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  • 27/05/2023
#ParlezMoiDeMoi | Hercule Nze Souala, Entrepreneur

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Transcription
00:00 Né dans les années 90, notre invité du jour est écrivain, homme politique et entrepreneur.
00:05 Pour le découvrir, suivez-moi.
00:07 Bonjour Ndiye Hercule Soualla, bienvenue sur le plateau de Parlez-moi de moi.
00:28 Bonjour Esther.
00:30 Alors comment te portes-tu aujourd'hui ?
00:32 Alors je vais très bien, merci et j'espère que vous aussi.
00:36 Non, que toi aussi.
00:38 Merci, je vais bien, merci.
00:40 Alors entrepreneur, homme politique, écrivain, pouvez-vous, enfin, peux-tu nous parler de ton parcours brièvement ?
00:49 Alors Hercule c'est un jeune gaboudin atypique qui est né le 21 décembre 1990 à Franceville dans la province du Yotogoué.
00:59 Alors je suis Bakanigi Ndomo Obamba.
01:04 Donc en 99 j'arrive à Libreville, je suis un jeune des quartiers populaires comme Ovendo, Der la prison, Carrefour Leomba, Pécaneuf.
01:16 Je fais mes études primaires à Ongo, ensuite à l'école publique de Gros Bouquet.
01:23 Et je pense que j'ai fait mon lycée au Pan-Africain, j'ai eu mon bac à Libreville.
01:32 Et je pense que pour la petite histoire, je le dis rarement aux gens, je suis un enfant qui a grandi dans un milieu où le rêve est rarement permis.
01:42 Et je me suis dit que modestement, avec la grâce de Dieu, il faudrait que je sois un modèle pour la jeunesse de mon pays,
01:48 mais surtout pour la jeunesse des jeunes des quartiers que je viens de citer.
01:53 D'accord. Comment faites-vous votre entrée dans la sphère politique ?
02:00 Alors la politique, ça me tombe sur la tête. Il faut dire que lorsque je vais à Port Gentil en 2014, j'avais pour ambition de travailler dans le domaine du pétrole.
02:11 À cette époque, j'étais un jeune très ambitieux, comme beaucoup d'autres jeunes gabonais.
02:18 Et je me rends compte qu'à Port Gentil, la ville pétrolière, il y a des trous, il y a des... En fait, je ne croyais pas.
02:27 Et puis, j'ai commencé à faire des publications sur ma page Facebook en tant qu'artiste, où je dénonçais le manque de routes.
02:35 Et je me suis intéressé à la question politique. Donc en 2015, je suis contacté par les équipes du président de la République,
02:44 qui sollicitent que je puisse travailler avec eux dans le cadre de la vision du président de la République.
02:50 Je suis venu en tant qu'espère en communication et marketing. Eh bien, la politique, c'est un virus. J'ai été mordu et me voilà dans le bain.
02:58 D'accord. Très souvent, vous êtes victime de moqueries sur les réseaux sociaux par rapport à vos sorties.
03:07 Comment faites-vous pour tenir face à cet acharnement des internautes ?
03:12 Alors, ce qu'il faut déjà comprendre, c'est que dans notre pays, le succès est une... Comment dire ?
03:22 Le succès est une substance peu connue des gens. Lorsqu'on réussit, on nous prête beaucoup d'intentions, on nous range dans des couloirs.
03:35 Moi, je pense qu'aujourd'hui, il y a plus d'admiration que de railleries. Mais ce sont les railleries qui m'ont permis d'être celui que je suis.
03:43 C'est grâce à cela que j'ai appris de mes erreurs. C'est grâce à cela que je suis devenu Hercules, et ce jeune Gabonais qui s'exprime bien,
03:51 qui a de belles idées et qui essaie d'inspirer le maximum de personnes.
03:55 Alors, s'agissant de ces railleries, je pense que c'était mal pour notre pays parce que plusieurs talents sont détruits au Gabon par nous-mêmes.
04:03 Lorsque quelqu'un essaie d'exceller au Gabon, à la moindre erreur, on te descend. On essaie de regarder quels sont tes défauts.
04:10 On essaie de regarder comment t'anéantir psychologiquement. Alors moi, je me suis forgé une carapace.
04:15 Je te le dis sincèrement, je ne prends pas en considération les mauvais commentaires.
04:22 J'essaie de regarder ces personnes qui m'admirent, qui m'aiment, qui m'encouragent, qui me soutiennent.
04:26 Et c'est de leur force que je tire l'adversité qui fait Hercules des Sois-là.
04:31 Malgré tout ça, vous ne lâchez rien.
04:33 Mais non, il ne faut jamais rien lâcher, madame. La vie, elle est faite d'épreuves, des circonstances imprévues.
04:40 Et si à cause de ce que les gens disent de vous, vous arrêtez de vous battre, de rêver, d'espérer, de penser à un avenir meilleur.
04:50 Les gens auront toujours à dire. Mais ce que je conseille à tous ceux qui nous suivent, c'est de rester positif et de croire en Dieu.
04:56 Parce que c'est grâce à lui que nous sommes là.
04:59 En dehors de l'homme politique, vous êtes également entrepreneur.
05:03 Quelles sont les missions du Temple de l'Entrepreneuriat et de la Réussite ?
05:08 Alors, Wabuna est une organisation qui a pour objectif d'inculquer des valeurs entrepreneuriales à nos compatriotes.
05:15 Le constat que nous avons fait au Gabon, c'est qu'il y a énormément d'opportunités.
05:19 Mais que ces opportunités sont beaucoup saisies par nos frères étrangers.
05:23 Les Gabonais n'ont pas conscience que vendre du citron rend riche.
05:27 Vendre de la sardine rend riche. Vendre de la friperie rend riche. Faire du commerce rend riche.
05:33 Les bureaux, effectivement, c'est un modèle qu'on nous a vendu dans les années 80-90.
05:38 Aujourd'hui, il y a une toute autre réalité. Parce que l'argent se trouve sur le terrain.
05:43 L'argent se trouve dans des petites activités où les gens consomment au quotidien.
05:48 Et c'est là-bas que les Gabonais doivent regarder.
05:50 Pour limiter le taux de chômage dans notre pays, pour limiter le taux de délinquance, pour limiter le taux des grossesses précoces,
05:57 il est important que les jeunes Gabonais comprennent qu'à l'exemple des jeunes ouest-africains,
06:02 il est important que nous puissions transpirer pour gagner notre argent.
06:06 Il est important que nous puissions avoir ce temps de sacrifice.
06:10 Parce qu'avant le succès, il faut travailler.
06:12 À Wabouna, nous l'avons compris. Et depuis 2017, nous faisons le tour de Gabon.
06:16 Nous avons initié un grand nombre de programmes pour financer des jeunes.
06:19 On a financé plus de 100 personnes au Gabon.
06:22 Et pour la petite histoire, un de nos membres atteint la barre d'un chiffre de plus de 90 millions de chiffre d'affaires par année.
06:30 Et c'est grâce à nous. C'est un de mes succès et j'en suis très fier.
06:33 C'est à féliciter.
06:34 Merci.
06:35 Vous vous présentez comme un entrepreneur engagé. Pourquoi le terme "engagé"?
06:42 Plusieurs personnes gagnent de l'argent au Gabon.
06:45 Combien prennent cet argent pour essayer de le réinvestir, pour changer les mentalités, pour éveiller des consciences,
06:52 pour reconstruire des maisons, pour faire des passerelles, pour accompagner les jeunes qui passent le bac?
06:58 Wabouna a offert près de 20 000 calculatrices en 2019 aux élèves gabounais.
07:04 C'est-à-dire que c'est de l'argent que nous prenons dans les caisses de nos entreprises, en responsabilité sociétale,
07:12 que nous réinjectons pour aider.
07:15 Engagé parce que l'entrepreneur, c'est celui qui participe au développement de la nation.
07:19 C'est celui qui, grâce à son entreprise, arrive à trouver des véritables solutions.
07:23 Ce n'est pas juste un vendeur qui vient faire du chiffre.
07:25 C'est quelqu'un qui se dit, si j'entreprends par exemple dans le domaine de l'éducation,
07:29 cela va permettre à ce que les jeunes gabonais soient mieux éduqués.
07:32 C'est pour ça que nous avons créé le complet scolaire "Les Orchidées".
07:35 C'est celui qui s'est dit, si je crée un restaurant où le plat commence à partir de 1 000 francs,
07:40 2 000, ces jeunes gabonais qui sont à Québec, qui sont à London, qui sont à Kigali,
07:45 pourront venir manger et se croire aux Etats-Unis.
07:48 C'est pour ça que nous avons fondé "Rapid Food Restaurant".
07:51 C'est aussi faire découvrir le tourisme aux gabonais à bas prix.
07:55 C'est pour cela qu'il y a quelques mois, nous avons lancé l'entreprise de la résidence "Hôtelier le Haut-Lieu",
08:00 qui est un site touristique qui fait la promotion du Gabon et qui fait la promotion de la culture de notre pays.
08:05 C'est cela l'engagement, parce que le Gabon est notre pays et nous devons le valoriser dans tout ce que nous faisons.
08:11 D'accord, et en tant qu'entrepreneurs, quelles sont les difficultés auxquelles vous faites face ?
08:17 Alors malheureusement, nous les entrepreneurs gabonais, les difficultés qui accompagnent notre quotidien,
08:25 c'est le manque de crédit, le manque d'accompagnement de certaines structures de l'État
08:31 qui ne regardent pas assez comment structurer le domaine entrepreneurial
08:35 afin d'accompagner le succès des champions nationaux voulus par le Président de la République.
08:41 Aujourd'hui, je pense que la difficulté, c'est ce manque de plateforme comme la vôtre.
08:48 Je tiens déjà à féliciter le travail que vous faites en donnant l'opportunité à ces entrepreneurs
08:52 de venir s'exprimer sur votre émission, sur votre programme.
08:56 Je pense que l'entrepreneur gabonais en train de grandir, il en train d'apprendre des erreurs de nos aînés
09:03 et nous espérons que l'État gabonais, que les banques gabonaises surtout,
09:07 mettront des mécanismes afin de mieux nous accompagner, parce que l'État seul, malheureusement,
09:13 ne peut pas créer le nombre d'emplois voulus pour réduire la courbe de chômage dans notre pays.
09:18 Effectivement, mais d'aucuns disent qu'à Wabona, les projets d'aspirants ou des entrepreneurs sont détournés.
09:25 Qu'avez-vous à dire à cela ?
09:28 Qui le dit ?
09:30 Beaucoup le disent. On dirait que vous ne lisez pas vos réseaux ou ça en parle sur la toile ?
09:36 Sur la toile, les projets détournés ? Non, je ne pense pas que nous ayons cette conception de détourner les projets.
09:42 Il y a eu, je pensais, un malentendu en 2020 avec une jeune compatriote qui semblait avoir déposé un projet chez nous
09:51 et elle a vu, je ne sais plus, ce projet peut-être avec notre organisation.
09:56 Mais comme je dis, les entrepreneurs gabonais doivent comprendre que nous ne créons rien, nous n'inventons rien.
10:03 Une route tourne, les idées sont similaires.
10:06 En 2014, j'ai porté un projet structurel pour la recharge automatique des véhicules à travers le goudron.
10:15 C'est-à-dire, je suis un jeune gabonais, je n'ai jamais fait des études scientifiques,
10:19 mais j'ai pensé à cela en 2014. J'ai créé ce projet où une voiture, par rapport à la force de ses roues motrices,
10:26 devait recharger un moteur sous capot afin de permettre à ce que nous n'utilisions plus assez de pétrole.
10:32 Si j'étais en Allemagne, je serais certainement milliardaire en dollars.
10:35 Mais j'ai revu le même projet en 2017 qui a été porté par un entrepreneur allemand,
10:41 qui a été essayé dans une ville et d'ici 2035, ce projet sera pris dans plusieurs pays.
10:48 On n'a jamais vu le monsieur et moi, on a eu la même pensée, la même initiative.
10:53 A la différence, il a mis en pratique cela. Moi, j'ai juste gardé cela dans ma tête.
10:58 Je tiens à m'excuser auprès de cette jeune compatriote si elle a été frustrée
11:02 ou si elle a pensé à un certain moment que Wabouna a eu à prendre son projet.
11:06 Je ne pense pas. Nous avons mené plus de 100 initiatives au Gabon.
11:09 Nos initiatives sont originales et elles sont aussi inspirées de notre quotidien.
11:14 Je pense que c'est l'unité qui fait la force et j'espère qu'on aura l'occasion un jour
11:18 de se retrouver avec cette compatriote et de travailler ensemble sur des projets
11:22 qui vont changer le Gabon.
11:24 D'accord. Dier Quesoala, c'est un entrepreneur certifié.
11:30 Est-ce que pour ceux qui nous regardent, par exemple, un conseil pour ceux qui aimeraient
11:37 être le futur d'Dier Quesoala ou encore un entrepreneur engagé ?
11:42 Le seul conseil que je donnerais aux entrepreneurs gabonais, à la jeunesse gabonaise,
11:49 c'est de rêver. Rêver au-delà de ses réalités, rêver au-delà de ses aspirations
11:55 et aussi d'être réaliste. Être réaliste, c'est savoir que si on veut réussir sa vie,
12:01 il faut travailler. Il faut se réveiller très tôt, il faut dormir très tard.
12:05 Il faut apprendre à ne pas écouter ce que les gens disent par rapport à leur expérience
12:10 parce que ce qui tue aujourd'hui l'ambition du jeune gabonais, c'est le mauvais exemple,
12:14 c'est la mauvaise fréquentation. C'est cette ambition qui est souvent bloquée
12:20 par nos proches. Tu ne vas pas réussir dans X ou Y chose parce que personne dans ton entourage
12:25 l'a fait. Tu ne peux pas le faire parce qu'au Gabon, personne ne l'a fait.
12:29 Aujourd'hui, je pense qu'il y a une nouvelle classe de gabonais qui naît,
12:32 comme Eunice, comme le chef Oumiel, comme Créole, comme vous, qui aspirent à des projets grandioses
12:42 qui peuvent apporter une nouvelle éclair, une nouvelle lumière dans notre pays.
12:46 Donc, mon conseil, c'est de rêver et d'être soi-même et surtout de confier ses projets à Dieu
12:52 parce qu'effectivement, c'est lui le maître des hologes et le maître des temps.
12:56 D'accord, moi aussi, je prends le conseil, on ne sait jamais. Parlez-moi de moi,
13:02 ce n'est pas seulement moi, ce n'est pas seulement vous, c'est aussi les internautes
13:06 qui nous envoient des questions pour nos invités. Alors, nous passons à la question des internautes.
13:10 Donc, Hercule, je peux ? Oui, oui. Nous avons reçu une question pour toi.
13:22 Un internaute nous envoie une question, je vais te la lire.
13:26 Massassi étant ministre a tiré ses frères, pourquoi vous ne faites pas de même avec Ndomane,
13:34 MHL et tous ceux avec qui vous avez partagé votre passion pour la musique ?
13:40 Massassi étant ministre, il a tiré ses frères. Hercule, il ne se soit pas, Hercule n'est pas ministre,
13:46 mais je pense avoir des très bons rapports avec mes frères.
13:50 Pour la petite histoire, je suis la carrière de Jojo depuis trois ans en tant que responsable
13:56 dans le domaine de la direction artistique. J'accompagne les projets d'MHL en termes de direction artistique,
14:02 j'accompagne les projets de Ndomane dans la direction artistique et les conseils.
14:06 Comme vous le savez, j'ai aussi un cabinet de communication et des médias.
14:10 Pour la petite histoire, Gabon Culture 2.0 qui est l'un des médias de divertissement au Gabon les plus suivis.
14:16 C'est une des entreprises que nous avons créée et sur ces pages, vous trouvez MHL et Ndomane.
14:20 C'est notre modeste manière de soutenir ce qu'ils font et je fais un petit big up à ces artistes talentueux
14:26 qui sont l'exemple même qu'au Gabon, on peut faire de la musique et réussir.
14:30 D'accord, donc chers internautes, c'est le Congo ça.
14:36 Est-ce que Hercule Di Soualla aime les challenges ?
14:40 Je suis un homme des challenges, comme vous le savez.
14:44 Sur le Parlez-moi de moi, on a aussi des challenges pour nos invités.
14:50 Place au défi !
14:52 Le défi du jour, il paraît que vous êtes un piètre danseur.
15:02 Oh my god ! Vous n'allez pas me faire ça !
15:06 Euh, si !
15:08 Ennis, vous êtes sérieux là ? Non mais moi je ne danse pas.
15:12 Je suis un mauvais... En fait, je sais presque tout faire dans ma vie.
15:18 Pour danser, non. Vraiment, je n'ai jamais eu le courage.
15:22 Vous avez dit que vous êtes un homme des challenges.
15:26 Et aussi un homme de paroles, je suppose.
15:28 Donc, votre défi serait de nous prouver que vous n'êtes pas un piètre danseur.
15:34 Sur la musique de mon choix, quelle est la musique que je peux écouter actuellement ?
15:40 Euh...
15:42 Ben écoutez...
15:44 Ndomane featuring Domboula.
15:47 D'accord. On vous balance le son ?
15:50 Oui, balancez, je vais faire un petit pas de danse.
15:53 Tout de suite !
15:55 Ah, c'est les Lones, c'est facile donc.
16:00 Allez Ennis !
16:03 Il faut que je m'élève ?
16:06 On doit se balader.
16:08 Ben écoutez...
16:10 C'est une exclusivité.
16:14 C'est bon ?
16:24 Oui.
16:26 Ben voilà. Je sais quand même.
16:35 Je ne sais vraiment pas danser, je m'excuse pour ça.
16:40 Je ne suis pas un bon danseur.
16:41 Non mais merci déjà d'avoir relevé le défi.
16:43 Oui. J'aurais bien aimé prendre des cours avec Coralie.
16:46 Mais elle est tout le temps occupée.
16:48 Donc, j'espère que je vais m'abonner sur sa chaîne YouTube.
16:52 Et si elle fait des cours de danse, je vais apprendre un peu plus.
16:55 C'est donc un appel, c'est ça ?
16:57 Effectivement.
16:59 Ben, RQ nous sommes déjà au terme de notre échange.
17:02 Ah bon ?
17:04 Ben écoutez, Esther, c'est pour moi un honneur.
17:07 Déjà, je fais un gros big up au directeur de Gabon Media Time
17:12 qui pour nous est un jeune qui inspire,
17:15 qui fait un travail exceptionnel et remarquable.
17:18 Je tiens vraiment à saluer ce dernier et toutes ses équipes.
17:22 À vous qui faites aussi un travail que j'apprécie énormément.
17:26 Je suis souvent sur votre émission et je me suis souvent dit
17:30 mais quel jour j'aurai la chance de passer là-bas ?
17:33 Et je pense avoir réalisé un de mes rêves.
17:35 Je suis passé sur "Parle-moi de moi".
17:37 Donc, merci à toi d'avoir répondu à notre invitation.
17:42 Nous sommes, comme je le disais tantôt, au terme de notre échange.
17:47 Est-ce que tu as un mot de fin pour les internautes ?
17:49 Le mot de fin, c'est soyez vous et travaillez dur pour atteindre vos objectifs.
17:55 D'accord.
17:57 Voilà, chers internautes, "Parlez-moi de moi", c'est déjà terminé.
18:01 On se donne rendez-vous samedi prochain à la même heure.
18:04 N'oubliez pas de liker, partager et de laisser un commentaire
18:07 et une question pour notre prochain invité.
18:09 D'ici là, portez-vous bien.
18:11 [Générique]

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