Amine Elbahi : «Il n'y a pas de sous-citoyens»

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Amine Elbahi : «Il n'y a pas de sous-citoyens, on ne peut pas moins appliquer la loi pour des dealers ou des délinquants et l'appliquer aussi fermement à l'égard des Français honnêtes qui se lèvent tôt»

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00:00 d'égalité devant la loi. Moi je crois aujourd'hui qu'il n'y a pas de sous-citoyens,

00:03 je crois qu'on ne peut pas moins impliquer la loi pour des dealers et des délinquants

00:08 comme on l'a fait depuis 40 ans, c'est-à-dire on a fermé les yeux, on leur a dit "pour vous,

00:11 vous aurez peut-être droit à une seconde chance" et l'appliquer aussi fermement à l'égard des

00:15 Français, des Français honnêtes qui se lèvent tôt, des conducteurs qui eux, dès le premier radar,

00:20 dès le premier procès verbal à la maison, croyez-moi que les services fiscaux, les impôts,

00:25 l'appareil administratif de l'État sera toujours présent pour aller exécuter les peines. Donc moi

00:30 je crois que la justice sociale à deux vitesses, voyez-vous, elle existe et la discrimination,

00:34 elle est là. Moi je crois en réalité que c'est d'abord l'intérêt des Français qui doit passer,

00:39 avant celui, pardonnez-moi, des populations étrangères qui ne respectent pas la France

00:44 ou à l'égard de familles de délinquants qui aujourd'hui réclament des droits et qui ne

00:49 respectent pas les devoirs.

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