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Amine El Khatmi : «Le bouclier sécurité a été attaqué par la gauche. [...] Les déséquilibrés ne vont pas lire sur l'uniforme du policier s'il y a écrit nationale, municipale, gendarme, etc. Ils voient un représentant des forces de l'ordre, ils lui foncent dessus.»

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Transcription
00:00Le bouclier sécurité qu'évoque M. le maire a été attaqué par la gauche devant les juridictions administratives.
00:06Les élus communistes ont considéré que la région n'avait pas vocation à soutenir les collectivités de taille, justement, de petite taille.
00:16On ne parle pas de Nuit-sur-Seine, de Levallois-Péré, qui ont les moyens de financer leur propre protection.
00:24Là, on parle de communes qui ont des budgets très contraints, de plus en plus contraints, et qui ont besoin de soutien.
00:29Eh bien, les élus de gauche considèrent qu'il ne faut pas les soutenir.
00:33Et ça me fait penser également au propos de l'inénarrable Mme Pannot, qui, il y a quelques jours,
00:39expliquait avec un ton très sûr, comme elle en a l'habitude, qu'en cas de victoire de la France insoumise aux élections municipales,
00:47il fallait désarmer, il fallait retirer la caméra de vidéoprotection.
00:51Vous savez, les déséquilibrés, comme on les appelle, ils ne vont pas lire sur l'uniforme du policier
00:58s'il y a écrit national, municipal, gendarme, etc.
01:02Il voit un représentant des forces de l'ordre, il lui fonce dessus.

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