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Au Club de L’Économiste, Driss Benchikh, Directeur de l’Office des changes, a levé le voile sur la nouvelle stratégie 2025-2029, avec un mot d’ordre clair : révolutionner l’expérience usager par la digitalisation. D’ici 2029, 90% des autorisations de change devraient être dématérialisées, une ambition qui s’inscrit dans une démarche de transparence, d’accessibilité et de simplification administrative.
Cette transformation vise à réduire les délais, limiter les déplacements physiques et fluidifier les échanges entre les opérateurs économiques et l’administration, dans un contexte où les flux internationaux évoluent rapidement.

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Transcription
00:00d'abord il faut distinguer entre deux choses il ya au niveau de la plateforme smart il ya trois
00:15types de demandes il ya les demandes d'autorisation et quand je dis demande d'autorisation pour rappel
00:22aujourd'hui si on prend l'exercice 2024 il faut le noter 97% 97% du volume total échangé sur le marché
00:36change a été exécuté directement via le secteur bancaire sans aucune intervention de l'office
00:43d'échange ce qui signifie aujourd'hui que les dispositions de la réglementation des changes
00:48en vigueur répondent parfaitement aux besoins des opérateurs économiques des investisseurs et même
00:54des citoyens donc 97% des opérations passe directement vers le secteur bancaire soit dans le cadre des
01:00opérations d'importation d'exportation d'investissement même les étudiants les voyages des soins médicaux
01:06ce qui reste des trois pour cent qui reste soit généralement sont des demandes d'autorisation
01:10que qui ne sont pas privées par la augmentation ou qui ne peuvent pas être exécuté par la
01:17réglementation d'échange et à ce moment là la banque donc examiner le dossier et le transmet à l'office
01:26d'échange pour appréciation on a un département de contrôle avec un système d'information et quand
01:31une cartographie des risques et on est censé superviser comme j'ai déjà dit au départ on est censé
01:36superviser presque l'équivalent des PIB national plus de 1200 1300 milliards de dirhams rien que pour
01:42l'import on a 760 milliards qu'on est censé contrôler et superviser l'import l'export transport
01:49l'assurance et tout donc imaginez en absence d'un système d'information c'est impossible de faire
01:55ce contrôle donc la force aujourd'hui de l'office d'échange c'est l'existence d'un système d'information
01:59et surtout d'une expertise qui est accumulée depuis des années aujourd'hui on arrive à travers un système de
02:08scoring et cartographie des risques qui est alimenté automatiquement à aller directement vers les onariques

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