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"On a maintenant 32 milliards d'euros de carnets de commandes", se félicite le directeur général du groupe Bouygues
franceinfo
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06/03/2025
"Globalement, on a une très bonne visibilité, ce qui n'est pas du tout intuitif quand on regarde notamment l'image qu'on a de la construction, par exemple en France", déclare, jeudi 6 mars, Olivier Roussat, le directeur général du groupe Bouygues.
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Bonsoir à toutes et à tous, construction, immobilier, télécom, médias aussi, c'est
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le directeur général du groupe Bouygues qui est notre invité ce soir, bonsoir Olivier
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Roussard.
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Bonsoir.
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Bouygues vient de présenter ses résultats pour 2024, chiffre d'affaires de près de
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56,8 milliards, en hausse d'un pour cent sur un an, objectif atteint globalement ?
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Oui globalement, on est assez content tant sur le chiffre d'affaires que sur le résultat
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opérationnel courant qui est même meilleur que ce qu'on attendait.
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Bon on va détailler tout ça dans un petit instant, avant ça je voudrais savoir quel
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regard vous portez sur ce qui se passe aux Etats-Unis en ce moment, les multiples annonces
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de Donald Trump sur les hausses potentielles de droits de douane, est-ce que c'est quelque
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chose qui vous préoccupe ?
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C'est quelque chose de préoccupant dans la mesure où c'est plutôt le signe de la fin
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du libre-échange, maintenant pour nous qu'est-ce que ça change ? On produit localement lorsque
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nous sommes aux Etats-Unis, donc les droits de douane ce sera les objets que l'on utilise
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dans la fabrication, on va les prévoir dans nos contrats et les renvoyer vers le client,
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donc c'est finalement quelque chose qui n'est pas très embêtant pour nous, on ne produit
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pas des produits manufacturés.
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Donc c'est plutôt une inquiétude sur l'avenir de la mondialisation qu'un impact clair ?
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C'est véritablement plutôt la fin puisque si elle monte aux Etats-Unis ces droits de
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douane, je pense qu'elles vont monter dans le reste du monde et donc ça va nous compliquer
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la vie au sens large.
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Vous êtes présent dans de multiples secteurs, on le disait, qu'est-ce qui porte Bouygues
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aujourd'hui ?
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Je pense que le sujet des coins dont on a fait l'acquisition en fin 2022 c'est un de
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nos sujets puisque c'est devenu maintenant une activité qui regroupe la moitié de nos
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collaborateurs, qui regroupe presque un peu plus d'un tiers de notre chiffre à l'affaire
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et globalement c'est une activité qui se développe beaucoup parce qu'elle est sur
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des secteurs qui sont en très booming, que ce soit la transition énergétique, la transition
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industrielle, la transition numérique et donc très clairement c'est un vrai tracteur.
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Mais en même temps, nos secteurs traditionnels et la construction typiquement, on a un carnet
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de commande qui a atteint des valeurs qu'on n'a jamais atteint jusqu'à maintenant.
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C'est-à-dire qu'on a maintenant 32 milliards d'euros de carnet de commande avec un carnet
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qui croit au niveau international de pratiquement 16%, qui croit en France de 9%, donc globalement
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on a une très bonne visibilité, ce qui n'est pas du tout intuitif quand on regarde notamment
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l'image qu'on a de la construction par exemple en France.
02:13
Vous parliez de la France, de l'international, quelle part représente justement l'international
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dans votre carnet de commande ?
02:20
L'international sur nos activités internationales représente maintenant 68% de ce que nous
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faisons.
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C'était à peu près la moitié il y a dix ans et donc ça monte progressivement.
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Chaque année ça monte un peu puisque notre développement est majoritairement maintenant
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l'international quand on rachète des sociétés.
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On parlait de la construction, il y a aussi l'immobilier.
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On a un chiffre d'affaires je crois pour Bouygues Immobilier en repli, 17%.
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Pas une surprise ?
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Non, ce n'est pas une surprise, c'est la conséquence du faible niveau de réservation.
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J'avais l'occasion de dire sur les antennes de votre maison que nous étions, j'espérais
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qu'en 2024 nous avions touché le fond de la piscine.
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Peut-être on a touché le fond de la piscine, je le pense.
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La question qu'on va avoir c'est à quel moment on remonte.
03:00
On va attendre, c'est des choses qu'on pourra percevoir vers le mois de mars-avril à peu
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près, plutôt avril qui est une période où il y a à nouveau des raisins.
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Est-ce que vous avez espoir tout de même pour continuer à filer la métaphore de refaire
03:11
Surface bientôt ou que ça stagne au fond un petit moment ?
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Alors nous, l'approche qu'on a eue ça a été de redimensionner complètement l'entreprise
03:18
avec le niveau de marché tel qu'il était en 2024.
03:20
On est prêt maintenant à six autres opportunités, on a pris des parts de marché l'année
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passée.
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Donc on accompagnera le mouvement et je pense que c'est des choses qui sont à portée
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de main.
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Le vrai sujet quand vous êtes un primo-accédant qui veut acheter un appartement et qui s'endette
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sur 15 ou 20 ans, c'est la confiance qu'il a dans l'avenir.
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Et là ?
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Le monde est tout de même un peu incertain, ça n'est pas abuser que de le dire.
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Donc toujours des petites inquiétudes.
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Qu'est-ce qui manque ?
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Sont les acheteurs particuliers ?
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Alors en fait vous avez dans nos ventes à nous typiquement, de ce que nous avons fait
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en 2024, la moitié de nos ventes ont été faites avec des institutionnels.
03:55
Cette année, en 25, ils vont racheter moins qu'en 24.
03:58
Le reste s'est fait avec des particuliers qui achetaient soit pour eux, soit pour de
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l'investissement.
04:02
Il y a un dispositif d'investissement qui a disparu, remplacé par un dispositif qui
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est un petit peu moins avantageux.
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Et donc ce qu'il faut, c'est que le besoin est là, les gens ont envie d'acheter.
04:12
Il faut simplement que les taux d'intérêt soient suffisamment, continuent de baisser
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et qu'ensuite ils aient confiance dans l'avenir.
04:19
Vous parliez de confiance dans l'avenir, vous parliez il y a quelques instants de
04:21
votre carnet de commandes, ça c'est quelque chose qui vous offre de la visibilité.
04:25
Complètement oui.
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Comment vous abordez 2025 ?
04:27
Avec confiance.
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Vraiment avec confiance, avec un fonctionnement des coins, on a une feuille de route de coins
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que nous avions communiqué au marché début 2023.
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C'est une feuille de route, on a des roules plus vite et plus fort que prévu.
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On a donc des carnets de commandes, je l'ai dit, qui sont pleins.
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Donc on a vraiment une année 25 qui se présente bien.
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Alors même si on a un océan de mauvaise nouvelle, de géopolitique autour de nous,
04:49
autant quand on regarde notre activité spécifique, elle est plutôt de bonne facture.
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Les voyants sont plutôt ouverts.
04:55
Je le disais, vous avez présenté vos résultats ce matin pour Bouygues en 2024, il y a une
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phrase dans votre communiqué de presse sur laquelle je voudrais qu'on revienne.
05:02
Les effets de la loi de finances et de la loi de financement de la sécurité sociale
05:05
pour 2025 sur le résultat net par du groupe sont estimés à date à environ 100 millions
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d'euros.
05:11
C'est-à-dire concrètement ?
05:12
C'est-à-dire, j'aurais même pu rajouter, j'ai quelque chose que j'ai rajouté ce
05:16
matin lors de la présentation des résultats, j'ai dit que globalement la valeur annoncée
05:19
est un plancher.
05:20
Que dans le contexte actuel, ça, ça résulte d'une encomptation de l'impôt sur les
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sociétés et d'un moindre allègement de charges sur les bas salaires.
05:26
Globalement, ça nous baisse le résultat net de 100 millions.
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Je crois que c'est un plancher.
05:30
Parlons emploi.
05:31
Est-ce que Bouygues va recruter cette année ?
05:34
Oui, on continue.
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On a des cartes de commande à honorer.
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Cette année, en France, on va chercher à recruter 10 000 personnes.
05:40
On est un gros recruteur.
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On va recruter dans des jobs de conducteurs de travaux, de techniciens d'installation,
05:46
techniciens électriciens.
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On a des besoins.
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Et encore une fois, nos recrutements servent à réaliser le carnet de commande que nous
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avons pris.
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Les nouvelles du carnet de commande sont bonnes.
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Donc, on n'a pas de raison d'arrêter les recrutements.
05:59
Et est-ce que vous arrivez à la trouver, cette main d'œuvre ?
06:01
C'est compliqué.
06:02
C'est compliqué.
06:03
On a même...
06:04
On forme nous-mêmes des personnes avec des écoles internes que nous avons créées pour
06:08
être capables justement de donner la qualification dont on a besoin pour réaliser nos travaux.
06:13
Allez, on va continuer.
06:14
L'éventail du groupe Bouygues, Bouygues Télécom.
06:16
Année stabilité 2024.
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Une année sur laquelle on a une très bonne performance sur le fixe.
06:25
On a eu un marché du mobile qui était un peu plus difficile au quatrième trimestre.
06:28
Mais globalement, ça reste une bonne année où tous nos objectifs ont été atteints.
06:32
Vous êtes aussi en groupe de médias avec TF1.
06:34
Il y a une numérotation qui va changer au mois de juin, celle des chaînes de la TNT.
06:38
LCI va passer du canal 26 au canal 15.
06:42
Bonne nouvelle pour vous ça ?
06:43
Très bonne nouvelle.
06:44
Très bonne nouvelle puisqu'on va rejoindre le bloc info et c'est plus facile de faire
06:48
P plus, P moins pour pouvoir naviguer à l'intérieur de ce bloc info.
06:54
C'est une meilleure position au 26, je pense.
06:56
Vos objectifs peut-être, notamment sur la question du streaming ?
06:59
Nos objectifs, c'est de continuer à renforcer le streaming.
07:02
Le streaming, c'est ce que l'on doit offrir aux clients pour accompagner ces nouvelles
07:06
habitudes de consommation où les générations, et notamment les jeunes générations, veulent
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pouvoir consommer la télé quand ils le veulent.
07:12
On a beaucoup progressé l'année dernière, le lancement a été très prometteur.
07:16
Il faut continuer d'améliorer, il faut continuer de monter, il faut continuer d'être vu par
07:22
les annonceurs de digital comme quelqu'un de crédible et qui est une bonne alternative
07:27
à YouTube pour faire tout ce qu'ils ont en termes d'annonce.
07:29
Merci beaucoup Olivier Roussat.
07:30
Vous êtes le directeur général de Bouygues.
07:32
Vous avez présenté vos résultats ce matin.
07:34
On le rappelle, chiffre d'affaires qui frôle les 57 milliards, légère hausse sur un an.
07:39
Vous nous le dites, vous êtes confiant pour 2025.
07:41
Vous êtes ce soir l'invité Echo de France Info.
07:43
Merci.
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