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  • 14/05/2025
Meeting de Bruno Retailleau à Boulogne Billancourt
Dimanche 11 Mai 2025
Enregistré au Gymnase de la Biodiversité.
44 rue Marcel-Bontemps
92100 Boulogne-Billancourt

Catégorie

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News
Transcription
00:17:59Joyeux joyeux
00:28:29que nous réalisons, ensemble,
00:28:31parce qu'on vous les doit.
00:28:33Vous avez été là, au plus difficile
00:28:35de la vie de notre mouvement.
00:28:37Eh bien, demain, notre mouvement devra s'en sortir
00:28:39et j'y reviendrai dans un instant.
00:28:41Puis, parce que je sais que cette salle
00:28:43n'est pas simplement composée
00:28:44de celles et ceux qui sont
00:28:46des vieux militants,
00:28:49qui sont là depuis toujours.
00:28:50Certains sont revenus.
00:28:52Beaucoup sont revenus.
00:28:59Et à vous, je voudrais
00:29:05dire ceci.
00:29:08Si je me suis engagé dans cette campagne,
00:29:11c'est aussi pour vous.
00:29:12Parce que vous êtes des préfonceurs.
00:29:15Vous êtes des préfigurateurs
00:29:16de ce qu'il va falloir faire demain.
00:29:19Nous sommes passés de 40 et quelques mille
00:29:20à plus de 100 millions.
00:29:24Grâce à 20 heures.
00:29:24La première génération
00:29:28que j'ai fait à dire, bravo,
00:29:29par contre,
00:29:30je vous ai dit tout à l'heure, bravo.
00:29:32Et pourtant,
00:29:34vous êtes des préfigurateurs
00:29:35et vous m'avez dit.
00:29:38Vous êtes des préfigurateurs
00:29:39parce que vous montrez
00:29:40que nous avons fait se lever
00:29:42un vent d'espoir
00:29:44et d'espérance.
00:29:45Et ce que je veux faire
00:29:46à demain, c'est que
00:29:47celles et ceux qui nous ont quittés,
00:29:49pas parce que c'était leur faute,
00:29:52pas parce qu'ils n'avaient plus la foi,
00:29:53au contraire, ça peut être toujours la foi.
00:29:55C'est nous qui les avons déçus.
00:29:57C'est la droite qui les a déçus.
00:29:59Et ils ont quitté
00:30:01pour arriver
00:30:02x, y, ou pour s'abstenir.
00:30:06Et quand je dis que vous êtes
00:30:07des préfigurateurs,
00:30:08c'est parce que demain,
00:30:09notre objectif,
00:30:10c'est de faire revenir
00:30:11à nous, chez nous,
00:30:13nos électeurs,
00:30:14qui partent en mettent un prépare,
00:30:15et les députés,
00:30:17et la génération,
00:30:18et qui se font passer,
00:30:19ça doit être un objectif.
00:30:23Je voulais que vous reveniez
00:30:41et vous êtes heureux,
00:30:43en mars,
00:30:44pour adhérer.
00:30:45Demain, on s'adressera
00:30:46aux électeurs,
00:30:48et la mars
00:30:49devrait être encore plus importante.
00:30:50Vous avez rejoint
00:30:52ce chemin d'espérance,
00:30:54ce chemin d'espoir,
00:30:56et je vais vous dire
00:30:56que sur ce chemin,
00:30:58nous y marcherons
00:30:59d'un pas sûr,
00:31:01d'un pas cher,
00:31:02d'un pas droit,
00:31:04le pas d'une droite
00:31:06qui ne se redira plus.
00:31:08Le pas d'une droite
00:31:08qui s'assumira.
00:31:12Parce que les amis,
00:31:16je dois vous faire
00:31:17un neveu,
00:31:20je suis de droite.
00:31:25Je sais que c'est
00:31:26un peu plus d'entre eux
00:31:27de l'espoir,
00:31:29mais ça ne suffit pas
00:31:30de dire qu'on est de droite.
00:31:32Ça veut dire
00:31:32qu'il y a le sens aussi
00:31:33qu'on donne à ce peuple.
00:31:36Pour moi,
00:31:36demain, la droite
00:31:37doit être
00:31:37une force.
00:31:40Et la loi,
00:31:41une force mentale,
00:31:42une force même
00:31:42morale,
00:31:44pour que nous ayons
00:31:46cette fierté
00:31:47d'assumer nos convictions,
00:31:48nos sujets.
00:31:49Et puis,
00:31:50on doit être aussi
00:31:50une force électorale.
00:31:52À quoi ça sert un parti
00:31:53si ce parti
00:31:55ne gagne pas
00:31:55les élections ?
00:31:56Et moi,
00:31:56si je me suis engagé
00:31:58à vous voter,
00:31:59c'est pour que demain
00:31:59on puisse gagner
00:32:00les élections.
00:32:01pour qu'on devienne
00:32:17une force mentale,
00:32:18une force morale,
00:32:20il faudra effectivement
00:32:21secouer le jour culturel,
00:32:24le jour médiatique,
00:32:26le jour idéologique
00:32:27de la gauche
00:32:28qui est tellement précieux.
00:32:29Je suis d'une génération
00:32:31qui malheureusement
00:32:33a vu trop souvent
00:32:35la France
00:32:35et la droite française
00:32:37s'excuser,
00:32:38raser les mules,
00:32:40tourner léchis,
00:32:41baisser le regard,
00:32:42impressionné par
00:32:44la domination idéologique
00:32:46d'une gauche
00:32:47à l'époque
00:32:48toute puissante,
00:32:50réduite sur le point
00:32:51électoral encore aujourd'hui,
00:32:52mais tellement puissante
00:32:54quand il s'agit
00:32:54de définir
00:32:56les codes
00:32:56de la respectabilité.
00:32:57Ce jour,
00:32:58il faudra que nous les branlions,
00:33:00qu'ensemble
00:33:00nous les branlions.
00:33:09Le 8 mai,
00:33:10célébrant
00:33:10la fin de la guerre,
00:33:12la victoire,
00:33:13c'est un peu enchanté
00:33:14le chant des partisans.
00:33:16Celui qui
00:33:16en a écrit
00:33:17les paroles
00:33:18avec son nom
00:33:19Joseph Kessel,
00:33:20c'était Boris Olyon.
00:33:21Savez-vous ce que Boris Olyon
00:33:23avait un jour
00:33:23écrit
00:33:25quant académicien
00:33:25par ailleurs ?
00:33:27Quant écrivain
00:33:27par ailleurs ?
00:33:29Ministre de la Culture
00:33:30par ailleurs.
00:33:31Savez-vous ce qu'il avait écrit
00:33:32sur la droite française ?
00:33:34Il avait,
00:33:35en une phrase,
00:33:37dit mieux que ce que je viens
00:33:38de vous dire
00:33:39en plusieurs phrases,
00:33:40Boris Olyon avait dit
00:33:41« En France,
00:33:43il existe deux parties
00:33:45de gauche
00:33:45dont l'un
00:33:46par convention
00:33:47s'appelle la droite. »
00:33:49Tout est dit.
00:33:51Tout est dit.
00:33:54Eh bien, les amis,
00:33:56droit de l'un,
00:33:57si nous l'emportons
00:33:58et nous allons
00:33:59l'emporter
00:34:00dimanche prochain,
00:34:01les amis,
00:34:01je ne veux pas
00:34:02être un chef de parti
00:34:03d'une droite
00:34:04qui serait un peu
00:34:05moins à gauche
00:34:06que la gauche.
00:34:08Je veux être
00:34:09un chef de parti
00:34:10d'une droite
00:34:11qui tient tête à la gauche.
00:34:13D'une droite
00:34:13qui tient tête à la gauche.
00:34:14D'une droite
00:34:15qui tient tête à la gauche.
00:34:17D'une droite
00:34:19et d'une gauche
00:34:24et d'une gauche
00:34:27tellement c'est-à-dire
00:34:28que nous ne lâcherons rien,
00:34:30y compris
00:34:30lorsqu'elle nous insulte.
00:34:32Regardez ce qui s'est passé.
00:34:34Regardez ce qui s'est passé
00:34:35il y a quelques jours.
00:34:36Lorsque cette gauche
00:34:36m'a accusé,
00:34:38c'était un énorme mensonge
00:34:39d'avoir refusé
00:34:41de recevoir
00:34:42la famille
00:34:43d'Abouba Carcissé.
00:34:45Mensonge.
00:34:46Mensonge porté
00:34:46par des insoumites.
00:34:48Mensonge porté
00:34:48par d'autres aussi.
00:34:51Écologiste.
00:34:52Énorme de mensonge.
00:34:53Eh bien,
00:34:53nous ne lâchons rien.
00:34:54Nous ne sèvrons rien.
00:34:55Cette gauche-là,
00:34:57nous n'avons pas trop.
00:34:58Nous n'avons pas trop.
00:34:59Non pas parce qu'elle est pas de l'autre.
00:35:01Nous n'avons pas trop
00:35:02parce qu'elle veut
00:35:03le militariser la France.
00:35:05Elle abîme la France.
00:35:06En plus d'entre elles,
00:35:08précisément,
00:35:10le vote du militarisme,
00:35:11elle abîme
00:35:12la politique française.
00:35:13Évidemment.
00:35:14Et nous serons,
00:35:15bien entendu,
00:35:15une rushemarien
00:35:16et nous serons
00:35:17son plus fier adversaire.
00:35:19Nous ne lâchons rien.
00:35:20Et bien entendu,
00:35:21jamais,
00:35:22jamais,
00:35:22nous parlerons comme la gauche
00:35:23en utilisant
00:35:24ses mots,
00:35:25ses phrases,
00:35:26ses limites.
00:35:29C'est tout qui se bague,
00:35:31c'est tout caractériste.
00:35:32J'en ai fait ma marque
00:35:33de la coupe depuis longtemps
00:35:34et même ma devise.
00:35:36C'est parler vrai.
00:35:37Parler vrai,
00:35:38dire les choses
00:35:39peut-être qu'on les voit.
00:35:40Les dire librement.
00:35:42Peu importe
00:35:43de la bienvenissance médiatique.
00:35:45Peu importe
00:35:45la controverse.
00:35:46Peu importe
00:35:47parfois aussi
00:35:48le cœur
00:35:50des belles âmes
00:35:51qui s'en est venu.
00:35:52Parler vrai
00:35:53parce qu'aujourd'hui,
00:35:55la fatigue démocratique,
00:35:56la crise de la démocratie,
00:35:58c'est aussi
00:35:58la crise de la parole publique.
00:36:00Une parole
00:36:01qui est devenue
00:36:01une main sincère.
00:36:03Une parole
00:36:03qui se fout
00:36:04parce qu'on sentrait
00:36:04très bien
00:36:05qu'il y a un écart
00:36:07entre ce qui sort
00:36:07des lèvres
00:36:08et ce qui vient d'écrire.
00:36:09Quand il vient quelque chose,
00:36:11quand il y a quelque chose
00:36:11dans l'écrire,
00:36:12c'est si rare,
00:36:13les hommes-mêmes.
00:36:14Anna Reyes,
00:36:15que j'aime beaucoup,
00:36:16avait eu cette expression
00:36:17en politique.
00:36:19Les mots justes
00:36:20prononcés au bon moment,
00:36:21c'est déjà d'action.
00:36:23Oui,
00:36:23quand on est sincère,
00:36:25quand on parle juste,
00:36:26quand on parle vrai,
00:36:28alors on fait bouger les lignes.
00:36:29C'est ce que nous faisons.
00:36:31C'est ce que je fais
00:36:32depuis des mois.
00:36:32dans un ministère difficile,
00:36:34dans un gouvernement
00:36:34qui a rassemblé
00:36:36des hommes et des femmes
00:36:37qui n'ont pas toujours
00:36:38le même parcours.
00:36:39Avec l'extrême difficulté
00:36:41que nous avons,
00:36:42et les Français
00:36:42ne l'ignorent pas,
00:36:44d'avoir une assemblée nationale
00:36:45sans une arrêt
00:36:47éthique évidente,
00:36:48sans majorité.
00:36:50C'est toute la définitive.
00:36:52Et c'est parce que,
00:36:53précisément,
00:36:54j'avais dit,
00:36:54par exemple,
00:36:55sur l'artographique,
00:36:55un jour,
00:36:56j'avais dénoncé
00:36:57d'un cours à cœur.
00:36:59J'avais dénoncé
00:37:00tous les risques
00:37:00de mexicalisation,
00:37:03de cartélisation
00:37:04de la France
00:37:05que n'avait pas pu
00:37:06que d'avoir
00:37:06je pas entendu
00:37:07à l'époque.
00:37:08Eh bien,
00:37:09grâce à cette mobilisation,
00:37:10nous avons bougé les lignes.
00:37:12Nos concitoyens,
00:37:12nos compatriotes
00:37:13le savent aujourd'hui,
00:37:15le risque qu'en court
00:37:16nos pays,
00:37:16la racine de l'hyperviolence
00:37:18qui est précisément
00:37:19le narcotrafic.
00:37:21Nous avons pu voter
00:37:22une grande loi,
00:37:23mon cher Gérard,
00:37:23que nous avions initiée
00:37:25au Sénat,
00:37:26qui a tout changé.
00:37:27Tout changé.
00:37:30C'est parce que,
00:37:31j'avais à fouer de vivre
00:37:33que dans les conditions actuelles,
00:37:35accueillir,
00:37:36entre guillemets,
00:37:37plus d'un demi-million
00:37:38d'étrangers
00:37:38à ce compte-là
00:37:39quant aux capacités
00:37:41d'accueil
00:37:41sont totalement saturées.
00:37:43Alors oui,
00:37:43l'immigration,
00:37:44ça n'est plus une chance
00:37:45ni pour les étrangers,
00:37:46ni pour les émigrés,
00:37:47ni pour les franceurs.
00:37:48Je dois dire que
00:37:49c'est pas la société
00:37:50à dire que c'est
00:37:50un certain nombre.
00:37:51J'aurais tellement aimé
00:37:59intégrer
00:38:00et faire partie
00:38:01d'un gouvernement
00:38:02avec une solide majorité
00:38:04parlementaire,
00:38:05mais ça n'est pas le cas.
00:38:06Je voudrais simplement
00:38:07vous rappeler que
00:38:08si nous sommes au gouvernement,
00:38:10c'était une décision
00:38:11non pas individuelle.
00:38:13Moi, je l'aurais reçu.
00:38:14Je l'aurais refusé.
00:38:16Les débrouchages sont individuels.
00:38:17Vous n'avez aucun sens politique.
00:38:18C'était une décision collégiale.
00:38:21C'était une décision collective
00:38:22que nous avons tous
00:38:24assumée
00:38:25dans notre famille politique.
00:38:26Et vous savez pourquoi
00:38:27on l'a assumée ?
00:38:28Parce qu'il s'agissait
00:38:29de faire parage
00:38:30précisément aux insoumis,
00:38:32à la gauche
00:38:32qui à l'époque
00:38:33était totalement
00:38:33pénalisé.
00:38:40Si vous ne l'avions pas fait,
00:38:42vous auriez
00:38:42comme ministre
00:38:43des Affaires étrangères
00:38:44Madame Rima Hassan,
00:38:45vous voyez ?
00:38:46Et bien d'autres,
00:38:49vous allez vous faire
00:38:50un chat de la lunette,
00:38:51vous allez vous faire
00:38:51un casting
00:38:52qui vous aurait surpris.
00:38:53C'est l'origine
00:38:54de notre décision.
00:38:57Alors bien sûr,
00:38:57on ne peut pas faire,
00:38:58on a des limites,
00:38:59on a des contraintes.
00:39:00Je ne peux pas faire
00:39:00tout ce que j'aime pas,
00:39:02tout ce que j'aime pas.
00:39:02mais on prépare
00:39:04l'avenir
00:39:05en faisant
00:39:06l'oujeter.
00:39:07Si je suis rentré
00:39:08au gouvernement,
00:39:09précisément,
00:39:09c'est pour prendre
00:39:10les Français à témoin,
00:39:11pour leur dire
00:39:12ce que nous pourrons faire
00:39:13aussi demain.
00:39:14Nous avons déjà le bilan
00:39:15sur la régularisation,
00:39:16sur la naturalisation,
00:39:18sur plein d'autres choses,
00:39:19en quelques mois,
00:39:20dans des conditions délicites.
00:39:21Déjà,
00:39:22nous avons un bilan.
00:39:23Qu'est-ce que ce sera demain
00:39:24si nous avons
00:39:25une vraie majorité,
00:39:26si nous gagnons les élections ?
00:39:27On transformera
00:39:28tous ensemble,
00:39:29on transformera la France.
00:39:32Nous avons fait
00:39:42un bouche de délices
00:39:43parce que désormais,
00:39:45un réservatum
00:39:45pour l'immigration,
00:39:47eh bien,
00:39:47c'est majoritaire.
00:39:48C'est une idée
00:39:49qui est devenue majoritaire,
00:39:50une révolution pénale
00:39:51pour assumer
00:39:52une vraie sanction.
00:39:52c'est désormais
00:39:53une idée majoritaire
00:39:55dans le pays
00:39:55et pas seulement à droite,
00:39:57je crois.
00:39:58Le conditionnement
00:39:59des aides sociales
00:40:01pour les étrangers
00:40:02qui démarquent
00:40:03sur notre centre,
00:40:03ça aussi,
00:40:04c'est devenu
00:40:04une idée majoritaire.
00:40:06Donc, oui,
00:40:06les amis,
00:40:07notre rôle,
00:40:08c'est de faire en sorte
00:40:09une innovation aujourd'hui.
00:40:11Et tant que je pourrais,
00:40:12tant que j'en aurais
00:40:13les moyens,
00:40:14d'être utile
00:40:14à mon pays
00:40:15et aux Français,
00:40:16je ferais mon devoir.
00:40:17Je le ferais de mon mieux.
00:40:19Je le ferais
00:40:19pour être utile
00:40:20aux Français.
00:40:21Je le ferais aussi
00:40:22pour notre mouvement.
00:40:23Je le ferais
00:40:23pour qu'il ne soit pas dit
00:40:25qu'en France,
00:40:26la droite dans l'action,
00:40:27ce soit une droite
00:40:28qui remit ses convictions.
00:40:47D'ailleurs, les amis,
00:40:48ce choix collectif,
00:40:49il a été encouragé
00:40:51et il a même été justifié
00:40:54par ceux qui votent pour nous.
00:40:55La preuve,
00:40:57les deux preuves vivantes
00:40:58qui sont ici aujourd'hui,
00:41:00Christelle Nia,
00:41:01qui a gagné
00:41:01par le niveau-là,
00:41:03la vie meilleure,
00:41:04d'accord,
00:41:05la bonne partenaire,
00:41:07la vie meilleure,
00:41:08la vie meilleure,
00:41:11à ses côtés,
00:41:12député,
00:41:13ma chère Isabelle,
00:41:14qui a gagné aussi,
00:41:16ici,
00:41:17la vie meilleure.
00:41:17dans les élections,
00:41:21dans le feu,
00:41:21on n'est pas là,
00:41:23mais dans toutes les élections
00:41:24législatives,
00:41:25municipales,
00:41:26partielles,
00:41:26qui se sont déroulées
00:41:27depuis sept mois,
00:41:28c'est nous,
00:41:29les lèvres,
00:41:30qui avons le plus progressé
00:41:31en plus de nos électeurs,
00:41:34en plus d'une théorie,
00:41:35qui ont le plus progressé,
00:41:36à ce soir.
00:41:36On va y arriver !
00:41:38On va y arriver !
00:41:40On va y arriver !
00:41:42On va y arriver !
00:41:43On va y arriver !
00:41:44Ah, ils sont repris à ça !
00:41:46Ça, c'est l'esprit moulogne
00:41:49qui veut ça,
00:41:50monsieur le maire.
00:41:51Je disais,
00:41:52donc,
00:41:52la droite,
00:41:52une force morale,
00:41:54une force morale.
00:41:55Être de droite,
00:41:56c'est assumer des idées.
00:41:57C'est assumer,
00:41:58sereinement,
00:41:59tranquillement,
00:42:00mais de façon déterminée,
00:42:01des conditions.
00:42:02Mais c'est pas suffisant.
00:42:04Parce que,
00:42:04un parti politique,
00:42:06c'est fait
00:42:06pour gagner des élections.
00:42:08La droite française
00:42:09doit redevier
00:42:10une grande force électorale.
00:42:12Et les françaises
00:42:13et les françaises de droite
00:42:14doivent retrouver un parti
00:42:15qui porte cette espèce.
00:42:18Ce parti,
00:42:19ce sera nous.
00:42:21Pour que nous devenions
00:42:22un grand parti,
00:42:24il faudra que notre parti
00:42:25soit populaire,
00:42:27qu'il soit ambitieux,
00:42:30qu'il soit moderne
00:42:31et qu'il soit patrilite.
00:42:33Revenons sur chacun de ces espèces.
00:42:35D'abord,
00:42:36un grand parti populaire.
00:42:38Populaire parce que
00:42:39un grand parti,
00:42:40ça ne peut pas être
00:42:41un club de château à vue.
00:42:43Nous sommes,
00:42:43mes amis,
00:42:44notre éditeur,
00:42:45c'est l'héritage de l'histoire.
00:42:47Et nous sommes
00:42:47pour la sécurité nationale,
00:42:49la sécurité populaire,
00:42:50et non pour le référendum.
00:42:51Ce que nous voulons,
00:42:53ce que nous voulons demain
00:42:54pour la France,
00:42:55pour notre pays,
00:42:56alors apprisons-le
00:42:57tout de suite,
00:42:58déjà dans notre parti.
00:42:59Je suis favorable
00:43:00au référendum
00:43:01parce que je veux
00:43:02redonner le parti
00:43:03à ces militants,
00:43:04à ces adhérents.
00:43:05Je veux que demain,
00:43:06ce soit vous,
00:43:07vous qui étudiez
00:43:09de notre partier,
00:43:10vous qui étudiez
00:43:11de nos choix,
00:43:12un vote,
00:43:13un but,
00:43:14un plan,
00:43:14vous franchez,
00:43:15une joie
00:43:16pour vous exprimer
00:43:17sur nos choix décisifs,
00:43:20la ligne du parti,
00:43:21celle,
00:43:22celui,
00:43:23qui nous représentera
00:43:24en 2027.
00:43:24Parce que oui,
00:43:25nous avons vocation
00:43:27à avoir un étondard,
00:43:29notre étondard,
00:43:30à nous,
00:43:30LR,
00:43:31dans les ans,
00:43:31en 2027.
00:43:33On le dit pour ceux
00:43:34qui n'ont pas compris
00:43:36ou qui sont mis,
00:43:37mais qui n'ont pas compris,
00:43:38au LR,
00:43:39nous avons cette vocation.
00:43:41Et c'est vous
00:43:42qui décidez
00:43:44de notre candidat.
00:43:45pour faire un parti populaire,
00:43:53il faut que ces adhérents
00:43:54ne soient pas seulement
00:43:55des distributeurs de travail,
00:43:56des remplissants de sol,
00:43:58ou des colonnages.
00:43:59Il faut que vous en devriez
00:44:00des sociétaires.
00:44:01Et pour en devenir
00:44:02des sociétaires,
00:44:03impliqués,
00:44:04vous devrez être associés,
00:44:06vous devrez être respectés.
00:44:08Associés par le goût,
00:44:09bien sûr,
00:44:11associés au moment
00:44:11des investitures.
00:44:12Je pense que Paris
00:44:14ne peut pas décider de tout.
00:44:15Je pense qu'il faudra
00:44:16que pour désigner
00:44:17les candidats
00:44:18qui sont les plus proches
00:44:19du terrain,
00:44:20les candidats qui seront
00:44:20les plus efficaces,
00:44:22les candidats qui seront
00:44:23les mieux à même de gagner,
00:44:24il faudra mieux associer
00:44:26le terrain,
00:44:26c'est-à-dire
00:44:27nos fédérations.
00:44:28C'est quelque chose
00:44:29qui est pour moi fondamental
00:44:30si demain,
00:44:31de gagner dans les élections
00:44:32votables et nationales.
00:44:37Vous serez intéressés,
00:44:38vous serez respectés.
00:44:40Là, il faut inverser
00:44:41la pierre.
00:44:42Il faut que le siège
00:44:44soit à la disposition
00:44:46et au service
00:44:47des fédérations
00:44:48et des militants.
00:44:49Et j'exigerai
00:44:49que chaque demande
00:44:51reçoive une réponse,
00:44:53bien évidemment.
00:44:55Vous avez été là,
00:44:56mes amis.
00:44:57Au plus gros,
00:44:58en fait,
00:44:58demain,
00:44:59le parti
00:45:00devra être là
00:45:01pour vous,
00:45:01dans toutes les conditions.
00:45:02un parti populaire,
00:45:12un parti moderne,
00:45:14pas parce que j'appellerais
00:45:16la néophilie,
00:45:19l'amour de tout ce qui est
00:45:20neuf, nouveau,
00:45:21tout nouveau,
00:45:22tout beau,
00:45:22comme on est chez moi.
00:45:23non pas pour chevaucher
00:45:25les bonnes passagères.
00:45:29Elles passent
00:45:29si vite.
00:45:31Non,
00:45:31parce que
00:45:32si nous voulons
00:45:33gagner
00:45:34demain
00:45:35les batailles
00:45:36de l'avenir,
00:45:37il nous faudra
00:45:38les gagner
00:45:39non pas
00:45:39avec les herbes
00:45:40d'hier,
00:45:41mais avec les herbes
00:45:42aujourd'hui,
00:45:43avec les herbes
00:45:43de demain.
00:45:44Le monde aujourd'hui
00:45:45n'est plus le monde
00:45:45d'hier.
00:45:46La France aujourd'hui
00:45:47n'est plus la France
00:45:48d'hier.
00:45:49C'est la raison
00:45:49pour laquelle aussi
00:45:50je veux que notre parti
00:45:51devienne notre premier
00:45:52parti numérique
00:45:53parce que le groupe
00:45:54a des idées.
00:45:54Celui qui m'a dit
00:45:55depuis si longtemps,
00:45:57on le gagnera
00:45:58pas seulement
00:45:58sur les marchés,
00:46:00on le gagnera
00:46:00pas seulement
00:46:01dans les régions publiques,
00:46:02on le gagnera
00:46:02aussi sur les réseaux sociaux.
00:46:04Et là,
00:46:04je compte aussi
00:46:06sur la génération.
00:46:08C'est un peu plus
00:46:08à l'autre
00:46:09sur les réseaux sociaux.
00:46:11C'est un peu plus
00:46:12à l'autre.
00:46:13C'est un peu plus
00:46:14à l'autre.
00:46:14C'est un peu plus
00:46:14à l'autre.
00:46:15C'est un peu plus
00:46:15à l'autre.
00:46:18Être un parti
00:46:19moderne,
00:46:19ça veut dire
00:46:21qu'il nous faudra
00:46:21travailler
00:46:22d'arche-pied.
00:46:23Être un parti moderne,
00:46:24ça veut dire
00:46:24qu'il nous faudra
00:46:25défricher
00:46:26les nouveaux chantiers.
00:46:28Abandonner,
00:46:28arrêter
00:46:29tous ces vieux slogans
00:46:30que j'entends
00:46:31ravachés,
00:46:31radotés
00:46:32depuis tellement d'années,
00:46:33depuis combien d'années ?
00:46:35La droite
00:46:35n'a peut-elle pas inventé
00:46:37une idée d'un ?
00:46:38Une idée un peu
00:46:39imaginative ?
00:46:40Une perspective ?
00:46:41Un projet de société
00:46:42pour les Français ?
00:46:43Les Français sont en attente.
00:46:44Ils ne nous attendent
00:46:45personne leur donne.
00:46:46C'est nous
00:46:47qui devrons leur donner.
00:46:47les amis,
00:46:49ne croyez pas
00:46:49un seul instant
00:46:50qu'il suffit
00:46:52d'ésigner un chef
00:46:52pour que tout soit arrivé.
00:46:55Ça,
00:46:55c'est l'obsession
00:46:56de la droite.
00:46:57C'est l'obsession
00:46:57de la droite.
00:46:58Mais je veux vous mettre
00:46:58en garde.
00:46:59Si nous ne travaillons pas
00:47:00à l'élaboration
00:47:01de notre projet
00:47:02avec des propositions
00:47:03nouvelles,
00:47:04des propositions
00:47:04qui vont toucher
00:47:05l'esprit
00:47:06mais aussi le cœur
00:47:07des Français,
00:47:07alors nous échouerons.
00:47:10Nous devrons faire
00:47:11bien la contribution
00:47:12ensemble.
00:47:13Nous devrons faire
00:47:14clairement.
00:47:15et nous devrons faire
00:47:17sur des chantiers
00:47:18que nous n'abordons pas
00:47:19fréquemment
00:47:20et que nous devrons investir.
00:47:22Bien évidemment,
00:47:23le travail.
00:47:24Le travail
00:47:25qui devra payer plus.
00:47:26On ne peut pas dire
00:47:27aux Français,
00:47:28à la fois,
00:47:28il faut travailler plus
00:47:30parce qu'on est
00:47:31en voie d'appauvrisement
00:47:32et faire en sorte
00:47:33qu'il y ait tant
00:47:34de charges sociales,
00:47:35tant de charges
00:47:36de salaire.
00:47:36Tout le faudra
00:47:37rapprocher le salaire brut
00:47:38du salaire brut.
00:47:43Et le pouvoir
00:47:44va faire
00:47:44si on est
00:47:46des bureaucratistes
00:47:47par un État.
00:47:48Je tiens à l'État.
00:47:50Mon ministère
00:47:50est celui du Régalien.
00:47:51Et quand on est Français,
00:47:52les amis,
00:47:53on sait par cœur
00:47:54que la façon
00:47:55que nous avons,
00:47:56nous,
00:47:57la France,
00:47:58nous les Françaises
00:47:59et les Françaises,
00:47:59d'être au monde,
00:48:00c'est cette forme
00:48:01de l'État-nation.
00:48:02Et chez nous,
00:48:03l'État a précédé la nation.
00:48:04On sait ce que nous devons
00:48:05à l'État.
00:48:06Mais l'État actuel,
00:48:08bureaucratisé,
00:48:09l'État cracassier,
00:48:11qui a divorcé,
00:48:12d'ailleurs,
00:48:12avec les intérêts
00:48:13de la nation,
00:48:13il nous faudra
00:48:14le réformer profondément.
00:48:16Il devra se serrer
00:48:17la structure
00:48:17plutôt que de faire
00:48:19l'école,
00:48:20les Françaises
00:48:21et les Françaises.
00:48:22Retroquer le monde,
00:48:22d'ailleurs.
00:48:27Est-ce qu'on fait
00:48:28davantage de la démocratie
00:48:29ou des ordres
00:48:30avec le pouvoir ?
00:48:31Qui gouverne aujourd'hui ?
00:48:33Qui gouverne en France ?
00:48:34Qui gouverne en Chine ?
00:48:35Sommes-nous encore
00:48:36une démocratie
00:48:37ou sommes-nous,
00:48:38comme Jacques Julien
00:48:39l'avait dit,
00:48:40une démocratie sans le peuple ?
00:48:42Bien sûr,
00:48:42nous sommes gaullistes.
00:48:43Nous voulons une démocratie
00:48:44avec le peuple.
00:48:45Et il nous faudra donc
00:48:46faire en sorte
00:48:47que ce soit
00:48:48la souveraineté populaire,
00:48:50la souveraineté nationale,
00:48:51qui est la primauté.
00:48:52Il nous faudra évidemment
00:48:54modifier la Constitution
00:48:55et notamment
00:48:56l'article 11
00:48:57pour élargir
00:48:58les possibilités
00:48:59du référendum.
00:49:00Parce qu'il faut mieux
00:49:00s'articuler.
00:49:01désormais,
00:49:02on l'a fait réfléchir
00:49:03les choses.
00:49:04La démocratie parlementaire
00:49:05et la démocratie directe.
00:49:07La démocratie précisément
00:49:09que les Français
00:49:09appellent leur peur.
00:49:11Et puis,
00:49:12la démocratie,
00:49:13il y a la démographie.
00:49:15Auguste Comte
00:49:16avait une phrase définitive.
00:49:18Il avait dit un jour,
00:49:19il l'avait écrit même.
00:49:21Il avait écrit ceci
00:49:22en quelques mots.
00:49:23La démographie
00:49:24pour un peuple,
00:49:26c'est son destin.
00:49:27Notre destin à nous,
00:49:29c'est un destin pour terre
00:49:30dans deux ans.
00:49:33Autant
00:49:33de décès en France
00:49:36qu'il y aura
00:49:36de décès.
00:49:38Mes amis,
00:49:38il nous faudra
00:49:39inventer
00:49:40deux nouvelles politiques.
00:49:42Une grande politique
00:49:43de la famille
00:49:43nataliste.
00:49:45Nous l'assumerons
00:49:45pour donner la liberté
00:49:47aux Français
00:49:47d'avoir raison
00:49:49dans le monde
00:49:49ce que tu fais.
00:49:50Et à l'autre bout du spectre,
00:49:58mon cher Philippe,
00:49:59à l'autre bout du spectre,
00:50:01il nous faudra inventer aussi
00:50:02une politique
00:50:04pour le grand âge,
00:50:05pour l'autonomie.
00:50:06Parce qu'une civilisation,
00:50:08elle se jauge,
00:50:09elle se juge
00:50:10au respect
00:50:11de la réalité
00:50:11plus vulnérable.
00:50:13Et aujourd'hui,
00:50:13rien n'a été fait.
00:50:14Aussi peu,
00:50:15il nous faudra,
00:50:16et je sais que nous avons
00:50:16des idées,
00:50:17et je sais que nous pourrons
00:50:18les retenir ensemble,
00:50:19inventer cette politique
00:50:20grande politique
00:50:21à la fois de la famille,
00:50:22mais aussi pour nous aider,
00:50:24pour venir en aide
00:50:26à l'indépendance
00:50:27et puis à l'autonomie.
00:50:28Il y aura tant
00:50:29de choses à faire.
00:50:30Il y a un jeune député
00:50:31qui m'écoute,
00:50:31il s'appelle Antoine.
00:50:32Il me disait hier,
00:50:33mais Bruno,
00:50:33tu n'abordes pas suffisamment
00:50:34la question de l'écologie.
00:50:36Mais si, Antoine,
00:50:36j'ai écrit un livre
00:50:37sur l'écologie.
00:50:38On rend ou encore
00:50:39de la lumière en l'hiver.
00:50:40Regardez ce qui s'est passé,
00:50:41c'était pas de l'histoire,
00:50:42non pas en France.
00:50:43Regardez ce qui s'est passé
00:50:44dans les péninsules libériques
00:50:45il y a quelques jours.
00:50:46Voilà où ça m'a conduit,
00:50:47les écolos ou aux dingos.
00:50:49Voilà.
00:50:50Et bien nous inventons
00:50:51une écologie de débrasse,
00:50:53une écologie ouverte,
00:50:56une écologie qui serait
00:50:58civil, avec la science,
00:51:01avec la raison,
00:51:02une écologie qui se débarque
00:51:04de cette maladie infantile
00:51:06qui est le gauchisme
00:51:07et qui a beaucoup
00:51:08abîmé l'écologie.
00:51:09Oui, nous redéfons,
00:51:11mais c'est décidé.
00:51:12Merci.
00:51:12Merci.
00:51:13Merci.
00:51:13Merci.
00:51:13Merci.
00:51:13Merci.
00:51:13Merci.
00:51:16Merci.
00:51:18Merci.
00:51:21Merci.
00:51:21Une autre notion
00:51:22qui est fondamentale
00:51:24en instrumentent
00:51:24parler dans des régions
00:51:25publiques,
00:51:25c'est l'école.
00:51:26Ce qui est insupportable
00:51:28à l'école française,
00:51:29c'est de savoir
00:51:30que l'école de la République
00:51:32dit de la République
00:51:34et de toutes les écoles
00:51:35européennes,
00:51:36celle où la réussite
00:51:38des enfants,
00:51:39des élèves,
00:51:39dépend le plus
00:51:40de la position sociale
00:51:41et que le recul et des parents.
00:51:43C'est di sweREE
00:51:44Nous reforons une école
00:51:45vraiment.
00:51:45une école démocratique, mais surtout une école où, précisément l'effort, le mérite,
00:51:51une école méritopatique, permettront à des enfants tous fiers, par leur mérite, par
00:51:56leur travail, de pouvoir s'élever dans les hiérarchies sociales. C'est quelque chose
00:52:01de fondamentale. Mais ce projet devra s'adresser à la plupart des Français, parce qu'il
00:52:18nous faudra les alliés ensemble. C'est ça la politique. La politique, ce n'est pas
00:52:23des soustractions, c'est des additions. Et si je me présente dans cette compétition
00:52:28interne, une confidence, je n'ai aucune envie de devenir un chef de secte où on terminerait
00:52:35à quelques-uns dans une camion téléphonique. D'ailleurs, la camion téléphonique, ça
00:52:38n'existe plus à pleurer qu'il y a eu en France. Par conséquent, il nous faudra nous adresser
00:52:44à la majorité nationale. Qu'est-ce que la majorité nationale ? Eh bien, moi, mes amis,
00:52:51ce que je veux faire avec vous, demain, c'est que nous puissions défendre, péterons, la
00:52:56France des gens se mettent. La France des gens se mettent. Les gens se mettent, c'est
00:53:01la France-là. C'est la France de la naissance. C'est la France de séduction. Oui, la France
00:53:07de la naissance. C'est ce que Georges Ockel avait qualifié le jour pour s'exprimer, pour
00:53:13dire que c'était des gens ordinaires, mais des gens bien. La France de la naissance, c'est
00:53:17cette France qui croit au travail, qui croit l'effort, qui croit au mérite. C'est cette France
00:53:20qu'on n'entend pas. C'est cette France qui croit à la France, à cette école qui
00:53:25transmet ses valeurs, qui transmet ses savoirs, à la République qui impose l'autorité
00:53:31de ses lois, à la nation qui sait rassembler tous les siècles. C'est la France de la naissance.
00:53:39Malheureusement, c'est aujourd'hui la France du silence. La France qu'on n'entend pas.
00:53:43On ne l'entend pas parce qu'elle ne fait pas de bruit. Elle travaille dur. Elle élève
00:53:46ses enfants, dans la divinité, bien souvent. La France du silence, c'est tout simplement
00:53:52parce que les hommes et les femmes politiques ont arrêté de l'écouter. Ils se tournent
00:53:57non pas vers cette majorité silencieuse, mais ils préfèrent se retourner vers les
00:54:02clientèles, vers les minorités, avec leur luminée croissante, avec leur déliroquisme,
00:54:08avec leur obsession technocratique. Depuis si longtemps, les hommes et les femmes politiques
00:54:14de ce pays ont fait non pas une politique de la majorité nationale, mais une politique
00:54:18archétique. Une politique où on découpe en rondelle de saucisson le peuple de France.
00:54:24Eh bien nous, nous prendrons en charge les aspirations de cette France silencieuse. Nous
00:54:29prendrons en charge cette aspiration du respect. Parce que c'est le respect qui manque aux Françaises
00:54:36et aux Français. Et nous porterons leur voix. Nous porterons leur voix parce que nous porterons
00:54:41leurs aspirations profondes. Nous ferons une politique, comme disait un jour le général
00:54:45niveau de la majorité nationale, et non pas une politique pour des majorités, pour
00:54:51les clientèles électorales.
00:54:59Voilà les amis, donc résumons un parti populaire, parce qu'on vous redonnera le soin de décider
00:55:07de notre avenir, de votre avenir. Un parti moderne. Nous ferons une politique de la majorité
00:55:12nationale. Nous défendrons celles et celles qui enrichissent la France, qui permettent
00:55:17à la France de tenir, qui croient en la France. Et par-dessus tout, nous défendrons aussi
00:55:24un parti qui sera moderne et patriote. Patriote. Pas seulement parce que là encore nous avons
00:55:31des origines bris. Et pour vous, plus que ça. Dans la vie, certains comprennent, certains
00:55:39ne comprennent pas. Mais tant qu'on n'a pas compris que ce qui fait bouger les hommes
00:55:44et les femmes, que ce qui permet au peuple de se mouvoir, ce ne sont pas les conditions
00:55:49matérielles de l'existence. Bien sûr, ça compte. Le pouvoir d'achat, le niveau
00:55:51d'un, bien sûr, ça compte. Mais au bout du compte, ce qui compte, souvent, c'est d'avoir
00:55:57le droit ensemble. Rien des défis que nous devrons relever ensemble, que la France ne va
00:56:02relever. Rien de ces défis, nous ne pourrons les relever si on ne redonne pas le monde
00:56:09la France ou la France. C'est la raison pour laquelle nous devons être un parti patriote.
00:56:14Un parti patriote. Un parti qui communique cet amour de la France. Ça veut dire quoi ? Et
00:56:20ça veut dire qu'est-ce que pour nous, puisqu'il faut répondre à cette question, quand on dit
00:56:25qu'on veut être un parti patriote, qu'est-ce qu'on veut dire ? Comment répond-on à cette
00:56:31question qui est une question fondamentale ? Qu'est-ce que pour nous, qu'est-ce que pour
00:56:36moi, au moment où je vous parle, être français ? Être français, pour moi, c'est une
00:56:43affection. Être français, pour moi, c'est une ambition. Être français, pour moi, c'est
00:56:49une compassion. D'abord, c'est une affection. Nous sommes, en France, une nation qui n'est
00:57:04pas une nation civique. Nous sommes une nation civique. Être français, ça ne dépend pas
00:57:09de la couleur de peau, de la religion, de la croyance, de la condition sociale. C'est
00:57:14bien plus. C'est beaucoup plus. Beaucoup, beaucoup plus. Être français, c'est une
00:57:19affection. C'est-à-dire qu'on n'est pas totalement français par le sang. On n'est pas pleinement
00:57:27français par le sang. Si on n'est pas passionnément français par le cœur. Oui, mes amis. Être français,
00:57:34français, c'est aider la France. Être français, c'est aider la France. Être français, c'est
00:57:42l'un de plus lumineux. Être français, c'est l'un de plus lumineux. Bientôt, un grand historien,
00:57:51grand résistant, sera panthéonisé. Marc Bloch. Marc Bloch, avec cette phrase, en parlant de cette
00:57:58histoire lumineuse, en disant, on n'est pas français si on n'est pas capable de vibrer
00:58:03au sacre de l'Homme ou au récit de la fête de la Fédération. Oui, notre histoire est
00:58:07lumineuse. C'est la raison pour laquelle vouloir systématiquement la disqualifier, vouloir
00:58:12absolument la noircir, jeter sur elle l'ombre de la repentance, c'est rendre impossible le
00:58:20sentiment d'appartenance. Et si on constate parfois que dans notre pays, de jeunes générations,
00:58:27sont sur le chemin de la sécession. Nous avons une responsabilité. On leur a tellement
00:58:33dit que la France était un anti-modèle, un contre-modèle. On leur a tellement dit
00:58:38que la France n'était pas estimable qu'elle était fondamentalement, essentiellement
00:58:42plus paru. On ne leur a pas donné la France aimée. Comment peuvent-ils aimer la France
00:58:47si on leur dit que la France n'était pas aimée ? Voilà, on en est. Oui, notre histoire est lumineuse.
00:58:52Oui, nous devons en être fiers. Et notre école devra porter ses métiers.
00:58:57La France, dans ce qu'elle a, le plus lumineux. La France, dans ce qu'elle a aussi, le plus
00:59:12mystérieux. Le plus mystérieux est d'abord cette manière si particulière d'être aux autres.
00:59:19cette manière si singulière aussi, d'habiter le monde. Avec ce mélange d'intelligence et
00:59:29d'impertinence. Ce mélange de profondeur, de légèreté, de liberté, parce que nous sommes
00:59:35le pays de Voltaire, le pays de Cyrano. Le pays de l'amour de la liberté. Cet amour de la
00:59:41liberté nous caractérise. Et on ne doit pas s'en rabattre sur la liberté d'expression.
00:59:46Parce que s'ils devraient nous acceptions d'en rabattre sur la liberté d'expression,
00:59:51ça signifierait que nous ne sommes plus vraiment français. Et pourquoi je n'avais pas aujourd'hui,
00:59:55par exemple, pour la libération d'Oilek-Sensal ? C'est un grand écrivain. Un écrivain.
01:00:01C'est un grand écrivain. C'est un grand écrivain. C'est un grand écrivain.
01:00:13Quoilek s'installe dans ses écrits. Magnifie notre langue française. Mais c'est parce
01:00:19qu'il n'y a pas de plus bel espace de liberté que l'écriture. Pour celui qui
01:00:23lit et pour celui qui écrit. Nous sommes une patrie littéraire. C'est ce que Quoilek
01:00:28nous fait comprendre. Et c'est la raison pour laquelle on lui doit quelque chose. Une
01:00:33patrie littéraire. Je l'ai souvent dit. Et tellement peu de Françaises et de Français
01:00:37le savent. Nous sommes le pays d'Europe qui a reçu le plus de prix Nobel de littérature.
01:00:44Les Ormènes, une patrie littéraire. Les Ormènes ne trouvaient pas un formidable
01:00:51présidentiel qui n'a pas déjà écrit un livre. Hier, à Saint-Denis, les Ormères recevait
01:00:57le témoin du Saint-Crème. Désormais, c'est l'encre noire qui a remplacé le Saint-Crème.
01:01:02La patrie littéraire. La France, mes amis. La France de la liberté. La France de l'écriture.
01:01:06La France. Et les coeurs. La France en nous sommes fiers. Donc, bien sûr, cette France
01:01:14tournée par le coeur. Par l'affection. La France est aussi une ambition. Une ambition
01:01:20qui nous fait dire, à la suite de Châteaubriand, que la France est faite pour la gloire. Qu'elle
01:01:25n'est pas faite pour la servitude. Elle n'est pas faite pour la servitude. Eh bien, nous
01:01:29ne voulons pas ni être asservi, ni être abourri. La France que nous voulons, la France
01:01:34que nous-mêmes voulons ensemble reconstruire. Ça n'est pas la France de la servité. Ça
01:01:39n'est pas la France de la décroissance. C'est la France en grand. Pas la France en tout
01:01:42petit. Pas la France décroissante. La France conquérante. C'est celle-ci qu'ensemble
01:01:47nous allons bâtir. Parce que quand on veut le meilleur pour la France, on veut tirer
01:01:52le meilleur de la modernité. De tout ce que nous offre cette modernité. Ne soyons pas
01:01:57pas séistes, mes amis. Nous avons un héritage. Nous en sommes fiers. Et chaque génération,
01:02:02chaque génération doit reconfigurer cet héritage en fonction des défis du moment. Et des défis,
01:02:08vous avez entendu de l'avenir. Un exemple. Un exemple. L'intelligence artificielle. Le
01:02:15général de Gaulle, hier, vous avez assuré d'une souveraineté de l'indépendance grâce
01:02:20à la Taube. Eh bien, il en va désormais. Et c'est les mêmes enjeux. Avec l'algorithme
01:02:25comme il en avait autrefois, précisément avec la Taube. C'est une question de l'indépendance.
01:02:30Une question de souveraineté. Là encore, on s'offre. C'est ici que demain va se jouer
01:02:36notre destin. Même si ce destin, on le jouera aussi avec les autres peuples d'Europe.
01:02:41En fait, on s'agira. Une Europe, d'ailleurs, ça sable. Une Europe des grands projets plutôt
01:02:53qu'une Europe de tous les sujets. Non pas une Europe bureaucratisée, mais une vraie
01:02:57Europe démocratique qui nous aidera à cheminer sur l'avenir, sur les chemins de l'avenir.
01:03:03Donc, affection, ambition, compassion. Parce que, mes amis, nous sommes le pays de Saint-Vincent-Paul.
01:03:12Oui, le pays de Saint-Vincent-Paul. Et nous sommes aussi le pays, les restos du gueule. Ce
01:03:19pays, aux racines, aux racines géo-chrétiennes, ils se sont entrevalés avec les racines de la
01:03:24mine sociale pour composer la trame étroite de la générosité française. C'est ça aussi
01:03:31être français. Cette générosité. C'est ça une nation. C'est ça une civilisation.
01:03:37Avoir partilier les uns aux autres. Prendre soin des vulnérables. Être français. Être
01:03:44français. Écoutez-moi bien. C'est comprendre qu'aucune souffrance française ne doit nous être
01:03:50étrangère. C'est tendre une nation durable à ceux qui en ont besoin. Certainement pas
01:03:55à ceux qui en abusent. Là, on est mal intransigeants. Certainement pas à ceux qui
01:04:00provent. En Inde, on a une aide sociale qui désavantage pas ceux qui peuvent. Ceux qui
01:04:05ont besoin d'une nation durable par rapport à ceux qui provent. Mais il nous faudra précisément
01:04:11prendre soin de ces familles qui travaillent mieux, qui paient à aider leurs enfants. C'est
01:04:16ça aussi la droite que, avec vous, je veux construire. Il nous faudra aussi faire en sorte
01:04:22de tendre la main à tous ces ouvriers, ces employés, à tous celles et ceux qui ont été
01:04:27rattrapés par le SPI. En deux ans, un million Français a été rattrapé par le SPI. Dans
01:04:32quelques jours, le 16 du mois, 25% même plus qu'une un quart des Français
01:04:38aura leur pense dans le congé. Il faut faire quelque chose pour eux. Parce qu'eux bossent.
01:04:42Ils travaillent mieux. C'est pour eux qu'ils travaillent mieux. C'est pour eux qu'ils
01:04:48travaillent mieux. C'est pour eux qu'ils veulent pas dire ces grands partis.
01:04:52Reviens, patriotes, les amis. Voilà pour moi ce qu'être Français. C'est beaucoup,
01:05:00c'est très fort, c'est très puissant pour qu'ensemble, on puisse nous donner à la France.
01:05:05C'est très puissant, c'est très fort. Pour qu'on puisse donner cœur, corps et âme
01:05:11à l'idéal, à l'idéal français. C'est la même chose en politique. La politique, et je l'ai
01:05:16toujours conçue ainsi, c'est une action au service d'un idéal. Et cet idéal, c'est
01:05:22quelque chose auquel on tient. C'est quelque chose, on pense, c'est quelque chose qui nous
01:05:27tient, comme je le disais, et c'est la politique aussi. La politique, c'est un idéal. Si tant
01:05:33d'hommes et de femmes politiques, en réalité aujourd'hui, semblent, donnent le sentiment
01:05:38d'être habité par rien, de n'habiter nulle part, ni à droite, ni à gauche, ni au centre,
01:05:42ni ailleurs, c'est précisément, parce qu'il y a des villes. Alors ensemble, demain,
01:05:47nous ne serons pas la droite du vide, nous ne serons pas la droite du rien, nous serons
01:05:52la droite de l'idéal français. C'est ce que je sens.
01:05:55C'est une droite de la vie, une droite de la vie, une droite de la vie, une droite victorieuse,
01:06:00parce que dans 10 jours, nous comporterons une belle victoire, et cette victoire sera
01:06:07une propre victoire, une droite de la vie, parce que le chemin
01:06:10qui a commencé, nous mensons, ce sera le chemin du milieu, dans une semaine,
01:06:16cela était le chef de l'homme, l'intention de la matière, les amis,
01:06:19mais nous allons entendre que les filles en vie, nous relâchons, et
01:06:26l'intention de nos besoins et de nos besoins, et aux besoins des amis,
01:06:31et d'autres amis politiques,
01:06:33avec l'histoire,
01:06:34avec l'histoire d'un pays,
01:06:35avec l'histoire d'un pays.
01:06:37Nous allons le prie,
01:06:38et c'est le jeu de l'Assemblée.
01:06:40Nous allons le prie
01:06:41pour la République française,
01:06:43celle qui nous réunit,
01:06:45celle qui nous permet
01:06:46d'offrir une résonance
01:06:48qui est absolument
01:06:49d'acheter des différents
01:06:50pour la France,
01:06:51ce grand et beau pays,
01:06:52qui est ce pays
01:06:54qui est parvenu
01:06:55à faire une agilie rare
01:06:57et improbable
01:06:58dans toute histoire
01:06:59de l'humanité,
01:07:00en sorte d'accorder
01:07:01ce qu'il y a
01:07:02de plus singulier,
01:07:03de plus particulier
01:07:04dans chaque être humain
01:07:05et de plus universel
01:07:06dans tous les êtres humains.
01:07:07Alors mes amis,
01:07:08vive la droite française,
01:07:09vive la République française,
01:07:11vive la République française,
01:07:12et vive la France !
01:07:30stempe.
01:07:32On va le plus !
01:07:34On va le plus !
01:07:39Merci !
01:07:40On va le plus !
01:08:12Applaudissements
01:08:42...
01:09:12...
01:09:42...
01:09:43...
01:09:46...
01:09:52...
01:09:54...
01:09:58...
01:10:04...
01:10:06Les amis, les derniers détails, les derniers détails, il reste une semaine, et celui qui est mort, et celui qui est mort, jusqu'au dernier quart d'heure, c'est le premier ami.

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À suivre