En revoyant "Le nom des gens" dans ce contexte politique totalement zinzin, Sara Forestier a donné à Sonia Devillers, hier soir, une foule d’idées. Dans le film, elle couche avec des gars qu’elle estime de droite pour les convaincre de voter à gauche. On était en 2010. La fille était restée secrètement amoureuse de Lionel Jospin. Tout ce qui ressemblait à de l’ordre et de la morale relevait vaguement du fascisme. Que le cinéma nous rendait la vie simple et joyeuse, en 2010 ! C’était il y a seulement 7 ans. Imaginez aujourd’hui ! Le boulot de chien des scénaristes. Sans compter la fatigue de devoir coucher autant et avec autant de gens ! Même en y mettant beaucoup d’entrain et de bonne humeur, parce que la chose est joyeuse, on ne saurait pas trop avec qui coucher, vu que les gens ne savent pas trop pour qui voter. L'instant Télé dans le 5/7 par Sonia Devillers (6h52 - 4 Avril 2017)
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