2/5 : La signalétique présente pour inciter au tri

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00:00Aujourd'hui, nous sommes à Plobsa.

00:02Ici, j'ai Renni en arrière-plan,

00:04qui fait partie du plan.

00:06Jean-Philippe Mahler.

00:08J'ai écrit à la collectivité européenne d'Alsace,

00:10ce que nous devons faire.

00:12Il y a un poteau partout,

00:14mais il y a aussi un signe,

00:16qui nous rappelle

00:18les meilleures mesures

00:20que nous devons prendre.

00:22Voilà, la déclaration est faite.

00:24Il y a un titre

00:26pour que tout le monde

00:28puisse voir la vidéo,

00:30pour savoir comment on fait.

00:32Et tout de même,

00:34on voit que ça ne dure pas.

00:36Tout le monde peut lire,

00:38tout le monde peut participer,

00:40mais tout de même,

00:42la déclaration est faite.

00:44Et tout de même,

00:46à 10, 30 mètres,

00:48on voit que tout le monde

00:50se déplace.

00:52Ce qui est fait,

00:54c'est une vidéo,

00:56mais ça ne dure pas.

00:58Ce que la collectivité voit,

01:00c'est vrai,

01:02mais ce qu'elle ne peut pas faire,

01:04c'est autre chose,

01:06et on travaille dessus.

01:08On ne doit pas prendre

01:10ces bouteilles

01:12pour boire un vin.

01:14Il y en a d'autres.

01:16On ne peut pas les mettre

01:18dans la nature,

01:20on prend tout ce qu'il faut.

01:22Chaque semaine,

01:24il y a des gens qui viennent.

01:26On ne peut pas prendre

01:28tout ce qu'il faut,

01:30pour qu'il soit en place.

01:32Et tout de même,

01:34on doit en faire plus,

01:36en améliorer, en améliorer.

01:38C'est une joie pour nous,

01:40on ne sait pas toujours tout,

01:42on peut en améliorer,

01:44mais beaucoup de gens

01:46en prennent.

01:48Et les bouteilles,

01:50il y en a des bouteilles

01:52qui sont trop chères,

01:54et qu'on ne peut pas prendre.

01:56Oui, oui.

01:58La penalité, c'est la haute taille,

02:00une bouteille c'est 1'500.

02:02Et si la personne

02:04en prend encore une,

02:06c'est 3'000 euros.

02:08Mais on doit prendre les bouteilles

02:10comme il faut.

02:12C'est vrai,

02:14parce qu'on ne peut pas que ça arrive.

02:16Jusqu'ici, j'ai parlé

02:18avec lui,

02:20il a envoyé

02:22des centaines de pneus.

02:24Oui, oui, malheureusement,

02:26il y a pas longtemps,

02:28il y a un week-end,

02:30on a remarqué

02:32qu'il y avait environ

02:34800 pneus,

02:36qui ont été laissés dans le forest.

02:38800 pneus, c'est beaucoup.

02:40Les gens sont arrivés

02:42là-bas,

02:44c'est comme si les pneus

02:46n'étaient pas donnés,

02:48parce qu'il n'y avait pas

02:50d'argent pour les acheter.

02:52On doit prendre en compte

02:54la collectivité,

02:56parce qu'on ne peut pas

02:58les laisser là-bas.

03:00C'est beaucoup,

03:02parce qu'il n'y a pas

03:04qu'une seule personne

03:06qui peut le faire,

03:08c'est le boulot d'une personne

03:10qui peut le faire.

03:12On ne peut pas

03:14les acheter,

03:16c'est comme d'habitude,

03:18on est parfaitement

03:20en commun pour le Malte,

03:22et on a aussi

03:24le métropole d'Eure,

03:26mais ici, on n'a plus

03:28de place pour le Sénat.

03:30Mais nous avons commencé

03:32en commun pour le Malte,

03:34et nous pouvons

03:36nous relier à la communauté

03:38pour qu'elles sont en bonnes termes.

03:40Il y a encore

03:42une autre chose,

03:44On va arrêter très vite dans un peu de temps avec Jean-Philippe Maurer.

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