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Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 09/06/2025.

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🥇
Sport
Transcription
00:00:00Bonjour à toutes et à tous, c'est l'équipe de Choc, on est ravis d'être avec vous en ce lundi de Pentecôte pour débriefer toute l'actualité sportive du jour et du week-end.
00:00:14On a plein de choses à décrypter, à analyser, on va s'enflammer sur les performances du week-end.
00:00:19Bref, ça va être génial. Pas de jours fériés pour Grégoire Noélie et Pierre Boubi.
00:00:24Bonjour quand même.
00:00:26Comment ?
00:00:26Bonjour quand même.
00:00:27Bonjour à toi Anso.
00:00:28Comment ça va ?
00:00:28Vous allez bien ?
00:00:29On est ravis que tu sois là.
00:00:30Je suis ravie aussi.
00:00:31C'est vrai.
00:00:32Ça se voit pas trop quand même.
00:00:33J'ai appris en revanche que vous étiez en train de vous faire rattraper terrible sur le jeu.
00:00:37Non.
00:00:37Ça crée du suspense et tout.
00:00:38Il y a égalité ?
00:00:38Ça va, on met un peu de suspense.
00:00:40Oui, ils sont aux abois.
00:00:42Attention et en plus pour les affronter dans cette émission, en fin d'émission, j'appelle de très grands joueurs.
00:00:48Le premier, c'est un sportif, c'est Brahim Asloum qui a passé une tête à roulant la semaine dernière, mais il n'a pas été invité à la finale.
00:00:54Pas encore assez connue, très certainement.
00:00:56Mais ne t'inquiète pas Brahim, on va t'aider à faire décoller ta cote de popularité pour avoir la nomination l'année prochaine.
00:01:02Oui.
00:01:03Écoute, on a passé un super week-end sport.
00:01:05Mais tu n'étais pas dispo à priori hier.
00:01:07Non, je n'étais pas dispo.
00:01:07Je suis descendue vers ma maman, donc aucun regret.
00:01:09Aucun regret.
00:01:10Il y en a une, en revanche, qui y était hier.
00:01:13Et oui, c'est la chanceuse de ce plateau.
00:01:14C'est Séverine Parlacou qui est avec nous.
00:01:16Alors, elle est en dépression aujourd'hui, post-Roland-Garros.
00:01:19Mais elle a vécu sa meilleure vie.
00:01:21Mais je crois qu'elle a mal au cou après 15 jours.
00:01:23Oui, c'est vrai.
00:01:23Oui, à part d'être d'un côté de l'autre.
00:01:25C'est vrai.
00:01:26C'est vrai.
00:01:26C'est vrai.
00:01:26Heureusement, je suis avec vous aujourd'hui.
00:01:29Donc, grâce à vous, je vais garder le sourire.
00:01:31Tu t'es rappelé du chemin pour venir ?
00:01:33Non, c'est un peu compliqué.
00:01:34Ça fait très longtemps.
00:01:35On m'avait fortement manqué, sachez-le.
00:01:36Mais hier, c'était exceptionnel.
00:01:38Tu n'es pas trop fatiguée ?
00:01:39Non, franchement, ça va.
00:01:40Très heureuse d'être là.
00:01:41Donc, non, non, pas de fou.
00:01:42Moi, j'ai hâte de vous expliquer tout ce qui s'est passé.
00:01:43Ah bah oui, tu vas nous raconter ça.
00:01:45Parce qu'évidemment, au sommaire de cette émission,
00:01:47on va revenir sur ce match de légende entre Alcaraz et Siner.
00:01:51Une finale monumentale en 5h29.
00:01:53La plus longue de l'histoire de Roland-Garros, c'était fou.
00:01:56Et on va en parler également avec notre experte tennis Camille Macali
00:01:59qui va nous rejoindre dans quelques instants.
00:02:01Ryan Cherky à Manchester City.
00:02:03C'est quasiment fait, selon les informations de l'équipe.
00:02:06Les dirigeants de l'Olympique lyonnais sont tombés d'accord
00:02:09avec leurs homologues de Manchester City.
00:02:11L'international français devrait signer dans les prochaines heures.
00:02:13Et puis, Cherky et les Bleus ont terminé 3e de la Ligue des Nations.
00:02:16C'est le Portugal qui a remporté la compète grâce à sa victoire en finale face à l'Espagne.
00:02:20Une victoire au tir au but.
00:02:21De quoi faire pleurer Cristiano Ronaldo.
00:02:23Et oui, on verra toutes ces images dans la planète sport de Greg.
00:02:26Il y aura dans la planète foot.
00:02:28Aussi, comme tu veux.
00:02:29Planète foot.
00:02:29Mais il y a un gros planète sport.
00:02:31Il y a un gros planète sport.
00:02:32Tu me dis, je vais m'adapter.
00:02:33Il a bossé, je crois, aujourd'hui.
00:02:34Un petit peu.
00:02:34Oui, il a bossé.
00:02:35On parlera basket.
00:02:37En badminton et course automobile, on est à J-5.
00:02:40Oui.
00:02:40On est à 5 jours du départ des 24h du Mans.
00:02:43Ce sera sur notre antenne, bien sûr, à partir de samedi matin.
00:02:46Mais revenons d'abord sur hier.
00:02:48Je ne sais pas dans quel état vous étiez, vous, hier soir.
00:02:50Un peu avant 21h.
00:02:51Mais nous, on avait des étoiles pleines.
00:02:54Les yeux, on n'en revenait pas trop.
00:02:55Parce que Carlos Alcaraz et Yannick Siner nous ont offert une finale monumentale.
00:02:59Après 5h29 de jeu, l'Espagnol a donc remporté son cinquième grand chelème.
00:03:04Et on voit les images avec toi.
00:03:05Oui, bien sûr.
00:03:05Une finale, on a manqué un petit peu de mots pour la décrire.
00:03:07Tout simplement incroyable, héroïque, phénoménale.
00:03:10Les deux meilleurs joueurs du monde actuellement se sont affrontés.
00:03:12C'est Carlos Alcaraz qui l'emporte.
00:03:14Son deuxième Roland en 5-7.
00:03:165h29 de jeu, tu le disais, Anso.
00:03:18La finale la plus longue de l'histoire de Roland Garros.
00:03:19Pourtant, c'est bien Yannick Siner qui remporte les deux premiers sets.
00:03:22Il a même raté trois balles de match, comme vous le voyez ici, dans le troisième set.
00:03:25On pensait que c'était acquis, honnêtement, pour l'Italien.
00:03:27Mais Alcaraz a du répondant.
00:03:28Il est revenu de loin.
00:03:29Et tout va se jouer dans cette finale au Super Tyreek.
00:03:352-7-0 avec trois balles de match contre lui.
00:03:36Alcaraz écrit l'histoire et remporte donc son cinquième grand chelam sur la terre de Roland Garros.
00:03:41Et on va y consacrer une grosse partie de notre émission, bien sûr.
00:03:45Pour en parler, on accueille la spécialiste tennis de la chaîne L'Équipe, Camille Macalli.
00:03:50Elle a parlé Roland tous les soirs dans l'EDS.
00:03:53Et je pense qu'elle va encadrer la une du jour.
00:03:55Oui, parce qu'elle est magnifique.
00:03:56Rejoins-nous, Camille.
00:03:58Tu vas nous dire, toi, dans quel état tu étais.
00:03:59Elle est trop belle.
00:04:00Elle est trop belle.
00:04:01Elle est magnifique.
00:04:02On va la voir, bien sûr.
00:04:03J'ai rêvé d'avoir ces deux hommes qui partagent la une.
00:04:06Et franchement, bravo, chapeau, l'équipe.
00:04:09Ah oui, t'aurais regretté qu'il y ait seulement l'Espagnol.
00:04:11Oui, oui, oui, oui.
00:04:12Elle est magnifique, cette une.
00:04:14On va la découvrir.
00:04:15Mais toi, tu étais dans quel état, Camille, un peu avant 21h, hier soir ?
00:04:18C'est quoi le sentiment qui est ressorti en premier ?
00:04:20J'ai abandonné mon fils.
00:04:22Ah oui, c'est radical.
00:04:25Déjà, le début, je lui ai dit, écoute, là, cet après-midi, je ne suis pas dispo pour toi.
00:04:29Pour une fois, il a eu le droit de manger devant la télé.
00:04:31Ça n'arrive jamais.
00:04:32Mais toutes les règles ont sauté, ont pété.
00:04:34Et puis, je n'ai pas très bien dormi.
00:04:36J'étais vraiment partagée, en fait, après ce qu'on a vécu.
00:04:40Sentiment d'avoir touché presque un truc inimaginable.
00:04:44Énormément de joie pour Carlos.
00:04:46Énormément de tristesse pour Yannick.
00:04:48Non, franchement, je n'arrivais pas à redescendre, en fait.
00:04:50Là, tout juste, je commence.
00:04:52Ça commence là ?
00:04:52Oui, j'ai encore les frissons d'en parler, quoi.
00:04:55Donc, oui, c'était fou.
00:04:58On va profiter de ton expertise, Camille.
00:04:59Tu vas nous dire où tu la classes, cette finale, par rapport aux autres matchs dans le panthéon du tennis mondial.
00:05:06Mais Séverine, tu es la seule sur ce plateau qui était sur le Châtrier.
00:05:09Alors, raconte-nous, raconte-nous à quel point l'ambiance était surréaliste ?
00:05:12En fait, j'ai eu l'impression d'assister à un moment d'histoire.
00:05:15Je pense que tous ceux qui étaient là, qui étaient présents sur le Châtrier, ont eu le même sentiment.
00:05:19Ça a basculé dans l'irréel quand Carlos a sauvé ses trois balles de match dans le quatrième set.
00:05:24Là, tu bascules dans un truc complètement différent.
00:05:26C'est le lunaire.
00:05:27Et là, tu as une ambiance très particulière sur le Châtrier.
00:05:30Donc, à base, tu as assez partagé, en fait, côté Siner, côté Alcaraz.
00:05:34Et puis, quand Carlos sauve ses trois balles de match, il prend avec lui toute la foule.
00:05:38Et là, c'est vrai que là, toute la foule était vraiment pro Alcaraz.
00:05:41J'avais trop de la peine pour Yannick Siner.
00:05:43C'était beaucoup trop triste.
00:05:45Mais il avait été chercher le public.
00:05:46Et moi, j'ai eu des frissons comme toi, Camille, du début à la fin.
00:05:50Encore aujourd'hui, je ne suis toujours pas redescendue.
00:05:51Tu as trop d'adrénaline parce que tu assistes clairement à un moment, je pense, très spécial dans le tennis.
00:05:58Avoir deux joueurs comme ça en finale qui ont un tel niveau.
00:06:00Je pense que le niveau de jeu qu'on a vu hier, je pense qu'on l'a plus vu depuis très, très longtemps dans le tennis.
00:06:07Pour que deux joueurs soient au même moment, au même niveau.
00:06:09Surtout dans les deux derniers sets, surtout dans le dernier set.
00:06:12On a vu des choses, des coups complètement surréalistes et assez irréels à des moments clés, en fait, de la partie.
00:06:19Et moi, ce que j'ai vécu, c'est très particulier.
00:06:21Moi, j'ai fini en pleurs.
00:06:23Voilà, j'avoue, je le dis, j'assume.
00:06:24Oui, j'avoue, parce que c'est trop particulier, en fait.
00:06:28Et je te rejoins, Camille.
00:06:29Évidemment, tu es content pour Carlos Alcaraz, mais Yannick, il a fait une quinzaine exceptionnelle.
00:06:34Il surdomine au début, quand même, Carlos Alcaraz.
00:06:37Moi, pour le deuxième set, quand il mène 3-0, je me dis, mais allez, Carlos, il est blessé.
00:06:40Ce n'est pas possible de prendre 3-0 comme ça d'emblée.
00:06:43Et en fait, c'est tellement, il est fort.
00:06:45Mais c'est très particulier ce qu'on a vécu.
00:06:47On est vraiment très chanceux d'avoir, que ce soit devant la télévision ou même sur place,
00:06:51très chanceux d'avoir vécu ce moment et de pouvoir en parler.
00:06:54Et on va revenir sur cette nouvelle ère.
00:06:56Mais c'est vrai que cette finale, c'était le final en apothéose d'un tournoi fantastique.
00:07:00Quand même, un Roland qui s'est ouvert avec les adieux de Nadal.
00:07:04Peut-être le dernier Roland-Garros de Djokovic.
00:07:06On s'est dit, c'est la fin d'une ère.
00:07:07C'est la fin peut-être d'un certain tennis, d'une élégance.
00:07:10Et puis, bam, hier soir, on s'est pris cette claque-là.
00:07:13Ça marque encore un peu plus l'histoire de ce tournoi.
00:07:16Dans le sens où, en fait, ce n'est pas les sportifs qui font le tournoi.
00:07:19C'est le tournoi qui fait les sportifs.
00:07:20Et qu'il est indémodable.
00:07:23Et que peu importe ceux qui arrêtent, ceux qui ont connu,
00:07:25ceux qui ont marqué l'histoire comme Nadal.
00:07:27Il y en a d'autres qui prennent le flambeau et qui racontent d'autres histoires.
00:07:29Il y a eu la petite boisson.
00:07:30Mais sur ce match-là, j'ai eu l'impression...
00:07:33Alors, je ne suis pas un expert tennis.
00:07:34Déjà, j'ai réussi à quasiment tout regarder.
00:07:37Ce qui est un exploit.
00:07:38Non, mais ce qui est un exploit.
00:07:39Parce que regarder un tennis, déjà, un match de 3h30, c'est compliqué.
00:07:43C'est long.
00:07:43Là, plus de 5h, je ne me suis jamais ennuyé.
00:07:47J'ai voulu faire une sieste à un moment donné.
00:07:48Je n'ai même pas pu faire mes lois.
00:07:49Parce que chaque coup était magique.
00:07:50Mais c'est ça qui est fou.
00:07:51C'est que tu te rends compte que tu n'as pas le droit d'avoir un dixième de retard
00:07:56si jamais tu veux gagner un point.
00:07:58Les deux, là, ils s'envoyaient des missiles de tous les côtés.
00:08:01Ça partait dans tous les coins.
00:08:02Je me suis dit, mais en fait, si tu veux survivre dans ce match-là,
00:08:05tu es obligé d'être un génie.
00:08:06Tu ne peux pas jouer sinon.
00:08:07Là où je ne suis pas d'accord avec toi, c'est sur le début.
00:08:10Oui, parce qu'en fait, tu dis que ce ne sont pas les sportifs qui font le tournoi.
00:08:14Là, clairement, c'est ce qui s'est passé.
00:08:15C'est le scénario qui fait que cette finale, elle entre dans la légende de Roland-Garros.
00:08:20Mais elle place ce Roland-Garros 2025 dans la légende de l'histoire du tennis.
00:08:25Tout le monde avait peur que Roland-Garros de cette année ne soit plus là.
00:08:27Il y a eu plein de finales ratées entre les meilleurs joueurs de la planète.
00:08:31Oui, mais c'est sûr.
00:08:32On aurait pu avoir trois sets de Carlos parce qu'il était largement favori avant cette finale.
00:08:36On aurait pu avoir trois sets de Siner vu le début du scénario.
00:08:40Et en fait, c'est les deux qui font basculer cette édition 2025 au plus haut, le plus grand Roland qui a jamais eu depuis des décennies et des décennies.
00:08:50Alors, je n'ai pas regardé les années 1940 et 1950.
00:08:53Et puis, on n'avait pas de vidéo à cette époque-là.
00:08:56Mais ce que je veux dire, c'est qu'en fait, si, c'est ce niveau-là, ces sportifs-là qui ont mis ce Roland-Garros-là au panthéon du tennis.
00:09:04Brahim, on ne t'a pas encore entendu sur cette finale.
00:09:07Mais ce Roland, toi aussi, en tout cas, tu l'as vu en tant que spectateur.
00:09:10Oui, mais c'est vrai que cette finale, je te rejoins, elle apporte une édition assez exceptionnelle.
00:09:18Moi, je crois que c'est le plus beau match que j'ai vu de toute ma vie.
00:09:20Je n'ai pas le souvenir d'avoir eu un match aussi intense sur cinq heures de jeu.
00:09:25Ça s'est rendu coup pour coup.
00:09:26J'ai l'impression de voir un combat de boxe, mais de très haut niveau, avec une finesse, avec une technique.
00:09:30Et surtout, deux adversaires super junkleman.
00:09:33Tout était parfait.
00:09:34En fait, franchement, c'était le match parfait.
00:09:36Avec une situation, un rebondissement hors norme, un mental chez moi, quand je vois le 3-0 à 40-0.
00:09:44Franchement, je me dis, vous savez, c'est plié.
00:09:47Quand il arrive à revenir, je me dis, mais ce sport, déjà, il est dingue.
00:09:50Mais même le mental de Sydney, parce que quand t'encaisses que tu viens de rater tes trois balles de match
00:09:54et que tu repars au cinquième comme il repart, en fait, le mental des deux, Alcaraz est presque acculé, donc il est obligé.
00:10:00Mais tu vois, Sydney, à chaque jeu, les athlètes étaient touchés, ébranlés.
00:10:08Est-ce qu'ils étaient capables de tenir la distance ?
00:10:10C'était ça en permanence.
00:10:12Et en fait, c'est comment tu tiens 5 heures physiquement, techniquement, avec autant d'intensité.
00:10:16Franchement, avec beaucoup de justesse, j'ai l'impression que plus le match avançait, plus les points étaient importants
00:10:20et plus les coups étaient encore plus fous.
00:10:23Et cette domination, Alcaraz-Sinner, elle commence à se dessiner tout en haut du tennis mondial.
00:10:27Elle se voit de plus en plus.
00:10:28Juste parce que si on regarde les six derniers grands chelèmes, c'est soit Carlos Alcaraz-Sinner qui l'a remporté,
00:10:33l'Open d'Australie, on est remonté en 2024.
00:10:35Du coup, 2024, l'Open d'Australie, c'est Sinner, Alcaraz pour Roland.
00:10:38Ils se sont un peu partagé tout ça.
00:10:39Ça ressemble quand même fortement au début d'une ère de domination.
00:10:41Matt Villander en a parlé d'ailleurs aujourd'hui dans l'équipe.
00:10:43Regardez ce qu'il a déclaré.
00:10:45Ces deux joueurs vont propulser le jeu à un niveau inimaginable.
00:10:47Et si leurs rivaux ne sont pas prêts à les suivre, ils sont immédiatement largués.
00:10:50On rappelle, Carlos Alcaraz, il a 22 ans, Sinner 23.
00:10:53Camille, il faut s'attendre à une surdomination du tennis de leur part ou c'est juste un petit effet qu'on commence à avoir au début ?
00:10:59Alors moi, j'avais un gros doute parce que moi, j'ai grandi avec l'ère Federer, Nadal qui est arrivé, qui l'a bousculé.
00:11:06Tu avais un gros doute sur le fait qu'ils puissent dominer tous les deux ?
00:11:08J'étais hyper nostalgique depuis 2-3 ans en me disant, mais qu'est-ce qui va se passer après dans le tennis ?
00:11:12Alors oui, il y aura des émergences, des stars, etc.
00:11:15Mais là, ils ont déjà répondu présent en fait.
00:11:17Ils ont déjà expliqué aux gens qui aiment le tennis et à la planète entière.
00:11:20Mais nous, on a pris le flambeau, ne vous inquiétez pas les gars.
00:11:24Très assumé, je suis d'accord.
00:11:26Et même le discours d'Alcaraz hier après la finale en disant, tu me pousses déjà dans mes retranchements, j'ai une admiration, etc.
00:11:31Ça crée une rivalité, mais c'était parfait.
00:11:33En fait, ils ont endossé le sac de tennis de 4 autres.
00:11:37Parce qu'il y a l'image du début de tournoi où on voit le Big Four et on se dit, c'est la page qui se tourne, on pleure tous, Rafa a dit adieu, etc.
00:11:44Djoko va bientôt arrêter, on ne sait pas s'il sera là à Roland ou pas.
00:11:47Mais en fait, eux deux, ils sont là, ils assument et en plus ce qu'ils proposent, ténistiquement parlant, est encore plus fort que ce qu'on n'a jamais vu.
00:11:55Et on sent leur relation qui se crée.
00:11:57Je ne sais pas comment c'était depuis Roland, mais quand ils aident les arbitres à décider, qu'ils disent non, non, mais ça c'était d'or, etc.
00:12:04Il y a un respect énorme entre les deux.
00:12:05Je voudrais de le préciser, le fair play sur cette finale, mais du début à la fin, c'était incroyable.
00:12:11Il n'y a pas eu de pause pipi, il n'y a pas eu de problème avec l'arbitrage, quoi que ce soit, c'était le jeu uniquement.
00:12:17Après, dans la vraie vie, moi je les ai beaucoup suivis évidemment en dehors du terrain.
00:12:20Ils se détestent.
00:12:21Non, non, justement.
00:12:22Non, non, justement, non, justement pas.
00:12:26Franchement, le professionnalisme, ils sont très différents, les deux, ils n'ont rien à voir.
00:12:30Il y a Carlos Alcaraz qui sourit tout le temps, qui est très heureux d'être là, il montre toutes ses émotions.
00:12:34Et il y a Alex Siner qui est beaucoup plus fermé, qui est beaucoup plus timide.
00:12:36Je pense que c'est un peu de la timidité.
00:12:38Il est timide.
00:12:38Oui, oui, exactement.
00:12:40Après, le week-end, il tue des gens.
00:12:41Non, mais il est très agréable.
00:12:43C'est d'exter.
00:12:43Non, il est très agréable.
00:12:44Non, il est génial.
00:12:45Je n'ai pas d'exter.
00:12:47Non, on ne peut pas dire ça.
00:12:48Non, non, c'est vraiment, en fait, c'est le visage qu'il a sur le terrain, parce qu'en dehors, ce n'est pas du tout ça.
00:12:52C'est un peu comme quand Rapha était sur le terrain.
00:12:54Je suis désolée, c'était un peu un Terminator.
00:12:57Une fois que tu le prenais en dehors, ce n'est pas du tout la même personne.
00:12:59Là, c'est la même chose.
00:13:01Yannick, tu as l'homme de terrain et puis tu as l'homme en dehors qui est complètement différent.
00:13:04Carlos Alcaraz, il a la banane sur le terrain.
00:13:07C'est la même chose en dehors également.
00:13:09Et même leur façon de travailler est très différente.
00:13:11Il y a beaucoup de répétitions chez Yannick Siner.
00:13:13Il est un peu moins accessible.
00:13:14Il refuse les interviews après practice, par exemple.
00:13:17Moi, j'ai eu Carlos Alcaraz juste avant sa finale.
00:13:20Il est venu m'y parler pendant vraiment cinq minutes.
00:13:21Il y avait tout le monde qui était là.
00:13:23Il était auquel il me parlait.
00:13:24Il avait une finale dans une heure et demie, une heure et demie après.
00:13:26Yannick, il est beaucoup plus dans sa bulle.
00:13:28Non, je reste.
00:13:28Je suis assez concentrée, etc.
00:13:29C'est deux profils très, très différents.
00:13:31Et franchement, là où je te rejoins par rapport au niveau, à cet âge-là, à 22 et 23 ans,
00:13:38avoir déjà une telle palette de coups, parce qu'ils sont tous les deux très complets,
00:13:41et avoir atteint ce niveau-là, je pense qu'on n'a jamais vu.
00:13:44Parce que même le Big Four, ils n'avaient pas atteint ce niveau-là à 22 et 23 ans.
00:13:48C'est-à-dire qu'ils ont tous adapté leur jeu, etc., en fonction de l'adversité,
00:13:51mais là, ce qu'on a vu hier, ce dont on a été témoin, c'est vraiment assez exceptionnel.
00:13:56Alors justement, à quel point c'est exceptionnel ?
00:13:59On t'a demandé, Camille, juste avant l'émission, où tu l'as classée, cette finale ?
00:14:02C'est vrai, on entend toute cette petite musique.
00:14:05Aujourd'hui, est-ce que c'est la plus belle finale de tous les temps ?
00:14:07Alors, on a pris ton top 3.
00:14:09On commence par la troisième finale.
00:14:12Le troisième match, en tout cas, le plus beau de tous les temps pour toi, c'est celui-là ?
00:14:16Alors, non, c'était la finale Nadal Djokovic 2012, 5h53 de baston.
00:14:23C'était de la baston, je ne sais pas si Brain, tu l'as déjà vu ou tu as vu même, ne serait-ce que quelques échanges.
00:14:28Là, c'était une dimension physique qui n'avait jamais eu lieu avant.
00:14:31Et ces deux mecs-là ont exploité leur mental à tous les niveaux.
00:14:37Enfin, là, pour le coup, le tennis était entré dans une dimension physique que moi, je n'avais jamais connue,
00:14:43mais qui se ressentait après 6 heures d'effort.
00:14:47Et donc, on avait atteint un sommet d'un autre monde.
00:14:50Et donc, la finale...
00:14:50C'est donc des chaises pour s'asseoir pendant la cérémonie...
00:14:53Oui, tellement il s'était épuisé.
00:14:54Exactement, tellement il s'était épuisé.
00:14:55La finale d'hier, devant ou derrière ?
00:14:57Je la mets déjà à top 2.
00:14:59Top 2.
00:14:59Même si je pense qu'elle va se bonifier avec l'âge.
00:15:02Ah, c'est quand même un bon vin.
00:15:03Là, je ne peux pas la mettre numéro 1.
00:15:07Je vous expliquerai pourquoi.
00:15:08Mais en fait, elle est déjà à top 2 parce qu'on a déjà tous les ingrédients pour en faire quelque chose d'exceptionnel.
00:15:13Alors, ils sont au début.
00:15:15Ils sont au début de leur carrière de star.
00:15:17Ils sont au début de...
00:15:18On a pris la relève, etc.
00:15:19Mais au fur et à mesure qu'il y aura ce duel qui va s'installer,
00:15:23là, c'est leur 12e confrontation, mais il y aura d'autres finales de grand-chalé.
00:15:25C'est la première en grand-chalé.
00:15:26C'est la première, voilà.
00:15:28Et je pense que plus ça va vieillir, plus on va se dire,
00:15:30mais vous vous rendez compte de ce qu'ils étaient capables de faire ?
00:15:32Parce qu'il y aura d'autres finales où, en fait, il y aura 3-7 pour l'un, ou 4-7,
00:15:36mais ce ne sera pas très beau.
00:15:37L'intensité va baisser parfois.
00:15:38Il y aura le stress.
00:15:39On ne verra pas.
00:15:39À chaque fois que vous vous rencontrez, on ne verra pas ce qu'on a vu hier.
00:15:41Mais franchement, c'est improbable.
00:15:43Ce qui rend exceptionnel cette finale, en réalité, en tout cas de mon point de vue,
00:15:46c'est que je n'avais pas de préférence, moi, sur qui je préférais le voir victorieux.
00:15:51Et en fait, c'est ce qui me rend encore cette finale encore plus dingue,
00:15:53parce qu'ils m'ont embarqué et chaque coup me rendait dingue,
00:15:57parce que c'était comme si c'était celui que j'avais préféré, en fait.
00:16:00Donc, c'était un match palpitant.
00:16:03Oui, mais plus la rivalité va se dessiner,
00:16:05et plus, certainement, on choisira l'un ou l'autre camp.
00:16:07C'est là où on a été le plus neutre, en fait.
00:16:08Ce match, c'est là où on sera le plus neutre, sans doute,
00:16:11durant ces confrontations.
00:16:13Toi, tu disais qu'il y avait un parti pris dans le public.
00:16:15Moi, de la télé, j'avais l'impression qu'à chaque coup,
00:16:17depuis le début du match, en fait, chaque coup, les gens se levaient.
00:16:20Et que ce soit pour l'un ou l'autre, en fait,
00:16:21ils étaient juste comme on a la tête, kiffaient eux.
00:16:23Au début, oui, mais clairement, quand Carlos Alcaraz a sauvé
00:16:25les trois balles de match, en fait, le public voulait un cinquième set.
00:16:28Donc, forcément, ils ont poussé pour Carlos Alcaraz
00:16:30pour avoir le cinquième set.
00:16:32Tu vois, c'est vraiment... Et donc, c'est ce qui s'est passé.
00:16:33Et puis, il a été prendre le public, etc.
00:16:34Mais sinon, non, c'était hyper partagé.
00:16:36Limite, même plus pour Yannick Sinor au début.
00:16:38Vraiment, sur place, je me suis dit, attends, je suis assez étonnée.
00:16:40Moi, je l'aime beaucoup, Sinor.
00:16:41Mais tout le monde était debout, t'as raison.
00:16:42Fin du suspense.
00:16:44Quelle est la plus belle finale de tous les temps ?
00:16:46Non, mais là, il y a un aspect affectif aussi.
00:16:48Ah, je sais ce que tu vas mettre.
00:16:49Wimbledon 2008.
00:16:50Oui, Wimbledon 2008.
00:16:51Mais oui.
00:16:52Non, mais alors, parce que ça, c'est lié au fait que, en fait,
00:16:54Roger a terminé sa dominée.
00:16:56Elle l'appelle Roger.
00:16:57Oui, c'est pour les intimes et je me sens très intime avec lui.
00:17:01Mais il a terminé, c'est ce jour-là où Rafa a pris le pas
00:17:04sur sa domination sur Roger.
00:17:06C'est ce jour-là où Rafa est devenu un joueur beaucoup plus complet.
00:17:09Là aussi, le scénario était fou, mais c'était lié à la pluie,
00:17:12interruption, retournement de situation.
00:17:15Et puis 9-7 dans le cinquième set.
00:17:18Moi, presque hier, je vous le dis, j'aurais aimé qu'il n'y ait pas de super tie-break.
00:17:21Même si Carlos Alcaraz a eu un niveau stratosphérique
00:17:24qui n'existera plus jamais dans un super tie-break
00:17:26où on va jusqu'en 10, j'aurais aimé qu'il y ait deux jeux d'écart
00:17:29pour que ça dure encore peut-être une heure de plus.
00:17:33En tout cas, oui, on peut se satisfaire d'avoir vécu un très très grand moment hier.
00:17:38Ils ne sont pas loin déjà du Graal.
00:17:40Pas loin, ils sont en deuxième position selon le classement de Cam.
00:17:44Alors justement, sur quoi ça s'est joué ?
00:17:46Le mental ou pas ?
00:17:47En tout cas, Alcaraz y a répondu sur cette dimension psychologique grecque.
00:17:50Exactement, il est revenu un peu sur la justesse, la technique.
00:17:53À chaque fois qu'il fallait qu'il joue chaque coup de chaque point dans cette rencontre,
00:17:56ça a été une vraie preuve mentale pour faire face à Yannick Siner.
00:17:59J'ai dû me battre tout le temps et j'ai dû croire en moi.
00:18:06Honnêtement, au début du premier set, j'avais l'impression que tout était en sa faveur.
00:18:11Je sentais que tout ce qu'il faisait allait lui permettre de gagner et de ne pas commettre d'erreur.
00:18:15Il frappait très fort, il allait jusqu'au bout.
00:18:17C'était mon sentiment à la fin du premier set.
00:18:20J'ai donc essayé de chasser ces pensées de mon esprit et de continuer à avancer et à me battre.
00:18:26Évidemment, le public et les gens ont été très importants pour moi aujourd'hui.
00:18:29Tout le public a été formidable, mais il y avait quelques personnes qui m'ont vraiment aidé et j'apprécie cela.
00:18:34Peut-être que sans eux, je n'aurais pas pu revenir.
00:18:40Cyril, il revenait de très très loin, honnêtement, Carlos Alcaraz.
00:18:42Est-ce que le mental, finalement, c'est la seule chose qui a peut-être fait la différence dans cette rencontre ?
00:18:46Parce que ténistiquement, c'était parfait des deux côtés.
00:18:49Petit inside, Raphaël était quand même là sur cette finale.
00:18:51Il y a la fameuse plaque sur le cours.
00:18:53J'avais eu Alcaraz deux jours avant.
00:18:55Il disait, moi, les moments où je suis un peu down, je pense à cette plaque et à Raphaël Nadal sur ce cours.
00:18:59Je dis que ça me donne de la force.
00:19:01On parle de mental.
00:19:02Il dit que cette plaque-là l'aide vraiment même à évoluer à un très haut niveau et mentalement.
00:19:06Ça a été une bataille psychologique énorme.
00:19:10On se dit que quand on voit le niveau des deux, ça s'est joué dans le cerveau, non ?
00:19:14Ça s'est joué dans la tête.
00:19:14Et en fait, Carlos a montré des ressources qu'on prêtait à un Djokovic, à un Nadal, mais qu'il n'avait jamais eu encore.
00:19:22Alors, sans revenir sur la stat, il n'avait jamais remonté de 7 à 0.
00:19:25Mais même à tenir sur ces trois sets qui l'empochent, il a mangé la tête de Yannick Sinner au fur et à mesure.
00:19:30Et c'est cette domination-là qui va commencer à faire mal à Yannick Sinner, un peu comme ça avait fait mal entre Nadal et Federer.
00:19:36C'est-à-dire que mentalement, Carlos, il a prouvé aujourd'hui qu'au-delà du joueur tennis champagne, du joueur imprévisible, capable de coups exceptionnels, il est capable d'avoir une force mentale.
00:19:48En plus, il l'a dégagé physiquement.
00:19:51Il regardait son clan, il était là.
00:19:52Ne vous inquiétez pas, avec sa petite moula, je suis arrivée.
00:19:55Et dès la fin du match, il dit à Sinner, tu gagneras, Roland.
00:19:59Oui, mais bon, ça c'est des politesses.
00:20:01Oui, mais quand même, ça m'a plu à écouter.
00:20:03C'est la vision romantique que j'ai du tennis, ça m'a beaucoup attendrie.
00:20:06Bon, vous entendez la petite musique, on est obligé de partir en pub, même si on pourrait encore parler sans doute pendant 5h29 de cette finale exceptionnelle.
00:20:13Après la pub, on parle de deux autres sportifs qui, eux aussi, sont entrés dans la légende de leur discipline hier.
00:20:18C'est Delphine Delru et Tom Jiquel, les deux badistes, sont devenus les premiers Français à décrocher un titre dans un tournoi Super 1000.
00:20:25On en parle après une courte pause.
00:20:37Ryan Cherki à City, ça se rapproche.
00:20:40C'est une enfole équipe, selon Hugo Guillemet et Loic Tanzy.
00:20:43Lyon et Manchester City sont tombés d'accord pour le transfert de l'international français.
00:20:46Tous les détails sur le montant et la durée du contrat, ce sera dans quelques instants, juste après la planète sport.
00:20:54On commence, Pierrot, avec un moment historique dans cette planète sport, bien sûr, en badminton, le doublé Tom Jiquel, Delphine Delru.
00:21:05Ils ont été sacrés, les Français, en Super 1000, en Indonésie.
00:21:08C'est une grande première dans l'histoire du badminton français.
00:21:12Une victoire en patron en 2-7, 21-16, 21-18 contre une paire thaïlandaise.
00:21:15Ça, c'est le volant de match.
00:21:17Regardez, c'est assez fou.
00:21:18Le volant va venir, ça ne se passe pas sur la gauche de votre écran, s'écraser sur le bord de la ligne.
00:21:22Ce n'est pas très bien jugé par le thaïlandais, mais ça touche.
00:21:24C'est validé dans un petit moment de flottement.
00:21:26Les Français auront été écossaux.
00:21:27Donc, félicitations à notre duo qui écrit l'histoire du bad français.
00:21:30C'est tout simplement merveilleux.
00:21:32On était très contents de le suivre, d'ailleurs, sur l'équipe live.
00:21:34Direction un petit peu de basket maintenant.
00:21:35La finale de la Betlique Elite, direction finale pour le pari basketball.
00:21:39Les Parisiens s'imposent 103 à 93 face à Bourg-en-Bresse.
00:21:43C'est la deuxième finale de suite que les Parisiens pourront jouer.
00:21:45Après, c'est le perdu.
00:21:46La saison derrière face à Monaco.
00:21:48L'homme de cette rencontre, c'est lui, TJ Short.
00:21:49C'est tout simplement intouchable.
00:21:5127 points et 14 fases décisives.
00:21:53Un vrai récital du meneur américain.
00:21:55Nadirifi, lui, termine avec 19 points inscrits.
00:21:58En face, Bourg-en-Bresse n'aura pas démérité.
00:22:00Mais Paris était tout simplement trop fort, emmené par ces deux phénomènes.
00:22:04Une finale, donc, qu'ils pourront certainement retrouver leur bourreau de la saison passée.
00:22:11C'était Monaco, enfin, c'est qu'ils avaient perdu.
00:22:13Qui mène 2-1 dans la série face à Las Velles après sa victoire hier, 74 à 64.
00:22:18Après une semaine de polémique et toujours sans Mike James,
00:22:20les monégasques ont pu compter sur les 15 points de ma majorité.
00:22:24Et comme souvent, sur Mathieu Strasel, très inspiré dans les moments clés de ce match.
00:22:28Il termine avec 14 points et 3 passes décisives.
00:22:29Monaco, ici même, a affiché un 15-0 à son adversaire pour mêler 19-12 en début de partie.
00:22:35La Rocca Team mène donc 2-1 dans la série.
00:22:37Il peut valider sa qualification pour la finale de Bethlich Elite demain, devant son public, sur son parquet.
00:22:43Les finales de NBA, maintenant, battues lors du premier match au Clermont-Oma,
00:22:47a réagi en dominant les Indiana Pacers, 123 à 107,
00:22:51avec un très gros match de chez Gijus Alexander.
00:22:54La superstar canadienne a inscrit 34 points.
00:22:57En plus de ses 8 passes décisives, il a été tout simplement impressionnant.
00:23:01Un match dominé de bout en bout par Oklahoma.
00:23:03Les Pacers sont comptés jusqu'à 23 points de retard avant même la mi-temps.
00:23:07Ils ont déroulé.
00:23:08Les compteurs sont donc désormais remis à zéro avant les deux prochains matchs
00:23:11qui auront lieu du côté d'Inanapolis.
00:23:13C'est une sacrée perve quand même dans l'histoire de ces finales NBA.
00:23:16Ils sont complètement remis.
00:23:17Ils ont réussi à renverser un petit peu le cours de ces finales.
00:23:20On continue avec, cette fois-ci, un moment aussi d'histoire pour certains Français.
00:23:25Oui, du sport français.
00:23:26On parle de Andes et c'est les Français du Barça qui ont remporté la Coupe du Roi.
00:23:30Ils ont écrasé le club de Léon en finale ce dimanche 34 à 25.
00:23:35Alors après le championnat, la Coupe d'Espagne et la Supercoupe Ibéric,
00:23:37c'est donc un quadruplet pour nos Français.
00:23:39Dicamem, Timothée Nguesson, Melvin Richardson et Vincent Gérard.
00:23:42Notre journaliste Alex Gonti a contacté l'ancien gardien des Bleus.
00:23:45On le rappelle qu'il était sorti de sa retraite en avril dernier en tant que joker médical.
00:23:50Il savoure ce que fait, même si le Final Four de la Ligue des Champions, bien sûr, reste en toutes les têtes.
00:23:57Ça reste un titre et il faut le savourer.
00:24:01Maintenant, on est à Iroun, on est rentré dans la nuit justement pour pouvoir profiter d'une journée de repos complète.
00:24:07Donc on a fêté, mais sans plus, parce que réellement, toutes les têtes sont à ce week-end à Cologne.
00:24:15C'était une opportunité en or qui cochait toutes les cases pour pouvoir me faire sortir de ma retraite.
00:24:23Et je ne regrette absolument pas parce que ça m'a permis de replonger un petit peu dans le handball de très haut niveau,
00:24:29de découvrir un nouveau championnat et d'avoir la possibilité de gagner de nouveaux titres
00:24:34et de revivre des expériences incroyables.
00:24:36Donc je savoure pleinement cette expérience et là, cette dernière semaine, cette fois-ci, en tant que handballeur professionnel.
00:24:45Merci à Vincent Gérard d'avoir partagé un petit peu avec nous quand même.
00:24:48Il vit une expérience assez fabuleuse aussi, Pierre.
00:24:50Honnêtement, Vincent Gérard, il sort de sa retraite, il arrive, il gagne des trophées, il kiffe et puis il retourne à la retraite.
00:24:56Il dit la dernière semaine, ça a le titillé.
00:25:00Oui, peut-être, mais je ne suis pas convaincu.
00:25:03Déjà, prendre la décision de partir à la retraite, c'est compliqué.
00:25:05Là, je pense qu'il y avait un contexte qui fait qu'il a replongé,
00:25:08mais il n'a absolument, je pense, aucune ambition pour continuer à faire quoi que ce soit.
00:25:11Si je me rappelle bien, je crois que sa famille est restée déjà.
00:25:13Lui, il est parti tout seul, il fait son truc, il est champion, après il rentre.
00:25:17Le truc est sobre et efficace.
00:25:18En plus, il peut aller chercher un quadruplet historique pour le Barça avec sa Final Four, la Ligue des Champions.
00:25:23Et pour terminer, dans cinq jours, c'est le top départ de la 93e édition des 24h du mois.
00:25:28Un événement à suivre, on le rappelle, en direct, bien sûr, sur la chaîne L'Équipe à partir de samedi 8h35.
00:25:33C'est l'une des courses les plus attendues de l'année avec un duel entre les pilotes et constructeurs,
00:25:37notamment dans la catégorie Rennes, les hypercars.
00:25:39Petite présentation de ces votes sûrs, c'est un sujet préparé par Tanguy Carouas.
00:25:45L'hypercar, c'est la catégorie Rennes.
00:25:47Année de naissance 2021.
00:25:49Cette voiture sort du garage pour remplacer les LMP1, apporter un coup de boost au championnat
00:25:54et donner envie à de nouveaux constructeurs de venir en endurance.
00:25:58Certes, l'hypercar roule moins vite que sa prédécesseur, 345 km heure au compteur quand même,
00:26:04mais surtout, elle coûte moins cher à concevoir.
00:26:07Résultat, après cinq ans d'existence, on en trouve de toutes les couleurs.
00:26:11Il y a la rouge Ferrari, la bleue Alpine, la verte Aston Martin ou encore la Doré Cadillac.
00:26:22La machine est un peu lourde, une tonne sur la balance, mais la course au poids n'est pas un problème.
00:26:31En fait, pour garantir une issue spectaculaire et incertaine,
00:26:34les écarts de performance sont régulés par la Fédération internationale.
00:26:38Carrément dix voitures peuvent s'imposer aujourd'hui au Mans.
00:26:42C'est fou, c'est génial ce record on est en train d'assister.
00:26:45Conséquence, chaque année, plus de constructeurs s'engagent.
00:26:49Pour l'instant, seuls Toyota et Ferrari ont remporté le Mans en hypercar.
00:26:53Mais il y a de l'espoir pour les autres et surtout cette année.
00:26:56Sur les 21 voitures au départ en 2025, 14 équipages peuvent légitimement viser la victoire.
00:27:04Ça va être un week-end exceptionnel sur la chaîne L'Équipe dès samedi 7h30, 8h30.
00:27:118h30, il va se lever très très tôt, mes sauts de Benterky.
00:27:12Et toute l'équipe auto autour aux 24 heures du Mans.
00:27:18Qu'est-ce que tu dis, Pierre ?
00:27:19Mais Saoud ne dort jamais.
00:27:20Oui, c'est vrai.
00:27:21Pas beaucoup.
00:27:22Là, en plus, tu l'as déjà fait là, pendant 24 heures.
00:27:25Elle le fait fâchement bien.
00:27:26Mais tu fais super bien.
00:27:29Ah, pas mal.
00:27:30Bon travail.
00:27:31Donc voilà, les 24 heures du Mans, ça va être fantastique.
00:27:34Et ce sera samedi à partir de 8h35 sur la chaîne L'Équipe.
00:27:38Nous, on enchaîne avec l'info mercato de la journée.
00:27:41Et c'est donc Ryan Cherki à Manchester City.
00:27:43C'est une question d'heures et c'est une info l'équipe.
00:27:46Exactement.
00:27:46Les dirigeants de l'Olympique lyonnais et ceux de Manchester City sont arrivés à un accord ce matin.
00:27:51C'est d'après les informations de nos journalistes Ugo Guimail.
00:27:53Avec Tanzi, les dirigeants lyonnais ont négocié de vendre leurs joueurs de 21 ans pour 42,5 millions d'euros.
00:27:58Il y a un gros 40,5 millions de transferts, plus 2 millions de bonus.
00:28:02L'OL conservera également 15% sur une éventuelle plus-value à la revente.
00:28:06Et enfin, les Citizens devraient également prêter un élément de leur équipe au club français la saison prochaine.
00:28:12Cherki va s'engager dans les prochaines heures jusqu'en juin 2030 avec le club anglais.
00:28:17Guardiola, lui, compte sur Cherki pour la Coupe du Monde des clubs qui démarre dans quelques jours aux Etats-Unis.
00:28:21Donc ça devrait se faire assez rapidement.
00:28:23C'est une bonne opération pour l'OL aussi qui va faire rentrer de l'argent dans les caisses avant son passage devant la DNCG.
00:28:29Ça sera, on vous le rappelle, le 24 juin prochain.
00:28:32Alors, pour en parler dans quelques instants, il y aura Giovanni Castaldi avec nous.
00:28:35Je crois que c'est lui qui est en train de crier depuis les coulisses.
00:28:38Mais Pierre, un mot d'abord sur ce transfert.
00:28:40Bon, c'est une petite musique quand même depuis plusieurs semaines.
00:28:43Il vient de passer devant la caméra, Giovanni Castaldi, impeccable.
00:28:45Mais il débute dans la télé, c'est l'insupportable.
00:28:48Il est novice.
00:28:49Bon, Pierre, un petit mot quand même.
00:28:52Quand la rumeur a commencé à s'installer, ça t'a étonné ?
00:28:55Pas forcément parce que le fait qu'il soit international
00:28:58met un petit peu quand même le bonhomme.
00:29:01Et puis, je trouve qu'il était arrivé justement à la fin d'un cycle avec Lyon.
00:29:06C'était prédestiné depuis un petit moment.
00:29:08Maintenant que ce soit Manchester City, je pense que le club
00:29:10et ceux qui ont pensé à lui pour succéder un petit peu
00:29:14à ce qu'a fait De Bruyne du côté de City.
00:29:16Je trouve que le profil est parfait.
00:29:18Et je crois que c'est un joueur qui va être en mesure
00:29:20de s'adapter quasiment à toutes les équipes avec qui il va s'engager.
00:29:25C'est-à-dire que là, il va jouer et s'entraîner avec des phénomènes.
00:29:28Je pense qu'il sera en mesure de jouer comme un phénomène.
00:29:30Et à s'adapter aussi aux exigences de Guardiola ?
00:29:32Je pense. En tout cas, s'il veut progresser,
00:29:33il faut qu'il aille avec les meilleurs qui vont être très exigeants avec lui.
00:29:35Tout le monde connaît son talent.
00:29:37Et il y avait beaucoup de monde qui doutait de son exigence à lui personnel
00:29:41pour prendre en charge son métier.
00:29:43Là, il a marqué quand même pas mal de points.
00:29:45Il a montré des choses si toute la saison est avec l'équipe de France
00:29:48avec qui il ressort gagnant de ce rassemblement.
00:29:51Et je suis convaincu qu'en fait, quand Guardiola te demande de faire certains efforts,
00:29:55tu les fais un peu plus que quand c'est un autre.
00:29:57Surtout quand t'es Ryan Cherki et qu'on connaît ton talent.
00:30:00Donc moi, je suis très heureux pour lui et je suis très heureux aussi pour sa carrière.
00:30:03Eh bien, on va continuer à en parler.
00:30:05Ça y est, il a repris son souffle.
00:30:06On va appeler Giovanni Castaldi pour en parler.
00:30:08Il a vu Ryan Cherki hier encore en petite finale de la Ligue des Nations.
00:30:12C'est notre monsieur foot et il revient d'Allemagne.
00:30:14Mais je crois qu'il ne veut plus du tout y aller.
00:30:16Ça va, ça suffit.
00:30:17L'Allemagne, c'est dernier souffle.
00:30:18C'est sûr.
00:30:19Mais pourquoi, trop de Bretzels ?
00:30:20Ça fait deux ans, tu vas tout le temps.
00:30:22Ah non, mais sur le terrain, c'était exceptionnel.
00:30:24Là, les Allemands, je ne peux plus là.
00:30:25Ah, les Allemands.
00:30:26Les Bretzels, non ?
00:30:27Ah non, la nourriture, c'est tout.
00:30:29C'est gras, il faut courir plus longtemps.
00:30:30C'est très embêtant.
00:30:31Les jorques, les chaussettes, les claquettes.
00:30:33Franchement, je suis quand même bien content qu'on les ait tapés 2-0.
00:30:36Oui.
00:30:37Ça fait plaisir.
00:30:37Donc, la France a remporté cette petite finale.
00:30:39La France qui termine 3e de cette compétition de la Ligue des Nations.
00:30:43On verra les images avec toi, Greg, dans quelques instants.
00:30:46Mais donc, Ryan Cherky à Manchester City.
00:30:48Ça y est, bon, là, on a lu sur le site L'Équipe avec Hugo et Loïc que c'était une question d'heure.
00:30:53Toi, étonnement, surprise, logique.
00:30:56Quel est ton sentiment sur ce transfert ?
00:30:58Absolument pas surpris parce que si on revient un an avant, il devait déjà en fait signer au Paris Saint-Germain.
00:31:05Quand on voit, et d'ailleurs maintenant c'est connu de tous, quand on voit l'exigence de Luis Enrique,
00:31:09Luis Enrique voulait absolument Ryan Cherky.
00:31:12Il devait s'engager avec le Paris Saint-Germain.
00:31:15Il ne le veut plus ?
00:31:16Comment ?
00:31:16Il ne le veut plus ?
00:31:17Là, ils ont pris en fait Désiré Doué.
00:31:19Je pense qu'avec Doué, ils sont bien.
00:31:21Et le Paris Saint-Germain ne s'est absolument pas repositionné cet été.
00:31:24Mais quand on a un coach de la dimension de Luis Enrique,
00:31:26qui fait de vous sa priorité,
00:31:29quand on voit la manière avec laquelle il traite en fait les jeunes joueurs,
00:31:33voilà, ça dit tout du potentiel qu'a Ryan Cherky.
00:31:36Il a eu une saison en plus pas facile à aborder avec l'OL
00:31:39parce qu'il est dans le loft en début de saison.
00:31:41Il n'est pas toujours titulaire.
00:31:42Il y a eu beaucoup de remue-ménage en interne.
00:31:44Et il a produit sa meilleure saison.
00:31:45Et pour l'avoir suivi également en espoir lorsqu'il était avec Thierry Henry,
00:31:50ce qui s'est passé en fait durant les Jeux Olympiques,
00:31:52ça l'a énormément servi parce que Thierry Henry était extrêmement sévère avec lui.
00:31:56Mais pour la bonne cause, ils ont eu des échanges humains absolument fantastiques.
00:32:01Et Ryan Cherky, il a vraiment une fausse image.
00:32:03Les gens parfois ont un peu un délit de sale gueule avec lui.
00:32:07Mais il faut savoir que c'est quelqu'un qui, dans tous les groupes où il est passé,
00:32:09est adoré par ses partenaires.
00:32:12C'est quelqu'un qui, à l'entraînement, est toujours à 200%.
00:32:14C'est un gamin, il adore le jeu, il adore jouer.
00:32:17Et il a une super personnalité.
00:32:18Et on sait que les coachs comme Guardiola, comme Luis Enrique,
00:32:21accordent beaucoup d'importance à la personnalité des garçons.
00:32:24Donc moi, ça ne me surprend pas que Guardiola a mis sur lui.
00:32:26Toutefois, il a commencé à Lyon.
00:32:28Il a signé ses premiers contrats pro.
00:32:29Donc là, c'est son premier transfert de l'OL.
00:32:32On ne s'attendait pas à un club intermédiaire.
00:32:35Là, on a un top club européen d'entrée pour Ryan Cherky.
00:32:38C'est ce qu'il mérite, moi, je trouve, tout simplement, de par son talent.
00:32:40Et en plus de ce que tu dis, Joe, par rapport à son comportement et son professionnalisme,
00:32:44au final, c'est quand même assez cohérent.
00:32:45Et ce que disait Pierre est tout à fait juste.
00:32:47Tu n'as plus Kevin De Bruyne, tu as un manque de créatif, etc. à City.
00:32:50C'est la fin d'un cycle aussi dans ce club-là.
00:32:52On le sait très bien.
00:32:53C'est un petit peu particulier.
00:32:56Je suis travaillé avec Pep Guardiola.
00:32:58Mais je ne sais pas si on se rend compte quand même de la dinguerie pour lui,
00:33:01pour ce jour-là, de travailler avec un tel entraîneur.
00:33:03Je pense qu'il va prendre encore une autre dimension.
00:33:05Il a déjà pris une autre dimension, surtout depuis le rassemblement avec les Bleus.
00:33:08Je pense qu'il est encore plus explosé aux yeux des gens.
00:33:11Mais là, je pense qu'il va prendre une autre dimension.
00:33:13Ça va être hyper plaisant pour nous à suivre.
00:33:16Mais vraiment.
00:33:17Mais moi, je ne suis pas trop étonnée non plus.
00:33:18Je trouve que ce qui mérite.
00:33:19Sur l'aventure humaine, Anso, c'est important de préciser que,
00:33:23alors que tout était fait avec le Paris Saint-Germain,
00:33:27lui et son entourage, au dernier moment,
00:33:28en fait, avaient privilégié une aventure à l'étranger.
00:33:31Il était question, potentiellement, qu'il rejoigne le Borussia Dortmund.
00:33:34Donc lui, par rapport à sa réflexion personnelle,
00:33:37ça fait un an aussi qu'il se prépare potentiellement.
00:33:38Il a déjà avancé.
00:33:39Oui, à partir de France, à vouloir...
00:33:41Donc il est prêt, quoi.
00:33:42Voilà, il est prêt.
00:33:43Il avait envie de ça aussi, de découvrir autre chose.
00:33:45Mais enfin, je suis complètement d'accord avec ce que tu disais.
00:33:48Le coût de ne pas être sélectionné dans un premier temps pour les JO,
00:33:51plus le love derrière, en fait, c'est ce qu'il lui fallait.
00:33:54Il est dans un club où il est payé 300 000 balles depuis trois ans.
00:33:59375 même.
00:34:00Non, mais ce que je veux dire, c'est qu'il était dans un fauteuil
00:34:02où c'était l'espoir, en fait, depuis qu'il a 16 piges.
00:34:05On connaît la faculté des supporters et des bad guns,
00:34:08enfin, de tout cet environnement qui met tout le temps en avant.
00:34:12On est le meilleur centre de formation d'Europe, voire du monde.
00:34:15Et on est les meilleurs tout le temps.
00:34:16Et donc quoi ? Le risque, c'était qu'il s'endorme ?
00:34:18Mais il s'est endormi.
00:34:19Il s'est endormi pendant trois ans.
00:34:21Le fait d'avoir compris qu'il pouvait passer à côté de sa carrière
00:34:24avec un coup de pelle derrière la nuque pendant les paris 2024,
00:34:27je pense que ça lui a rendu le plus grand des services.
00:34:30Et il y a eu un avant et un après, justement, ce loft et tout ce qui s'est passé.
00:34:33Parce qu'à un moment donné, le club, il n'est pas plus fou que les autres.
00:34:36Il dit, écoute, soit tu bouges, soit tu pars maintenant.
00:34:38Mais à un moment donné, il va falloir faire un choix.
00:34:39Et il a pris le bon parce qu'il fait sa meilleure année, en fait.
00:34:42Tu trouves ça sexy, toi, Brahim ?
00:34:44Cherki à City, c'est rigolo.
00:34:46On a fait un petit montage avec Cherki avec le maillot de City.
00:34:49Ça lui va plutôt bien.
00:34:49Très bon.
00:34:50Il va très bien.
00:34:52Oui, parce qu'il arrive à maturité.
00:34:55Comme l'a très bien dit Pierre, le loft lui a fait du bien.
00:34:58Et surtout d'avoir un Thierry Henry.
00:35:00Au moment où il le prend, il le prend sans doute avec un discours.
00:35:03Donc il y a eu un travail sans doute de fait psychologique.
00:35:05Ah oui, ils ont été extraits.
00:35:06Ils ont beaucoup parlé ensemble.
00:35:07Exactement.
00:35:08Et qui lui a fait comprendre qu'il ne fallait pas louper le wagon.
00:35:11Voilà ce qu'il fallait faire pour être ce que tu désires.
00:35:17Et de montrer au monde entier les qualités que tu as réellement.
00:35:19d'être avec un guard zolaï.
00:35:21De toute manière, quand vous avez un français qui parle étranger en général,
00:35:25en général, c'est les structures.
00:35:26C'est les aides à prendre un peu le haut niveau d'une autre manière.
00:35:29Parce que tu as moins de divertissement.
00:35:31Il faut que tu t'intègres à un groupe.
00:35:33Il faut que tu t'intègres à la langue.
00:35:34Donc d'un coup, mine de rien, tu deviens un peu plus minutieux dans ce que tu fais.
00:35:37Tu n'as pas le choix.
00:35:38Donc tu dois te faire respecter dans un groupe par le travail que tu fais au quotidien.
00:35:41Et puis si la machine est bien mise en route, en général, ça suit bien.
00:35:45Et surtout, sur le timing de City, c'est parfait pour lui.
00:35:48Parce que c'est un City qui est revanchard.
00:35:50Tu as une reconstruction de l'effectif.
00:35:52C'est la fin d'un cycle.
00:35:54Donc tu es à la base du nouveau cycle.
00:35:55Ils ont commencé cet hiver avec les arrivées de Marmouch et de Nico, de Kouzanov, de Victor Reis.
00:36:02Là, il se renforce encore cet été.
00:36:05Donc il va pouvoir être à la base du nouveau projet de Pep Guardiola.
00:36:08Donc en termes de timing, je trouve que c'est idéal.
00:36:10Elle a de la gueule cette compo, Greg, avec Sheryl Lacent.
00:36:13On a imaginé une compo d'équipe.
00:36:14Il faut le rappeler aussi que Kevin De Bruyne va quitter le club.
00:36:17Que Grealish, lui aussi, devrait partir.
00:36:19Donc il y a un petit peu de place, finalement, pour Ryan Scherke.
00:36:20Il est parti, Grealish.
00:36:21Non, déjà ?
00:36:21Non, il était encore là.
00:36:22Non, il était encore là.
00:36:23Ça peut-être pas vu.
00:36:24On a mis Ryan Scherke dans ce milieu.
00:36:28Un peu dans un schéma quasiment qu'on pourrait peut-être jouer un petit peu l'équipe de France ces derniers temps.
00:36:32D'ailleurs, Haaland, aux côtés de Marmouch Silva, devant Rodrigo Wendogen.
00:36:35Deux joueurs qui sont capables de récupérer beaucoup de ballons.
00:36:38Ça pourrait coller dans ce schéma-là pour toi, Giovanni ?
00:36:40Est-ce que c'est la meilleure position, peut-être même le meilleur club pour qu'il puisse vraiment tout donner dans l'expression de son talent ?
00:36:46Honnêtement, avec Pep Guardiola, déjà, il va prendre 4 ou 5 postes parce que c'est tellement hybride.
00:36:51Donc, on peut l'imaginer aussi jouer un peu sur les côtés.
00:36:53Oui, et puis l'effectif va encore bouger parce que là, ils ont fait le jeune Ryan Aitnouri, le joueur de Wolverhampton, le latéral algérien.
00:37:00Ils essayent aussi de prendre Reinders, le milieu de terrain néerlandais du Milan.
00:37:04Donc, je pense qu'il va être utilisé sur toutes les zones de l'attaque.
00:37:07Mais c'est quelqu'un aussi, on sait que Guardiola, il aime bien mettre des profils dynamiques qui ont de la qualité de passe dans le cœur du jeu.
00:37:13Moi, je pense que Ryan Scherke, dans un système en 4-3-3, s'il acquiert le volume et la capacité de placement,
00:37:20il peut tout à fait apporter la créativité dans un milieu à 3, comme Désiré Doué, par exemple, peut le faire parfois avec Louis-Henriquet.
00:37:27Ça va être important parce que les carences de Ryan Scherke, elles sont sans ballon.
00:37:30Et quand on voit la progression de Doué sans ballon en un an avec un coach comme Louis-Henriquet, tu te dis qu'il peut en faire un phénomène.
00:37:36Tu penses qu'il peut en faire un Kevin De Bruyne ?
00:37:37C'est sûr.
00:37:39Oui, ce coup Guardiola peut emmener Ryan Scherke.
00:37:43Aussi important que lui.
00:37:45Je pense qu'il y a deux choses qui sont importantes sur ce transfert.
00:37:49Déjà, la personnalité de Ryan Scherke.
00:37:51Ryan Scherke, c'est un joueur qui pense et qui a une vision du foot comme dans les années 90-2000.
00:37:56C'est bizarre, mais il pense vraiment à l'ancienne.
00:37:58Il veut faire du spectacle.
00:38:00Je pense qu'il a une vision du jeu qui n'est pas comme les autres.
00:38:03Il voit des trucs que toi, tu ne vois pas, même à la télé.
00:38:05Mais même au stade.
00:38:06Là, l'autre fois, quand il rentre sur l'Espagne, il y a des zones de passe.
00:38:10Mais pourtant, tu as le terrain devant toi.
00:38:12Tu ne vois pas.
00:38:13Par contre, même s'il a du talent, il a une culture foot, il a un QI foot dans le placement et dans la tactique qui est vraiment au-dessus de la moyenne.
00:38:21Et en fait, quand tu connais De Bruyne, qui était capable d'envoyer des ogifs comme un quarterback et de faire des trucs que tu ne voyais pas.
00:38:27Mais pour moi, c'est exactement le successeur dans le profil.
00:38:30Il va être au corps du jeu.
00:38:31L'objectif de Guardiola, ça va être de donner lui le ballon.
00:38:33Si c'est ça, c'est exceptionnel.
00:38:35Il faut que tu sois libre.
00:38:35Et j'ajoute sur Kevin De Bruyne, parce que nous, on aime bien taper sur les Français, etc.
00:38:39Mais Kevin De Bruyne a géré au quotidien sur l'éthique de travail, sur tout ça.
00:38:44Ça n'a pas toujours été simple.
00:38:45Il y avait eu des soucis de comportement.
00:38:46Ça va être plus simple avec Cherky.
00:38:48Quand il revenait de vacances, il mangeait bien en vacances.
00:38:51On sait que Guardiola, avec le poids, il est très difficile.
00:38:55Ryan Cherky, il faut savoir que depuis deux ans sur la préparation athlétique, quand on le voit, son corps a totalement changé.
00:39:01Ça va être plus facile.
00:39:02Mais il a compris que c'était un métier.
00:39:03Je ne sais pas, plus facile, parce que De Bruyne, c'est un monument.
00:39:06Mais en tout cas, Guardiola, même sur des personnalités très difficiles, il est capable de faire un travail phénoménal.
00:39:11On va continuer de parler de Ryan Cherky juste après une courte pause.
00:39:16D'ici là, vous pouvez aller sur le site L'Équipe pour retrouver toutes les informations autour de ce transfert.
00:39:21Nous, après la pub, on va parler vélo avec la victoire de Tadej Pogacar sur la première étape du Criterium du Dauphiné.
00:39:27C'était hier.
00:39:28La deuxième étape, elle vient de se terminer.
00:39:31On en parle juste après une courte pause.
00:39:33Cristiano Ronaldo en larmes après la victoire du Portugal.
00:39:46C'était en Ligue des Nations hier soir.
00:39:47Victoire au tir au but face à l'Espagne.
00:39:50Cristiano Ronaldo, on en parle dans quelques instants, puisque le planète foot de Grégoire Noéli approche.
00:39:55Mais d'abord, on a encore des choses à dire sur le transfert de Ryan Cherky à Manchester City.
00:40:00On se demandait il y a quelques instants jusqu'où Guardiola peut l'emmener.
00:40:04Eh bien, il y a un de nos consultants, Greg, qui a un projet assez élevé pour lui.
00:40:09Qui a visé assez haut pour Ryan Cherky, c'est Joe Micou, qui est, on le rappelle, le consultant sur l'équipe du soir.
00:40:15Le consultant star, Greg.
00:40:16Le consultant star, mais pas au sein de mes excuses.
00:40:18C'est contractuel.
00:40:19Non, mais il revenait juste après le match face à l'Espagne de l'équipe de France.
00:40:23Cherky, c'est son premier match, 34 minutes face à l'Espagne, il y a récite à l'offensive pour les Lyonnais.
00:40:28Et puis, Johan Micou, lui, il voit en Cherky un futur candidat très crédible au Ballon d'Or s'il signait à Manchester City.
00:40:35Si c'est un match à City, je pense qu'on en parlera rapidement pour le Ballon d'Or.
00:40:38Mais non, mais c'est un ressenti, parce que moi, ça fait un moment que je le suis ce joueur,
00:40:42et j'adore, et qu'il me saoulait par ses attitudes, par son comportement un peu négatif pendant les matchs.
00:40:48Et je trouve qu'il a vachement progressé là-dessus.
00:40:50Donc, c'était le truc manquant.
00:40:51Et là, ce soir, quand il rentre, je trouve qu'il n'est pas uniquement à jouer pour lui,
00:40:54à faire des drips qu'il pouvait faire à l'époque, même s'arrêter s'il était…
00:40:58Il n'a pas du tout.
00:40:58Oui, c'est ça.
00:40:59Là, il était, il avait le Ballon, il cherchait des solutions.
00:41:01S'il voyait qu'il n'en avait pas, hop, il faisait…
00:41:03Et il était juste dans ses choix.
00:41:04Donc, je pense qu'en plus, si tu le mets dans les pattes de Guardiola,
00:41:08je pense que dans une équipe comme City, on va en parler souvent, souvent.
00:41:10Et donc, des exploits, il va en faire.
00:41:12Avant de parler de…
00:41:18C'est un peu tôt.
00:41:18On le rappelle, il n'a jamais fait de très, très grands matchs.
00:41:21En tout cas, dans la durée, on parle quand même du Ballon d'Or.
00:41:23Ce n'est pas juste le petit trophée du championnat.
00:41:25Non, non, mais il dit faire partie des candidats.
00:41:28Moi, je pense que quand tu…
00:41:29Le candidat, c'est un, deux ou trois, non ?
00:41:31Non, mais même si Ryan Cherky, dans deux ans, il est top 10 du Ballon d'Or,
00:41:36ça sera une performance qui est énorme.
00:41:38Moi, je pense qu'avec ce qu'il a dans les pieds, footballistiquement parlant,
00:41:41c'est quelqu'un, s'il arrive à s'imposer à Manchester City,
00:41:45en fait, ses images de matchs vont faire le tour du monde.
00:41:48On le voit, Désiré Doué ou la mini Yamal cette saison.
00:41:53En termes de stats, par exemple, la saison d'Yamal,
00:41:55elle est deux fois moins forte que celle d'Ousmane Dembélé.
00:41:57Mais en revanche…
00:41:58L'impact.
00:41:59L'impact, c'est les joueurs qui brûlent la rétine.
00:42:01Désiré Doué, c'est pareil.
00:42:03Et Ryan Cherky, moi, je n'oublierai jamais ça de toute ma vie,
00:42:07grâce à la chaîne, quand j'ai suivi les espoirs.
00:42:10Quand tu es au bord de la pelouse et que tu vois Cherky,
00:42:13c'est hallucinant la claque que tu prends.
00:42:15C'est-à-dire que ce n'est pas un garçon qui est spécialement rapide.
00:42:18Mais Pierre le dira sans doute mieux que moi.
00:42:20Mais quand tu arrives à être trois fois plus rapide que les autres,
00:42:21quand tu as la balle dans les pieds,
00:42:23parce que tu as une capacité de fréquence et de conduite de balle,
00:42:26c'est stratosphérique et c'est un truc que tu vois tous les 5-6 ans.
00:42:29On ne s'enflamme pas un tout petit peu, quand même,
00:42:31candidat crédible au ballon d'or, selon toi ?
00:42:33Non.
00:42:34On ne s'enflamme pas.
00:42:35En fait, c'est le genre de joueur…
00:42:37Ça me fait penser un petit peu à Ben Arfa,
00:42:39qui était…
00:42:40Tous les joueurs qui ont joué avec lui,
00:42:41ils ont dit que c'est le meilleur joueur que j'ai vu de ma vie.
00:42:43Oui, sauf qu'il n'a pas eu de ballon d'or.
00:42:45Non, mais personnalité différente.
00:42:46Et puis, façon de voir le foot.
00:42:48Enfin, lui, il commence à être câblé pour devenir ce qu'il a envie de devenir.
00:42:51Et les choix sont plutôt bons.
00:42:53Et on a bien vu qu'il n'était pas gêné pour tirer du pied gauche,
00:42:56du pied droit, du talon.
00:42:58Il fait ce qu'il veut.
00:42:59Enfin, il fait ce qu'il veut.
00:43:00Avec…
00:43:01Il gripe des gens.
00:43:03Il a l'impression que c'est un effaceur,
00:43:05tellement il les gomme.
00:43:06Évidemment qu'il est impressionnant.
00:43:08Maintenant, le talent, ça fait 5 ans, 6 ans qu'on sait qu'il l'a.
00:43:12Maintenant, il faut essayer de le prouver.
00:43:14Et Giovanni a totalement raison sur le fait que…
00:43:16Le fait de faire des espoirs à Lyon,
00:43:17ce ne sera pas pareil quand c'est à City.
00:43:19Donc, on verra comment ça va se passer.
00:43:20Maintenant qu'il est international, c'est encore mieux.
00:43:22Tant mieux qu'il soit chez nous.
00:43:23On va parler maintenant de ton deuxième sport préféré.
00:43:26La bicyclette.
00:43:26Deuxième sport de…
00:43:27Bien sûr, Pierre.
00:43:28Avec le critérium du Dauphiné,
00:43:30ça a commencé hier avec la première étape.
00:43:32La deuxième, c'était aujourd'hui.
00:43:34On va parler déjà de ce qui s'est passé hier.
00:43:35Ça a commencé très, très fort,
00:43:36notamment avec Pogacar.
00:43:37Mais résumé de l'étape du jour avec toi, Greg.
00:43:39Oui, bien sûr.
00:43:40On a même espéré une victoire française
00:43:41sur cette deuxième étape.
00:43:42C'est Romain Bardet, notre Français,
00:43:44qui a attaqué à 18 kilomètres de l'arrivée.
00:43:46Il avait jusqu'à 15 secondes d'avance.
00:43:47Mais finalement, il se fait rattraper à 9 kilomètres de la fin.
00:43:50C'est quand même bien tenté de sa part.
00:43:52De toute façon, il pouvait le tenter.
00:43:54Et puis, tous ces joueurs au sprint,
00:43:55comme vous le voyez, c'est Jonathan Milan
00:43:56qui s'impose à l'issue d'un sprint impressionnant.
00:43:59Milan, qui était lâché plus tôt dans la journée.
00:44:01Il a réalisé une remontée incroyable.
00:44:02Il devance donc Fred Wright et Mathieu Van Der Poel.
00:44:05Milan, sauf même le maillot jaune,
00:44:06il le reprend donc à Tadej Pogacar
00:44:07qui lui finit dans le cœur du peloton 41e place
00:44:09pour les autres concurrents.
00:44:10Vingegaard lui aussi termine 35e.
00:44:12On va en parler de Tadej Pogacar
00:44:14avec notre consultant en cyclisme
00:44:16sous les palmiers d'Orléans,
00:44:18me dit-on dans l'oreillette.
00:44:19Avec Pierre Roland qui est avec nous.
00:44:21Non, mais c'est indécent.
00:44:22C'est indécent cette vue.
00:44:24T'es toujours pas en vacances,
00:44:25t'es toujours dans ton jardin Pierre, salut.
00:44:27Je suis toujours à la maison du côté d'Orléans.
00:44:31Ça te plaît ça, un bel pub pour Orléans ?
00:44:33Eh oui, ça me plaît
00:44:35parce que je sais que vous êtes bien enfermés.
00:44:38C'est pas sympa ça.
00:44:39Bon Pierre, raconte-tu
00:44:40comment tu vis ces deux premiers jours
00:44:42du Critérium du Dauphiné
00:44:43avec un départ en trompe quand même.
00:44:46Est-ce qu'on s'attendait ?
00:44:47Est-ce que ça parte si vite ?
00:44:49C'est un bel avant-goût du Tour de France.
00:44:51Alors oui, c'est parti très vite.
00:44:56Hier, on a eu une étape.
00:44:57On s'attendait à ce que ça bouge un petit peu.
00:45:00Il y avait une côte de 500 mètres
00:45:01à 5 kilomètres de l'arrivée.
00:45:02Mais une côte de 500 mètres
00:45:03pour des coureurs de ce niveau-là,
00:45:05on se dit que c'est pas grand-chose.
00:45:07Et là, Vingegaard qui attaque.
00:45:08Pogacar qui répond avec Mathieu Van Der Poel.
00:45:12Renko Evenepoel qui revient dans un second temps.
00:45:15Ils ont roulé comme des fous.
00:45:17Ils ont résisté au peloton.
00:45:18Une étape où il ne devait rien se passer.
00:45:19Les favoris sortent.
00:45:22Et ce qu'il y a de bien,
00:45:24c'est que sur le prochain Tour de France,
00:45:26il va avoir une semaine
00:45:27avec des étapes de ce profil.
00:45:30Pendant une semaine, ça ne va être que ça.
00:45:32Des petites bosses, des surprises
00:45:34concoctées un petit peu partout
00:45:35par les organisateurs.
00:45:36et on a des leaders qui n'hésitent pas
00:45:38à mouiller le maillot d'entrée de jeu.
00:45:40Alors, on sait que le critérium du Dauphiné,
00:45:42c'est un point de passage obligatoire
00:45:43et primordial, en tout cas, avant le Tour.
00:45:46Est-ce que ce qu'on voit là,
00:45:47ce qu'on a vu hier,
00:45:48c'est un avant-goût
00:45:49de ce qu'on va vivre en juillet, forcément ?
00:45:53Ce sera les mêmes prétendants
00:45:56et les mêmes coureurs.
00:45:57Vingegaard, Van Der Poel,
00:45:59Evenepoel, Pogacar.
00:46:01Ces quatre-là seront au départ.
00:46:03Il y aura même des Julien Alaphilippe
00:46:05et autres qui viendront un petit peu
00:46:06jouer les troubles faites.
00:46:09Mais c'est ces coureurs-là
00:46:11qui seront présents
00:46:12et qui vont faire la course,
00:46:13qui vont animer.
00:46:14Avec un Pogacar,
00:46:16il faut être sur le qui-vive
00:46:18en permanence.
00:46:19On ne peut pas lui laisser
00:46:20le moindre centimètre.
00:46:22Aujourd'hui, une étape
00:46:23où il ne devait rien se passer,
00:46:24encore une fois,
00:46:25on a vu Pogacar à l'avant
00:46:26jusqu'à 1,2 km.
00:46:28Il met la pression
00:46:29à tous ses adversaires
00:46:31et ça met le peloton sous tension.
00:46:34Giovanni, je t'entendais souffler,
00:46:36t'exclamer déjà
00:46:37quand on revoyait ces images.
00:46:39Tu es encore impressionné
00:46:40de ce que fait Tadej Pogacar ?
00:46:41Oui, de toute façon,
00:46:42je suis fan de Poggy.
00:46:44C'est monstrueux,
00:46:46mais ça ne m'étonne pas
00:46:47de le voir dans cet état.
00:46:49Moi, j'avais juste une question
00:46:50pour Pierre,
00:46:51parce qu'on sait que la préparation
00:46:52des deux est très différente,
00:46:54parce que Tadej Pogacar
00:46:55a eu déjà un calendrier
00:46:56sur la première partie de saison
00:46:57extrêmement rempli
00:46:58avec beaucoup de succès,
00:47:00alors que le point d'orgue
00:47:02et l'objectif numéro 1
00:47:03de Jonas Vingegord,
00:47:05c'est vraiment le Tour de France.
00:47:07Est-ce que tu le sens prêt
00:47:08au moins à faire le combat
00:47:10Jonas Vingegord
00:47:10ou pour toi,
00:47:12sur Poggy,
00:47:13c'est trop fort ?
00:47:17Oui, déjà,
00:47:19tout simplement,
00:47:20hier,
00:47:21c'est lui le premier à dégainer.
00:47:22On aurait tous imaginé
00:47:25que Pogacar aurait dégainé
00:47:27le premier,
00:47:27et non,
00:47:28c'est Vingegard
00:47:28qui a lancé les hostilités,
00:47:30et effectivement,
00:47:31ils n'ont pas du tout
00:47:32la même approche.
00:47:34Pogacar a eu un début
00:47:35de saison très dense,
00:47:37il a participé
00:47:38à toutes les classiques,
00:47:40aussi bien
00:47:40Flandrienne
00:47:41qu'Ardennes,
00:47:43donc il a eu un volume
00:47:44de compétition
00:47:45très important,
00:47:45des classiques
00:47:46qui peuvent aller
00:47:47jusqu'à 260 km
00:47:49par course,
00:47:50à contrario
00:47:50d'un Vingegard
00:47:52qui, lui,
00:47:53a abandonné
00:47:54sur la sixième étape
00:47:55de Paris-Nice,
00:47:57mi-mars.
00:47:57Il n'a pas recouru
00:47:59depuis mi-mars,
00:48:00donc diamétralement,
00:48:02un programme
00:48:03complètement opposé.
00:48:05On a joué
00:48:05la fraîcheur
00:48:06du côté de Vingegard,
00:48:07on a retravaillé,
00:48:08on a été beaucoup
00:48:09en altitude,
00:48:10en Sierra Nevada,
00:48:11du côté Tenerife,
00:48:12on a fait beaucoup,
00:48:13beaucoup d'entraînement.
00:48:16Un Pogacar
00:48:17qui, lui,
00:48:17a dû quand même
00:48:18se reposer un petit peu
00:48:19après toutes ces classiques
00:48:21et se rentraîner,
00:48:22il arrive avec,
00:48:23au final,
00:48:24très peu d'entraînement.
00:48:25Hier,
00:48:25c'était la brussette classique
00:48:26sur la chaîne L'Équipe,
00:48:27alors Pierre,
00:48:28il s'est un peu écharpé
00:48:28avec Théo
00:48:29au niveau de la prononciation
00:48:31des noms,
00:48:32là, pareil,
00:48:32lui,
00:48:33il dit Vingegard,
00:48:34toi,
00:48:34tu fais le malin,
00:48:35Vingegard.
00:48:35On m'a dit que c'était
00:48:36Vingegard,
00:48:37je n'en sais rien.
00:48:38Moi, à la base,
00:48:38j'étais comme Pierre,
00:48:39je voulais dire Vingegard,
00:48:40c'est plus simple.
00:48:40On va se contenter
00:48:41de Vingegard,
00:48:41non ?
00:48:42Je préfère.
00:48:43Une dernière question,
00:48:44Joe,
00:48:44pour Pierre ?
00:48:45Jésus,
00:48:46sur l'étape du jour,
00:48:47parce que c'est Jonathan Milan
00:48:48qui a gagné encore,
00:48:49encore une fois,
00:48:50Lidl Trek qui a brillé.
00:48:52Est-ce que toi,
00:48:52tu es impressionné
00:48:53par ce qu'ils font cette équipe ?
00:48:54C'est vrai qu'on n'en parle
00:48:55pas toujours,
00:48:55on parle beaucoup de Visma,
00:48:57on parle beaucoup
00:48:57de la UAE,
00:48:58mais Lidl Trek,
00:48:59ils font un énorme début,
00:49:01une très bonne saison en l'état.
00:49:03Alors,
00:49:04Lidl Trek,
00:49:05ils sont arrivés dans le cyclisme
00:49:06il y a deux ans,
00:49:07un an et demi maintenant
00:49:08et ils sont arrivés très forts,
00:49:09ils ont recruté très dur.
00:49:12Pour moi,
00:49:12désormais,
00:49:13c'est clairement
00:49:14la deuxième équipe
00:49:15en concurrence
00:49:16avec la Visma,
00:49:17loin derrière la UAE
00:49:18qui écrase
00:49:19toute la concurrence
00:49:20avec un effectif XXL.
00:49:23Mais Lidl Trek,
00:49:25ils sont là
00:49:25tout le temps,
00:49:26ils jouent
00:49:27les victoires
00:49:28principales,
00:49:28ils n'ont pas tellement
00:49:30de coureurs
00:49:31pour le classement général
00:49:32donc c'est pour ça
00:49:32qu'on ne pense pas
00:49:33toujours à eux
00:49:33mais sur le tour
00:49:35avec leurs sprinters,
00:49:37ils vont certainement,
00:49:38ça va être le duel,
00:49:40le sprinter
00:49:41de la Lidl Trek
00:49:42face à Philippe Seine
00:49:43qui a gagné hier
00:49:45la Bruxelles classique,
00:49:46ça va être vraiment
00:49:47ce duo de sprinters
00:49:48qui vont se jouer
00:49:49beaucoup d'étapes.
00:49:50Sur cette deuxième étape,
00:49:51on a quand même
00:49:52une sacrée frayeur
00:49:53à 72 km de l'arrivée,
00:49:54on va vous montrer
00:49:55cette image,
00:49:55c'est une voiture
00:49:56qui a surpris un petit peu
00:49:57les cyclistes
00:49:57à une intersection,
00:49:58la personne semblait
00:49:59sortir de chez elle,
00:49:59regardez ça se passe
00:50:00à gauche de votre écran,
00:50:01l'intersection n'était pas
00:50:02vraiment sécurisée visiblement,
00:50:04Pierre, ça aurait pu mal
00:50:04se terminer quand même
00:50:05ce genre de situation,
00:50:06comment ça peut encore arriver ?
00:50:08Alors, vous savez,
00:50:10on en a parlé,
00:50:11on était venu longtemps en plateau,
00:50:13il y avait Pierre,
00:50:14il me semble,
00:50:14c'était à l'étoile de Bessèges,
00:50:16une course d'un niveau
00:50:17bien en dessous,
00:50:18le Dauphiné,
00:50:21et on avait expliqué,
00:50:22avec Christophe,
00:50:23on avait essayé d'expliquer,
00:50:25malgré le fait que ce soit
00:50:26une course de premier rang,
00:50:27c'est impossible
00:50:28de mettre un gendarme,
00:50:30un bénévole,
00:50:31devant chaque sortie de maison,
00:50:33devant chaque sortie de domicile.
00:50:35Sur le Tour de France,
00:50:37on y arrive,
00:50:38parce que tout le monde
00:50:39est mobilisé,
00:50:40mais sur une course
00:50:41aussi grande que le Dauphiné,
00:50:43c'est compliqué,
00:50:44et on peut avoir
00:50:45ce genre d'image.
00:50:48Merci beaucoup, Pierre,
00:50:49d'avoir réagi avec nous
00:50:50sur cette deuxième étape
00:50:51du Critérium du Dauphiné,
00:50:53et ce gros début
00:50:54de Critérium du Dauphiné
00:50:55pour les leaders.
00:50:57Le prochain rendez-vous vélo,
00:50:58continue à profiter
00:50:58des Palmiers à Orléans,
00:50:59parce que tu vas vite
00:51:00revenir au boulot quand même.
00:51:01C'est le 15 juin prochain,
00:51:02du 15 au 22,
00:51:03le Tour de Suisse,
00:51:04ce sera à suivre
00:51:05en direct
00:51:06sur la chaîne L'Équipe.
00:51:07Merci beaucoup,
00:51:08Pierre,
00:51:09et tout de suite,
00:51:10du boulot encore
00:51:11pour Grégoire Noël.
00:51:12Allez, on bascule.
00:51:13On bascule.
00:51:14C'est lundi,
00:51:14on vient,
00:51:15il faut y aller.
00:51:15Tu restes toujours avec nous,
00:51:16Jo.
00:51:17T'es bien,
00:51:17je suis bien.
00:51:19Pas la pression
00:51:19qu'il a envie de s'en aller.
00:51:20Oui,
00:51:20en plus,
00:51:21c'est son sport,
00:51:22c'est la planète foot.
00:51:23Très bien.
00:51:24C'est une jingle peut-être.
00:51:25Oui, bien sûr.
00:51:26On va commencer
00:51:27avec la finale
00:51:27de la Ligue de Nations,
00:51:28si vous le voulez bien.
00:51:29Il y a entre le Portugal
00:51:34depuis la création
00:51:35de cette Ligue des Nations,
00:51:37un match qui a été serré.
00:51:38C'est pourtant
00:51:38les Espagnols
00:51:39qui ont ouvert le score.
00:51:40On se situe
00:51:41à la 21e minute de jeu,
00:51:42le centre de Yamal.
00:51:43Regardez,
00:51:43ici, du gauche,
00:51:44c'est Rubén Diaz
00:51:45qui s'interpose,
00:51:46mais le ballon revient
00:51:46sur Zubimendi
00:51:47qui ouvre le score
00:51:48à bout portant 1-0.
00:51:49L'Espagne est bien partie
00:51:50dans cette finale.
00:51:52C'était plutôt maître
00:51:53de ce début de rencontre,
00:51:54mais le Portugal va réagir
00:51:56seulement 5 minutes plus tard
00:51:57avec un homme
00:51:58qui est très en forme là aussi,
00:51:59c'est Nuno Mendes
00:51:59qui va décrocher
00:52:00une superbe frappe croisée
00:52:02pour égaliser.
00:52:03C'est son tout premier but
00:52:04avec le Portugal.
00:52:05Il offre l'égalisation
00:52:06donc un partout
00:52:06peu avant la demi-heure
00:52:08de jeu.
00:52:08Et puis juste avant la mi-temps,
00:52:09les Espagnols repassent devant.
00:52:10C'est Pedri qui perce le milieu.
00:52:12Portugais qui offre
00:52:13la balle de but
00:52:13à ouvrir sa balle.
00:52:142 buts 1 donc pour l'Espagne.
00:52:16Mais encore une fois,
00:52:17le Portugal va revenir
00:52:17peu après l'heure de jeu
00:52:18grâce à son capitaine.
00:52:20Là ici, c'est Nuno Mendes
00:52:21qui élimine parfaitement Yamal
00:52:22qui est à la réception
00:52:23de ce centre un peu dévié.
00:52:24C'est Cristiano Ronaldo.
00:52:26La reprise de volée,
00:52:27le 2 partout.
00:52:27Il va céder sa place
00:52:28à Ramos en toute fin de match.
00:52:30Pas de but donc en prolongation.
00:52:31On part au tir au but.
00:52:33Tout le monde l'est réussi.
00:52:34Malheureusement,
00:52:34sauf Morata
00:52:35qui manque sa tentative
00:52:36côté espagnol.
00:52:37Ruben Neves lui offre
00:52:38le titre au Portugais.
00:52:40Cristiano Ronaldo
00:52:40va bien sûr
00:52:41soulever un nouveau trophée.
00:52:42Terminé en pleurs.
00:52:43Les Portugais font tomber
00:52:44l'Espagne champion
00:52:46d'Europe en titre
00:52:46qui avait été si impressionnant
00:52:48face à notre équipe de France.
00:52:49Le Portugal donc s'impose.
00:52:51Brahim, en voyant les larmes
00:52:52un petit peu de Ronaldo,
00:52:53t'es forcément ému.
00:52:55Il a quitté l'Europe
00:52:56en 2023 pour jouer
00:52:57en Arabie Saoudite
00:52:57et il continue finalement
00:52:58d'aider sa sélection
00:52:59et de gagner le trophée.
00:53:00Oui, c'est assez
00:53:01un même incroyable
00:53:02de voir à 40 ans
00:53:03à son âge
00:53:04d'avoir autant d'émotions
00:53:06de vivre encore
00:53:08pleinement les choses.
00:53:09On dirait que c'est
00:53:10son premier itinerard
00:53:10l'émotion avec la camé.
00:53:11Je le vois quand
00:53:12il y a une image
00:53:13qui m'a marquée
00:53:13c'est au tir au but.
00:53:14C'est quand il est
00:53:15derrière l'épaule
00:53:16de son ami.
00:53:17Et là, j'ai l'impression
00:53:18qu'il avait 15 ans
00:53:19et qu'il revivait les choses.
00:53:20Franchement,
00:53:20c'était assez incroyable.
00:53:21On l'a vu prier
00:53:22à multiples types
00:53:23de reprises.
00:53:24Voilà, c'est la beauté
00:53:26du sport.
00:53:26C'est des mecs
00:53:27qui se battent.
00:53:27Peu importe
00:53:28s'il est millionnaire.
00:53:29Il n'y a rien
00:53:29qui a changé
00:53:29dans sa manière
00:53:30de prendre du plaisir.
00:53:33Donc, ce n'est pas
00:53:33l'argent qui...
00:53:34Parce qu'on l'a accusé
00:53:35à un moment donné aussi
00:53:36de partir au Qatar
00:53:37pour x raisons.
00:53:38Au final, il démontre
00:53:38qu'il reste performant,
00:53:40qu'il est indispensable,
00:53:41qu'il arrive à marquer
00:53:41en demi-finale.
00:53:42En Arabie Saoudite, pardon.
00:53:43Il est marqué
00:53:438 buts d'ailleurs.
00:53:45Non, franchement,
00:53:45il est phénoménal
00:53:46et de voir ses émotions
00:53:47et de voir encore
00:53:48un mec de 7 trompes
00:53:49pleurer comme si
00:53:50c'était sa première
00:53:51plus gros trophée.
00:53:55Bravo, respect.
00:53:55Est-ce que Séverine
00:53:56ça prouve
00:53:57qu'il a le niveau encore
00:53:58pour aller à la Coupe du Monde ?
00:54:00Ça approche dans un an.
00:54:01Il continue en tout cas
00:54:02d'être efficace.
00:54:04Pour lui, oui.
00:54:04Mais est-ce que
00:54:05pour la sélection,
00:54:05c'est la bonne chose ?
00:54:06Franchement,
00:54:07ce qu'il apporte à un groupe,
00:54:08je ne verrai pas
00:54:08pourquoi je m'en priverais.
00:54:10Allez, OK.
00:54:10Il est plus ce qu'il était
00:54:12mais tu peux le faire jouer
00:54:12en joker.
00:54:13Il va accepter plein de choses.
00:54:14Mais oui, mais tu ne sais pas.
00:54:16C'est le Ronaldo,
00:54:17tu ne peux pas le faire jouer
00:54:17en joker.
00:54:18Pour son pays,
00:54:18je pense qu'il est capable
00:54:19d'être un joker
00:54:21à un moment donné,
00:54:21de laisser la place,
00:54:23de s'imposer
00:54:23s'il y a besoin de s'imposer.
00:54:24Pour l'instant,
00:54:24il ne demande plus
00:54:25de jouer dans plus 90 minutes.
00:54:27C'est des moments
00:54:28qui sont fiers.
00:54:29C'est romantique.
00:54:30Oui, moi j'adore.
00:54:32Est-ce que tous les sélectionneurs
00:54:33se sont...
00:54:33En fait, c'est respect.
00:54:35Oui, mais ça, on sait.
00:54:35Mais tous les sélectionneurs...
00:54:36D'avoir ce niveau-là,
00:54:37de ne pas lâcher.
00:54:43Par contre,
00:54:43il a eu ce problème-là
00:54:44avec Cristiano Ronaldo
00:54:45de cet âge-là.
00:54:46Pas de 40 ans,
00:54:46mais depuis qu'il a 37.
00:54:48C'est clair.
00:54:49De le mettre de côté,
00:54:49c'est très difficile
00:54:50de le mettre de côté
00:54:51parce que tellement
00:54:51tout ce qu'il incarne,
00:54:53il a même dit
00:54:53même si j'ai plus de jambes,
00:54:54je jouerai toujours
00:54:55pour la sélection,
00:54:56je donnerai toujours tout.
00:54:57C'est-à-dire, son pays...
00:54:58Je ne sais pas
00:54:59quel sélectionneur
00:54:59va oser le mettre sur le banc,
00:55:00va oser le mettre de côté.
00:55:01C'est bien, moi ça me va.
00:55:03Oui, mais parfois,
00:55:03tu te dis,
00:55:04peut-être qu'il y a d'autres joueurs
00:55:04qui peuvent...
00:55:13Je pense qu'il y a deux écoles.
00:55:14Il y a d'avoir des joueurs
00:55:16qui vont courir un petit peu plus
00:55:17pour lui,
00:55:17mais voilà, ça fait partie.
00:55:18Il y a un autre joueur
00:55:18qui m'a marqué
00:55:19dans cette sélection portugaise.
00:55:21Non, ce n'est pas le même.
00:55:21C'est Vitinha.
00:55:22C'est simplement parce que
00:55:23quand on regarde
00:55:23cette saison de Vitinha
00:55:25avec le PSG et le Portugal,
00:55:27c'est une Ligue des Champions,
00:55:28une Ligue des Nations.
00:55:29Il est champion de France,
00:55:29la Coupe de France,
00:55:30c'est Paris,
00:55:30il est dans l'équipe type
00:55:32de la Ligue des Champions,
00:55:33il est dans l'équipe type
00:55:33du championnat de France.
00:55:35Ballon d'or.
00:55:35Est-ce que c'est un candidat crédible
00:55:36pour un ballon d'or,
00:55:37Pierre, honnêtement, Vitinha ?
00:55:40Un peu à la façon de Rodry aussi.
00:55:43Il a brillé,
00:55:43que ce soit par les titres,
00:55:45par son jeu.
00:55:45En attendant,
00:55:46candidat crédible,
00:55:47tu le mets combien,
00:55:48par exemple, cette année ?
00:55:48Il sera dans le top 10 ?
00:55:4915 ?
00:55:5020 ?
00:55:50J'espère qu'il sera dans le top 10
00:55:51quand même,
00:55:51vu la saison qu'il fait.
00:55:52Moi, je pense qu'on n'arrive pas
00:55:54encore à mesurer
00:55:55l'importance qu'il peut avoir
00:55:57au sein de son équipe.
00:56:00Moi, j'ai rarement vu
00:56:01un joueur avec une capacité
00:56:03de toucher de balle
00:56:03comme il a lui.
00:56:04Il a des changements
00:56:06de direction techniquement.
00:56:08Il ne fait plus de mauvais choix,
00:56:10j'ai l'impression.
00:56:10Il est tout le temps juste.
00:56:11C'est lui qui donne
00:56:12le tempo de son équipe
00:56:13à chaque fois qu'il est là.
00:56:14Et je suis désolé,
00:56:15mais le PSG,
00:56:15avec ou sans lui,
00:56:16ce n'est pas le même.
00:56:18Le Portugal,
00:56:19c'est un petit peu
00:56:19la même chose.
00:56:20On parle beaucoup de Ruiz
00:56:21ou de Jauneves aussi
00:56:23qui sont capables
00:56:24de se balader à droite,
00:56:25qui sont phénoménaux.
00:56:26Mais sans lui,
00:56:27ce n'est pas pareil.
00:56:28C'est lui qui quadrille tout
00:56:29et qui organise
00:56:29l'intégralité du truc.
00:56:31Évidemment que moi,
00:56:32je suis un pur défenseur
00:56:34de Vitinha,
00:56:35je pense qu'il va
00:56:35continuer d'évoluer.
00:56:38Mais franchement,
00:56:38ça ne me chacrerait pas
00:56:39qu'il soit dans le top 6.
00:56:41Il est phénoménal.
00:56:42Très court, Giovanni,
00:56:43je te voyais un peu
00:56:44haucher la tête.
00:56:45Top 5,
00:56:45c'est trop ambitieux.
00:56:46Non, non,
00:56:46il le mérite.
00:56:48Après,
00:56:49j'ai encore parfois
00:56:50deux, trois doutes sur lui.
00:56:53Je trouve que parfois,
00:56:54par rapport à son rôle,
00:56:55il a pas mal de touches
00:56:56superflues.
00:56:57Il a énormément épuré son jeu.
00:56:59Et là où je n'étais pas
00:57:00juste d'accord avec Pierre,
00:57:01c'est sur le côté compensation.
00:57:02Il a autant de liberté
00:57:03parce que justement,
00:57:04Fabien Ruiz se sacrifie
00:57:05énormément.
00:57:06Évidemment,
00:57:06je ne dis pas que c'est...
00:57:07Ce que je veux dire,
00:57:08c'est que l'alliage des trois
00:57:10fait que c'est lui
00:57:12le pilier de ça.
00:57:12C'est lui le plus important,
00:57:14c'est sûr,
00:57:14mais je pense que lui
00:57:15il est très content
00:57:15de jouer avec Ruiz.
00:57:16On ouvre notre page Mercato,
00:57:18maintenant que vous savez
00:57:18que ça s'active de plus en plus
00:57:19et puis plus le temps passe,
00:57:20plus l'avenir de Gianluigi
00:57:21et d'Honaroma
00:57:22au Paris Saint-Germain
00:57:22semblent à certains.
00:57:23Il a été brillant
00:57:24en Ligue des Champions
00:57:25cette saison.
00:57:25Et puis le gardien,
00:57:26finalement,
00:57:26il n'a plus qu'un an
00:57:27de contrat avec le club
00:57:28de la capitale.
00:57:29Les négociations
00:57:29pour une prolongation
00:57:30ont été entamées
00:57:31il y a déjà plusieurs mois
00:57:32sans qu'une issue positive
00:57:33n'ait été trouvée
00:57:34pour l'instant.
00:57:35Le profil de Donnaroma
00:57:36semble plaire aussi
00:57:36à Manchester City
00:57:37et Manchester United.
00:57:39Un départ après
00:57:40la Coupe du Monde des Clubs
00:57:40n'est donc pas à exclure.
00:57:42Donnaroma avait pris
00:57:43quand même beaucoup de place
00:57:43Giovanni ces derniers mois
00:57:45au PSG.
00:57:45Ce serait une grosse erreur
00:57:46de le laisser partir
00:57:47parce que Paris doit tout faire
00:57:48que ce soit financièrement
00:57:49ou non pour le garder.
00:57:50C'est un dossier
00:57:51extrêmement compliqué
00:57:51parce que je pense sincèrement
00:57:54que sur la double confrontation
00:57:55face à Liverpool,
00:57:56il joue son avenir
00:57:57au Paris Saint-Germain.
00:57:58A l'époque,
00:57:59il y avait déjà des rumeurs
00:58:00de Lucas Chevalier.
00:58:01C'est un profil
00:58:02qui plaît énormément
00:58:03à Luis Campos,
00:58:04à Luis Enrique
00:58:04mais entre-temps
00:58:05Donnaroma est redevenu
00:58:07à l'heure actuelle
00:58:07avec Ian Zommer peut-être
00:58:08le meilleur gardien
00:58:10de la planète.
00:58:11Donc là, attention,
00:58:12il faut bien se rendre compte
00:58:13que c'est une prolongation
00:58:14de contrat
00:58:14qu'au moment où il y a
00:58:15des deals comme ça,
00:58:17il y a beaucoup de choses
00:58:17qui sont dites
00:58:18parce que le club...
00:58:19Ce qui est sûr
00:58:23c'est que dans le profil
00:58:25même si Donnaroma
00:58:25est exceptionnel,
00:58:27il ne faut pas oublier
00:58:28la logique des deux Louis
00:58:29au Paris Saint-Germain,
00:58:31personne n'est indispensable.
00:58:33C'est-à-dire que si vous n'êtes pas
00:58:34à 200% à fond
00:58:35sur le projet
00:58:36Paris Saint-Germain,
00:58:37vous pouvez partir,
00:58:38on trouvera quelqu'un
00:58:39pour vous remplacer
00:58:41et le profil de Lucas Chevalier
00:58:42plaît énormément aux deux Louis.
00:58:44On peut en mettre
00:58:45les choses aussi en place
00:58:45depuis le début.
00:58:46Donnaroma,
00:58:47c'est une opportunité,
00:58:48il ne colle pas du tout
00:58:49avec ce que veut
00:58:49Louis-Henriquet.
00:58:50Évidemment qu'il a été fantastique
00:58:52sur la campagne
00:58:53des champions,
00:58:54mais ce n'est pas un mauvais choix
00:58:54de le laisser partir
00:58:55pour prendre un gardien
00:58:56qui correspond complètement
00:58:57à ce qu'ils veulent.
00:58:58En fait,
00:58:59c'est une question de perception,
00:59:00mais si lui est trop gourmand,
00:59:02évidemment que je pense
00:59:03qu'il y a plus de gardiens
00:59:04qui ont envie de venir au PSG
00:59:05que de partir.
00:59:06C'est mon avis,
00:59:07et surtout si tu parles
00:59:08sur le Ligue des champions
00:59:09où tu étais hyper impactant,
00:59:10où tu as pas mal
00:59:10Mais tout le monde est gagnant.
00:59:11Exactement,
00:59:12c'est exactement ça.
00:59:13A l'inverse de Donnaroma,
00:59:14Randal Colomoni,
00:59:14lui, veut rester dans son club
00:59:15de la Juventus.
00:59:16Il est arrivé en prêt,
00:59:18on le rappelle à la Juve,
00:59:18l'attaquant français,
00:59:19a affirmé qu'il partirait
00:59:20à la Coupe du Monde des Clubs
00:59:23avec la Juve.
00:59:24Il a donc prolongé son prêt
00:59:25qui devait se terminer
00:59:26le 30 juin.
00:59:27La Juve espère pouvoir
00:59:28se le faire prêter
00:59:29encore une fois,
00:59:29une saison de plus.
00:59:30Paris ne s'est pas montré fermé,
00:59:31mais souhaite que les historiens
00:59:32soient capables d'inclure
00:59:33une notion d'achat
00:59:34très facilement atteignable
00:59:35pour Donnar Colomoni,
00:59:36donc affaire à suivre
00:59:36pour l'avenir
00:59:37de l'attaquant des Bleus.
00:59:38Merci beaucoup, Greg,
00:59:40pour ce planète foot
00:59:41très complet.
00:59:42Jovanie,
00:59:42c'est vraiment bien ici, je crois.
00:59:43Par contre,
00:59:44il faut que je change de place.
00:59:44Oui, mais tu vas rester avec nous,
00:59:46tu vas rejoindre la Team Boobie
00:59:47parce que dans quelques instants,
00:59:48on joue,
00:59:49mais vous inquiétez pas,
00:59:50Team reste du monde.
00:59:51On va inviter un renfort
00:59:52dans quelques instants
00:59:53puisqu'avant de jouer,
00:59:54on va fêter un anniversaire.
00:59:5625 ans aujourd'hui,
00:59:58comme Greg,
00:59:58avec Emmanuel Alix,
01:00:04le directeur du pôle presse
01:00:05et numérique de l'équipe,
01:00:06le papa de l'équipe.fr.
01:00:09J'étais pas là
01:00:09quand il était,
01:00:11j'étais pas très longtemps.
01:00:13Fierté de fêter
01:00:14les 25 ans du site l'équipe.
01:00:15Aujourd'hui,
01:00:16qu'est-ce qui est organisé ?
01:00:18Je te donne le micro-main,
01:00:22ce sera mieux.
01:00:24Grande fierté,
01:00:24oui, tout à fait.
01:00:26Le site a bien évolué.
01:00:27C'était un petit site
01:00:28et aujourd'hui,
01:00:28il est présent
01:00:29sur tous les écrans,
01:00:30évidemment sur votre mobile,
01:00:31mais depuis quelques semaines
01:00:32sur les écrans de télé également.
01:00:34Vous pouvez télécharger
01:00:34l'application sur votre télé.
01:00:36Et puis,
01:00:36on propose plein de choses.
01:00:37L'offre a vraiment évolué.
01:00:38Il y a des documentaires,
01:00:40évidemment de l'info,
01:00:41il y a des chaînes en direct.
01:00:42Vous avez ce soir
01:00:43Italie, Moldavie
01:00:44à suivre sur l'équipe Live Food
01:00:46sur le site.
01:00:47Voilà,
01:00:47donc c'est une super évolution.
01:00:49Et pour fêter ça,
01:00:50aujourd'hui,
01:00:50on a offert tous les articles
01:00:51normalement réservés aux abonnés
01:00:52à tous les lecteurs.
01:00:54Et puis,
01:00:54il y avait une belle actu
01:00:55avec évidemment
01:00:58la très très belle journée d'hier
01:01:00et la finale fabuleuse
01:01:01de Roland-Gauss.
01:01:02Oui,
01:01:02c'est un beau cadeau
01:01:03pour les lecteurs du site L'Equipe.
01:01:04C'est combien de visiteurs par jour
01:01:06le site L'Equipe ?
01:01:06C'est à peu près
01:01:073 millions de personnes
01:01:08chaque jour
01:01:09qui consomment
01:01:09et qui reviennent
01:01:11très très souvent
01:01:12et qui...
01:01:13Un usage un peu frénétique
01:01:15avec son mobile
01:01:15comme je pense
01:01:16vous l'avez tous ici.
01:01:17Et du coup,
01:01:18l'article allait le plus cliquer
01:01:19peut-être en 2025
01:01:21ou ces derniers mois,
01:01:22celui qui te revient là ?
01:01:23Ces derniers mois,
01:01:25la semaine dernière
01:01:26a été évidemment
01:01:27très très importante
01:01:28avec le lendemain
01:01:28de la finale de la Ligue des Champions
01:01:29et puis toute la semaine
01:01:30autour de Roland-Garros.
01:01:32Donc non, non,
01:01:33il y a plein de contenus
01:01:34qui marchent très bien
01:01:35mais dès qu'il y a une info,
01:01:36dès que la rédaction de l'équipe
01:01:37sort une info,
01:01:37c'est souvent ça
01:01:38qui fait la différence
01:01:39et qui fait l'usage
01:01:40le plus important
01:01:40parmi nos lecteurs.
01:01:42Et c'est en perpétuel mouvement,
01:01:43tu l'as dit,
01:01:44avec toutes les nouveautés,
01:01:45les jeux aussi
01:01:45qui sont arrivés,
01:01:46World Cup j'adore,
01:01:47je dois te le dire.
01:01:48Tu as des nouveautés
01:01:49exclusives à nous donner
01:01:51pour l'équipe de choc.
01:01:52Qu'est-ce qui va arriver
01:01:53pour le site ?
01:01:54Là, dans quelques jours,
01:01:55vous allez pouvoir avoir
01:01:56une expérience un peu plus
01:01:57personnalisée
01:01:58sur la page d'accueil
01:01:58selon votre usage
01:01:59et ce que vous consommez.
01:02:00On va vous proposer
01:02:01les contenus
01:02:01que vous n'avez pas encore lus
01:02:03et qui sont normalement
01:02:04dans vos centres d'intérêt,
01:02:06ce que vous aimez conformer
01:02:07pour vraiment rien rater
01:02:08de vos sports
01:02:10et clubs
01:02:11et sportifs favoris.
01:02:12Et bon anniversaire
01:02:13donc à l'équipe.fr,
01:02:1425 ans aujourd'hui.
01:02:16Il y a un truc
01:02:16qu'on a adoré aujourd'hui,
01:02:18c'est le quiz des 25 ans.
01:02:19Est-ce que vous l'avez fait ?
01:02:20Ah, je savais !
01:02:22Eh oui, le quiz des 25 ans,
01:02:23c'était une question par année
01:02:25sur les 25 dernières années.
01:02:27Nous, on l'a tellement aimé
01:02:29qu'on va s'en inspirer
01:02:30mais ce n'est pas les mêmes questions.
01:02:31Petit rigolo quand même.
01:02:32On a fait les questions.
01:02:33Alors nous, on a que 10 questions.
01:02:35On a que 10 questions
01:02:36donc on va faire
01:02:37de 2015 à 2025.
01:02:39Tu vas jouer avec nous ?
01:02:40Avec plaisir.
01:02:41Allez, dans la team
01:02:42reste du monde tout de suite.
01:02:43Je n'ai pas fait les questions.
01:02:45Ce n'est pas les mêmes.
01:02:45Mais il connaît les arts.
01:02:47Ce n'est pas les mêmes.
01:02:47Alors, tu peux prendre ton charge
01:02:50avec toi ?
01:02:51Tiens, voilà.
01:02:52C'est très artisanal.
01:02:52Hop là, oui.
01:02:54Décalle-toi un peu.
01:02:55Alors, la team reste du monde
01:02:56et la team boobie,
01:02:57égalité parfaite.
01:02:58Mais il est bien.
01:02:59Et oui, la dernière fois
01:03:00que tu es venu, Giovanni,
01:03:01il a un peu lâché, Pierre.
01:03:02Pierre, il est venu en vacances.
01:03:04C'est terrible.
01:03:05Alors, qui choisit l'enveloppe ?
01:03:06Je n'ai pas la réponse.
01:03:07Le boss.
01:03:08C'est la team boobie.
01:03:09Ah bon ?
01:03:09On a l'ami.
01:03:105 ans quand même.
01:03:10On a l'anniversaire.
01:03:12Non, je laisse.
01:03:13Je ne sais pas si c'est validé.
01:03:14Non, mais il n'a pas le choix.
01:03:15C'est validé.
01:03:17Je vais faire ce que je dis quand même.
01:03:19Pour l'anniversaire du site
01:03:21L'Équipe 25 ans,
01:03:23Emmanuel, tu choisis.
01:03:24Il y a une enveloppe violette,
01:03:25une enveloppe rose
01:03:26et donc les questions sont différentes.
01:03:27C'est ce que tu choisis.
01:03:28Allez.
01:03:29C'est parti.
01:03:31Donc, vous avez compris,
01:03:33il y a une jauge.
01:03:34Il y a une jauge,
01:03:35vous le voyez.
01:03:35Et il faut répondre
01:03:36avant la fin de la jauge.
01:03:38On commence donc
01:03:38une question par année
01:03:39de 2015 à 2025.
01:03:41C'est clair pour tout le monde.
01:03:42Un peu de concentration.
01:03:43Très clair.
01:03:43On va y aller.
01:03:44Team Rest du Monde.
01:03:46En 2015,
01:03:47quel club de rugby
01:03:48remporte le championnat d'Europe
01:03:50pour la troisième fois
01:03:51qu'on s'est fait ?
01:03:52C'est facile.
01:03:53Vas-y.
01:03:53Toulon.
01:03:54Oh là là.
01:03:55Facile.
01:03:56Je vous avais dit
01:03:56qu'il serait trop fort.
01:03:57Ben oui.
01:03:57Mais en même temps,
01:03:59moi, j'allais penser
01:03:59que c'était un peu plus dur
01:04:00les questions, non ?
01:04:01Mais attends, ça arrive.
01:04:03C'est effectivement Toulon.
01:04:04On commence pas.
01:04:04On dit qu'il y a des trucs, là.
01:04:06Non, mais je pense
01:04:06qu'on a eu la mauvaise enveloppe.
01:04:08Et c'était historique.
01:04:09Jamais un club n'y était parlé.
01:04:10Il y a des chances.
01:04:11Il y a des chances.
01:04:12Édite-toi dans le monde.
01:04:14Moi, c'est surtout ça,
01:04:15je redoute.
01:04:15C'est pas la difficulté du quiz.
01:04:17En 2016,
01:04:18combien de ballons d'or
01:04:19Cristiano Ronaldo détient-t-il ?
01:04:22En 2016.
01:04:23Ouh là là.
01:04:24Un, deux, trois.
01:04:25Je sais pas compter.
01:04:26En plus, j'ai pas de mémoire.
01:04:26Il en a quatre.
01:04:27En 2016 ?
01:04:29Je vais dire trois.
01:04:30Ben vas-y.
01:04:31Je te suis.
01:04:32T'es meilleur en maths que moi.
01:04:33Allez, allez.
01:04:34On fout une réponse.
01:04:35Et trois ?
01:04:35Eh ben dommage, c'était trois.
01:04:37Oh là là.
01:04:38Tu vois, t'essaies d'être sympa,
01:04:40de laisser la place aux jeunes.
01:04:41On est pas là pour être sympa,
01:04:42on est là pour gagner.
01:04:43Il se réveille.
01:04:44Si t'es sûr, t'es sûr.
01:04:45Allez, on prend un an de plus.
01:04:46Je suis le sac à dos, là.
01:04:48En 2017,
01:04:50Serena Williams a remporté
01:04:51son dernier grand chelem.
01:04:52Au total,
01:04:53combien elle en a gagné ?
01:04:55Elle est à 23.
01:04:56Elle voulait faire...
01:04:57Non, attends.
01:04:58Ouh là, t'es pas sûre.
01:05:00C'était quatre ballons d'or
01:05:02pour Cristiano.
01:05:02Mais peut-être trois,
01:05:05on sait pas.
01:05:05Non, justement,
01:05:05on a pas battu Monica Seles.
01:05:07C'est fini la joueuse.
01:05:0724, c'est 23.
01:05:09Bah c'est 23.
01:05:10Ah ouais, bravo.
01:05:11C'est dommage, hein ?
01:05:13Il y a toujours 1-0
01:05:14pour la team Rest du Monde
01:05:15pour recoller la team Boobie.
01:05:18Citez-moi les buteurs
01:05:19pour la France
01:05:20lors de la finale
01:05:21de la Coupe du Monde.
01:05:23On est en 2018.
01:05:24Ok, alors il y a Paul Pogba.
01:05:25Ah non, je sais pas.
01:05:26Il y a Antoine Griezmann
01:05:27sur pénalty.
01:05:28Il y a Kylian Mbappé.
01:05:29Et ensuite,
01:05:30il y a un CSC
01:05:31de Mario Mandzukic.
01:05:32Ah !
01:05:33Je suis incapable
01:05:34de sortir ça.
01:05:35J'y étais, Anso.
01:05:35On était ensemble même.
01:05:36Oui, mais...
01:05:37C'est un boublier, toi, quand même.
01:05:39Oui.
01:05:39Ah non.
01:05:40T'es bien.
01:05:41Merci de participer, Pierre.
01:05:42J'ai pas de...
01:05:43Je suis incapable...
01:05:44Quand on va arriver en quoi ?
01:05:45En 2022 ?
01:05:46Tu se réveilleras ?
01:05:46Déjà en 2024.
01:05:47Je vais essayer de me rappeler
01:05:48chaque chose en soi.
01:05:49On arrive en 2019.
01:05:51Et c'est encore une question
01:05:52tennis pour vous
01:05:52de la Coupe du Monde.
01:05:54En 2019,
01:05:55qui termine
01:05:55numéro 1 mondial
01:05:56à l'ATP ?
01:05:57Ben, bien sûr.
01:05:59En gros,
01:05:59t'as la finale
01:06:00qui me donne.
01:06:01C'est Novak
01:06:01Federer.
01:06:03Donc, je pense
01:06:04que Novak
01:06:05termine numéro 1 mondial
01:06:06à cette fin d'année.
01:06:07C'est Federer ou Novak ?
01:06:08Allez, Novak.
01:06:09Ben, c'est aucun des deux.
01:06:10Hein ?
01:06:1119, c'est qui ?
01:06:12Raphaël Nade.
01:06:12Ah oui.
01:06:13Ben, c'est un petit jeune
01:06:14qui arrive.
01:06:16On arrive en 2020.
01:06:17Après, tu l'aimes pas trop.
01:06:18Et j'ai une question.
01:06:20Voiture.
01:06:21Formule 1.
01:06:22En 2020,
01:06:23pourquoi Pierre Gasly
01:06:25entre-t-il dans l'histoire ?
01:06:27Elle est facile, celle-ci.
01:06:28Vas-y.
01:06:29C'est Monza 2020.
01:06:30C'est Monza 2020 ?
01:06:31Ouais.
01:06:32T'es sûr de ça, déjà ?
01:06:33Bah...
01:06:34Ah, c'est peut-être possible.
01:06:35Il faut être précis.
01:06:36Vas-y.
01:06:37Ah non, pilote Red Bull, peut-être.
01:06:38Allez.
01:06:38Vas-y, dépêche.
01:06:39Pilote Red Bull.
01:06:40Non, dis Monza.
01:06:41Il devient le plus jeune pilote français
01:06:43à remporter un Grand Prix.
01:06:44Ah bah non, c'est pas ça.
01:06:45De toute façon, dans tous les cas...
01:06:46Et le premier normand
01:06:47à gagner en Formule 1.
01:06:48C'est 2020.
01:06:48Premier normand ?
01:06:49Oui, j'ai ça dans la parenthèse.
01:06:50C'est important de le signaler.
01:06:52On arrive en 2021.
01:06:54C'est mieux ?
01:06:54Allez.
01:06:55J'ai une question sport d'hiver.
01:06:57En 2021,
01:06:58quel Français remporte
01:06:59le globe de cristal
01:07:00en ski alpin ?
01:07:01Oh !
01:07:02Ça, c'est facile.
01:07:06Bah, on arrive en 2021
01:07:07et Pierre Boubis...
01:07:08Ouais, ça y est, je retourne à l'avoir.
01:07:09Le gros globe de cristal ?
01:07:10Oui, le gros.
01:07:11Vas-y, vas-y, vas-y, vas-y.
01:07:12Peu importe.
01:07:13Alexis Peintureau ?
01:07:14Oui.
01:07:14Bonne réponse.
01:07:15Il était venu dans l'équipe du sport
01:07:16avec son gros globe.
01:07:18Ah là, voilà.
01:07:19Il l'avait cassé ou pas ?
01:07:20Non, il l'avait pas cassé.
01:07:21Non, non.
01:07:21Mais tout le monde était en stress.
01:07:22Bon, on est en 2022, là.
01:07:24Ah, vélo !
01:07:25Allez, tiens.
01:07:26En 2022,
01:07:27quelle est la nouveauté
01:07:28du Tour de France ?
01:07:29On est en vélo à deux roues ?
01:07:31Non.
01:07:32Allez, qu'en s'en t'en fait ?
01:07:33Est-ce que c'est pas une question
01:07:34de départ, non ?
01:07:36Ah oui, c'est ça.
01:07:37Oui, c'est ça,
01:07:37c'est les départs à l'étranger.
01:07:38Les départs à l'étranger ?
01:07:40Non.
01:07:40J'ai déjà fait un peu ça.
01:07:41Non, mais...
01:07:41Attends, vous avez encore une fois.
01:07:43Je sais pas, là.
01:07:44Ah, d'ailleurs.
01:07:44C'est la première fois
01:07:45qu'il y a un Tour de France féminin.
01:07:47Ah !
01:07:47Ah ouais, c'est vrai.
01:07:48Ça date de 2022.
01:07:492022 ?
01:07:50On est mauvais, hein ?
01:07:50Eh oui.
01:07:51Vous, ils ont Pinturo et Nadal.
01:07:55On arrive en 2023.
01:07:56Ça fait pas Nadal en 2019 ?
01:07:57Bien sûr que si, je l'avais.
01:07:58Bien sûr, Mito.
01:08:00J-5 avant les 24h du Mans
01:08:01sur la chaîne L'Équipe.
01:08:02Rendez-vous samedi 8h35
01:08:03pour suivre ces 24h
01:08:05autour de mes seuls de Benter.
01:08:06Bien sûr.
01:08:06En 2023,
01:08:07qui a donné le départ
01:08:08des 24h ?
01:08:08Oh, vas-y.
01:08:092023 ?
01:08:10Zidane ?
01:08:12Qui ?
01:08:13Ou les Brown James ou Zidane ?
01:08:14Ah, les Brown James.
01:08:15C'était Zizou ou le Brown ?
01:08:16C'était Zizou ou le Brown ?
01:08:18Les Brown James.
01:08:19Ouais.
01:08:19Le Brown James,
01:08:20c'est une excellente année.
01:08:21Voilà, on se fait avoir.
01:08:23On se fait avoir.
01:08:23Réponse en images.
01:08:24On a gagné, en fait.
01:08:25Bah oui.
01:08:26Bandeuse.
01:08:29Non, en fait,
01:08:30les enveloppes,
01:08:31c'est atroce.
01:08:32Ah oui, c'est bon.
01:08:33Mais pourquoi t'as pas gagné ?
01:08:34Pourquoi t'as pas gagné ?
01:08:35J'aurais pris la main.
01:08:36Bah, c'est de ta faute bien, voilà.
01:08:37Ah oui, ils ont gagné.
01:08:38Allez, mets-toi dedans,
01:08:39on arrive à la fin de l'émission.
01:08:41Victoire pour la...
01:08:42Ah, mais j'étais bien, moi,
01:08:44je voulais continuer le jeu.
01:08:45Et la dernière, on l'a fait pas mal.
01:08:46Vas-y, non ?
01:08:46Ah, ils veulent faire la dernière.
01:08:47Bah oui, quand même.
01:08:48L'histoire de confirmer
01:08:49qu'on est nase.
01:08:50Ah bah oui.
01:08:50Vas-y.
01:08:51C'est la violette.
01:08:53En 2024,
01:08:54combien de mètres
01:08:55Mondo du Plantis
01:08:56passe-t-il
01:08:57pour son nouveau record à la guerre ?
01:08:576 mètres 22.
01:08:5824 ?
01:08:5921.
01:09:00Ah, vas-y.
01:09:0126, 26.
01:09:03Ouais, 26, je crois que t'as raison.
01:09:0426, 27, combien ?
01:09:05Ouais, il a dit 26.
01:09:06Moubo, tu disais 21.
01:09:07Ouais, parce que tu es trompé.
01:09:0821, 22, 24.
01:09:0926, bravo Emmanuel Alli,
01:09:10c'est bravo à la team
01:09:11Prespo du Monde.
01:09:12Bonsoir, joyeux anniversaire
01:09:14au site L'Equipe.
01:09:16Il y a une photo à prendre.
01:09:16Tous les contenus aujourd'hui
01:09:17sont accessibles gratuitement.
01:09:20Vous pouvez aller sur l'équipe.fr
01:09:22pour vous régaler.
01:09:23Nous, on va accueillir
01:09:24Grégory Hachère tout de suite.
01:09:25Bonsoir, bonsoir les jeunes.
01:09:26Il y a du monde, là ?
01:09:27Qu'est-ce que c'est tout ?
01:09:27Ah bah attends.
01:09:28Bonsoir les jeunes, bonsoir.
01:09:29Excusez-moi,
01:09:29mais Jany Longo,
01:09:30elle n'a jamais gagné
01:09:30le Tour de France pour eux.
01:09:32Donc avant 2022,
01:09:33Jany Longo,
01:09:34elle n'a pas le droit
01:09:34de gagner le Tour de France.
01:09:35Je pense qu'ils ont gagné finalement.
01:09:36Qu'est-ce qu'ils me racontent ?
01:09:37Eh oui.
01:09:37Il y a eu des Tour de France
01:09:38avant 2022.
01:09:39Oui, mais féminin.
01:09:40Bah oui,
01:09:41mais Jany Longo,
01:09:41les femmes.
01:09:42Oui, oui.
01:09:44Vous irez voir avec le grand chef
01:09:45qui a fait les questions.
01:09:46J'aime bien, j'arrive,
01:09:48je fais un peu le bordel,
01:09:49ça m'amuse.
01:09:49C'est super.
01:09:50Ils sont beaux tous ces gens,
01:09:52toutes ces jeunes femmes magnifiques.
01:09:53On fête un anniversaire aujourd'hui.
01:09:5425 ans.
01:09:55Oui, c'est gratos,
01:09:56comme nous.
01:09:57Ils se sont dit
01:09:57on va faire comme la chaîne.
01:09:5825 ans.
01:09:59On va faire le 6.
01:10:00Vous dites qui, Greg ?
01:10:0125 ans de carrière.
01:10:02Attention,
01:10:02c'est ça le danger.
01:10:04Presque comme vous.
01:10:05On parle de quoi
01:10:06dans l'équipe de Ville ?
01:10:06Ryan Chirky,
01:10:07évidemment,
01:10:08on va revenir dessus.
01:10:09Dimitri Payet,
01:10:10son club également,
01:10:11on vient d'avoir l'info.
01:10:13Et puis on va se demander
01:10:14pourquoi Deschamps
01:10:15doit rester offensif.
01:10:16C'est le pourquoi du soir.
01:10:16Pourquoi il doit faut
01:10:17qu'il ne joue avec le 10.
01:10:18Et 3 devant,
01:10:19on y tient beaucoup.
01:10:20Et Donnar Romain au chevalier
01:10:22qui apparaît à 18h35.
01:10:23Voilà le thème du soir.
01:10:25Avec un beau casting.
01:10:26Il y a un beau casting.
01:10:27Raymond Domenech
01:10:28et Olivier Rouillet
01:10:28pour les trentenaires.
01:10:30On va avoir Benoît Trémoulinas
01:10:31également qui sera avec nous.
01:10:32Johan Réou
01:10:33et puis Antoine Pinault
01:10:34pour rigoler.
01:10:35Pour rigoler.
01:10:35On se met en.
01:10:36Parce que c'est un comico.
01:10:38Et puis on aura également
01:10:38les jouets.
01:10:39Tu parles de Johan Réou ?
01:10:40Eh bien, génial.
01:10:41Les deux.
01:10:41On me dit que Johan Réou
01:10:42n'est pas là.
01:10:43Ah, c'est pas Johan ?
01:10:43Non.
01:10:44C'est qui le quatrième ?
01:10:46C'est Karine Guen.
01:10:47C'est ma carrière.
01:10:47C'est Karinex.
01:10:48Eh bien, c'est presque les mêmes.
01:10:50Eh bien, vous voyez,
01:10:50mais ça se joue
01:10:51à pas grand-chose.
01:10:52Ça se joue A.
01:10:53Au niveau de la déconne,
01:10:54c'est la même.
01:10:55Ah oui, au niveau de la déconne.
01:10:56Vraiment.
01:10:57Pardon Karinex.
01:10:57L'équipe de Greg,
01:10:58c'est dans quelques instants.
01:10:59La patronne,
01:11:00France Pierron,
01:11:01revient demain évidemment.
01:11:02César 45
01:11:03pour l'équipe de Choc.
01:11:04Et on a un petit rituel,
01:11:05Emmanuel, photo
01:11:06sur les gagnants
01:11:06pour terminer cette émission.
01:11:08C'est gratuit, c'est gratuit.
01:11:10Arrêtez-moi, c'est du monde.

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