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"Submersion migratoire" : ce "sentiment" relayé par François Bayrou est "contredit par les faits", tranche Prisca Thevenot
franceinfo
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29/01/2025
Prisca Thevenot, députée Ensemble pour la République (EPR) des Hauts-de-Seine était l'invitée de franceinfo soir, le 29 janvier 2025.
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Bonsoir Priska Tevno, vous êtes députée ensemble pour la République des Hauts-de-Seine,
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ancienne porte-parole du gouvernement Attal.
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Est-ce qu'en parlant de submersion migratoire, François Bayrou a commis une faute ?
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François Bayrou a pu s'exprimer hier en séance de questions au gouvernement sur ce
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terme qu'il avait employé.
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Il a rappelé qu'il décrivait un « sentiment » qui a été exprimé par un certain nombre
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de Françaises et de Français.
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Un sentiment n'est pas là pour être nié, il est là pour être regardé et pour pouvoir
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y apporter des réponses.
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Une des premières réponses, c'est déjà, je pense, en termes de chiffres, en termes
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de faits, de points de vue factuels.
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Je ne suis pas sûre que le terme soit propice.
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C'est un terme que vous n'auriez pas employé par exemple ?
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C'est un terme qui est contredit par les faits, qui est contredit par les chiffres.
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Maintenant, ce que je vois, c'est que ça fait 48 heures qu'un certain nombre de commentateurs
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politiques, de responsables politiques sont en boucle sur ce terme.
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Mais ça aussi gênait des gens dans votre propre camp.
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Oui, mais attendez, je veux dire que là, ça prend des proportions qui sont quand même
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assez ahurissantes.
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Est-ce qu'on peut, juste deux secondes, peut-être lever le nez de notre feuille et se rendre
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compte dans quel contexte nous sommes ?
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Nous avons d'un côté les Etats-Unis qui investissent 500 milliards de dollars dans
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l'IA.
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Nous avons la guerre d'agression qui continue en Ukraine, nous avons la Chine qui continue
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à se renforcer économiquement.
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Et nous, certains, veulent nous enfermer dans des débats qui amènent quoi ?
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Pas des solutions pour les Français, mais des polémiques pour leurs aidants.
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Parce que le Premier ministre a utilisé une expression qui est connotée à l'extrême-droite.
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Le Premier ministre a répondu et il s'en est expliqué.
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Maintenant, je pense qu'en tant que responsable politique et notamment en tant que député
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à l'Assemblée Nationale, notre rôle n'est pas d'alimenter, de suralimenter des polémiques,
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mais bien d'agir pour les Françaises et les pro-français.
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Et c'est d'ailleurs ce que nous avons fait hier avec différentes propositions de loi.
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Vous voulez pas admettre que c'était malheureux cette...
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Je vous l'ai dit, je ne l'aurais pas emprunté cette expression.
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Je vous l'ai dit.
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Une fois qu'on a dit ça, on peut passer.
02:01
En tout cas, ces déclarations du Premier ministre ont eu une conséquence que vous
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commenciez à évoquer.
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Le Parti Socialiste a claqué la porte des négociations sur le budget.
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Que doit faire François Bayrou pour ramener les socialistes à la table des discussions ?
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Non, que doivent faire plutôt les socialistes pour se remettre dans le chemin des responsabilités
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sur lesquelles ils s'étaient engagés au cours des dernières semaines et que j'ai
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même eu l'occasion à votre antenne de saluer.
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Je dois le dire de façon assez simple, nous avions une famille politique, la social-démocratie
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et pas une petite...
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C'est pas François Bayrou qui a tout gâché ?
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Non mais attendez, vous rigolez.
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Quand le Parti Socialiste nous explique aujourd'hui la main sur le cœur que, oh là là, ils
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sont en train de saigner violemment sur l'autel de leurs convictions et qu'en parallèle,
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en catimini, même pas, micro-ouverts, ils sont en train de soutenir officiellement Louis
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Boyard sur ses municipales.
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Vous parlez des municipales à Villeneuve-Saint-Georges ?
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Tout à fait, excusez-moi.
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Ce qui nous éloigne un petit peu du sujet ?
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Ben non, c'est un peu les convictions à juridimitrie variable.
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Là, ils nous expliquent qu'ils sont parfaitement meurtris et blessés quand on touche à leurs
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convictions.
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Mais je croyais que leur conviction aussi, c'était d'être une gauche digne de ce nom.
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Si vous parlez de Villeneuve-Saint-Georges, le Parti Socialiste n'a pas fusionné avec
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la liste LFI ?
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Je suis d'accord, mais j'ai entendu un député, notamment Philippe Brun, nous expliquer qu'il
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voterait largement, s'il en avait l'occasion, pour la liste de Louis Boyard.
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Donc je le dis assez simplement.
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Maintenant, moi, ce que je veux dire, et pour avoir un horizon de perspective meilleur,
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c'est que notre pays a besoin d'un budget.
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Ça, je pense que tout le monde l'a compris.
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Et alors, qu'est-ce que vous devez faire pour que les socialistes ne sortent sur pas ?
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Je pense que les socialistes ne sont pas obligés de singer les méthodes de la LFI pour peser
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dans le débat politique.
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On n'est pas là en tant que responsable politique.
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Ils ont le droit d'avoir des convictions.
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On n'est pas là à porter l'écharpe tricolore pour avoir la responsabilité de menacer l'action
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politique.
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On est là pour l'influencer, pour la faire évoluer et pour faire voir des convictions.
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Mais venir menacer, et j'insiste, le gouvernement de censure et donc de priver le pays de budget,
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je pense que franchement, à un moment, il faut aussi remettre un peu les choses dans
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leur contexte.
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Alors, les socialistes avaient déjà obtenu des concessions de la part du gouvernement
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quand les discussions étaient en cours, le parti socialiste souhaiterait aussi une
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augmentation immédiate du SMIC.
04:15
Est-ce que vous dites « Ok, on y va, la non-censure du PS, quoi qu'il en coûte ? »
04:19
Quoi qu'il en coûte, vous avez en fait la réponse à votre question.
04:22
Je pense qu'il faut aussi se rappeler des choses.
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On a déjà eu cette conversation avec ce débat parlementaire à l'Assemblée nationale
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dès que nous avons franchi les portes de l'hémicycle en 2022, sur le pacte pouvoir
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d'achat en pleine période d'inflation extrêmement forte.
04:39
Et une partie de la gauche, toute la NFL à l'époque, nous disait « Augmentez les salaires,
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augmentez les salaires ».
04:44
Mais attendez, si c'était aussi simple que ça, tout le monde le ferait.
04:47
Donc vous dites « On ne touche pas au SMIC, on ne donne pas un nouveau coup de pouce ».
04:50
Il y en avait un qui avait été donné par Michel Barnier.
04:52
Mais si augmenter le SMIC, et à quelle hauteur, c'est du coup limiter le nombre d'emplois
04:58
dans notre pays, et voire menacer des emplois qu'on aurait pu créer, pardon, mais c'est
05:01
un peu poche gauche, poche droite.
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Je pense qu'à un moment, il faut être aussi un peu responsable.
05:05
Et donc là, l'enjeu que nous avons, c'est la capacité de responsabilité face à une
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nécessité du pays qui a d'avoir un budget, ne doit pas se monnayer comme ça, simplement
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pour crier une victoire.
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Le parti socialiste estime aussi que l'aide médicale d'État pour soigner les clandestins
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ne doit pas être rabotée.
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Le Sénat, rappelons-le, la semaine dernière, a raboté 200 millions sur ce budget.
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Est-ce qu'il faut accéder à cette demande du parti socialiste en guise de bonne foi ?
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Je pense que sur l'AME, effectivement, l'aide médicale d'État, ce qu'il faut pouvoir
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regarder, c'est avoir une vision claire sur le panier de soins.
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Et sur cette base-là, le regarder.
05:45
C'était quelque chose qui avait d'ailleurs été à l'époque porté par Elisabeth
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Born, en dehors du texte et de la loi immigration, et ça, on peut le regarder.
05:52
Mais là, venir dire 200 millions, pas 200 millions, etc.
05:55
Les sénateurs ont retiré 200 millions sur ce budget la semaine dernière.
05:58
Mais en fait, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que ça réduit le panier de soins ? C'est
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ça qu'il faut regarder concrètement.
06:02
Je pense que faire de la politique, ce n'est pas simplement un exercice comptable.
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C'est important, bien évidemment, en période budgétaire, mais il faut regarder derrière
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quelle est la politique que nous voulons mener directement vis-à-vis de celles et ceux
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qui bénéficient de ces politiques-là.
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Vous n'avez pas l'air d'être ouverte à l'idée de faire davantage de concessions,
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en tout cas, pour amadouer les socialistes.
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Je n'ai pas besoin.
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Déjà, je respecte le travail des parlementaires et je ne suis pas là pour amadouer ou pas
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amadouer.
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Je suis là pour rappeler qu'en fait, en tant que responsable politique, on a le devoir
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de donner un budget à notre pays.
06:34
Est-ce que la censure du gouvernement vous paraît inéluctable ou vous comptez peut-être
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sur le Rassemblement National pour sauver la mise à François Bayrou la semaine prochaine ?
06:43
Si je ne votais pas la censure, le PS peut faire ce qu'il veut.
06:46
Je vais vous le dire très clairement, moi je compte sur le Parti Socialiste pour faire
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en sorte que le duel et le poids du Rassemblement National ne soient pas ce qu'il a pu être
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par le passé.
06:58
Et ça, je pense que le Parti Socialiste a une responsabilité importante.
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Qu'ils ont mesuré.
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Et d'ailleurs, au cours des dernières semaines, pardon, mais le débat ne tournait plus autour
07:07
des demandes et volontés du Rassemblement National.
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Pas du tout, c'était autour des demandes du Parti Socialiste qui était à la table
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des discussions avec le gouvernement.
07:14
Et qui en plus, on ne peut pas dire que ça élimine ou invisibilise les électeurs du
07:20
Rassemblement National.
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Puisque sur un certain nombre de sujets, c'est question du pouvoir d'achat.
07:25
Donc moi je le redis.
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Et puis un autre sujet dont on ne parle plus, mais pourtant qui est important, c'est les retraites.
07:30
Le dossier a été réouvert, c'était une énorme demande.
07:32
Il y aura un conclave avec les partenaires sociaux qui commencera dans quelques semaines.
07:37
Ce n'était pas une des énormes demandes ?
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Du Parti Socialiste, si, même s'ils auraient préféré une suspension pure et dure.
07:44
Priska Tevno, puisqu'on est sur le budget, il y a une autre personne qui critique ce
07:49
budget, c'est Bernard Arnault, le patron de LVMH, critique la surtaxation des très
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grandes entreprises qui va pousser à la délocalisation, dit-il.
07:57
Est-ce que Bernard Arnault a raison ou vous lui dites que les grandes entreprises, dans
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la période, doivent aussi faire un effort ?
08:03
Moi je le dis de façon assez simple et vous savez que je viens d'une famille politique
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qui défend la politique de l'offre.
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C'est un des marqueurs du macronisme depuis 2017.
08:12
Et c'est ce que nous menons comme politique depuis 2017 derrière Emmanuel Macron et c'est
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ce que nous portons avec Gabriel Attal à l'Assemblée Nationale.
08:19
Ce n'est pas simplement comme ça pour faire beau et en slogan.
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C'est qu'en réalité, nos entreprises sont derrière la voie de Bernard Arnault,
08:26
qui en plus s'exprime quand même très rarement.
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C'est assez exceptionnel pour le souligner.
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C'est la voie de nombreuses TPE et PME.
08:34
Là on parle de la surtaxation sur les très très grosses entreprises.
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Oui, mais en fait on parle aussi de la surtaxation en général.
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Il y a trop de taxes sur les entreprises dans ce budget.
08:43
Vous savez, on va arrêter de faire semblant.
08:44
La France n'est pas un paradis fiscal.
08:46
Arrêtons de faire croire que la France est un paradis fiscal.
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A l'heure où, je vous le redis encore une fois, nous avons les grandes puissances économiques
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qui se réaffirment et qui le font extrêmement férocement, et que nous avons un enjeu de
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souveraineté et d'indépendance, qu'est-ce qu'on va faire ? On va laisser nos entreprises
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et nos fleurons, notre fameux « made in France » partir ?
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Vous craignez cette possibilité de délocalisation comme le dit Bernard Arnault ?
09:10
Mais je pense que ça peut arriver.
09:12
Parce que si finalement c'est plus facile de garder des activités économiques ailleurs,
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certains vont le faire.
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Et avec ça, on va avoir bien évidemment les fleurons et notre joyau national, quel
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qu'il soit, peu importe la taille qu'ils ont, mais aussi on va avoir des emplois.
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C'est pour ça que dès 2017, je réinsiste, aujourd'hui, on mesure pleinement la politique
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que nous menons avec Emmanuel Macron depuis 2017.
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Cette volonté de soutenir notre économie, cette volonté de permettre les relocalisations,
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de réindustrialiser le pays, on voit que ce n'était pas quand même des chimères
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et des choses qui ne servaient à rien.
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Ça a été tangible, nous avons recréé de l'emploi.
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Et le chômage remonte ces derniers mois.
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Et bien justement, ne mettons pas à mal ce que nous avons pris tant de temps à mettre
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en place avec Emmanuel Macron au cours de ces dernières années.
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Bernard Arnault doute d'ailleurs que cette surtaxation ne dure qu'un an, puisque c'est
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ce qui est prévu par le gouvernement.
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Est-ce qu'il a raison de douter de cet effort temporaire ?
10:07
Là ça sera au gouvernement effectivement de rappeler et de donner des gages sur cela.
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Maintenant le budget est fait pour un an.
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Moi ce que j'avais fait, parce que c'était déjà le cas sous Michel Barnier, sous le
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même budget, c'était pour un an.
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Maintenant il faut voir, est-ce que la durée est vraiment maintenue ?
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Est-ce que le taux est celui qui a été annoncé ?
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Et en réalité les débats ont été en cours au Sénat, ils ne sont pas repassés par l'Assemblée
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nationale puisqu'on est reparti d'un process de l'ancien budget.
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Mais on sent bien que pour vous il ne faut pas trop charger la barque sur les entreprises.
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Qu'elles soient petites ou grandes.
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Je veux dire, il faut en finir avec le fantasme du méchant patron.
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Ça suffit en fait, ça suffit, je vous dis, sans personnes qui prennent des risques pour
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créer des entreprises, il n'y a pas d'emploi.
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Sans emploi, pardon, la discussion du SMIC, du pas du SMIC, elle n'existe même pas.
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Parce qu'il n'y a pas de salaire en fait.
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Donc à un moment je pense qu'il faut aussi tous se dire que les temps sont compliqués
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et qu'on est tous une même équipe, on est une équipe d'un même pays et nous avons
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intérêt à faire en sorte que tout le monde reste embarqué sur le navire.
11:10
Nicole Demorand – Merci Priska Thévenot
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