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Réunion publique Les Républicains 92 à Rueil Malmaison, autour d'Othman Nasrou, secrétaire général du Parti les républicains, et vice président de la région Ile de France.
En présence de Patrick Ollier, Denis Gabriel, et d'autres élus locaux et départementaux
Mardi 1er Juillet 2025

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News
Transcription
00:00:00Merci, on va faire une réunion d'une heure et quart, une heure et demie, parce que je crois que...
00:00:07Merci à ceux qui ont préparé la salle, je tiens à dire, à trouver des ventilateurs.
00:00:12À la Seine, qui a descendu de chez lui son climatiseur, je t'en remercie.
00:00:17J'espère que tu arriveras à le remonter pour avoir un peu plus frais dans ton appartement ce soir.
00:00:23Merci aux élus qui sont présents, que ce soit de Rouey,
00:00:27je salue ma collègue à la région en Ségolène, qui est présente, et puis je vous les salue tous.
00:00:34Merci, j'ai deux ministres ce soir, monsieur le ministre, monsieur le ministre, merci Patrick, Autman, merci.
00:00:45Simplement, je ne voulais pas qu'on parte en vacances avant qu'on ait une réunion après les élections
00:00:52qui se sont bien passées à Rouey-Guerges-Saint-Cloud, dans la meilleure ambiance possible.
00:00:59J'y tenais, surtout avec ceux qui m'ont aidé dans cette opération.
00:01:04Et puis au niveau du département, on a un résultat exceptionnel pour Bruno, à ce niveau-là.
00:01:10Mais je tenais, avant qu'on parte en vacances, il y ait une rencontre avec vous, militants,
00:01:18vous qui, pour certains, ont réadhéré, ou pour d'autres, c'est la première fois.
00:01:23Alors, pas de chance, on est en canicule.
00:01:27J'ai hésité à annuler la réunion, mais pour faire une réunion comme celle-là,
00:01:32c'est le départ de trois fichiers sur une semaine,
00:01:37et en une journée, je n'avais pas moyen d'annuler la réunion.
00:01:40Alors, je voulais bien être devant la porte et m'excuser aux préjambes qui venaient,
00:01:45mais Autman, on en a parlé, il m'a dit, on l'a fait, et on fait au mieux.
00:01:51C'est pour ça qu'on a essayé de trouver un système pour l'accueil.
00:01:56Notre mouvement est en marche.
00:01:58Autman a mené de main de maître le Conseil national samedi,
00:02:02où on était présents, avec plusieurs d'entre vous qui sont ici.
00:02:06C'est en place, tu vas pouvoir nous en dire quelques mots,
00:02:10parce que je crois que c'est ce qui intéresse le plus nos militants.
00:02:14Tu diras quelques mots aussi, je l'espère, sur l'organisation des municipales.
00:02:22Quelques mots sur l'organisation des municipales.
00:02:25Sur LR, il n'y a pas de souci, on est derrière Patrick,
00:02:32et on lui apportera tout le soutien nécessaire pour la campagne,
00:02:36et pour qu'il soit réélu avec, à ses côtés, des élus LR aussi.
00:02:41C'est important, il ne s'agit pas que de l'élection municipale,
00:02:45bien sûr que c'est important pour la gestion de la ville,
00:02:47mais c'est aussi important pour les sénatoriales qui sont derrière.
00:02:50Il faut qu'on ait le maximum de grands électeurs,
00:02:53et je peux vous assurer que je veille à cela avec le plus grand intérêt et la plus grande attention.
00:02:59Voilà, Othman, simplement te dire merci.
00:03:02Merci, parce que ça fait plusieurs fois que tu viens à Réveille,
00:03:06et puis là tu viens comme, je dirais, le numéro un de l'administration,
00:03:11de l'organisation de notre parti.
00:03:15Tu es toujours vice-président à la région,
00:03:16ce qui me permet de te voir le plus souvent possible,
00:03:19de t'embêter de temps en temps,
00:03:22mais surtout tu nous fais une grande amitié d'être là.
00:03:24Voilà, je ne vais pas parler plus longtemps,
00:03:26je vais passer la parole à Patrick,
00:03:29qui va l'accueillir comme maire de Rouen.
00:03:33Merci, merci, cher Denis,
00:03:42et encore vers de Rouen.
00:03:44Merci.
00:03:45Monsieur le secrétaire général,
00:03:47monsieur le ministre,
00:03:48cher Othman,
00:03:50je suis heureux de t'accueillir
00:03:52au nom d'une vieille habituée,
00:03:55et je suis heureux de t'accueillir
00:03:56car tu fais souffler un vent frais
00:03:58sur le parti,
00:04:01par ta jeunesse et par ton engagement.
00:04:03Et aujourd'hui, franchement,
00:04:04ça fait du bien.
00:04:05C'est l'allusion à la température qu'on subit ici.
00:04:09Merci.
00:04:10Et je suis heureux de pouvoir,
00:04:12après Denis Gabriel,
00:04:14dire combien je partage
00:04:17cette renaissance de notre parti
00:04:19qui est en train de se faire.
00:04:21Cette renaissance de notre parti,
00:04:23c'est Bruno Rétaillot qui l'engage
00:04:25avec ce qu'il a fait, ce qu'il a dit,
00:04:27avec une équipe jeune dont tu fais partie,
00:04:30et tu es le secrétaire général,
00:04:31et cette renaissance de notre parti,
00:04:34c'est peut-être la meilleure nouvelle
00:04:35que nous avons avant les vacances.
00:04:37Parce que, souvenez-vous,
00:04:39où c'est qu'on en était
00:04:40avant que Bruno et toi
00:04:42gagnent cette campagne ?
00:04:44On n'était pas où ?
00:04:46Et aujourd'hui, on a la chance
00:04:48d'avoir, à travers cette renaissance,
00:04:51un vent, alors là, peut-être pas frais,
00:04:52mais un vent nouveau qui souffle
00:04:54sur notre parti.
00:04:55Nous avons une organisation
00:04:56avec un commandement qui est organisé.
00:04:59Ça change.
00:05:01Ça change.
00:05:02Et ce commandement est de nature
00:05:04à restructurer le parti
00:05:05sur toute l'air de la République.
00:05:08Et ça, c'est une bonne chose.
00:05:10On en a besoin.
00:05:10Parce qu'on a vu se déliter
00:05:12nos fédérations,
00:05:14nos départements,
00:05:15et ici, on a plus ou moins
00:05:16bien résisté.
00:05:17Merci Denis pour le travail
00:05:18que tu as fait
00:05:19dans cette reconstruction.
00:05:20Parce que c'est un travail positif
00:05:22dont aujourd'hui,
00:05:23on reçoit les dividendes.
00:05:28Nous avons un projet politique
00:05:29qui est en préparation
00:05:30pour la France.
00:05:32On l'a pas ?
00:05:33Mais ce qui est important,
00:05:34c'est qu'en ce moment,
00:05:35nous occupons le terrain,
00:05:36grâce à Bruno et grâce à Ouellet,
00:05:37où elle est sur des thématiques
00:05:40qui sont des thématiques d'actualité
00:05:42dont on ne sortira pas
00:05:44parce que si on n'apporte pas
00:05:45des solutions à ces deux thématiques,
00:05:47on n'aura pas de victoire
00:05:49aux prochaines élections.
00:05:50Quelles sont ces thématiques ?
00:05:52La sécurité dans le pays
00:05:53et l'immigration.
00:05:55Sorti de ça,
00:05:56on peut élaborer
00:05:57toutes les stratégies
00:05:58que l'on veut.
00:06:00Le Rassemblement National
00:06:01va nous conduire
00:06:02sur ces thématiques,
00:06:03bien sûr,
00:06:04dans un sens,
00:06:05et puis RFI aussi
00:06:06dans un autre sens
00:06:08qui n'est pas du tout le même.
00:06:10Donc,
00:06:10il faut qu'on tienne bon.
00:06:12Et il faut que nous,
00:06:13nous avancions
00:06:14sur ces deux thématiques
00:06:15avec nos idées
00:06:16qui sont très claires maintenant
00:06:18et qui peuvent permettre
00:06:19à de nombreux compagnons,
00:06:21j'ose ce mot,
00:06:23qui nous ont quittés
00:06:24parce qu'ils étaient déçus
00:06:25par nos faiblesses
00:06:27et notre incapacité
00:06:28à avoir des idées claires
00:06:29pour l'avenir
00:06:30et qui sont partis
00:06:31pour beaucoup
00:06:31au Rassemblement National
00:06:33ou qui sont partis nulle part
00:06:35en attendant
00:06:35que ça aille mieux.
00:06:36Il faut qu'ils reviennent
00:06:37pour partir.
00:06:39Je pense que ce qui est engagé
00:06:40avec toi,
00:06:41avec Bruno Retailleau,
00:06:42avec toute l'équipe,
00:06:43avec Annie, etc.,
00:06:45est une meilleure nouvelle
00:06:46qu'on pouvait attendre.
00:06:49Moi, j'en suis très heureux
00:06:50parce que
00:06:50si on continue,
00:06:53alors on ne sait pas
00:06:53s'il va y avoir
00:06:54une dissolution ou pas,
00:06:56quand on commence
00:06:57à porter ces nouvelles-là,
00:07:00moi, je ne sais pas
00:07:00ce qui va se passer,
00:07:01mais il faut bien comprendre
00:07:02que quelles que soient
00:07:03les conditions politiques,
00:07:06je ne pense pas
00:07:07que le gouvernement Bayrou
00:07:08puisse aller au-delà
00:07:09du mois de septembre-octobre
00:07:10parce qu'il va se casser
00:07:11la figure sur le budget
00:07:13qui est un obstacle
00:07:14incontournable pour lui.
00:07:16Et il aura,
00:07:17pour lui,
00:07:17l'honneur de tomber
00:07:18sur un plan
00:07:19de stabilisation
00:07:21de la France
00:07:22que personne n'acceptera
00:07:23de voter
00:07:24parce qu'il est impossible
00:07:25pour nous.
00:07:26C'est clair.
00:07:28Je le vois gros
00:07:29comme une maison.
00:07:30Donc, il faut penser
00:07:31que ces perturbations
00:07:32de politique nationale
00:07:33vont nous arriver
00:07:34d'ici Noël
00:07:35et qu'il faut qu'on soit prêts.
00:07:37C'est tout ce que je voulais dire.
00:07:38Et qu'avec toi
00:07:39et avec toutes les équipes,
00:07:40avec Bruno,
00:07:41il faut qu'on se prépare
00:07:42dans nos départements.
00:07:44Alors, peut-être
00:07:44pour le municipal,
00:07:45je ne sais pas.
00:07:46En tout cas,
00:07:47je l'ai déjà dit ici
00:07:47devant vous,
00:07:48je suis candidat
00:07:49au renouvellement
00:07:50de mon mandat,
00:07:51c'est vrai,
00:07:52parce que j'ai encore
00:07:52deux ou trois
00:07:53grosses opérations
00:07:54de tramway,
00:07:55la gare de la ligne 18
00:07:56dans le centre-ville
00:07:58au passage,
00:07:59la gare qui a commencé
00:08:00là-haut,
00:08:00la ligne 15
00:08:01est terminée.
00:08:02Bref,
00:08:02des opérations
00:08:03qui ne vont pas
00:08:04pourront être terminées
00:08:06partout.
00:08:07Je ne sais pas.
00:08:08Si, moi.
00:08:11Non,
00:08:11mais l'Ostran,
00:08:12l'Ostran le sait.
00:08:14Je pense que,
00:08:16je ne sais pas
00:08:16que la voie soit entendue,
00:08:18mais je pense
00:08:18que mon action
00:08:19est respectée.
00:08:20Et je pense
00:08:21que je peux tenir
00:08:21la drague haute
00:08:22à des gens
00:08:23qui sont des préfets,
00:08:24qui sont des ministres,
00:08:25pour que la ville de Ruelle
00:08:26puisse se doter
00:08:27dans les trois ans
00:08:27qui viennent,
00:08:28les trois gardes
00:08:29dont elle a besoin.
00:08:30Il y en a une de là-haut,
00:08:31tramway ici,
00:08:33ligne 18,
00:08:34place Guinner.
00:08:36Et ça sera
00:08:37l'axe essentiel
00:08:37de la campagne électorale.
00:08:39Après,
00:08:39je pourrais partir
00:08:39tranquille
00:08:40et prendre ma retraite.
00:08:42Voilà ce que je voulais dire.
00:08:43Donc,
00:08:44monsieur le secrétaire général,
00:08:46monsieur le ministre,
00:08:47bienvenue dans cette ville.
00:08:48Je vais t'accueillir
00:08:49comme chaque fois.
00:08:51Je vois que
00:08:51tu n'as pas une forme,
00:08:53on va te laisser la parole,
00:08:54tu vas haranguer la foule
00:08:55et tu vas les faire transpirer,
00:08:57c'est ce qui m'inérite.
00:08:58Et je vois qu'il y a des personnes
00:08:59qui ne sont pas membres
00:09:00de notre parti
00:09:01et qui viennent à cette réunion.
00:09:03C'est très bon signe.
00:09:04Ça veut dire que ça change.
00:09:05J'espère que vous allez réfléchir.
00:09:08La fois que je parle,
00:09:10j'espère que vous allez réfléchir
00:09:11pour prendre votre carte républicaine.
00:09:13Peut-être aussi,
00:09:14je ne sais pas.
00:09:15Venez,
00:09:16nous vous accueillerons,
00:09:17vous serez les bienvenus.
00:09:18En tout cas,
00:09:19merci,
00:09:20bonne soirée
00:09:21et à l'avant la républicaine.
00:09:25Je vais partir
00:09:26parce qu'il y a
00:09:27trois fêtes de fête d'année
00:09:28auxquelles je dois participer.
00:09:32Oui,
00:09:32juste avant,
00:09:33je voulais remercier
00:09:34Ahmed Tabib,
00:09:36membre des îles
00:09:37numéro 2
00:09:38sur la ville
00:09:39qui est présent
00:09:39et je le remercie
00:09:41grandement par amitié.
00:09:42Et puis il y a
00:09:42Jean-Simon Passadas
00:09:44qui lui est à Horizon,
00:09:46tout le monde
00:09:47pour faire des erreurs
00:09:48avec Idritte,
00:09:48le président
00:09:49de la République
00:09:49de Buzan-Bal
00:09:50que je re-salue.
00:09:54Je voulais simplement
00:09:55dire une chose,
00:09:56c'est la première réunion
00:09:57publique,
00:09:58enfin militante,
00:10:00en dehors du Conseil national,
00:10:02de notre ami
00:10:04Haute-Bal.
00:10:04Donc je le remercie
00:10:05grandement
00:10:06d'avoir fait ça
00:10:07et je lui passe la parole.
00:10:14Chers amis,
00:10:14bonsoir
00:10:15à toutes et à tous.
00:10:16merci d'avoir bravé
00:10:17cette canicule
00:10:19pour être là.
00:10:20C'est la preuve
00:10:20que j'ai vraiment
00:10:21les plus courageux,
00:10:23les plus téméraires
00:10:23parce que c'est vrai
00:10:24qu'il fallait vraiment
00:10:25avoir envie
00:10:27de sortir
00:10:28par ces à peu près
00:10:2940 degrés
00:10:30que nous avons.
00:10:32Et je note
00:10:32que bien que le maire
00:10:34de Rueil
00:10:34fait la pluie
00:10:35et le beau temps ici,
00:10:35il n'a pas fait la pluie
00:10:36et le grand frais
00:10:37que j'apporte,
00:10:38je ne sais pas
00:10:39s'il sera suffisant
00:10:40mais je veux lui dire
00:10:40du fond du cœur
00:10:41un grand merci
00:10:41pour sa présence.
00:10:42Lui dire,
00:10:43il le sait,
00:10:43toute l'amitié,
00:10:44et toute l'estime
00:10:45que j'ai pour lui,
00:10:47on l'échange
00:10:48depuis des années,
00:10:49il a toujours été
00:10:50d'un très bon conseil
00:10:51et d'une très grande
00:10:51bienveillance
00:10:52et je lui souhaite
00:10:53une très belle campagne,
00:10:55on peut le dire,
00:10:55du coup,
00:10:56pour laquelle je n'ai pas
00:10:56trop d'inquiétude
00:10:57ici à Rueil.
00:10:59Et c'est vrai
00:11:00que depuis ce conseil national
00:11:02qui nous a beaucoup
00:11:02fait le poliser
00:11:03aux lendemains de l'élection
00:11:04et qu'il fallait
00:11:04qu'on réussisse,
00:11:05eh bien,
00:11:06c'est une première rencontre
00:11:07avec des militants
00:11:08de famille politique,
00:11:09j'ai l'intention
00:11:09d'en faire un maximum,
00:11:11mais je suis très heureux
00:11:12de le faire
00:11:12ici à Rueil
00:11:13où j'ai eu l'occasion
00:11:14de venir plusieurs fois
00:11:15mais aux côtés
00:11:16de mon ami
00:11:17Denis Gabriel
00:11:17qui est vraiment
00:11:18pour moi un modèle
00:11:19de fidélité,
00:11:20de droiture,
00:11:21de constance
00:11:22dans les convictions,
00:11:23d'une fiabilité
00:11:24à toute épreuve
00:11:24à chaque fois
00:11:25que notre famille politique
00:11:26a eu besoin de lui,
00:11:27vous pouvez l'applaudir
00:11:27en effet,
00:11:29pour y arriver.
00:11:32Et je le dis très sincèrement
00:11:34parce qu'en réalité
00:11:34j'avais autre chose
00:11:35de prévu ce soir
00:11:36mais je voulais être
00:11:38à ses côtés,
00:11:39être aux côtés
00:11:39de Patrick Coyer
00:11:40et être à vos côtés
00:11:41pour effectivement
00:11:42faire déjà avec vous
00:11:43un petit point d'étage.
00:11:44Je salue notre conseil régional
00:11:45élu de la ville
00:11:46de Saint-Cloud,
00:11:47c'est Cécolaine de l'Armina,
00:11:48je vois beaucoup
00:11:48de visage ami,
00:11:49tous les élus qui sont là,
00:11:51des gens fidèles
00:11:52qui viennent d'un peu plus loin
00:11:53cher Alexis
00:11:54de ce département
00:11:55et d'ailleurs
00:11:56essentiellement
00:11:58des militants
00:11:59des Hauts-de-Seine,
00:11:59merci à vous
00:12:00vraiment toutes et tous
00:12:01d'être là.
00:12:02D'abord un point
00:12:02sur peut-être
00:12:03effectivement
00:12:03le fonctionnement
00:12:04de notre parti
00:12:04et nous avons eu
00:12:06une période
00:12:06extrêmement compliquée
00:12:07puisque pendant des mois
00:12:08le parti était à l'arrêt
00:12:10on va se le dire clairement
00:12:11et ça s'est ressenti
00:12:12et ça s'est vu
00:12:13et aujourd'hui
00:12:15après cette élection
00:12:16qui s'est d'ailleurs passée
00:12:17prenant un moment
00:12:18pour le dire
00:12:19d'une manière admirable
00:12:20on nous avait promis
00:12:21boule de déchirements
00:12:22on nous avait promis
00:12:23la guerre des chefs
00:12:24qu'on avait dit
00:12:25qu'on allait s'entretuer
00:12:26moi je suis extrêmement fier
00:12:28de l'image
00:12:29que l'on a donnée
00:12:30avec 121 617 électeurs
00:12:3380% de participation
00:12:35un résultat effectivement
00:12:37très net
00:12:37et un message
00:12:39de rassemblement
00:12:40de part et d'autre
00:12:41qui a été
00:12:42tout de suite
00:12:43respecté
00:12:44et ça c'est vraiment
00:12:45une chance
00:12:45d'autres formations politiques
00:12:47ont eu des élections
00:12:48étriquées
00:12:48avec même pas
00:12:5020 000 électeurs
00:12:50je pense au parti socialiste
00:12:52qui finissent dans un mouchoir de poche
00:12:54avec une très très forte division
00:12:55on sait
00:12:56que ces divisions
00:12:57nous ont tant coûté
00:12:58dans le passé
00:12:58je sais
00:12:59que vous n'en vouliez pas
00:13:01de ces déchirements
00:13:02qui nous ont coûté
00:13:03si cher jusque là
00:13:05et je peux vous dire
00:13:06qu'effectivement
00:13:07on a tout fait pour les éviter
00:13:08je suis très heureux
00:13:09qu'on ait réussi
00:13:09vous avez vu
00:13:10que durant cette campagne
00:13:11Bruno Retailleau
00:13:12n'avait pas eu un mot
00:13:13d'attaque
00:13:13contre qui que ce soit
00:13:14et heureusement
00:13:15parce que c'est ce qui a permis
00:13:16maintenant
00:13:16de créer les conditions
00:13:18de cette unité
00:13:18que vous avez vu
00:13:19au conseil national de samedi
00:13:20pour ceux qui étaient là
00:13:21pour ceux qui ont suivi à distance
00:13:23nous avons renouvelé
00:13:24nos instances
00:13:25ce qui n'est jamais
00:13:25un exercice facile
00:13:27où il faut à la fois garder
00:13:28des gens d'expérience
00:13:29et moi je ne suis pas
00:13:31dans le jeunisme
00:13:32je pense qu'on a besoin
00:13:33de gens expérimentés
00:13:34on a la chance
00:13:35d'en avoir beaucoup
00:13:35dans notre famille politique
00:13:36il faut s'en servir
00:13:37et puis il faut aussi bien sûr
00:13:38du renouvellement
00:13:39et il y en a eu à peu près
00:13:40d'ailleurs
00:13:40à part égale
00:13:42on a un renouvellement
00:13:43d'à peu près 50-60%
00:13:44sur le bureau politique
00:13:45comme sur la commission nationale
00:13:46d'investiture
00:13:47qui sont d'ailleurs
00:13:48deux instances importantes
00:13:49paritaires
00:13:50avec aussi une équipe dirigeante
00:13:51qui a l'image
00:13:52de notre partie
00:13:53qui est plus réduite
00:13:54que ce qu'elle était
00:13:54auparavant
00:13:55je tiens à le dire
00:13:56mais effectivement
00:13:58qui a besoin de couvrir
00:13:59tout le territoire
00:14:00et qui représente
00:14:01toutes les sensibilités
00:14:01de notre partie
00:14:02on a travaillé rapidement
00:14:04pour essayer de mettre
00:14:05eh bien la machine
00:14:06à nouveau en route
00:14:07vous recevez
00:14:09enfin au cadre
00:14:09les délégués de circonscription
00:14:11les secrétaires départementaux
00:14:13les présidents de fédérations
00:14:14ont commencé à recevoir
00:14:15à nouveau des argumentaires
00:14:17vous recevez une newsletter
00:14:19hebdomadaire
00:14:19qui a recommencé
00:14:20à se déployer
00:14:22nos fédérations
00:14:23vont enfin avoir accès
00:14:25à leurs fichiers d'adhérents
00:14:26dans les tout prochains jours
00:14:28je vais annoncer
00:14:28samedi
00:14:29d'ici à fin de semaine
00:14:30normalement
00:14:31vous aurez
00:14:31pour nos cadres
00:14:33les accès
00:14:34et nous allons relancer
00:14:36un cycle de formation
00:14:37enfin voilà
00:14:37tous le travail militant
00:14:39que nous avions
00:14:39un peu délaissé
00:14:41mais nous n'avions plus
00:14:41de président
00:14:42nous n'avions plus d'équipe
00:14:43pendant des mois
00:14:44et on a failli disparaître
00:14:45à la faveur de ce qui s'est passé
00:14:46au législatif de 2024
00:14:48on a résisté
00:14:49on est resté debout
00:14:50et aujourd'hui
00:14:50on est plus vivant que jamais
00:14:51donc tout ce travail là
00:14:52vous allez le voir
00:14:53les lignes vont bouger à nouveau
00:14:55vous allez recevoir
00:14:56beaucoup plus de choses du parti
00:14:57j'ai parlé des argumentaires
00:14:58j'ai parlé
00:14:59des
00:15:00des
00:15:00des
00:15:02des newsletters
00:15:03vous allez recevoir aussi
00:15:04enfin
00:15:05ce n'est pas déjà le cas
00:15:06du matériel militant
00:15:07avec cette campagne d'adhésion
00:15:09que nous lançons
00:15:09je suis fier de vous dire
00:15:10que la dynamique d'adhésion
00:15:12qu'on a eu
00:15:13durant la campagne
00:15:13a s'est poursuivi
00:15:14même après la date de clôture
00:15:16des adhésions pour le vote
00:15:17si bien que depuis
00:15:19ces 120 000 adhérents
00:15:21depuis l'arrêt de la liste électorale
00:15:23pour le vote
00:15:23nous avons enregistré
00:15:2420 000 adhésions supplémentaires
00:15:26et donc cette dynamique se poursuit
00:15:28il y a un espoir
00:15:29qui s'est levé
00:15:29partout dans le pays
00:15:30et
00:15:31et
00:15:31et donc du coup
00:15:33on a encore des gens
00:15:33qui adhèrent
00:15:34mais il n'y en a pas encore suffisamment
00:15:35et on compte vraiment sur vous
00:15:37pour aller voir
00:15:37tous ceux qui
00:15:38étaient anciens adhérents
00:15:39et ça a été dit
00:15:41qu'on a déçu
00:15:41par le passé
00:15:42qui sont partis
00:15:43pour des raisons
00:15:44diverses et variées
00:15:45qui sont allés
00:15:46qui chez Marine Le Pen
00:15:47qui chez Éric Zemmour
00:15:48qui chez Emmanuel Macron
00:15:49et qui aujourd'hui
00:15:50et qui beaucoup
00:15:51Patrick l'a dit
00:15:52dans l'abstention aussi
00:15:54et qui aujourd'hui
00:15:55et bien se disent
00:15:56peut-être
00:15:57peut-être que
00:15:58pour redresser le pays
00:15:59il y a une offre politique
00:16:01qui retrouve des couleurs
00:16:02et qui retrouve une crédibilité
00:16:03nous n'avions pas d'incarnation
00:16:04aujourd'hui nous en avons eu
00:16:06ça ne règle pas tout
00:16:07Patrick l'a dit également
00:16:08maintenant nous allons avoir un projet
00:16:09et parmi les décisions
00:16:12qui ont été prises samedi
00:16:13au conseil national
00:16:13il y a la mise en route
00:16:14d'un gros projet
00:16:16et en gros
00:16:17la capacité que nous devons avoir
00:16:18extrêmement rapidement
00:16:19à présenter un projet complet
00:16:21un projet de gouvernement
00:16:22un projet même
00:16:23de société
00:16:23pas simplement
00:16:24un catalogue de mesures
00:16:25si d'aventure
00:16:26il y avait une dissolution
00:16:28pour des élections législatives
00:16:30et cela
00:16:30personne ne peut savoir
00:16:32si cela va avoir lieu ou pas
00:16:33ce qu'on sait
00:16:34c'est que c'est possible
00:16:35à partir d'ailleurs
00:16:36du 8 juillet
00:16:36mais probablement vers l'automne
00:16:38si jamais cela devait arriver
00:16:40mais il faut que ce travail
00:16:41démarre extrêmement vite
00:16:42et nous proposerons
00:16:43aux fédérations
00:16:43et bien d'avoir aussi
00:16:45des groupes de travail
00:16:46de faire remonter
00:16:47vos propositions
00:16:48tout notre objectif
00:16:50c'est de remettre
00:16:51le siège national
00:16:51à votre service
00:16:52l'adhérent pour nous
00:16:54il est sociétaire
00:16:55il est actionnaire
00:16:56quelque part du parti
00:16:57il n'est pas là
00:16:57simplement pour remplir
00:16:58les salles
00:16:59pour coller des affiches
00:16:59pour distribuer des tracts
00:17:00mais il doit être
00:17:01pleinement associé
00:17:02nous vous devons
00:17:03beaucoup plus
00:17:03voilà
00:17:04quand on cotise
00:17:05un parti politique
00:17:05on doit avoir
00:17:06beaucoup plus
00:17:07que ce qu'on a aujourd'hui
00:17:07ça ne se fera pas
00:17:08du jour au lendemain
00:17:09c'est un long travail
00:17:10beaucoup de chantiers
00:17:10sont lancés
00:17:11mais c'est ce que
00:17:12nous voulons faire
00:17:13parmi ces chantiers
00:17:14il y en a un dernier
00:17:15que j'ai envie de citer
00:17:16qui est très important
00:17:17pour Bruno Retailleau
00:17:18c'est de pouvoir
00:17:19vous consulter
00:17:20sur les grandes
00:17:20orientations stratégiques
00:17:22donc nous travaillons
00:17:23sur un outil
00:17:23pour qu'à partir
00:17:24de cet automne
00:17:25on puisse vous poser
00:17:25des questions
00:17:26rapidement
00:17:27pour vous demander
00:17:27de trancher
00:17:28des orientations
00:17:29que ce soit
00:17:29des orientations
00:17:30stratégiques
00:17:31tactiques
00:17:31politiques
00:17:32ou que ce soit
00:17:33des choix de fond
00:17:33sur des questions
00:17:34sur lesquelles
00:17:35on devrait vous demander
00:17:36votre avis
00:17:36avant que le parti
00:17:38ne prête une position
00:17:39Bruno Retailleau
00:17:40l'a aussi dit
00:17:40samedi
00:17:41nous avons un adversaire
00:17:43je ne parle pas
00:17:44de l'échiquier politique
00:17:45j'y reviendrai
00:17:45mais nous avons un adversaire
00:17:46en interne
00:17:48je ne parle pas
00:17:48de l'un d'entre nous
00:17:49je parle de la cacophonie
00:17:50je parle de cette incroyable
00:17:52capacité que nous avons
00:17:53un droit
00:17:53à dire
00:17:54à donner des messages
00:17:55contraires
00:17:56les uns aux autres
00:17:57à brouiller le message
00:17:58à faire que
00:17:59le bulletin de vote LR
00:18:00n'est plus clairement identifié
00:18:02quand on entend
00:18:02tout et son contraire
00:18:03et donc il faut
00:18:04bien sûr
00:18:04qu'on respecte
00:18:05les sensibilités
00:18:06bien sûr
00:18:06nous ne sommes pas
00:18:07une casère
00:18:07mais comme l'a dit
00:18:08Bruno samedi
00:18:09nous ne sommes pas
00:18:10non plus au McDo
00:18:10ce n'est pas à la carte
00:18:12ce n'est pas
00:18:12tout à fait
00:18:13venez comme vous êtes
00:18:14alors venez comme vous êtes
00:18:16mais une fois que la vie
00:18:16est tranchée
00:18:17elle devient la ligne
00:18:18de tout le monde
00:18:19et c'est extrêmement important
00:18:20parce qu'on a souffert
00:18:21par le passé
00:18:21et bien d'une absence
00:18:24de clarté
00:18:25de notre message politique
00:18:26la ligne politique
00:18:26portée par Bruno Retailleau
00:18:28vous la connaissez
00:18:28je vais en reparler
00:18:29mais globalement
00:18:30il faut qu'il y ait aussi
00:18:31une forme de discipline
00:18:32collective
00:18:33qui est attendue
00:18:34de la part de l'ensemble
00:18:35de l'équipe dirigeante
00:18:36de l'ensemble de nos élus
00:18:37et ça c'est vraiment important
00:18:38parce qu'autrement
00:18:39et bien
00:18:40nous ne gagnerons pas
00:18:41totalement
00:18:42la crédibilité
00:18:43que nous commençons
00:18:44à avoir à nouveau
00:18:45à la faveur
00:18:45des circonstances
00:18:46exceptionnelles
00:18:47pardon
00:18:48qui nous ont rendu
00:18:49aux responsabilités
00:18:50voilà pour le fonctionnement
00:18:51du parti
00:18:52mais justement
00:18:53je vais parler
00:18:54des responsabilités
00:18:55que nous occupons
00:18:56aujourd'hui
00:18:56au gouvernement
00:18:57et j'aimerais commencer
00:18:59par vous rappeler
00:18:59pourquoi nous sommes
00:19:00au gouvernement
00:19:00il faut vraiment
00:19:01qu'on se souvienne
00:19:02pourquoi nous sommes
00:19:03au gouvernement
00:19:04parce qu'il ne faut pas
00:19:05qu'on se laisse gagner
00:19:06par les attaques
00:19:07nombreuses
00:19:08dont nous vous ont logé
00:19:09vous avez vu que Bruno Retailleau
00:19:10était la cible
00:19:11régulière
00:19:12constante
00:19:14quotidienne
00:19:14à la fois
00:19:15bien sûr
00:19:16de la gauche
00:19:16et de l'extrême gauche
00:19:17mais ça on pouvait s'y attendre
00:19:18c'est même plutôt rassurant
00:19:19ça vaut toutes les légions
00:19:20d'honneur
00:19:21j'ai envie de dire
00:19:21quand vous êtes attaqué
00:19:23par la France insoumise
00:19:24mais aussi
00:19:24beaucoup par le Rassembleur national
00:19:26qui montre là aussi son vrai visage
00:19:27son inquiétude
00:19:28sa crainte
00:19:29de voir son fonds de commerce électoral
00:19:30être ainsi menacé
00:19:33visiblement
00:19:33de leur point de vue
00:19:34et je vous dis cela
00:19:36parce que je veux vous rappeler
00:19:38que si nous sommes entrés
00:19:39au gouvernement
00:19:39ça a d'abord été
00:19:40pour éviter des difficultés
00:19:42supplémentaires
00:19:42à notre pays
00:19:43si nous n'étions pas
00:19:45entrés au gouvernement
00:19:45avec Michel Barnier
00:19:46et qui je veux vraiment
00:19:47rendre hommage
00:19:48qui d'ailleurs le président
00:19:49de notre conseil national
00:19:49et qui est vraiment
00:19:50une personnalité hors pair
00:19:52dans notre famille politique
00:19:53dont la stature
00:19:54la droiture je crois
00:19:55reste très présente
00:19:56dans l'esprit des français
00:19:57même s'il n'a été
00:19:58à Matignon
00:19:59que durant trois mois
00:20:00et bien
00:20:01s'il n'avait pas pris
00:20:02cette responsabilité
00:20:03et nous autres
00:20:04collectivement d'ailleurs
00:20:05parce que c'est un choix collectif
00:20:06ça n'a pas été
00:20:07des choix individuels
00:20:07ça n'a pas été
00:20:08du débauchage individuel
00:20:09évidemment
00:20:10c'est le choix de notre parti
00:20:11et bien
00:20:12nous aurions eu
00:20:13c'était l'arithmétique
00:20:14de l'Assemblée nationale
00:20:15la gauche
00:20:16et l'extrême gauche
00:20:16aux responsabilités
00:20:17c'était automatique
00:20:19c'était l'arithmétique
00:20:20à l'issue
00:20:20de cette dissolution
00:20:22hasardeuse
00:20:22et si nous n'avions donc pas pris
00:20:24cette responsabilité là
00:20:25de construire ce qu'on appelle
00:20:26le socle commun
00:20:26mais qui n'a en réalité
00:20:28de commun
00:20:28que la volonté
00:20:29de faire barrage
00:20:30d'abord à la gauche
00:20:31à l'extrême gauche
00:20:32qui était aux portes du pouvoir
00:20:33je vous le rappelais
00:20:33souvenez-vous
00:20:34le nouveau fond populaire
00:20:35Lucie Casté
00:20:36l'arithmétique
00:20:37le fait d'expliquer
00:20:39qu'ils étaient
00:20:39arithmétiquement arrivés
00:20:40en tête
00:20:41le nombre de sièges
00:20:42à l'Assemblée nationale
00:20:43qui était
00:20:43et bien
00:20:44le plus élevé
00:20:45sauf
00:20:45si nous additionnons
00:20:47et bien
00:20:47ces voix issues
00:20:48de ce qu'on appelle
00:20:48aujourd'hui
00:20:48le bloc central
00:20:49et moi je le dis
00:20:50très clairement
00:20:51ça ne veut pas dire
00:20:51qu'on est d'accord
00:20:52sur tout
00:20:52j'ai beaucoup de divergences
00:20:55avec Renaissance
00:20:55par exemple
00:20:56pas de problème à le dire
00:20:57nous n'avons pas changé d'avis
00:20:59mais
00:20:59il fallait faire barrage
00:21:01à la gauche
00:21:01à l'extrême gauche
00:21:02et je crois que
00:21:02nos concitoyens
00:21:03et les électeurs
00:21:04notamment de droite
00:21:04ont très bien compris
00:21:05la preuve
00:21:06ça a d'abord été
00:21:07évidemment l'élection
00:21:08de Bruno Retailleau
00:21:09massive
00:21:09mais c'est aussi
00:21:10et bien
00:21:11toutes les élections
00:21:12partielles
00:21:13qui nous ont donné
00:21:13à chaque fois
00:21:14de très bons résultats
00:21:15nous sommes la seule
00:21:16famille politique
00:21:17à progresser
00:21:17dans toutes les élections
00:21:19partielles
00:21:19depuis
00:21:20l'année dernière
00:21:22et ça c'est un signe
00:21:23loin d'ici
00:21:24nous avons gagné
00:21:25la circonscription
00:21:25de Boulogne
00:21:26et je sais que vous avez
00:21:28beaucoup milité pour
00:21:30pour un certain nombre
00:21:30d'entre vous
00:21:31et donc voilà
00:21:32ces tests là
00:21:33nous ont montré
00:21:33que les électeurs
00:21:34avaient très bien compris
00:21:35nous avaient crédité
00:21:36d'une volonté
00:21:36et bien
00:21:37non pas de nous diluer
00:21:38dans quoi que ce soit
00:21:39mais simplement
00:21:40d'éviter à notre pays
00:21:41des difficultés supplémentaires
00:21:42d'éviter le pire
00:21:44et les pires
00:21:45le pire
00:21:45c'est le chaos
00:21:46le désordre
00:21:47le chaos budgétaire
00:21:48la crise budgétaire
00:21:49qui nous pendait au nez
00:21:49qui nous pend d'ailleurs
00:21:50ça a été dit
00:21:51toujours au nez
00:21:52et puis
00:21:53d'éviter les pires
00:21:54la gauche
00:21:55l'extrême gauche
00:21:55et moi je ne voulais pas
00:21:56qu'il y ait des ministres
00:21:57insoumis au gouvernement
00:21:58or c'est ce qui a failli
00:22:00se produire
00:22:00et donc ça c'est important
00:22:01de le rappeler
00:22:02pour expliquer pourquoi
00:22:02nous sommes là
00:22:03et ça explique aussi
00:22:04pourquoi nous sommes toujours là
00:22:05l'arithmétique
00:22:06à l'Assemblée Nationale
00:22:07n'a pas changé
00:22:08et tant que nous serons utiles
00:22:09nous devons
00:22:10et bien
00:22:11quand on est attaché
00:22:12à l'héritage gaulliste
00:22:13et bien minimum
00:22:14se dire que
00:22:15l'intérêt du pays
00:22:16doit passer à l'avant
00:22:16l'intérêt du pays
00:22:17aujourd'hui
00:22:17ce n'est pas de
00:22:18laisser au pouvoir
00:22:20des gens extrêmement dangereux
00:22:22et donc
00:22:22voilà
00:22:23ça ne veut pas dire
00:22:24que nous sommes
00:22:24le gouvernement
00:22:25pour l'éternité
00:22:25ça ne veut pas dire
00:22:26que nous accepterons tout
00:22:27ça ne veut pas dire
00:22:28que nous sommes prêts
00:22:29à sacrifier nos convictions
00:22:30d'ailleurs
00:22:31si demain
00:22:31nos convictions
00:22:32étaient vraiment
00:22:33frontalement sacrifiées
00:22:34si les intérêts supérieurs
00:22:35de la nation
00:22:36étaient menacés
00:22:36bien sûr
00:22:37qu'il nous faudra partir
00:22:38mais aujourd'hui
00:22:39partir
00:22:39c'est remettre
00:22:40au pouvoir
00:22:41des gens
00:22:41extrêmement dangereux
00:22:42et donc
00:22:43il faut avancer méthodiquement
00:22:44et puis
00:22:45être au gouvernement
00:22:47c'est aussi faire la démonstration
00:22:48de ce que pourrait faire
00:22:49la droite demain
00:22:50si elle était
00:22:50aux responsabilités
00:22:51et là aussi
00:22:52je veux le dire très clairement
00:22:53ne nous laissons pas intoxiquer
00:22:55par tous ceux
00:22:57qui expliquent
00:22:58par exemple
00:22:58que Bruno Retailleau
00:22:59n'a pas de résultat
00:23:00nos concitoyens
00:23:01nous sont loin d'être idiots
00:23:02ils savent très bien
00:23:03qu'en quelques mois
00:23:05avec
00:23:06une absence de majorité
00:23:08à l'Assemblée Nationale
00:23:09on ne peut pas faire de miracle
00:23:10et je vous demande
00:23:11d'applaudir
00:23:11à nouveau Patrick Ollier
00:23:12qui essaie de partir discrètement
00:23:13mais
00:23:14je veux vraiment lui dire
00:23:18merci
00:23:18d'avoir été parmi
00:23:19sans majorité
00:23:21à l'Assemblée Nationale
00:23:22personne ne s'attend
00:23:23à ce qu'avec 7 ministres
00:23:24on règle tous les problèmes
00:23:26du pays
00:23:27en quelques mois
00:23:28nous sommes en incapacité
00:23:29même de faire passer
00:23:30une loi
00:23:30mais je crois
00:23:32que ce qui est attendu de nous
00:23:33c'est de démontrer
00:23:33qu'on fait le maximum
00:23:34et de montrer
00:23:35qu'on a des idées
00:23:37sur ce qu'il faudrait faire
00:23:38et qu'on a aussi
00:23:39le courage
00:23:40d'essayer de les mettre en oeuvre
00:23:42et je crois
00:23:42que ce sont des qualités
00:23:43on le voit
00:23:44dans toutes les enquêtes
00:23:44d'opinion
00:23:45qui sont très crédités
00:23:46aujourd'hui
00:23:46à notre nouveau
00:23:47président de parti
00:23:48ça c'est un atout
00:23:49parce que cette sincérité
00:23:50qui lui est reconnue
00:23:51et bien
00:23:52ce n'est pas la qualité
00:23:54malheureusement
00:23:55la plus reconnue
00:23:55au personnel politique
00:23:56par nos concitoyens
00:23:57et donc c'est une chance
00:23:58que nous avons
00:23:58qu'il soit crédité pour cela
00:24:00et qu'il soit
00:24:01avec cette constance-là
00:24:02dans les convictions
00:24:03mais il y a déjà
00:24:04des résultats
00:24:05et ça c'est important
00:24:06pour moi de vous le dire
00:24:06parce que
00:24:07il y a quand même
00:24:09un pouvoir réglementaire
00:24:10il y a des préfets
00:24:11qui obéissent
00:24:12aux instructions
00:24:13qui leur sont données
00:24:13par leur ministre
00:24:14il y a des policiers
00:24:15et des gendarmes
00:24:15qui font un travail formidable
00:24:16et donc quand il y a un chef
00:24:17on obtient des résultats
00:24:18et je vais vous donner
00:24:19quelques exemples
00:24:20on parlait tout à l'heure
00:24:21d'immigration
00:24:22la circulaire Valls
00:24:24qui organisait
00:24:25un système
00:24:26de régularisation massive
00:24:27a été enfin
00:24:29abrogée
00:24:30par la ministre de Natale
00:24:31remplacée par une nouvelle circulaire
00:24:33qui dulcit
00:24:33les conditions
00:24:34de régularisation
00:24:35et depuis
00:24:35c'est très simple
00:24:36il y a moins 24%
00:24:37de régularisation
00:24:38depuis les derniers mois
00:24:39et depuis que cette nouvelle circulaire
00:24:40a été prise
00:24:41je parle de la régularisation
00:24:42d'étrangers
00:24:42en situation irrégulière
00:24:44je peux prendre
00:24:45d'autres exemples
00:24:46et naturalisation
00:24:47vous l'avez entendu
00:24:48Bruno Retailleau
00:24:49assume de dire
00:24:51que les conditions
00:24:52de la naturalisation
00:24:52impliquent
00:24:53de vérifier
00:24:54les conditions
00:24:54d'assimilation
00:24:55c'est le mot
00:24:56qui est inscrit
00:24:56dans notre code civil
00:24:57il n'y a pas
00:24:58à en avoir honte
00:24:59et évidemment
00:25:00tous les étrangers
00:25:00qui sont en situation régulière
00:25:02qui travaillent
00:25:03qui se comportent bien
00:25:03qui respectent les règles
00:25:04et qui aiment la France
00:25:05et qui font
00:25:05et qui font
00:25:06et bien
00:25:07et qui s'approprient
00:25:08nos repères
00:25:10notre socle commun
00:25:11de valeur
00:25:12et bien
00:25:12peuvent au bout d'un certain
00:25:13nombre d'années
00:25:14devenir français
00:25:15mais ça suppose
00:25:16d'être exigeant
00:25:16ça ne se fait pas
00:25:17comme ça
00:25:18au pied levé
00:25:18et ça ne se donne
00:25:19pas non plus
00:25:19à n'importe qui
00:25:21et en l'occurrence
00:25:21depuis que cette nouvelle
00:25:22circulaire a été prise
00:25:23le nombre de naturalisations
00:25:24a baissé de 14%
00:25:26le Figaro
00:25:27contrairement à ce que
00:25:28dit le Rassemblement National
00:25:29encore une fois
00:25:29vient de titrer
00:25:30je crois que c'est Figaro
00:25:30d'aujourd'hui
00:25:31que depuis que Bruno Retailleau
00:25:33est au ministère de l'Intérieur
00:25:35les chiffres de l'immigration
00:25:36baissent
00:25:36alors il ne baisse pas suffisamment
00:25:38il ne baisse peut-être pas
00:25:39assez vite
00:25:40mais il baisse
00:25:41par le simple fait
00:25:42de circulaire
00:25:43par le simple fait
00:25:44de la volonté politique
00:25:45d'un ministre
00:25:45qui n'a en réalité
00:25:46même pas la capacité
00:25:47de faire passer une loi
00:25:48à l'Assemblée National
00:25:49et j'ai envie de vous dire
00:25:50très sincèrement
00:25:51qu'en quelques mois
00:25:51il arrive à obtenir
00:25:53des résultats plus importants
00:25:54que ce que d'autres
00:25:55n'ont pas réussi à faire
00:25:56pendant des années
00:25:56bien qu'ayant une majorité
00:25:58absolue
00:25:59je pourrais multiplier
00:26:00les exemples sur la sécurité
00:26:02saisie de cocaïne
00:26:03plus 202%
00:26:05ce chiffre est inquiétant
00:26:07parce que ça montre
00:26:08combien la déferlante
00:26:09du narcotrafic
00:26:10aujourd'hui
00:26:10fragilise notre pays
00:26:12est devenu vraiment
00:26:13un système de criminalité
00:26:14organisée
00:26:15qui est extrêmement préoccupant
00:26:16et d'ailleurs
00:26:17la seule grande loi
00:26:18votée aujourd'hui
00:26:19dans cette mandature
00:26:22et bien c'est la loi
00:26:23sur le narcotrafic
00:26:24qui est portée
00:26:24depuis le Sénat
00:26:26déjà à l'époque
00:26:26par Bruno Retailleau
00:26:27avant même d'être
00:26:28à Beauvau
00:26:28et qui est une loi
00:26:29qui va je l'espère
00:26:30changer beaucoup de choses
00:26:31même si évidemment
00:26:32cette bataille là
00:26:33cette guerre là
00:26:33contre le narcotrafic
00:26:34ne se gagnera pas
00:26:36du jour au lendemain
00:26:37je pourrais ainsi
00:26:38multiplier les exemples
00:26:39et puis je pourrais
00:26:39vous parler aussi
00:26:40je parle beaucoup
00:26:41de Bruno Retailleau
00:26:41mais de ce que fait
00:26:42Annie Gennevar
00:26:42au ministère de l'agriculture
00:26:44qui se bat aujourd'hui
00:26:45contre le Mercosur
00:26:46avec des agriculteurs
00:26:47qui n'en peuvent plus
00:26:48qu'on leur explique
00:26:49le coeur sur la main
00:26:50qu'on les aime
00:26:50et qu'on veut
00:26:51qu'ils continuent
00:26:52de nous nourrir
00:26:52tout le monde veut
00:26:53des circuits courts
00:26:53tout le monde veut
00:26:54des produits bio
00:26:55on leur impose des normes
00:26:57qu'on n'exige pas
00:26:58des produits qu'on importe
00:26:59c'est la définition même
00:27:00de la concurrence déloyale
00:27:01on leur interdit
00:27:02l'usage de molécules
00:27:03et on ne les interdit pas
00:27:04sur des produits importés
00:27:05aujourd'hui
00:27:07il y a une loi
00:27:07par un sénateur LR
00:27:09décidément
00:27:09Laurent Duplon
00:27:10qui est d'ailleurs
00:27:11très attaqué
00:27:12par les écologistes
00:27:13sur la question
00:27:13des néonicotinoïdes
00:27:15mais là aussi
00:27:15très franchement
00:27:16on peut être fier
00:27:17de ce que font
00:27:17nos élus
00:27:18nos parlementaires
00:27:19et du cap
00:27:19que nous essayons de donner
00:27:21dans cette gouvernance
00:27:23si compliquée
00:27:23mais les néonicotinoïdes
00:27:25la molécule en question
00:27:26sachez-le
00:27:27elle n'est interdite
00:27:28que dans un seul
00:27:29pays d'Europe
00:27:29la France
00:27:31les vaux de ses autres
00:27:32l'autorise
00:27:33donc on n'est pas
00:27:34à m'expliquer
00:27:35que c'est une décision
00:27:36anti-écologique
00:27:36c'est juste
00:27:37qu'il y a un moment
00:27:37où il faut arrêter
00:27:39de mettre un boulet
00:27:39au pied
00:27:40de nos producteurs
00:27:40de nos agriculteurs
00:27:41de ceux qui créent
00:27:42la richesse
00:27:42alors que tous nos voisins
00:27:44même ceux les plus vertueux
00:27:45en matière écologique
00:27:46ne vont pas aussi loin
00:27:47nous nous voulons
00:27:48évidemment être exemplaires
00:27:50en matière d'écologie
00:27:50mais pas plus que les autres
00:27:52pas plus que nos voisins
00:27:53pas plus que nos confurants
00:27:54parce qu'autrement
00:27:55on s'appauvrit
00:27:56et on finit par importer
00:27:57des produits
00:27:57qui eux polluent beaucoup
00:27:58donc c'est un peu
00:27:59le monde à l'envers
00:28:01et donc c'est une proposition
00:28:02de loi là aussi
00:28:03LR de Laurent Dupont
00:28:05qui va permettre
00:28:05aux agriculteurs
00:28:06d'améliorer légèrement
00:28:07leur situation
00:28:08il y aurait encore
00:28:09tellement à faire
00:28:11et en l'occurrence
00:28:11je parlais du Mercosur
00:28:12je peux vous dire
00:28:13qu'Annie Geneva
00:28:14travaille dur
00:28:15pour que cet accord
00:28:16ne se fasse pas
00:28:16parce que c'est précisément
00:28:17un accord
00:28:18où on va importer
00:28:18beaucoup de produits
00:28:20sur lesquels
00:28:21ne s'appliquent pas
00:28:21encore une fois
00:28:22les larmes
00:28:22qu'on exige
00:28:23de nos agriculteurs
00:28:24et donc notre présence
00:28:25au gouvernement
00:28:25elle est utile
00:28:26elle était nécessaire
00:28:28pour éviter
00:28:28des difficultés supplémentaires
00:28:30à notre pays
00:28:30elle permet de démontrer
00:28:32ce que verrait la droite
00:28:33demain
00:28:34si elle était au pouvoir
00:28:34si elle avait tous les leviers
00:28:35aujourd'hui
00:28:36elle n'a pas tous les leviers
00:28:37nous n'avons pas tous les leviers
00:28:39je dois vous dire très franchement
00:28:40que la situation du pays
00:28:40est extrêmement préoccupante
00:28:42et je vous ai parlé
00:28:44des résultats
00:28:44qu'on avait
00:28:45mais évidemment
00:28:45que demain
00:28:46il faudra d'abord
00:28:47gagner les élections
00:28:49c'est ce que nous faisons
00:28:50avec le parti
00:28:51c'est ce que nous
00:28:51ça doit être notre seul objectif
00:28:53pour donner une majorité
00:28:54politique au pays
00:28:55une majorité
00:28:56qui a un projet
00:28:56à mettre en oeuvre
00:28:57un projet que nous devons préparer
00:28:59si on veut que notre pays
00:29:00se redresse
00:29:01mais pour l'instant
00:29:02la situation est bloquée
00:29:03et c'est ainsi
00:29:04et elle sera bloquée
00:29:06peut-être potentiellement
00:29:07jusqu'en 2027
00:29:08nous verrons
00:29:08mais 2027 c'est demain
00:29:09c'est dans un an et demi
00:29:11ça arrive extrêmement rapidement
00:29:12et il faut
00:29:12et il faut se préparer
00:29:14et avant cela
00:29:15bien sûr qu'il y a
00:29:15des élections municipales
00:29:16vous avez dit
00:29:17toutes et tous
00:29:17à être extrêmement mobilisés
00:29:19nous sommes aujourd'hui
00:29:20le premier parti
00:29:21au nombre d'adhérents
00:29:22probablement le premier parti
00:29:23au nombre d'élus locaux
00:29:24il faut qu'on le reste
00:29:25il faut qu'on défende
00:29:26les bilans de nos élus sortants
00:29:28il faut aussi
00:29:28qu'on ait un maximum
00:29:30d'élus
00:29:30c'est important
00:29:31y compris pour les élections
00:29:32qui viendront
00:29:33je pense au sénatorial
00:29:34Denis en a parlé
00:29:35et il faut qu'on
00:29:36à chaque fois
00:29:37évidemment
00:29:37on fasse ce travail
00:29:38méthodiquement
00:29:38et nous avons une commission
00:29:39nationale d'investiture
00:29:40qui commence ses travaux
00:29:41et qui se réunit
00:29:41pour la première fois
00:29:42le 9 juillet
00:29:44mais encore une fois
00:29:44c'est un projet entier
00:29:45que nous devons proposer
00:29:46au pays
00:29:47sur l'immigration
00:29:48oui
00:29:48il va falloir
00:29:49et bien au-delà
00:29:50des exemples que j'ai donnés
00:29:51bien sûr qu'il va falloir
00:29:52un référendum
00:29:53parce que les jurisprudences
00:29:54les verrous aujourd'hui
00:29:55qui entravent notre action
00:29:56et bien ne pourront être levés
00:29:57que par un référendum
00:29:58parce qu'il y a
00:29:59des jurisprudences aujourd'hui
00:30:00qui entravent l'action
00:30:02même un certain nombre de lois
00:30:03et on voit qu'il y a encore
00:30:04des lois qui sont censurées
00:30:06très franchement
00:30:07je n'ai pas vocation
00:30:08à critiquer le conseil constitutionnel
00:30:10mais je ne comprends pas toujours
00:30:11les motivations
00:30:12derrière un certain nombre
00:30:13de censures
00:30:13il me semble que
00:30:15quand il y a une volonté populaire
00:30:16forte
00:30:16dans une démocratie
00:30:17quand les règles
00:30:18sont respectées
00:30:19et bien
00:30:19cette volonté populaire
00:30:21doit pouvoir être appliquée
00:30:22et je prends un exemple
00:30:24qui m'a marqué
00:30:25quand on a voté
00:30:26la loi de janvier 2024
00:30:27on avait mis
00:30:28beaucoup d'amendements
00:30:29nos députés
00:30:29nos sénateurs
00:30:30avaient mis beaucoup d'amendements
00:30:31et par exemple
00:30:32ils avaient mis
00:30:32la condition de résidence
00:30:33pour les étrangers
00:30:34en situation régulière
00:30:35avant d'avoir droit
00:30:36à des allocations sociales
00:30:37quand vous arrivez en France
00:30:38ce sera des premiers jours
00:30:40ce soir après 5 ans
00:30:41et bien ça
00:30:42ça a été considéré
00:30:43comme un anti-constitutionnel
00:30:44je pourrais donner
00:30:46d'autres exemples
00:30:47l'AME
00:30:48ça avait été considéré
00:30:50la réforme de l'AME
00:30:51ça avait été considéré
00:30:53comme sans rapport
00:30:54avec le texte d'origine
00:30:55quand même un texte
00:30:56sur l'immigration
00:30:56l'aide médicale
00:30:58pour les êtres
00:30:58en situation irrégulière
00:31:00ça ne me semble pas
00:31:01totalement sans lien
00:31:02avec l'immigration
00:31:03écoutez
00:31:04quelles que soient
00:31:04les motivations
00:31:05qu'on peut faire
00:31:05derrière un certain nombre
00:31:06de jurisprudence
00:31:07et bien nous avons vocation
00:31:09si on veut que
00:31:10nos concitoyens
00:31:11continuent de voter
00:31:12ont l'impression
00:31:14que les élus
00:31:14servent à quelque chose
00:31:15et pas qu'on désigne
00:31:16des élus nationaux
00:31:18qui n'ont plus pris
00:31:19sur la réalité
00:31:20qui sont enfermés
00:31:21dans une forme
00:31:21d'impuissance publique
00:31:22sinon c'est la révolte
00:31:23ce qui nous attend
00:31:24évidemment qu'il y ait
00:31:24une colère populaire
00:31:25sur vote
00:31:25pour des gens
00:31:26qui en réalité
00:31:26ne peuvent rien faire
00:31:27nous allons devant
00:31:28de grandes difficultés
00:31:29ce n'est pas ça
00:31:30la démocratie
00:31:31et donc il faut
00:31:32qu'on ait un référendum
00:31:32pour lever
00:31:33par le droit
00:31:34un certain nombre
00:31:35de verrous
00:31:35parce que ce référendum
00:31:36là s'imposera
00:31:37à ses jurisprudences
00:31:38qu'on ait ainsi
00:31:39multiplié les exemples
00:31:40quand le conseil constitutionnel
00:31:42censure
00:31:43et bien l'utilisation
00:31:44la poursuite
00:31:45de l'expérimentation
00:31:46de l'utilisation
00:31:47des algorithmes
00:31:48dans les caméras
00:31:49ce qui a été expérimenté
00:31:51aux Jeux Olympiques
00:31:51et Paralympiques
00:31:52avec succès
00:31:52on a considéré
00:31:54que ce serait bien
00:31:54de continuer
00:31:55l'expérimentation
00:31:55je ne parle pas
00:31:56de reconnaissance faciale
00:31:57même pas
00:31:58simplement des algorithmes
00:31:59qui en vont
00:31:59analyser les situations
00:32:00qui reconnaissent
00:32:01les comportements dangereux
00:32:03pas de reconnaissance faciale
00:32:04c'est juste
00:32:05de l'analyse d'image
00:32:06et il n'y a pas
00:32:07de données personnelles
00:32:08dedans
00:32:08et bien ça a été censuré
00:32:09le cas où on s'est
00:32:11constitutionnel
00:32:11a considéré
00:32:11qu'il fallait
00:32:12que cette expérimentation
00:32:12s'arrête
00:32:13avec les Jeux Olympiques
00:32:13est-ce que
00:32:15nos concitoyens
00:32:17seraient d'accord
00:32:17pour dire que
00:32:18c'est normal
00:32:19d'être moins protégé
00:32:20aujourd'hui
00:32:20qu'on l'était
00:32:20durant les Jeux Olympiques
00:32:21et Paralympiques
00:32:22je ne suis pas convaincu
00:32:22et donc on a l'occasion
00:32:24à construire ce projet
00:32:25mais oui il y a des points
00:32:25très précis
00:32:26il faut les lever
00:32:26et il faut les lever
00:32:27bien sûr avec des règles
00:32:28de droit
00:32:29Bruno Retailleau avait
00:32:30déclenché toute une polémique
00:32:31en parlant de l'état de droit
00:32:32mais je suis désolé
00:32:34de vous dire
00:32:34que l'état de droit
00:32:35ce n'est pas l'état du droit
00:32:36ce n'est pas de rien changer
00:32:37ce n'est pas d'accepter
00:32:39qu'encore une fois
00:32:40des jurisprudences
00:32:40entravent des volontés légitimes
00:32:42quand un ministre de l'Intérieur
00:32:44a voulu expulser
00:32:45un imam étranger
00:32:46qui prêchait des propos
00:32:47de haine
00:32:48contre la République
00:32:49l'imam Iqusen
00:32:50et qu'un juge
00:32:51du tribunal administratif
00:32:52a considéré
00:32:52que la vie privée
00:32:53et familiale
00:32:54de cet imam
00:32:55était supérieure
00:32:56à la sûreté de la nation
00:32:57est-ce que vraiment
00:32:58on a encore
00:32:59est-ce que c'est la défense
00:33:00de l'état de droit
00:33:01d'ailleurs pour le coup
00:33:02le conseil d'état
00:33:03a annulé cette décision
00:33:04il y a mis Bonar
00:33:05mais ce que je veux dire
00:33:06c'est qu'il y a un moment
00:33:07de nos concitoyens
00:33:07en raison d'être un seul
00:33:08et ce que je veux moi
00:33:10ce que nous voulons
00:33:10je pense
00:33:11c'est que cette colère là
00:33:11elle soit constructive
00:33:13et pas que ce soit une colère
00:33:14qui se tourne vers
00:33:15les démagogues
00:33:16et tous les populistes
00:33:18parce que je suis désolé
00:33:19de vous dire
00:33:20que là aussi
00:33:20nous ne nous laissons plus
00:33:21intimidés par le Rassemblement
00:33:22national
00:33:22qui montre tous les jours
00:33:24leur vrai visage
00:33:25ils ont censuré
00:33:26le gouvernement
00:33:27de Michel Barnier
00:33:28je ne vous dis pas ça
00:33:29simplement parce que
00:33:29j'y appartenais
00:33:30donc ça ne m'arrangeait pas
00:33:31mais ils ont censuré
00:33:32le gouvernement
00:33:32qui était le plus à droite
00:33:33depuis 2012
00:33:36avec un ministre de l'Intérieur
00:33:38qui les menaçait
00:33:38ça n'a pas suffi
00:33:39à faire sortir
00:33:40Bruno Retailleau
00:33:41du gouvernement
00:33:41par chance
00:33:42mais c'était
00:33:43l'objectif de la Manet
00:33:44et d'ailleurs je vois
00:33:45qu'ils n'ont pas
00:33:45le même empressement
00:33:46à censurer ce gouvernement là
00:33:48ça se demandait
00:33:49s'ils veulent vraiment
00:33:50le bien du pays
00:33:51ou s'ils se complètent
00:33:53dans les situations
00:33:53qui enfoncent notre pays
00:33:55dans des difficultés supplémentaires
00:33:56ils ne sont jamais
00:33:57du côté de la solution
00:33:59toujours
00:33:59du côté du problème
00:34:01et puis je veux vous dire aussi
00:34:02il faut qu'on garde en tête
00:34:03que ces gens là
00:34:04ont le même programme économique
00:34:05que l'extrême gauche
00:34:06on peut dire
00:34:07ce qu'on veut
00:34:07le rassemblement national
00:34:08c'est la retraite à 60 ans
00:34:10en tout cas
00:34:10c'est le refus
00:34:11de la réglementaire de retraite
00:34:12c'est le refus
00:34:12du principe de travail d'avantage
00:34:14c'est le refus
00:34:15de la revalorisation du travail
00:34:17c'est le refus
00:34:17de la lutte contre la cistanat
00:34:19quand on a voté
00:34:20la contrepartie au RSA
00:34:22avec 15 heures de travail
00:34:24demandées en échange du RSA
00:34:26qui l'a porté ?
00:34:27La droite
00:34:28qui a voté contre
00:34:28le rassemblement national
00:34:30ça c'est la réalité
00:34:31de leurs différentes prises de position
00:34:32donc là aussi
00:34:33ne nous laissons pas intimider
00:34:34moi je suis convaincu
00:34:35qu'en 2027
00:34:36nos concitoyens
00:34:36après tout ce qu'on leur a vécu
00:34:38après ces 10 ans
00:34:40ces 15 ans
00:34:41qui auraient été extrêmement
00:34:41difficiles pour le pays
00:34:43et bien je pense
00:34:44qu'ils se demanderont
00:34:45où est la constance
00:34:47où est
00:34:47à la fois l'expérience
00:34:49où est la clarté
00:34:49aussi de ce qu'il faut
00:34:50pour le pays
00:34:51sur des sujets
00:34:51extrêmement importants
00:34:53je pourrais multiplier
00:34:53les exemples
00:34:54mais le but est aussi
00:34:55qu'on puisse avoir un échange
00:34:56j'ai probablement
00:34:56déjà été trop long
00:34:57je me dis
00:34:58à qui est gentiment
00:34:59mais il a qui est
00:35:00donc je vais essayer
00:35:01d'être pas trop long
00:35:03mais voilà
00:35:04je veux dire
00:35:04qu'il y a un chemin
00:35:04qui s'est ouvert
00:35:05qu'un espoir s'est levé
00:35:07et qu'il faut qu'on soit
00:35:08à la hauteur de nos responsabilités
00:35:09le travail est immense
00:35:10et là aussi
00:35:11je vous dis
00:35:11la réalité c'est que
00:35:12nous n'avons pas
00:35:13toujours tout bien fait
00:35:13par le passé
00:35:14mais on a un chef
00:35:15crédible
00:35:16et c'est une chance inespérée
00:35:18incontestée aujourd'hui
00:35:20on a des choses à dire
00:35:22sur notre action
00:35:23aujourd'hui au gouvernement
00:35:23on a un projet
00:35:25j'espère bientôt
00:35:27mais on a quand même déjà
00:35:28beaucoup travaillé
00:35:29sur les idées essentielles
00:35:30on sait ce qu'il faut
00:35:31pour le pays
00:35:32disons-le clairement
00:35:32on est aujourd'hui
00:35:33sur un jour de canicule
00:35:35moi je ne vais jamais vous dire
00:35:36que la question écologique
00:35:37n'est pas une vraie question
00:35:38bien sûr
00:35:39bien sûr qu'il y a
00:35:40du dérèglement climatique
00:35:40la question c'est
00:35:41quelle réponse
00:35:41on apporte à ce dérèglement climatique
00:35:43et il y a une réponse de droite
00:35:45nous ne sommes pas obligés
00:35:46de céder
00:35:47eh bien aux humis
00:35:49des écolos
00:35:50qui n'ont d'ailleurs
00:35:50d'écolo que l'ont
00:35:51qui sont avant tout
00:35:52des idéologues
00:35:53et des gens d'extrême gauche
00:35:54en réalité
00:35:55qui sont plus soucieux
00:35:56de la lutte des classes
00:35:56que du changement climatique
00:35:58quand on voit la réalité
00:35:58de leur proposition
00:35:59mais vous voyez comme
00:36:00tout le débat public
00:36:02c'est
00:36:03un changé de tournure
00:36:05sur la question du nucléaire
00:36:06qui depuis un temps
00:36:07nous étions les seuls
00:36:08à défendre le nucléaire
00:36:10nous étions les seuls
00:36:11aujourd'hui tout le monde est d'accord
00:36:12mais il a fallu pour cela
00:36:13qu'on ferme Fessenheim
00:36:15il a fallu pour cela
00:36:16qu'on prenne
00:36:1610 à 15 ans de retard
00:36:18sur le programme nucléaire
00:36:19qu'on avait
00:36:20souvenez-vous
00:36:20de la durite
00:36:21qu'on avait
00:36:22avec des centrales
00:36:22qui ne tournaient pas
00:36:23à plein régime
00:36:23du risque de coupure
00:36:25d'électricité
00:36:25en France
00:36:26en plein hiver
00:36:27tout cela parce que
00:36:28des choix démagogiques
00:36:30ont été faits
00:36:31en tout cas
00:36:31le débat public
00:36:32a été pollué
00:36:33par des gens
00:36:34qui parlent très bien
00:36:35mais qui en réalité
00:36:36disent n'importe quoi
00:36:37parce que si on veut lutter
00:36:38contre le changement climatique
00:36:39bien sûr qu'on a besoin
00:36:40du nucléaire
00:36:40qui est une énergie
00:36:41abondante
00:36:42qui ne produit pas
00:36:43de gaz à effet de serre
00:36:44et sur plus
00:36:45c'est un atout de souveraineté
00:36:46et un atout de compétitivité
00:36:47pour nos entreprises
00:36:48absolument incroyables
00:36:50et on l'a
00:36:50un peu sacrifié
00:36:51on en revient
00:36:52tout le monde en revient
00:36:53mais que de temps perdu
00:36:54que d'énergie perdu
00:36:55que d'argent public perdu
00:36:57et je ne sais pas
00:36:58si on avait du moyen
00:36:58de perdre ce temps
00:36:59et cet argent
00:37:00dans la situation
00:37:01dans laquelle se trouve
00:37:01notre pays
00:37:02je pourrais ainsi
00:37:03multiplier les exemples
00:37:04mais la réalité
00:37:05est que bien souvent
00:37:05on avait raison
00:37:06on ne le disait
00:37:07peut-être pas suffisamment
00:37:08et puis surtout
00:37:09et j'en finirai par là
00:37:10je crois que
00:37:11pendant 40 ans
00:37:12on a cédé
00:37:13au diktat
00:37:15de la gauche
00:37:15on a
00:37:16comblé les filles
00:37:18quand
00:37:18peut-être nous attaquer
00:37:19avec
00:37:20l'idée
00:37:21qu'il y a d'un côté
00:37:21un camp du bien
00:37:22qui serait la gauche
00:37:23puis un camp du mal
00:37:24tous ceux qui s'opposent
00:37:25que si vous voulez
00:37:26traiter la question
00:37:27de la maîtrise
00:37:28des flux migratoires
00:37:29vous êtes raciste
00:37:29ce qui est une aberration
00:37:31parce qu'à ce moment-là
00:37:32eh bien
00:37:33on peut accueillir
00:37:34on peut croire pour l'accueillir
00:37:35aujourd'hui
00:37:35500 000 étrangers
00:37:36en situation régulière
00:37:37tous les ans
00:37:38désormais
00:37:38500 000
00:37:39alors pourquoi pas un million
00:37:40pourquoi pas deux millions
00:37:41qui pensent que c'est soutenable
00:37:42ce n'est pas soutenable
00:37:44le capacité d'accueil
00:37:44son débat
00:37:45ça ce n'est pas
00:37:46être raciste
00:37:47il faut de vouloir maîtriser
00:37:48c'est plus
00:37:48d'accueillir ceux
00:37:49qu'on choisit
00:37:50et de reconduire
00:37:51ceux qui n'ont rien à faire
00:37:52sur le territoire national
00:37:53et en premier lieu
00:37:53bien sûr
00:37:54les individus dangereux
00:37:55ceux qui se comportent mal
00:37:56mais vous voyez
00:37:57pendant des années
00:37:58on a été tétanisé
00:37:59sur tous ces choses-là
00:38:00si vous étiez pour le nucléaire
00:38:01vous étiez contre la planète
00:38:03quasiment
00:38:04vous étiez contre l'environnement
00:38:05si vous étiez pour
00:38:06les entreprises
00:38:07vous étiez un exploiteur
00:38:08donc il faut absolument
00:38:09qu'aujourd'hui
00:38:10les termes du débat changent
00:38:11je crois que notre rôle
00:38:12à droite
00:38:12c'est de faire ce travail-là
00:38:14désormais
00:38:14un travail intellectuel
00:38:15une bataille culturelle
00:38:16et de ne pas être
00:38:17dans la soumission précisément
00:38:18à ceux qui
00:38:19à chaque fois
00:38:21vous envoient
00:38:22des collibés
00:38:23et des injures
00:38:24et vous caricaturent
00:38:26parce que c'est une forme
00:38:27pardon
00:38:27de terrorisme intellectuel
00:38:28qui a marché
00:38:30pendant longtemps
00:38:30mais qui a conduit
00:38:31le pays aujourd'hui
00:38:32à être
00:38:33enfermé dans cette situation
00:38:35terrible
00:38:36et d'ailleurs
00:38:36sans majorité politique
00:38:37parce que les gens
00:38:38n'y comprennent plus rien
00:38:39ils ne savent plus
00:38:39qui pense quoi
00:38:40et bien nous
00:38:40nous sommes à droite
00:38:41nous ne devons pas
00:38:42en avoir honte
00:38:43nous devons le dire clairement
00:38:44sans excès
00:38:45mais sans honte
00:38:46et puis surtout
00:38:47le pays a besoin
00:38:48de solutions radicales
00:38:49le pays n'a pas besoin
00:38:50d'autosienne
00:38:51on ne va pas sortir
00:38:52des difficultés
00:38:53qu'on évoque
00:38:53avec des demi-mesures
00:38:56moi c'est
00:38:57une différence
00:38:58que nous avons
00:38:59en tout cas
00:38:59avec le macro-liste
00:39:01c'est que moi
00:39:01je ne l'ai jamais cru
00:39:02en même temps
00:39:02cette idée
00:39:02qu'on pouvait être
00:39:03et de droite
00:39:04et de gauche
00:39:04me semble avoir été
00:39:05une erreur
00:39:06et je crois
00:39:07que ça a conduit
00:39:08aussi le pays
00:39:08à cette impasse
00:39:09et la réalité
00:39:10c'est qu'à un moment
00:39:11il faut choisir
00:39:12la vie politique
00:39:12est faite d'alternance
00:39:13entre la droite
00:39:14et la gauche
00:39:14et nous devons-nous
00:39:15à droite
00:39:15jouer pleinement
00:39:16notre rôle
00:39:17et ne pas avoir peur
00:39:18de la gauche
00:39:19qui aujourd'hui
00:39:20a beaucoup perdu
00:39:21de son magistère moral
00:39:21parce que la réalité
00:39:22a montré
00:39:23que ces lubies
00:39:24étaient ce qu'elles étaient
00:39:26à savoir effectivement
00:39:27des lubies
00:39:28cette idée
00:39:28qu'on pouvait vivre mieux
00:39:29en travaillant moins
00:39:29voilà une idée
00:39:31sur laquelle beaucoup
00:39:32ont vécu pendant 40 ans
00:39:33avec la retraite
00:39:34à 60 ans
00:39:34avec les 35 heures
00:39:36résultat
00:39:37on s'est appauvris
00:39:37comme jamais
00:39:38on découvre
00:39:38qu'on a un problème
00:39:38de pouvoir d'achat
00:39:39qu'on s'est appauvris
00:39:40par rapport aux américains
00:39:41je n'en parle même pas
00:39:42mais par rapport aux allemands
00:39:43mais on s'est appauvris
00:39:44parce que les allemands
00:39:45eux
00:39:45ils ont travaillé plus
00:39:46ils ont créé plus de richesses
00:39:48ensuite
00:39:48ils parlent de la répartition
00:39:50de cette richesse
00:39:51nous nous étripons
00:39:52continuellement
00:39:53sur la question
00:39:53de la redistribution
00:39:54d'une richesse
00:39:55que nous ne créons même plus
00:39:56et voilà la réalité
00:39:57ça c'est un dom
00:39:58qui a vécu pendant longtemps
00:39:59il est temps d'y mettre fin
00:40:01si on veut demain
00:40:02et bien vivre mieux
00:40:03en France
00:40:04il va falloir travailler
00:40:05davantage
00:40:06collectivement
00:40:07bien sûr
00:40:07ça ne veut pas dire
00:40:08qu'il n'y a pas des gens
00:40:08qui travaillent déjà beaucoup
00:40:09mais d'abord
00:40:10il va falloir travailler plus longtemps
00:40:11si on veut garder
00:40:12un régime de retraite
00:40:13par répartition
00:40:13et ensuite
00:40:14il va falloir évidemment
00:40:16que tout le monde
00:40:16se mette au travail
00:40:17parce que dans notre pays
00:40:18nous avons trop de gens
00:40:20qui ne travaillent pas
00:40:20et qui vivent uniquement
00:40:22des allocations sociales
00:40:23en France
00:40:24ce sont des gens
00:40:25qui sont en vraie difficulté
00:40:26en situation de handicap
00:40:27je n'ai aucun problème
00:40:28je crois à cette solidarité nationale
00:40:29mais il y a aussi des gens
00:40:31qui abusent du système
00:40:32et qui profitent
00:40:34d'un modèle social
00:40:34très généreux
00:40:35alors qu'ils pourraient travailler
00:40:36et d'ailleurs
00:40:37s'ils le veulent
00:40:38il faut les y aider
00:40:39mais on ne peut pas
00:40:40continuer à financer
00:40:41un modèle aussi généreux
00:40:42avec aussi peu de gens
00:40:42qui travaillent
00:40:43et de moins en moins longtemps
00:40:45puisque je vous rappelle
00:40:46que le parti socialiste
00:40:47et d'autres
00:40:47écologistes
00:40:48veulent maintenant
00:40:49la semaine de 32 heures
00:40:50donc vous voyez
00:40:51qu'il faut absolument maintenant
00:40:52qu'on assume pleinement
00:40:53nos convictions
00:40:53jusqu'au bout
00:40:54je peux vous dire
00:40:55que Bruno Rotaillot
00:40:55est déterminé
00:40:56à faire ce travail
00:40:58parce que
00:40:59sinon le pays
00:41:01ne se relèvera pas
00:41:02et moi je ne veux pas
00:41:03me réveiller en 2027
00:41:04avec un second tour
00:41:05entre Marine Le Pen
00:41:07et Jean-Luc Mélenchon
00:41:07et que le pays
00:41:09continue de s'enfoncer
00:41:10dans l'insécurité
00:41:11dans l'exposition
00:41:11des flux migratoires
00:41:14dans la dévalorisation
00:41:15du travail
00:41:16dans une dette abyssale
00:41:17et le débat budgétaire
00:41:18est devant nous
00:41:18et nous verrons
00:41:19ce qui va se passer
00:41:19mais nous avons besoin
00:41:20de réformes structurelles
00:41:21tellement profondes
00:41:22qu'une absence de majorité
00:41:23rend ce travail
00:41:24en réalité très hypothétique
00:41:26et donc tout ce travail
00:41:27là aujourd'hui
00:41:27il n'y a qu'à droite
00:41:28qui peut le faire
00:41:29une droite renouvelée
00:41:30une droite qui doit
00:41:30savoir se réinventer
00:41:31qui doit faire aussi
00:41:32son inventaire
00:41:33sur les éleurs du passé
00:41:34nous avons été parfois
00:41:35en soumission intellectuelle
00:41:36je l'ai dit
00:41:37et puis une droite
00:41:38qui doit faire ce travail
00:41:39méthodiquement
00:41:39ville par ville
00:41:41avec tous les élus
00:41:42tous les cadres
00:41:43tous les militants
00:41:44qui le voudront
00:41:44tous les sympathisants
00:41:45qui nous regardent aujourd'hui
00:41:46avec sinon de l'intérêt
00:41:48au moins de la curiosité
00:41:49mais c'est un début
00:41:50et ce début je crois
00:41:50il est prometteur
00:41:51et avec votre aide
00:41:52on va y arriver
00:41:53parce que notre pays
00:41:53en a bien besoin
00:41:54merci du fond du coeur
00:41:55pour votre soutien
00:41:55merci au point
00:41:59il y a
00:42:00une fois de la d'heure
00:42:02on va faire un petit quart d'heure
00:42:04de questions réponses
00:42:07je sais que
00:42:08plusieurs
00:42:08voulaient poser des questions
00:42:11merci
00:42:14bonsoir
00:42:19ça va mieux
00:42:21je m'appelle
00:42:22Cécile Envieux
00:42:23je viens de Bourg-la-Reine
00:42:25je suis conseillère
00:42:25principale à Bourg-la-Reine
00:42:27j'ai entendu
00:42:28ce discours
00:42:29et j'apprécie
00:42:30effectivement
00:42:31cette socialité
00:42:32qui est aussi
00:42:32une valeur
00:42:33que je partage
00:42:34j'ai un souci
00:42:38aujourd'hui
00:42:39clairement
00:42:39je vous explique
00:42:40ce qui se passe
00:42:41sur notre ville
00:42:41on a un problème
00:42:44avec le maire
00:42:45actuellement en place
00:42:45nous
00:42:46on était LR
00:42:47il n'y a plus
00:42:48de LR
00:42:49sur sa liste
00:42:50actuellement
00:42:50on est tous sortis
00:42:52on s'est désolidarisés
00:42:53on a un maire
00:42:54qui gaspille
00:42:55clairement
00:42:56l'argent
00:42:56de notre commune
00:42:57on a un maire
00:42:58qui a basculé
00:42:59totalement à gauche
00:43:00aujourd'hui
00:43:01qui a fait un projet
00:43:02où on avait
00:43:0230%
00:43:03de logements
00:43:04sociaux
00:43:05et éducatifs
00:43:05et on est passé
00:43:06à 90%
00:43:08aujourd'hui
00:43:08et il a touché
00:43:09dans notre dos
00:43:10aujourd'hui
00:43:11je suis en train
00:43:12de constituer
00:43:13des listes
00:43:14et je vais
00:43:15nous prémenter
00:43:16donc
00:43:17est-ce que
00:43:18on peut compter
00:43:18sur les LR
00:43:19pour nous soutenir
00:43:20dans cette démarche
00:43:22je sais que c'est un peu cash
00:43:23désolé
00:43:24mais
00:43:24c'est intérité
00:43:25cher madame
00:43:26cash
00:43:27n'est pas un problème
00:43:28et si on est là
00:43:28on est là en famille
00:43:29et je vous le dis
00:43:30vraiment
00:43:30il n'y a aucune remarque
00:43:31il n'y a aucune question
00:43:32des obligantes
00:43:33il n'y a pas de mauvaise question
00:43:34il n'y a que de mauvaise réponse
00:43:35donc vraiment
00:43:35sentez-vous parfaitement libre
00:43:36sinon ça n'a pas d'intérêt
00:43:38si on fait
00:43:38semblant
00:43:39moi j'aimerais vraiment
00:43:40qu'on se parle
00:43:40à cœur ouvert
00:43:41pour autant
00:43:42je ne vais pas commenter
00:43:43une situation particulière
00:43:44que je ne connais pas
00:43:44je serai dans les Yvelines
00:43:47où je suis président
00:43:48de ma fédération
00:43:48j'ai une attention
00:43:50sur toutes les villes
00:43:50je ne connais pas
00:43:51cette situation-là
00:43:52et on va regarder
00:43:53une fédération
00:43:54qui doit faire son travail
00:43:56qui va regarder
00:43:56avec le président de fédération
00:43:59Philippe Jumas
00:43:59qui se fait un départemental
00:44:00à l'année de Cotier-Dumas
00:44:01et j'imagine
00:44:02que vous avez des échanges
00:44:03avec eux
00:44:03il faut d'abord
00:44:04qu'ils se positionnent
00:44:05c'est d'abord les fédérations
00:44:05qui préparent le travail
00:44:06sur les municipales
00:44:07mais je vais vous dire
00:44:08quelques considérations
00:44:09de principes
00:44:10importantes
00:44:10que nous avons rappelées
00:44:11au Conseil National
00:44:12à l'occasion de ces municipales
00:44:13d'abord je veux dire
00:44:15très clairement
00:44:15il n'y a pas
00:44:16d'accord d'appareil
00:44:17pour les municipales
00:44:18au niveau national
00:44:19les municipales
00:44:22ce sont des situations locales
00:44:23c'est du cas par cas
00:44:24c'est précis
00:44:25du cas par cas
00:44:26et notre stratégie
00:44:28chez Républicain
00:44:29elle est très claire
00:44:30en deux points
00:44:31premièrement
00:44:31faire progresser
00:44:32LR
00:44:33et donc partout
00:44:35nous le pourrons
00:44:35partout nous le pourrons
00:44:36avoir des candidats
00:44:37évidemment LR
00:44:38partout nous le pourrons
00:44:39avec un maximum d'élus LR
00:44:41j'ai presque l'impression
00:44:42qu'on doit s'excuser
00:44:43désormais
00:44:43d'avoir envie
00:44:44de gagner des élections
00:44:45et d'avoir un maximum d'élus
00:44:46ça me paraît logique
00:44:47et c'est logique
00:44:47de n'importe quel parti
00:44:48les autres sont dans le même état
00:44:49d'esprit
00:44:49c'est normal
00:44:50mais il faut l'assumer
00:44:50deuxième objectif
00:44:52faire parage à la gauche
00:44:53donc là où
00:44:55pour le coup
00:44:56la gauche pourrait l'emporter
00:44:58nous avons le devoir
00:44:58de responsabiliser
00:44:59vis-à-vis de nos électeurs
00:45:00donc ça
00:45:01voilà
00:45:03il n'y a rien de pire
00:45:04alors vous allez peut-être me dire
00:45:05j'ai des journalistes
00:45:06qui disent régulièrement
00:45:07ils ne vous disent pas
00:45:08le Rassemblement National
00:45:08le Rassemblement National
00:45:09a assez peu de villes
00:45:10à gagner
00:45:11singulièrement ici
00:45:12dans les Hauts-de-Seine
00:45:12il me semble
00:45:13voilà
00:45:13par contre il y a des villes
00:45:15qui sont à gauche
00:45:15qu'on pourrait faire basculer
00:45:17si c'est une union large
00:45:18évidemment qu'il faut l'envisager
00:45:20et puis il y a des villes
00:45:21où on n'a pas
00:45:21la votre tête de liste
00:45:22on n'a pas les bons candidats
00:45:23donc ça s'apprécie
00:45:23au cas par cas
00:45:24mais il n'y a pas
00:45:25d'accord
00:45:25d'appareil national
00:45:27ça ne se décidera pas
00:45:28par les états-majors
00:45:29c'est du cas par cas
00:45:29donc je ne connais pas
00:45:30ce cas précis
00:45:31et je suis à votre disposition
00:45:32pour échanger
00:45:33et regarder bien sûr
00:45:34mais voilà
00:45:35les principes généraux
00:45:36sont ceux-là
00:45:37ils méritent d'être rappelés
00:45:38ils méritent évidemment
00:45:38d'être déployés
00:45:39sur le terrain
00:45:40de cette manière-là
00:45:41et je vous l'ai dit
00:45:42moi je pense qu'on a besoin
00:45:42de clarté
00:45:43on a besoin de clarté
00:45:44si on explique
00:45:46que tous les partis
00:45:47c'est exactement la même chose
00:45:49alors faisons un seul parti
00:45:50c'est pas le cas aujourd'hui
00:45:51et encore une fois
00:45:52et ce sont les cas
00:45:53qui s'apprécient
00:45:54au cas par cas
00:45:55et je pense que
00:45:56les autres partis
00:45:57sont exactement dans le même état d'esprit
00:45:58c'est tout à fait normal
00:45:59voilà ce que pouvez vous dire
00:46:01mais je suis à votre disposition
00:46:02pour échanger
00:46:02Autre question
00:46:04Bonsoir
00:46:10je suis Roy Watt
00:46:13je suis Roy Watt
00:46:16depuis plusieurs dizaines d'années
00:46:19j'ai été reparti
00:46:21j'en suis parti
00:46:24là j'ai plus revenu
00:46:25et je vais avoir une question
00:46:27d'ordre stratégique
00:46:29à l'horizon de 2027
00:46:31je pense que le combat essentiel
00:46:34va être d'être au deuxième tour
00:46:37et pas d'avoir des belles idées
00:46:40mais si on est en troisième position
00:46:42on n'aura aucune chance
00:46:44de les faire appliquer
00:46:45donc je voudrais savoir
00:46:47dans cette optique là
00:46:48comment vous envisagez les choses
00:46:52j'ai entendu ce que vous avez dit
00:46:54sur le RN
00:46:55j'ai entendu ce que vous avez dit
00:46:58sur le centre mou
00:46:59ni gauche ni droite
00:47:00est-ce que
00:47:02vous envisagez
00:47:04un programme
00:47:05d'union de la droite
00:47:06et si oui
00:47:08avec qui
00:47:09et sur quelle base
00:47:10pour avoir une chance
00:47:11encore une fois
00:47:12d'être au deuxième tour
00:47:14pour peser sur l'avenir du pays
00:47:16c'est une très bonne question
00:47:22par 40 degrés
00:47:23et je vais essayer de répondre
00:47:24en suivant le moins possible
00:47:26à cette question
00:47:27évidemment stratégique
00:47:27plusieurs choses
00:47:28d'abord
00:47:30je pense pouvoir parler
00:47:31au nom de Bruno Retaille
00:47:32en vous disant ça
00:47:33nous ne croyons pas
00:47:34à la segmentation électorale
00:47:35nous ne croyons pas
00:47:37à ces stratégies
00:47:37qui consistent à dire
00:47:38je vais prendre deux points
00:47:39à un tel
00:47:40et puis je vais prendre un point tel
00:47:41et puis aujourd'hui
00:47:42je vais parler un peu plus fort
00:47:43pour plaire aux électeurs
00:47:44qui regardent de ce côté-là
00:47:45et puis demain
00:47:46je vais prendre les habits
00:47:47de la modernité
00:47:48pour parler plus tôt
00:47:48d'un électorat
00:47:49c'est insupportable
00:47:50et ça a tué la politique
00:47:51je vous le dis vraiment
00:47:52comme je le pense
00:47:53et vous avez vu Bruno Retailleau
00:47:54il est comme il est
00:47:55et je crois que c'est ça
00:47:56qui est apprécié
00:47:57il est fidèle
00:47:58parce qu'il a toujours pensé
00:47:59à des convictions
00:48:00à une manière d'être
00:48:02à une manière de faire
00:48:03et vraiment
00:48:04ce n'est pas un personnage
00:48:05je crois que la vie politique
00:48:06aujourd'hui est devenue
00:48:06une espèce de théâtre d'ombre
00:48:08où les gens jouent des rôles
00:48:09et je pense
00:48:09par le niveau national
00:48:10je pense que
00:48:11d'avoir cet authenticisme
00:48:12c'est important
00:48:13donc ce qui fait
00:48:14que ça a marché aujourd'hui
00:48:15qui a l'intérêt pour lui
00:48:16c'est qu'il est positionné
00:48:18de cette manière-là
00:48:18pourquoi voulez-vous
00:48:19que tout à coup
00:48:20on ait des stratégies
00:48:21qui consistent à se dire
00:48:22il faut qu'on s'allie
00:48:22avec un tel moyen
00:48:23moi je n'y crois pas
00:48:24vous parlez d'union de la droite
00:48:25bon d'abord pardon
00:48:27de vous dire
00:48:27qu'il n'y a qu'une droite
00:48:28c'est chez nous
00:48:29il y a des gens
00:48:31qui se sentent de droite
00:48:32et qui ne sont pas républicains
00:48:33c'est tout à fait respectable
00:48:34mais je ne crois pas
00:48:35à l'union des droites
00:48:35je ne le crois pas
00:48:37je vous l'ai dit
00:48:37qu'on a un programme économique
00:48:38qui est le même
00:48:39que celui de l'extrême gauche
00:48:41je ne vois pas
00:48:42sur quelle base
00:48:43peut se faire cette union-là
00:48:44je vous le dis vraiment
00:48:44comme je le pense
00:48:45et puis surtout
00:48:46ce n'est pas nous
00:48:47qui décidons
00:48:48ce sont les électeurs
00:48:49je vais dire autrement
00:48:50moi je ne crois pas
00:48:50entre à l'union
00:48:51des électeurs de droite
00:48:52ce que je crois moi
00:48:53c'est que
00:48:54les accords
00:48:54ça ne marche jamais
00:48:55ça n'est pas souhaitable
00:48:57et je vous l'ai dit
00:48:57il y a des divergences
00:48:58qui font que ça ne peut pas arriver
00:49:00vous pourriez me dire
00:49:01la même chose d'ailleurs
00:49:02avec Edouard Philippe
00:49:03beaucoup disent
00:49:03il faut un accord
00:49:04avec Edouard Philippe
00:49:04mais ça ne marche pas comme ça
00:49:06ce n'est pas de personnes
00:49:07qui vont s'enfermer dans une pièce
00:49:08ce n'est pas d'accord
00:49:08rien ne vous dit
00:49:09que les électeurs suivront
00:49:10ça ne marche pas comme ça
00:49:11et puis là aussi
00:49:11il y a
00:49:12et c'est normal
00:49:12des divergences
00:49:13mais simplement
00:49:14je crois que ce sont
00:49:15les électeurs de droite
00:49:16qui doivent à un moment
00:49:17se choisir un candidat
00:49:18un candidat unique
00:49:20je crois qu'il y a un moment
00:49:21je l'espère
00:49:21en tout cas
00:49:22où il y en a un
00:49:22qui va prendre le pas
00:49:24sur les autres
00:49:24qui va prendre le pas
00:49:25sur les autres
00:49:25je vous rappelle que
00:49:26il y a quelques mois
00:49:27nous étions totalement morts
00:49:28aujourd'hui
00:49:29on est testé
00:49:30sans même avoir
00:49:30de candidat déclaré
00:49:31à 11-12 points
00:49:33pour la présidentielle
00:49:34dans certains scénarios
00:49:35à 16 points
00:49:36donc
00:49:37il s'est passé quelque chose
00:49:39à la faveur
00:49:39de cet arrêt de responsabilité
00:49:41profitons-en
00:49:41restons fidèles à nos valeurs
00:49:43ne jouons pas
00:49:44avec les gens
00:49:45très franchement
00:49:45on n'en peut plus de ça
00:49:46et j'espère
00:49:47que ça va nous permettre
00:49:48d'unir
00:49:49c'est ce qui est en train
00:49:49de se passer pour l'instant
00:49:50un maximum
00:49:51d'électeurs de droite
00:49:51les 120 000
00:49:52dont je vous parlais
00:49:53ce sont des gens
00:49:53qui étaient partis
00:49:54vous en êtes la preuve monsieur
00:49:55vous étiez partis
00:49:56vous étiez déçu
00:49:57puis là vous vous dites
00:49:57il se passe peut-être
00:49:58quelque chose
00:49:59ça a l'air intéressant
00:50:00c'est peut-être lui
00:50:01on verra
00:50:02lui ou un autre
00:50:02en tout cas
00:50:03c'est peut-être de ce côté-là
00:50:04que ça va se faire
00:50:05mais c'est ça
00:50:05l'union que vous voulez en réalité
00:50:07ce n'est pas l'union des appareils
00:50:08ce n'est pas les accords d'appareils
00:50:09c'est l'union des électeurs de droite
00:50:11et ce sont des gens
00:50:12pardon
00:50:13mais qui votaient tous ensemble
00:50:14jusque là
00:50:14qui votaient tous ensemble
00:50:16qui veulent tous
00:50:16l'ordre dans la rue
00:50:17l'ordre dans les comptes publics
00:50:19l'ordre aux frontières
00:50:20qui veulent tous
00:50:21renouer le travail
00:50:22tout ce que je vous ai dit
00:50:23est partagé en réalité
00:50:24par
00:50:24allez 30-40%
00:50:26a été l'électorat
00:50:27au moins par les 20%
00:50:28qui ont voté François Fillon
00:50:29jusqu'au premier tour
00:50:30en 2017
00:50:31et probablement davantage
00:50:32ils se sont éparpillés
00:50:34pour un tas de raisons
00:50:35aujourd'hui
00:50:36il faut les unir à nouveau
00:50:37c'est la seule chose qui compte
00:50:38et ça ne se fait pas
00:50:39par des accords d'appareils
00:50:41pour un détendu
00:50:41politique
00:50:42je n'y crois pas
00:50:43et en plus
00:50:43ce n'est pas mon souhait
00:50:44donc voilà
00:50:45j'essaie de répondre très clairement
00:50:47maintenant
00:50:49voilà
00:50:49je ne maîtrise pas le calendrier
00:50:51il va se passer beaucoup de choses
00:50:52nous verrons d'ici là
00:50:53nous avons dit
00:50:54qu'aujourd'hui
00:50:55l'objectif c'est
00:50:55ce sont les élections
00:50:56municipales
00:50:56le lendemain
00:50:57des élections municipales
00:50:58nous verrons
00:50:58quelle est la configuration
00:50:59qui se présente
00:51:00mais nous aurons un candidat
00:51:02pour l'élection présidentielle
00:51:03un candidat de droit
00:51:04très clair
00:51:05et je crois
00:51:06que c'est une offre politique
00:51:07qui pourrait unir à nouveau
00:51:08une majorité d'électeurs
00:51:09suffisante
00:51:09pour nous mener au second tour
00:51:10autrement
00:51:12je ne vois pas comment on y arrive
00:51:12voilà
00:51:14pour vous répondre très franchement
00:51:16oui
00:51:17si je pouvais rajouter une chose
00:51:18pendant le campagne
00:51:19boire un petit coup
00:51:20c'est là
00:51:22où on a un gros travail
00:51:23à faire nous
00:51:24est-ce que vous êtes revenu
00:51:26monsieur
00:51:27vous êtes revenu
00:51:27par rapport à Bruno Rotaillou
00:51:29et nous
00:51:30il faut qu'on aille chercher
00:51:31chacun
00:51:31deux
00:51:32trois
00:51:32quatre
00:51:33cinq personnes
00:51:34pas forcément le faire revenir
00:51:36à LR
00:51:36s'il revient à LR
00:51:38tant mieux
00:51:38ça apporte du sou
00:51:40au mouvement
00:51:41qui en a bien besoin
00:51:42parce que tu n'as pas dit
00:51:43de choses
00:51:44sur cette question
00:51:45mais surtout
00:51:46ça nous permet
00:51:47de pouvoir
00:51:48étendre
00:51:48notre maille
00:51:50et notre filet
00:51:51et d'agir
00:51:53du plus possible
00:51:53et c'est ça le travail
00:51:55qu'on va avoir à faire
00:51:56oui
00:51:56on va mettre en place
00:51:57des groupes de travail
00:51:58pour réfléchir
00:51:59aux projets
00:52:00et adresser
00:52:01nos contributions
00:52:02au niveau national
00:52:04oui
00:52:04on va aller sur les marchés
00:52:05oui
00:52:06on va coller
00:52:06oui
00:52:07on va faire quelque chose
00:52:07mais le premier travail
00:52:09qu'on va avoir à faire
00:52:10c'est dans notre famille
00:52:11c'est dans nos amis
00:52:12c'est instiller
00:52:14un message
00:52:15qui aujourd'hui
00:52:16est de plus en plus défini
00:52:17et qui nous permet
00:52:18de reprendre le terrain
00:52:20et d'agir sur le terrain
00:52:21à ce niveau là
00:52:22après une fois
00:52:23que le candidat est désigné
00:52:24il aura déjà un tapis
00:52:26qui lui permettra
00:52:27d'avancer
00:52:27et de manière plus importante
00:52:29on le voit aujourd'hui
00:52:30avec Bruno
00:52:30qui a du monde
00:52:32dans toutes ses réunions publiques
00:52:33parce qu'il tourne
00:52:35comme ministre
00:52:35mais quand il a fini
00:52:37de faire le ministre
00:52:38le soir
00:52:38il a des réunions publiques
00:52:40dans tous les départements
00:52:41où il va
00:52:41systématiquement
00:52:43et là
00:52:44il y a de plus en plus
00:52:45de monde
00:52:45donc il y a des gens
00:52:46qui sont curieux
00:52:47et qui viennent voir
00:52:48et il y en a des gens
00:52:49qui viennent pas
00:52:49adhérer
00:52:50au message
00:52:52qu'ils développent
00:52:52et c'est ça
00:52:53qui est le plus important
00:52:55et essentiellement lui
00:52:56autre question
00:52:58ah il y en a partout
00:52:59après il y a le jeune homme
00:53:01là-bas
00:53:02Didier Chopin
00:53:03j'ai une question
00:53:04justement
00:53:05dans le sens
00:53:05de ce que tu viens de dire
00:53:06pour essayer
00:53:08de convaincre
00:53:09les gens
00:53:10soit de rallier
00:53:11notre parti
00:53:12soit
00:53:13de voter
00:53:15comme nous le souhaitons
00:53:16il faut aussi
00:53:17qu'on sache
00:53:18quelles sont
00:53:19les positions
00:53:20des républicains
00:53:21sur certains points
00:53:22je voudrais aborder
00:53:24justement
00:53:24le problème
00:53:25des retraites
00:53:26car en ce moment
00:53:27beaucoup de vous
00:53:27y circule
00:53:28on sait pas
00:53:29très bien
00:53:30quelle est la position
00:53:31des républicains
00:53:32à ce sujet
00:53:33entre autres
00:53:34on parle
00:53:34de supprimer
00:53:35la maténie
00:53:3610%
00:53:37de la demande
00:53:38d'indexation
00:53:38etc
00:53:39etc
00:53:39pour éponger
00:53:41le déficit
00:53:43des retraites
00:53:44on mélange
00:53:44d'ailleurs
00:53:45beaucoup
00:53:45les retraites
00:53:46du privé
00:53:47à Gire Carco
00:53:48avec celles
00:53:50du public
00:53:50et des collectivités
00:53:52locales
00:53:53et des régimes
00:53:54spéciaux
00:53:55donc
00:53:56j'aimerais bien connaître
00:53:58la position
00:53:58des républicains
00:53:59à ce sujet
00:54:00je vous réponds
00:54:07directement
00:54:08sur cette question
00:54:08monsieur
00:54:09vous avez raison
00:54:10s'il faut la clarifier
00:54:11mais s'il faut la clarifier
00:54:11ça m'inquiète
00:54:12mais je sais
00:54:13qu'il y a bien des sujets
00:54:13sur lesquels parfois
00:54:14le message n'est pas clair
00:54:16on se souvient d'ailleurs
00:54:17quand je vous ai parlé
00:54:18de la commune
00:54:19du moment de l'adoption
00:54:19de la réforme des retraites
00:54:21même s'il y avait
00:54:22une majorité
00:54:22de députés
00:54:24acceptaient
00:54:26de laisser passer
00:54:27cette réforme
00:54:28même si elle n'était
00:54:28pas parfaite
00:54:29il y en a d'autres
00:54:29qui ne l'avaient pas accepté
00:54:30et ça avait occasionné
00:54:32un très grand trouble
00:54:32et un très grand manque
00:54:34de visibilité
00:54:34dans notre offre politique
00:54:35donc ça ce n'était pas possible
00:54:36et moi je l'ai toujours assumé
00:54:38encore une fois
00:54:39la constance
00:54:39en 2022
00:54:40pour l'élection présidentielle
00:54:41on était porte-parole
00:54:43d'une candidate
00:54:43de l'autre candidate
00:54:44qui proposait
00:54:46la retraite
00:54:47de décaler l'âge légal
00:54:48à 65 ans
00:54:49je ne me voyais pas
00:54:50neuf mois plus tard
00:54:50expliquer que 64 ans
00:54:52c'était insoutenable
00:54:53soyons sérieux
00:54:54je pense vraiment
00:54:55qu'il faut qu'on
00:54:56soit toujours sérieux
00:54:57et qu'on soit là aussi
00:54:58le parti des gens
00:55:00un peu sérieux
00:55:00voilà
00:55:00sur les sujets là
00:55:01je vous réponds très clairement
00:55:02d'abord toute solution
00:55:03qui consiste à expliquer
00:55:04qu'on peut garder
00:55:05un régime de retraite
00:55:05par répartition
00:55:06sans travailler plus longtemps
00:55:09est une supercheur
00:55:10il faudrait refuser
00:55:11donc
00:55:12tout ce qui vous dit
00:55:13va
00:55:13il faut accepter ce principe là
00:55:14ça c'est
00:55:15si on est attaché
00:55:15au régime de retraite
00:55:16par répartition
00:55:17et donc
00:55:18et bien oui
00:55:19aujourd'hui
00:55:19on a sur la base de 64 ans
00:55:21faudra-t-il aller plus loin
00:55:22nous verrons
00:55:23mais pourquoi
00:55:24d'autres ont imaginé
00:55:25des systèmes
00:55:25dans lesquels
00:55:26et bien tous les ans
00:55:27on rajoute automatiquement
00:55:28quelque chose
00:55:29qui est indexé finalement
00:55:29sur l'espérance de vie
00:55:30puisque si vous avez
00:55:31moins d'actifs
00:55:32et c'est tant mieux
00:55:35des retraités
00:55:36qui vivent plus longtemps
00:55:36il faut s'en féliciter
00:55:38et bien évidemment
00:55:38qu'à un moment
00:55:39ça n'est pas équilibré
00:55:40le système n'est pas équilibré
00:55:41et donc
00:55:42un partage de l'autre
00:55:42vous avez trois solutions
00:55:43ou vous allongez à l'âge légal
00:55:45vous pouvez travailler
00:55:45les actifs plus longtemps
00:55:46ou vous augmenter
00:55:48les cotisations
00:55:48c'est-à-dire
00:55:49vous réduisez le net
00:55:50donc ça
00:55:51il faut s'en rendre compte
00:55:53c'est pas ce que nous souhaitons
00:55:54quand on a un problème
00:55:55de pouvoir d'achat
00:55:55comme on l'a dit
00:55:56parce que
00:55:57voilà
00:55:57mais ça réglerait le problème
00:55:59mais nous ne le souhaitons pas
00:56:00et sinon vous baissez les tensions
00:56:01nous ne le souhaitons pas non plus
00:56:03donc à partir de là
00:56:04le seul levier
00:56:05dans un système
00:56:06de traite par répartition
00:56:07avec cette évolution démographique là
00:56:09c'est l'allongement
00:56:10de l'âge légal
00:56:10après
00:56:12il y a
00:56:13chez nous aussi
00:56:13au sein du parti
00:56:15l'idée
00:56:16d'une dose de capitalisation
00:56:17il faudrait introduire
00:56:18d'ailleurs
00:56:18il faut savoir que
00:56:20nos fonctionnaires
00:56:21ont eux
00:56:21une dose de capitalisation
00:56:23avec un fonds
00:56:24qui est dédié
00:56:24donc je ne vois pas très bien
00:56:26pourquoi
00:56:26les autres ne pourraient pas
00:56:27en bénéficier
00:56:27ça ne règle pas le problème
00:56:29parce qu'on ne peut pas basculer
00:56:30de l'un à l'autre
00:56:30du jour au lendemain
00:56:31aujourd'hui les actifs
00:56:31payent pour les retraités
00:56:32donc il n'y a pas de capital nulle part
00:56:34et donc vous ne pouvez pas
00:56:35basculer du jour au lendemain
00:56:36mais il faudrait
00:56:36de l'envisager
00:56:37certains chez nous
00:56:38portent cette idée là
00:56:39chez Eric Unicain
00:56:40il faudra que
00:56:41on commence à la mettre en oeuvre
00:56:42mais ça ne réglera pas
00:56:43le problème
00:56:44quant à la question
00:56:44de l'abattement
00:56:45sur laquelle vous m'interpellerez
00:56:46donc Bruno Rotaillot
00:56:47s'est exprimé très très clairement
00:56:48en défaveur
00:56:49de la suppression
00:56:50de l'abattement
00:56:50d'abord pour une première raison
00:56:52supprimer l'abattement
00:56:55aujourd'hui
00:56:56c'est augmenter les impôts
00:56:56parce que c'est l'abattement
00:56:58évidemment
00:56:58sur l'impôt sur le revenu
00:56:59et là vraiment
00:57:00ça c'est une maladie française
00:57:02qui consiste à penser
00:57:03qu'on peut régler
00:57:04chaque problème de notre pays
00:57:05avec une hausse
00:57:05d'impôts supplémentaires
00:57:06et quand on a le record
00:57:08des prélèvements obligatoires
00:57:09c'est la réalité
00:57:10quasiment bon
00:57:11eh bien
00:57:12on ne réglera aucun problème
00:57:14en rajoutant des impôts
00:57:15donc il n'y a pas de solution
00:57:16dans laquelle
00:57:17la pression fiscale
00:57:18s'alourdit
00:57:19y compris sur nos retraités
00:57:20et si je peux me permettre
00:57:21y compris sur les retraités
00:57:23les plus aisés
00:57:23parce que pour moi
00:57:24alors qu'est-ce qu'on appelle
00:57:25les plus aisés
00:57:25à chaque fois que dans notre pays
00:57:26on dit
00:57:27qu'on va prendre de l'argent
00:57:28uniquement aux plus aisés
00:57:29ça finit sur les classes moyennes
00:57:30parce qu'évidemment
00:57:31la CET n'est pas assez large
00:57:32donc si on a toute solution
00:57:34qui consiste à expliquer
00:57:35qu'on va équilibrer nos comptes
00:57:36en augmentant encore les impôts
00:57:38même quand on vous dit
00:57:39c'est sur les plus aisés
00:57:39ça finit sur les classes moyennes
00:57:41et donc ça n'est pas possible
00:57:42et donc
00:57:43cette idée de supprimer l'abattement
00:57:45est une mauvaise solution
00:57:47à un vrai problème
00:57:48le vrai problème je l'ai dit
00:57:49donc voilà
00:57:49il faut la suivre en tant que tel
00:57:51on se trouve que dans le conclave
00:57:52qui a été réuni
00:57:53enfin tout ça n'est pas
00:57:54à l'ordre du jour
00:57:54de toute façon
00:57:55ce n'est pas une mesure
00:57:56pour équilibrer les retraites
00:57:57c'est une mesure
00:57:58pour équilibrer le budget
00:57:59de la sécurité sociale
00:58:00voilà
00:58:01y compris d'ailleurs
00:58:02la question de l'indexation
00:58:03des pensions de retrait
00:58:03sur laquelle
00:58:05nous avions poussé
00:58:07pour que ce soit
00:58:07une demi-indexation
00:58:08décalée dans le temps
00:58:09bon voilà
00:58:09vous pouvez imaginer
00:58:10bien sûr des efforts
00:58:11demandés à certains
00:58:12mais ça ne peut pas être
00:58:13une hausse d'impôt
00:58:14ça ne peut pas être
00:58:14la suppression de l'abattement
00:58:15pour les retraités
00:58:16voilà
00:58:17le retraite s'est exprimé
00:58:18très clairement
00:58:18sur ce sujet là
00:58:20voilà ce que je pouvais vous dire
00:58:20sur la question des retraites
00:58:21mais la réalité c'est qu'avec
00:58:23aujourd'hui une chute
00:58:23de la natalité
00:58:24qui est importante
00:58:26le problème encore devant
00:58:29on n'est pas assez de 4 actifs
00:58:31pour un retraité
00:58:32alors 1,7 actifs
00:58:33pour un retraité
00:58:34vous voyez comme le régime
00:58:35est déséquilibré
00:58:36la réalité c'est qu'aujourd'hui
00:58:3764 ans ne suffisent plus
00:58:39c'est une évidence
00:58:40et donc le problème
00:58:43est toujours devant nous
00:58:43et on court toujours
00:58:44avec un peu de retard
00:58:45et avec parfois
00:58:46une des demi-mesures
00:58:47sur un problème
00:58:48qui ne fait que s'aggraver
00:58:49voilà
00:58:49mais aujourd'hui
00:58:51pour vous répondre clairement
00:58:52sur la question des retraites
00:58:52nous refusons la remise en cause
00:58:54de la réforme qui a été votée
00:58:55de toucher à l'âge légal
00:58:56des retraites de rarissé
00:58:58parce que tout simplement
00:58:59c'est un mensonge
00:59:00quand la réalité démographique
00:59:01elle est ce qu'elle est
00:59:02et les chiffres le montrent
00:59:03merci
00:59:05monsieur
00:59:05merci beaucoup
00:59:09déjà pour ce que vous avez fait
00:59:11et pour votre discussion
00:59:12c'était un petit peu plus fort
00:59:14et plus près du micro
00:59:16si si il marche
00:59:17regardez
00:59:18il touche
00:59:19merci beaucoup monsieur
00:59:21déjà pour votre discussion
00:59:23c'était plus intéressant
00:59:24il y a beaucoup de sincérité
00:59:25donc je ne suis retrouvé par là
00:59:26donc merci pour ça
00:59:28la question portée
00:59:29j'ai vu qu'il y a une grosse
00:59:30pierre angulaire
00:59:31sur la sécurité
00:59:32mais je pense que l'économie
00:59:33pour moi
00:59:33c'est également partie
00:59:34de cette période-là
00:59:35qui est très importante
00:59:36aujourd'hui
00:59:36quels sont vos projets
00:59:38pour ça
00:59:39comment c'est des pensées
00:59:40redynamisées
00:59:41le plein dans le pays
00:59:42pour moi également
00:59:43le driver
00:59:44le pays en fait
00:59:45et après pour moi
00:59:46c'est la sécurité
00:59:47et ensuite
00:59:48qu'est-ce qu'il peut-il faire
00:59:48pour les jeunes
00:59:49privés de ces dents
00:59:51parce que là
00:59:51il faut qu'on travaille
00:59:52avec des seniors
00:59:52mais également
00:59:53que les jeunes
00:59:54sont très impactés
00:59:54par ce qu'il se passe
00:59:55aujourd'hui
00:59:55dans l'économie
00:59:56non de moins
00:59:57dans les entreprises
00:59:57dans les grosses entreprises
00:59:59pour les cas
00:59:59des régions supérieures
01:00:00sorties des codes
01:00:02moins accédants
01:00:03car il y a une grosse prise
01:00:05qui se fait actuellement
01:00:07pour les jeunes
01:00:08sur l'achat d'emploi
01:00:09alors
01:00:13sur l'économie
01:00:15je risque de vous surprendre
01:00:16merci d'abord
01:00:17pourquoi
01:00:17ce que vous avez dit
01:00:18merci pour votre question
01:00:19je vous dis comme je le pense
01:00:22je vous ai demandé
01:00:22comment redynamiser l'économie
01:00:24laissons faire les entreprises
01:00:25laissons faire les chefs d'entreprise
01:00:27laissons faire les producteurs
01:00:28laissons faire les agriculteurs
01:00:29et arrêtons de penser
01:00:30que l'État peut tout
01:00:31et peut tout régler
01:00:32et doit tout faire lui-même
01:00:33je crois qu'on en meurt
01:00:35de ce double-là
01:00:36et vraiment
01:00:37si on mettait moins
01:00:39de tous les mobiliers
01:00:40je l'ai dit tout à l'heure
01:00:40à ceux qui créent
01:00:42la richesse dans notre pays
01:00:43je suis certain
01:00:43qu'il y aurait plus de richesse
01:00:44aujourd'hui
01:00:45nous avons 400 000 normes
01:00:47dans ce pays
01:00:47le coût des normes
01:00:49le coût de ces 400 000 normes
01:00:51sur la richesse produite
01:00:52il est de 3 points de pipe
01:00:53c'est pas bon qu'ils disent
01:00:55c'est l'IFRA
01:00:56vous vous rendez compte
01:00:58donc simplement
01:00:58si déjà
01:00:59on leur mettait
01:00:59moins d'obstacles
01:01:00moins de bureaucratie
01:01:02moins de technostructures
01:01:03moins de suradministration
01:01:05on redynamiserait l'économie
01:01:07c'est aussi simple que cela
01:01:08quelqu'un chez nous
01:01:10qui est David Lissnard
01:01:11avait eu cette formule
01:01:12qui lui donnait beaucoup
01:01:12il disait
01:01:13on est tombé dans la république
01:01:14du serpent
01:01:15c'est à dire que tout
01:01:16tout doit passer aujourd'hui
01:01:17par une démarche administrative
01:01:20je vais vous dire
01:01:22c'est filmé
01:01:23je ne peux pas le dire
01:01:24mais je le dirai une autre fois
01:01:25vous le dire en aparté
01:01:26mais j'ai des exemples
01:01:27aujourd'hui de ministres
01:01:28de chez nous au gouvernement
01:01:29qui se heurquent à des décrets
01:01:31qui étaient sur le point
01:01:32d'être pris
01:01:32je peux vous dire
01:01:33qu'heureusement
01:01:33qu'il y a des ministres de droite
01:01:34et qui du coup
01:01:36font qu'on ne fait pas n'importe quoi
01:01:37parce que parfois
01:01:39l'administration
01:01:40n'a pas envie
01:01:41d'appliquer
01:01:42les lois qui ont été votées
01:01:44de la manière la plus extrême
01:01:45qui soit
01:01:45avec encore une fois
01:01:47toujours plus de normes
01:01:48toujours plus de règles
01:01:50et j'ai un exemple
01:01:51que je vous dirai peut-être
01:01:52en aparté après
01:01:53mais c'est invraisemblable
01:01:55la capacité de notre administration
01:01:56à vouloir toujours
01:01:57réguler
01:01:58réguler réguler
01:01:59vous connaissez la fameuse formule
01:02:00ce qui fonctionne
01:02:03on le taxe
01:02:04si ça fonctionne encore
01:02:05on le régule
01:02:06et quand ça ne fonctionne plus
01:02:07on le subventionne
01:02:08voilà le drame
01:02:09dans lequel aujourd'hui
01:02:10on est enfermé
01:02:10qui a contribué
01:02:11à créer notre paupérisation économique
01:02:13donc voilà
01:02:14aujourd'hui
01:02:15il faut libérer les énergies
01:02:16il faut laisser les entreprises
01:02:18les biens à travailler
01:02:18donc elles le discutent
01:02:19moins de normes
01:02:20nos agriculteurs ne demandent pas
01:02:21bien des subventions
01:02:22ils ne demandent pas
01:02:23des aides sociales
01:02:23ils demandent
01:02:24qu'on leur mette moins de bâtons
01:02:25dans les roues
01:02:26qu'on les laisse travailler
01:02:27donc ça je crois
01:02:28que c'est un principe important
01:02:29et là aussi
01:02:29qui n'est pas
01:02:30qui n'a pas beaucoup été défendu
01:02:33dans le débat public
01:02:34depuis très longtemps
01:02:35parce qu'évidemment
01:02:36c'est plus élégant de penser
01:02:37que l'État peut tout faire
01:02:38et doit tout faire
01:02:39ce n'est pas vrai
01:02:40et donc voilà
01:02:41et donc évidemment
01:02:41la maîtrise de la dépense publique
01:02:43c'est une manière aussi
01:02:44de libérer de l'énergie
01:02:45si l'État prend moins
01:02:46si l'État dépense moins
01:02:47et qu'il prend moins
01:02:48sur la richesse produite
01:02:49ça fait plus de richesse
01:02:49à se répartir
01:02:51et le vrai pouvoir d'achat
01:02:52c'est l'argent que l'État
01:02:53vous laisse dans votre poche
01:02:54à la fin du mois
01:02:54c'est ça qu'il faut
01:02:55c'est pas les chèques en blanc
01:02:56ou en bois
01:02:57que fait l'État
01:02:58parce qu'évidemment
01:02:59tout cela est financé
01:02:59sur le dos des générations futures
01:03:01qui auront à payer
01:03:01pendant 20 ou 30 ans
01:03:02le salaire des fonctionnaires
01:03:03d'aujourd'hui
01:03:04mais je ne parle pas
01:03:06des investissements
01:03:06des autoroutes
01:03:07ou des grands problèmes
01:03:08d'infrastructure
01:03:09on n'en fait quasiment plus
01:03:10malheureusement
01:03:10aujourd'hui d'ailleurs
01:03:11le moindre projet
01:03:12voit l'opposition
01:03:14des écologistes
01:03:15voit les HAD se créer
01:03:16voit les obstacles juridiques
01:03:18montrent
01:03:18et bien c'est dans un pays
01:03:20qui ne peut plus
01:03:21porter de nouveaux projets
01:03:23c'est un pays là aussi
01:03:23qui se compérise
01:03:24donc vous voyez
01:03:24qu'il y a une bataille
01:03:25aussi culturelle
01:03:26extrêmement importante
01:03:27à porter sur ces sujets là
01:03:29et justement
01:03:29vous m'avez parlé
01:03:30des primo-accédants
01:03:31on parle bien des jeunes
01:03:32qui veulent acquérir
01:03:33un logement
01:03:33ça ne marche pas encore
01:03:36je ne vais pas vous parler
01:03:37de ceux qui veulent
01:03:37acquérir un logement
01:03:38parce que
01:03:39je vais vous parler
01:03:40des deux
01:03:41mais sûr
01:03:41c'est intéressant
01:03:42parce qu'effectivement
01:03:42on a une crise du logement
01:03:43qui est là
01:03:44qui va s'intensifier
01:03:45et on a un débat
01:03:47je vous mets
01:03:47les pieds dans le plat
01:03:49ce ne sont pas des sujets faciles
01:03:50sur le ZAN
01:03:51le Zéro Artificialisation Net
01:03:53qui avait été adopté
01:03:54dans une loi
01:03:55en 2018-2019
01:03:56et qui a été supprimé
01:03:58dans un amendement
01:03:58mais la proposition de loi
01:03:59la finale n'a pas été adoptée
01:04:00récemment
01:04:01je vous l'ai dit
01:04:02moi je suis favorable
01:04:03évidemment
01:04:04à ce qu'on maîtrise
01:04:05nos émissions de gaz à effet de serre
01:04:08etc
01:04:09mais cette idée
01:04:10qu'on ne pourra plus rien construire
01:04:11parce que dans des villages
01:04:12c'est ça que ça veut dire
01:04:13quand on ne peut pas
01:04:14construire verticalement
01:04:16dans un village
01:04:17ça veut dire littéralement
01:04:18qu'on ne peut plus développer
01:04:19de problèmes dans le village
01:04:20alors qu'on a une crise du logement
01:04:21et donc on va contribuer directement
01:04:23à augmenter massivement
01:04:24le coût du logement
01:04:25pour les gens
01:04:25qui est déjà aujourd'hui
01:04:26le premier poste de dépense
01:04:28vous voyez
01:04:29ça c'est ce que j'appelle
01:04:30une forme d'écologie pénitive
01:04:31alors bien sûr
01:04:32il faut le faire intelligemment
01:04:33mais une zéro artificialisation net
01:04:35ça revient à dire
01:04:36que littéralement
01:04:37qu'on va geler
01:04:38à un moment
01:04:38d'ailleurs certains d'ailleurs
01:04:39maintenant sont pour
01:04:40le zéro artificialisation brute
01:04:41les verts qui veulent toujours
01:04:43pousser plus loin
01:04:44ça n'est pas possible
01:04:45ça n'est pas possible
01:04:46et donc voilà
01:04:47je vous parlais des jeunes
01:04:48qui voulaient guérir un logement
01:04:49vous savez
01:04:50le chemin de l'enfer
01:04:51n'est pas avec de bonnes intentions
01:04:52et au nom de l'écologie
01:04:54on ne peut pas non plus
01:04:55et bien faire n'importe quoi
01:04:56c'est là où il faut que nous
01:04:57on soit pour une écologie de progrès
01:04:59qui investisse
01:05:00on proie au progrès technique
01:05:01il y a beaucoup à faire
01:05:03bien sûr
01:05:04il peut y avoir de la sobriété
01:05:04ce n'est pas le problème
01:05:05mais cette idée
01:05:06qu'on va faire en sorte
01:05:08on va oublier
01:05:09qu'il y a aussi
01:05:09une acceptabilité sociale
01:05:10à avoir en tête
01:05:12c'est vrai aussi
01:05:13pour les zones
01:05:13de faible émission
01:05:14il y a un moment
01:05:15les gens n'ont pas d'autre choix
01:05:16que de prendre leur voiture
01:05:17les véhicules électriques
01:05:18sont très chers
01:05:18ça ne suffit pas
01:05:20de dire
01:05:21vous ne pouvez plus circuler
01:05:22ça n'est pas acceptable
01:05:23donc si vous vous interdisez
01:05:25il faut accompagner
01:05:26si vous voulez mettre
01:05:27une contrainte
01:05:27il faut proposer d'autres choses
01:05:28il faut arrêter encore une fois
01:05:29cette étatisme
01:05:30qui nous étouffe
01:05:31voilà ce que je pense
01:05:32et voilà ce que je voulais vous dire
01:05:34et pour l'accès
01:05:35au marché de l'emploi
01:05:36je pourrais vous faire
01:05:38exactement la même chose
01:05:39mais je vais aller un peu plus loin
01:05:39sur les jeunes
01:05:40parce qu'on a aujourd'hui
01:05:41un énorme problème
01:05:41de formation professionnelle
01:05:43aussi d'un certain nombre de jeunes
01:05:45ceux que vous avez mentionné
01:05:46mais je veux quand même le dire
01:05:48puisqu'on a
01:05:49ce sujet incroyable
01:05:50d'avoir autant d'emplois
01:05:51non pourvus
01:05:51on n'a jamais eu autant d'emplois
01:05:52non pourvus dans notre pays
01:05:53et en face
01:05:54on n'a jamais eu autant
01:05:55de demandeurs d'emplois
01:05:57en particulier chez les jeunes
01:05:58on a évidemment un taux de chômage
01:05:59qui est quasiment deux fois
01:06:00sous-tahle à la moyenne nationale
01:06:01et d'ailleurs
01:06:03tous ceux qui vous disent
01:06:05que quand on a des emplois
01:06:05non pourvus
01:06:06il faut plus d'immigration
01:06:07ça ne marche pas
01:06:08parce que vous avez des gens
01:06:09sur le territoire national
01:06:10qui ne travaillent pas
01:06:12alors qu'il y a des emplois
01:06:13non pourvus
01:06:13et d'ailleurs
01:06:14il y a 500 000 étrangers
01:06:16en situation régulière
01:06:17qui sont en demande d'emplois
01:06:18donc on a un sujet
01:06:20sur lequel
01:06:20n'a jamais été très bon
01:06:22qui est celui de la formation
01:06:23évidemment de flécher
01:06:24l'offre est à demander
01:06:25on n'est pas bon sur ce sujet là
01:06:26parce que pendant des années
01:06:27on a considéré
01:06:28je suis certain
01:06:29y compris dans nos organismes
01:06:31de formation parfois
01:06:32y compris parfois
01:06:32à l'éducation nationale
01:06:33j'ai su de le dire
01:06:34que l'entreprise était l'ennemi
01:06:35c'est que vouloir
01:06:37mettre en adéquation
01:06:38les besoins des entreprises
01:06:40avec l'offre de formation
01:06:41c'était une forme d'exploitation
01:06:43je vous dis ça
01:06:44je ne vous parle pas
01:06:45d'un temps d'il y a 20 ou 30 ans
01:06:46je ne l'ai pas même connu
01:06:47j'ai été vice-président de la région
01:06:48pendant 3 ans
01:06:50en charge de ces sujets là
01:06:51formation d'insertion professionnelle
01:06:53y compris de jeunesse
01:06:54et j'avais encore
01:06:55y compris
01:06:55pardon je vais mettre les pieds dans le plan
01:06:57à des missions locales
01:06:58des organismes qui sont financés d'abord
01:06:59par la région
01:07:01par l'état aussi
01:07:02par les collectivités
01:07:03et que c'est pas leur rôle
01:07:04de travailler pour les entreprises
01:07:06eux non
01:07:07c'est pas leur sujet d'entreprise
01:07:08eux c'est de développer
01:07:09eh bien
01:07:10l'épanouissement de ces jeunes
01:07:12j'entends tout à fait
01:07:12mais l'épanouissement de ces jeunes
01:07:13il me semble
01:07:14que ça passe par trouver un travail
01:07:16et que si on veut trouver un travail
01:07:17il faut avoir une formation
01:07:18qui corresponde
01:07:19à un besoin de recrutement
01:07:20mais vous avez des gens
01:07:21qui continuent
01:07:22dans cette idéologie de gauche
01:07:23qui nous est imposée depuis longtemps
01:07:25je ne vais pas vouloir l'admettre
01:07:25il y a encore des entreprises
01:07:27qui n'arrivent pas
01:07:27à accéder aux écoles
01:07:29pour présenter leur métier
01:07:30alors qu'on a un défi immense
01:07:32en matière d'orientation
01:07:33c'est une réalité encore aujourd'hui
01:07:34on a un gros travail qui a été fait
01:07:36mais vous avez
01:07:37des organismes
01:07:38qui vous expliqueront très bien
01:07:39qu'il y a des écoles
01:07:40dans lesquelles
01:07:41eh bien
01:07:41ils ne sont pas les bienvenus
01:07:43et donc ils n'ont pas l'occasion
01:07:44de présenter leur métier
01:07:45parce que c'est mercantile
01:07:46parce que c'est marchand
01:07:48et donc ce n'est pas bien
01:07:49eh bien
01:07:50au sein de l'éducation nationale
01:07:51ça n'est pas possible
01:07:52et donc on a ce défi
01:07:53de l'orientation et de l'insertion
01:07:54sur lequel il faut qu'on soit bien meilleur
01:07:56si on veut évidemment
01:07:57qu'il y ait un fléchage
01:07:58de ces jeunes aujourd'hui
01:08:00qui arrivent sur le marché du travail
01:08:01et qui ne sont pas
01:08:02les bonnes qualifications
01:08:03pour pouvoir avoir un emploi
01:08:05il faut bien sûr
01:08:05mettre la sélection à l'université
01:08:07parce que si vous laissez
01:08:09tout le monde s'inscrire
01:08:09dans n'importe quelle filière
01:08:10quel que soit les débouchés
01:08:11quel que soit le niveau de la personne
01:08:12mais d'abord
01:08:14vous créez des drames
01:08:15absolument terribles
01:08:16pour ces jeunes-là
01:08:17parce qu'évidemment
01:08:18vous les mettez dans des filières d'échec
01:08:19où ils n'ont pas
01:08:21les bonnes qualifications
01:08:22pour réussir
01:08:22et en plus
01:08:23sans emploi au bout
01:08:24pour un certain nombre
01:08:24qui est totalement irresponsable
01:08:26donc tous ces dégâmes-là
01:08:27il va falloir en sortir un par un
01:08:29mais c'est vrai
01:08:30que ce sont des sujets
01:08:31effectivement
01:08:31très profonds
01:08:33qu'on ne va pas régler
01:08:34d'un coup de balai
01:08:35de majeur
01:08:36alors les deux dernières questions
01:08:38deux dernières
01:08:39parce que j'ai promis
01:08:40à Ockman
01:08:41qu'il partirait
01:08:43madame
01:08:43bonjour à tous
01:08:44je m'appelle
01:08:45Nangasso
01:08:46moi ma question
01:08:48porte sur
01:08:48l'innovation
01:08:49décembre
01:08:50alors je félicite
01:08:51M. Bruno Rotaio
01:08:53qui a abrogé
01:08:54la super l'air vase
01:08:55de 2012
01:08:56c'est une très bonne idée
01:08:58mais moi mon problème
01:08:59c'est
01:09:00en fait
01:09:00sous l'air vaste
01:09:01nous avions
01:09:02500 000 sans-papiers
01:09:04qui se trouvent
01:09:04sur le territoire français
01:09:05et à chaque fois
01:09:06qu'on nous parle
01:09:07d'immigration
01:09:07on pense toujours
01:09:09à ceux qui doivent
01:09:09venir
01:09:10qui périssent en mer
01:09:11d'immigration
01:09:11etc
01:09:12mais quelles solutions
01:09:13préconisez-vous
01:09:14sachant qu'aujourd'hui
01:09:16on a à peu près
01:09:17entre 600 000
01:09:18et 800 000 sans-papiers
01:09:19sur le territoire français
01:09:20c'est à un moment donné
01:09:21où je me dis
01:09:22qu'il faut quand même
01:09:22trouver des solutions
01:09:23par rapport à ces gens
01:09:25parce que le chiffre
01:09:26est en train de grimper
01:09:27de plus en plus
01:09:28d'urgence
01:09:28vous avez entièrement
01:09:33raison
01:09:34d'abord
01:09:36la première réponse
01:09:37c'est de tarier les flux
01:09:38évidemment
01:09:41sinon
01:09:43on vide
01:09:44la mer
01:09:45avec une petite cuillère
01:09:46et c'est d'ailleurs
01:09:47un drame humain absolu
01:09:48parce que
01:09:49tous ceux qui jouent
01:09:50à expliquer
01:09:50que c'est généreux
01:09:51que d'envoyer des messages
01:09:52en disant
01:09:52à des gens
01:09:53qui sont dans la misère
01:09:55venez
01:09:55vous allez trouver
01:09:56les dorados ici
01:09:56d'abord c'est un mensonge
01:09:57on n'a pas la caprice
01:09:59et des accueillers
01:09:59ensuite
01:09:59ils le font périr
01:10:00de leur vie
01:10:01et on va vivre
01:10:02des réseaux de passeurs
01:10:03mafieux
01:10:03qui les exploitent
01:10:05donc il n'y a aucun
01:10:06c'est une fausse générosité
01:10:08c'est une immense hypocrise
01:10:09donc il faut tarier les flux
01:10:11donc tous ces messages
01:10:12qu'on s'est à dire
01:10:13ne venez pas
01:10:14même si ça peut être
01:10:15dur à entendre
01:10:17c'est peut-être
01:10:18le message le plus humain
01:10:19finalement
01:10:19qu'on peut faire
01:10:20ça ne veut pas dire
01:10:21qu'il n'y a pas
01:10:21des démarches aussi
01:10:22de co-développement
01:10:23etc. à voir
01:10:23mais ça me paraît
01:10:24extrêmement important
01:10:25de le préciser
01:10:26parce qu'une fois
01:10:26sur le territoire national
01:10:27et sur le sol européen
01:10:29effectivement
01:10:29il y a une énorme difficulté
01:10:30à faire repartir
01:10:32ces individus
01:10:33dans leur pays d'origine
01:10:34et on sait très bien
01:10:35cette difficulté là
01:10:36qui revient tout simplement
01:10:37eh bien on refuse
01:10:38un certain nombre
01:10:39de pays d'origine
01:10:40à les accepter en retour
01:10:41et donc
01:10:42il y a là aussi
01:10:43une amélioration
01:10:44je ne reviens pas
01:10:46vous auriez pu m'en parler
01:10:47mais je sais que vous l'avez en tête
01:10:48évidemment
01:10:49sur notre relation
01:10:50avec l'Algérie
01:10:50parce qu'aujourd'hui
01:10:51tout a déjà été dit là-dessus
01:10:53nous verrons ce qui se passe
01:10:54d'ailleurs
01:10:54et je souhaite vraiment
01:10:55qu'il soit libéré
01:10:55je pense à Boalem Sansane
01:10:58et je pense malheureusement
01:10:59que ce sujet
01:11:00de la relation avec l'Algérie
01:11:01est très largement demandé
01:11:02Bruno Retailleux
01:11:03a déjà dit très clairement
01:11:04ce qu'il en pensait
01:11:06et ce qu'il avait commencé à faire
01:11:07mais là aujourd'hui
01:11:08il y a la libération
01:11:09à Boalem Sansane
01:11:09que nous espérons
01:11:11très sincèrement
01:11:11mais il y a d'autres pays
01:11:13avec lesquels
01:11:14la coopération
01:11:14la discussion
01:11:15a porté ses fruits
01:11:16avec le Maroc aujourd'hui
01:11:17la reprise des OQTF
01:11:19a doublé
01:11:20a doublé
01:11:21depuis que la relation
01:11:22a été consolidée
01:11:23et qu'il y a eu un accord
01:11:24sur
01:11:25là vous
01:11:25on vous demande
01:11:26de délivrer
01:11:27davantage de laisser passer
01:11:28celui-là
01:11:28il pourrait être précie
01:11:29plus 93%
01:11:30d'une année à l'autre
01:11:32bon
01:11:33voilà
01:11:34c'est un exemple
01:11:35il faut qu'on multiplie
01:11:36il y a des accords bilatéraux
01:11:36aussi qui sont faits
01:11:37avec des pays tiers
01:11:38des pays transit
01:11:39pour qu'ils acceptent
01:11:40de reprendre
01:11:40et bien je pense au Kazakhstan
01:11:42des individus
01:11:42qui sont hors de genre
01:11:43des gens qui sont nus d'Afghanistan
01:11:44travers cette Kazakhstan
01:11:45qui sont arrivés en France
01:11:46et bien on ne peut pas
01:11:47les renvoyer en Afghanistan
01:11:48pour des raisons de jurisprudence
01:11:50et pour des raisons
01:11:50effectivement humaines
01:11:51je peux comprendre
01:11:52on va les renvoyer au Kazakhstan
01:11:53avec cet accord bilatéral
01:11:55et donc
01:11:55Bruno Retailleux
01:11:57et bien on a
01:11:58je crois
01:11:58on a plus de trois
01:11:59il faudra qu'il y en ait d'autres
01:12:00voilà ça c'est une des solutions
01:12:02vous en avez bien d'autres
01:12:04mais effectivement
01:12:04si on veut réduire les flux
01:12:05il faut accepter
01:12:06d'avoir un modèle social
01:12:07et bien
01:12:07pas forcément
01:12:08peu généreux
01:12:09mais dans la moyenne
01:12:10des autres pays
01:12:11parce que évidemment
01:12:12si on est beaucoup plus généreux
01:12:13que les autres pays
01:12:14et bien
01:12:14les flux se dirigent
01:12:16naturellement vers nous
01:12:16c'est logique
01:12:17je pense à l'aide médicale d'Etat
01:12:19nous sommes quasiment
01:12:19le seul pays d'Europe
01:12:20le seul pays d'Europe
01:12:22l'Espagne
01:12:23à avoir
01:12:24un système de cycle
01:12:26ça n'est pas possible
01:12:27cette aide médicale d'Etat
01:12:28qui coûtait
01:12:2980 millions d'euros
01:12:30quand elle a été mise en oeuvre
01:12:31je crois que c'était en 2000
01:12:31ou en 2001
01:12:32coûte aujourd'hui
01:12:33plus d'un milliard
01:12:34100 millions d'euros
01:12:34donc c'est insoutenable
01:12:36d'abord pour nos finances publiques
01:12:37et ensuite
01:12:38c'est une prime à l'inégalité
01:12:40puisque l'étranger
01:12:41en situation régulière
01:12:42lui il n'y a pas droit
01:12:43donc c'est incompréhensible
01:12:45donc voilà
01:12:46maintenant vous avez raison
01:12:47on a 600, 800 000
01:12:48certains disent 900 000
01:12:50c'est le chiffre
01:12:50que donne un grand spécialiste
01:12:52ce que j'aime beaucoup
01:12:53sur ce sujet là
01:12:54qui est Patrick Stéphanini
01:12:54il est plutôt sur 800, 900 000
01:12:56bon
01:12:57donc oui
01:12:58vous avez raison
01:12:58on ne va pas réussir
01:13:00aujourd'hui à tous les faire repartir
01:13:02et c'est pour cela
01:13:02qu'il y a toujours
01:13:03des régularisations
01:13:04qui doivent être
01:13:05strictement limitées
01:13:06uniquement au métier en tension
01:13:07uniquement pour des individus
01:13:09qui ont un casier judiciaire
01:13:10évidemment totalement vierge
01:13:11évidemment
01:13:12qui voilà
01:13:13ce qui n'est pas le cas
01:13:14jusque là
01:13:14la nouvelle circulaire
01:13:15qui a remplacé
01:13:16la circulaire mal
01:13:16précise durcit considérablement
01:13:18ces règles là
01:13:19voilà
01:13:20mais aujourd'hui
01:13:21le problème que nous avons
01:13:22c'est encore les vues
01:13:24et tant que nous ne révisons pas les flux
01:13:25la question de ceux qui sont déjà là
01:13:27le fait de s'amplifier
01:13:28et puis nos centres de rétention administrative
01:13:30sont totalement saturés
01:13:31et d'abord nos centres d'hébergement d'urgence
01:13:32qu'à l'origine sont faits
01:13:35non pas pour accueillir des gens
01:13:36en situation irrégulière
01:13:37mais pour accueillir tout simplement
01:13:39des centres de domicile fixe
01:13:40qui se retrouvent à la rue
01:13:41mais on n'a plus de place
01:13:42parce que les centres sont totalement saturés
01:13:44par des étrangers
01:13:45qui sont immaculaires
01:13:46évidemment
01:13:46mais qui sont à la rue aussi
01:13:47j'entends tout à fait
01:13:48mais c'est à un moment
01:13:50je vois
01:13:50et puis vous avez des centres de rétention administrative
01:13:52vous avez un objectif
01:13:53assumé par Bruno Retaille
01:13:55de 3 000 places
01:13:55on a 1 700 aujourd'hui
01:13:57donc on est très ambitieux
01:13:59on va en avoir 3 000
01:13:59mais 3 000
01:14:00c'est déjà pas beaucoup
01:14:01parce qu'on a tous les ans
01:14:03120 000 au QDF
01:14:04qui sont prononcés
01:14:05donc dans ces 3 000 là
01:14:06nous ne mettons plus
01:14:07que les individus
01:14:08les plus dangereux
01:14:08les 3 000 les plus dangereux
01:14:10voilà
01:14:11donc vous voyez
01:14:11que ça ne peut pas fonctionner
01:14:12ça ne peut pas fonctionner
01:14:14d'ailleurs
01:14:14sur ces biais
01:14:15on a les 40
01:14:15dans ces centres de rétention administrative
01:14:16qui sont de nationalité algérienne
01:14:18et donc qui aujourd'hui
01:14:19ne sont pas repris
01:14:20et qui vous bloquent ces places là
01:14:22ils bloquent pour un délai de 90 jours
01:14:24parce que je vous rappelle
01:14:25que la loi aujourd'hui
01:14:26fait que dans le bout de 90 jours
01:14:27vous êtes obligés
01:14:27de les remettre en liberté
01:14:28loi
01:14:29qui va changer je l'espère
01:14:31mais que le Sénat
01:14:31a déjà changé
01:14:32à l'initiative de Bruno Retailleau
01:14:33on va passer
01:14:34à le maximum autorisé par l'Europe
01:14:35parce que le plus intéressant
01:14:36c'est que l'Europe vous autorise
01:14:38à aller bien au-delà
01:14:39à aller jusqu'à 210 jours
01:14:40mais nous en France
01:14:41on a choisi 90 jours
01:14:42donc on va monter
01:14:43je crois à 180
01:14:44ou à 210 jours
01:14:45comme le font
01:14:46la plupart de nos voisins
01:14:47voilà
01:14:47c'est une partie de la réponse
01:14:49à un sujet qui est immense
01:14:50mais effectivement
01:14:50vous avez raison
01:14:51on ne parle pas suffisamment
01:14:52des autres en situation irrégulière
01:14:54qui sont là
01:14:54et qui pour un certain nombre
01:14:55d'ailleurs
01:14:56sont régularisées
01:14:57il y avait 30 000 régularisées
01:14:5830-40 000 régularisations
01:14:59tous les ans
01:14:59il y en aura probablement
01:15:01toujours à peu près 15 000
01:15:02mais ça n'arrive pas à tout
01:15:04dernière question
01:15:05bonsoir Rotman
01:15:08j'ai deux questions
01:15:11la première
01:15:12d'abord je voudrais
01:15:14je voudrais vous remercier
01:15:15en fait de l'organisation
01:15:16efficace
01:15:16que vous avez mise en oeuvre
01:15:17pour la campagne électorale
01:15:18qui a vu cette victoire
01:15:20éclatante de Moulin-Rochet
01:15:21beaucoup de travail
01:15:22gros succès
01:15:23ma première question
01:15:25c'est
01:15:25je crois qu'il ne faudrait pas
01:15:27décevoir en fait
01:15:29tous les nouveaux adhérents
01:15:31qui sont revenus
01:15:32ou qui viennent simplement
01:15:33et certains signes
01:15:35que l'on a vus récemment
01:15:36à l'Assemblée nationale
01:15:39lors de deux votes
01:15:40le vote du mariage
01:15:43contre les OQTF
01:15:46premièrement
01:15:46et deuxièmement
01:15:48le vote sur la PPE
01:15:50le projet de programmation
01:15:52énergie
01:15:53je veux dire
01:15:53deux actions
01:15:55qui sont menées
01:15:56par le RN
01:15:58en fin de Cioti
01:15:58et puis Marine Le Pen
01:16:00où les LR
01:16:01sont complètement absents
01:16:02et j'ai un tas
01:16:04de remarques
01:16:05en fait
01:16:05pour me dire
01:16:06mais où sont-ils ?
01:16:07que font-ils ?
01:16:07où sont les LR ?
01:16:09ma deuxième question
01:16:10c'est
01:16:10les LR aujourd'hui
01:16:12ils ont une image
01:16:13de sérieux
01:16:14sur le champ
01:16:15de la sécurité
01:16:16je dirais
01:16:17de la justice
01:16:18grâce à Bruno Rotaio
01:16:19mais on n'entend
01:16:21personne parler
01:16:22d'économie
01:16:22je vais apprendre
01:16:23le point de tout à l'heure
01:16:24personne ne parle
01:16:25d'économie
01:16:26et ma question
01:16:27c'est
01:16:28est-ce qu'il va y avoir
01:16:29un contre-budget LR
01:16:30en septembre
01:16:31quand les choses
01:16:32vont commencer
01:16:33à coincer
01:16:33et est-ce qu'on aura
01:16:35des mesures
01:16:36un peu plus
01:16:37des mesures
01:16:37ou des positions
01:16:38un peu plus précises
01:16:39que celles
01:16:40que l'on entend
01:16:41à longueur de journée
01:16:42de l'AME
01:16:43des agences
01:16:44qui coûtent 80 milliards
01:16:45des nombres de fonctionnaires
01:16:46etc.
01:16:47mais qui manquent
01:16:48quand même
01:16:48un peu de solidité
01:16:49et donc
01:16:50est-ce qu'il y a-t-il
01:16:50des gens
01:16:51qui réfléchissent aujourd'hui ?
01:16:52alors je commencerai
01:16:57si on veut m'autoriser
01:16:58par la seconde question
01:16:59d'abord juste pour vous dire
01:17:01qu'effectivement
01:17:02oui bien sûr
01:17:02parce que l'exemple
01:17:03que vous avez pris
01:17:04est très flagrant
01:17:04il ne suffit pas
01:17:06de dire
01:17:06de maîtriser
01:17:07la dépense publique
01:17:07ou de faire des économies
01:17:08plutôt qu'augmenter
01:17:09des impôts
01:17:09vous pouvez pouvoir dire
01:17:10
01:17:10alors moi je n'ai jamais
01:17:12présenté l'AME
01:17:13comme une mesure d'économie
01:17:14parce que
01:17:14d'abord
01:17:16je ne suis pas
01:17:16pour sa suppression totale
01:17:17il faut réduire
01:17:18le champ
01:17:19voilà
01:17:20en situation d'urgence
01:17:21vraiment
01:17:22quelqu'un
01:17:23risque de mourir
01:17:24on va le soigner
01:17:25on va le soigner
01:17:26mais voilà
01:17:28c'est un risque
01:17:28épidémiologique
01:17:29on va le traiter
01:17:30mais c'est tout
01:17:31là où
01:17:32il y a aujourd'hui
01:17:33un panier de soins
01:17:34qui est beaucoup plus large
01:17:34ça ne va pas faire
01:17:35même pas le milliard
01:17:36d'économies
01:17:37voilà
01:17:38pour faire 500 millions
01:17:39d'économies
01:17:39c'est très bien
01:17:40il faut les faire
01:17:41mais ça ne va pas
01:17:42régler la situation
01:17:43budgétaire du pays
01:17:44où nous avons un déficit
01:17:45vous savez
01:17:46d'à peu près
01:17:46170 milliards
01:17:48entre les recettes
01:17:49et les dépenses
01:17:50de l'état
01:17:50et aujourd'hui
01:17:51un effort à trouver
01:17:51de 40 milliards
01:17:52pour tenir simplement
01:17:53la trajectoire
01:17:54qui est prévue
01:17:55si rien d'autre
01:17:55ne dérape
01:17:56ou si la croissance
01:17:57est au niveau
01:17:57prévu
01:17:58etc
01:17:58donc c'est un effort
01:18:00minimal
01:18:00il va falloir trouver
01:18:0240 à 50 milliards
01:18:03tous les ans
01:18:03dans la trajectoire
01:18:04qui est prévue
01:18:05pour revenir
01:18:05sur les 3%
01:18:06et nous serons
01:18:06le dernier pays
01:18:07d'Europe
01:18:08à revenir
01:18:08sur les 3%
01:18:09peut-être en 2029
01:18:11si nous faisons
01:18:11ces efforts
01:18:12donc il faut dire où
01:18:14alors les agences
01:18:14de l'état par contre
01:18:15j'assume de le dire
01:18:16parce que d'avoir
01:18:1778 milliards d'euros
01:18:18de coûts
01:18:19c'est exactement ça
01:18:20de coûts
01:18:21de ces agences
01:18:22dont le nombre
01:18:22a explosé
01:18:24on a aujourd'hui
01:18:25une agence nationale
01:18:25du sport
01:18:26qui a été créée
01:18:26et qui est devenue
01:18:27plus grosse
01:18:27que le ministère
01:18:28des sports
01:18:29qu'il a créé
01:18:30il y a
01:18:31à tous les échelons
01:18:32cette bureaucracie
01:18:33dont on parlait
01:18:34qui ne peut pas
01:18:35se résumer
01:18:36par une seule mesure
01:18:36mais qui est à faire
01:18:37sujet par sujet
01:18:38secteur par secteur
01:18:39etc
01:18:39mais là vous avez raison
01:18:40c'est qu'il faut rentrer
01:18:41dans les détails
01:18:42pour donner des exemples
01:18:43c'est un travail
01:18:43qui est en train
01:18:44d'être fait en ce moment
01:18:44par les deux groupes
01:18:45parlementaires
01:18:46au Réal national
01:18:47et au Sénat
01:18:48le Premier ministre
01:18:48va donner ses pistes
01:18:49je crois le 15 juillet
01:18:50il faut qu'on soit prêt
01:18:51à dire
01:18:52voilà ce que nous
01:18:53nous voulons
01:18:53à ce moment là
01:18:54ou plus tard
01:18:55à la rentrée
01:18:55je veux d'ailleurs
01:18:56vous vous rappelez
01:18:56j'aurais dû le dire
01:18:57c'est vrai que j'ai manqué
01:18:58toutes mes obligations
01:18:59que nous aurons
01:19:00les 6 et 7 septembre
01:19:02à la rentrée
01:19:03des universités d'été
01:19:04vous allez tous
01:19:05pouvoir venir
01:19:05puisque c'est pas loin
01:19:06c'est dans les équipes
01:19:08voilà
01:19:09à Port-Marli
01:19:10donc ça sera à deux pas
01:19:12c'est deux jours
01:19:12durant lesquels
01:19:13on va travailler
01:19:13sur le fond
01:19:14avec des ateliers
01:19:15des intervenants
01:19:16des tables ronds
01:19:16et certainement
01:19:17des annonces aussi
01:19:18à ce moment là
01:19:18sur le fond des sujets
01:19:206 et 7 septembre
01:19:21effectivement
01:19:21au Pyramide
01:19:22à Port-Marli
01:19:23donc voilà
01:19:24premier week-end de septembre
01:19:25ce sera nos universités d'été
01:19:26à l'occasion desquels
01:19:27nous allons aussi
01:19:28avoir un congrès
01:19:28pour voter
01:19:29pour de nouveaux statuts
01:19:30et qui vont simplement
01:19:32simplifier l'organisation
01:19:33de notre parti
01:19:33qui est aujourd'hui
01:19:34un peu compliqué quand même
01:19:35voilà
01:19:36donc le budget
01:19:37vous avez raison
01:19:38il y a un moment
01:19:38il faut qu'on rentre
01:19:38dans le détail
01:19:39c'est un vrai travail
01:19:40il y a eu
01:19:40tous les ans
01:19:41nous avons des contre-budgets
01:19:42les groupes le font
01:19:42mais cette fois
01:19:43je pense que Bruno
01:19:44qui est très soucieux
01:19:45des idées
01:19:45comme vous le savez
01:19:46va regarder ça lui-même
01:19:48et va prendre la parole
01:19:50je pense pour dire très clairement
01:19:51ce que nous
01:19:52nous souhaitons
01:19:52comme fils déconnés
01:19:53et il y en a
01:19:55et on en a déjà
01:19:56listé un certain nombre
01:19:57mais tout ça doit être
01:19:58formel des arbitres
01:19:59et surtout qu'on parle
01:20:00d'une seule voix
01:20:00pas qu'il y en ait un
01:20:01qui propose quelque chose
01:20:02et quelqu'un d'autre
01:20:03autre chose
01:20:03sinon c'est plausible
01:20:04parce que c'est un peu
01:20:05la pression que ça vous a donné
01:20:07sur les deux sujets
01:20:07que vous avez indiqués
01:20:09à l'Assemblée nationale
01:20:10et là-dessus
01:20:11je vous réponds très clairement
01:20:12d'abord
01:20:13sur les mariages
01:20:15des étrangers en occultaire
01:20:16il n'y a pas de débat de fond
01:20:17un maire devrait pouvoir
01:20:20refuser de marier
01:20:21des étrangers
01:20:21sous occultaire
01:20:22bon
01:20:23moi je ne suis pas député
01:20:24mais ce que j'ai bien compris
01:20:25c'est que
01:20:26d'ailleurs
01:20:27c'est pas que nous ne l'avons pas voté
01:20:28c'est qu'il n'y a pas eu de vote
01:20:30non non mais
01:20:33d'accord
01:20:33d'accord
01:20:34mais
01:20:34il n'y a pas eu de vote
01:20:35c'est une niche parlementaire
01:20:37il faut comprendre
01:20:37le fonctionnement d'Assemblée
01:20:38donc chaque groupe
01:20:39à un moment
01:20:39a une niche
01:20:39et a jusqu'à minuit
01:20:40pour faire passer ses textes
01:20:42mais vous savez avant
01:20:43s'ils auront le temps
01:20:44d'y aller ou pas
01:20:45par le nombre d'amendements
01:20:45c'est comme ça
01:20:47donc la gauche
01:20:48ayant déposé
01:20:48je crois 800 amendements
01:20:50sur les textes
01:20:50il n'y avait aucune chance
01:20:51que le texte se met au vote
01:20:52du coup
01:20:53vous débutez
01:20:54il n'était pas là
01:20:54sachant qu'il n'y aurait pas de vote
01:20:55l'image est peut-être
01:20:57à déplorer
01:20:58mais enfin
01:20:59on ne peut pas dire
01:21:01que par notre absence
01:21:02le texte n'est pas passé
01:21:04ils auraient été là
01:21:05ça n'aurait rien changé
01:21:07ce que je regrette
01:21:08c'est qu'on n'ait pas entendu
01:21:09cette réponse là
01:21:09c'est que voilà
01:21:10il y a un travail
01:21:11de communication immense à faire
01:21:13on n'a jamais été très bon
01:21:14là-dedans à droite
01:21:14donc on va s'y mettre
01:21:15mais voilà
01:21:16la réalité
01:21:17voilà
01:21:17donc il n'y a pas de débat de fond
01:21:19il y a simplement le fait
01:21:20que ça n'allait pas passer
01:21:21de toute façon
01:21:21et on n'était pas très très
01:21:23en circonscription
01:21:24je ne dis pas voilà
01:21:24ça ne justifie pas tout
01:21:26mais
01:21:27il est impropre
01:21:28de dire que le texte
01:21:29aura été passé
01:21:30avec notre présence
01:21:31ce que je veux
01:21:32vous dire là-dessus aussi
01:21:33sur
01:21:34pardon
01:21:34sur la question
01:21:35de la PPL-JUMID
01:21:36justement
01:21:37sur l'énergie
01:21:38alors là-dessus aussi
01:21:40c'est un peu compliqué
01:21:42il y a eu en fait
01:21:42l'amendement
01:21:43qui a été
01:21:43voté d'ailleurs
01:21:45par nous
01:21:46je crois par l'ERN aussi
01:21:47sur un moratoire
01:21:48sur l'éolien
01:21:49mais sur le solaire
01:21:50et ensuite
01:21:52sur la proposition de loi
01:21:53on s'est abstinu
01:21:54simplement
01:21:55je vais vous le dire
01:21:56il n'y avait pas
01:21:56que ce point-là
01:21:57dans cette proposition de loi
01:21:58il y avait aussi
01:21:59d'autres amendements
01:22:00qui sont passés
01:22:00que des amendements de gauche
01:22:01à un moment
01:22:03nos députés
01:22:03n'avaient pas forcément envie
01:22:05qu'on adopte ce texte-là
01:22:06en l'état
01:22:06et on préférait
01:22:07le renvoyer au Sénat
01:22:08maintenant il va être étudié
01:22:09par le Sénat
01:22:10et ensuite
01:22:10si on veut être
01:22:11très rigoureux
01:22:12intellectuellement
01:22:13le moratoire sur l'éolien
01:22:15il faut en parler
01:22:16mais moi je pense
01:22:17qu'effectivement
01:22:18on est allé là aussi
01:22:19sur un dogme
01:22:20qui s'est avéré être
01:22:21pas toujours un très bon investissement
01:22:23sur l'éolien
01:22:23parce que ça coûte
01:22:24extrêmement cher
01:22:25c'est une énergie intermittente
01:22:26qui suppose
01:22:26un relais
01:22:27avec une énergie carbone
01:22:29fossile
01:22:29donc ça ne marche pas
01:22:30et en plus
01:22:31il y a des conséquences
01:22:32sur la biodiversité
01:22:34quand c'est en mer
01:22:34et effectivement
01:22:36sur les paysages
01:22:37qui sont extrêmement lourds
01:22:38on aura le droit de se dire
01:22:39que ce n'est pas la bonne forme
01:22:39d'énergie renouvelable
01:22:40pour compléter notre mix énergétique
01:22:42sachant que de toute façon
01:22:43c'est le nucléaire
01:22:44qui doit être
01:22:45le vaisseau amiral
01:22:46de notre production énergétique
01:22:47par contre
01:22:47sur les panneaux solaires
01:22:49c'est un peu plus compliqué
01:22:50c'est un peu plus contrasté
01:22:51et puis vous avez une filière
01:22:51quand même
01:22:52aujourd'hui
01:22:53vous avez 120 000 emplois
01:22:54qui en dépensent
01:22:54vous ne pouvez pas s'appeler
01:22:55non
01:22:55c'est pas que en Chine
01:22:56oui je souviens du débat
01:22:57sur les panneaux photovoltaïques
01:22:58mais on peut s'intervenir
01:23:00sur la rédaction de l'amendement
01:23:01et sur le fait de le prendre
01:23:02dans ce texte là
01:23:03et d'ailleurs
01:23:04je dois vous dire
01:23:05que certains considèrent
01:23:06que le conseil constitutionnel
01:23:07l'aurait censuré
01:23:07de toute façon
01:23:08bon je ne suis pas un spécialiste
01:23:10ce que je peux vous dire
01:23:10c'est que ça comprend
01:23:11il repart au Sénat
01:23:12et donc
01:23:12il faut faire très attention
01:23:14à ces effets
01:23:15où on voit une image
01:23:16tout à coup
01:23:16qui résume
01:23:18je sais qu'il n'y a que ça
01:23:19qui perce le mur du son
01:23:20et je sais que ça se fait
01:23:21à notre détriment
01:23:21et du coup il faut qu'on le sache
01:23:22il faut qu'on en tienne compte
01:23:23donc je vous donne raison
01:23:24sur l'effet que ça produit
01:23:25j'ai reçu
01:23:26beaucoup de mails
01:23:27à ce sujet là
01:23:28vous en avez reçu
01:23:29beaucoup aussi
01:23:29j'en ai reçu
01:23:30dans ma fédération
01:23:31bien sûr qu'il y a des messages
01:23:32qui a pu être brouillés
01:23:33à ce moment là
01:23:34sur ces deux sujets
01:23:35mais la réalité
01:23:36c'est que la réalité
01:23:36est un peu plus compliquée
01:23:37charge à nous
01:23:38de mieux communiquer
01:23:38mais sur le fond des sujets
01:23:40je vous prie de croire
01:23:40que les convictions
01:23:41restent constantes
01:23:42et que en tout cas
01:23:42avec Bruno
01:23:43elles ne seront jamais négociables
01:23:43j'en finirai par vous dire
01:23:44qu'avec le président du Sénat
01:23:46Gérard Larcher
01:23:47avec le président du parti
01:23:48et les deux groupes
01:23:49il y aura une cellule
01:23:51de coordination précisément
01:23:52pour que l'Assemblée
01:23:53comme au Sénat
01:23:55et bien on parle d'une seule voix
01:23:56parce que parfois
01:23:57le sentiment
01:23:58c'est pas tout à fait
01:23:59la même ligne
01:23:59il n'y a qu'une ligne
01:24:00c'est celle que les adhérents
01:24:01et les adhérents tranchées
01:24:02et on va essayer
01:24:03de mettre de l'organisation
01:24:05et de la communication
01:24:06pour que cette ligne
01:24:07soit entendue
01:24:08et comprise
01:24:08par tous nos concitoyens
01:24:09voilà ce que je peux dire
01:24:10allez une dernière
01:24:12merci et bonsoir
01:24:14je suis le président du conseil
01:24:17des chrétiens d'Orient
01:24:18et vice-président du conseil
01:24:19des limanés de France
01:24:20ma question est simple
01:24:22nous avons des conseils d'étrangers
01:24:25qui sont un réservoir de voix
01:24:271.741.000
01:24:28si je ne me sens pas
01:24:29aujourd'hui
01:24:31les fédérations LR locales
01:24:34se sont délaissées
01:24:35j'en ai vu après le congrès
01:24:36nous avons discuté
01:24:38de ces sujets là
01:24:39et je voudrais savoir
01:24:41y a-t-il une stratégie
01:24:42dans le parti
01:24:43pour aller récupérer
01:24:44ces voix
01:24:45c'est un vrai réservoir de voix
01:24:47pour pouvoir se retrouver
01:24:49dans la même position
01:24:50de vote
01:24:51qu'avait Jacques Chirac
01:24:53sur les français
01:24:53dans l'étranger
01:24:54alors il n'y a pas que
01:24:58chez les français
01:24:59de l'étranger
01:24:59qu'on a un travail
01:25:00de structuration
01:25:01de redynamisation
01:25:02de certaines
01:25:03de nos fédérations
01:25:04mais évidemment
01:25:05c'est un vrai exemple
01:25:06on a seulement
01:25:07même si on a beaucoup progressé
01:25:082000 ou 3000 adhérents
01:25:10parmi les français de l'étranger
01:25:11on pourrait en avoir
01:25:12beaucoup plus
01:25:12bien sûr
01:25:13et c'est vrai
01:25:14pour les français de l'étranger
01:25:15c'est vrai pour
01:25:16nos compatriotes
01:25:17en Outre-mer aussi
01:25:18où on avait avant
01:25:20beaucoup de monde
01:25:21on en a beaucoup moins
01:25:21il y a des territoires
01:25:23je pense à la Réunion
01:25:24ou à la Nouvelle-Calédonie
01:25:25où on pourrait être
01:25:25beaucoup plus fort aujourd'hui
01:25:26il y a eu là aussi
01:25:27un engouement
01:25:28à la faveur de la conjecture
01:25:29de Bruno Retailleau
01:25:29mais il reste un vrai travail à faire
01:25:31donc ça c'est ma responsabilité
01:25:32directe
01:25:33comme secrétaire général
01:25:34et vraiment mon souhait
01:25:35c'est partout
01:25:35partout
01:25:36en métropole
01:25:38partout en Outre-mer
01:25:39partout
01:25:39dans le monde
01:25:40pour les français de l'étranger
01:25:42on a des fédérations
01:25:42qui tournent
01:25:43donc on a des fédérations
01:25:44dans lesquelles parfois
01:25:45il n'y a plus de responsables
01:25:46on est en train
01:25:47d'en nommer des nouveaux
01:25:48on part de loin parfois
01:25:51des années ça met du temps
01:25:53de trouver les bonnes personnes
01:25:54et de remettre une dynamique
01:25:55on va mettre en place des outils
01:25:56j'en ai beaucoup parlé
01:25:58et puis surtout
01:25:59des messages aussi clairs
01:26:00parmi ces outils
01:26:01c'est qu'encore faut-il savoir
01:26:02ce qu'on donne comme message
01:26:04à ces gens-là
01:26:04à ce qu'on leur propose
01:26:05et vous l'avez ici
01:26:06c'est la campagne d'adhésion
01:26:07qui est en cours
01:26:08sur la France des honnêtes gens
01:26:09et moi je vous invite vraiment
01:26:10à relayer ce message
01:26:12tout à l'heure monsieur me disait
01:26:14la question des alliances etc
01:26:15ben en fait
01:26:16il y a une majorité
01:26:17dans l'opinion publique
01:26:18il y a une majorité
01:26:19chez nos compatriotes
01:26:20qui veut la même chose
01:26:21en parler
01:26:21c'est ce que nous appelons
01:26:22la France des honnêtes gens
01:26:23ce sont des gens qui travaillent
01:26:25qui ne veulent pas
01:26:27avoir le sentiment de payer
01:26:28pour des gens
01:26:29qui ne travaillent pas
01:26:29alors qu'ils le couraient
01:26:30ce sont des gens
01:26:31qui sont inquiets
01:26:31pour leur sécurité
01:26:33pour leurs enfants à l'école
01:26:34ce sont des gens
01:26:35qui sont attachés
01:26:37à une certaine idée de la France
01:26:38à une certaine grandeur
01:26:38de la France
01:26:39aussi à un certain nombre
01:26:41de repères culturels
01:26:42à un mode de vie
01:26:42qui n'est pas illégitime
01:26:44et cette France des honnêtes gens
01:26:45c'est à elle qu'on doit s'adresser
01:26:46et celle-là
01:26:47elle peut avoir
01:26:48peut être encartée
01:26:49pas encartée
01:26:50elle peut avoir votée
01:26:50de manière extrêmement différente
01:26:52je vous rappelle d'ailleurs
01:26:53que même à gauche
01:26:54quand vous interrogez
01:26:55les électeurs
01:26:56sur l'immigration
01:26:57vous soyez surpris
01:26:58du résultat
01:26:58il y a une très nette majorité
01:27:01des électeurs
01:27:02socialistes
01:27:03écologistes
01:27:05sur la question
01:27:05sur les propositions
01:27:06de Bruno Rotaio
01:27:07sur l'immigration
01:27:07et c'est de l'ordre
01:27:08de 60 à 60%
01:27:09même chez les insoumis
01:27:11il y a une courte majorité
01:27:11sur des questions
01:27:13où voulez-vous maîtriser
01:27:14réduire les plus migratoires
01:27:15c'est quand même
01:27:15qu'en réalité
01:27:17il y a une France
01:27:18silencieuse
01:27:20qui cherche aujourd'hui
01:27:24une incarnation
01:27:24d'un projet
01:27:25à porter
01:27:26et il y en a beaucoup
01:27:27parmi nos compatriotes
01:27:28des Français
01:27:28d'être en ligne
01:27:29il faut aller les chercher
01:27:30un par un
01:27:30et cette campagne
01:27:31vraiment je vous invite
01:27:32à la relayer
01:27:32parce que
01:27:33je vous l'ai dit
01:27:33on a fait 20 000 adhésions
01:27:34depuis la fin de la clôture
01:27:37depuis l'élection
01:27:37on va dire
01:27:38et cette dynamique
01:27:39elle doit se poursuivre
01:27:40parce que
01:27:41plus on sera nombreux
01:27:42plus on aura un parti
01:27:43représentatif
01:27:43vous parlez de la problématique
01:27:44que vous vivez aussi
01:27:45dans vos métiers
01:27:46nous n'avons plus
01:27:46de fédération professionnelle
01:27:47il fut un temps
01:27:49nous avions
01:27:49quelqu'un qui faisait le lien
01:27:51une équipe même
01:27:52qui faisait le lien
01:27:52avec les médecins
01:27:53avec les avocats
01:27:54avec un certain nombre
01:27:55de professions
01:27:56avec les agriculteurs
01:27:57bien sûr
01:27:58et on s'est coupé
01:27:58de tout ça
01:27:59on s'est coupé
01:27:59de la société civile
01:28:00mais aujourd'hui
01:28:01on est plus de 120 000
01:28:03demain on sera encore plus nombreux
01:28:04et on aura
01:28:05dans nos adhérents
01:28:06des gens qui vont nous faire
01:28:06remonter ces informations-là
01:28:08qui vont nous alerter
01:28:09sur des points très précis
01:28:11pour louer aussi ce projet
01:28:12qui doit pas être un projet théorique
01:28:13un peu hors sol
01:28:14mais qui doit être extrêmement concret
01:28:15qui doit se décliner
01:28:16dans le quotidien des gens
01:28:17ça travaille colossal
01:28:18on est très en retard
01:28:19alors je vais vous dire
01:28:20on est très en retard
01:28:21mais on est probablement
01:28:23les moins en retard
01:28:23voilà
01:28:24parce qu'effectivement
01:28:24la période politique
01:28:25est compliquée pour tout le monde
01:28:26un an et demi ça va très vite
01:28:27ça laisse le temps
01:28:28de faire ce travail
01:28:29il faut y aller
01:28:29franchement
01:28:30et pour cela
01:28:30on a besoin de votre aide
01:28:31on a besoin de votre mobilisation
01:28:33et surtout
01:28:33dites-nous les choses
01:28:34il ne faut pas hésiter
01:28:35écrivez-nous
01:28:37on aura la capacité
01:28:38de répondre
01:28:38à tous les messages
01:28:39que le ciel va recevoir
01:28:40il faut me donner quelques mois
01:28:41pour mettre ça en oeuvre
01:28:42il faut avoir les édits de cours
01:28:43mais c'est extrêmement important
01:28:45que nos adhérents
01:28:46et ceux qui hésitent
01:28:47à adhérer aussi
01:28:48trouvent réponse
01:28:49et ont l'impression
01:28:50que ce parti est réellement le leur
01:28:52et qu'ils travaillent
01:28:52pour cette France des honnêtes gens
01:28:54au-delà de ceux
01:28:55qui sont directement intéressés
01:28:56et qui ont la capacité
01:28:56de porter des aspirations
01:28:57d'une grande majorité
01:28:59de nos compatriotes
01:28:59et pour ceux qui ont eu le courage
01:29:00de venir ce soir
01:29:01par 40 degrés
01:29:02vous êtes plus honnête encore
01:29:04que les autres
01:29:04en tout cas la démarche
01:29:05qui est la vôtre
01:29:06est vraiment à saluer
01:29:07donc je vais en dire infiniment
01:29:08merci
01:29:09merci Othman
01:29:10on va arrêter là
01:29:12parce que je crois
01:29:13qu'on a tous
01:29:13très oublié en nous
01:29:16merci Othman
01:29:17de ce temps
01:29:18merci de toutes ces informations
01:29:19de tous ces arguments
01:29:21et puis on ira te voir
01:29:23au pyramide
01:29:24avec joie
01:29:24merci beaucoup
01:29:25et merci à vous
01:29:26et bonnes vacances
01:29:27merci à tous

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