C’est sur la conviction selon laquelle la jeunesse camerounaise et, plus largement africaine, manque d’opportunités et non de talents que la Fondation SNK se positionne aujourd’hui comme fournisseur d’idées, d’apprentissages et d’ingénierie sociale, sur la problématique de l’intelligence artificielle. Cela, en tant que porte d’entrée vers une autre réalité, celle des créatifs et des créateurs de ce monde immatériel, devenu source considérable d’imagination, de progrès et de croissance économique pour tant de peuples dans le monde. Il faut cependant, avant d’y parvenir, briser les plafonds, casser les préjugés, décentraliser le savoir, prendre des initiatives. Tout l’objet de ce processus d’intervention qui prend la forme d’une série de formations fragmentaires et étalées géographiquement, afin de toucher la plus grande masse. L’intelligence artificielle est en effet devenue aujourd’hui source première du développement économique, direction primordiale vers laquelle s’orientent entreprises et organisations de toutes sortes, dans leur relation aux produits, aux processus, au pilotage des opérations, à l’augmentation de la productivité et à l’agilité créative et innovante. Dans le monde entier, la question n’obsède plus seulement les entreprises mais aussi, les gouvernements.
