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CG débat 3
Europe 1
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10/12/2024
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00:00
13h-14h, l'Europe 1 13h. Avec Céline Giraud, style Europe 1 et aujourd'hui l'écrivain
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essayiste Paul Meulin et le chroniqueur politique Jean-Claude Bassier. Céline.
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Et l'actualité toujours très rock'n'roll cette semaine, on ne s'ennuie jamais, on continue à
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parler de politique avec cette réunion qui va donc démarrer dans 15 minutes maintenant,
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placée sous le signe du compromis. Une réunion commune réclamée par Emmanuel Macron qui exclut
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donc l'ERN et l'FI. Les deux extrêmes auraient selon lui rejeté l'idée d'un accord et s'opposeraient
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donc à la discussion. On va écouter la réaction de Jordan Bardella, président du parti et
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eurodéputé, c'était ce matin sur TF1. D'abord c'est un aveu de l'irrespect et de l'inélégance
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du président de la République qui, encore une fois, fait comme si 11 millions d'électeurs
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n'existaient pas. Quand on est dans une telle incertitude, quand on est dans une telle impasse
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démocratique, alors on parle à tout le monde. Nos électeurs ne sont pas des sous-citoyens.
00:50
Donc vous y suriez allé ?
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Et je trouve que ces propos...
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Vous y suriez allé ?
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A chaque fois que la République nous a convoqués, on a répondu à son appel. A chaque fois que le
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président de la République a souhaité dialoguer avec les partis d'opposition, on a le premier
00:59
groupe aujourd'hui à l'Assemblée nationale, la première délégation de parlementaires
01:02
nationales au Parlement européen. C'est normal qu'on puisse faire connaître non seulement
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les aspirations de nos électeurs, mais également nos propositions.
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Voilà, Jordan Bardella, ce matin, rejouez la carte des extrêmes pour Emmanuel Macron,
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une stratégie comme en 2022 ?
01:18
Moi, je n'ai jamais été très fan de la notion d'arc républicain parce que je ne sais pas
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quand ça se termine, je ne sais pas où ça commence.
01:25
Voilà, ça irait du PS à LR.
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Voilà, puis des fois on en met d'autres, alors je ne sais pas.
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Des fois, elle est fiée dans l'arc républicain, des fois elle est fiée pas, des fois elle
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est régnée, des fois elle ne le régnait pas.
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Moi, je ne sais plus.
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C'est extensif, c'est élastique.
01:35
Si un jour un professeur d'études politiques peut m'expliquer le concept d'arc républicain,
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je serais content. Mais dans toute la doctrine de sciences politiques, on ne l'a pas.
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Là, on parle d'arc gouvernemental désormais.
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D'arc gouvernemental désormais, je ne sais pas.
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Est-ce que le Parti Socialiste, par exemple, ou les écolos se sont comportés comme des
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partis de gouvernement ces dernières semaines en mettant à la remorque des insoumis en
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votant la censure ? Je ne sais pas.
01:53
Tout ça me paraît très nébuleux.
01:55
Après, sur la convocation ou non de Jordan Bardella à l'Élysée, moi je suis plutôt
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d'avis qu'il aurait été le bienvenu.
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C'était du reste la logique qui avait guidé le président de ces fameuses rencontres de
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Saint-Denis, je crois.
02:05
Souvenons-nous de l'arrivée triomphale de Bardella à ces rencontres de Saint-Denis.
02:11
Il marche encore.
02:12
C'est une image que je garderai des années.
02:14
Il triomphe, il arrive et il est convié.
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Et la RN est totalement dans la discussion qui est censée orienter la politique du pays.
02:24
Les fameuses rencontres de Saint-Denis, ça c'était encore une création d'Emmanuel
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Macron originale.
02:28
C'est vrai qu'avoir voté la censure, c'est quelque chose qui n'est pas neutre et qui
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n'est pas sans conséquences.
02:34
Néanmoins, ils ne sont pas dans le coup.
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Vous mettez le RN hors du coup, je suis navré, mais ça me paraît bâtir quelque chose.
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Bâtir quelque chose pour les mois qui viennent sans que le RN ait été amené à donner
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au moins son sentiment.
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Il est interdit de séjour à l'Élysée maintenant.
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Marine Le Pen nous donne en quelque sorte la médaille de l'opposition.
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On est le seul parti d'opposition, dit-elle.
03:02
Franchement, c'est une position que je n'arrive pas à comprendre.
03:04
Je pense que la stratégie, je l'ai dit depuis le vote de la motion de censure, je pense
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que la stratégie du RN était bien plus maligne jusqu'à cette censure.
03:14
C'est-à-dire garder le revolver sur la tempe du gouvernement Barnier.
03:17
C'est une image.
03:18
Surveillance générale.
03:19
Surveillance générale.
03:20
Vous savez, c'est cette formule, je crois que c'était de Bardella d'ailleurs.
03:22
Le gouvernement est sous surveillance.
03:24
Bon, ça c'était plus malin parce qu'elle pouvait orienter la politique du gouvernement
03:28
à sa guise tout en se montrant constructive et en montrant qu'elle était un parti de gouvernement.
03:32
Donc là, il déplore de ne pas être reçu par le chef de l'État.
03:34
Est-ce qu'elle a appuyé sur le bouton de la censure pour vous ? Elle a changé de position ?
03:38
Elle a changé un peu de position.
03:39
Sur les chiquiers ?
03:40
Je ne sais pas pour quelle raison.
03:41
Mais je pense que c'est une mauvaise décision.
03:43
Je pense que les Français aiment l'ordre, que les Français aiment la stabilité, qu'ils
03:46
n'aiment pas ce qui engendre la crise politique.
03:50
Du reste, les insoumis le payent aussi dans les sondages.
03:53
Jean-Luc Mélenchon n'est plus très très populaire aujourd'hui.
03:55
Donc ça marche finalement.
03:56
Est-ce que le fait de les exclure quelque part, Emmanuel Macron, ne fait pas un bon coup ?
04:02
Écoutez, on n'exclut pas le RN au point où l'année est arrivée.
04:06
L'éclure des discussions, de les sortir du jeu, du gain, ils sont hors-jeu.
04:10
Ça me paraît sans perspective.
04:12
Ou alors il ne fallait pas le faire à Saint-Denis il y a quelques mois.
04:15
On n'y comprend plus rien, franchement.
04:17
Pour avoir un programme minima, il va falloir un accord de non-censure ou un accord de non-agression.
04:26
Il va quand même falloir que ces messieurs-dames se mettent d'accord sur un programme minima
04:30
au minimum.
04:31
Il aurait fallu que le parti de Marine Le Pen soit là pour dire, écoutez, nous on n'est pas d'accord.
04:37
Au moins qu'on les entende et qu'on les écoute.
04:39
Je pense, comme Paul, qu'elle a fait probablement une bêtise en votant cette censure avec,
04:46
sinon le gouvernement sera encore là, avec les Assoumis.
04:51
Je ne sais pas si ça a un sens.
04:53
Ils ont perdu une élection partielle.
04:55
Ils ont perdu un député.
04:58
Dans les Ardennes.
05:00
Je ne suis pas sûr que ça ait un grand sens politique.
05:02
Néanmoins quand même, la vague, peut-être, Marine Le Pen l'a quelque peu freinée.
05:08
Je crois beaucoup à la pertinence, non pas du programme qui n'y fait ni affaire,
05:13
mais au moins de ce qu'ils disent sur un certain nombre de points, dont l'immigration.
05:17
Mais alors, les mettre complètement en dehors de la discussion gouvernementale qui s'annonce,
05:24
je crois que ça ne marche pas.
05:25
À 13h50, il y a un dernier sujet que je voulais aborder avec vous.
05:28
Ça concerne évidemment la Syrie.
05:30
Le ministère français de l'Intérieur travaille actuellement sur une suspension des dossiers d'asile en cours,
05:34
provenant de Syrie après la chute du régime de Bachar el-Assad.
05:38
Le ministère précise qu'une décision devrait être prise dans les prochaines heures par l'OFPRA.
05:42
C'est l'Office français de protection des réfugiés et apatrides.
05:45
Alors, maintenant que Bachar el-Assad est parti, se pose la question de ces réfugiés syriens.
05:50
Écoutez Marine Le Pen, chef de file des députés RN.
05:53
Pour elle, il faut que les réfugiés soient renvoyés vers la Syrie.
05:56
Ce que je souhaite, c'est évidemment que les réfugiés syriens, qui ont été accueillis en Europe,
06:01
mais pas seulement, également dans des pays comme le Liban ou comme la Jordanie,
06:06
puissent, par définition, rentrer en Syrie.
06:09
Parce qu'on ne peut pas être réfugié toute sa vie.
06:12
Et quand ce qui vous a poussé à partir disparaît,
06:16
c'est vrai que la cohérence, la logique voudrait qu'ils puissent rentrer dans leur pays
06:21
pour participer à sa reconstruction.
06:23
Beaucoup de gouvernements européens ont d'ores et déjà annoncé
06:26
qu'ils gelaient les demandes d'asile des Syriens.
06:30
C'est déjà une première étape.
06:32
Mais je pense que maintenant, il faut organiser leur retour dans leur pays.
06:36
Voilà Marine Le Pen ce matin.
06:38
Je précise qu'il y a actuellement à peu près 450 dossiers de demandeurs d'asile syriens en France.
06:42
L'Allemagne gèle les demandes d'asile.
06:44
L'Autriche les expulse.
06:45
D'autres pays comme la Suède, le Danemark, le Royaume-Uni ont déjà revu leur politique d'accueil.
06:49
La France, pour l'instant, attend.
06:50
C'est très cohérent.
06:51
Depuis 2015 et la crise migratoire avec ce long déplacement de migrants,
06:56
notamment ceux venus de Syrie,
06:58
effectivement il n'y a plus de raison de fuir Bachar Al-Assad
07:02
puisqu'il est désormais à Moscou,
07:04
que son armée et ses troupes ne sont plus là
07:06
et que désormais ce sont les islamistes de Monsieur Jolani
07:09
qui ont repris possession de Damas.
07:11
Par conséquent, tous ceux qui ont fui Bachar Al-Assad
07:15
pour les raisons à l'époque plutôt légitimes,
07:18
du reste sont légitimes à repartir chez eux.
07:21
Et du reste, c'est aussi un peu la même chose
07:23
lorsque des réfugiés ukrainiens sont venus.
07:26
Lorsque la ligne de front s'est stabilisée, ils sont repartis chez eux en Ukraine.
07:29
L'Asie n'est pas quelque chose de permanent.
07:31
Ce n'est pas un pays spontané d'accueil, la France.
07:33
Ils vont d'habitude plutôt vers l'Allemagne, l'Autriche, les pays d'Europe du Nord.
07:36
C'est ça. Et les pays d'Europe du Nord, à l'époque, la Suède avait beaucoup pris son compte aussi.
07:40
C'est un bon exemple, la Suède.
07:41
Donc là, ils sont fondés à repartir.
07:43
Ce qui est intéressant, c'est plutôt de voir qu'il va y avoir un croisement.
07:46
D'ailleurs, on l'a bien vu à la frontière libanaise.
07:48
Il y a ceux qui voulaient repartir en Syrie, puisque Bachar était tombé.
07:51
Et il y a ceux qui quittaient la Syrie, parce qu'ils savent qu'ils vont être mis en minorité.
07:55
Et que ça va être très dangereux, je pense, par exemple, aux minorités halawites et chrétiennes.
07:58
Pour ce qui est des chrétiens d'Orient là-bas, ils vont avoir un sort qui va être terrible.
08:02
Ils vont devoir fuir, pour certains, au Liban.
08:04
Puisque le Liban, aujourd'hui, devient l'eldorado des chrétiens d'Orient dans la zone,
08:08
étant donné les persécutions qu'ils subissent.
08:10
Ceux-là, à mon avis, seront peut-être fondés à venir en Europe.
08:14
C'est peut-être une clé de répartition.
08:16
C'est ce que dit Didier Leschi, le patron de l'Off-Pride.
08:20
Il dit qu'on est dans une situation mouvante.
08:21
Par exemple, on peut penser et on espère que les chrétiens de Syrie aient peur ou soient persécutés.
08:25
On peut avoir un afflux historiquement.
08:27
On a des liens très importants, en particulier avec cette communauté chrétienne syrielle.
08:30
Il faut penser à eux, parce que les chrétiens d'Orient, au Moyen-Orient, vivent des choses absolument terribles.
08:34
C'est un drame.
08:35
Et eux sont souvent des déplacés qui fuient, effectivement, la mort.
08:40
Donc, il faut réfléchir avec des pays tiers.
08:42
Pour vous, la posture de la France d'attendre, alors que d'autres pays ont déjà pris des mesures ?
08:47
Les mesures, il faut les prendre tout de suite.
08:49
C'est-à-dire, je lève les demandes d'asile, parce que les demandes d'asile qui ont été examinées,
08:53
qui ont six mois, par exemple, ou cinq mois ou trois mois,
08:55
elles sont nulles et non avues, puisque Bachar est tombé.
08:57
Jean-Claude Dassier.
08:58
Je suis d'accord.
08:59
Il faut quand même savoir à qui et à quoi on a affaire.
09:03
Or, pour le moment, on ne sait rien.
09:05
Si ce n'est la joie du peuple syrien, que l'on peut comprendre aisément, ou combien.
09:11
D'un autre côté, aller accueillir, comme si on ne pouvait rien leur reprocher,
09:17
des gens qui ont ou collaboré, ou soutenu, ou travaillé,
09:21
dans les conditions qu'on découvre aujourd'hui, chaque minute, chaque heure, chaque seconde,
09:26
la manière dont les choses étaient traitées en Syrie, c'est absolument impossible.
09:30
En revanche...
09:31
Depuis le début de l'année, Jean-Claude Dassier, 132 000 Syriens sont entrés en Europe,
09:35
dont 1745 demandent en France.
09:37
En France, oui.
09:38
Il y en a 450 en attente, justement.
09:40
S'il s'agissait de réfugiés qui luttaient contre le pouvoir de Bachar,
09:45
je crois qu'on regardera ces demandes avec bienveillance,
09:50
mais il faut peut-être se donner un petit peu de temps.
09:52
En revanche, si d'aventure pour les minorités, on ne le sait pas trop,
09:57
mais les choses devaient très mal se passer,
09:59
il faudrait avoir avec les chrétiens situés dans ces zones-là,
10:03
une posture plus que bienveillante.
10:06
Il faut les accueillir sans barbigner, sans discuter,
10:10
parce que leur situation va être effroyable.
10:13
On est très naïf, on peut essayer de croire,
10:16
mais enfin, franchement, c'est difficile.
10:18
A la bienveillance et au bien-fonder des paroles de celui qui apparaît partiellement
10:23
comme le détenteur aujourd'hui du pouvoir en Syrie,
10:26
comment vous l'appelez ?
10:27
Jolani.
10:28
Jolani.
10:29
Honnêtement, franchement, c'est quand même un extrémiste qui vient des extrêmes,
10:33
ça va être extrêmement difficile.
10:36
Il a quand même fréquenté ce qu'on fait de plus affreux
10:39
en matière de terrorisme national et international.
10:44
Je pense qu'il est habile, les talibans nous ont fait le même coup,
10:49
il y a quoi, deux ans, trois ans, avec l'Afghanistan et les américains,
10:53
on voit où ça en est aujourd'hui,
10:54
les malheureuses femmes afghanes ne peuvent même plus apprendre à compter.
10:58
C'est un pur scandale, et on ne dit rien, on ne bouge pas.
11:01
Espérons que la même chose va se passer en Syrie,
11:04
mais la vigilance commande qu'on...
11:06
Mais enfin, le gouvernement est très attentif à ça,
11:09
je lui fais confiance.
11:10
Merci Jean-Claude Dacier, Paul Melun, c'est déjà fini,
11:13
comme c'est passé vite avec vous, il faut encore...
11:16
Mais on se retrouve demain !
11:17
Il faut une demi-heure de plus.
11:18
Voilà, c'est ça, on fait un after, comme chaque jour.
11:20
Mais on fait toujours un after, pour nos auditeurs,
11:21
sachez, on prolonge évidemment les débats après le carillon.
11:25
On se retrouve demain, et n'oubliez pas,
11:26
19h, bien sûr, Pierre Devineau et toute son équipe,
11:28
pour ranger l'actualité.
11:30
Exactement, c'était Céline Giraud sur Europe 1,
11:32
et cet après-midi, sur Europe 1,
11:34
retrouvés au cœur de l'Histoire avec Stéphane Berne.
11:36
Stéphane Berne qui, du lundi au vendredi,
11:38
vous fait le récit d'événements, de lieux et de personnages
11:40
qui ont façonné l'Histoire.
11:41
Au cœur de l'Histoire, semaine spéciale,
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grand procès tout à l'heure,
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Stéphane Berne vous racontera celui de Louis XVI.
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Au cœur de l'Histoire, de 15h à 16h,
11:49
et dès maintenant, bien sûr, en replay et en podcast,
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sur Europe 1.fr et l'application Europe 1.
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Restez bien avec nous, dans un instant,
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c'est Christophe Ondelat, 14h15,
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