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Samuel Harivel de Littoral Normand accompagne les éleveurs qui s’agrandissent
Terre-net
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08/07/2024
Conseil élevage et grands troupeaux
Catégorie
🗞
News
Transcription
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00:00
Bonjour. Nous allons aborder la question de l'agrandissement
00:03
des troupeaux laitiers et de leur accompagnement.
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Pour en parler, je reçois Samuel Arrivelle. Bonjour.
00:09
Bonjour.
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Vous êtes ingénieur conseiller d'exploitation
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pour l'entreprise Littoral Normand
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dans le sud du département de la Manche.
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Vous êtes aussi en charge de la réflexion
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autour des grands troupeaux et de l'agrandissement.
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Vous nous avez présenté
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la question de l'agrandissement des troupeaux laitiers.
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Aujourd'hui, le constat que l'on peut faire,
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c'est que 15 à 20 % des exploitations laitières
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s'agrandissent en moyenne avec 250 000, 300 000 litres de lait
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avec des surfaces de 50, 60 hectares en plus.
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Et au sein de Littoral Normand, depuis 2008,
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nous élaborons le service accompagnement de projets d'élevage
00:46
qui permet d'accompagner les éleveurs
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en plus des petits troupeaux laitiers.
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C'est un projet qui a été réalisé en 2018
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qui permet d'accompagner les éleveurs
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en plus des points techniques, économiques et réglementaires.
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D'accord. Vous accompagnez des élevages au quotidien
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depuis de nombreuses années.
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Et concrètement, comment on accompagne un éleveur
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qui voudrait agrandir son troupeau ?
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Qu'est-ce que vous faites ?
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Donc, de manière factuelle, j'ai l'exemple d'un client,
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le Gaïc Duchamp de Saules,
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dans le sud du département de la Manche, sur Saint-Hilaire.
01:20
On constate 2 phases.
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Entre 2006, cette exploitation-là avec 80 hectares,
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440 000 litres de lait,
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troupeaux 100 % race normande,
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pour atteindre en 2013 1,2 million sur 170 hectares
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avec un atelier volaille de chair également.
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Donc, multiplié par 3 en quelques années, ça fait quand même...
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Voilà. Donc, sur cette 1re phase,
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les visites étaient...
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Il y en avait plus, 7 visites par an,
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sur vraiment de l'accompagnement stratégique.
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En ce qui concerne l'accompagnement de la main-d'oeuvre des exploitations,
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car ils sont passés de 2,5 associés à 4 associés.
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De plus, au niveau de l'activité dans l'exploitation,
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sur les domaines d'activité, le lait a toujours été continué.
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L'atelier Torillon a été arrêté
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au profit de l'agrandissement des grandes cultures.
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C'est quelque chose qu'on observe souvent, dans l'agrandissement.
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On abandonne un atelier Torillon ou un atelier hors-sol
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pour se concentrer sur la spécialisation en matières.
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Ils cherchent à se spécialiser pour que ça soit moins chronophage
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au niveau de la main-d'oeuvre.
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De plus, dans cette exploitation-là,
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c'est poser la question du bâtiment.
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Un 2e bâtiment pour un 2e lot de vaches.
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En ce qui concerne la distribution de l'alimentation
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avec l'investissement dans une automotrice
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et l'investissement dans des outils technologiques
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de suivi de reproduction pour faciliter la détection des animaux.
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Et tout ça, ces stratégies-là,
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on mettait en parallèle l'évolution aussi de l'EBE dans les choix.
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Et aussi l'utilisation de l'outil capacité
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pour voir si les ressources étaient suffisantes
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pour atteindre les objectifs.
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Donc ça, c'est un logiciel qui calcule
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si on peut y arriver en termes de main-d'oeuvre, de bâtiments ?
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Voilà. Si les ressources main-d'oeuvre sont assez suffisantes,
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bâtiments, surface et réglementation.
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Ensuite, on constate une 2e phase
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où l'exploitation arrive en croisière.
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Et sur cette phase de croisière,
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on a peut-être besoin de moins de visites,
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mais des visites plus pointilleuses sur l'aspect technique,
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notamment sur l'accent de la nutrition animale
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afin de faciliter au mieux la reproduction.
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Car si la reproduction est bien maîtrisée,
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on se retrouve avec des stades de lactation plus faibles en production
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et donc des vaches ayant une plus grande valeur ajoutée par jour
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par rapport aux coûts alimentaires.
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De plus, cette gestion de l'effectif à moyen terme
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à l'aide d'une prévision laitière nous permet de savoir,
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au bout de 10 mois, combien d'animaux seront présents
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dans l'exploitation afin de développer la surface fourragère
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et aussi acheter des aliments sur les marchés à terme.
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D'accord.
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Quand on a un grand troupeau, un petit coût par vache individuel
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multiplié par un nombre de vaches important,
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ça fait des différences d'OBE importantes à la fin de l'année.
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Si on parle de valeur ajoutée,
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1 euro de variation à la journée pour 140 vaches,
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parce qu'on dit un grand troupeau,
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chez nous, c'est le double de la moyenne de nos clients.
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Un grand troupeau, c'est le double de la moyenne.
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Ca représente combien ?
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Aujourd'hui, on a 70 vaches par exploitation en moyenne
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dans les troupeaux que l'on suit en lait.
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C'est déjà des gros troupeaux, c'est une grosse moyenne.
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Oui.
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Déjà à la base, 70, c'est déjà un bon niveau.
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Mais 1 euro de valeur ajoutée d'écart,
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ça fait vite 50 000 euros dans l'année pour un troupeau de 140 vaches.
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Et donc, comment vous, dans l'entreprise Littoral Normand
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et dans les autres conseils d'élevage,
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vous faites pour vous adapter à ces grands troupeaux,
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à ces éleveurs qui souhaitent s'agrandir, parfois ?
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A l'aide du groupe Synergie, qui est composé de 11 départements,
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ceux de Littoral Normand, la Manche, Calvados,
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l'Eure et la Seine-Maritime.
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Egalement, le département d'Île-et-Vilaine,
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de Humaine-et-Loire, de la Loire-Atlantique,
05:00
de la Vendée et de la Charente-Maritime.
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D'accord. Donc, tous ceux-là,
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tous ces différents contrôles laitiers s'associent ensemble ?
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Voilà. Dans le but de mettre en commun la recherche et le développement,
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notamment sur l'élaboration de nouveaux services
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comme l'accompagnement en robots de traite,
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l'accompagnement sur les grands troupeaux laitiers.
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Et aujourd'hui, pour accompagner ces grands troupeaux laitiers-là,
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on recherche des conseillers ayant une vision très globale d'exploitation
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pour pouvoir tenir un fil rouge d'accompagnement avec la clientèle
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et qu'ils soient très bons aussi techniquement.
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Et qu'ils sachent surtout déléguer auprès d'experts
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en nutrition, en reproduction présents dans nos entreprises
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afin de répondre à cette réactivité,
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à la demande de ces grands troupeaux en termes de réactivité.
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Donc, c'est plus uniquement un conseiller, un élevage.
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C'est aussi donner la parole à des spécialistes.
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Voilà. C'est-à-dire que les grands troupeaux
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sont assez exigeants en termes de réponses.
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Et donc, il est vrai que ce conseiller doit avoir cette vision-là
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de déléguer rapidement sur un expert.
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Donc, aujourd'hui, vous avez des experts en quoi ?
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On a des experts en nutrition, on a des nutritionnistes en reproduction,
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en qualité du lait, en bâtiment d'élevage et en réglementaire.
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Très bien. M. Arrivelle, je vous remercie.
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Et puis, vous pouvez retrouver sur WebAgri
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différents reportages d'éleveurs
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qui ont mis en place des stratégies différentes
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pour s'adapter notamment à la fin des quotas laitiers.
06:17
Merci.
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