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  • 07/02/2023
Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée

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Transcription
00:00 Une mobilisation contre la réforme des retraites plus faible que les précédentes selon la police.
00:05 Moins de monde à Paris et en région. Déjà les syndicats se projettent pour samedi.
00:10 La CGT appelle à durcir le mouvement.
00:12 A l'Assemblée nationale, des débats toujours houleux et une plainte déposée par le Rassemblement national après des intimidations.
00:21 Plusieurs élus ont reçu des messages vocaux leur indiquant qu'un proche était hospitalisé.
00:26 Une manœuvre pour les éloigner de l'hémicycle selon Marine Le Pen.
00:30 Le bilan humain après le séisme en Turquie et en Syrie ne cesse d'augmenter.
00:35 Près de 8000 morts recensées dans les deux pays ce mardi soir.
00:39 Les secours s'activent pour retrouver des survivants dans les milliers d'habitations effondrées.
00:44 Les précisions de notre correspondante sur place dans cette édition.
00:48 Et puis le français Alexis Peintureau marque une nouvelle fois l'histoire du ski tricolore.
00:54 Il remporte son deuxième titre mondial en combiné devant son public à Courchevel.
00:59 Un titre inespéré après un début de saison difficile a-t-il confié à l'issue de sa victoire ?
01:04 [Générique]
01:18 Bienvenue à tous et très heureux de vous retrouver dans l'édition de la nuit à la une de l'actualité.
01:21 La mobilisation de ce mardi contre la réforme des retraites et moins de monde dans les rues selon le ministère de l'Intérieur.
01:28 757 000 manifestants ont battu le pavé aujourd'hui contre plus d'un million 270 000 le 31 janvier.
01:37 La CGT parle de deux millions de personnes, vous le voyez sur l'écran.
01:41 À Paris, ils étaient 57 000 selon la police, 400 000 selon la CGT.
01:46 Un cortège parisien émaillé de violence en fin de journée.
01:50 Retour sur cette journée dans la capitale avec Augustin Donat-Lieu.
01:55 Les syndicats voulaient une mobilisation festive Paris réussie au sein du cortège syndical
02:00 qui comptait selon le ministère de l'Intérieur 57 000 personnes.
02:03 En revanche, c'était une tout autre ambiance au sein de la nébuleuse.
02:06 Ce groupe détaché à l'avant du cortège composé d'une centaine d'éléments violents et radicaux
02:12 qui s'en sont pris tout au long du parcours aux banques, aux assurances, mais également aux chaînes de fast-food.
02:18 S'en est suivi à l'arrivée du cortège Place de la Bastille de fortes tensions avec de la dégradation de mobilier urbain,
02:25 des poubelles enflammées et des tables et des chaises de restaurateurs notamment utilisées comme projectiles
02:30 en direction des forces de l'ordre qui ont procédé à de très nombreuses interpellations.
02:35 Effectivement, à Paris, ce mardi soir, la police avait procédé à 26 interpellations.
02:39 Mobilisation également partout en France avec 200 cortèges qui se sont formés dans la matinée ce mardi.
02:46 Et comme à Paris, moins de monde dans les manifestations par rapport aux précédentes tours d'horizon avec Kinsen.
02:53 De Marseille à Avignon, en passant par Brest et Toulouse, les manifestants veulent maintenir la pression sur l'exécutif contre la réforme des retraites.
03:05 Le cortège avignonnais s'est été lancé en fin de matinée ce mardi. Munis de leur pancarte, ils montrent leur détermination.
03:13 "Il y a d'autres moyens de trouver des fonds pour pouvoir laisser les gens partir avec une retraite convenable."
03:19 "J'en ai fatigué à notre âge, donc s'il faut faire deux ans de plus..."
03:24 À Marseille, alors que le cortège plus clairsemé s'élance du Vieux-Port, la participation semble moins importante que lors des deux premières journées de mobilisation.
03:35 À Lyon également, l'engouement semble moins fort. La ville est en période de vacances scolaires, ce qui pourrait expliquer en partie cette baisse de la fréquentation.
03:44 Même constat à Brest, le 31 janvier, ils étaient 20 000 manifestants pour une ville de 140 000 habitants.
03:51 "J'ai la chance de pouvoir ne pas travailler puisque mon mari Ghanchi, bizarrement, vient à sa vie."
03:56 "Et je suis là pour manifester pour tous les gens qui n'ont pas les moyens de le faire."
04:00 Une journée de salaire en moins peut décourager, d'autant que le bras de fer s'engage dans la durée.
04:07 "Je pense pas qu'il y aura de lassitude parce que ça a commencé les débats au Parlement et je pense que les gens, ils ont compris quand même qu'il fallait se mobiliser pour porter tous leurs députés."
04:20 Malgré un essoufflement dans les cortèges, tout le monde pense à la suite du mouvement s'organisant différemment.
04:26 Pour l'heure, une autre journée de mobilisation est prévue samedi.
04:30 Et effectivement, les syndicats affichent leur volonté de maintenir la pression et se projettent déjà sur cette nouvelle manifestation.
04:37 Prévue samedi, Philippe Martinez, le leader de la CGT, appelle lui à durcir le mouvement. Écoutez-le.
04:44 "Les syndicats, ils agissent en fonction des débats qu'ils ont avec les salariés de leur secteur. Voilà, c'est ça la réalité.
04:51 Après, tout dépend pas de nous. Si le gouvernement continue à s'entêter malgré les mobilisations, oui, je l'ai toujours dit, il faudra passer à la vitesse supérieure
05:02 avec des actions plus marquées, plus longues dans le temps. Si le gouvernement persiste à ne pas écouter, eh bien forcément, il faudra monter d'un cran.
05:14 D'ailleurs, il y a des salariés qui nous le disent déjà."
05:16 "C'est-à-dire ?"
05:17 "Eh bien des grèves plus dures, plus nombreuses, plus massives et reconductibles."
05:23 Et alors, moins de monde dans la rue ce mardi. Un taux de grévistes, notamment dans le secteur clé des transports, en baisse.
05:29 Mais le mouvement, lui, se poursuit ce mercredi. Des perturbations prévues. Vous le voyez, 2 TGV sur 3, 2 Ouigo sur 3, 1 TER sur 2 et 1 Intercité sur 2.
05:40 Les lycéens et étudiants également mobilisés ce mardi matin. Selon une source policière, 9 universités et 24 lycées ont été perturbés.
05:49 À Paris, les forces de l'ordre ont dû faire usage de gaz lacrymogène pour déloger des lycéens, ce qui a valu une passe d'arme à l'Assemblée nationale
05:57 quelques heures plus tard, entre le député LFI Louis Boyard et Gérald Darmanin. Écoutez.
06:04 "Monsieur le ministre, pouvez-vous me garantir que vous ne ferez plus frapper, gazer au lacrymogène ou éborgner aucun lycéen mineur ou aucun étudiant ?"
06:12 "On peut dire que les policiers n'ont pas beaucoup de présomption d'innocence avec vous. Ce qu'on peut dire, c'est que ce matin, monsieur le député, au lycée Racine,
06:21 il y a eu 4 interpellations et personnes placées en garde à vue sous l'autorité du procureur de la République pour dégradation volontaire,
06:30 violence commise en réunion, violence contre les policiers. En effet, dans ce cas-là, je vous garantis qu'il y aura des interpellations.
06:37 Pour le reste, je crois qu'en France, tout le monde constate que les manifestations se passent le plus correctement du monde. Et c'est grâce aux policiers et aux gendarmes."
06:44 Et on le constate. De nouveaux débats houleux dans l'hémicycle. Pour la seconde journée de débat sur le projet de réforme des retraites,
06:51 la Première ministre Elisabeth Borne a une nouvelle fois appelé à des discussions apaisées en assurant que le texte pouvait être amélioré. On l'écoute.
07:00 « À l'heure où le débat commence, je suis convaincue qu'il reste des points d'accord à trouver. Je suis convaincue que nous pouvons améliorer ce texte ensemble.
07:10 Cela passera par le débat, la confrontation d'idées et bien sûr le respect. Les dégradations, les intimidations, ce n'est pas la démocratie. »
07:21 Et les débats qui ont démarré lundi ont aussi été marqués par les dénonciations d'intimidation et de manœuvre envers des députés.
07:29 Des plaintes ont été d'ailleurs déposées par le Rassemblement national. Les explications de Vincent Faurembèche.
07:36 « Alors que les discussions battent leur plein dans l'hémicycle, plusieurs députés du Rassemblement national reçoivent appels et messages vocaux similaires et particulièrement inquiétants.
07:46 « Vos proches viennent d'être amenés en cliente à l'hôpital. Si vous pouvez vous rendre sur place, vous êtes attendus. »
07:54 « Sur le coup, j'y crois forcément. Ensuite, on m'a mis un message sur WhatsApp pour me dire que tout allait bien, qu'il n'y avait pas de problème avec les enfants ni les petits-enfants. Donc j'étais rassurée. »
08:03 Trois élus sont visés par ces appels fallacieux dans un délai d'une dizaine de minutes. Le moment choisi ne relève sûrement pas du hasard.
08:11 Car à cet instant, la présence de la totalité des députés du Rassemblement national est nécessaire pour voter une motion référendaire. L'absence d'un seul élu rendrait la motion caduque.
08:22 « Il s'agissait là, de manière très claire, d'entraver en réalité l'exercice du mandat du groupe Rassemblement national. Donc l'opération a été relativement bien manquée. »
08:32 Ce mardi, la présidente de l'Assemblée nationale a apporté son soutien aux députés visés.
08:37 « C'est gravissime, c'est honteux et c'est indigne. C'est la raison pour laquelle je pense que, collectivement, il ne faut pas laisser passer ces agissements. »
08:48 Des menaces qui concernent aussi les élus renaissants.
08:51 « J'ai reçu un courrier dans lequel il y avait également de la poudre blanche. Ce courrier relatait des propos racistes, également menaçants, à l'encontre de mes proches, de ma famille, de mes enfants et de mon domicile. »
09:09 De son côté, le Rassemblement national a annoncé le dépôt de plusieurs plaintes.
09:14 Et au lendemain de cette journée houleuse, l'une des portes de l'Assemblée nationale et les abords de l'Assemblée nationale ont été taguées de messages hostiles.
09:22 Vous le voyez à la réforme des retraites. Des membres d'Attaque France et du mouvement féministe Les Rosies ont été interpellés.
09:30 Voilà ce que l'on pouvait retenir à propos de la réforme des retraites. Mais on reste à l'Assemblée nationale avec Adrien Quatennens,
09:37 à la fois hué par l'opposition et applaudi par son groupe ce mardi soir. Le député LFI devait prendre la parole pour la première fois depuis son retour lundi sur les bancs de l'hémicycle.
09:48 Je vous le rappelle, il a été condamné à 4 mois de prison avec sursis pour violences conjugales. Il avait été suspendu temporairement par la NUPES.
09:55 Alors face au chahut, la séance a été suspendue. Adrien Quatennens a pu s'exprimer après. Regardez la réaction des députés avant sa prise de parole.
10:05 (Applaudissements)
10:34 Et puis j'ajoute que la députée des Verts, Sandrine Rousseau, a quitté l'hémicycle quand Adrien Quatennens s'est levé pour prendre la parole.
10:41 L'actualité judiciaire à présent. Deux hommes ont été mis en examen à Toulon après la violente agression de trois policiers hors service samedi.
10:51 Les suspects sont âgés de 32 et 35 ans. L'un a été placé en détention. Le second, laissé libre sous contrôle judiciaire.
10:58 Bruno Bartocchetti, secrétaire national Unité SGP Police Zone Sud, est revenu pour nous sur la violence de l'agression. Écoutez-le.
11:07 Ils ont été pris à partie, mais très violemment, très violemment, puisqu'on a trois policiers très sérieusement blessés, deux avec 10 jours d'ITT et le troisième avec, à ma connaissance, 30 jours d'ITT, ce qui est énorme.
11:20 Donc ça démontre la violence avec laquelle ils ont été pris à partie. Ils ont été pris à partie avec des bouteilles, des coups de ceinture.
11:30 Et vous imaginez ce que ça peut donner lorsque vous avez une dizaine d'individus autour de trois policiers hors service, sans armes, sans moyens de défense, bien évidemment.
11:44 Deuxième journée ce mardi du procès de l'incendie de la rue Erlanger à Paris. Dans le box des accusés, Essia Boularès, cette femme de 44 ans, atteinte de troubles psychologiques,
11:54 est suspectée d'avoir incendié un immeuble dans le 16e arrondissement de Paris. C'était en février 2019. Dix personnes avaient été retrouvées mortes.
12:03 Les proches d'Essia Boularès ont pu s'exprimer aujourd'hui à la barre. Noémie Schultz.
12:09 Michel, sa mère s'en souvient bien. Essia a commencé à aller mal vers 7 ou 8 ans, hypersensible, ne supportant pas la justice, accro au sucre d'abord,
12:17 puis dès l'adolescence à l'alcool et à la drogue. Une fille qu'elle a portée à bout de bras pendant plus de 20 ans.
12:22 « Mon mari, moi-même, toute notre famille avons fait tout ce que nous pouvions faire », insiste cette ancienne professeure d'université qui a confié aux victimes penser à elle tous les jours.
12:31 C'est d'ailleurs Michel qui élève le fils de l'accusé depuis sa naissance. Pendant des années, personne n'a pu nous dire de quoi souffrait Essia.
12:37 On a entendu qu'elle était peut-être polytoxicomane, bipolaire, borderline. On n'a jamais eu de diagnostic clair, s'étonne sa grande sœur dont le désarroi est criant.
12:45 Essia avait 17 ans au moment de sa première hospitalisation en psychiatrie. Elle y retournera une trentaine de fois jusqu'à son arrestation.
12:52 Des séjours souvent très courts. À chaque fois, au bout de quelques jours, on me disait « mais elle va très bien ».
12:57 Elle sortait et au bout de trois semaines, elle recommençait à se désoler sa mère.
13:00 Ce sont des alcoolisations massives qui la mettent en danger, qui peuvent mettre en danger les autres. On en était conscient, on appelait au secours.
13:07 Des proches qui restent hantés par cette question. Pourquoi le médecin de Saint-Anne a-t-il laissé Essia sortir fin 2019, quelques jours avant l'incendie, alors qu'elle était en plein délire ?
13:17 La voix de sa sœur tremble de colère. Elle n'était plus dans la réalité. Elle disait que des chamanes lui parlaient. Je n'avais jamais vu ça. Pour moi, il fallait qu'elle reste à l'hôpital.
13:27 L'inaction face au squat encore au cœur des interrogations. La maison d'un retraité de 77 ans est squatée depuis fin janvier.
13:34 Cette villa de deux étages qui était fermée allait être vendue pour permettre à son propriétaire de payer sa maison de retraite.
13:42 Sauf que voilà, c'est devenu impossible. Voyez ce reportage à Grenoble d'Olivier Madiné.
13:48 Roger Sévêt est en colère. La maison de son cousin est squatée depuis le 23 janvier. Une famille d'origine roumaine occupe les lieux.
13:57 Neuf personnes, dont cinq enfants. Un cadenas a été posé sur le portail et l'intérieur de cette grande villa de deux étages a été saccagé.
14:06 Les meubles sont tous déplacés. Les meubles ont été vidés. Des meubles étaient sortis sur le balcon. Ils ont sorti le frigo. Ils ont sorti un meuble en bois qui était sur le balcon.
14:20 Il y avait une pièce où il y avait un bureau. Ce bureau, ils l'ont mis dans une autre pièce.
14:24 Le propriétaire de cette maison est âgé de 77 ans. Il se trouve dans un EHPAD depuis le mois de septembre.
14:30 Roger, qui gère les affaires de son cousin, avait pour mission de vendre la maison pour financer les frais d'EHPAD. La vente est désormais impossible. Roger Sévêt se sent impuissant.
14:40 Aujourd'hui, on a l'impression que les squatteurs ont tous les droits. Si j'ai bien compris, aujourd'hui, si je les sors, je suis plus pénalisé qu'eux-mêmes qui ont squatté l'appartement.
14:50 Donc non, je demande à ce que la loi soit appliquée et que nos instances fassent leur travail.
14:57 Des frais d'huissier ont déjà été engagés par la famille du propriétaire. Son cousin compte interpeller les élus locaux en espérant que cela fasse bouger les choses.
15:07 L'actualité internationale et le terrible désarroi en Turquie et en Syrie après le séisme qui a touché la région.
15:14 Le bilan humain ne cesse d'augmenter. Près de 8000 morts dénombrées ce mardi soir. Les secouristes recherchent toujours des rescapés.
15:22 Des milliers d'habitations se sont décroulées. Les précisions sur place de notre correspondante.
15:29 Des scènes de destruction totale, mais sans la guerre. Dans la ville d'Antakien, plusieurs fois millénaire, dans le sud-ouest de la Turquie, immeubles après immeubles ne sont plus qu'amas de ruines ou alors penchent dangereusement sur le côté.
15:45 Sous les gravats, les fenêtres brisées, les effets personnels, il y a encore des gens qui dormaient tranquillement quand le premier séisme a frappé et qui se sont retrouvés piégés et mordus par le froid glacial de la nuit.
16:00 Leurs proches sont pris de panique et fous de rage. Ils accusent le gouvernement d'avoir tardé à envoyer de l'aide dans cette ville tenue par l'opposition.
16:09 Mais enfin, ce mardi après-midi, l'aide arrive. Un pont aérien et des hélicoptères militaires, des équipes de sauvetage avec des pelleteuses et des chiens.
16:18 Malgré cela, les corps sans vie continuent de sortir des décombres, alourdissant encore un peu. Un bilan qu'on mettra peut-être des mois à établir.
16:29 Marseille attend le pape François le 23 septembre. Le Saint-Père a confirmé sa venue. Une visite exceptionnelle. C'est le troisième souverain pontife en exercice à se rendre dans la cité phocéenne.
16:40 Alors forcément, c'est une grande annonce pour les habitants. Reportage de Stéphanie Rouquier.
16:46 Beaucoup de Marseillais parlent déjà d'une journée historique. Le pape François vient de confirmer sa venue dans la cité phocéenne le 23 septembre prochain.
16:56 Au pied de la basilique Notre-Dame-de-la-Garde, beaucoup n'arrivent pas à contenir leurs émotions.
17:01 "Pour la ville de Marseille, vous vous rendez compte ce que c'est que le pape à Marseille ? C'est vraiment fantastique."
17:07 "C'est une magnifique nouvelle. En tant que Marseillaise, j'ai pas les mots."
17:15 Le chef de l'église catholique participera à la rencontre méditerranéenne, un forum qui rassemble de nombreux évêques.
17:22 Et comme à Strasbourg en 2014, cette visite pourrait être éclaire. Il a affirmé que ce n'était pas un déplacement officiel dans l'Hexagone.
17:32 Alors les fidèles Marseillais espèrent néanmoins qu'ils trouvent le temps d'aller à leur rencontre.
17:36 "Déjà sa présence, c'est déjà bien. On est très content de le voir et puis qu'il apporte aussi l'union entre nous, entre les chrétiens, entre tout le monde à Marseille."
17:46 La dernière visite d'un souverain pontife à Marseille remonte à 1533, il y a donc 490 ans. C'était avec le pape Clément VII.
17:57 Et tout de suite, le journal des sports.
18:01 Et on commence ce journal des sports avec le sacre d'Alexis Pintureau sur le combiné devant son public de Courchevel.
18:11 Le Savoyard a conforté les six centièmes d'avance qu'il avait après le Super G. Le Français devant son rival et champion du monde sortant, Marco Schwarz.
18:20 L'Autrichien s'est raté sur les derniers piquets alors qu'il avait repris la tête aux temps intermédiaires.
18:27 Déjà sacré dans la discipline en 2019 et par équipe en 2017, Alexis Pintureau s'offre un troisième titre mondial et probablement le plus beau d'etroits. On l'écoute.
18:39 "Depuis un an, je pense qu'une seule chose c'est aux championnats du monde à la maison à Courchevel. Un titre, peu importe la discipline, est toujours quelque chose d'extraordinaire.
18:48 En plus, c'est toujours une belle bagarre avec Marco. Il y a deux ans, je perds mon titre pour quelques centièmes. Là, je le récupère pour un dixième.
18:57 Donc voilà, c'est extrêmement serré entre nous deux. Il y a une belle bagarre et je pense que ça nous galvanise aussi, lui comme moi."
19:04 Et bravo Alexis Pintureau du football tout de suite. Et ce mercredi démarre les huitièmes de finale de la Coupe de France.
19:10 Sept rencontres au programme, dont quatre entre pensionnaires de Ligue 1. Lyon accueillera les Dogs de Lille.
19:16 Dans le même temps, les Rémois, vaincus en 2023, se déplaceront au Stadium de Toulouse.
19:21 Et puis à noter que le petit pousset de la compétition, Vierzon, au club de National 2, recevra Grenoble avant le classique entre Marseille et Paris.
19:30 Et puis les Fosseens, dont la série de neuf matchs sans défaite en Libye a pris fin dimanche.
19:35 Ils veulent vite relever la tête et face à eux, le rival parisien, amoindri par les blessures et tourné vers le Bayern Munich, se présente au moment opportun.
19:44 Les explications avec Marie Decremes.
19:46 "Se dirigerait-on enfin vers un classique équilibré ? Sur les 26 dernières confrontations, l'OM n'a battu le PSG qu'une seule fois.
19:55 10 ans de domination parisienne, mais à l'approche de ce nouveau duel, les Marseillais arrivent lancés.
20:01 9 victoires sur leurs 10 derniers matchs avant la défaite contre Nice dimanche, un revers qui ne les a pas refroidis.
20:07 "Il ne faut pas se cuirer, parce que l'équipe est en bonne santé. J'aime l'équipe."
20:13 Les hommes d'Igor Tudor, deuxième du championnat, en pleine confiance quand le collectif parisien montre lui des signes de faiblesse avec les premières défaites de la saison.
20:21 L'obsession du club de la capitale pour la Ligue des champions a 6 jours de défier le Bayern et la blessure de Mbappé donne quelques chances de plus à l'OM d'enfin renverser la tendance.
20:30 "Ce sera forcément différent le fait qu'il ne soit pas là. Mais il ne faut pas se dire Mbappé n'est pas là, donc il n'y a aucun risque de contre-attaque.
20:39 Non, nous, vraiment, on ne se dit pas qu'on va affronter un Paris un peu moins en forme. On se dit vraiment que ça va être dur, mais qu'on en est capable."
20:48 La dernière victoire marseillaise au Vélodrome contre Paris remonte au 27 novembre 2011. Plus de 11 ans, une éternité.
20:55 Mais les Olympiens sur leur aile en semblent plus que jamais en mesure de bousculer l'ogre parisien.
21:01 Et restez avec nous sur CNews dans un instant. Retour sur la mobilisation de ce mardi contre la réforme des retraites.
21:07 Moins de monde que les précédentes, mais les syndicats restent déterminés.
21:11 (Générique)

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