L’institution financière dit augmenter ses financements en faveur de ce type d’infrastructures. C’est au financement de projets comme celui-ci, barrage-réservoir de Lom-Pangar dans la Région de l’Est, Département du Lom-et-Djerem, accomplissement majeur des fameuses années de « grandes réalisations » de Paul BIYA, et qui aura coûté en tout autour de 250 milliards, que la Banque mondiale dit consacrer – depuis un moment – le gros de ses ressources affectées au Cameroun. Le secteur de l’énergie, en crise notoire, se trouve en effet être une branche prédominante d’intervention de l’institution financière, bailleur de fonds parmi les plus important et les plus influents dans le pays. Raison de l’entrain de ses dirigeants à se rendre régulièrement sur le terrain, comme ici le 01er décembre 2023, à la visite de cette grande œuvre devenue, par la force des choses, un élément considérable de marketing de sa présence et de son utilité – régulièrement contestée du fait de son efficacité querellée – en terre camerounaise.