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À l'occasion du Congrès national des Républicains, le nouveau président du parti a estimé qu'il s'agissait d'une «refondation et d'un nouveau point de départ» pour LR. 

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Transcription
00:00Mes amis, ce congrès c'est un congrès de refondation, c'est un point de départ et j'aimerais que cet après-midi, chacune, chacun d'entre vous en ayez conscience
00:12parce que quelque part il y a une forme de gravité, la gravité du moment, pas tellement pour nous, pas tellement pour notre avenir, pour l'avenir de notre pays, pour l'avenir des futures générations.
00:24Nous sommes dans un moment particulier bien sûr, dans ce moment où les événements se cristallisent, où on voit bien que les choix se sont conjugués.
00:34Ces derniers mois nous avons eu à prendre des choix qui étaient de véritables paris et je pense qu'on a relevé un défi qui n'était pas gagné et on a remporté une victoire.
00:46Le défi c'était celui de participer au gouvernement. Il n'y avait aucune évidence. Nous étions des opposants à Emmanuel Macron et nous ne sommes pas devenus, parce que nous sommes au gouvernement, comme le disait Gérard, des macronistes.
01:01Certainement pas. Ce choix, ça a été un choix collégial, collectif. Ce choix, ça a été un choix difficile parce qu'on savait parfaitement que les conditions étaient impossibles.
01:19Pas de majorité à l'Assemblée nationale et un socle commun, comme l'avait appelé Michel, qui réunit des forces politiques qui, sur bien des plans, sur bien des points, ne pensent pas la même chose.
01:34La difficulté de l'exercice, elle était là. La difficulté de l'exercice, c'était comment est-ce que nos militants, vous, les adhérents, nos sympathisants, nos électeurs, allaient-ils prendre ce choix qui était un choix de rupture ?
01:50Ce choix, nous l'avons fait pour de bonnes raisons. Je voudrais vous les rappeler. Simplement pour éviter le pire. Éviter le pire à notre pays parce que, oui, nous aimons la France, parce que nous sommes des patriotes.
02:01Éviter le pire, c'était éviter le chaos, le chaos budgétaire, la crise financière. Chaque crise financière, dans tous les pays qui ont connu des crises financières, atteints, non pas les plus riches, mais les plus modestes, les plus fragiles, les plus vulnérables, à chaque fois.
02:16C'était pour éviter le pire. Mais c'était aussi, mes amis, pour éviter les pires, la gauche mélanchonisée. Je l'ai souvent dit. Si la droite avait refusé d'exercer cette responsabilité, Michel, d'entrer au gouvernement, le chef de l'État n'aurait eu d'autres choix arithmétiques que de donner les clés du gouvernement français à cette gauche la plus archaïque, la plus sectaire d'Europe.
02:46Sous-titrage Société Radio-Canada

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