Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • aujourd’hui
Les Vraies Voix avec Nicolas Corato, président fondateur du think tank Place de la République.

Retrouvez Les Vraies Voix avec Cécile de Ménibus et Philippe David du lundi au vendredi de 17h à 20h sur #SudRadio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry

———————————————————————

▶️ Suivez le direct : https://dai.ly/x8jqxru
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/

———————————————————————

🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴

▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————

☀️ Et pour plus de vidéos des Vraies Voix : https://youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDRB7z8JrbG9LyNtTmhxaU-a

##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2025-07-15##

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Les Vraies Voix Sud Radio, le code projecteur des Vraies Voix.
00:04Alors que la dette publique française dépasse les 3300 milliards d'euros,
00:08François Bayrou a qualifié ce surendettement de malédiction qui n'a pas d'issue,
00:11insistant sur l'urgence de redresser les finances du pays pour ramener le déficit de 40 milliards d'euros.
00:17Le gouvernement prévoit un ensemble de mesures d'économie dans le projet de budget 2026.
00:21Parmi les annonces phares, un effort de 5 milliards d'euros sur les dépenses de santé,
00:26le non-remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite,
00:29ainsi que la suppression d'agences publiques jugées peu performantes,
00:32sans oublier évidemment la suppression de quelques jours fériés.
00:35Une société foncière sera également créée pour mieux gérer et rentabiliser le patrimoine immobilier de l'État.
00:40Nous sommes le pays du monde qui mobilise le plus d'argent public
00:44et pourtant les Français sont de plus en plus mécontents de leurs services publics.
00:47Voici quelques phrases par-ci par-là du Premier ministre qui alerte et qui tranche.
00:52Il dit stop à la dette sur une durée de 4 ans.
00:54Pour cela, tout le monde participe à l'effort de stabilisation et de baisse de la dépense publique.
00:59Il dit en avant la production.
01:02Les entreprises sont encouragées dans leur démarche.
01:04Nous vous posons la question sur le compte X.
01:07Parmi toutes ces mesures, une a retenu notre attention et la vôtre aussi.
01:11Êtes-vous d'accord avec la suppression des deux jours fériés avancés par François Bayrou ?
01:15Vous dites non à 94%.
01:18Et un petit son d'ailleurs de notre Premier ministre.
01:21Elle écoute tout de suite sur Sud Radio.
01:23Pour produire et pour que l'activité du pays dans son ensemble soit plus importante dans l'année
01:28et pour que la situation de la France s'améliore.
01:31Je propose donc que deux jours fériés soient supprimés pour tout le pays.
01:36Je cite comme exemple, et je suis prêt à accepter d'autres idées,
01:40le lundi de Pâques qui n'a aucune signification religieuse,
01:45et le 8 mai, dans un mois de mai, devenu un véritable gruyère
01:50où l'on saute de pont en viaduc de congé
01:53et qui est en avance de phase, comme on dit, un mois qui porte vers les vacances.
02:00Eh bien voilà, vous venez d'entendre François Bayrou sur Sud Radio.
02:05Nous sommes toujours avec Nicolas Corato, qui est président fondateur du Think Tank Place de la République.
02:10Cette idée de suppression des jours fériés, on a bien vu que nos auditeurs réagissent très mal.
02:16Sur notre question du compte X, ils sont absolument contre.
02:19On entend aussi beaucoup de voix s'élever du type la CGT.
02:22On voit le PS aussi qui s'excite un petit peu.
02:25Bon, ça va être une mesure qui va être extrêmement contredite
02:30et surtout décriée, je pense, dans le pays.
02:32Qu'est-ce que vous en pensez, vous ?
02:33Je pense surtout qu'il ne faut pas retenir que cette annonce.
02:37Alors effectivement, elle est très médiatique, elle est très communiquante,
02:40mais elle l'est peut-être un peu trop.
02:42Elle est peut-être d'ailleurs si communiquante
02:43qu'elle reviendrait à oublier le reste des annonces du Premier ministre.
02:47Parce que finalement, on nous propose de supprimer deux jours fériés.
02:50On aboutira à 1 et peut-être à 0,5 comme le lundi de Pentecôte.
02:54Mais il reste tout le reste.
02:56Tout le reste, c'est quand même l'annonce d'une politique d'austérité majeure
03:01comme le pays n'en a pas connu depuis 30 ou 40 ans.
03:05Le reste surtout, et c'est je crois un sujet que nous devons regarder ensemble
03:09en tant que citoyens attentivement,
03:10le reste quand même manque d'explications pédagogiques.
03:14Je rappelais que nous avions voté il y a un an.
03:16La question du budget et de la dette publique
03:19n'était pas dans le débat électoral
03:21après la dissolution décidée par le Président de la République.
03:24Le Président de la République n'a pas dissous
03:26parce que les finances publiques étaient dans un état déplorable.
03:29Il a dissous pour plein d'autres raisons
03:30qui lui restent d'explicité, mais certainement pas celles-là.
03:34Et je trouve qu'il manque une introduction
03:35à l'annonce du plan d'austérité de M. Bayrou.
03:38C'est comment nous en sommes arrivés là ?
03:41Comment ? Et les Français ont le droit de savoir.
03:43Alors, il y a la guerre, il y a le Covid, il y a tout ça aussi.
03:47Le quoi qu'il en est.
03:49Frédéric, est-ce qu'on vous a donné une explication rationnelle ?
03:51Non.
03:52On vous explique pourquoi est-ce qu'en 2024, en avril 2024,
03:55le ministère des Finances communique sur le fait
03:58que la dette publique est en train d'être maîtrisée
04:00et que subitement en septembre 2024,
04:04M. Barnier qui prend les commandes du nouveau gouvernement
04:07nous explique que les finances publiques sont au niveau,
04:10au bord de la faillite et que notre état est au bord de la faillite.
04:12Il y a, je pense, si on veut que les Français participent à l'effort
04:16qui est nécessairement quelque chose d'obligatoire,
04:20peut-être, et on peut en discuter,
04:21il faut qu'on puisse expliquer,
04:22il faut que les responsabilités soient mises sur la table préalablement.
04:27Bon, alors, c'est le cœur du problème, Nicolas.
04:29Dans cet état-là, vous comprenez bien qu'on n'y arrivera pas.
04:32Et les Français ne font pas aux remèdes qui nous sont proposés.
04:35Vous connaissez mieux que personne le principe de l'émission,
04:37on fait tourner, on revient à vous.
04:39Non, non, mais bien sûr, il n'y a pas de souci.
04:41Abel Bouilly, d'accord avec ce que vient de dire Nicolas ?
04:43Je suis d'accord, autant plus qu'avec Aude,
04:44on parlait du manque de pédagogie, justement.
04:47Moi, il y a une autre chose qui m'a un petit peu agacé dans son introduction.
04:50Il a fait une introduction de géopolitique internationale
04:53pour expliquer, justement, le problème du déficit.
04:56C'est pour ça que j'ai dit la guerre.
04:57Oui, mais c'est-à-dire, moi, il y a quelque chose qui m'a quand même étonné
05:00parce que je suis très intéressé à ce qui se passe sur la Terre, quand même.
05:03Il a dit qu'en gros, maintenant, la guerre est partout.
05:06Maintenant.
05:07Donc, tous les conflits en Afrique, en Asie, en Amérique du Sud,
05:10on s'en fout, ce sont des sous-peuples.
05:12Il n'y avait rien avant et il n'y a que maintenant que la guerre est arrivée.
05:15Donc, faisons des économies.
05:16Donc, déjà, il y a un problème.
05:17Bon, à la porte de l'Europe, à l'Ukraine.
05:19Oui, mais il n'y a même pas que ça.
05:20Et maintenant, effectivement, quand on annonce un plan d'austérité aussi important,
05:24il faut que monsieur et madame tout le monde puissent comprendre.
05:26Moi, je suis sûr que si on demande à nos proches,
05:29beaucoup de gens n'ont rien compris, en réalité.
05:32Et en plus, il y a ce côté avec une communication très anxiogène.
05:35Il peut y avoir une situation critique.
05:36Mais on a besoin de voir des personnes qui portent une vision
05:39où même si on rentre dans un processus d'effort collectif,
05:42on va vers un avenir radieux, en fait, où on se dit
05:45« Ok, on va sauver la France tous ensemble ».
05:47Aujourd'hui, on a l'impression de s'enfoncer vers un abysse
05:51qui ne s'arrêtera jamais.
05:52C'est vraiment dramatique en termes de com'.
05:54Alors, il y a un truc, moi, qui me marque particulièrement.
05:56C'est un effort sur les dépenses de la sécurité sociale
05:59qui augmentera de 10 milliards d'euros en 2026.
06:02Il nous parle du fait que les Français
06:04consomment deux fois plus d'antibiotiques qu'en Allemagne
06:06et que dès 2026, les médicaments sans lien avec l'affection déclarée
06:10ne seront plus forcément remboursés,
06:12sans oublier que les arrêts maladie sont dans le viseur du gouvernement.
06:14Alors, on entend tout ça,
06:15mais quand on voit l'état de la santé dans notre pays,
06:19on se demande si finalement l'argent en question
06:21ne faudrait pas qu'il soit redirigé sur les hôpitaux
06:23et sur notre système en global.
06:25Il y a un vrai sujet au global.
06:27C'est-à-dire que pour trouver une solution,
06:29il faut avoir un constat de départ.
06:30Aujourd'hui, on n'arrive même pas à s'accorder en toute honnêteté.
06:33Nos politiques sont un constat de départ.
06:35Enfin, c'est l'avenir de notre pays.
06:36Donc là, premièrement, c'est un vrai problème.
06:39Effectivement, la santé.
06:41Moi, j'avais discuté avec beaucoup de professeurs de la santé
06:44qui avaient au moins cette honnêteté de dire
06:45« Nous, ce qui nous a mis un petit peu dedans,
06:47je ne suis pas une spécialiste, je rapporte,
06:49c'était déjà les 35 heures.
06:51Les 35 heures ont déstabilisé notre système hospitalier.
06:54Après, il y a eu également le fait
06:56qu'il y a beaucoup d'administratifs dans nos hôpitaux
06:58et qu'on manque de personnel, on va dire, de terrain.
07:01Donc, effectivement, il faut avoir de la vision
07:03dans tout ce qu'on va entreprendre.
07:05Mais aujourd'hui, en fait, c'est ce que j'ai dit la semaine dernière,
07:07c'est le concours l'épine de la coupe budgétaire.
07:10Alors qu'on va dire « On va prendre là, on va prendre là ».
07:11Il ne va pas y avoir de sens.
07:13Il faut vraiment avoir une vision au global.
07:15Et aujourd'hui, c'est la liste de courses.
07:18On vous dit « Bon, ben voilà, on va enlever là. »
07:19Mais pour faire quoi ? Pour aller où ?
07:21Parce que si c'est pour juste résorber un déficit,
07:24moi, j'ai envie de vous dire,
07:25ce n'est pas très ambitieux.
07:26Par contre, si demain, on me dit
07:27« On résorbe la dette parce qu'il nous a mis à horizon de 2029. »
07:30Mais après 2029, voilà vers quoi on va se orienter.
07:33Et bien là, pour le coup, il y a un challenge.
07:35Là, il n'y a rien.
07:36Alors, on se réserve un petit peu de temps avec Judith.
07:38On voulait vous tester sur l'histoire des deux jours de congés.
07:41Mais juste une question rapide, Nicolas Corato,
07:44parce que l'expert politologue que vous êtes,
07:46quand même,
07:47le stop à la dette et le en avant la production,
07:50tout à l'heure, on a fait un petit clin d'œil
07:51avec le décès du regretté Thierry Ardisson,
07:54qui est un publicitaire magnifique.
07:57Ça sent quand même la publicité, la punchline, quoi.
08:00Ça a été porté, ça vous semble percutant ou pas, Nicolas ?
08:04Mais ce sont deux slogans qui disent une seule chose,
08:07c'est qu'on continue la même logique
08:09avec le même logiciel économique et financier
08:12que depuis 2017.
08:13On continue la politique de l'offre,
08:15on continue de soutenir les entreprises
08:16de manière inconditionnelle,
08:18c'est-à-dire sans poser de conditions à la subvention publique.
08:22D'ailleurs, il n'y a pas une seule annonce
08:23où le Premier ministre ne serait-ce que de dire
08:26on va désormais conditionner ou mieux contrôler
08:29les aides publiques aux entreprises.
08:30211 milliards en 2023.
08:33Il n'en est absolument pas question.
08:35Et donc, on est sur finalement des slogans
08:37qui permettent de dire et qui résument une seule chose,
08:39c'est que c'est sur les Français
08:41et sur les Français les plus modestes
08:43que va porter l'effort.
08:44Je rappelle qu'on dit souvent que les services publics,
08:47c'est le patrimoine des Français qui n'en ont pas
08:49et qu'effectivement,
08:51quand vous êtes aujourd'hui un citoyen
08:52avec une affection de longue durée,
08:54on va vous dire que certains médicaments
08:55vont être déremboursés,
08:57vous aurez moins accès à certains services publics,
08:59on va supprimer des agences et des emplois publics,
09:01mais derrière ces agences et des emplois publics,
09:03contrairement à ce qu'on dit,
09:04il n'y a pas que des gens qui se la coulent douce,
09:05il y a aussi un service qui est rendu à la population,
09:08à la population qui a besoin justement d'être aidée.
09:10Et donc, manifestement,
09:12ce que nous propose ce Premier ministre,
09:14c'est une cure d'austérité qui n'est pas partagée
09:17entre toutes les forces de ce pays,
09:19qui est concentrée sur les particuliers,
09:22sur les personnes physiques,
09:23et malheureusement, on peut le craindre peut-être
09:25sur les plus précaires d'entre nous.
09:26Alors, pour finir ce débat,
09:27parce qu'on va se faire plaisir un petit peu,
09:29on joue, quoi.
09:29Voilà, on joue.
09:30Quel jour férié vous voulez supprimer ?
09:32Alors vous, Oda Madou, c'est lequel ?
09:34Alors moi, c'est le 1er mai.
09:35On fait le travail,
09:36on fait le travail,
09:38on fait le travail et on ne travaille pas.
09:40Voilà.
09:40Bon.
09:40Mais un seul jour ou deux ?
09:42Vous savez, à un moment donné,
09:44on n'est plus à ça après.
09:44Je crois que les Français,
09:45ils sont dans l'émotion.
09:47Pourquoi pas le bon 5 décembre ?
09:48Ils réagissent, en fait,
09:49là, sur les deux jours fériés.
09:50Moi, je reviens à ce qui a été dit.
09:52C'est juste,
09:52on va focaliser sur les deux jours fériés,
09:54on va n'oublier le reste.
09:55C'est la petite éviation.
09:55On l'a dit, mais là,
09:56juste, on joue, on joue.
09:57Allez.
09:58Moi, je vais répondre de façon provocante.
10:00Je préfère le dire
10:01et je ne pense pas ce que je vais dire.
10:02Puisque le lundi de Pâques,
10:04ça n'a aucune signification,
10:06le 8 mai, on s'en fout,
10:12et hébraïque.
10:13Jésus n'est jamais né le 25 décembre
10:15et que le 25 décembre,
10:16à la base,
10:16était une fête païenne
10:17de l'Antiquité romaine.
10:19Allons dans ce sens.
10:20Désacralisons tout.
10:21Et vous, Nicolas, tiens,
10:22vous supprimez quoi ?
10:23Nicolas, on rappelle,
10:24il veut supprimer le lundi de Pâques
10:26parce que ça n'a aucune signification.
10:27C'est le dimanche que c'est Pâques.
10:28Et le 8 mai,
10:29parce qu'il y a le gruyère du mois de mai.
10:31Nicolas ?
10:32Oui, oui.
10:33Et on oubliera d'ailleurs
10:34les anciens combétants
10:35qui sont morts pour notre pays
10:36et pour la paix en Europe
10:38et qu'on commémore le 8 mai.
10:40Mais en passant,
10:41et moi je souscris,
10:42je ne me relancerai pas non plus
10:43dans ce petit jeu,
10:44mais comme il faut jouer,
10:45vous avez dit que c'est vrai.
10:46Oui, oui, oui.
10:47Et puis,
10:48tout le monde doit contribuer au travail.
10:51Moi, j'ai une proposition,
10:52par exemple,
10:53que le Parlement,
10:54au lieu de se réunir
10:55en session ordinaire
10:56à partir du 1er octobre,
10:58se réunisse comme les Français
10:59dès la rentrée,
11:00dès le 1er septembre.
11:01Voilà.
11:02Alors là, je valide,
11:03la session extraordinaire.
11:04Je crois qu'on valide tous.
11:06Merci, Nicolas.
11:07Et on se voit bientôt
11:07dans la vraie voie.
11:08On se voit bientôt
11:09dans les vraies voies, Nicolas.
11:12Nicolas Corato,
11:12je rappelle que vous êtes
11:13président fondateur
11:14du Think Tank Place de la République.
11:15Effectivement,
11:16on se retrouve très bientôt
11:17dans les vraies voies de l'été.
11:18Et puis,
11:18on était aujourd'hui
11:19avec Oda Madou,
11:20ancienne sportive de haut niveau
11:22et puis ancienne députée.
11:24Et puis,
11:25on était avec Abel Boyy,
11:26président.
11:26Abel Boyy,
11:26présidente tous uniques,
11:27tous unis.
11:28Voilà.
11:28Merci à tous les deux.
11:29Merci à vous.
11:30Vous restez bien avec nous
11:31parce que dans un instant,
11:32notre Judith Belair
11:33vous donne son rendez-vous
11:34du mardi
11:35consacré aux femmes,
11:36les vraies voies,
11:37des femmes puissantes
11:38avec notamment
11:39Micheline Pelletier-Decaux,
11:41co-reporteur qui a connu...
11:42Grand reporter,
11:43grand, grand reporter.
11:44Ah oui,
11:44je vous ai fait GRD pour ça.
11:46Oui, d'accord.
11:47Écrivez mieux la prochaine fois.
11:48Elle a connu Simone Veil,
11:50entre autres.
11:50Elle a pris en photo
11:51Simone Veil,
11:52Françoise Giraud,
11:53elle va nous parler
11:53de toutes ces femmes puissantes
11:54qu'elle est elle-même,
11:55évidemment,
11:56et qui ont contribué
11:56à la grandeur de notre République.
11:58C'est tout de suite,
11:59juste après les chroniques
12:00Les Incontournables,
12:01la chronique Les Incontournables
12:02de l'immobilier
12:03de Thomas Binet.
12:04Bises,
12:04à tout de suite.

Recommandations