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  • 03/07/2025
[#VôVô] Dwight Nkili Akieme Eyele nous parle de sa nouvelle « Princesse Kûmba, la belle âme »


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00:00Quelles sont selon vous les valeurs ou les leçons essentielles que Van Cris et Kumba doivent ou
00:10auraient dû apprendre dans cette histoire ? Belle question, déjà l'oeuvre en elle-même parle
00:21d'amour, ce qu'ils auraient dû apprendre c'est peut-être le pardon parce que c'est vrai que l'amour
00:31pour que ça vive dans le temps, pour que ça perdure, pour que ça s'inscrive dans une solidité, il faut
00:39d'abord pardonner, il faut la communication, il faut se dévoiler, il ne faut rien, il ne faut pas que
00:48puissent s'enfuir dans l'un des partenaires quelque chose qu'on va dire quoi, quelque chose de sombre et
00:57que ça va ressortir comme ça des années après, je pense qu'il faut tout dire, je pense qu'il faut
01:01tout déballer, c'est ça en réalité, qu'ils auraient dû apprendre.
01:05Justement, pourquoi est-ce qu'ils auraient dû apprendre ça ? Quelle est l'histoire de Princesse
01:10Kumba et quelle est l'histoire de Van Cris ? Pourquoi on dit que ce sont deux âmes blessées ? Qu'est-ce
01:15qui fait leur blessure ? Ce qui fait leur blessure, c'est que Princesse Kumba, d'abord
01:20la belle âme, c'est une œuvre en réalité qui s'inscrit dans le parallélisme du fait
01:26que lorsqu'on aime, lorsqu'on est amoureux, mais qu'on ne sait pas comment aimer, voilà
01:32comment ces deux personnages éponymes, donc ils sont amoureux l'un de l'autre, mais ils
01:41ne savent pas aimer, ils aiment sans mode d'emploi, donc ce qui fait en sorte qu'à la
01:46longue, au fur et à mesure de leur relation, il se passe des petits gestes, des petits mots,
01:52des petits comportements qui font en sorte que ça puisse les détruire que les construire.
02:02D'accord. Est-ce que votre œuvre, justement, ça parle de blessures, de transmission invisibles,
02:08est-ce que c'est un message aux jeunes générations sur le poids du passé ? Parce qu'aujourd'hui,
02:14on va lui dire comme ça, la jeunesse, elle est entre autres meurtrie, elle transporte beaucoup
02:19de blessures et ne s'est quasiment plus aimée. Elle ne vit plus l'amour comme nos parents
02:24dans les années 60, 70, 80. Aujourd'hui, la jeunesse vit l'amour sans pour autant ressentir
02:29ce que c'est que l'amour. Est-ce que ce n'est pas un message derrière là ? Parce
02:32qu'on est blessé, on est meurtri. Comment vivre l'amour dans ces conditions-là ?
02:38Merci encore. Déjà, je pense que l'amour, au-dessus de l'amour, je pense qu'il faut
02:46mettre ce qu'on appelle la vision. Et la vision doit être partagée par l'homme
02:50dans la relation. Donc, quand une femme vient avec un homme, elle épouse une réellement
02:55la vision que l'homme a. Et les deux, dans un commun accord, ils vont de cette vision-là
03:02pour parfaire, n'est-ce pas, à ce qu'ils désirent. Donc, naturellement, oui, c'est
03:07un message adressé à la nouvelle génération qui semblerait s'inscrire dans des relations
03:16non à long terme, des relations, permettez-moi l'expression, au coup d'un soir, etc.
03:20Donc, c'est en réalité cela. Mais ce qui est encore plus important dans l'œuvre,
03:27c'est que Princesse Kumba, qui est le personnage éponyme, elle a vécu des antécédents dans
03:36son passé. Elle a vécu des antécédents dans son passé, avec un garçon qu'elle a aimé,
03:42mais ça n'a pas bien marché. Mais ce qui est encore plus difficile, c'est que Van Cris
03:46Ayelet, lui, déjà, né d'une famille recomposée, qui ensuite se retrouve dans une famille
03:56monoparentale. Et ensuite, déjà, en étant dans une famille recomposée, il a vu ses parents
04:04se discuter, ses parents s'échamaer, il a vu être un père assez difficile, des injures.
04:09Donc, en fait, lui, en rencontrant Princesse Kumba au fil de la relation, il a comme retranscrit
04:16ses schémas de blessure, de haine, sans s'en rendre compte. C'est un combat intra-psychique
04:24pour lui. Et voilà.
04:27Justement, à ce propos, est-ce qu'on ne peut pas dire que c'est vrai, la jeunesse et les
04:31meurtriers, elle ne s'est plus aimée. Est-ce que, de toutes les raisons qu'il y a, la famille
04:35n'est pas pour, n'est pas à mettre de côté ? Vous l'avez dit, il a vécu des choses
04:39dans sa famille, il m'a recomposée, puis monoparentale. Est-ce que, derrière, nos familles, nos parents
04:46ne sont pas ceux-là qui devraient même nous apprendre ce qu'est l'amour ? Parce qu'aujourd'hui,
04:52ils sont nombreux, ces jeunes-là. C'est-à-dire que nous, on ne veut pas aller au mariage,
04:55forcément. On préfère vivre notre amour comme ça, aller d'idien, d'idien.
05:00Qu'est-ce que, là, quelle est la part de la famille, s'il faille le dire ainsi ? Parce que je pense
05:04qu'il y a une responsabilité familiale, autre la responsabilité de la jeunesse
05:08elle-même. La responsabilité vient aussi de nos parents. Quelle est cette responsabilité-là
05:12qu'il faudrait peut-être que nos parents apprennent à voir et à comprendre et peut-être
05:17aussi parler à leurs enfants ? Je pense que cette question vaut tous un
05:22pesant d'or. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, tous ces éducations, et on est face à une
05:29éducation qui est un peu libre d'elle-même, c'est qu'en réalité, si on revient à ce
05:36qui se faisait à l'époque, c'est que lorsqu'on s'engageait, on ne sait pas s'il y a eu une
05:41fraction intergénérationnelle qui s'est produite, mais c'est que lorsqu'on se mettait
05:46en relation à l'époque, les parents savaient qu'on était déjà engagés. Lorsque, même
05:51si vous n'étiez pas mariés, mais le seul fait que votre mère, votre père connaisse
05:55que ça, c'est celui avec qui je sors, ça, c'est celle avec qui je sors, il y avait
06:00déjà comme une implication des deux familles. Parce qu'en Afrique, il faut qu'on le dise,
06:06en Afrique, les termes comme la monogamie, polygamie, ce ne sont pas des termes propices
06:10à l'Afrique. En Afrique, on parle de familiogamie, c'est-à-dire que ce n'est pas simplement
06:14une histoire de deux individus ou de plusieurs individus, pour prendre le cas de la polygamie,
06:20mais une histoire de deux familles plus sinistres. Donc, ce qui fait en sorte qu'aujourd'hui,
06:28il y a comme un abandon, et ça, c'est vraiment une chaîne éducationnelle qui a été vraiment
06:36coupée. Donc, c'est un peu ça, pour répondre à votre question, c'est qu'il y a un laissé
06:42aller des parents. Peut-être que les parents aussi ne montrent plus, ne montreraient plus
06:46le bon exemple, ne montreraient plus le bon exemple, avec, voilà, d'où un peu, on
06:52reproduit ces mêmes schémas. Et en réalité, une société où il y a beaucoup de célébataires,
06:58où il y a beaucoup de ruptures, où il y a beaucoup de séparations, où il y a beaucoup
07:04de querelles familières, en réalité, c'est une société, permettez-moi de le dire, qui
07:07est un peu en perdition. Parce qu'en sciences politiques, et là, on revient un peu dans mon
07:12domaine. Voilà. En sciences politiques, on dit que la première base politique d'un
07:20État, c'est la famille. C'est la famille, et ça, c'est en anthropologie politique qu'on
07:24le dit. Donc, si une famille, déjà, elle est déstructurée, elle n'est pas bien
07:28organisée, c'est sûrement pas au sommet de l'État qu'on pourra voir toute sa lumière.
07:32Donc, s'il faille aujourd'hui dire un mot à nos parents sur ce fait-là, quel serait-il ?
07:38À nos parents ? Oui.
07:41Ben, je ne suis pas le mieux placé pour donner des conseils à mes aînés, à nos
07:47parents, mais c'est qu'il faut qu'ils sachent qu'ils sont nos sources d'inspiration.
07:53Il faut qu'ils sachent que, lorsque un enfant vit au monde, le premier modèle, surtout d'un
07:57homme, c'est d'abord son père. Le premier modèle d'abord d'une femme, c'est d'abord
08:01sa mère. Donc, un moindre petit geste, bon comme mauvais, même si ce n'est pas forcément
08:13voulu, l'enfant, en grandissant, forcément va reproduire, degré ou pas degré, cette façon
08:21mauvaise ou bonne de se comporter. C'est ce que je peux dire à nos parents. Donc, un
08:25peu plus de discipline, ce sera le meilleur pour tout le monde.
08:29Voilà, chers parents, doit être prône la famille. La famille.
08:34Oui, la famille.
08:35Donc, soyez un, apprenez à vos enfants ce qu'est l'amour, montrer leur des gestes affectueux,
08:42afin que demain, ces enfants ne puissent pas répéter des erreurs qui pourraient leur
08:46coûter la vie ou la liberté.
08:49Dwight, on va continuer notre petit parcours dans l'histoire de la princesse Kumba et on a
08:52une question. Oui, allez-y.
08:54Princesse Kumba, histoire réelle, histoire fictive, quelle est la part de vous, auteur,
09:01dans cette histoire ?
09:03Je pense que je vais mettre un joker, mais en réalité, Princesse Kumba, c'est une histoire
09:13fictive, mais fortement inspirée des faits réels. Fortement inspirée des faits réels,
09:20parce que le but pour moi dans l'oeuvre n'était pas venir de projeter la vie des gens comme
09:26ça. Donc, il fallait mettre beaucoup de fictions en même temps aussi que ça se semble réel
09:32pour qu'on y voit de l'émotion et on y voit tout le message qu'on a voulu propager à
09:38l'intérieur. Donc, elle est fictive.
09:42On doute un peu, parce qu'on est sûr quand même que Princesse Kumba, elle est réelle,
09:49mais est-ce que c'est une histoire de l'auteur ?
09:52Ben, en partie. En partie, mais j'ai aussi pioché un peu dans l'histoire d'amour des amis
10:02et tout pour en faire vraiment une bonne chose comme on a dit.
10:06Chers internautes, Princesse Kumba, l'auteur est là. Van Crissé, si vous voulez, il est devant nous.
10:13Donc, achetez-le, consommez-la. Vivez l'amour sous la plume d'un Gabonais, d'un jeune Gabonais
10:20de votre génération. On va poursuivre cette petite discussion. Je veux savoir, on veut savoir,
10:26quel est votre passage préféré dans Princesse Kumba ?
10:31Ben, je peux vous le montrer ?
10:32Bien sûr, on a l'œuvre pour cela.
10:34On va donc partir, je crois, à la page 36. Pour moi, ici, c'est l'auteur qui essaie vraiment
10:40de s'exprimer, qui essaie vraiment de... Allez-y, je lis ?
10:44Oui, allez-y.
10:46C'est l'auteur vraiment qui essaie de s'exprimer et il dit dans un passage,
10:50« En Afrique, le poids des traditions sociales écrasent souvent le silence émotionnel.
10:54On enseigne au jeune homme qui doit devenir époux, géniteur, pilier de la famille,
11:01sans jamais lui transmettre les rudiments affectifs pour bâtir une relation saine.
11:06On accélère la virilité par la force, rarement par l'écoute.
11:10À l'âge des responsabilités, on exige des enfants et une épouse,
11:14mais on ne questionne jamais la capacité à aimer, à dialoguer, à préparer les blessures de l'autre.
11:19L'éducation sentimentale, trop souvent laissée au hasard des expériences et des cicatrices familiales,
11:25reproduit des schémas de douleur.
11:28Voilà, c'était là le passage clé et préféré de l'auteur.
11:33Un passage en print de conseils, un passage en print de belles paroles
11:36qui sont là pour éveiller aussi bien la conscience que le cœur des uns et des autres.
11:41Donc, cher lecteur, chère lectrice, je vous pose la question que vous vous posez,
11:46je la pose aussi à notre auteur, où est-ce qu'on peut se procurer Princesse Kumba, à combien ?
11:52Alors, Princesse Kumba, elle est disponible en version e-book sur Amazon
11:58et en version brochée également sur Amazon.
12:00En version brochée, c'est cette version-là, mais ça c'est pour ceux qui sont au niveau de l'Europe.
12:05Et ici au Gabon, vous pouvez le proposer, il y a une librairie là au PK5,
12:09là, vous pouvez le proposer, il a 4 000 francs seulement.
12:13Et sur la version Amazon, il a 5 euros.
12:155 euros, je crois que c'est moins de 3 000 francs, quelque chose comme ça.
12:18D'accord.
12:19Donc, 4 000 francs, moins de 50 pages de lecture,
12:23une très belle histoire d'amour entre deux âmes blessées.
12:26Vous savez où la trouver sur Amazon, version e-book.
12:29À Libreville, vous la trouverez au point kilométrique 5, dans l'une des librairies.
12:34Et pour ceux qui sont à l'extérieur, vous pourrez la trouver toujours sur e-book,
12:39mais à 5 euros seulement.
12:43Dwight, vous considérez l'écriture comme une forme de thérapie.
12:47Qu'est-ce que vous vouliez guérir en écrivant Princesse Kumba ?
12:50Et qu'est-ce que vous souhaitez que le lecteur puisse guérir en la lisant ?
12:56Ce que je veux essayer de partager ou de reconscrire, effectivement, la littérature,
13:02comme je le disais tantôt, depuis mon jeune âge, j'ai été bercé par les romans,
13:10que ce soit les Justi Minza, Honoringou, Narcisse et Yiménier, Okumbakogé.
13:17Donc, ce qui fait en sorte que...
13:19C'est vraiment une thérapie pour moi, parce que...
13:22Il y a des choses qui nous étouffent, qui nous étouffent.
13:30Et que même parler, et que même parler, parfois, ne nous guérit pas.
13:34Et que même parfois, prendre des conseils ne nous guérit pas.
13:38Mais une fois qu'on prend sa pub, on écrit, on écrit, on écrit.
13:42Si je vous le dis, vous le disiez tantôt, c'est 50 pages.
13:46Si je vous dis que je vais l'écrir en une semaine, inspiré, sans relâche, je ne dormais pas.
13:53Parce que tout sortait, tout se libérait.
13:57Je voulais, en fait, me guérir, faire une introspection un peu de moi-même.
14:06Et peut-être toucher aussi, pour revenir maintenant dans le point de la deuxième question.
14:10C'est qu'en fait, en lisant cette œuvre, tout le monde peut se retrouver.
14:14C'est-à-dire, on a tous forcément senti ce moment où, quand vous sortez avec une fille,
14:19un moment de la relation va vous dire, elle a besoin d'espace.
14:22Elle a besoin du temps.
14:23Elle a besoin de réfléchir.
14:25Parce que le cerveau, bon, le cerveau de tout le monde, mais généralement de la femme,
14:28la femme n'oublie rien.
14:29Un peu comme tout homme, la femme n'oublie rien.
14:31Mais, elle n'oublie pas pourquoi.
14:34Elle n'oublie pas parce que le cerveau de la femme est comme une boîte de pandore,
14:42si je prends un exemple comme ça.
14:44C'est-à-dire que elle a tendance à consommer, à consommer, à consommer, bien comme mauvais.
14:49Mais le jour où ça décide de s'éclater, ben voilà, ça explose.
14:52Donc, je veux dire aussi aux lecteurs et aux lectrices qu'en réalité, vous qui avez aimé sans mot d'emploi,
15:00parce que l'amour, savoir aimer ne s'apprend pas, mais comment apprendre à aimer,
15:05c'est ce qui est plus difficile, c'est ce qui est plus difficile,
15:08c'est ce qui est plus difficile à retranscrire ses émotions, à retranscrire ce que l'on ressent.
15:12Donc, avec cette œuvre, vous pouvez apprendre.
15:15Parce que dans un passage même de l'œuvre, Van Rie Seyelé, il se confie à un psychologue,
15:20ce qui n'est pas très commun en Afrique.
15:23Et le psychologue, qui s'appelle Bengone à l'intérieur, lui dit que,
15:27en fait, vous souffrez d'affectivité intra-psychique.
15:32Vous avez tendance à reproduire ce que vos parents ou ce que vous avez vu aimer,
15:39ce que vous avez vu s'aimer dans le passé.
15:42Donc, c'est un peu ça.
15:44Voilà. Donc, abuser de l'œuvre, je n'ai pas de mots, il a tout dit.
15:49Je ne sais quoi ajouter d'autre, il a tout dit.
15:51Abuser de l'œuvre, procurez-vous l'œuvre, lisez-la, partagez-la, mais surtout, partagez l'amour.
15:57Et pour ça, l'auteur compte bien vous donner un conseil en mots de fin.
16:01Quel conseil donnerez-vous à cette jeunesse-là ?
16:04Et pas que la jeunesse, on a même des adultes aujourd'hui qui ne savent plus aimer.
16:08Qu'est-ce que vous leur donnerez comme conseil à vous qui avez pris le temps de poser la plume de l'encre,
16:14une feuille blanche pour écrire l'histoire de Princesse Comba ?
16:18Merci pour le mot de fin.
16:21Ce que je pourrais dire, c'est que l'amour, c'est la résilience, c'est la patience.
16:27J'assiste sur la patience.
16:28C'est aussi le dialogue, c'est la communication.
16:33Mais je mets la patience et le pardon au même niveau.
16:39Aimer, ce n'est pas souffrir.
16:40Aimer, ce n'est pas souffrir.
16:43Mais il y a toujours une limite entre le fait de souffrir et de pardonner,
16:46et parfois d'être patient.
16:49Il y a toujours cette petite limite-là.
16:51Voilà pourquoi Victor Hugo dit même que le sentiment le plus proche de l'amour, c'est la haine.
16:55Donc, on a tendance, parfois même qu'on aime,
16:59on ne sait pas parfois si on déteste la personne ou qu'on aime la personne.
17:03Donc, c'est un peu ça.
17:05Je dirais, mon petit conseil, c'est qu'aimer sans cesse.
17:09Aimer lorsque vous savez que, même si l'homme ou la femme avec qui vous êtes,
17:16il y a des mésententes,
17:20mais laissez-vous guider par la vision que chacun des partenaires puisse avoir dans la relation.
17:25N'hésitez pas à faire des reproches constructives.
17:28N'hésitez pas à faire des reproches qui puissent améliorer l'un des partenaires.
17:35L'amour, c'est surtout de ne pas rester muet.
17:38C'est surtout de parler, parler, parce que lorsqu'on ne parle pas, on se détruit.
17:42Voilà, c'était une très belle fin par un écrivain.
17:45Je ne sais qu'ajouter d'autre.
17:47Ce que je pourrais vous dire, voilà, à quoi ressemble votre oeuvre que vous trouverez en librairie ou sur Amazon.
17:53Elle est à moins de 5 000 francs, soit 4 000 francs CFA à Libreville, au Gabon.
17:59Elle est disponible sur e-book à seulement 5 euros.
18:02Le titre, c'est « Princesse combat, la belle âme »
18:04et nous recevions son auteur, Dwight, Simon, Warren, Kili, Akeme et Yele,
18:10écrivain, par ailleurs, doctorant en sciences politiques.
18:13Voilà, chers internautes, c'était un plaisir d'être en votre compagnie.
18:16Je vous dis merci d'avoir été nombreux à suivre ce numéro de Vovo.
18:19On se dit à très vite dans une librairie en train de choper l'oeuvre.
18:23Et au revoir.
18:24Au revoir.

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