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Le manque d'enseignants avec Philippe Dulbecco, recteur d'adadémie
ici Isère
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07/04/2025
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News
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00:00
Pour rendre le métier d'enseignant attractif,
00:02
confronté au manque de professeurs,
00:04
mais aussi à vos expériences personnelles,
00:06
vous n'hésitez pas à nous appeler 0476 46 45 45
00:10
et on va parler avec notre invité ce matin, Laurent Gallien.
00:12
Il vient d'arriver dans l'Académie de Grenoble
00:14
et nous dit-il ce matin, il a quasiment eu le temps d'en faire le tour,
00:17
Philippe Dulbecco, bonjour.
00:19
Bonjour.
00:19
Vous êtes le nouveau recteur d'Académie de Grenoble,
00:21
qui on le rappelle regroupe l'ISERM,
00:23
mais aussi les Deux Savoies, la Drôme, l'Ardèche,
00:25
ça fait pas mal de terrain à couvrir pour un recteur.
00:28
Vous êtes là depuis deux semaines,
00:30
vous avez vu à peu près tout le monde,
00:31
vous avez pris la dimension de cette académie.
00:34
Oui, une belle académie,
00:36
beaucoup de personnes compétentes,
00:38
une grande diversité des territoires en effet,
00:40
et puis la nécessité pour les 659 333 élèves
00:46
de les accompagner, de leur offrir à tous,
00:49
à chacun, un projet personnel.
00:51
Et de mettre également des enseignants,
00:53
on va aussi pouvoir en parler ce matin, en phase 2.
00:56
Le problème, les problèmes de l'Académie de Grenoble,
00:58
est-ce qu'il y a une particularité déjà ?
01:00
Est-ce qu'il manque plus d'enseignants qu'ailleurs ?
01:02
Le manque d'enseignants, il n'est pas tant, il est réel, on est d'accord.
01:05
Bon, d'abord, il faut dire que c'est une académie qui va plutôt bien.
01:10
Il faut dire à vos auditeurs que les résultats
01:13
aux différents examens, aux différentes évaluations
01:16
dans cette académie sont au-dessus de la moyenne nationale.
01:18
Donc il faut quand même rassurer toutes celles et tous ceux
01:21
qui nous écoutent.
01:23
Mettre les enfants à l'école dans l'Académie de Grenoble,
01:25
c'est plutôt une académie dans laquelle
01:28
toutes les chances de réussite sont garanties.
01:29
Après, pour autant, je n'élude pas la question.
01:32
On a trois sujets, je crois, dans cette académie.
01:35
Le premier sujet, en effet, c'est l'attractivité du métier d'enseignant.
01:38
Alors, il se pose dans cette académie, comme dans toutes les autres,
01:40
et on va pouvoir en parler.
01:42
On a un sujet qui me tient à cœur, qui est le sujet du bien-être
01:45
des élèves et des personnels.
01:47
Pour moi, c'est une priorité qu'il faut absolument poursuivre.
01:52
Et je sais qu'Hélène Incel, qui était à ma place
01:54
il y a quelques semaines, était...
01:57
Et puis, il faut naturellement continuer sur la voie de l'excellence,
02:01
puisque c'est une académie qui a de bons résultats.
02:03
Et donc, nous devons aller encore plus loin.
02:05
Alors, effectivement, le manque d'enseignants,
02:07
c'est un des problèmes criants, vous l'avez dit.
02:10
Une des dimensions, en tout cas, de cette académie.
02:14
Il vous en manque combien d'enseignants ?
02:15
Est-ce qu'on peut chiffrer comme ça le nombre d'enseignants manquants
02:19
qu'il faudrait recruter à court terme ?
02:21
Ce n'est pas comme ça que les choses se posent.
02:22
Il y a 37 000 enseignants dans cette académie.
02:25
Et donc, naturellement, et je me mets à la place des auditeurs,
02:28
lorsqu'il y a un prof qui est absent dans un établissement,
02:30
ça se voit, et c'est normal que...
02:32
C'est tous les absences de longue durée, on est bien d'accord.
02:34
Il y a plusieurs absences.
02:35
Il y a les absences liées aux maladies...
02:38
Là, on parle d'enseignants manquants sur plusieurs mois, parfois.
02:40
Et puis, il y a ceux qui, effectivement, sont des enseignants
02:43
qui, pendant plusieurs semaines, sont absents.
02:46
Il faut comprendre une chose.
02:47
Les deux phénomènes peuvent être liés.
02:49
Vous savez, quand on est malade,
02:52
on n'est pas obligé de dire pourquoi on est malade,
02:54
et d'ailleurs, on ne le dit pas.
02:55
On dépose un certificat médical,
02:59
et puis, c'est la semaine d'après que l'on sait si l'enseignant va rentrer.
03:03
Et s'il ne rentre pas, il dépose à nouveau un certificat médical.
03:05
Et les deux sont liés.
03:06
On peut avoir des maladies de longue période,
03:09
et ça met, effectivement, l'académie en difficulté.
03:11
Parce que, dans ces cas-là, on ne peut pas procéder directement
03:14
au remplacement et mettre, par exemple, un contrat actuel sur le poste.
03:17
Alors, effectivement, il y a des questions...
03:19
Ça, c'est une question RH, de remplacement,
03:21
qui se poserait à n'importe quelle entreprise, finalement, du remplacement.
03:25
Mais on se souvient tous d'une époque où il y avait des remplaçants.
03:29
Et ça ne posait pas ce problème-là de remplacer,
03:33
et les arrêts maladie étaient les mêmes, déjà.
03:35
Tout à fait.
03:36
Il y a une question qui est la question d'attractivité du métier.
03:39
C'est une question nationale,
03:41
et qui se pose ici, dans l'académie de Grenoble,
03:45
selon une logique un peu particulière.
03:47
Vous savez qu'il y a des zones,
03:49
plus on se rapproche de la Suisse, plus c'est difficile.
03:54
Plus on se rapproche de Lyon, dans le Nord-Isère, plus c'est difficile.
03:57
Et certaines zones, en Drôme et en Ardèche,
03:59
dans lesquelles, effectivement, structurellement,
04:02
utilisons le mot, on est en difficulté pour trouver des enseignants,
04:06
et on est en difficulté pour trouver des remplaçants.
04:08
Ça, c'est vraiment une des priorités sur lesquelles nous devons travailler.
04:11
Vous savez que la ministre d'État,
04:14
ministre de l'Éducation nationale, a lancé quand même une initiative,
04:17
qui est de changer les modalités de recrutement des enseignants.
04:20
Ce n'est pas simplement les former autrement,
04:22
c'est aussi pouvoir constituer des viviers,
04:25
qui seront, on l'espère, plus importants.
04:27
Puisque, dès le baccalauréat, à partir de la prochaine rentrée,
04:30
nous allons solliciter les jeunes en disant,
04:32
si vous voulez rejoindre les métiers d'enseignement,
04:34
vous venez avec nous dès le baccalauréat,
04:36
on vous forme pendant trois ans,
04:38
et ensuite, on vous met le pied à l'étrier pour entrer dans le métier.
04:42
Donc, il y a des mesures qui sont des mesures nationales,
04:45
et nous devons, nous, mettre en place des mesures à l'échelle de l'académie,
04:49
c'est-à-dire les zones dont je viens de vous parler.
04:51
Il n'y a aucune raison que les choses s'améliorent demain si on ne fait rien.
04:55
Et donc, c'est une des priorités sur lesquelles je souhaite engager.
04:58
On va reparler de ces zones, et notamment d'une...
05:01
Dans un instant, on va donner la parole à un auditeur, une auditrice,
05:04
je ne sais pas ce que le prénom...
05:05
Tout à fait, c'est Claude qui nous appelle de rire,
05:07
pour parler d'attractivité du métier.
05:09
On va peut-être justement parler de ça avec vous.
05:11
Claude, bonjour !
05:12
Bonjour !
05:13
Claude, vous êtes enseignante, c'est ça ?
05:16
Oui, j'ai travaillé à mon compte depuis 1977,
05:21
en maths, français, anglais.
05:24
D'accord, très bien.
05:25
Et alors, racontez-nous un petit peu.
05:27
Donc, j'ai travaillé il y a 25 ans.
05:29
C'est impressionnant, c'est la première fois que je passe à la radio.
05:32
Ah, ben vous inquiétez pas, on ne mort pas, personne n'a été blessé,
05:35
donc vous allez très bien.
05:36
Vous ne risquez rien, rien du tout.
05:38
Si vous voulez poser une question, il faut lever la main.
05:40
Exactement, vous avez les beaux réflexes.
05:42
Alors, dites-nous, Claude, vous, vous avez été enseignant.
05:44
Alors, vous avez eu une expérience un peu compliquée.
05:49
Racontez-nous ça.
05:50
Donc, il y a 25 ans, j'ai travaillé au Collège des Pires Plantées à Montaigne-aux-Derciaux.
05:55
J'étais là deux semaines avant la rentrée,
05:59
parce que la titulaire était en dépression.
06:03
J'avais quatre classes dans un préfabriqué.
06:05
Deux de sixième, une de quatrième et...
06:08
Non, c'est une de sixième, une de quatrième et deux de troisième.
06:12
Trois classes se sont bien passées.
06:14
La quatrième et la troisième, bien sûr, m'ont pris en grippe.
06:18
Ce n'étaient pas des maghrébins,
06:19
ce sont des petits blancs avec des survêtements et des baskets blanches.
06:22
Ils m'ont mis deux fois le feu à ma classe, un préfabriqué.
06:26
Ils m'ont volé mes lunettes de vue et m'ont trouvé un surnom méchant.
06:29
J'ai pardonné.
06:31
Je voudrais saluer notre maître à tous, Serge Papagali, le loup-kini dauphinois.
06:36
Une dernière chose, j'accepterais de travailler dans l'éducation.
06:39
Non, l'éducation nationale,
06:43
mais à des conditions avec un vigile, avec un chien et avec une assistance sociale.
06:48
C'est peut-être un peu beaucoup, Claude, le vigile, le chien.
06:52
On va revenir, en tout cas, vous avez vécu une expérience
06:55
qui était peut-être à la fois heureuse sur certains points
06:57
et malheureuse sur d'autres, qui touche aux conditions de travail.
07:01
Je reviens vers vous, Philippe Dulbeco.
07:03
Vous avez parlé tout à l'heure de la souffrance des enseignants.
07:06
Dans le recrutement, il y a la question des conditions de travail.
07:08
Il y a la question aussi du salaire.
07:10
Qu'est-ce qui manque, finalement, pour recruter plus de gens dans l'éducation nationale ?
07:14
C'est des volontaires ou c'est de l'argent et de meilleures conditions ?
07:17
J'ai parlé du bien-être des élèves et des enseignants et pas forcément de la souffrance,
07:20
même si la souffrance, je peux la mesurer.
07:24
Ce type de situation ne peut pas se produire, ne doit pas se produire.
07:29
Et vous savez qu'aujourd'hui, on est davantage armés
07:33
pour faire face à ce type de situation.
07:34
Nous avons des équipes mobiles de sécurité.
07:37
Nous avons des personnels de vie scolaire qui ont été, au fil du temps, formés à ce type de situation.
07:42
On peut le regretter parce que ça veut dire aussi que les difficultés sociales sont rentrées dans l'école.
07:47
Et donc, ce type de situation ne doit pas se produire.
07:50
On doit effectivement être plus attractif.
07:51
Et je crois effectivement que les conditions d'exercice du métier sont absolument essentielles.
07:56
Après, pour revenir à ce dont nous parlions tout à l'heure,
07:59
il y a des zones dans cette académie où le pouvoir d'achat et notamment la capacité à se loger
08:04
fait que cela peut dissuader des enseignants de se rendre dans ces zones.
08:08
Et donc, nous devons travailler parce que ça ne va pas s'améliorer demain.
08:12
Et nous n'allons pas travailler seuls parce que l'éducation nationale toute seule ne pourra pas résoudre l'ensemble de l'équation.
08:17
Vous savez, vous me dites que ça fait une semaine que je suis là, j'ai déjà rencontré une dizaine de maires.
08:21
J'ai discuté longuement avec le président du conseil régional.
08:24
J'ai discuté avec les préfets.
08:26
Nous devons, sur ces zones-là, prendre la main de manière à trouver des dispositifs
08:30
permettant aux enseignants de se loger dans de meilleures conditions.
08:33
Commençons par le logement.
08:35
On aura déjà, je pense, traité une partie du sujet.
08:37
Je reviens sur le Nord-Isère, notamment la limite avec Lyon,
08:41
parce que c'est un cas qui dure depuis des années et des années.
08:45
Le Nord-Isère est un peu éloigné du centre de formation qu'était Grenoble.
08:49
Des enseignants et des enseignants qui ne veulent pas forcément se déplacer.
08:51
Et à côté, des enseignants lyonnais qui voudraient peut-être venir parce qu'ils sont à 20 minutes,
08:55
mais qui ne peuvent pas parce qu'il y a une frontière académique.
08:57
Elles existent toujours ces frontières académiques dans le recrutement ?
08:59
Franchement, de moins en moins.
09:01
Vous savez qu'on a créé une région académique,
09:03
la région académique qui correspond à la région administrative.
09:07
Et vous voyez, pas plus tard qu'hier soir,
09:09
j'étais en conversation téléphonique avec la rectrice de Lyon,
09:11
rectrice de région académique, pour évoquer ce type de situation.
09:15
Parce que les frontières académiques sont des frontières purement administratives.
09:19
Mais rassurez-vous, la question est traitée de manière très coordonnée entre les deux académies.
09:25
On va prendre une auditrice qui nous appelle également d'Ayrieux ce matin.
09:28
Bonjour Evelyne.
09:30
Bonjour.
09:31
Votre témoignage ou votre question assez rapidement,
09:34
parce qu'on arrive presque au bout du temps avec M. le recteur.
09:36
Allez-y Evelyne.
09:37
Je voulais juste, moi, apporter un petit signalement.
09:41
Moi, j'ai deux proches qui sont enseignants,
09:44
une en enseignement secondaire et une en enseignement primaire.
09:48
Et toutes les deux, malheureusement, ont eu des maladies.
09:51
Et du coup, on prévenu en amont qu'elles allaient avoir un arrêt.
09:55
Elles avaient les dates, puisqu'il y avait des interventions.
09:57
Il y avait vraiment une hospitalisation qui était prévue.
10:00
Et le remplacement n'a pas été effectué.
10:03
Alors qu'elles ont prévenu en amont, le remplacement a été mis en place après,
10:09
une fois que l'arrêt est arrivé, et deux, trois jours après.
10:12
Bon, c'est-à-dire que les élèves ont bâti de cette absence,
10:15
alors que les professeurs avaient prévenu de leur absence.
10:19
Merci Evelyne pour votre témoignage à Ayrieux.
10:22
Alors, effectivement, deux, trois jours,
10:23
on va presque dire que ce n'est pas très long par rapport à d'autres absences
10:26
qui peuvent être déplorées dans les établissements.
10:28
Il faut attendre forcément que l'arrêt soit déposé pour remplacer un enseignant ?
10:31
Vous voyez, c'est la parfaite illustration de ce que nous nous disions tout à l'heure, monsieur.
10:35
C'est-à-dire qu'il y a des modalités administratives, juridiques,
10:38
qui s'imposent à nous et qui font qu'on ne peut pas déclencher un remplacement
10:42
tant que, formellement, on n'a pas reçu le certificat, il y a des règles.
10:46
Bon, ça, il faut l'améliorer.
10:48
Il faut l'améliorer et ça doit se faire au plus proche du terrain.
10:51
Cette académie, comme je l'ai dit, elle mobilise 37 000 enseignants.
10:55
La direction des ressources humaines et la gestion des ressources humaines
10:58
ne peut pas se faire depuis Grenoble.
10:59
Elle doit se faire au plus proche du terrain.
11:01
Dans chacun des départements ?
11:02
Au-delà ! Au-delà des bassins d'enseignement.
11:06
Parce que les départements encore, regardez le département de l'ISER,
11:09
ce n'est pas forcément la maille appropriée pour aller gérer les situations au plus près du terrain.
11:14
Et c'est ce vers quoi nous irons, monsieur.
11:17
Merci beaucoup, Philippe Dubeco, d'être venu nous voir ce matin,
11:20
nouveau recteur d'académie de Grenoble, pour remplacer.
11:23
Il faut aussi des candidats au remplacement et on a vu que c'était ce qui pouvait manquer également.
11:27
Merci à vous pour vos messages.
11:28
Vous pouvez continuer de nous en laisser sur la page Facebook.
11:31
Le débat est toujours ouvert.
11:32
Merci à Evelyne et à vos commentaires également, que l'on continue de lire avec attention.
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