Au Club de L’Économiste, Driss Benchikh a mis en avant la discipline des opérateurs marocains dans le cadre des IDME et les retombées positives en matière de rapatriement des dividendes. Depuis la réforme de 2020, les opérateurs marocains peuvent investir jusqu’à 200 millions de dirhams par an, quel que soit le pays de destination. Une décision issue d’une concertation avec les acteurs économiques, qui a permis de mieux répondre à leurs besoins, tout en assurant une bonne discipline réglementaire. En 2024, ces investissements ont généré 17 MMDH de dividendes rapatriés, confirmant l'efficacité du dispositif et sa pertinence pour l'économie nationale.
00:00Ça a changé. Depuis 2020, il y a une évolution importante en raison plus de 50 ou de 100 millions.
00:17C'est 200 millions pour tous les opérateurs marocains et quelle que soit la destination de l'investissement.
00:23D'ailleurs, c'est une décision qui a été prise, bien sûr suite à une concertation avec les opérateurs,
00:28pour répandre aux besoins des opérateurs et avec, bien sûr, comme j'ai toujours dit, après des études, bien sûr, parce que c'est des montants qui sont très importants.
00:40Et d'ailleurs, aujourd'hui, les statistiques qu'on a, tous les opérateurs marocains font les investissements dans le cadre de la réglementation.
00:47Rares sont les cas qui sont remontés à l'office d'échange pour dépassement des plafs,
00:51ce qui signifie aujourd'hui que les 200 millions de dirhams couvrent largement les besoins des opérateurs en matière d'investissement.
00:57Parce que c'est 200 millions de dirhams par année.
00:59Une recette d'investissement direct marocain à l'étranger, c'est 17 milliards de recettes.
01:0417 milliards de retours pour un vicisme.
01:09Donc il y a un retour positif sur un vicisme.
