Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • 04/06/2025

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00On va avancer, je vous avais dit qu'on allait écouter le témoignage de deux jeunes femmes dont l'une raconte comment elle a été agressée le soir de la finale.
00:07C'est vrai qu'il s'agit d'une agression physique, il y a eu aussi un certain nombre d'agressions sexuelles, ça aussi ça a été un peu passé sous silence au début.
00:14On écoute ce témoignage.
00:16Alors Céline, qu'est-ce qui était arrivé samedi soir ?
00:18Eh bien samedi soir nous étions à la terrasse du Grand Carnot, l'avenue Carnot, et nous étions tranquillement en train de regarder le match en terrasse avec les enfants, les copines, les copains.
00:30Et au moment de payer, avant la fin du match, il y avait une super ambiance avec des jeunes, des moins jeunes.
00:36Évidemment, une super ambiance.
00:38Et au moment de partir, je me suis pris une chaise que je n'ai pas vue venir.
00:42Et là c'est parti complètement en brille.
00:44Et là d'un coup ça a été le saccage.
00:47Alors après je suis rentrée chez moi, et ils ont saccagé le Carrefour Market en bas de chez moi.
00:55On va le montrer le Carrefour Market ?
00:56Et comme je filmais, j'ai eu des tirs de mortier.
00:59J'ai eu des tirs de mortier parce que tu les as filmés ?
01:04Oui.
01:04Et donc j'ai eu la peur de m'aglure autrement que ma fille ne dormait pas à la maison parce qu'elle aurait été terrorisée.
01:09Et on a pensé qu'ils allaient rentrer dans l'immeuble.
01:11Il y a plein de voisins qui ont été cambriolés.
01:15Ils rentraient dans les immeubles, ils ont terrorisé le quartier.
01:19Merci à Poulot.
01:20Voilà pour cette jeune fille.
01:21Je précise pour nos auditeurs qu'elle a un oeil au beurre noir.
01:23J'ai vu, il y a eu aussi une vidéo qui circule de deux jeunes filles dans une voiture dont les vitres ont été cassées.
01:31Les filles ont été sorties, on leur a arraché leur sac à main, etc.
01:36Et effectivement d'autres vidéos de jeunes filles qui disent qu'elles ont été aussi agressées sexuellement.
01:41C'est terrible en fait, c'est terrible.
01:43On ne peut plus sortir dans la rue et on ne peut pas les faire de finale.
01:47On ne peut plus s'organiser.
01:50Je crois.
01:51Le Musée d'Intérieur a parlé de barbares.
01:52Les barbares, ce n'est pas un mot comme ça lancé en l'air.
01:54Ça veut dire quelque chose.
01:55Les invasions barbares, ça a une définition très précise.
01:58Et en l'occurrence, c'est des rasiats, c'est ce qu'on a vu, c'est des magasins, etc.
02:00Et des viols.
02:01Ou des agressions de femmes.
02:03Et ce n'est pas du tout la première fois.
02:06J'allais dire, il faut s'y habituer.
02:07Non, évidemment, on ne s'y habituera jamais.
02:08Mais par contre, si on vit ça et qu'on n'indique pas ce phénomène-là, ça continuera exactement de cette manière-là.
02:13Pierre Vermeurene, le mot barbare qui a été choisi par Bruno Retailleau, c'est le mot qui convient, selon vous.
02:19Les invasions barbares, on le rappelle, c'était des tribus venus de l'Est.
02:23Les Hains, les Visigoths, les Ostrogoths qui déferlaient sur...
02:28Les barbares, c'est les gens de l'extérieur.
02:29Voilà, c'est l'étranger.
02:30C'est les gens de l'extérieur, c'est les gens d'une autre civilisation.
02:33Donc, on peut appliquer ce mot dans bien des contextes.
02:35Là, ce qui est certain, c'est que ça rappelle d'abord ce qui s'était passé au Stade de France, je crois.
02:41Et Cologne, parce que tout le monde a fait ces événements.
02:45Si vous voulez, c'est des jeunes gens qui vivent dans des quartiers,
02:48notamment les quartiers, entre guillemets, islamisés,
02:51parce que ce n'est pas la question de l'islam,
02:52c'est la question de l'ordre que font régner les frères musulmans sur des quartiers
02:55et qui sont habitués à ne jamais voir de jeunes filles en jupe,
02:59pour le dire très simplement.
03:00S'ils ne sortent pas de leur quartier, ils n'en voient pas puisqu'elles ne peuvent pas circuler.
03:03Et tout d'un coup, ils changent de monde, donc.
03:05Ils arrivent dans Paris et là, ils voient.
03:07On a entendu, moi, ce qui m'a frappé,
03:08c'est qu'à propos, justement, des jeunes filles
03:11qui ont été sorties de leur voiture,
03:13ils ont interrogé un jeune.
03:15Il dit, enfin, elle était en mini-jupe.
03:18Donc, qu'est-ce qu'elle faisait en mini-jupe ?
03:19Terrible.
03:20Et là, évidemment, c'est le choc des mondes, pour le coup.
03:22Alors, je ne sais pas si le mot est bon,
03:24parce qu'est-ce qu'il excite, peu importe.
03:26Mais en tout cas, c'est un choc des mondes.
03:27Et c'est ça qui est assez terrifiant.
03:29Et c'est ça dont il faut prendre conscience.
03:30Parce que là, il y a des discours à tenir,
03:31notamment à l'école.
03:32Bien sûr.
03:33Gauthier.
03:33Non, mais il vaut mieux dire que c'est des barbares
03:35que des anglais.
03:36Oui.
03:37Edwin Tétraud, là-dessus.
03:37Non, je veux dire qu'il y a trois mots définitifs,
03:40quand même, particulièrement républicains.
03:42Et je ne sais pas si c'est le mot de la fin,
03:43c'est le champion, mon frère,
03:46prononcé par le président de la République.
03:48C'est indépassable,
03:49en termes de déconnexion avec la réalité,
03:52avec le pays, avec le...
03:55C'est une citation.
03:55Il cite un joueur, il y a bien, entre guillemets...
03:57Oui, je n'ai pas entendu...
03:59Il leur croit à son compte.
04:00Non, mais là-dessus, on a essayé...
04:01Et la deuxième chose, je vais terminer.
04:03OK, je reprends.
04:04Certains ont essayé de minimiser le champion de mon frère
04:05en disant, c'est en effet la citation de Marquinhos,
04:07qui est le capitaine du Paris Saint-Germain,
04:08qui est un brésilien, qui est un chrétien, etc.
04:11Mais en fait, moi, je trouve ça presque pire
04:13que Marquinhos utilise cette formule,
04:16parce que c'est un brésilien,
04:17c'est un joueur très touchant.
04:19Déjà, c'est le capitaine courage du PSG,
04:20il l'a là depuis dix ans.
04:22Et en fait, c'est quelqu'un qui est arrivé en France
04:23et qui a voulu apprendre le français.
04:24Et moi, ce qui me frappe et qui me fait de la peine,
04:26c'est qu'il a appris le français du vestiaire du PSG,
04:29qui est un français, entre guillemets,
04:31un parler racaille, c'est-à-dire champion de mon frère.
04:32Quand il a décidé de s'assimiler au vestiaire du PSG,
04:34il est devenu comme eux, en fait.
04:36Je trouve ça presque pire que ça vienne de lui.
04:38Après, je vous le raconte,
04:39parce que moi, je parle parfaitement à l'arabe,
04:43et franchement, par exemple, c'est culturel.
04:46On dit mon frère Roya.
04:47Ce n'est pas du tout péjoratif ou bien islamique.
04:51Non, mais je nuance.
04:53Ce n'est pas un langage châtié, on va se dire.
04:55Oui, et puis ça n'a rien à voir non plus avec les frères musulmans,
04:58les choses comme ça, c'est ma soeur, mon frère.
05:00C'est plutôt une forme de jeunisme,
05:03en l'occurrence, du président de la République.
05:04Oui, voilà.
05:06Je vois André Valigny lever les yeux au ciel.
05:09Ça vous révulse ?
05:10Ça ne m'a pas révulsé,
05:12mais ça m'a confirmé dans l'idée
05:14que Macron en fait toujours trop.
05:16Il se croit toujours obligé d'en faire des tonnes.
05:18Là, il a voulu jouer le supporter du PSG.
05:21Ce n'est pas son rôle.
05:21Il est président de la République.
05:23Il n'avait pas affaire à ce tweet,
05:24chantier à mon frère.
05:25C'est comme quand il est allé sur le terrain.
05:26Avec Mbappé.
05:27Voilà, exactement.
05:28Pour moi, c'est du même ordre que ça.
05:29Mbappé ne l'a pas calculé.
05:31Je voudrais juste qu'on m'écoute.
05:32Le dernier témoignage que je voulais vous soumettre,
05:34c'est Reda Bellach,
05:35qui est porte-parole du syndicat de police unité Ile-de-France.
05:38Il était hier chez nous,
05:39il était extrêmement touchant,
05:40notamment sur le fait qu'on cherche des excuses
05:43à ces jeunes qui ont brûlé
05:45certains quartiers de Paris et d'autres villes.
05:47Écoutez-le.
05:47Moi, ce qui me désole,
05:50c'est qu'au bout de tant d'années,
05:52on peut donner une première chance,
05:54deuxième chance.
05:54Ok, d'accord.
05:55Je viens des quartiers aussi.
05:57On n'est pas...
05:59Il faut être meilleur que les autres.
06:01Même en étant policier,
06:02on me refusait de me donner un appartement.
06:04Mais voilà, c'est la réalité.
06:06Mais au final,
06:07à un moment dans la vie,
06:08il faut se battre.
06:09Il faut arrêter de se victimiser.
06:11Et là, en fait,
06:12samedi et dimanche,
06:14on a vu le résultat final.
06:15C'est-à-dire, voilà,
06:16on met les Arabes, les Noirs,
06:20on est passé...
06:20Enfin, les gens...
06:21J'ai dit on, parce que bon, je ne suis pas...
06:22Voilà.
06:23On est passé encore pour les gens qui sont mauvais.
06:25Et malheureusement, c'est terrible.
06:27Mais dans les quartiers, c'est comme ça.
06:29C'est avec eux,
06:30avec ces jeunes-là,
06:31qui ont brûlé Paris,
06:32avec qui on a des problèmes.
06:33Parce que, voilà,
06:34il y en a certains qui les victimisent.
06:36Ils ne sont pas en capacité
06:37d'avoir une éducation correcte.
06:38Pour le bon sens de Redabella, de Jeune Aïma.
06:40Oui, voilà.
06:42C'est exactement ce que nous,
06:44on a dit depuis quelques jours,
06:45et notamment via les réseaux sociaux,
06:47aujourd'hui, on en a marre
06:48de ces voyous,
06:50de ces barbares,
06:50de ces sauvages,
06:52qui aujourd'hui nuisent aussi à nos vies.
06:54Parce qu'effectivement,
06:56on est amalgamés,
06:56nos enfants sont amalgamés.
06:58Et dans les quartiers,
06:59je peux vous dire
07:00que les gens sont très en colère
07:01quand ils voient ces voyous.
07:03Et les premiers
07:03qui demandent des sanctions,
07:05quand je parle
07:05de la responsabilité parentale,
07:07Laurence,
07:08c'est parce que les habitants
07:09des quartiers en parlent.
07:10Ils disent, regardez
07:11comment ces parents
07:11les laissent faire ce qu'ils veulent.
07:13et il faut absolument sanctionner
07:15et tomber aussi sur les parents.
07:16Alors, les sanctions,
07:17elles tombent.
07:18Là, Yanis, 19 ans,
07:19a déjà fait un stage de citoyenneté,
07:20participation à un groupement
07:21pour violences contre la police,
07:236 mois, prison, ferme,
07:24avec sursis.
07:26Ali, 28 ans,
07:27Algérien en situation irrégulière,
07:29connu pour trafic de stupéfiants,
07:30porte d'armes blanches,
07:31violence, outrage,
07:326 mois de prison
07:33avec sursis probatoire,
07:34stage de citoyenneté.
07:36Et Biagui,
07:36qui n'a jamais travaillé,
07:38connu pour porte d'armes blanches,
07:40participation à un groupe
07:41pour préparer violence contre la police,
07:43refus de donner le code
07:43de son portable,
07:446 mois de prison
07:45avec un sursis simple.
07:46Pas de mandat de dépôt,
07:47alors on se parle.
07:48Voilà.
07:48Allez,
07:49on va voir ce que vont donner
07:51les prochaines condamnations.
07:52Oui, alors généralement,
07:54il y en a 6 ou 7 par jour.
07:55Voilà.
07:56Donc là, on est à la moitié
07:56et on n'a déjà pas de mandat de dépôt.
07:58Bon.
07:58C'est un signal extrêmement fort,
08:00ça, évidemment,
08:01de la part de la justice André Valéni.
08:04Oui, je ne comprends pas très bien
08:05qu'il y ait du sursis,
08:06alors que d'après ce que vous dites,
08:07ils avaient déjà un casier.
08:08Ils avaient déjà des...
08:09Et les réquisitions demandaient
08:10des mandats de dépôt.
08:11Eh oui.
08:12Donc les juges n'ont pas suivi
08:13les réquisitions,
08:14qui étaient des réquisitions
08:15plus fermes.
08:17Et voilà.
08:17Et sur l'étranger en OQTF,
08:19évidemment,
08:19pas de demande de placement en cras.
08:21Bah non,
08:21pourquoi on le mettrait en cras ?
08:22Ce qui est très grave,
08:23c'est la mise en cause
08:24de la parole du président de la République,
08:25qui avait dit le soir même,
08:27on va être extrêmement souverte.
08:29Inclacable.
08:29Oui, mais ça va être...
08:30C'est comme l'état ne reculera pas.
08:31Les gens ont des oreilles,
08:32ils ont des oreilles,
08:33ces jeunes,
08:33ils ne sont pas sourds,
08:34ils entendent ça.
08:35Bien sûr.
08:35Ils disent, bon,
08:36c'est ça pour ça.
08:36Et la mise en cause aussi
08:37de la parole du garde des Sceaux,
08:38parce que tout à l'heure,
08:39quand on a eu les réquisitions,
08:40Gauthier soulignait le fait
08:42qu'il y avait une différence
08:43de tonalité,
08:43en tout cas dans les réquisitions,
08:45entre lundi et aujourd'hui,
08:46parce que le garde des Sceaux
08:47avait poussé de la voix
08:48en disant,
08:48maintenant,
08:48il faut qu'on soit très ferme
08:50après le président de la République.
08:51En fait,
08:51la vérité,
08:51c'est que vous constatez
08:52que les magistrats
08:53font exactement ce qu'ils veulent,
08:54c'est-à-dire rien.
08:55Donc,
08:56on en revient à...
08:57Rien,
08:57c'est pas rien,
08:58c'est le mois de prison
08:58avec sursis simple,
08:59c'est l'aspect au casier quand même.
09:02Non, mais bien sûr,
09:03Laurence,
09:03mais est-ce que c'est à la hauteur ?
09:04Là, c'est participation
09:05à un groupement
09:05pour préparer des violences
09:06sur la police.
09:07La question qui va se poser,
09:07pardon André,
09:08c'est combien de temps
09:09les policiers vont continuer
09:10à nous défendre ?
09:11Ah, mais c'est la vraie question.
09:13C'est la vraie question.
09:13C'est la question centrale.
09:15J'espère que derrière
09:15cette cléments,
09:16entre guillemets,
09:17il n'y a pas le problème
09:17de la régulation carcérale,
09:19à savoir que les prisons sont pleines
09:20et que les juges
09:21tiennent aussi compte
09:22du fait qu'on n'a pas de place
09:23pour les mettre.
09:24Enfin, ils sont obligés.
09:24J'espère qu'il n'y a pas ça derrière.
09:25Ils sont obligés.
09:26Vous savez qu'il y a des places
09:27dans les centres pour les mineurs ?
09:28Oui, ça, oui.
09:29Là, par contre,
09:29il y a des places.
09:30Il y a un taux d'occupation
09:32de 70%.
09:33Ce ne sont pas des centres fermés.
09:35Non.
09:35C'est-à-dire qu'ils peuvent rester...
09:36Si il y a 500 places,
09:371000 prisonniers.
09:38Les centres pénitentiaires
09:40pour les mineurs,
09:41ils sont seulement occupés
09:42aux deux tiers.
09:42Mais si vous voulez envoyer
09:43trois mois quelqu'un en prison,
09:44vous pouvez le faire.
09:45Il ne faut pas non plus
09:45dire n'importe quoi.
09:47Donc, c'est encore une fois,
09:48je pense même, peut-être,
09:50que c'est pour montrer
09:51à Gérald Darmanin
09:51qu'on fait ce qu'on veut.
09:52On fait ce qu'on veut
09:53et ce n'est pas Gérald Darmanin
09:54ou le président de la République
09:55qui nous dit quoi faire.
09:56Donc, ça pose la question de la loi.
09:57C'est-à-dire qu'en fait,
09:58un magistrat, c'est quelqu'un
09:59qui dit la loi
10:00et en l'occurrence,
10:01il peut l'interpréter à la marge
10:02mais si la loi est très claire,
10:04il n'y a pas de sujet d'interprétation.
10:05C'est pour ça que Gérald Darmanin
10:06veut passer par la loi.
10:07Exactement, il a raison.
10:08Mais la justice n'est pas rendue
10:09au nom du peuple ?
10:11Si.
10:13Enfin, ça fait longtemps
10:13que ce n'est plus...
10:14Moi, je suis très naïve
10:15de qu'il me semblait
10:16que justement,
10:17les juges doivent au moins
10:18rendre compte au peuple.
10:19Mais pour aller dans le sens
10:20d'André tout à l'heure,
10:21la politique carcérale française
10:24a été pensée
10:25à partir de l'idée
10:26que la prison était un échec
10:28et qu'il ne fallait pas en arriver là.
10:30Donc, droite et gauche
10:31et là, pour le coup,
10:31on est 100% d'accord.
10:33Tout le monde a sa responsabilité
10:34et notamment la droite
10:35parce qu'elle a épousé
10:35cette philosophie
10:36qui n'était pas censée être la sienne.
10:38Maintenant, on arrive à cette situation.
10:39Dernier mot, Pierre Vermeurent.
10:40Oui, pour mesurer l'ampleur
10:41de ce qui s'est passé depuis 40 ans,
10:43quand j'étais jeune,
10:43il y avait 25 000 prisonniers en France.
10:45Il y en a 85 000.
10:47Oui, d'accord.
10:48Et ce n'est pas assez.
10:48Et ce n'est pas assez.
10:49Merci, Pierre Vermeurent,
10:51votre livre collectif
10:52face à l'obscurantisme woke
10:54qui est publié par l'ÉPUF.
10:56L'ÉPUF, c'est le livre du scandale.
10:58Ah, le fameux.
10:59Et nous en avons parlé, évidemment.
11:01Merci à vous tous, Gauthier,
11:0221h, 100% politique.
11:04Absolument.
11:04On va continuer à découvrir
11:06les décisions de justice du jour.
11:07Évidemment.
11:07On aura le vol du laxisme judiciaire.
11:09Sans doute un thème ce soir.
11:10Merci, Édouard Tétrault.
11:11On nous retourne en GNI,
11:12Naïma Geoffroy,
11:12André Valigny,
11:14Pierre Vermeurent.
11:15Et dans un instant,
11:16c'est Christine Kelly
11:17face à l'impôt.
11:18Restez à l'écoute.
11:19Elle sera avec le pédoprice,
11:21C4, Maurice Berger.
11:23Et sur Europe 1,
11:24c'est Pierre Devineau.
11:25Bonne soirée à vous
11:25sur nos deux antennes.
11:26À demain.

Recommandations