- 23/05/2025
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00L'info en continu, c'est sur Europe 1.
00:07Punchline, 18h-19h, Thierry Cabane sur CNews et Europe 1.
00:13C'est déjà la dernière ligne droite pour votre Punchline Weekend sur Europe 1, sur CNews, toujours à mes côtés.
00:18Noémie Aloua, Véronique Jacquet, Mathieu Hock, Jean-Méle-Gouen et Johan Uzaï.
00:22Ça tombe bien, mon cher Johan, parce qu'on va parler politique, je le disais.
00:26Vous ne sentez pas l'air ?
00:27Il y a un parfum.
00:28Il y a un petit parfum de politique, parce que le moins qu'on puisse dire, c'est que les sorties politiques s'enchaînent.
00:33Je ne sais pas si ce n'est pas l'effet Bruno Rotaillot qui occupe le terrain, d'ailleurs.
00:38On l'a vu à travers les colonnes du Figaro, où il a doublé Edouard Philippe dans un sondage récent.
00:46On a vu Gérald Damanin et la drogue, cette proposition autour de l'argent liquide, dont on voit que ça ne va pas être facile pour appliquer cette mesure.
00:52On a à gauche François Ruffin, qui appelle à une primaire alliant de Philippe Poutou à François Hollande, et puis Bruno Rotaillot, qui aurait dépassé Edouard Philippe, et qui aurait peut-être aussi décoincé nos politiques.
01:04Mais on va voir tout ça avec Isabelle Piboulot, et puis je vous attends, et les uns et les autres.
01:07En selle dans la course à l'Elysée, tout est permis pour réussir son échappée, à commencer par se détacher du chef de l'État.
01:16Les deux hommes forts du gouvernement ont irrité Emmanuel Macron, le ministre de l'Intérieur, nouveau président des LR,
01:23ayant été accusé d'instrumentaliser le rapport sur l'entrisme des frères musulmans,
01:27rapport dévoilé en partie mardi, 24 heures avant la tenue du Conseil de Défense.
01:31Le garde des Sceaux, lui, marque les esprits dans sa lutte contre le trafic de drogue,
01:36en annonçant la création d'un quartier de haute sécurité en Guyane,
01:39ou encore en évoquant l'éventuelle suppression de l'argent liquide pour ralentir les barons du narcotrafic.
01:45Mais l'entrée fracassante dans l'espace médiatique revient à Gabriel Attal,
01:48qui propose d'interdire le voile pour les moins de 15 ans,
01:51et d'instaurer un délit de communautarisme, quitte à s'attirer les foudres de son camp.
01:55Le président du groupe Ensemble pour la République à l'Assemblée nationale s'est exprimé mercredi.
02:00Quand vous avez une fillette de 5-6 ans qui est voilée,
02:05personne ne peut imaginer que c'est son choix libre et éclairé que de se voiler.
02:10Donc c'est évidemment ceux qui sont responsables de cette contrainte qu'il faut viser.
02:15A gauche, François Ruffin se positionne comme un candidat potentiel de l'Union
02:19et appelle à une grande primaire ouverte, allant de Philippe Poutou à François Hollande,
02:23en passant par les Insoumis.
02:25Une plateforme commune souhaitée aussi par Olivier Faure, mais sans alliance mélanchoniste.
02:30Luan Uzaï, vous êtes le spécialiste politique.
02:33Rappelez-moi, on n'est pas en décembre, on est bien en mai,
02:36ce n'est pas la période des cadeaux de Noël.
02:37Parce que ça, on y va là.
02:39Des propositions, voilà.
02:41Et quand je disais Bruno Retailleau, j'ai l'impression qu'il allait coincer tout ça.
02:44Non, je me trompe dans mon analyse ou pas ?
02:46Oui, l'élection de Bruno Retailleau a été un élément supplémentaire.
02:49Mais tout le monde a bien compris depuis un certain temps maintenant
02:51que la prochaine élection présidentielle allait très certainement se jouer à droite.
02:57Chacun y va de sa proposition pour montrer qu'on est à droite.
02:59Même Gabriel Attal, qui vient plutôt de la gauche,
03:01peut montrer qu'il est un homme de droite et si possible plus à droite que son concurrent.
03:05Donc on a eu des propositions pendant la primaire interne,
03:07mais ça c'est logique quelque part.
03:08la proposition de Laurent Wauquiez, Saint-Pierre-et-Miquelon.
03:11Gérald Darmanin, maintenant, y va de sa proposition,
03:13qui a l'air assez avancée quand même,
03:15de créer cette prison de haute sécurité en Guyane,
03:17pour montrer qu'il est un homme de droite,
03:19qu'il s'adresse à cet électorat, à cet électorat de droite.
03:22C'est bien de dire qu'on est droite.
03:23Même Edouard Philippe, maintenant, se met à parler matin, midi et soir du communautarisme.
03:26Et Edouard Philippe est lui aussi en train de droitiser sa campagne.
03:30L'élection de Bruno Retailleau est venue confirmer, effectivement,
03:32qu'il y avait un désir d'ordre, de sécurité,
03:35en tout cas dans les mots pour l'instant,
03:36puisque dans les actes, la situation politique actuelle
03:39fait qu'il est difficile de mettre en adéquation la parole et les actes.
03:43Mais oui, la prochaine présidentielle va se jouer à droite.
03:46Tout le monde l'a compris,
03:47donc tout le monde est en train de droitiser son discours,
03:49quitte à faire des propositions, de temps en temps, disons-le,
03:52un peu absurdes, ou en tout cas démagogues.
03:55Ça se tente, en tous les cas.
03:56Voilà, ça se tente.
03:57On dit les choses.
03:58Monsieur Le Gouen, en tant qu'ancien ministre,
04:01quel regard portez-vous sur tout cela ?
04:02Un petit peu de hauteur ?
04:04L'analyse est certaine.
04:05Il y a une excitation sur le sujet.
04:08Je pense que ceux qui...
04:09Petite excitation, vous.
04:10Oui, enfin bon, ça y est, la course où ceux qui prétendent...
04:13D'ailleurs, qui ne prétend pas quand on a un mandat de conseiller général ?
04:16Je me demande quel est le conseiller général
04:17qui ne se sent pas l'idée d'être président de la République aujourd'hui ?
04:21C'est la maladie de la classe politique française.
04:25Je n'en ai rien contre les conseillers généraux
04:27qui font très bien leur travail.
04:28Ce n'est pas à dos les conseillers généraux.
04:29Non, je ne cherche pas à me mettre à dos.
04:32Mais enfin, voilà, je voulais dire que n'importe quel chef aillon de parti,
04:36ce sont des possibilités pousser des ailes, etc.
04:41Bien.
04:42Deuxièmement, je crois que chacun comprend que notre pays est dans une situation très compliquée
04:47au plan intérieur, au plan économique, au plan financier.
04:50Ce qui se passe avec les Etats-Unis, ce qui se passe avec l'islamisme,
04:53ce qui se passe avec la Russie en Europe.
04:55Tout ça fait que je pense que les Français, à juste titre,
04:58se posent des questions, une certaine forme d'inquiétude réelle
05:01devant la gravité de la situation, qui est exceptionnelle.
05:05Donc, je pense que les rigolos qui font des petites phrases sur le buzz
05:09vont se planter graves.
05:11Et ce n'est pas simplement le problème d'être à droite ou d'être à gauche.
05:14Tous ceux qui tiennent des propos qui ne sont pas à la hauteur de la situation,
05:17à un moment ou à un autre, ils vont passer en deuxième catégorie.
05:22Et donc, moi, j'appelle tous les partis, y compris à gauche,
05:25et là-dessus, il y a des progrès à faire, c'est le moins qu'on puisse dire,
05:27c'est se mettre au niveau de la situation.
05:29En termes de propositions, en termes d'incarnations,
05:32en termes d'attitudes, en termes de la manière dont on parle aux Français,
05:35de la manière dont on parle des autres,
05:36de la manière dont on est capable de rassembler le pays,
05:39pas contre les autres, mais avec, etc.
05:42On en est là.
05:43Et je pense que ceux qui ont ça dans la tête,
05:47j'en vois pour l'instant deux, notamment, d'ailleurs,
05:49qui sont plutôt, à mon sens, qui se dégagent,
05:51c'est Retailleau et c'est Édouard Philippe, c'est vrai,
05:54qui ont une certaine...
05:57par leur personnalité, par leur proposition, par leur attitude...
06:01Non, mais qui essayent de prendre les choses par le haut.
06:04Bon, après, il y en aura d'autres.
06:07Il faut qu'il y en ait d'autres.
06:08Mais je conseille à ceux qui veulent se hisser dans ce type de compétition
06:14de le faire par le haut de gamme et pas par faire des petits buzz
06:18ou des petites phrases provoquées à travers...
06:19Allez, j'ai un mot quand même sur l'évolution de la popularité.
06:23Oui, oui, intéressant, l'évolution.
06:25Oui, ça ne veut pas dire grand-chose, la popularité en politique.
06:28On le dit pour les auditeurs d'Europe 1 qui n'ont pas le schéma,
06:30Bruno Retailleau, double Édouard Philippe, on est à 51-48.
06:37En termes de popularité, c'est vrai que...
06:39En termes de popularité.
06:40Et aujourd'hui, Dominique de Guilpin est l'homme politique le plus populaire de France,
06:43il est à 2% dans les sondages.
06:45La popularité n'a jamais fait une élection.
06:47C'est vrai, et deux ans, c'est long.
06:48Vous le disiez, deux ans, c'est long.
06:50Il peut se passer beaucoup de choses.
06:51Et deux ans avant l'élection, François Hollande était appelé Monsieur 3%,
06:55donc tout est possible.
06:56Non, mais deux ans avant l'élection, qu'est-ce qu'on constate ?
06:59D'abord, effectivement, certains se mettent en piste
07:01parce qu'on acte la fin d'un cycle.
07:03C'est-à-dire, pour beaucoup, c'est la fin du macronisme.
07:05Il ne va plus rien se passer pendant deux ans.
07:07Donc, évidemment, on pense à la...
07:09C'est vrai qu'on a vu l'émission chez nos amis téléphoniques de Emmanuel Macron.
07:13Trois heures pour ne pas dire grand-chose.
07:15Ensuite, deuxième chose, il y a un sentiment de déclin de la part de nos compatriotes.
07:20Et effectivement, les Français sont très inquiets.
07:22Donc, ça ne va pas être une élection comme les autres.
07:24Comme vous l'avez dit, Monsieur Le Gouen,
07:25il va falloir proposer quelque chose de costaud
07:27avec une vision qui passe par le haut,
07:31c'est-à-dire un projet de civilisation,
07:33un projet de société à minima,
07:36un projet de société qui fait que les Français
07:37ont vraiment le sentiment qu'on les emmène quelque part.
07:41Pas un parti, pas un peu de droite, un peu de gauche,
07:43un peu trop d'extrême droite, etc.
07:45Ça ne va pas marcher.
07:46Et puis, troisième chose, la droite veut gagner.
07:49Ça fait 20 ans que la droite n'a pas gagné.
07:52Donc, c'est évident que là, le cheval Retailleau,
07:55plutôt que le cheval Édouard Philippe,
07:58vous savez, même si Bruno Retailleau a le vent en poupe en ce moment,
08:02et c'est bien logique,
08:03un an avant l'élection, vous allez voir que
08:05tous les candidats de droite vont remettre les comptes à zéro
08:08en disant qu'il est le mieux placé pour l'emporter,
08:10parce que la droite veut gagner,
08:12et surtout qu'il faudra choisir celui qui est en capacité de rassembler.
08:16Alors, j'entends ce que vous dites.
08:17Un petit sujet, c'est le vote Rassemblement National.
08:19Oui, et on voit bien la réaction de Marine Le Pen,
08:22qui voit un point d'un vrai danger avec Bruno Retailleau.
08:25D'ailleurs, elle n'a pas été tendre lors de son intervention politique.
08:27C'était chez qui ?
08:29C'était les quatre vérités.
08:30C'était les quatre vérités, sur France 2.
08:31Il faut effectivement remettre les choses en perspectif,
08:34c'est que même s'il y a une dynamique Retailleau et Édouard Philippe,
08:37le Rassemblement National se porte extrêmement bien,
08:39malgré les déboires judiciaires de Marine Le Pen.
08:41Mais, sauf que, et j'entends ce que vous dites,
08:43ma chère Véronique, j'acquais,
08:45mais ce qui est important aussi,
08:47c'est de passer du moment du constat aux actes.
08:50Et ça, c'est important,
08:51parce que les Français sont dans l'attente,
08:52et le nombre de sondages que nous lançons,
08:55on peut dire, voilà,
08:57mais à un donné, les Français en ont assez.
08:59Il va falloir des actes.
08:59Et deux ans pour agir.
09:02Juste deux ans.
09:03S'il n'y a que des constats, ça ne marchera pas.
09:05Vous avez raison, Thierry,
09:06l'équation de l'élection de 2027 est la suivante.
09:09Cette élection-là ne ressemblera pas aux élections de 2017 et de 2022
09:12pour une simple et bonne raison,
09:13c'est qu'il n'y aura ni Emmanuel Macron
09:15qui ne peut pas se représenter
09:16et potentiellement ni Marine Le Pen,
09:18alors qu'à cause de ses déboires judiciaires,
09:20si l'appel confirme justement la sanction en première instance,
09:23alors que ce sont les deux candidats
09:24qui, au premier tour de l'élection 2017 et 2022,
09:27ont rassemblé plus de 50% des suffrages.
09:29Donc, vous avez déjà un premier point,
09:30c'est quel leadership,
09:32que ce soit au niveau du Rassemblement national,
09:34au niveau des Républicains
09:35ou au niveau du Bloc central,
09:37ou même au niveau de la gauche,
09:38quel est le candidat dans cette élection
09:40qui est une élection différente ?
09:42Le deuxième sujet qui est important
09:43et qui est justement transpartisan,
09:45et je rejoins un peu ce que vous venez de dire,
09:46c'est que le candidat qui gagnera
09:47l'élection présidentielle 2027
09:49sera le candidat qui va réussir
09:50à rompre avec l'impuissance publique.
09:52Parce que quand vous regardez l'ensemble des sujets,
09:54et c'est pour ça que je dis que vous avez raison,
09:55sur l'ensemble des thèmes,
09:56sur l'éducation,
09:57l'insécurité,
09:58les questions migratoires,
10:00les questions liées à l'assistanat dans notre pays,
10:02le pouvoir d'achat,
10:03etc., etc.,
10:04on peut démultiplier les sujets,
10:05le véritable problème que voient les Français à chaque fois,
10:07et c'est pour ça que sur tous les sujets,
10:08tous les enquêtes d'opinion,
10:09on est plutôt à 60, 70%,
10:11voire 80% de Français
10:12qui sont d'accord avec une proposition,
10:14c'est qu'ils nous disent la chose suivante,
10:16les politiques peuvent faire des belles promesses,
10:18mais elles ne sont jamais appliquées.
10:19Il y a trop d'impuissance publique,
10:20et aujourd'hui c'est ça,
10:22le véritable mot.
10:23Sur l'enjeu de tous les futurs candidats.
10:25Noémie a lieu à très rapidement
10:26ce qu'on arrive au terme de l'émission.
10:27Ce qui est aussi frappant,
10:28c'est le courriel de ce que disait Yohann Uzaï,
10:30c'est au fond à quel point
10:31la gauche est absente de l'équation.
10:33C'est frappant quand même.
10:34On regarde même les figures politiques
10:37qui sont les plus à même de l'emporter.
10:40Alors ce n'est pas demain,
10:40mais malgré tout ça donne
10:41quelques tendances qu'on peut suivre aujourd'hui.
10:44La gauche est absente de l'équation,
10:45c'est incroyable.
10:46Peut-être qu'elle devrait se poser des questions aussi
10:48sur ces alliances qui ont été faites
10:49avec un parti repoussoir
10:52comme la France Insoumise.
10:53Mais c'est-à-dire que
10:54je pense que le Parti Socialiste
10:57notamment a fait un calcul à court terme.
10:59Mais on verra qui sera le président.
11:00Mais à long terme, à court terme,
11:01ils imaginaient que ça leur permettrait
11:02d'avoir des postes,
11:04effectivement, ça leur a permis
11:06d'avoir des postes
11:06au cours des dernières élections.
11:08Mais enfin, sur le long terme,
11:10leur voix dite de la social-démocratie
11:13qui voulait se distinguer
11:15de la voix radicale de gauche,
11:16aujourd'hui, elle n'existe plus.
11:18Elle a été noyée dans cette alliance.
11:20Et ce qu'on voit, c'est que dans les sondages,
11:22écoutez, ils le payent cash.
11:24Allez, rapidement, justement,
11:26Jean-Marie Legouen,
11:27deux mots sur la gauche.
11:28Mais deux mots parce que je...
11:29Non, je suis d'accord avec le constat.
11:31C'est-à-dire qu'elle a un travail
11:32considérable à faire.
11:34en termes pratiquement sur tout.
11:36Vous allez dire tout de suite
11:37l'incarnation, bien sûr,
11:38mais ce n'est même pas le seul sujet.
11:40Elle n'a pas, pour l'instant,
11:41elle n'a pas de projet,
11:43elle n'a pas de stratégie.
11:45Que va faire le PS vis-à-vis des LFI ?
11:47Pardon ?
11:47Que va faire le PS vis-à-vis des LFI ?
11:49Oui, mais ça, c'est à peu près réglé,
11:50mais ça ne suffit pas.
11:51Réglé ?
11:52Oui, c'est réglé, ça.
11:53C'est réglé, il n'y aura plus d'alliance
11:54avec LFI, vous verrez les municipales
11:56l'année prochaine.
11:56Vous êtes sûr, vous ?
11:57Oui.
11:57Faites gaffe parce que la télévision,
11:59tout est enregistré, vous le savez.
12:00Vous le savez, je veux dire,
12:01les municipales l'année prochaine,
12:02la plupart des batailles dans les grandes villes,
12:04celles qui sont le plus facilement médiatisables,
12:06on va dire,
12:07ce sera des batailles entre la gauche et LFI.
12:08Regardez ce qui se passe à Nantes.
12:11C'est-à-dire ?
12:11À Nantes, visiblement,
12:12il y a un appel PS LFI écologiste.
12:15Oui, oui, mais je l'entends bien,
12:16mais pratiquement partout ailleurs,
12:18à Paris, dans plein d'endroits,
12:21à Montpellier, etc., à Toulouse,
12:23vous aurez des batailles qui seront justement
12:26moins entre la gauche et la droite
12:28qu'entre la gauche et LFI.
12:30Vous savez quoi ?
12:31Vous allez revenir,
12:32parce qu'on arrive au terme de l'émission,
12:33et on verra,
12:34et on va garder la séquence en disant,
12:35ben voilà,
12:36il n'y aura pas d'accord PS LFI.
12:37Vous êtes témoin, Yohann Uzaï ?
12:39Je suis témoin,
12:39j'ai tout noté.
12:40L'heure, la date, le jour, tout.
12:41Les amis, merci de m'avoir accompagné,
12:43c'est un plaisir de vous avoir,
12:44une actualité très riche,
12:45évidemment avec beaucoup d'émotions aussi,
12:46pardonnez-moi.
12:47Merci à l'équipe qui m'entourait,
12:48David Brunet,
12:49David Poujol,
12:49Céline Génaud,
12:50Camille Guédon,
12:51Alexis Prince,
12:51Pointe-Vidal pour l'information,
12:52merci à la formation,
12:53Victoria Chetrit entre autres,
12:55merci aux équipes en régie,
12:56tout de suite sur Europe 1,
12:56Pascal de la Tour du Pain,
12:58sur CNews,
12:58le trio de choc.
13:00Philippe Devillé,
13:00Eliott Deval,
13:01Geoffroy Lejeune,
13:01belle soirée sur nos deux antennes,
13:02bye bye.
Recommandations
1:01
|
À suivre
3:41
5:00
8:23