Ces images d’un Laurent ESSO marchant d’un pas alerte au sortir de l’aéroport de Brazzaville au Congo seront certainement de celles qu’il deviendra dorénavant difficile, si ce n’est impossible de voir sur la personne. Ministre de la Justice dont l’hospitalisation ces derniers temps portée en France dans un premier temps, puis en Inde selon certaines sources, vient définitivement sceller la défaite implacable qui est la sienne vis-à-vis de son pire ennemi dans le système gouvernant actuel, à savoir Ferdinand NGOH NGOH, Secrétaire général de la Présidence de la République. Laurent ESSO engagé ainsi dans un lent mouvement de retrait, voire de finitude, qui vient clôturer une longue séquence de défaites humiliantes où l’homme n’a avalé que des couleuvres bien grosses, malgré ses proclamations à caractère vaseux sur le sens de sa mission.