leur plein gré et sans aucun commandement, se mettent à taper dans le tas ?
02:57 C'est l'intérêt du gouvernement ?
02:59 Je vous pose la question.
03:01 C'est à vous qu'on pose la question.
03:04 Vous faites une allusion assez claire, quand même.
03:07 Oui, c'est une allusion assez claire.
03:08 Je pense qu'il y a, aujourd'hui, la volonté de mettre face à face l'ordre et le chaos.
03:15 Et le chaos serait incarné par les manifestants et l'ordre par le pouvoir en place.
03:20 Et c'est le dessein du gouvernement d'organiser face à face l'ordre et le chaos ?
03:24 C'est-à-dire qu'on organise le chaos pour pouvoir représenter l'ordre ?
03:28 Pour pouvoir être le parti de l'ordre.
03:29 Mais qui organise le chaos ?
03:31 Ce que je vois, c'est qu'aujourd'hui, vous avez des nazes qui sont revenus alors qu'on n'en avait plus.
03:38 Vous avez des centaines de jeunes qui sont arrêtés alors même qu'ils n'ont rien à se reprocher.
03:43 Vous avez des tabassages en règle.
03:45 Vous avez quand même des images aujourd'hui qui documentent ce que je dis.
03:48 Je ne suis pas en train d'inventer une histoire.
03:49 Vous avez des gens qui se font rouler dessus par les motos.
03:52 Vous avez des gens qui se font insulter, menacer par les policiers.
03:56 Vous avez des policiers qui craquent après avoir été insultés, lancés des pavés.
04:00 Je vous demande, ce ne sont pas quelques individus.
04:02 Vous dites "ça n'est pas ça, c'est un système".
04:04 Ce sont les français qui en ont ras-le-bol l'esprit pour des imbéciles.
04:07 Ça, effectivement, on pourrait tous craquer.
04:09 Mais vous reconnaissez quand même de la violence du côté des manifestants ou pas, Olivier Faure ?
04:13 Comment ?
04:14 Vous reconnaissez quand même de la violence du côté des manifestants ?
04:16 Bien sûr, il y a toujours.
04:17 Mais on pourrait parler aussi des super bassines, etc.
04:20 On va y aller, d'ailleurs.
04:22 Mais je ne mélange pas les gens qui sont venus, qui sont des activistes
04:26 et qui sont là pour justement s'en prendre aux forces de l'ordre et aux biens publics, etc.
04:31 et que je réprouve complètement et que je condamne.
04:34 Et puis ceux qui sont là pour manifester et qui, malheureusement, sont pris à partie alors qu'ils n'y sont pour rien.
04:39 On tient un peu de scintille, Olivier Faure.
04:43 Vous aurez noté quand même que les activistes, ils n'arrivent que quand ils ont le sentiment
04:46 qu'ils sont, à ce moment-là, dans une situation où ils peuvent s'affronter aux forces de l'ordre.
04:50 Ils ne l'ont pas fait pendant deux mois.
04:52 Là, à Sainte-Sauline, on a les gendarmes et les manifestants qui, aujourd'hui,
04:56 se rejettent chacun la responsabilité des violences dans les manifestations.
05:00 Vous, vous vous situez de quel côté ?
05:02 Parce que là, on voit vraiment l'affrontement des thèses.
05:05 Moi, je ne sais pas.
05:06 Mais je vais vous dire une chose toute simple.
05:07 Si j'étais en responsabilité à l'intérieur
05:11 et qu'on me disait qu'il y a chiffre de la police,
05:14 puisque ce n'est pas les mêmes que ceux des manifestants.
05:16 Les manifestants disent 30 000 participants, la police dit 6 000.
05:19 Je ne mettrais pas 3 000 policiers en face.
05:21 Déjà, vous vous rendez compte qu'il y avait un policier pour deux manifestants.
05:25 Vous en mettriez combien ?
05:27 Je ne mettrais pas.
05:29 Vous savez, vous avez vu comment ça se passe.
05:32 Vous les laisseriez manifester ?
05:34 Vous avez un immense trou avec des gens qui viennent au milieu de la Pampa,
05:39 qui sont en train d'avancer avec leur drapeau,
05:42 qui viennent manifester autour d'un immense trou.
05:44 Il y en a qui viennent avec autre chose que des drapeaux.
05:46 Il y en avait aussi des manifestants, des boules de pétanque, des machettes, des HVH.
05:50 Vos boules de pétanque, vous croyez qu'ils allaient les utiliser ?
05:52 C'est contre qui s'il n'y a pas de policier ?
05:54 Ils viennent installer une ZAD, Olivier Faure.
05:57 Donc c'est normal que les autorités publiquent.
05:59 Mais vous croyez vraiment qu'on installe une ZAD dans un trou comme ça ?
06:01 Oui, alors là, ils avaient l'intention d'occuper le terrain, d'occuper le site.
06:05 Mais non, mais ce n'est pas du tout le même terrain qu'à Sivince,
06:07 ou même à Ndélande, ça n'a rien à voir.
06:10 Notre Ndélande, c'est un bocage, vous avez des fermes au milieu,
06:13 vous avez des gens qui, sur place, soutenaient les manifestants, etc.
06:16 Là, vous êtes au milieu de rien.
06:17 Vous êtes dans des champs, sur la culture intensive, et vous avez...
06:20 La manifestation est interdite ?
06:22 Est-ce que vous trouvez que c'est normal de venir avec des boules de pétanque
06:25 pour une manifestation interdite ?
06:26 Et qu'en plus, il y ait des élus ?
06:27 Je ne trouve pas ça normal, des boules de pétanque, des machettes, des matraques,
06:30 tout ce que vous voulez, tout ça me paraît complètement hors...
06:33 Je condamne complètement ce genre d'activisme.
06:36 Mais si, justement, je sais qu'il y a des activistes qui cherchent à en découdre,
06:40 je ne donne pas les moyens d'en découdre.
06:42 Tout est de la faute du gouvernement.
06:43 Tout est de la faute de Darmanin.
06:45 Ils seraient venus sur le champ, ils auraient envahi l'immense trou,
06:49 parce qu'il n'y a rien à défendre.
06:50 En réalité, en l'occurrence, il n'y a pas de bassine pour l'instant.
06:52 Vous avez une excavation de terre, point barre.
06:55 Donc le sujet, il n'est pas là.
06:57 Par contre, il y a un sujet qu'il faudrait aussi aborder, le sujet de fond.
07:00 C'est pourquoi on déploie 3000 policiers pour interdire une manifestation,
07:04 alors que vous avez des projets qui ont été jugés illégaux par la justice,
07:09 et que là, ces projets continuent à être en activité,
07:11 et que là, il n'y a pas de silence radio.
07:13 Il y avait un accord.
07:14 Et ce n'est pas la première manifestation sur le site.
07:16 Non, mais c'est quand même un problème.
07:17 C'était la place des élus d'être là-bas, dans une manifestation qui était interdite.
07:21 Et aujourd'hui, elles sont toujours en usage, parce que personne n'intervient.
07:24 Si la force doit rester au droit, ça doit être le droit partout,
07:28 y compris quand la justice tranche, il faut en fait faire appliquer la loi.
07:32 C'était normal que des députés viennent manifester
07:35 alors que c'était interdit sur ce site de Sainte-Soline,
07:38 où on savait qu'il y aurait de la violence ?
07:40 Ils sont venus, de ce que je vois et de ce que j'ai compris,
07:43 ils sont venus pour protéger les blessés, pour dire qu'il fallait s'interposer un moment.
07:47 Et c'est quand même complètement fou, d'ailleurs, qu'ils étaient eux-mêmes pris à partie.
07:50 Vous avez des gens qui sont clairement identifiés avec leur écharpe de parlementaire,
07:54 sur lesquels on tire,
07:55 6 000 grenades, 4 000 grenades de désensaclement pour 6 000 manifestants.
07:59 Donc vous trouvez...
08:00 Est-ce que vous trouvez ça normal ?
08:02 Vous, vous accusez le gouvernement.
08:04 On a bien compris.
08:05 Non, mais c'est pas moi.
08:06 Le Conseil de l'Europe, la Ligue des Droits de l'Homme,
08:08 l'Assemblée nationale, tout le monde, aujourd'hui,
08:11 demande à ce qu'il y ait une forme de proportionnalité qui soit conservée.
08:14 C'est ça, quand même, le problème aujourd'hui.
08:16 Non, mais je disais, là, juste à l'instant,
08:18 vous avez accusé, du coup, le gouvernement, voire l'Élysée,
08:22 d'encourager cette violence.
08:25 La Macronie, elle, accuse la NUPES de ces violences à Sainte-Soline.
08:29 Gérald Darmanin dénonce une bordélisation
08:31 voulue par une partie de l'extrême-gauche ou de l'ultra-gauche.
08:34 Est-ce que le but, c'est effectivement de tout bordéliser
08:36 pour que cette réforme soit retirée ?
08:38 Je viens de vous répondre sur le fait qu'on peut très bien...
08:41 Enfin, le désordre, c'est quoi ?
08:43 C'est l'injustice créée par ce projet de loi.
08:45 Donc, aujourd'hui, si vous voulez en finir avec le désordre,
08:48 il faut remettre de l'ordre et l'ordre social, d'abord.
08:51 Et c'est comme ça que vous aurez le reste.
08:53 Et c'est pas en continuant à dire "je suis Jupiter,
08:57 je fais face au peuple français, qui, dans son immense majorité,
09:00 n'est pas d'accord avec moi, mais parce que je suis le chef, je maintiens".
09:03 À partir de là, vous avez toutes les conditions pour arriver, effectivement,
09:06 à ce qui est différent de violences, etc.
09:08 - Jean-Luc Mélenchon et Sandrine Rousseau n'ont pas condamné tout de suite ces violences, quand même.
09:12 Ils ont mis du temps avant de le faire.
09:14 Est-ce que vous trouvez ça normal ? Est-ce qu'il ne fallait pas le faire un peu plus tôt ?
09:17 Est-ce qu'il y a des circonstances atténuantes à ces casseurs,
09:20 dans une partie de la NUP ?
09:22 - Non, mais moi, je ne crois pas que quiconque prône la violence au sein de la NUP,
09:25 c'est tout l'inverse.
09:27 Nous sommes tous pour que les choses se passent en bon ordre.
09:30 Je ne suis pas comptable de l'horaire auquel Jean-Luc Mélenchon et Sandrine Rousseau prennent position.
09:36 Moi, je vous dis les choses très clairement.
09:38 Je vous dis, la violence n'est pas tolérable en démocratie,
09:41 qu'elle vienne des manifestants ou qu'elle vienne du pouvoir en place.
09:44 Maintenant, le problème, c'est qu'il faut aussi ne pas générer soi-même
09:49 les conditions qui conduisent à la violence.
09:51 - Vous avez parlé tout à l'heure des bravèmes.
09:53 Des enregistrements ont été dévoilés par Le Monde,
09:56 Loop Cider, qui mettent en cause ces brigades motorisées.
09:59 Laurent Nunes demande une enquête de l'IGPN. Est-ce que c'est suffisant ?
10:02 - Est-ce qu'il faut les dissoudre pour vous ?
10:04 - Moi, d'abord, je souhaiterais qu'on en finisse avec la question de l'IGPN.
10:08 Il faut qu'à un moment, plus exactement, qu'on en fasse un organe de contrôle
10:12 qui soit complètement indépendant.
10:13 C'est une demande qui est récurrente, ça fait longtemps.
10:15 D'abord, j'aimerais que l'IGPN soit vraiment un organe indépendant
10:18 pour permettre aussi que les jugements, les constatations,
10:22 les instructions qui sont réalisées par l'IGPN soient incontestables.
10:25 - Donc, ce n'est pas suffisant d'évidence.
10:27 - Oui, parce qu'aujourd'hui, vous avez toujours un doute qui existe.
10:29 Quand vous êtes juge et parti, forcément, il y a un doute qui existe.
10:32 - Donc, vous voulez la dissolution des braveshems, comme certains le demandent ?
10:35 - Je souhaite d'abord qu'on fasse en sorte que l'IGPN soit d'abord
10:37 un organe de contrôle totalement indépendant.
10:39 Et ensuite, il faudrait effectivement au moins une commission d'enquête parlementaire
10:43 qui permette d'aller plus loin.
10:44 - Vous l'avez demandé.
10:45 - Mais maintenant qu'il y a la justice qui est saisie, c'est aussi une difficulté
10:47 puisqu'on ne peut pas faire d'enquête parlementaire sur des sujets
10:50 qui sont déjà devant la justice.
10:52 Donc, il y a là un petit sujet de droit qu'il faut régler.
10:55 Mais oui, il faut vraiment aller jusqu'au bout parce que ce n'est pas normal
10:59 d'avoir jusqu'à une revue des volsigeurs de sinistre mémoire
11:02 qui a été à l'origine de la mort de Malik Ousekine.
11:04 - Donc, vous ne demandez pas la dissolution.
11:06 Vous demandez une commission d'enquête parlementaire.
11:08 - Je demande qu'on aille jusqu'au bout et qu'on sache exactement ce qu'il se passe.
11:11 Et je vois que...
11:13 - Et si c'est prouvé, là, d'ici ?
11:14 - Mais vous allez exercer votre droit de tirage ? Il vous en reste un ?
11:17 - Nous, il nous en reste un.
11:19 Mais pour l'instant, en fait, je voudrais d'abord savoir ce sur quoi on peut enquêter
11:22 puisque je vous dis qu'il y a une contradiction entre le fait que ce soit déjà devant la justice
11:26 puisque c'est des articles 40 qui ont été demandés par un certain nombre de parlementaires,
11:30 notamment socialistes, et conseillers régionaux, Maxime Desgrignes.
11:33 - Donc, vous demandez une commission d'enquête, mais vous n'êtes pas sûr que ça vaille le coup ?
11:36 - Ce n'est pas que ça vaille le coup.
11:38 Ça vaut le coup, simplement, je ne sais pas si on peut le faire
11:40 pour des raisons qui sont liées à notre rebonancement juridique.
11:43 [Musique]
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