Éco-anxiété, solastalgie, éco-paralysie… Mais aussi topophilie, soliphilie, eutierrie. Ces "éco-émotions", définies par le philosophe Glenn Albrecht, traduisent ce que nous ressentons face à la crise climatique : peur, colère, tristesse… mais aussi amour, émerveillement, espoir. Non, ce n’est pas une faiblesse. C’est le signe que nous sommes vivants et connectés à la Terre.