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«On aurait peut-être pu éviter de former un nouveau gouvernement un jour de deuil national», assure Henri Guaino
Europe 1
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26/12/2024
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🗞
News
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00:00
6h-9h, Europe 1 Matin.
00:04
Bonjour Henri Guaino.
00:05
Bonjour.
00:06
Merci d'être en direct pour la grande interview sur CNews et sur Europe 1.
00:10
François Bayrou a dévoilé lundi son gouvernement.
00:14
Quel regard vous portez sur cette équipe ?
00:16
Est-ce que vous êtes de ceux qui disent « enfin des poids lourds dans ce gouvernement »
00:20
ou plutôt c'est les revenants comme certains l'estiment ?
00:24
D'abord un mot sur la façon dont ça s'est passé
00:27
parce que je pense que ça va peser sur l'image du gouvernement.
00:31
On a assisté pendant plusieurs jours à une espèce de grand marchandage
00:36
entre les partis, chacun comptant le nombre de ministres qu'il allait caser dans le gouvernement.
00:42
Je pense que ce spectacle, dans les circonstances actuelles,
00:44
n'a pas amélioré la relation des Français à la politique et à la classe politique en général,
00:50
de droite, de gauche, du centre.
00:54
Deuxièmement, on aurait peut-être pu éviter de former un nouveau gouvernement
00:58
un jour de deuil national.
01:00
C'est une erreur d'avoir nommé ce gouvernement le jour du deuil national ?
01:03
Je pense que c'est une faute.
01:05
C'est une faute qui n'a pas l'air de troubler le microcosme politique
01:10
ni l'actualité en continu.
01:13
Mais quand même, c'est très rare le deuil national.
01:17
Le président de la République prend sur lui de décréter un deuil national.
01:22
Il y a des dizaines, on ne sait pas encore très bien combien, de victimes,
01:26
des milliers de blessés à Mayotte.
01:30
Je pense que la moindre des choses eût été de sanctuariser cette journée,
01:36
alors qu'on a passé la journée à attendre le gouvernement
01:39
et non pas à penser aux maoris.
01:42
Je pense qu'on n'a pas fait le geste et on n'a pas mis sur ce geste
01:46
ces paroles qu'il fallait pour manifester ça depuis le début de la crise à Mayotte,
01:52
manifester notre solidarité, notre compassion à nos compatriotes maoris,
01:59
dont je rappelle, contrairement aux mots du président de la République,
02:02
ils sont en France, ils sont de la France,
02:05
c'est-à-dire qu'on ne peut pas leur dire heureusement que la France vous aide.
02:09
N'ayez pas à dire ça aux habitants des Alpes-Maritimes.
02:11
Votre référence au déplacement du président de la République sur place
02:13
qui avait dit qu'ils étaient plus aidés que le reste des pays dans l'océan Indien.
02:18
Oui, mais ce n'est pas un pays, ce n'est pas une colonie, c'est un département français.
02:22
Je pense qu'il aurait eu besoin d'un peu plus de respect et de considération.
02:26
C'était l'occasion de le faire.
02:28
Bon, ça n'a pas été fait.
02:29
Si on en revient au gouvernement, l'une des nominations les plus commentées,
02:32
c'est celle de Gérald Darmanin.
02:33
Il a effectué ses premiers pas en tant que ministre de la Justice hier,
02:36
déplacement à Amiens, puis dans l'Oise.
02:38
Il va former avec Bruno Rotaillot un tandem poli-justice que l'on n'a pas vu depuis longtemps.
02:44
Au moins, les violons seront accordés entre les deux hommes qui se connaissent d'ailleurs.
02:48
Est-ce que vous estimez qu'ils sont en mesure de faire bouger les lignes
02:51
sur des sujets qui sont très importants pour les Français,
02:54
les sujets de sécurité, d'immigration, de réponse pénale ?
02:56
D'abord le tandem.
02:58
Tous les deux sont des hommes politiques expérimentés.
03:03
Gérald Darmanin a une longue expérience ministérielle depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron à l'Elysée.
03:09
Je ne suis pas certain que c'était le meilleur endroit où le nommer.
03:15
Il a pu occuper beaucoup de postes dans le gouvernement.
03:19
Ce n'était pas le meilleur endroit.
03:20
Pourquoi ? Parce qu'il y a quand même un problème symbolique, je trouve,
03:23
à nommer l'ancien ministre de l'Intérieur,
03:26
avec toutes les tensions que celui-ci a pu avoir avec la justice,
03:32
avec à la fois le garde des Sceaux, les magistrats, etc.
03:36
On se souvient des manifestations qu'il participait, de la police contre la justice.
03:43
Il faisait son travail de ministre de l'Intérieur.
03:45
Défendre les policiers était son rôle.
03:47
Mais le nommer au ministère de la Justice,
03:52
ce n'est pas forcément un message de conciliation et d'apaisement envoyé aux magistrats.
03:58
Or, je suis un de ceux qui pense que la réforme de la justice est nécessaire,
04:05
que devant le caractère assez erratique, parfois difficilement compréhensible,
04:12
des jurisprudences, quel que soit le domaine,
04:15
qu'elles soient vis-à-vis des politiques, vis-à-vis des voyous,
04:20
il y a des réformes à faire, des décisions à prendre dans ce domaine.
04:24
Mais la meilleure façon d'y arriver, c'est plus dans la réflexion apaisée que dans la provocation.
04:32
C'est un peu une provocation.
04:34
Vous pensez que c'est une provocation, la nomination de Gérald Darmanin ?
04:36
Je pense que ce sera ressenti par une partie de la magistrature comme une forme de provocation.
04:42
Est-ce qu'il faut céder à une forme de chantage d'une partie de la magistrature ?
04:44
Le problème, c'est que le garde des Sceaux ne dirige pas la magistrature.
04:47
On a vu ce qu'ils ont fait à Dupont-Moretti,
04:50
avec l'accusation qu'ils ont portée contre lui,
04:58
qui a été jugée, j'assire heureusement, par la Cour de justice de la République,
05:08
et non par un tribunal correctionnel.
05:11
Il ne suffit pas d'avoir un garde des Sceaux qui dit, qui se déplace, qui fait des déclarations,
05:18
pour que la justice change.
05:20
C'est un problème de réforme en profondeur.
05:23
Et puis c'est aussi un problème de réforme, et ça, ça vaut pour les deux,
05:26
de notre système juridique, de la hiérarchie des normes juridiques.
05:31
Je veux savoir si la loi française doit l'emporter,
05:34
au moins quand elle est postérieure aux traités et aux conventions internationales,
05:39
sur les conventions internationales, les directives européennes,
05:42
les jurisprudences de la Cour de justice, ou pas.
05:44
Or, ça n'est pas le cas, et ça, ça ne va pas changer.
05:47
Justement, c'est très intéressant ce que vous dites.
05:48
Est-ce qu'on a encore les moyens d'agir sur un certain nombre de sujets ?
05:51
Vous avez parlé des instructions de l'Union européenne,
05:55
des juridictions extra-nationales,
05:58
en tout cas qui dépendent de l'Union européenne.
06:01
Est-ce qu'on a encore la possibilité d'agir sur des questions de sécurité,
06:04
de fermeté, de réponse pénale ?
06:06
Deux exemples pour faire réfléchir tout le monde, que je répète sans arrêt.
06:09
Le premier, c'est la promesse de rétablir le délit de maintien irrégulier sur le territoire.
06:17
Ça n'est pas possible, ça n'est pas la peine de le promettre.
06:20
Ça n'est pas possible sans changer la hiérarchie des normes,
06:22
parce que c'est une jurisprudence de la Cour européenne de justice que nos juridictions appliquent.
06:28
Et d'ailleurs, ce délit a été supprimé du droit français,
06:32
parce qu'il n'était plus ni appliqué, ni applicable par nos juridictions.
06:35
Voilà, donc on ne va pas le rétablir avec une simple loi.
06:38
Deuxièmement, par exemple, le refoulement aux frontières,
06:41
c'est un principe qui a été exclu par l'Union européenne.
06:47
D'ailleurs, Mme Mélanie s'y est heurtée aussi quand elle a voulu envoyer en Albanie des milliers de réfugiés.
06:55
Et donc, ça n'est pas la peine non plus de promettre ça par une simple loi,
06:59
par des textes législatifs, encore moins par des circulaires.
07:02
Donc, il faut changer notre constitution si nous voulons sortir de ce qui est, à mes yeux,
07:09
une des causes de la crise profonde de la démocratie que nous traversons.
07:13
Parce qu'on est empêchés par des décisions qui ne sont pas du ressort de nos dirigeants.
07:16
C'est ça qu'il faut expliquer.
07:17
Mais ils ne sont pas du ressort de nos dirigeants, parce que personne ne veut changer les choses.
07:21
C'est-à-dire, par exemple, nous n'avons jamais ratifié un traité dans lequel il était écrit
07:28
que la loi française était inférieure, dans tous les cas, aux conventions internationales et aux textes européens.
07:37
Mais c'est une jurisprudence de la Cour de justice.
07:42
Pendant des décennies, jusqu'en 1975 pour la Cour de cassation et jusqu'en 1989 pour le Conseil d'État,
07:48
la loi française l'emportait dans leur jurisprudence quand elle était postérieure au traité.
07:54
Alors après, ils sont revenus à une autre lecture de la Constitution.
07:57
L'article 55 dit que les traités sont supérieurs à la loi.
08:00
Cet article a été écrit dans un contexte radicalement différent.
08:03
Le droit international n'avait pas du tout la même prégnance sur le droit interne.
08:06
Mais maintenant, il faut changer.
08:09
Et ça, c'est une question de volonté politique, à condition d'en avoir débattu avec les Français, d'avoir un mandat,
08:15
et il faudra certainement passer par un référendum.
08:19
Donc là, vous voyez le courage politique qu'il faut.
08:22
Il faut pouvoir aller à la télévision, s'adresser aux Français et leur dire
08:27
« Je vais utiliser l'article 11, procédure utilisée pour changer la Constitution en 1962 par le général de Gaulle,
08:34
et même en 1969 pour le référendum de 1969.
08:37
C'est vous qui allez trancher. »
08:41
Parce que les juristes, le Conseil constitutionnel ont l'air de considérer
08:45
qu'on ne change pas la Constitution de cette façon,
08:49
qui oblige à avoir l'accord des deux chambres en même temps,
08:52
puis après de passer devant le Congrès ou d'aller ensuite au référendum.
08:56
Mais ça, c'est de la politique.
08:59
Nous ne pouvons pas. La souveraineté...
09:01
Il faut le décider.
09:02
Il faut le décider.
09:03
Il faudrait que le président de la République assume ce choix.
09:05
Assume ça et que le peuple le tranche.
09:08
Avec tous les enjeux en matière de construction européenne que cela représente.
09:12
Mais si vous ne faites pas ça, il n'y a plus de responsabilité politique,
09:16
il n'y a que des gens qui vous disent la veille des élections
09:18
« je vais changer » ou qui se promènent partout en disant
09:21
« vous allez voir ce que vous allez voir »
09:23
et qui ensuite vous disent « j'y peux rien ».
09:25
Donc plus de responsabilité politique, d'abord,
09:27
et deuxièmement, les élections ne servent plus à rien,
09:29
ou plus à grand-chose.
09:30
Il faut que ça s'arrête.
09:32
Il faut que ça s'arrête, mais il faut le faire dans un climat apaisé,
09:36
en respectant un certain nombre de règles,
09:38
et demander au peuple de trancher.
09:40
La souveraineté, c'est le droit imprescriptible pour un peuple de dire non,
09:44
c'est quelque chose qui ne s'abandonne pas,
09:47
mais on peut renoncer à l'exercer, c'est ce que nous avons fait.
09:51
Est-ce que nous continuons à renoncer à l'exercer,
09:53
c'est-à-dire à être maître de notre destin par la voie de la démocratie ?
09:57
J'aimerais qu'on revienne sur les conditions dans lesquelles
09:59
François Bayrou a été nommé à Madignon.
10:01
On a beaucoup raconté le bras de fer qu'il a opposé au président de la République.
10:05
Certains décrivent aujourd'hui le chef de l'État comme isolé,
10:08
comme ayant un peu perdu la main sur son deuxième mandat.
10:12
Si vous deviez le conseiller, le président de la République,
10:15
qu'est-ce que vous lui diriez aujourd'hui,
10:17
pour justement tenter peut-être de reprendre un peu la main sur ce quinquennat ?
10:21
D'abord, je me garderais bien d'être le conseiller d'Emmanuel Macron.
10:24
Je pense que ses conseillers ont beaucoup de difficultés à le conseiller,
10:27
parce que c'est quelqu'un qui décide par lui-même,
10:30
en fonction, à le voir gouverner, de ses propres intuitions.
10:34
Je crois qu'il ne reprendra pas la main.
10:38
Je pense qu'il ne reprendra pas la main.
10:41
Tout ce qu'il peut faire, c'est le mieux possible,
10:43
exercer les prérogatives qui sont les siennes dans la situation actuelle.
10:48
Vous savez, par exemple, on paye aujourd'hui le fait
10:51
que le Nouveau Front Populaire, étant arrivé en tête en nombre de sièges,
10:55
n'ait pas nommé tout de suite après les élections un candidat venu de la rang,
11:02
qui aurait fait un gouvernement renversé par l'Assemblée sans doute très très vite,
11:08
mais qui aurait levé cette hypothèque.
11:10
Pour ne pas l'avoir fait, maintenant, on est toujours en face de cette critique d'illégitimité.
11:17
L'illégitimité, d'ailleurs, qui se pose pour tous les gouvernements qui se succèdent,
11:21
puisqu'ils n'ont pas la légitimité des urnes, ils n'ont pas de mandat,
11:24
ils ne peuvent pas continuer de se comporter des gouvernements comme les autres.
11:29
La légitimité, il faut la construire avec l'opinion.
11:33
C'est difficile, et c'est plus long, plus compliqué que la légitimité du vote,
11:40
et encore celle-ci, même celle-ci ne dure pas très longtemps face aux épreuves
11:46
que les gouvernements rencontrent dans la situation actuelle de notre société et du monde.
11:51
Mais je crois qu'aujourd'hui, il faut qu'ils laissent le gouvernement gouverner,
11:57
que la question, elle est entre les mains du gouvernement, de l'Assemblée,
12:01
d'un président qui ne doit pas gêner l'action gouvernementale, en rien, même pas par ses déclarations.
12:10
Et quand certains estiment qu'il doit partir, qu'il doit quitter l'Elysée, qu'est-ce que vous en pensez ?
12:15
D'abord, je pense qu'il ne partira que sous la pression,
12:18
et que s'il partait sous la pression, ça en serait fini de la fonction présidentielle dans la Ve République.
12:26
En fait, tout bout à bout, et ça en couronnement, ce serait la fin de la Ve République,
12:32
ce serait exactement ce qui s'est passé au début de la IIIe République,
12:35
les lois constitutionnelles de la IIIe République donnaient des pouvoirs considérables au président de la République,
12:40
y compris le pouvoir de dissoudre.
12:42
Et puis, il y a eu le 16 mai 1877, qui arrive au terme d'une crise institutionnelle,
12:49
parce qu'il y a un président de la République de droite, le maréchal de MacMahon,
12:54
et puis une chambre qui est élue très à gauche.
12:57
Et on connaît le mot de Gambetta, le président doit se soumettre ou se démettre,
13:02
et ça finit par la défaite du président,
13:04
et après, il n'y a plus eu de président de la République qui puisse faire autre chose qu'inaugurer les chrysanthèmes
13:10
pendant toute la IIIe République.
13:12
Il ne faudrait pas que ça arrive.
13:16
Maintenant, la pression peut devenir très très forte,
13:18
si le toboggan ministériel s'engage, comme il s'est engagé sous la IVe,
13:23
on est au même...
13:24
Est-ce que François Bayrou peut être le dernier Premier ministre d'Emmanuel Macron ?
13:26
Est-ce que la chute éventuelle de François Bayrou peut entraîner le président ?
13:29
Tout est possible, mais honnêtement, je ne souhaite pas, ça n'est pas une solution.
13:34
Je sais bien que beaucoup de gens veulent mettre les institutions de la Vème République par terre,
13:37
mais pour quoi faire ? Pour revenir à la IVe, à la IIIe,
13:40
pour revenir à toutes les républiques qui ont fini dans le désastre et dans le drame ?
13:45
Dans la situation actuelle, il faut préserver ces institutions,
13:50
mais cela peut arriver, la pression peut devenir très forte,
13:53
parce qu'il n'est pas exclu que ce gouvernement,
13:56
et puis même d'autres qui suivraient, soient engagés sur ce toboggan.
14:00
On est déjà, en deux ans, à une moyenne qui est celle de la IVe République.
14:04
La IVe République, c'est des gouvernements en moyenne de six mois, quand on fait le compte.
14:07
Et là, on en est au quatrième gouvernement en deux ans.
14:10
Merci beaucoup, Henri Guaino, d'avoir répondu à mes questions ce matin.
14:13
C'était votre grande interview en direct sur CNews et sur Europe.
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