- 02/06/2025
DB - 02-06-2025
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TVTranscription
00:00Qui ne sait jamais laisser enchaîner
00:30Faut-il pour voir un jour un ciel tout bleu ?
00:41Supporter un ciel noir trois jours sur deux
00:45Je l'ai supporté, je suis un évadé
01:00Je l'ai supporté, je suis un évadé
01:29A partir d'aujourd'hui, François Vidor
01:32Le forçant en rupture de banc
01:35Le fantôme qui empêche de porter de police de France n'existe plus
01:40Que lui est-il arrivé ?
01:45Dévoré par un requin
01:48Découpé en cent mille morceaux par la bande des chauffeurs du Nord
01:51On sait pas, mystère
01:53Et voici que surgit à sa place Auguste Duval
01:56Sans profession, content ?
01:58Oui, j'aurais du mal à t'appeler Auguste
01:59Auguste, mon Auguste
02:02Mais l'avantage de ce nom, c'est qu'il nous fera toujours rire
02:05Mais ça fait un peu cirque
02:08Eh ben justement, justement on est engagé dans un cirque
02:11Le cirque 36 étoiles qui doit évoluer du côté de mesières
02:14Tu vois, tu tiendras la caisse
02:16Et moi, ron, ron, ron, ron, ron
02:18La parole
02:19Et moi, pendant ce temps, je fais
02:23Quoi ?
02:25Eh ben tu vas le compère
02:27Dans le public
02:28Tu t'appelles Robert Chaumont
02:30Et tu es marchand forain
02:33Tu les as eu où ces passeports ?
02:36Eh ben on a barré des pieds humides comme d'habitude
02:38Et puis dépêchons-nous
02:40Sinon on va rater la diligence de mesières
02:42Dis donc, mesières, ça se bat pas un peu par là en ce moment ?
02:47Et le théâtre aux armées ?
02:51Tu le connais pas ?
02:52Hein ?
02:54Tu leur as bien vendu les passeports j't'ai armés
02:55T'es pas trompé, au moins ?
02:56Oh, craigne rien, monsieur l'inspecteur
02:58Pour une fois que je peux vendre des vrais passeports
03:00J'en profite, ça me fait des économies d'écriture
03:02Mais tu t'os des deux côtés
03:03Dis donc, c'est de l'Auguste Duval et Robert Chaumont
03:11C'est bien des déserteurs du quatrième d'artillerie
03:13C'est un bon truc que vous avez trouvé là
03:16Avec ces passeports, ils vont se faire pincer à la première gendarme
03:19Et puis vous n'aurez plus qu'à les cueillir sur place, hein ?
03:22Il y a des clients
03:23Vite, vite, encueillez-moi
03:24La prochaine fois, c'est trois mois de fermeture
03:27C'est bien compris ?
03:27C'est bien compris, monsieur l'inspecteur, c'est bien compris
03:46Qu'est-ce que c'est ?
03:58Qu'est-ce que c'est ?
04:11Ça, c'est les joies de la guerre
04:12J'ai l'impression que dans ce mois-ci, nos voltigeurs sont en train de s'expliquer avec les Kayserlik
04:15Les Kayserlik ?
04:16Ben oui, les Autrichiens
04:17Mais alors ?
04:18On va repartir
04:19Il paraît que la route est à nous jusqu'à Mézières
04:22Tiens
04:29Ça, c'est les Autrichiens qui tirent en ce moment
04:32Ah, parce que toi, tu les reconnais
04:35J'ai été blessé à Valmy, mon fils
04:37Tu as été blessé sur le passeport d'Augustin Duval ?
04:41Non ?
04:42C'est écrit là, sur le côté droit
04:45Mais ça me fait mal, quelquefois
04:47Quoi ?
05:10Encore les Kayserlik ?
05:11Non, ce coup-ci, c'est sérieux, les gendarmes
05:13Mais range-t'en, minc, imbécile
05:14Et sortons le passeport
05:15Passeport ?
05:28Merci, mademoiselle
05:41Merci, mademoiselle
05:43C'est parti.
06:13Vous deux, descendez.
06:23Vous vous expliquerez au poste.
06:25Et la diligence ?
06:26Elle partira sans vous.
06:33Continue jusqu'à Mezier, on te rejoindra.
06:43Qu'est-ce qu'ils ont bien pu faire, ce Chaumont et ce Duval ?
06:55Elle est quand même en zone des armées.
06:59Tu nous vas exécuter cette nuit pour une chose qu'on ne saura jamais ?
07:04Quand on entend de l'un pour les autres, on devrait toujours prendre des renseignements.
07:24Duval !
07:25Maréchal des logis Duval, on se lève quand un officier vous parle.
07:36Vous avez déserté il y a quinze jours le quatrième d'artillerie.
07:41Maréchal des logis Chaumont, vous êtes dans le même cas.
07:43Bon, je viens prendre des vraisons de ces deux gaillères.
07:50Et voici un ordre signé du directeur de la prison.
07:52Alors vous allez me les remettre en uniforme et les attacher ensemble.
07:55C'est plus prudent.
07:58Des déserteurs en temps de guerre.
08:00Pas de pitié.
08:01Oh, j'aime pas qu'on me traite de déserteurs, hein !
08:04Allez, signez pas de faire les idiots tous les deux, hein !
08:06Et t'achètes pas de vous en fuir !
08:08Sors de ce que vous avez comme des bêtes, moi !
08:24Eh, c'est encore loin ?
08:26Tu verras bien.
08:28Vous êtes sûr d'avoir pris le bon chemin, mon capitaine ?
08:30Bon, en tout cas, c'est le chemin du peloton.
08:32Allez, avance, crapule !
08:38Tiens !
08:57Bonjour, monsieur l'inspecteur !
08:58Oh, Truchot !
08:59Dites-moi, c'est vous qui avez arrêté les deux déserteurs ?
09:02Oh, ben, faut dire que j'avais du renfort derrière moi, monsieur l'inspecteur.
09:04Compliment !
09:05Ah, ben, faut croire aussi que c'est pas des déserteurs ordinaires,
09:07puisque vous voilà, monsieur l'inspecteur.
09:11Mais dites-moi, on se bat par ici ?
09:14On bat même en retraite, monsieur l'inspecteur !
09:17Vous aurez été mon dernier client.
09:19On a reçu l'ordre de décrocher.
09:21Si vous voulez voir vos bons hommes,
09:23vous devriez vous dépêcher, ils sont au poste.
09:24J'avais su que tu donnes, c'était videocle.
09:32J'aurais pas dormi de la nuit, monsieur Flambard.
09:35Et ces messieurs, les officiers, ils se doutent de rien.
09:38Attention, Clémentine, elle est fragile.
09:41Et ces officiers, où ont-ils leur cantonnement ?
09:43Ah, la ferme du Pendu, c'est là-bas.
09:46C'est là, une optici, à peu près.
09:50On vous trouvera peut-être quelqu'un pour vous indiquer.
09:54Mais moi, à votre place, j'irai pas.
09:56Qu'est-ce qu'on en fait ?
10:25On est-tu, l'acrobate ?
10:29Douze balles dans la peau.
10:32Et toi, l'haricot ?
10:34Douze balles dans la peau.
10:37À l'unanimité, le conseil de guerre vous condamne à la peine de mort.
10:47Regardez.
10:48Ils ont déjà la frousse.
10:50Ils claquent des dents.
10:51Je vous ferai remarquer que si je claquais des dents,
10:53je m'exprimerai avec beaucoup moins de facilité.
10:55Je n'aime pas les crâneurs.
11:00Les petits, je les classe et les grands, je les plie.
11:02Compris ?
11:03Bon, on défait les bracelets ?
11:09Non.
11:12On va voir si ce crâneur va continuer à faire le mariole.
11:14Toi, l'acrobate.
11:17Prends ce luminaire.
11:19Tiens-le bien loin au-dessus de sa tête de pioche.
11:21Tu comprends ?
11:22Si j'éteins la bougie, c'est que je ne suis pas encore complètement saoul
11:25et que j'ai le droit de casser la gueule à une autre bouteille.
11:29Vous savez, ce petit jeu, ce n'est pas nouveau.
11:30Guillaume Tell, il jouait tous les dimanches en famille.
11:32J'aime pas les crâneurs, je t'ai dit.
11:35L'acrobate, j'ai le droit à une autre bouteille.
11:51Alors, on ne joue plus à Guillaume Tell ?
11:53Non.
11:59Non, maintenant, on change de jeu.
12:02On va jouer
12:03à te faire danser.
12:08Amuse-moi.
12:09Allez, retenez les bracelets.
12:15Et saute sur la table.
12:18Saute sur la table.
12:19Saute sur la table où je tire !
12:23Police !
12:24Ah, ça, j'en étais sûr ?
12:28Ces messieurs font partie d'armées roulantes.
12:30Des coquins déguisés en militaires
12:31qui opèrent dans la zone des armées.
12:33Oui !
12:35Je vois que ça ne va pas.
12:36Les fausses réquisitions.
12:40Sans compter que vous ne devez pas vous gêner
12:42pour piller les maisons abandonnées
12:44et détrousser les morts, hein ?
12:46Eh, eh, eh.
12:47Ce n'est pas de notre faute
12:48si tout est de sang dessus-dessous
12:50dans ce fichu pays.
12:51Sans compter que
12:52les seuls citoyens
12:53qui ont encore des principes,
12:54c'est nous.
12:55La preuve,
12:55c'est que nous faisons nos comptes
12:56tous les soirs.
12:58Pas vrai, Barabar ?
12:59Je te présente Barabar,
13:01mon comptable.
13:02Sorti de prison par nos soins,
13:04comme vous-même.
13:09Tu vois, on va se faire des relations.
13:11T'as un jet de poli.
13:13On recrute comme on peut.
13:14Et toi, dans l'armée roulante,
13:16tu n'es encore que deuxième classe.
13:18Alors, si tu parles trop
13:19et si tu marches pas droit...
13:20Douze balles dans la peau.
13:21En une.
13:22Ça fait moins de bruit.
13:24Et si elle ne me plaît pas,
13:25votre armée roulante,
13:26si je préfère changer de métier,
13:29pêcher à la ligne, par exemple.
13:32Je t'ai déjà dit
13:33que je n'aime pas les farceurs.
13:35Je commence à croire
13:36que j'ai eu tort de visée juste.
13:37J'aurais dû rater la bougie
13:39et tirer un peu plus bas.
13:42Attention, il y a quelqu'un qui vient.
13:43Un civil, avec un chapeau.
13:50Cette fois, c'est la police.
13:54La vraie...
13:54Mon commandant,
14:05mes respects.
14:08Ces deux hommes
14:08ne sont pas les déserteurs
14:09que vous supposez,
14:10mais deux évalées de prison.
14:12Celui-là, surtout,
14:13est un redoutable repris de justice.
14:16Vous le connaissez certainement de nombre,
14:17mon commandant,
14:17c'est...
14:18Vidoc.
14:18Vidoc.
14:24Le fameux Vidoc.
14:32Vidoc.
14:37Les vannées du bac de Toulon.
14:40Les vannées de Piscette.
14:42Les vannées de Vidoc.
14:45Vidoc.
14:48Alors, quoi,
14:48vous ne connaissez pas Vidoc.
14:54Vous ne pouvez pas comprendre encore,
14:59monsieur Flambard.
15:01Comment vous ?
15:01Vous me connaissez ?
15:02J'ai déjà eu l'honneur.
15:04Comme nous sommes très heureux
15:06de votre visite,
15:07nous allons pouvoir vous traiter
15:09avec le respect que vous ai dû.
15:11Barbard !
15:13Faites le guet dehors
15:14pendant que nous nous occupons
15:16de monsieur Flambard.
15:18Je ne comprends pas.
15:20Mais comme nous voulons pouvoir
15:21bien vous admirer,
15:22nous allons vous prier
15:24de bien vouloir monter
15:25sur cette table.
15:26Mais si, mais si,
15:27j'y tiens beaucoup.
15:30Allez, monsieur Flambard,
15:31montez sur la table,
15:32c'est plus prudent.
15:35Tu es de mèche
15:36avec Vidoc.
15:39Et vous êtes tous des bandits.
15:40Allons, allons,
15:41soyez gentils.
15:42Montez sur cette table
15:43et plus vite que ça !
15:45j'ai compris.
15:54L'armée roulante
15:55et toi,
15:57le faux chef de bataillon,
15:58je te reconnais.
15:59Tu t'appelles Chalambier,
16:00deux crimes sur la conscience.
16:02Quatre.
16:03Forcément, dans le groupe,
16:04c'est moi qui exécute.
16:07Alors,
16:08amuse-nous.
16:09tiens,
16:14fais-nous la danse
16:14de l'ours.
16:22Non.
16:24Je ne ferai pas
16:24la danse de l'ours.
16:26Non.
16:30Alors,
16:31on va te confier
16:31au bon soin de Vidoc.
16:32avec lui,
16:35ton compte est bon.
16:37Ouais.
16:41Mais...
16:41Je crois que
16:42je vais commencer par toi,
16:43Chalambier.
16:45Car tu as des manières
16:46qui ne me plaisent pas du tout.
16:48Et qui ne plaisent pas du tout
16:49non plus à tes amis.
16:51Et la danse de l'ours,
16:53tu la danseras devant eux.
16:54Toi,
16:55pour commencer.
16:58Allez, Chalambier,
16:58monte sur la table.
16:59Monte sur la table.
17:01Tu veux rien,
17:02exactement.
17:04Et eux aussi,
17:05ils veulent rien.
17:06Allez, monte sur la table.
17:07Monte sur la table.
17:08Vous n'avez pas
17:09le laissé faire, non ?
17:10Allez, monte sur la table.
17:11Ah bon ?
17:13Si c'est une plaisanterie,
17:14alors,
17:15plaisantons.
17:22Tu m'en voudras,
17:23c'est un Vidoc.
17:23La danse de l'ours,
17:24mon Dieu !
17:26Allez,
17:26allez,
17:27allez.
17:30Ça y est,
17:31j'ai lu les...
17:32j'ai vu les...
17:32J'ai vu les...
17:33J'ai vu les amis blancs,
17:35les Kayserlics.
17:36Ils sont sur l'eau de la colline.
17:38Et les nôtres en recul.
17:39Ils nous demandent de tenir,
17:41le temps d'amener des renforts.
17:43De tenir jusqu'à la mort,
17:44ils ont dit.
17:45Ça va,
17:46crampli,
17:46on fout le corps.
17:46non !
17:47Il y a des grenades et des fusils,
17:48on reste !
17:49De toute façon,
17:49la marchandise est perdue pour nous,
17:51alors,
17:51pourquoi rester ?
17:52Il y a de vrais soldats parmi vous.
18:10Oui,
18:11moi,
18:11je pense que c'est achandu sixième dragon.
18:13Tu savais ta caserne autre jour,
18:14après un nouvel.
18:14Comment,
18:15t'étais au sixième dragon,
18:15à Malmy ?
18:16Oui,
18:16mais j'ai passé caporal le lendemain.
18:17Moi,
18:18je vais rester deuxième classe.
18:19François,
18:20qu'est-ce qu'on fait ?
18:21Bon,
18:22tu mets un homme à chaque fenêtre,
18:23et un sur les toits.
18:27Dépoussé,
18:28t'es passant dans le civil.
18:30Oui.
18:30Bon,
18:31alors,
18:31tu vas faire le guet là-haut,
18:33sur le toit de la grange.
18:33Non,
18:34non,
18:34c'est pas que j'ai le vertige.
18:35Quoi ?
18:36Enfin,
18:36si tu y tires.
18:38Tu vois,
18:39j'ai plus rien à dire.
18:41Toi,
18:41tu vas prendre un fusil,
18:43et tu vas aller là-bas,
18:45sous la flèche.
18:46Allez.
18:48Tiens,
18:49ça bouge là-bas,
18:50derrière le buisson.
18:51Allez,
18:52tire.
18:52Tire,
18:53je te dis.
19:06Qu'est-ce que vous faites là,
19:19monsieur Flambard ?
19:20Mon rapport,
19:21c'est réglementaire.
19:23Ben,
19:23vous le ferez plus tard,
19:23votre rapport.
19:25Pour l'instant,
19:25il faut faire comme les copains.
19:28Si on veut de moi,
19:29je veux bien.
19:36et je ne sais pas.
19:39Mais on va aller ici.
19:42As que l'engue est une laëta,
19:44as que l'engue est une laëta,
19:46as que l'engue est une laëta,
19:48moi,
19:48je ne sais pas.
19:49Je ne sais pas.
19:49Je ne sais pas.
19:50As que l'engue est une...
19:52Merde.
19:53Le pico qui se tire.
19:54Il y en a deux ou trois
20:19en haut de la pente.
20:20Il nous va drôlement bien.
20:21Il faut y aller.
20:29Bon,
20:29j'y vais.
20:31Il n'y en a rien qui vient avec moi.
20:36Et ben quoi,
20:37il n'y a personne qui vient avec moi.
20:39Si.
20:40Moi.
20:51Vous savez lancer une grenade,
20:58M. Flambard ?
20:59Tu vas voir ça, fiston.
21:07Tu nous cours, hein ?
21:08J'ai eu.
21:23Clos !
21:24M. Flambard ?
21:24Personner,
21:25tu te vas voir ça,
21:26tu vas voir ça.
21:28Très même de ma street.
21:29C'est parti.
21:59Vidoc, Vidoc, Vidoc, ça va, ça va, ça va, allez, on y va, allez, à vous, monsieur Flambard, et une autre,
22:29Il y a encore une autre !
22:33Alors ?
22:47Ils ont eu leur compte !
22:51C'est grave !
22:54Et les gratignures !
22:55Une grenade ?
22:57Non, non, une balle !
22:59Alors ?
23:09Alors ?
23:21Rien !
23:23Les autres lichiers ont dû foutre le camp pendant la nuit !
23:27Remèche, descend !
23:33Là, tu vois ?
23:35Je sais faire un pansement, aussi.
23:37Ça m'a aussi curieux.
23:39Quoi ?
23:41Quoi ?
23:42J'ai bien regardé ta blessure.
23:44La balle serait venue de chez nous que ça ne m'étonnerait pas.
23:47Une balle perdue, ça arrive !
23:49Il y a des balles perdues qui savent très bien où elle vend.
23:53Tu veux dire que c'est moi qui...
23:57Exactement !
23:59Tu veux que je lui reste en compte ?
24:03Non, non, tiens-le-moi, c'est tout !
24:15Ils arrivent !
24:17Qui, qui ?
24:19Les nôtres !
24:20Les Français !
24:21Alors, tout ce qui peut !
24:24Descendez, bidoc.
24:28Mais je ne peux pas faire autrement.
24:47Qui ne sait jamais laisser enchaîner ?
24:58On ne saura jamais ce qu'est la liberté.
25:06Moi, oui, je le sais, je suis un évadé.
25:11Mon
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