- 14/05/2025
Conférence " Suis-je en surcharge mentale ? " par le Docteur en Neurosciences Célia Mores, membre du comité des CGS.
Introduction par Josiane Gaude, 1ere adjoint au maire, Paris 7eme.
14 Novembre 2024
Introduction par Josiane Gaude, 1ere adjoint au maire, Paris 7eme.
14 Novembre 2024
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00:00:00On va parler de ce qu'est la surcharge mentale, puis de suivre la surcharge mentale et le but
00:00:05avec elle, donc on le définit ensemble et vous allez voir qu'on peut tous être touchés
00:00:09par cette surcharge mentale.
00:00:12Donc, il faut la faire, à d'abord définir ce que c'est, parce que généralement on ne
00:00:16définit pas plus bien, on va voir quelles vont être les conséquences de la surcharge
00:00:20mentale sur la santé, notamment sur notre activité mentale, et aussi nous allons voir
00:00:26comment est-ce qu'on peut s'en communier, ou éventuellement, comment est-ce qu'on va
00:00:30pouvoir vérifier cette surcharge mentale, parce que ça va être le plus, soit elle est là,
00:00:34il faut la vérifier, soit on essaye et c'est mieux, on a le plus de s'en communier, et
00:00:39on va voir qu'il y a l'effet.
00:00:42Donc, qu'est-ce que la surcharge mentale, première question, c'est savoir qu'au départ,
00:00:46c'était une quantité de travail trop importante, c'est-à-dire qu'on avait, on a demandé
00:00:51beaucoup, beaucoup, beaucoup de travail.
00:00:52Aujourd'hui, finalement, c'est plutôt la seconde définition, c'est-à-dire qu'il
00:00:56va y avoir une adéquation entre la charge de travail demandée et ce que les ressources
00:01:02cognitives de l'individu peuvent pour venir en faire, pour venir, pardon.
00:01:07Alors, ça ne veut pas dire qu'on n'a pas de ressources cognitives et qu'un individu
00:01:10qui va être en surcharge mentale, manque de ressources cognitives.
00:01:14Mais tout simplement, vous voyez dans cette carabio, je ne sais pas combien de, on doit
00:01:20faire peut-être 0,5 litre, peut-être quelque chose comme ça, mais peu importe, vous ne
00:01:23ne mettrez jamais un arbre de sac d'étrône.
00:01:26Si vous l'essayez, ça va déborder.
00:01:29Eh bien, c'est pareil, votre cerveau, il a des capacités, mais les capacités ne sont
00:01:33pas extensibles.
00:01:34Autant celles de votre mémoire, elles sont extensibles, autant la capacité qui vous
00:01:39permet de travailler, vos ressources cognitives ne sont pas extensibles, il faut les préserver.
00:01:44Votre cerveau, il veut savoir qu'il a besoin, finalement, il aime l'écologie.
00:01:48Donc, finalement, il va à l'écologie.
00:01:50Il n'aime pas qu'on le sollicite trop.
00:01:52Donc, ça va être exactement pareil.
00:01:53Moi, je vais vous apprendre, vous expliquer comment garder ce côté écologique pour éviter
00:01:58qu'il surcoffe et qu'il vous fasse comme une multiprise lorsque vous branchez trop
00:02:02d'appareils dessus, qu'elles flambent.
00:02:05Et c'est un peu le problème du cerveau.
00:02:10Donc, effectivement, quels vont être les facteurs déclencheurs ?
00:02:12Il va y en avoir plusieurs.
00:02:13Alors, évidemment, il va y avoir une ligne d'équation entre ce que l'on peut faire
00:02:17et ce qu'on va nous demander.
00:02:19Il va y avoir, effectivement, aussi le fait de devoir nous demander trop de travail
00:02:23dans un temps concours.
00:02:25Là, le temps concours, c'est pas possible.
00:02:27Un manque de collaborateurs.
00:02:29On se retrouve dans une entreprise ou un endroit où il manque des collaborateurs.
00:02:33Il n'y a pas de possibilité d'une nouvelle embauche.
00:02:35On a du mal à recruter parce qu'effectivement, on ne trouve pas la terreur.
00:02:39Finalement, la personne qui fait déjà bien son travail, on voit qu'elle arrive à en faire
00:02:43encore un peu plus.
00:02:45On va lui donner le travail.
00:02:46Ça va être aussi, effectivement, la mauvaise ambiance.
00:02:49Une mauvaise ambiance au travail, quand ça se passe mal, effectivement, ça va augmenter
00:02:53cette sursage mentale et ces problèmes de sursage mentale.
00:02:56Ça va être, évidemment, l'incapacité à faire un travail de qualité, mais aussi tous
00:03:01les contraintes actuels parce que le travail peut devenir de plus en plus pénible.
00:03:04Et on ne parle pas de pénibilité du travail manuel, on parle de pénibilité même
00:03:08du travail, finalement, intellectuel et, évidemment, le développement du numérique.
00:03:13On est tous avec nos smartphones, nos tablettes.
00:03:17Et, effectivement, lorsqu'on travaille, il y a la barrière entre la vie professionnelle
00:03:21et la vie privée qui n'existe peut-être plus parce qu'on va recevoir des emails.
00:03:25De ce faire, on va avoir envie de regarder.
00:03:27Donc, c'est beaucoup plus dur, effectivement, de faire, finalement, de s'inder vie professionnelle
00:03:34et vie commune, sans compter du fait qu'on est de plus en plus en télétravail.
00:03:39C'est le reste de la COVID.
00:03:40Donc, télétravail, effectivement, c'est peut-être sympa, mais de fait, on a du mal
00:03:44à compartimenter les deux.
00:03:47Et ça peut provoquer de la sursage mentale parce que, quand on est chez soi, on pense
00:03:50en même temps, peut-être, à ses tâches ménagères, en même temps qu'on pense à
00:03:54effectuer, par exemple, le travail demandé.
00:04:00Évidemment, il va y avoir le gros, gros souci de passer d'une tâche à l'autre.
00:04:05Alors, je vous le rappelle, on n'est pas l'anti-tâche, ni vous-ménage.
00:04:09C'est-à-dire que les femmes peuvent faire plusieurs choses en même temps, on switch
00:04:12d'une tâche à l'autre, mais ça nous bouffe, excusez-moi du bien, beaucoup de ressources
00:04:17cognitives, ça nous bouffe notre batterie.
00:04:19C'est-à-dire que c'est comme si, quand vous avez votre téléphone portable ou sur
00:04:23votre ordinateur, vous bouffiez de l'avion à l'ordinateur pendant que vous avez plusieurs
00:04:27applications, effectivement, ouvertes, au point que, parfois, leur ordinateur, ils veulent.
00:04:31Moi, tout à l'heure, je viens à redémarrer tout seul, il s'est éteint.
00:04:34Le temps va commencer un cours, on ne vous dit pas la forme mentale et le stress.
00:04:38Mais, effectivement, ça va être ça.
00:04:40Ça va être, effectivement, l'autonomie, le manque d'autonomie ou une trop grande
00:04:44d'autonomie, c'est-à-dire soit on nous laisse en coût libre, on ne sait pas quoi faire,
00:04:47donc, évidemment, on va être perdu, soit on nous brille, et là aussi, il va y avoir
00:04:52un problème.
00:04:53Le manque de reconnaissance de travail bien fait, alors il ne s'agit pas de dire à quelqu'un
00:04:57« c'est bien mon petit, tu as bien travaillé aujourd'hui », mais quand même, le reconnaissance
00:05:01de travail bien fait, un retour, ça fait toujours plaisir.
00:05:03Ça va être ça, ça va être, évidemment, tout ce qui va être du mal, d'harcèlement.
00:05:09Alors, harcèlement, on ne parle pas de harcèlement sexuel, ni rien, je sais bien qu'il y a, on
00:05:13parle beaucoup de mitou en ce moment.
00:05:14Ce qui est important, c'est le harcèlement malmoral.
00:05:17Ça peut être des petites phrases, assassines, des petites choses qui peuvent être dites,
00:05:20et c'est votre, ça peut avoir lieu, et là aussi, ça va prendre des relations par
00:05:23contact.
00:05:23Donc, effectivement, ça va être important, ce sont des facteurs qui vont déclencher
00:05:28ce phénoménal de surcharge mentale, c'est-à-dire que vos ressources cognitives ne pourront
00:05:32plus gérer, votre cerveau, il ne peut plus gérer, il n'en peut plus.
00:05:38Alors, tous les individus sont à risque.
00:05:42Il n'y a pas un profil d'individu qui ne l'est pas.
00:05:45Femmes, hommes, personnes âgées, enfants, etc., tout le monde a un risque.
00:05:51Tout le monde peut développer de surcharge mentale.
00:05:52Sauf qu'évidemment, il va y avoir des profils qui risquent d'être un peu plus vulnérables.
00:05:58Notamment, les individus qui ont tendance à penser que tout doit être parfait pour
00:06:02être aimé.
00:06:03Les individus, effectivement, qui sont très perfectionnistes, maniaques, parce qu'ils
00:06:07vont se donner à fond et ils ne vont pas lâcher prise alors qu'il y a des moments où il
00:06:11faut savoir lâcher prise et se dire, tout ne sera pas parfait, je ne suis pas parfait,
00:06:15la perfection n'existe pas, ce n'est pas grave.
00:06:17Ça va être, effectivement, tous ceux qui veulent gérer, tout contrôler.
00:06:23Pour les individus de tout temps, tout gérer, tout contrôler, évidemment, ça va poser
00:06:27probablement un problème et ce sont des individus qui vont être plus à risque que les autres,
00:06:31mais tous les profils sont à risque.
00:06:34Il n'y a pas de profil type en disant tel métier est plus à risque qu'un autre.
00:06:38Pas du tout.
00:06:42Alors, évidemment, le problème de la surcharge mentale, ça va être quoi ? C'est que ça
00:06:46peut conduire au burn-out.
00:06:48Le burn-out, c'est des conséquences ultimes de la surcharge mentale.
00:06:52On est tous en surcharge mentale.
00:06:54Josiane en parlait, elle a beaucoup de choses à faire, elle n'en peut plus, elle est en surcharge mentale.
00:06:58Elle n'est pas en burn-out.
00:07:00Certains de mes étudiants sont probablement surcharge mentale.
00:07:03Désolée, d'effectivement, mais je le sais.
00:07:05Mais effectivement, ils sont en surcharge mentale pour certains.
00:07:08Évidemment, on le sait, des fois, on peut être en surcharge mentale, mais on n'est peut-être
00:07:11pas en burn-out.
00:07:12Parce qu'effectivement, on a beaucoup de choses à faire, on a beaucoup de, finalement,
00:07:17on nous en demande beaucoup, beaucoup de trucs à rendre, mais on gère encore.
00:07:21Le burn-out est vraiment quand il y a un épuisement total, à la fois physiologique, physique
00:07:27et émotionnel.
00:07:28Donc là, le corps dit, je n'en peux plus, je n'avance plus, c'est tabou.
00:07:32C'est comme un enfant.
00:07:33Pour ceux qui ont des enfants, quand vous les traînez à faire des courses l'après-midi
00:07:37dans les grands magasins, etc., notamment pendant les fêtes de Noël, moi je me souviens,
00:07:41il y a des gamines, il y avait 4 ans, ma mère faisait faire ça, parce que c'était
00:07:44les grands-pères de l'autre, on montait à Paris, donc on faisait des grands magasins,
00:07:47puis comme on restait peu de temps, on pensait bien qu'on les faisait pas de course,
00:07:50il y a un jour, on lui tournait, le sueur s'est parti et il lui dit, je ne bouge plus.
00:07:55C'est ça, en fait, épuisement physique et émotionnel, c'est ça, c'est qu'un moment,
00:07:58votre cerveau n'a dit, ne bouge plus, ce n'est plus possible.
00:08:02Et là, évidemment, c'est beaucoup plus dur à récupérer.
00:08:06On met beaucoup plus de temps à récupérer que lorsqu'on s'en compte avant et qu'on
00:08:09met en place des choses pour faire.
00:08:11Parce que de la chambre de travail importante, on en aura toujours.
00:08:15Ça ne va pas aller inférieurement.
00:08:17Alors, quelles vont être, effectivement, les conséquences de cette surface mentale
00:08:24au niveau, finalement, de la santé ?
00:08:26Il va y en avoir plusieurs, mais vous allez voir que vous allez avoir, finalement, des signes
00:08:30que vous allez dire, mais ça, oui, j'en souffre.
00:08:33Alors, on verra ensemble que ce n'est pas parce que vous avez ces problèmes-là physiologiques
00:08:37et organiques que vous êtes en surface mentale.
00:08:40Sauf que si ça s'accumule, ça peut être aussi la surface mentale.
00:08:43Apparition de symptômes physiques, tension musculaire, vous savez, les douleurs que
00:08:50vous avez un petit peu partout, au dos, les dents de la nuque, des étoiles, en fait,
00:08:54vous vous touchez là et vous y aurez des douleurs.
00:08:57Ça peut venir de la surface mentale.
00:09:00Pas que ça, ça vient aussi d'une mauvaise posture, bien évidemment.
00:09:03On peut avoir aussi des lombologies, des douleurs au dos qui sont dues à des pathologies
00:09:07que l'on peut avoir organiques, diagnostiquées par un médecin.
00:09:10Mais, effectivement, c'est lorsque ça va s'accumuler.
00:09:12Il va y avoir une modification, évidemment, du rythme cardiaque, du rythme respiratoire.
00:09:18Donc, le cœur qui peut s'emballer, vous aurez du mal un petit peu à respirer,
00:09:20vous sentez que votre cœur va plus vite et que vous avez des sortes de palpitations.
00:09:25Mais aussi, on va avoir une modification de l'activité cérébrale.
00:09:28Parce que votre surface mentale, ou lorsque vous êtes en surface mentale,
00:09:31lorsque vous travaillez, ça se voit lorsqu'on fait, effectivement, de l'imagerie cérébrale.
00:09:36On voit la surface mentale à l'imagerie cérébrale, objectivement.
00:09:40Donc, ça, c'est un truc à prendre en compte.
00:09:43Il va y avoir tout ce qui va être les maladies cardiovasculaires, l'hypertension artérielle.
00:09:48Alors, vous allez dire, on peut être en hypertension sans être en surcharge mentale.
00:09:51Effectivement.
00:09:52Sauf que la surcharge mentale va provoquer aussi ces pathologies-là.
00:09:56Parce que, finalement, vous allez somatiser.
00:09:59Vous allez quelque part somatiser.
00:10:00Et ces phénomènes physiques, organiques, ces problèmes de santé organique vont, évidemment, avoir mieux.
00:10:07On va avoir la prise de poids.
00:10:09Pourquoi ? Parce qu'évidemment, on va avoir du mal à gérer, à prendre des décisions.
00:10:15Le cortex qui va être le plus touché en surcharge mentale, c'est le cortex, finalement, le préfrontal.
00:10:20Le cortex préfrontal qui est juste situé ici.
00:10:22Qui vous permet de réfléchir, de prendre des décisions, de raisonner, de planifier.
00:10:28Vous avez planifié votre venue ici.
00:10:30C'est grâce à votre cortex préfrontal.
00:10:32Lorsque vous prenez une décision, quelle qu'elle soit, même est-ce que je pars en Italie en vacances
00:10:36ou est-ce que je pars en Angleterre en vacances, c'est votre cortex préfrontal.
00:10:40Est-ce que vous faites ce choix-là entre deux restaurants, c'est votre cortex préfrontal.
00:10:45Ça ne vous permet pas de prendre des décisions pour faire cela.
00:10:47Vous analysez la situation.
00:10:48Vous analysez la situation à la fois de manière intuitive.
00:10:51C'est-à-dire, c'est ce qui peut constituer, pardon, à prendre des raccourcis, à avoir
00:10:56des biais de raisonnement, qui fait parfois on se trompe parce qu'on est allé trop vite.
00:11:00Et aussi de manière analytique, c'est-à-dire de manière un petit peu comme un ordinateur.
00:11:05Vous analysez toutes les données et vous déterminez la probabilité que cela se produit.
00:11:11Et ensuite, il y a l'émotion.
00:11:12Le problème, le cortex préfrontal est particulier dans tout, mais lorsque l'on va avoir un problème
00:11:17de surcharge mentale et qu'il va dysfonctionner, finalement, tu ne vas plus fonctionner correctement,
00:11:22on va avoir des difficultés à prendre des décisions.
00:11:25On n'analysera pas les conséquences à long terme.
00:11:27C'est un petit peu lorsqu'on dit à un enfant, tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez.
00:11:30C'est un petit peu ce qu'on va faire.
00:11:32On ne voit pas plus loin que le bout de notre nez.
00:11:33Et on va plutôt, finalement, favoriser les récompenses immédiates.
00:11:38Donc, automatiquement, ça peut être de manger trop gras, trop sucré, etc.
00:11:43Mais c'est une récompense immédiate parce que c'est une notion de contrôle qui contrôle
00:11:46notre comportement alimentaire.
00:11:47On va avoir du mal à se contrôler et probablement à continuer, effectivement,
00:11:51la consommation qui accueillera le dysfonctionnement.
00:11:54En plus, il faut dire que lorsqu'on est en surcharge mentale, même si ce n'est pas du stress,
00:11:58c'est-à-dire qu'en fait, il y a une différence entre le stress et la surcharge mentale.
00:12:02Sauf que la surcharge mentale va produire du stress.
00:12:05On va être stressé pendant la surcharge mentale.
00:12:08C'est pour ça qu'on comprend souvent les deux.
00:12:10Lorsqu'on est en situation de stress, évidemment, on verra le cortisol qui se met en place,
00:12:15l'hormone dédiée au stress.
00:12:18Mais on a aussi d'un type d'hormone, ou en tout cas un neurotransmetteur,
00:12:22qui s'appelle la sérotonine.
00:12:24La sérotonine, c'est l'hormone, finalement, du bonheur, de l'humeur.
00:12:29C'est le neurotransmetteur, donc l'hormone du cerveau, la sérotonine,
00:12:33qui est impliqué notamment dans la dépression.
00:12:35Lorsqu'on manque de sérotonine, on est en dépression.
00:12:37C'est pour ça que tous les antidépresseurs qu'on appelle les IRSS,
00:12:42les inhibiteurs de sélective recapture de la sérotonine,
00:12:46très exactement, permettent de prolonger l'effet de la sérotonine parce qu'on en manque.
00:12:49Lorsqu'on est en situation de stress et qu'on s'adapte,
00:12:53la sérotonine est libérée.
00:12:54C'est elle qui nous permet de nous adapter au stress et de nous bien vivre,
00:12:58d'avoir une adaptation à la situation stressante.
00:13:01Sauf que si ça décharge, ça décharge, ça décharge trop,
00:13:04et à un moment, on la sollicite trop,
00:13:06finalement, ce qui va se passer, c'est que les neurones se rétinent énergiques,
00:13:09comme les appels la sérotonine, vont se vider.
00:13:12Comme votre batterie de téléphone qui sera totalement bivée.
00:13:15Donc, si elle est libérée de votre batterie de téléphone,
00:13:18il n'y a plus de batterie, il faut la recharger.
00:13:19Si vous passez trois heures au téléphone,
00:13:23même plus, au bout d'un moment, vous avez plus de batterie,
00:13:26vous êtes obligé de recharger votre téléphone.
00:13:28Et là, c'est pareil.
00:13:29Et la sérotonine, c'est grâce à quoi on peut synthétiser la sérotonine ?
00:13:34Grâce au tritophane, acide aminé essentiel,
00:13:37qui est un acide aminé que l'on retrouve dans les protéines,
00:13:40dans les protéines animales qui servent,
00:13:42et pour qu'il passe la barrière hémato-encéphalie de votre cerveau,
00:13:46parce que nous, nous aussi, dans ce sens,
00:13:48ça passe au niveau de votre cerveau,
00:13:50et que ce soit synthétisé en sérotonine,
00:13:52il faut un apport de glucides,
00:13:53qui implique d'insuline.
00:13:55Glucides plutôt des glucides complets,
00:13:57sauf que lorsqu'on va manquer de sérotonine,
00:13:59ça va nous pousser vers des envies de sucré,
00:14:01et on va manger des aliments plutôt sucrés
00:14:04pour essayer d'avoir notre pôle de sérotonine,
00:14:07de façon à l'invente.
00:14:07Évidemment, on va avoir la fatigue,
00:14:11les maux de tête,
00:14:13et tout, finalement, les problèmes digestifs,
00:14:16avec les écrans d'estomac,
00:14:17les reflits gastro-œsophagiens,
00:14:19ces brûlures, cette acidité.
00:14:21Alors, on peut très bien s'offrir l'acidité
00:14:22sans faire comment être en surferment mentale.
00:14:24On est tranquille, on est en attente,
00:14:26on est bien, on est détendu, on en a.
00:14:28Sauf que, soit la surferment mentale
00:14:30peut vous provoquer ces pathologies-là,
00:14:33ces problèmes organiques-là, physiques,
00:14:36soit lorsqu'on en est déjà atteint,
00:14:37ça va les aggraver.
00:14:39Typiquement, moi qui suis sujet
00:14:40à tout ce qui est acidité gastrique,
00:14:42c'est que c'est très bien
00:14:42que si j'ai une surferment mentale,
00:14:44moins stress,
00:14:45la première fois sur laquelle ça va taper,
00:14:47c'est mon système digestif.
00:14:48Et j'ai le droit.
00:14:49Donc là, le but avec des points,
00:14:51de vous dire si vous commencez à cocher,
00:14:52si certains se disent,
00:14:53mais pourquoi ça, ça, ça et ça,
00:14:55c'est de se dire,
00:14:56est-ce que c'est que des troubles organiques,
00:14:57indépendant les uns des autres,
00:14:59j'ai ces problèmes-là,
00:15:00ou est-ce que finalement,
00:15:01c'est pas dû à une surferment mentale
00:15:03parce qu'on en demande trop
00:15:04et qu'on n'arrive plus à gérer
00:15:05comme il dit moi,
00:15:06que mon corps me dit
00:15:07à l'aide, à l'aide, à l'aide.
00:15:08Elle, elle, elle.
00:15:10C'est ça qui va être important.
00:15:11Donc, et là, c'est les premiers signes
00:15:12qui peuvent effectivement
00:15:13déclencher une alerte chez vous
00:15:15pour payer attention dans le vieux de l'aide.
00:15:21Modification de l'activité cérébrale.
00:15:23Ce qu'il faut savoir,
00:15:24c'est que, dans ce qu'on fait
00:15:25des IRM, des scanners,
00:15:27on peut croire votre activité cérébrale
00:15:29au niveau de certaines régions.
00:15:31Notamment au niveau de votre cortex
00:15:33préfrontal ici,
00:15:34qui est impliqué dans la réflexion,
00:15:36le raisonnement,
00:15:36la prise de décision.
00:15:38Donc, ce qui va se passer,
00:15:39c'est que lorsque vous travaillez beaucoup,
00:15:41mettons, vous n'êtes pas en train
00:15:41de vous concentrer sur les tâches.
00:15:44Par exemple, si demain,
00:15:46je vous prends en cobaye,
00:15:48et que vous arrivez à enregistrer
00:15:49effectivement votre activité cérébrale
00:15:51et de vous mettre en train
00:15:53de faire un exercice,
00:15:54plus l'exercice vous demandera
00:15:55de concentration,
00:15:56de ressources cognitives,
00:15:58plus on va avoir une activité cérébrale
00:16:00importante au niveau
00:16:01de ce cortex préfrontal.
00:16:03Le problème, c'est que,
00:16:04lorsque vous allez être en surfin
00:16:05mentale,
00:16:06il va dysfonctionner.
00:16:08Il ne va pas être content,
00:16:09ça ne va pas aller,
00:16:10ça va mal se passer.
00:16:12Il va y avoir une sorte
00:16:13d'hypoconculabilité,
00:16:14ce qui veut dire
00:16:15qu'il fonctionnera
00:16:16plus correctement.
00:16:17de fait,
00:16:19vous allez finalement
00:16:20favoriser les récompenses immédiates
00:16:23et en favorisant
00:16:24les récompenses immédiates,
00:16:26vous allez probablement
00:16:27prendre de mauvaises décisions.
00:16:29C'est-à-dire,
00:16:29continuer un comportement,
00:16:31même s'il est n'efface pour vous.
00:16:33Débligement,
00:16:34c'est la personne qui va,
00:16:36elle est malade,
00:16:36elle n'est pas bien
00:16:37ou elle a des problèmes
00:16:38de santé,
00:16:39elle n'a pas le droit forcément
00:16:40de manger trop sûr,
00:16:41elle va quand même continuer
00:16:41à manger la boîte de chocolat.
00:16:44Tous les comportements n'effaces
00:16:45vont être continués
00:16:46parce que finalement,
00:16:47ce contexte réfrontal
00:16:49sera dysfonctionnel,
00:16:50vous ne pourrez plus
00:16:51prendre cette décision,
00:16:52vous comprenez bien
00:16:53ce que vous voulez,
00:16:53cette décision.
00:16:54Donc on le verra finalement
00:16:55à l'imagerie,
00:16:56il y aura une niveau
00:16:56de fonctionnalité quelque part
00:16:58et de ce fait,
00:16:58effectivement,
00:16:59mauvaise décision
00:17:00puisqu'on va être
00:17:01plus sensible à la récompense,
00:17:03on va laisser libre
00:17:03au cours à son impulsivité.
00:17:05Le système qui nous permettait
00:17:06de contrôler notre comportement
00:17:08ne sera plus efficace
00:17:10à 100%.
00:17:10Donc c'est notre côté animal,
00:17:12très impulsif
00:17:13qui va prendre le besoin.
00:17:15Et évidemment,
00:17:16on va avoir
00:17:17un parcours objectif
00:17:19et aussi
00:17:20le système nerveux autonome.
00:17:21Le système nerveux autonome,
00:17:22c'est le système nerveux
00:17:24qui est périphérique,
00:17:25qui va au niveau du cerveau,
00:17:26on a le système nerveux central
00:17:27avec votre cerveau,
00:17:29votre cerveau,
00:17:30votre eau cérébrale
00:17:31et la voie l'épinière
00:17:32et ensuite,
00:17:32vous avez le système nerveux
00:17:33périphérique
00:17:34qui permet
00:17:35la commande motrice.
00:17:36Vous en avez deux sortes.
00:17:38Le système nerveux
00:17:38périphérique,
00:17:39on va dire somatique,
00:17:40qui vous permet
00:17:40de faire ça,
00:17:42c'est volontaire,
00:17:42mouvement volontaire.
00:17:43Et le système nerveux autonome,
00:17:46tout ce qui est mouvement
00:17:46involontaire.
00:17:47Autrement dit,
00:17:48lorsque votre cœur bat,
00:17:49lorsque vous respirez,
00:17:50lorsque vous mangez quelque chose,
00:17:53que votre bol alimentaire,
00:17:54pardon,
00:17:55progresse de la bouche
00:17:56à la mu,
00:17:57ce n'est pas vous qui commandez,
00:17:58ça se fait tout seul.
00:17:58Heureusement,
00:17:59ce n'est pas vous qui dites
00:17:59à votre cœur,
00:18:00il faut que tu battes,
00:18:01il faut que tu battes,
00:18:01parce que sinon,
00:18:02vous ne pourriez plus
00:18:02vous concentrer sur autre chose.
00:18:04Ce système nerveux autonome,
00:18:06il va être modifié
00:18:07et il est impliqué
00:18:08dans le stress.
00:18:09C'est-à-dire qu'il va y avoir
00:18:09une libération,
00:18:11notamment d'acétycholine
00:18:13et aussi de doradrénaline
00:18:15et d'acétycholine.
00:18:16Donc,
00:18:17le système sympathique
00:18:18et le système
00:18:18je bousse,
00:18:19je réponds
00:18:20à une alerte
00:18:22pour pouvoir,
00:18:22finalement,
00:18:23être en situation
00:18:24à un environnement,
00:18:26parce que je suis en situation
00:18:27d'adrénaline,
00:18:28il se produit un événement
00:18:29auquel il faut que je réponde,
00:18:30soit je cuire,
00:18:31soit me battre,
00:18:31on a évidemment
00:18:32une libération
00:18:33d'oradrénaline
00:18:34et d'adrénaline.
00:18:35De l'autre côté,
00:18:36on va avoir
00:18:37au moment où le stress
00:18:38s'est terminé,
00:18:40on va avoir
00:18:40une diminution
00:18:41de cette activité-là
00:18:43et c'est le parasympathique
00:18:44qui prend le volet
00:18:46pour justement
00:18:47que vous êtes au retour.
00:18:48Alors,
00:18:48dans une situation d'alerte,
00:18:50imaginez que là,
00:18:51il y a un animal
00:18:52de zoo,
00:18:52un animal,
00:18:53on va lui dire,
00:18:54un félin
00:18:54qui se soit échappé,
00:18:55qui rentre en table,
00:18:56évidemment,
00:18:57on est tous en situation d'alerte.
00:18:58On entend un grand bruit,
00:18:59on est en situation d'alerte.
00:19:00Ça fait rire,
00:19:01mais je vous ai dit vraiment
00:19:02pour vous montrer
00:19:03ce qu'est cette situation d'alerte
00:19:04et l'importance
00:19:05de cette situation d'alerte-là
00:19:07et le parasympathique,
00:19:08une fois que le stress
00:19:09est terminé,
00:19:09ça va faire diminuer
00:19:11cette activité-là
00:19:12et vous remenez au retour.
00:19:14Ce qu'il faut savoir,
00:19:15c'est qu'en souffrance mentale,
00:19:16on va avoir
00:19:16un problème de modification
00:19:17et finalement,
00:19:19on va avoir
00:19:19une hypoactivité,
00:19:21entre guillemets,
00:19:22du parasympathique
00:19:23au profit finalement
00:19:24du sympathique
00:19:25qui sera beaucoup plus activé.
00:19:27Et on va voir
00:19:27qu'il y a des techniques
00:19:28pour finalement
00:19:28reprendre le contrôle de nous.
00:19:30Après,
00:19:34au niveau psychique,
00:19:35évidemment,
00:19:36c'est une assiduie.
00:19:38Généralement,
00:19:38moi,
00:19:39ce que j'ai eu parfois
00:19:40de personnes
00:19:40qui m'ont dit
00:19:41quand elles étaient
00:19:41en burn-out,
00:19:42presque en burn-out
00:19:43en surcharge mentale,
00:19:44c'est
00:19:44que rien ne me fait plaisir,
00:19:46je ne me sens pas bien,
00:19:47je n'ai pas envie.
00:19:48En fait,
00:19:48finalement,
00:19:49tout ce qui vous faisait plaisir
00:19:50avant que vous aimiez faire,
00:19:52aucune motivation.
00:19:53C'est terminé.
00:19:55Donc,
00:19:55des difficultés
00:19:56de faire face
00:19:56finalement
00:19:57à des événements,
00:19:59une incapacité d'agir,
00:20:00ça c'est un problème
00:20:01qu'on est incapacité d'agir,
00:20:03on n'est pas bien,
00:20:03on est apathique.
00:20:05Les comportements
00:20:06agressifs augmentent.
00:20:07Déjà,
00:20:07on manque de sérotonine
00:20:08parce que probablement
00:20:09qu'on manque de sérotonine
00:20:10donc on va avoir
00:20:11une augmentation
00:20:12de l'agressivité
00:20:13parce que lorsqu'on manque
00:20:13de sérotonine,
00:20:15il y a un lien
00:20:15avec l'agressivité.
00:20:16mais en plus,
00:20:17on est très irritable
00:20:18et très agressif.
00:20:19Donc,
00:20:20si vous vous sentez
00:20:21par moments agressifs
00:20:21que la moindre personne,
00:20:22la moindre réflexion,
00:20:23le moindre truc,
00:20:24ça vous met sur les nerfs
00:20:26et vous avez juste envie
00:20:27de tuer quelqu'un.
00:20:28Tuis, là.
00:20:29Parfois,
00:20:29c'est comme si on est
00:20:30tellement énervé,
00:20:30tellement fatigué
00:20:31qu'on est dans le métro,
00:20:32les personnes qui arrivent
00:20:33qui avancent pas assez vite,
00:20:34qui sortent pas assez vite,
00:20:35on s'énerve très facilement.
00:20:37Évidemment,
00:20:37c'est peut-être
00:20:38dû à la surface mentale.
00:20:40On va avoir évidemment
00:20:41des prises de risques.
00:20:42C'est-à-dire qu'étant donné
00:20:42que notre cortex préfrontal
00:20:44est moins actif
00:20:46pour qu'on puisse
00:20:47prendre une décision
00:20:48en toute connaissance de cause,
00:20:49en analysant le pour et le con
00:20:51d'une situation
00:20:52pour prendre la décision
00:20:53qui vous correspond le mieux,
00:20:56qui vous sied le mieux,
00:20:56j'allais dire,
00:20:57finalement,
00:20:58qui est à votre avantage,
00:20:59ce qui va se passer,
00:21:00c'est que comme on est
00:21:00plus impulsif,
00:21:01on va prendre des risques.
00:21:02Un petit peu comme
00:21:03les jeunes d'ados
00:21:05qui vont prendre certains risques
00:21:06que nous,
00:21:06on prend un peu de notre âge.
00:21:08Parce que justement,
00:21:09le côté impulsif
00:21:10va probablement diminuer.
00:21:11Je ne dis pas que les ados
00:21:12prennent de mauvaises décisions.
00:21:14Attention,
00:21:14je vous dis juste que du coup,
00:21:16comme leur cortex préfrontal
00:21:17chez eux n'arrive pas
00:21:18à maturation
00:21:18avant l'âge de 25 ans,
00:21:20effectivement,
00:21:21c'est pour ça
00:21:21qu'ils ont des comportements
00:21:22à risque
00:21:22beaucoup plus importants
00:21:25et ils sont beaucoup
00:21:26plus impulsifs
00:21:27que finalement
00:21:28des personnes un peu plus âgées
00:21:29qui vont devenir
00:21:30un peu plus prudentes.
00:21:31D'ailleurs,
00:21:32généralement,
00:21:33on nous dit
00:21:34quand on vieillit,
00:21:35des amis qui sont plus jeunes,
00:21:37on nous dit
00:21:37« Tu deviens vieille. »
00:21:39Voilà, c'est ça.
00:21:40Tu deviens vieille, etc.
00:21:42Tu étais plus fun avant.
00:21:43Oui,
00:21:43tu étais plus fun avant
00:21:44parce qu'il y a peut-être
00:21:44des choses qui,
00:21:45je pouvais prendre un risque
00:21:46il y a quelques années,
00:21:48je me souviens,
00:21:48moi qui habite
00:21:49dans le sud de la France,
00:21:50ça m'est arrivé
00:21:51de me baigner
00:21:52alors qu'il y avait
00:21:52drapeau rouge.
00:21:53Il y en a perdu.
00:21:54Aujourd'hui,
00:21:55même drapeau vert,
00:21:56quand tu as fondu,
00:21:56j'ai mis
00:21:57au rondomot.
00:21:58Mais à l'époque,
00:21:59parce que je savais nager,
00:22:01c'est toujours nager.
00:22:02Mais ça ne me donnait pas
00:22:02de problème,
00:22:03je ne voyais même pas
00:22:04d'un risque à faire
00:22:05parce que je savais nager
00:22:06et je me suis dit
00:22:12donc j'ai un danger total
00:22:12dans ma personnalité.
00:22:14Et aussi,
00:22:15il va y avoir évidemment
00:22:16probablement
00:22:17un comportement addictif
00:22:18pour pallier le problème,
00:22:20c'est-à-dire qu'on va
00:22:20évidemment essayer
00:22:21de trouver une alternative
00:22:22pour essayer de mieux
00:22:23se sentir
00:22:24et oublier la situation.
00:22:26Donc ça peut être
00:22:26l'alcool,
00:22:27mais pas forcément.
00:22:28Ça peut être aussi
00:22:28les comportements
00:22:29compulsifs d'achat,
00:22:31évidemment.
00:22:32Ça peut être
00:22:32la nourriture
00:22:34et ça peut être aussi
00:22:35la prise de psychotropes.
00:22:36Donc ça va être
00:22:37d'embétamines,
00:22:38de médicaments
00:22:38pour pouvoir tenir,
00:22:40tenir le risque
00:22:40parce qu'on nous en demande
00:22:41beaucoup.
00:22:42Donc on a besoin
00:22:43de ces médicaments-là,
00:22:44de ces psychostimulants.
00:22:46Le café fait plus d'effet,
00:22:47le...
00:22:48le café fait plus d'effet,
00:22:51le...
00:22:52le guronsan,
00:22:54tout ça,
00:22:54les boissons énergétiques
00:22:55ont plus d'effet.
00:22:56Donc on passe
00:22:56à autre chose
00:22:57et effectivement,
00:22:58c'est pour ça
00:22:58qu'on se retrouve
00:22:59parfois avec des personnes
00:23:01qui consomment
00:23:02effectivement des amphétamines
00:23:03parfois dans le milieu médical,
00:23:05parfois aussi
00:23:06dans tout ce qui peut être
00:23:07finance,
00:23:07trader, etc.,
00:23:08salle de marché
00:23:09pour tenir le rythme
00:23:10parce qu'ils ont un rythme
00:23:11à tenir
00:23:11et que finalement,
00:23:13si ils n'ont pas,
00:23:13il n'y a rien,
00:23:14je fais attention
00:23:14et de fait,
00:23:16ça peut conduire
00:23:16évidemment à des addictions.
00:23:18Donc on voit là
00:23:18au niveau du côté psychique
00:23:20ce que cela peut provoquer.
00:23:22Donc déjà,
00:23:23effectivement,
00:23:23c'est un institut.
00:23:24vous n'avez pas envie de faire
00:23:25ce que vous faites,
00:23:26c'est probablement
00:23:26qu'il y a un problème
00:23:27par rapport à la motivation
00:23:28que vous avez
00:23:28pour votre emploi
00:23:29et probablement
00:23:30qu'il y a peut-être
00:23:31dû à une surcharge mentale.
00:23:36Performance cognitive,
00:23:37voilà,
00:23:37là,
00:23:38c'est la dégradation
00:23:38des performances.
00:23:39Alors,
00:23:39cognitive,
00:23:40c'est l'intérêt.
00:23:41Ça ne peut pas dire
00:23:41intelligence.
00:23:43Performance cognitive,
00:23:44c'est tout ce qui est
00:23:44intellectuel,
00:23:46c'est-à-dire
00:23:46ça va être
00:23:46mémorisation,
00:23:48attention,
00:23:49faire preuve
00:23:50attention à quelque chose,
00:23:51concentration.
00:23:52Et là,
00:23:53évidemment,
00:23:53tout va se dégraver
00:23:55puisque cela vient
00:23:56en partie
00:23:57de votre contexte
00:23:59fondale.
00:23:59Donc,
00:24:00vous allez avoir quoi ?
00:24:01Diminution,
00:24:02effectivement,
00:24:02de la tension
00:24:03et de la concentration.
00:24:04Vous allez avoir du mal
00:24:06à vous concentrer
00:24:07sur une tâche.
00:24:09Vous allez être
00:24:09très sensible
00:24:10aux distracteurs.
00:24:11Généralement,
00:24:12on n'est pas trop,
00:24:13trop sensible
00:24:14aux distracteurs,
00:24:14on arrive à se concentrer.
00:24:16Même lorsqu'on est
00:24:16dans un bureau
00:24:17ou lorsqu'on est
00:24:18en open space
00:24:19ou pas,
00:24:20on arrive à se concentrer.
00:24:21Là,
00:24:22ce qui va se passer,
00:24:23c'est qu'imaginez,
00:24:24vous avez un collègue
00:24:25à côté de vous
00:24:26et puis il fait ça.
00:24:29Quand vous êtes
00:24:30dans le sursar frontal,
00:24:32si c'est fait
00:24:33de trop longtemps,
00:24:34ça vous dégace,
00:24:35mais ce n'est pas trop grave.
00:24:37Ça ne vous déconcentre
00:24:38pas forcément.
00:24:39Je peux vous dire
00:24:40que lorsqu'on est
00:24:40en sursar frontal,
00:24:41ça va tout de suite
00:24:41vous déconcentrer.
00:24:42Pour la personne
00:24:43avec le stade
00:24:43vous,
00:24:44je ferme,
00:24:44vous,
00:24:45je ferme,
00:24:45vous,
00:24:45je ferme,
00:24:46vous,
00:24:46je ferme.
00:24:47Ça va tout de suite
00:24:47vous énerver.
00:24:48Ça va être évidemment
00:24:49la diminution
00:24:50de la mémoire de travail.
00:24:51La mémoire de travail,
00:24:52c'est quoi ?
00:24:53C'est votre mémoire
00:24:54qui vous permet
00:24:54de retenir
00:24:55les informations
00:24:56dans un laps de temps
00:24:57assez court
00:24:58pour pouvoir
00:24:59après les utiliser.
00:25:01Techniquement,
00:25:02quand vous faites des soldes,
00:25:04par exemple,
00:25:04et que vous voulez savoir,
00:25:06finalement,
00:25:06vous avez pris le départ,
00:25:08on vous dit
00:25:08à moins de 20% dessus
00:25:09et vous voulez savoir
00:25:10combien ça fait
00:25:11avec la remise.
00:25:12soit
00:25:14vous prenez
00:25:14votre téléphone
00:25:15de portail,
00:25:15vous allez me dire
00:25:16qu'il y a un téléphone
00:25:17de portail
00:25:17dans la calculatrice,
00:25:19soit on entend
00:25:20tous les cas,
00:25:20il y en a encore
00:25:21qui font aujourd'hui,
00:25:22on fait deux têtes.
00:25:24C'est votre mémoire
00:25:24de travail.
00:25:25Ça vous permet
00:25:26effectivement
00:25:26de retenir
00:25:27les informations
00:25:28des opérations
00:25:29intermédiaires
00:25:29pour pouvoir
00:25:30traiter l'information
00:25:31et en déduire
00:25:32un résultat.
00:25:33Pareil,
00:25:33vous êtes en train
00:25:34de m'écouter,
00:25:35ce qui va vous permettre
00:25:36de retenir
00:25:36vos débuts de travail
00:25:37jusqu'à la fin
00:25:38et de comprendre
00:25:38ce que je vous dis,
00:25:39c'est grâce
00:25:40à votre mémoire
00:25:40de travail.
00:25:42Si vous prenez
00:25:42des notes,
00:25:43c'est grâce
00:25:43à votre mémoire
00:25:44de travail
00:25:44parce que sinon,
00:25:45à peine dit,
00:25:46vous l'aurez tout de suite
00:25:47oublié.
00:25:48Donc votre mémoire
00:25:48de travail
00:25:49va vous permettre
00:25:49de faire tout cela,
00:25:50de planifier,
00:25:52d'organiser.
00:25:53Vous organisez
00:25:54vos vacances,
00:25:55c'est votre mémoire
00:25:55de travail aussi
00:25:56qui va jouer.
00:25:57Donc effectivement,
00:25:58il va y avoir ça,
00:25:59il va y avoir
00:26:00l'épuisement
00:26:01des ressources,
00:26:01vous l'avez dit,
00:26:02les ressources
00:26:02connectées sont épuisées,
00:26:03vous n'en pouvez plus,
00:26:04il n'y a plus rien.
00:26:06Il va y avoir
00:26:07la baisse de la motivation,
00:26:08c'est-à-dire qu'évidemment,
00:26:10on va avoir
00:26:11une motivation
00:26:12qui va être
00:26:12totalement basse.
00:26:14Plus aucune motivation.
00:26:16Et c'est très dur
00:26:17de retrouver sa motivation.
00:26:18Pourquoi ?
00:26:19Parce qu'on a mal géré,
00:26:20on a une source mentale,
00:26:21donc évidemment,
00:26:22il y a trop de choses à faire.
00:26:24On n'a plus envie,
00:26:25on est lassé.
00:26:27Et évidemment,
00:26:29il va y avoir
00:26:29pratiquement,
00:26:30vous avez cette tactique
00:26:31comme lorsqu'on n'arrive
00:26:32pas à se reposer.
00:26:34Vous allez beau être en vacances,
00:26:35vous allez beau vous dire
00:26:36là, je ne fais rien,
00:26:37vous ne décrochez pas
00:26:38votre cerveau,
00:26:38il ne peut pas,
00:26:39même si vous ne pensez pas
00:26:39au travail,
00:26:40ce n'est pas possible,
00:26:41vous êtes tout le temps,
00:26:41tout le temps fatigué,
00:26:42vous avez l'impression
00:26:43d'être épuisé mentalement,
00:26:44ça ne va pas.
00:26:45Et évidemment,
00:26:46vous allez avoir
00:26:47une aversion
00:26:47pour l'activité en cours.
00:26:49C'est-à-dire carrément,
00:26:50vous allez prendre en grippe
00:26:51ce que d'habitude
00:26:51vous aimez,
00:26:52ce que vous faites.
00:26:53Et là,
00:26:53ça va devenir problématique.
00:26:58Alors évidemment,
00:26:59il y a des conséquences
00:27:00pour l'entreprise,
00:27:00parce qu'il va y avoir
00:27:01des conséquences pour vous,
00:27:02mais pour l'entreprise.
00:27:03Ça va être évidemment,
00:27:05on est moins concentré,
00:27:06on est moins attentif,
00:27:08l'augmentation
00:27:09du risque d'erreur.
00:27:11Alors les erreurs,
00:27:12elles peuvent être
00:27:12plus ou moins irréversibles.
00:27:14Si c'est une caissière,
00:27:16par pour,
00:27:17monoprix, etc.,
00:27:18elle fait une erreur,
00:27:19le client lui dit,
00:27:22il suffit qu'elle repasse
00:27:22le truc,
00:27:24elle annule,
00:27:25ça fait perdre du temps,
00:27:26il y a des gens
00:27:26qui râlent dans la queue,
00:27:27mais ce n'est pas irréversible,
00:27:28ce n'est pas dramatique.
00:27:30On va donc dire.
00:27:32Les erreurs,
00:27:32si vous êtes dans
00:27:33le milieu médical,
00:27:34vous êtes infirmière,
00:27:35médecin,
00:27:35en quoi l'erreur
00:27:36va être fatale.
00:27:37Ça peut être un problème.
00:27:38Vous vous trompez
00:27:39de pathologie,
00:27:40vous n'administrez pas
00:27:41de bons produits
00:27:41ou lorsque vous faites
00:27:42la piqûre,
00:27:43vous n'avez pas vu
00:27:43qu'il y a une boule d'air
00:27:44dans la seringue,
00:27:45ça peut être problématique.
00:27:47Là,
00:27:47j'exagère,
00:27:48mais vous voyez
00:27:48ce que je veux dire.
00:27:49Il va y avoir,
00:27:50il va y avoir,
00:27:50il va y avoir,
00:27:50évidemment,
00:27:53aussi les personnes
00:27:53qui viennent dans la finance.
00:27:55Les personnes
00:27:56qui vont gérer
00:27:58des comptes
00:27:59pour d'autres personnes.
00:28:00Effectivement,
00:28:01une erreur,
00:28:02quelqu'un
00:28:03qui est mandaté
00:28:05pour jouer en bourse,
00:28:05pour gérer
00:28:06des grands,
00:28:06grands,
00:28:07grands comptes
00:28:07comme les entreprises
00:28:08de 440,
00:28:09pour une erreur,
00:28:10ça peut se gérer
00:28:12à plusieurs millions.
00:28:13Donc là,
00:28:13il peut y avoir
00:28:13des répercussions,
00:28:14évidemment,
00:28:15dramatiques,
00:28:16mais pas que.
00:28:16ça peut être aussi
00:28:17de mauvaises prises
00:28:18de décisions
00:28:18dans l'entreprise,
00:28:19de mauvaises stratégies
00:28:20que l'entreprise
00:28:20va mettre en place
00:28:21parce que la personne
00:28:22est en surcharge mentale,
00:28:23qu'elle soit salariée
00:28:24ou qu'elle soit,
00:28:25évidemment,
00:28:26chef d'entreprise
00:28:27ou manager.
00:28:27Parce que tout le monde
00:28:28est touché.
00:28:29Parce que tout le monde
00:28:30dit,
00:28:30attention,
00:28:31ah oui,
00:28:31mais on est touché,
00:28:32mon manager,
00:28:33moi n'plus un,
00:28:34mon chef d'entreprise,
00:28:35etc.
00:28:36Il mène la vigueur
00:28:37et le demande.
00:28:37Mais lui aussi,
00:28:38il est soumis
00:28:38à la surcharge mentale
00:28:39parce que lui,
00:28:40si l'entreprise
00:28:40ne fonctionne pas,
00:28:42l'entreprise
00:28:42s'est mis la clé
00:28:43sous la porte.
00:28:43Tout le monde
00:28:43est au chômage.
00:28:44Il y a ça aussi
00:28:45qu'il faut voir,
00:28:46c'est que bon,
00:28:46après Julien
00:28:47qui est de mauvais manager,
00:28:48etc.
00:28:48Ça,
00:28:49c'est un autre problème.
00:28:50Mais il faut voir aussi
00:28:50que s'il y a des erreurs
00:28:52qu'eux prennent
00:28:53et sont surcharge mentale
00:28:53et prennent une mauvaise stratégie,
00:28:55le choix d'une mauvaise stratégie
00:28:57peut conduire
00:28:57à la faillite d'une entreprise.
00:29:00Évidemment,
00:29:01les accidents du travail.
00:29:03Évidemment,
00:29:04ça c'est tous les types
00:29:04de postes.
00:29:05Même quelqu'un
00:29:06qui travaille à la chaîne,
00:29:08il peut se couper un bois
00:29:08parce qu'il n'a pas été
00:29:09accorti parce qu'il a fait
00:29:10parce qu'il pensait
00:29:11au ton dans
00:29:11surcharge mentale
00:29:12parce qu'évidemment,
00:29:13la surcharge mentale,
00:29:14c'est le travail
00:29:15mais c'est aussi
00:29:16lorsqu'on a
00:29:17une vie personnelle.
00:29:19C'est-à-dire,
00:29:19gérer ses enfants,
00:29:21gérer effectivement
00:29:22sa vie personnelle,
00:29:23sa vie de famille.
00:29:24Ça va être aussi
00:29:25surcharge mentale.
00:29:26Il ne serait-ce que de dire
00:29:26il faut que je fasse
00:29:27les courses,
00:29:27il faut que je fasse
00:29:28le ménage,
00:29:29il faut que j'aille
00:29:29le pressing.
00:29:30Il y a les activités
00:29:31des enfants,
00:29:31etc.
00:29:32Plus le travail
00:29:33et même si le travail
00:29:34que la personne fait
00:29:35va être le plus finalement
00:29:37un petit peu,
00:29:39enfin,
00:29:40par une rapatie
00:29:40mais qui va être
00:29:41un travail national
00:29:41où il n'a qu'une tâche
00:29:45à faire,
00:29:45va qu'on dire
00:29:45et pour cette tâche-là,
00:29:47il n'y a pas forcément
00:29:48besoin d'une grande réflexion
00:29:50comme lorsqu'on gère
00:29:51la santé de quelqu'un
00:29:52ou lorsqu'on gère
00:29:53effectivement les finances
00:29:54ou lorsqu'on prend
00:29:55des mis en place
00:29:55des stratégies.
00:29:57Effectivement,
00:29:57ça peut être rapatique
00:29:58parce qu'effectivement,
00:29:58il va y avoir
00:29:59des accidents de travail,
00:30:00des gens qui ne vont pas
00:30:01se prémunir
00:30:02et qui ne vont pas faire
00:30:03attention à faire quelque chose
00:30:04et de fait,
00:30:06problème parce que justement,
00:30:08tous les accidents
00:30:09de travail qu'on voit,
00:30:10c'est parfois
00:30:11parce qu'il y a eu
00:30:11un manque d'attention
00:30:12comme les accidents
00:30:13domestiques
00:30:14aussi.
00:30:16Il y a beaucoup
00:30:16d'accidents domestiques
00:30:17qui auraient pu être évités
00:30:18de fait parce que
00:30:19la personne n'a pas
00:30:21prêté attention,
00:30:21n'a pas fait attention
00:30:22à oublier, etc.
00:30:24Pareil,
00:30:24un accident domestique,
00:30:26la dernière fois,
00:30:27moi j'ai ma voisine du dessus
00:30:28qui a déclenché
00:30:28l'alarme de chez elle,
00:30:30vous savez,
00:30:30le détecteur de fumée
00:30:31parce qu'elle avait mis
00:30:32des yeux à cuire,
00:30:33elle est partie de chez elle
00:30:34et nous n'oublions
00:30:34qu'elle avait mis
00:30:35la casserole
00:30:35avec les yeux.
00:30:37Oui,
00:30:38mais parce que
00:30:38beaucoup d'elles
00:30:38a pensé
00:30:39de surcharge mentale,
00:30:39pourtant elle est à la retraite,
00:30:40elle ne travaille plus,
00:30:41mais elle a une activité intense
00:30:42effectivement,
00:30:43là aussi,
00:30:44vous voyez les accidents
00:30:45qui peuvent se produire
00:30:45et en tâcher.
00:30:47Et effectivement,
00:30:48à ce moment-là,
00:30:49les conséquences,
00:30:50quand une personne
00:30:51est en surcharge mentale,
00:30:52c'est le syndrome,
00:30:53c'est les conséquences ultimes,
00:30:55c'est évidemment
00:30:55le part-la-out
00:30:56avec les arrêts de travail.
00:30:58Donc,
00:30:59si on gère
00:30:59la surcharge mentale,
00:31:00on va gérer effectivement
00:31:01les arrêts de travail
00:31:02et l'absentisme.
00:31:03Autant que parce que
00:31:04pour les cas,
00:31:05dû à un épuisement professionnel.
00:31:07On ne va pas gérer
00:31:07si la personne
00:31:08attrape la grippe
00:31:09ou attrape un virus,
00:31:10évidemment.
00:31:11Mais on va gérer
00:31:12au moins cela
00:31:12parce qu'effectivement,
00:31:15les conséquences,
00:31:16diminution du rendement
00:31:17pour l'entreprise,
00:31:19perte du chiffre d'affaires
00:31:20et éventuellement,
00:31:21ça peut être
00:31:21la viabilité
00:31:22elle-même de l'entreprise.
00:31:26Donc,
00:31:26effectivement,
00:31:27ce qui va se passer,
00:31:28c'est que
00:31:28le burn-out,
00:31:31c'est visible,
00:31:31de manière objective
00:31:33et subjective.
00:31:34Subjectif,
00:31:34on remplit les questionnaires.
00:31:36D'ailleurs,
00:31:36vous voyez les chiffres
00:31:37de 2022.
00:31:39Selon une enquête,
00:31:4034% des salariés
00:31:41se disent
00:31:42en burn-out,
00:31:43donc 13%
00:31:44en burn-out grave.
00:31:4634%
00:31:47en 2022.
00:31:48C'est énorme.
00:31:49Mais maintenant,
00:31:50alors ?
00:31:51Alors,
00:31:51je ne vais pas les garder
00:31:52les chiffres
00:31:52parce que le temps
00:31:53qu'il est public,
00:31:53je vous avoue
00:31:54qu'on ne les a pas toujours,
00:31:54on les a
00:31:55un peu plus tard,
00:31:59mais c'est un peu le problème
00:32:00justement,
00:32:00on ne les a pas
00:32:01en temps réel.
00:32:02Mais effectivement,
00:32:03ce qui va se passer,
00:32:04c'est que votre cortisol,
00:32:05c'est l'hormone du stress.
00:32:07Émulez-le votre cortisol.
00:32:09C'est celui qui vous permet
00:32:09de vous lever le matin.
00:32:12Une fille de cortisol le matin
00:32:13vous permet de vous lever
00:32:14de votre lit,
00:32:15sinon vous n'auriez pas
00:32:15envie de vous lever
00:32:16de votre lit
00:32:16pour rester sympathique
00:32:17dans le lit
00:32:17à ne pas vous voir bouger.
00:32:19Donc c'est génial.
00:32:20Sauf qu'à un moment donné,
00:32:22s'il y a trop
00:32:23sienne sur femme mentale
00:32:25et qu'il y a eu un lien
00:32:26avec le stress,
00:32:27il va décharger,
00:32:27il va décharger,
00:32:28il va décharger.
00:32:28Donc, premier temps,
00:32:30trop de cortisol,
00:32:30on est plutôt
00:32:31en situation de stress.
00:32:32Sauf que ce qui va se passer,
00:32:34c'est que lorsqu'on est
00:32:34en burn-out,
00:32:35on a un épuisement
00:32:36du cortisol le matin.
00:32:38Or, c'est le moment
00:32:38où le cortisol
00:32:41est censé être
00:32:41le plus élevé.
00:32:43C'est-à-dire que
00:32:43pour savoir
00:32:44si quelqu'un
00:32:44est en burn-out,
00:32:46on vous fait
00:32:46une analyse du cortisol,
00:32:47une prise de sang.
00:32:48Vous devez y aller
00:32:49à 8h du matin,
00:32:50à peu près,
00:32:51il ne faut pas
00:32:51aller à 8h,
00:32:52il faut que vous arriviez,
00:32:53que vous attendez
00:32:54à peu près,
00:32:55que vous arrivez en avance
00:32:56pour attendre un axe de temps,
00:32:57pour que ça diminue
00:32:59parce que vous avez marché
00:33:00et ça fait augmenter
00:33:00probablement votre cortisol,
00:33:02etc.
00:33:02Donc, c'est un niveau
00:33:03de base.
00:33:03Il mesure.
00:33:04Donc, soit il est normal,
00:33:06soit vous exposez
00:33:07les plafonds
00:33:07et là, on vous dit
00:33:07bon, vous êtes stressé.
00:33:09Ben oui, je le sentais
00:33:10parce que je sens bien
00:33:10que je suis stressé.
00:33:11Soit il est complètement
00:33:12effondré
00:33:13et là, c'est de burn-out.
00:33:14C'est un marqueur
00:33:15objectif de burn-out.
00:33:16Donc, ça veut dire
00:33:17qu'il est totalement en bas
00:33:18parce qu'en fait,
00:33:18finalement,
00:33:19il n'y a plus de cortisol.
00:33:20On a aussi,
00:33:20on ne gère plus.
00:33:21On a été insuffermentale,
00:33:22on ne gère plus,
00:33:23le corps ne gère plus.
00:33:24Le stress,
00:33:25c'est soit trop de cortisol,
00:33:27soit finalement plus du tout.
00:33:28Et donc,
00:33:28le système de rémunération
00:33:29du stress physiologique
00:33:30nous permet de gérer
00:33:31les situations stressantes,
00:33:33les événements stressants
00:33:34ne pourront plus gérer.
00:33:37Donc, évidemment,
00:33:38on va aussi avoir
00:33:39un déséquilibre
00:33:39des neurotransmetteurs
00:33:40avec, effectivement,
00:33:42la dopamine,
00:33:43la sérotonine,
00:33:44l'adrénaline
00:33:44et le GABA
00:33:45et on va voir
00:33:45à quoi il sert
00:33:46et comment on peut
00:33:47y remédier.
00:33:50Voilà ce qui va se passer.
00:33:51Dopamine,
00:33:51vous voyez à quoi ça sert.
00:33:53Motivation,
00:33:53mémoire,
00:33:54attention,
00:33:55sérotonine,
00:33:56bien-être,
00:33:56sommeil,
00:33:58sérotonine,
00:33:58c'est le précurseur
00:33:59de la mélatonine.
00:34:01Donc,
00:34:01il n'y a pas de sérotonine,
00:34:02il n'y a pas de mélatonine.
00:34:05Effectivement,
00:34:06azonnaline,
00:34:07apprentissage,
00:34:08mémoire,
00:34:08etc.
00:34:09et GABA,
00:34:09calme,
00:34:09la station,
00:34:10la station.
00:34:11Burn out,
00:34:12ça s'écondre.
00:34:14Donc,
00:34:14du coup,
00:34:14on perd
00:34:15toutes ces facultés-là,
00:34:16quelque part.
00:34:18Ça fonctionne plus.
00:34:19Vous n'avez pas donné naissance.
00:34:20Le cerveau,
00:34:20il ne fonctionne pas.
00:34:21Votre voiture,
00:34:22vous allez voir
00:34:22avoir une Ferrari.
00:34:23Si vous lui mettez
00:34:24du diesel ou rien du tout
00:34:25et qu'elle n'y a pas d'essence,
00:34:26elle passera sur place.
00:34:27Elle ne va pas fonctionner
00:34:28toute seule.
00:34:30Qu'est-ce qu'il faut faire ?
00:34:33Dopamine et adrénaline,
00:34:35et noradrénaline,
00:34:36c'est synthétiser
00:34:37à partir d'un acide aminé,
00:34:38de deux acides aminés,
00:34:40un qui conduit au sort de l'autre,
00:34:41la tyrosine et la clínianaline.
00:34:44Sérotonine,
00:34:44c'est le cryptophanie.
00:34:46Le GABA,
00:34:46l'utamine,
00:34:47l'utabate.
00:34:48Eh bien,
00:34:49on va en apporter
00:34:49dans l'alimentation.
00:34:51En en apportant
00:34:52dans l'alimentation,
00:34:53il va se passer quoi ?
00:34:54Ça va permettre
00:34:55de refaire,
00:34:56de resynthétiser
00:34:57ces neurotransmetteurs-là
00:34:58qui se sont épuisés
00:35:00puisqu'il n'y a plus rien.
00:35:01Votre portable,
00:35:01il est épuisé,
00:35:02il n'y a plus de batterie.
00:35:03Vous faites quoi ?
00:35:03Pour le brancher,
00:35:04pour le charger.
00:35:05Là, c'est pareil,
00:35:05votre cerveau est pour le brancher.
00:35:07Il faut le brancher
00:35:08en lui donnant ce qu'il faut
00:35:09et pas à n'importe quoi.
00:35:11Généralement, cela.
00:35:12Et vous allez voir,
00:35:13vous allez resynthétiser
00:35:14au fur et à mesure
00:35:15correctement
00:35:16cette dopamine,
00:35:17ce GABA,
00:35:18cette sérotonine
00:35:19et l'oradrenaline
00:35:20pour pouvoir retrouver
00:35:21toutes vos facultés cognitives
00:35:22et pour pouvoir aussi
00:35:23retrouver un état
00:35:25de relaxation
00:35:25anti-stress
00:35:26qui vous permettra
00:35:29de gérer
00:35:30la souffrance mentale.
00:35:32Alors,
00:35:33que t'as qu'on s'en prémunir ?
00:35:34Pour s'en prémunir,
00:35:36déjà on arrête
00:35:37de nos petites tâches.
00:35:38On fait une tâche
00:35:39après l'autre.
00:35:40On ne suit pas
00:35:41d'une tâche à l'autre.
00:35:43Lorsqu'on suit
00:35:44d'une tâche à l'autre,
00:35:45ça nous bouffe
00:35:45des ressources cognitives.
00:35:46C'est-à-dire que
00:35:48vous n'êtes pas
00:35:49en mode économie de batterie,
00:35:50vous êtes en mode
00:35:51sur-parme de batterie.
00:35:53Donc,
00:35:53on passe une tâche
00:35:54après l'autre.
00:35:55Pas,
00:35:56essayez de ne pas avoir
00:35:57un cerveau
00:35:57qui est 24 heures
00:35:58sur 24 en action.
00:35:59Je sais,
00:35:59c'est très dur
00:36:00parce que généralement
00:36:00le cerveau,
00:36:01il tourne,
00:36:02on ne peut rien faire.
00:36:03D'essayer,
00:36:03on va le voir,
00:36:04de trouver
00:36:04finalement des phénomènes,
00:36:07des mécanismes
00:36:08pour se relaxer,
00:36:09pour pouvoir effectivement
00:36:10faire en sorte
00:36:11que tout,
00:36:12évidemment,
00:36:13se passe bien
00:36:14et éviter cette sollicitation
00:36:1724 heures sur 24.
00:36:19Évidemment,
00:36:20être flexible
00:36:21de vendre des ressources
00:36:22et surtout,
00:36:23on évite
00:36:23d'ignorer les signaux.
00:36:26Dès qu'on voit
00:36:26les premiers signaux,
00:36:27on commence à être alerté
00:36:28et à se dire
00:36:29« Ouh là là là là,
00:36:30attention,
00:36:30je passe attention. »
00:36:31Vous voyez ce que je veux dire ?
00:36:32Parce que là,
00:36:33ça va être important.
00:36:34Donc,
00:36:34pas de petites tâches,
00:36:35pas de sourceurs
00:36:36informationnaires.
00:36:37Quand il y a trop d'informations,
00:36:38ça tue l'information.
00:36:39Donc,
00:36:40on ne sur-signe pas
00:36:41le cerveau.
00:36:41Qu'est-ce qu'on va faire ?
00:36:46On va prendre soin
00:36:47de son cerveau
00:36:47et on va y dire de suite
00:36:49comment est-ce qu'on prend
00:36:50soin de son cerveau.
00:36:52Accepter de ne pas être parfait,
00:36:53qu'on lâche prise,
00:36:54il y a des choses
00:36:54qui ne sont peut-être pas parfaites.
00:36:56Vous allez rendre un dossier
00:36:59qui n'est pas forcément parfait
00:37:00pour vous,
00:37:00ça ne va pas dire
00:37:01que l'autre verra
00:37:01que ce n'est pas parfait.
00:37:03Mais il faut accepter
00:37:04qu'à un moment donné,
00:37:04il faut lâcher prise
00:37:05où il ne peut pas tout faire.
00:37:08Se concentrer sur ses réussites.
00:37:10Ils n'ont pas
00:37:11sur ses échecs.
00:37:13Ça veut dire que même
00:37:14s'il y a eu des échecs
00:37:15ou des choses
00:37:15où on a échoué
00:37:16dans la tournée
00:37:17ou des choses
00:37:17qu'est-ce qu'on va passer,
00:37:18c'est aussi se concentrer
00:37:19sur sa vie.
00:37:20Ça va venir
00:37:21du bon au cœur
00:37:21et ça va descendre
00:37:22à ce soir.
00:37:25Évidemment,
00:37:25faire une chose
00:37:26après l'autre.
00:37:27Organiser,
00:37:28on va voir comment
00:37:28ce sont ton travail
00:37:29parce que souvent,
00:37:30ça devient
00:37:30d'une mauvaise organisation.
00:37:33On ne sait pas
00:37:34organiser
00:37:34parce qu'on veut tout faire
00:37:35en même temps,
00:37:35on a tout dans la tête
00:37:36et on ne sait pas
00:37:37par quel rire de prendre
00:37:38soit on procrastine,
00:37:41soit nos cerveaux
00:37:42se sont fausses
00:37:43et on n'arrive plus
00:37:44à réfléchir.
00:37:46Alors qu'en organisant
00:37:47son ton travail
00:37:48correctement,
00:37:49on va voir
00:37:49qu'il y a des choses
00:37:50qu'on peut mettre en place
00:37:51et en les organisant,
00:37:52ça va bien fonctionner.
00:37:54Il ne va pas y avoir
00:37:54de soucis
00:37:55et finalement,
00:37:55on va en faire plus
00:37:56en en train de faire.
00:37:57Et honnêtement,
00:37:58ça fonctionne.
00:37:59J'avais une étudiante
00:38:00l'année dernière,
00:38:02non,
00:38:02on faisait l'année,
00:38:03mais l'année dernière,
00:38:04quand elle était
00:38:05en première année,
00:38:05elle était un an,
00:38:07un étudiant,
00:38:08je l'avais mis au niveau
00:38:09et il venait des cours
00:38:10justement pour organiser
00:38:11le travail,
00:38:11c'est de raveur,
00:38:12bien s'organiser,
00:38:13bien travailler,
00:38:14bien.
00:38:16Oui,
00:38:16ne vous comprenez pas,
00:38:17j'avais pas,
00:38:18on a trop de choses
00:38:18d'affaires,
00:38:19on a trop de tâches,
00:38:20enfin bon,
00:38:20bref,
00:38:20tout ce que je pouvais
00:38:21proposer,
00:38:22ça n'allait pas se comprenait
00:38:23parce qu'elle était stressée
00:38:23en tant qu'étudiant
00:38:24et elle pensait
00:38:25jamais pouvoir
00:38:26mais ça dépose,
00:38:28on n'a pas le temps
00:38:29que ça dépose,
00:38:29qu'elle pose.
00:38:30Et puis,
00:38:31en deuxième année,
00:38:32elle m'avouait
00:38:32qu'elle avait fini
00:38:33par mettre en place
00:38:34tout ce que j'avais dit,
00:38:36elle n'a pas été la seule
00:38:37mais il y en a deux
00:38:37qui m'ont dit
00:38:38mais elle,
00:38:38elle n'a vraiment
00:38:39pas ce que témoigné,
00:38:40elle me dit
00:38:40mais maintenant,
00:38:41non seulement
00:38:41on en fait plus
00:38:42en enant en moins
00:38:43mais je me sens plus sereine
00:38:44donc je ne me sens même pas
00:38:45en train de travailler
00:38:46c'est-à-dire tout ce qui a stressé
00:38:47parce qu'elle est en train
00:38:48de travailler,
00:38:49elle est en soeur charmantale
00:38:51donc c'est la stressée
00:38:51de cette soeur charmantale
00:38:52il y avait trop de choses
00:38:53à faire
00:38:53je ne savais pas comment le faire
00:38:54de fait d'avoir mis
00:38:55tout ça en place
00:38:56ça l'a rendu
00:38:58beaucoup plus sereine
00:38:58et finalement
00:38:59elle est allée
00:38:59beaucoup plus vite
00:39:00dans son travail
00:39:01elle a moins perdu le temps
00:39:01parce qu'elle était
00:39:02peut-être en 4 heures
00:39:03elle a peut-être
00:39:03en 2 heures même pas
00:39:04et elle était vraiment
00:39:05plus sereine
00:39:06et ça a fonctionné
00:39:06donc je vous dis vraiment
00:39:07que ça ne va fonctionner
00:39:08même entre nous
00:39:09et on a beaucoup de travail
00:39:09évidemment se détendre
00:39:12et aussi oser s'exprimer
00:39:14surtout,
00:39:14surtout ça va être important
00:39:15de s'exprimer
00:39:16et de dire
00:39:17ça ne va pas
00:39:18poser des mots dessus
00:39:19ne pas faire à l'autruche
00:39:21alors prendre soin de son cerveau
00:39:27l'activité physique
00:39:28ce n'est pas forcément
00:39:30faire du sport
00:39:30si vous êtes comme moi
00:39:32et que vous êtes un petit peu
00:39:33au rétracteur au sport
00:39:34ça va être
00:39:36l'activité physique
00:39:37ça va être marché
00:39:37ça peut être finalement
00:39:39de sortir un arrêt
00:39:41avant votre arrêt
00:39:42de destination
00:39:43vous sortez du sein
00:39:45arrêt avant
00:39:45et vous faites
00:39:46un quart d'heure à pied
00:39:48par exemple
00:39:48ça va être
00:39:49de faire un maximum
00:39:50de soins à pied
00:39:51par son boucle
00:39:51vous pouvez dans le quartier
00:39:53aller les faire à pied
00:39:54ça va être aussi
00:39:56de marcher en téléphonant
00:39:59vous avez un appel téléphonique
00:40:00au lieu de rester assis
00:40:01dans votre canapie
00:40:03ou à votre bureau
00:40:04ça va être de marcher
00:40:04justement
00:40:05faire les s'en bas
00:40:06avec le téléphone
00:40:07ça va être un activité physique
00:40:08ça va être
00:40:10pourquoi pas
00:40:10d'aller courir
00:40:11pour ce qu'ils sentent
00:40:13de faire du vélo
00:40:14de jardiner
00:40:15ou de cuisiner debout
00:40:16c'est pas l'inquiétant
00:40:18mais il y a des gens
00:40:18qui s'assoient
00:40:19pour couper les légumes
00:40:20etc
00:40:20si vous cuisiner
00:40:21des balles de boue
00:40:22vous faites de l'activité physique
00:40:24donc tout ce qui va pouvoir
00:40:25vous permettre
00:40:25en mouvement
00:40:26c'est important
00:40:28même marcher
00:40:30marcher c'est bien
00:40:30on ne vous demande pas
00:40:31d'aller courir un marathon
00:40:32mais pourquoi ?
00:40:33parce que votre cerveau
00:40:34il a besoin de ça
00:40:35ça va provoquer
00:40:36plusieurs choses
00:40:37d'abord
00:40:37l'oxygénation
00:40:38de vos neurones
00:40:39or
00:40:39un cerveau
00:40:40qui ne peut pas bien oxygéner
00:40:41il meurt
00:40:42c'est pas bien pour les neurones
00:40:43un cerveau
00:40:44qui manque d'oxygène
00:40:44souvenez-vous
00:40:45on meurt
00:40:46deuxièmement
00:40:47ça va faire descendre la tension
00:40:49descendre finalement
00:40:50par effet tardif
00:40:53il va y avoir finalement
00:40:54une baisse du cortisone
00:40:55entre guillemets
00:40:57c'est-à-dire qu'en fait
00:40:57ça va provoquer une espèce
00:40:58avec des endorphines
00:40:59qui sont libérées
00:41:00de relaxation
00:41:01et de bien-être
00:41:02on va se sentir mieux
00:41:04et on va mieux appréhender
00:41:05les situations
00:41:05parce qu'on aura
00:41:06on sera peut-être
00:41:07beaucoup plus calme
00:41:08finalement
00:41:08pour prendre des décisions
00:41:09le sommeil
00:41:11on ne fait pas
00:41:13l'impasse sur le sommeil
00:41:14on éveille les nuits blanches
00:41:15ou de se coucher
00:41:16à pas d'heure
00:41:16pour regarder la série Netflix
00:41:17qu'on veut
00:41:18ou deux vidéos
00:41:19pour rendre un dossier
00:41:20pourquoi ?
00:41:22parce que c'est au cours du sommeil
00:41:23que votre cerveau se régénère
00:41:24il y a plusieurs phases du sommeil
00:41:25donc qui dit bien d'en mire
00:41:27dit
00:41:27en quantité
00:41:28en qualité
00:41:29quantité
00:41:31voilà
00:41:327 à 8 heures
00:41:33après chacun a
00:41:35sa moyenne de sommeil
00:41:37c'est-à-dire qu'il y en a qui me dit
00:41:38mais moi je ne dors
00:41:39que 6 heures
00:41:40mais ça va très bien
00:41:40si c'est ce qu'il faut à la personne
00:41:42on ne se force pas
00:41:43à rester au lit
00:41:44mais le problème
00:41:46c'est surtout
00:41:46de ne pas être en privation de sommeil
00:41:48alors lorsqu'on est insomniable
00:41:50c'est plus compliqué
00:41:51parce qu'il ne va pas l'avoir trouvé
00:41:52j'avais fait des interventions dessus
00:41:54il ne va pas l'avoir trouvé
00:41:55des parades pour gérer l'insomnie
00:42:00mais effectivement
00:42:01quand on ne vit pas de privation de sommeil
00:42:02notamment volontaire
00:42:03on tombe de sommeil
00:42:05il est comme ça
00:42:05sur son ordinateur
00:42:06devant sa série
00:42:07on va au lit
00:42:08on ne se dit pas
00:42:08évidemment je finis la saison
00:42:09finira demain
00:42:10parce que là on va repousser son site de sommeil
00:42:13et c'est très mauvais pour la santé
00:42:14donc évidemment
00:42:15il y a des tas de la mettre en place
00:42:17pas d'écran
00:42:17au moins
00:42:18on se dit minimum
00:42:19un quart d'heure
00:42:19normalement
00:42:20les spécialistes du sommeil
00:42:21il y a deux heures avant
00:42:22vous allez vous coucher
00:42:23ce qui peut paraître énorme
00:42:25c'est désolé les jeunes
00:42:26parce que normalement
00:42:26c'est deux heures avant
00:42:27on va être sûr
00:42:27ça n'entend pas le sommeil
00:42:28mais il y a la quantité
00:42:31mais il y a la qualité
00:42:32vous avez plusieurs phases
00:42:33au niveau de votre sommeil
00:42:33vous avez le sommeil lent léger
00:42:35par exemple
00:42:36l'ambissement certes
00:42:37mais le sommeil lent léger
00:42:38le sommeil lent profond
00:42:39et finalement
00:42:40la phase paradoxale
00:42:41au cours du sommeil lent léger
00:42:43on somme l'homme
00:42:44on est là
00:42:44on se détend
00:42:45nos muscles
00:42:45comment ça se détend
00:42:46mais on est encore
00:42:47à l'écoute
00:42:48de tout ce qui se passe autour
00:42:49on est encore plus ou moins construit
00:42:51le sommeil lent profond
00:42:52c'est à ce moment là
00:42:53que le corps se régénère
00:42:54le cerveau se régénère
00:42:55donc tout ce qu'on appelle
00:42:57les métaboliques
00:42:58c'est à dire les déchets
00:42:59qui se sont accumulés
00:43:01au cours de la période dure
00:43:02donc au cours de la journée
00:43:03sont évacués pendant la nuit
00:43:05lui il va être déchets la nuit
00:43:06évidemment si on ne repart
00:43:09qu'on a un problème
00:43:09de sommeil lent profond
00:43:10que la phase est trop raccourcie
00:43:12donc en manque de sommeil
00:43:13notamment de qualité
00:43:14on va avoir un problème
00:43:15à ce niveau là
00:43:16et ça va évidemment
00:43:17entacher la santé
00:43:19voire même
00:43:20rendre plus sensible
00:43:20à des virus
00:43:21il y a eu des études
00:43:23qui ont été menées
00:43:24sur les virus
00:43:25du rhume
00:43:26et donc en fait
00:43:27il y avait des personnes
00:43:29qui étaient en privation
00:43:29de sommeil
00:43:30et des personnes
00:43:31qui n'étaient pas
00:43:31en privation de sommeil
00:43:32et parmi les personnes
00:43:33qui ont été en privation
00:43:34de sommeil
00:43:35c'est chez elles
00:43:36qu'on a retrouvé
00:43:36le plus finalement
00:43:38de virus du rhume
00:43:39c'est à dire
00:43:39que c'est son S.L.
00:43:40c'est son tête
00:43:41qui ont retrouvé
00:43:42le plus de virus du rhume
00:43:43donc ça
00:43:44ça va être important
00:43:45de se régénérer
00:43:46et on va voir
00:43:47le sommeil paradoxal
00:43:48qui nous permet d'apprendre
00:43:49c'est au cours du sommeil paradoxal
00:43:50qu'on apprend
00:43:51et on apprend
00:43:52à total
00:43:52apprendre
00:43:52c'est pas apprendre
00:43:53une leçon pour un examen
00:43:55c'est on rejoue
00:43:56la journée
00:43:56on remanit les informations
00:43:58pour pouvoir prendre
00:43:59des décisions
00:43:59pour pouvoir les synthétiser
00:44:01et avoir une vie d'ensemble
00:44:02si on manque
00:44:03de sommeil paradoxal
00:44:04les apprentissables
00:44:04ne pourront pas se faire
00:44:05donc c'est important
00:44:07un bon sommeil
00:44:08tout ce qui va
00:44:10c'est évidemment
00:44:10la sociale
00:44:12garder un lien
00:44:14c'est bon
00:44:15je regarde l'ordre
00:44:15je suis dans le bon timing
00:44:16garder un lien social
00:44:18donc ça va être
00:44:19toutes les activités
00:44:19culturelles
00:44:21sociales
00:44:21on s'appelle
00:44:21voir des amis
00:44:22sortir
00:44:24mais aussi
00:44:24avoir des activités
00:44:26intellectuelles
00:44:26donc évidemment
00:44:28lire tout ça
00:44:28mais en société
00:44:29ça doit être
00:44:29aller voir des expositions
00:44:30ça éveille des expositions
00:44:31on aime
00:44:32on n'aime pas
00:44:32une exposition
00:44:32on aime
00:44:33on n'aime pas ce qu'on voit
00:44:33mais au moins
00:44:34ça nous fait débattre
00:44:35donc ça nous permet
00:44:36de sortir
00:44:36et de s'aérer
00:44:38et de voir autre chose
00:44:39et de garder ce lien là
00:44:40vraiment
00:44:41de
00:44:41je sors
00:44:42de mon problème
00:44:43finalement
00:44:44du travail
00:44:45on va voir
00:44:47l'alimentation
00:44:49que vous en avez parlé
00:44:50l'alimentation
00:44:51un cerveau
00:44:52qui est bien nourri
00:44:53ça sera un cerveau
00:44:54qui fonctionne bien
00:44:55il va falloir lui donner
00:44:56tout ce qu'il faut
00:44:57évidemment
00:45:00concrètement
00:45:01ça va être quoi
00:45:01on appelle ça maintenant
00:45:02la psychonutrition
00:45:03comme vous voulez
00:45:05la psychiatrie en nutrition
00:45:07effectivement
00:45:08il y a des acteurs
00:45:09mais ça va être
00:45:11de donner effectivement
00:45:12des oméga 3
00:45:13le saut
00:45:14néo-méga 3
00:45:14il est là
00:45:15on a les gros mots
00:45:16des oméga 3
00:45:18pourquoi
00:45:18les oméga 3
00:45:20permettent de lutter
00:45:20contre le déclin cognitif
00:45:21permet la croissance
00:45:23de nouveaux neurones
00:45:24et oui
00:45:25à tout âge
00:45:26on peut avoir
00:45:26des neurones
00:45:27qui poussent
00:45:28au niveau de l'hypocam
00:45:29miracle
00:45:30l'hypocam
00:45:30c'est la région cérébrale
00:45:31impliqué dans les apprentissages
00:45:33la lignorisation
00:45:33donc on n'a pas
00:45:35à tout âge
00:45:35ça va être aussi
00:45:37nous permettre
00:45:38de synthétiser
00:45:39d'aide
00:45:39de synthétiser
00:45:40certains neurotranscripteurs
00:45:41notamment
00:45:42l'acidicoline
00:45:42la dopamine
00:45:43et la sérotonine
00:45:45miracle
00:45:45c'est bien
00:45:46parce que ça va les aider
00:45:47ça va aussi
00:45:49éviter des cas cognitifs
00:45:50éviter la formation
00:45:51de plaques aminides
00:45:52etc
00:45:52donc ça va nous permettre
00:45:53de gérer beaucoup de choses
00:45:54et que la cellule fonctionne bien
00:45:56parce que
00:45:57ce sont des liquides
00:45:58acides gras polyinsaturés
00:45:59et effectivement
00:46:00ils sont dans les constituants
00:46:01des membranes des cellules
00:46:02et si votre cellule
00:46:03a un problème
00:46:03du niveau de salomaral
00:46:05effectivement
00:46:05il va y avoir des problèmes
00:46:07de transfert d'informations
00:46:08entre le milieu
00:46:09extracellulaire
00:46:11et le milieu extracellulaire
00:46:13et ça peut occasionner
00:46:14évidemment
00:46:14des problèmes
00:46:15qui vont se voir
00:46:15par des problèmes
00:46:16comportementaux
00:46:17problèmes de mémoire
00:46:18problèmes de compétence
00:46:18intellectuelle
00:46:19etc
00:46:19évidemment
00:46:21les antioxydants
00:46:23par exemple
00:46:24la myrtille
00:46:25etc
00:46:25on sait que des myrtilles
00:46:26il y a
00:46:28des flavodomines dedans
00:46:30et exactement
00:46:31on ne va jamais prononcer
00:46:33le nom
00:46:33le reste des râles
00:46:34je vois un truc comme ça
00:46:35je ne vais pas prononcer
00:46:36le nom
00:46:36je ne sais pas pourquoi
00:46:37il y a des noms comme ça
00:46:37ils ne veulent pas
00:46:38mais effectivement
00:46:39ça va augmenter la mémoire
00:46:41ils ont testé
00:46:42sur les personnes
00:46:43ils ont vu
00:46:44ça a une augmentation
00:46:45de la mémoire
00:46:45ça a évité
00:46:46des climatis
00:46:46des antioxydants
00:46:48tout ce qui va être
00:46:49un gros vitamine C
00:46:50etc
00:46:50donc tout ce qui va être
00:46:51vitamine
00:46:52toutes les vitamines
00:46:53A, B, C, D
00:46:54c'est neuroprotecteur
00:46:56ça aide effectivement
00:46:57à la synthèse
00:46:58de certains types
00:46:59de neurotransmetteurs
00:46:59alors je ne rentrerai pas
00:47:00dans les détails
00:47:01parce que
00:47:01je pourrais nous faire
00:47:02une conférence dessus
00:47:03il y a une conférence
00:47:04dédiée à ce phénomène là
00:47:05mais toutes les vitamines
00:47:07notamment les vitamines
00:47:08du groupe B
00:47:08qui sont des cofacteurs
00:47:10c'est à dire
00:47:11que je vous ai dit
00:47:11tout à l'heure
00:47:12qu'il fallait apporter
00:47:13dans l'alimentation
00:47:13les famuses acides aminés
00:47:15tryptophane etc
00:47:16pour pouvoir
00:47:17avoir la synthèse
00:47:18de nos neurotransmetteurs
00:47:19sauf que
00:47:20il va falloir
00:47:21elles ont besoin
00:47:22de cofacteurs
00:47:23d'aide de camp
00:47:23ce qu'on appelle
00:47:24l'aide de camp
00:47:25sans aide de camp
00:47:25elles sont rien
00:47:26et parmi ces aides de camp
00:47:27évidemment
00:47:28en dehors des oméga 3
00:47:29etc
00:47:29on va avoir
00:47:30l'aide des vitamines B
00:47:31donc il faut apporter
00:47:33de l'aliment
00:47:33en vitamine B
00:47:34donc finalement
00:47:35il va falloir faire quoi ?
00:47:36tout simplement
00:47:36l'envie qui va
00:47:37si on ne sait pas
00:47:39si on en est où
00:47:40au niveau des porçons
00:47:41etc
00:47:41parce qu'on a un problème
00:47:42à ce niveau là
00:47:43où on ne sait pas
00:47:44où se situer
00:47:44est-ce que je m'en vais
00:47:45c'est de poissons
00:47:46est-ce que je m'en vais
00:47:47c'est de l'éagine
00:47:47est-ce que je m'en vais
00:47:48c'est d'aliments
00:47:48riches en vitamines
00:47:49en manine
00:47:49etc
00:47:50ça fait le moment
00:47:51d'aller voir
00:47:52une dédicienne nutritionniste
00:47:54ne pas pour faire un régime
00:47:55je rappelle qu'elles ne sont pas là
00:47:56ou qu'elles ne sont pas là
00:47:57pour vous donner un régime
00:47:58pour perdre du poids
00:47:59mais qu'elles sont là aussi
00:48:00pour vous faire
00:48:00un rééquilibre alimentaire
00:48:02et pour vous dire
00:48:03attention
00:48:04là peut-être
00:48:04que vous manquez
00:48:05de quelque chose
00:48:05et vous avez
00:48:07quels symptômes
00:48:07peut-être
00:48:08si vous manquez de dopamine
00:48:09voilà dans
00:48:09quels types d'aliments
00:48:10on va en trouver
00:48:11par exemple la thyrosine
00:48:12tout à l'heure
00:48:13j'en ai parlé
00:48:14la thyrosine
00:48:15effectivement
00:48:16on en trouve dans la dinde
00:48:17dans la dinde
00:48:19dans la dinde
00:48:20donc je sais
00:48:21moi quand j'ai des envie
00:48:22de dinde
00:48:23etc
00:48:23je sais que peut-être
00:48:24je manque peut-être
00:48:26de thyrosine
00:48:27il n'y en a pas que là
00:48:28mais il y a des aliments
00:48:29qui sont référencés
00:48:30comme ça
00:48:31je sais aussi
00:48:32que dans le côté
00:48:32d'apparemment
00:48:33on en trouver
00:48:34dans les bouquins
00:48:36c'est ce que j'ai dit
00:48:36après
00:48:37je ne suis pas allée chercher
00:48:39plus que ça
00:48:40c'est moins mon domaine
00:48:41mais en tous les cas
00:48:41effectivement
00:48:42on va en trouver
00:48:43donc c'est vraiment
00:48:43quand j'ai équilibré
00:48:44pour avoir
00:48:44les oméga 3
00:48:45les vitamines
00:48:47les antioxydants
00:48:48du zinc
00:48:49notamment
00:48:49on a par exemple
00:48:50avec les huîtres
00:48:50ça compte bien
00:48:51bientôt
00:48:51on est en période de fête
00:48:53donc si on aime les huîtres
00:48:54allez-y gaiement
00:48:56forcément
00:48:57les olagineux
00:48:58les produits complets
00:49:00les produits laitiers
00:49:00pour avoir
00:49:01effectivement
00:49:02vitamine A
00:49:03vitamine D
00:49:05toutes les vitamines
00:49:06les oméga 3
00:49:07ainsi que
00:49:09aussi
00:49:09tout ce qui va être
00:49:11magnésium
00:49:11etc
00:49:12alors
00:49:17pas besoin d'être
00:49:18fin de cuisinier
00:49:18ça c'est moi qui l'ai fait
00:49:19c'est mon plat
00:49:20à moi
00:49:21voilà
00:49:22donc c'est pour ça
00:49:22que la photo
00:49:23est très très moche
00:49:24je ne suis pas du tout
00:49:25artiste culinaire
00:49:26à prendre des photos
00:49:27pour instagramer
00:49:28quoi que ce soit
00:49:28mais effectivement
00:49:31c'était dans une des conférences
00:49:32que j'avais donnée
00:49:33c'était pour expliquer
00:49:34que finalement
00:49:35ça c'est souvent
00:49:36on se dit
00:49:36ben oui
00:49:37mais je suis dit
00:49:37comment
00:49:37je ne sais pas quoi faire
00:49:38ben typiquement
00:49:39un paquet de saumon
00:49:40avec du riz complet
00:49:41c'est pas très dur
00:49:42honnêtement
00:49:43après vous la prémentez
00:49:45avec les épices
00:49:46que vous voulez
00:49:46moi j'avais choisi
00:49:47celle-ci
00:49:47là je ne peux aller
00:49:48lire de là
00:49:49mais effectivement
00:49:50peu importe
00:49:51l'essentiel
00:49:52effectivement
00:49:53c'est que vous puissiez
00:49:53la prémentez
00:49:54avec vos goûts à goût
00:49:55et ensuite
00:49:56vous avez tout
00:49:57donc les complets
00:49:58les oméga 3
00:49:59les vitamines
00:50:00tout ce qu'il faut
00:50:00il y avait dans la tête
00:50:01tout ce qu'il fallait
00:50:02pour que je fonctionne
00:50:03particulièrement bien
00:50:04et ça ne prend pas
00:50:09beaucoup plus de temps
00:50:10de cuisiner
00:50:10que de mettre
00:50:11un plat au micro-ondes
00:50:11surtout qu'on peut
00:50:14préparer ça le week-end
00:50:15etc
00:50:15et faire des choses
00:50:16à l'avance
00:50:17pour pouvoir après
00:50:17un réchauffement
00:50:18mais ça ne m'a pas
00:50:19pris énormément de temps
00:50:20ni que de me faire
00:50:24un plat de pâtes
00:50:24parce que finalement
00:50:25le temps que l'eau
00:50:25elle vous débat
00:50:26et de faire faire
00:50:27les pâtes
00:50:27ça prend plus de temps
00:50:29que ça
00:50:29la question se pose
00:50:34souvent
00:50:34les compléments alimentaires
00:50:36n'en fait quoi
00:50:37et bien ça dépend
00:50:38d'abord on ne prend pas
00:50:39de compléments alimentaires
00:50:40sans avis médical
00:50:42que ce soit
00:50:42d'un pharmacie
00:50:43ou d'un médecin
00:50:43il peut y avoir
00:50:45contre-indication
00:50:45c'est pas parce que
00:50:47ce sont des plantes
00:50:48que ce sont des compléments
00:50:49alimentaires
00:50:49que c'est bien
00:50:50s'il n'y a pas
00:50:52d'avis médical
00:50:53il y a certaines
00:50:53pâtes publiques
00:50:54qui vous interdisent
00:50:54à partir des compléments
00:50:55alimentaires
00:50:56ou avec certaines choses
00:50:56dedans
00:50:57je donne un exemple
00:50:58près de magnésium
00:51:00c'est vrai que
00:51:01on en prend souvent
00:51:03il y a peu de risque
00:51:03parce que généralement
00:51:05on en a besoin
00:51:06on est plutôt
00:51:06en manque de magnésium
00:51:08il suffit qu'il y a une situation
00:51:09stressante
00:51:09le magnésium
00:51:10il a fui
00:51:11on en a besoin
00:51:12c'est pas trop grave
00:51:13les oméga 3
00:51:14effectivement
00:51:14ça va être un peu
00:51:15très pareil
00:51:15parce que même si
00:51:17on consomme du poisson
00:51:18on est plutôt
00:51:19dans nos pays occidentalisés
00:51:21on est plutôt
00:51:21en manque d'oméga 3
00:51:23d'après les études
00:51:24on n'est pas
00:51:24en surconsommation
00:51:26après il y a
00:51:28les vitamines
00:51:29là les vitamines
00:51:29ça dépend
00:51:30c'est à dire que
00:51:32soit on est en carence
00:51:33il faut prendre quelque chose
00:51:35si l'alimentation
00:51:35ne suffit plus
00:51:36soit on n'est pas en carence
00:51:38on peut par moment
00:51:39peut-être supplémenter
00:51:40pour avoir un apport
00:51:41supplémentaire
00:51:42si le médecin est d'accord
00:51:43mais il faut-il faire attention
00:51:44qu'on ne soit pas déjà
00:51:45autour
00:51:46parce que si par exemple
00:51:47vous prenez la vitamine D
00:51:48mais que vous êtes en
00:51:49surconsommation de la vitamine D
00:51:50c'est à dire que vous êtes
00:51:50au-delà de la norme supérieure
00:51:52de référence
00:51:53c'est néfaste pour la santé
00:51:54donc c'est pas en ce moment
00:51:56de n'importe quoi
00:51:57pour être au maximum
00:51:58parce que si vous êtes déjà
00:51:59au maximum
00:52:00la vitamine D
00:52:01ce qui arrive à certaines personnes
00:52:02qui prennent de la vitamine D
00:52:03qui vont au soleil
00:52:04mais qui vont au soleil
00:52:05qui prennent de la vitamine D
00:52:06elles sont en surconsommation
00:52:07elles vont avoir
00:52:08certains symptômes
00:52:09donc on peut faire attention
00:52:10après il y a
00:52:11la thyrosine
00:52:12que je peux faire
00:52:12les gabas
00:52:13dans certains compléments alimentaires
00:52:15vous en avez
00:52:15ou vous pouvez l'acheter
00:52:16il y a des boîtes
00:52:18de compléments alimentaires
00:52:19qui vous vendent
00:52:20de la thyrosine
00:52:21ça m'arrive d'en prendre
00:52:22quand je sais que je suis un petit peu
00:52:23en souffrance mentale
00:52:24je sens que je me frôle
00:52:25la fatigue
00:52:26je sais que je ne peux en prendre
00:52:27sauf que je sais
00:52:28qu'il n'y a pas de soucis
00:52:28particuliers à la thyroïde
00:52:30les personnes qui sont
00:52:31en hypothyroïdie
00:52:32qui sont notamment
00:52:33sous des vos thyroses
00:52:34etc
00:52:34n'ont pas de thyrosine
00:52:36parce que justement
00:52:37la thyroïde est aussi impliquée
00:52:38dans le fonctionnement
00:52:39des hormones thyroïdiennes
00:52:40donc vous pouvez
00:52:41finalement avoir un problème
00:52:43pareil avec le cryptophane
00:52:44le cryptophane
00:52:45pour cure-sœur de la sérotonine
00:52:47si quelqu'un est sous antidépresseur
00:52:49il prend des antidépresseurs
00:52:50pour finalement prolonger
00:52:51l'effet la sérotonine
00:52:52il ne faut pas
00:52:53parce que sinon
00:52:54on va avoir un effet
00:52:54confusionnaire
00:52:55qui se convient même
00:52:56jusqu'à la mort
00:52:56donc il faut vraiment
00:52:57faire attention à ça
00:52:58c'est-à-dire que oui
00:52:59ça peut le faire
00:53:00dans certaines situations
00:53:01qu'on en manque
00:53:02mais pour demander conseil
00:53:03à son médecin
00:53:04savoir faire le laboratoire
00:53:07parce qu'il y a tout
00:53:07n'importe quoi quand même
00:53:08qu'il pourrait se trouver
00:53:10donc faire un concentre
00:53:11au labo ou lui-même
00:53:12mais aussi voir
00:53:13si on n'a pas de pathologie
00:53:14qui nous interdit
00:53:15de prendre
00:53:16ce complément alimentaire-là
00:53:18parce que la pathologie
00:53:19ou la médication
00:53:20que nous avons actuellement
00:53:21il y a une contre-indication
00:53:23parce que ça peut être
00:53:24assez contre-productif
00:53:25et si en plus
00:53:26on n'est pas en carence
00:53:27donc on a des bateaux
00:53:28et qu'on ouvre le ton
00:53:29ça peut aussi provoquer
00:53:30effectivement
00:53:31en fait le trop
00:53:32c'est une gestion de quantité
00:53:33le trop plein
00:53:34et c'est aussi un déni
00:53:36quand on est trop bas
00:53:37ça ne va pas
00:53:37mais quand on est trop plein
00:53:38ça ne va pas non plus
00:53:39donc on ne fait pas
00:53:39je veux tout booster
00:53:41et comme ça
00:53:41de bien fonctionner
00:53:42non ça peut avoir
00:53:43des conséquences
00:53:44mais face
00:53:44on demande conseil
00:53:45qu'il a peut-être
00:53:46à faire une prise de sang
00:53:47avant
00:53:47et par un professionnel
00:53:48de sang
00:53:48alors évidemment
00:53:51après il y a toujours
00:53:52la phytothérapie
00:53:53les plantes
00:53:55alors
00:53:55ah oui c'est des plantes
00:53:56ils ne risquent rien
00:53:57oui
00:53:58alors je vous rappelle
00:53:58que le pavot
00:53:59c'est une plante
00:54:00et que ça donne
00:54:01la morphine
00:54:01l'opium
00:54:01et l'héroïne
00:54:02ok
00:54:03d'ailleurs il y a eu
00:54:04il y a quelques années
00:54:05je ne sais plus quand
00:54:06c'est assez récent
00:54:07des gens qui ont été
00:54:08un peu moins intoxiqués
00:54:10avec les
00:54:10comme le pavot
00:54:11du gros
00:54:12autre marque
00:54:12là vous savez
00:54:13c'est ce qu'on se poudre
00:54:13sur nos salades
00:54:14parce que justement
00:54:15c'était du pavot
00:54:17et dans le pavot
00:54:17il y a des endorphines
00:54:18un entalgique
00:54:19puisque c'est
00:54:20voilà
00:54:20et
00:54:21ils en ont trop consommé
00:54:22alors est-ce qu'ils ont vraiment
00:54:23trop consommé le pavot
00:54:24ou alors est-ce que c'est parce que
00:54:25la mania dont avaient fait
00:54:27les cannes de pavot
00:54:27il y avait les substances
00:54:29qui étaient restées
00:54:30mais en tous les cas
00:54:30il y a eu des petits soucis
00:54:31à ce niveau là
00:54:32ils ont dû rappeler les produits
00:54:33donc évidemment
00:54:34les plantes
00:54:35c'est pas parce que c'est une plante
00:54:36que c'est sans danger
00:54:37une plante a peut tuer aussi
00:54:39en plus il peut y avoir
00:54:40des contre-indications
00:54:41alors ces deux là
00:54:42vous en avez mis
00:54:42certaines
00:54:43qui ont des vertus connues
00:54:45sur l'activité cérébrale
00:54:46les activités intellectuelles
00:54:48pour ouvrir le stress
00:54:48donc il y a le safran
00:54:51qui vient pour la mémoire
00:54:53notamment il y a eu
00:54:53beaucoup d'études
00:54:54pour montrer
00:54:54des apprentissages
00:54:55pour la mémoire
00:54:56les autres
00:54:56au futur stress
00:54:57etc
00:54:57le griffonien
00:54:58le redolat
00:54:59la mémis
00:54:59l'orange douce
00:55:00mais pas que
00:55:02on a cité quelques-unes
00:55:03effectivement
00:55:04on fait attention
00:55:04aux contre-indications
00:55:05par exemple
00:55:06l'hyperfui
00:55:07qui permet
00:55:08de gérer
00:55:09le stress
00:55:10quand on est un peu
00:55:11en dépression
00:55:12et d'aller un petit peu
00:55:13mieux
00:55:13quand ça va pas
00:55:14on croit
00:55:14ce que c'est que des plantes
00:55:16comme on est
00:55:17sous certains traitements
00:55:18on n'a pas le droit
00:55:18à en prendre
00:55:19l'hyperfui
00:55:20parce que c'est contraindiqué
00:55:21parce que ça peut
00:55:22potentialiser
00:55:23l'effet du médicament
00:55:24ou au contraire
00:55:25au niveau
00:55:25l'effet du médicament
00:55:26là je n'ai pas mis
00:55:27mais dernièrement
00:55:28j'ai fait une conférence
00:55:29justement sur
00:55:30c'était sur
00:55:32le stress
00:55:33et je parlais aussi
00:55:35d'alimentation
00:55:36parce que c'est un petit peu
00:55:37pareil que pour gérer
00:55:38la sauce fragmentale
00:55:39ça va se passer
00:55:39par l'alimentation
00:55:40pour incrémenter des plats
00:55:42on peut les incrémenter
00:55:43d'épices
00:55:43d'aromac
00:55:44etc
00:55:45et notamment de sauce
00:55:46et moi il y a une personne
00:55:47dans l'assemblée
00:55:48qui m'a dit
00:55:48qu'elle ne pouvait pas
00:55:49consommer de la sauce
00:55:50parce qu'elle avait
00:55:50des problèmes cardiovasculaires
00:55:52et que son médecin
00:55:52lui avait interdit
00:55:53alors évidemment
00:55:54si elle met un peu de sauce
00:55:55dans ses pattes
00:55:56c'est peut-être pas très grave
00:55:57maintenant elle n'a pas le droit
00:55:59en tous les cas
00:55:59ça
00:56:00et c'est même pas
00:56:00si elle vient d'où ou pas
00:56:01et à la limite
00:56:02on peut se dire
00:56:02c'est pas parce que
00:56:03vous avez sous-poudré
00:56:04d'un peu de sauce
00:56:05que c'est peut-être très grave
00:56:06mais elle n'a pas le droit
00:56:06de prendre une infusion
00:56:07à la sauce
00:56:08pourtant une infusion
00:56:09à la sauce
00:56:09d'avoir certaines vertus
00:56:10reconnues
00:56:11on dit ça peut faire du bien
00:56:12là c'est pareil
00:56:13elle prend ça
00:56:13en complètement alimentaire
00:56:14la sauce
00:56:15ça paraît anodin
00:56:16etc
00:56:16ça peut provoquer
00:56:18des problèmes cardiovasculaires
00:56:19chez cette dame là
00:56:19donc c'est là aussi
00:56:21où il va falloir faire attention
00:56:22c'est surtout
00:56:23surtout de demander conseil
00:56:24de vérifier
00:56:24que les problèmes
00:56:25qu'on peut avoir de santé
00:56:26ou de notre état de santé
00:56:28notre état
00:56:28nous permet de consommer
00:56:30effectivement
00:56:31et voir les contre-indications
00:56:32de ces plantes
00:56:33parce que même
00:56:33les consommations de plantes
00:56:35il y a des contre-indications
00:56:36donc on prend vraiment
00:56:37référence au point d'abord
00:56:38et professionnel
00:56:39on fait pas tout et n'importe quoi
00:56:41alors je vous le disais
00:56:45organiser son temps
00:56:46on va avoir deux méthodes
00:56:49la propos d'oraux
00:56:50et la matrice
00:56:51des ailes no-air
00:56:51mais faire une chose
00:56:53d'après l'autre
00:56:54on prévoit les interruptions
00:56:56les jours où vous savez
00:56:57que vous allez être
00:56:57interrompu dans votre travail
00:56:58parce que vous allez avoir
00:56:59plusieurs coups de téléphone
00:57:00ou que vous êtes au boulot
00:57:01vous savez que vos collaborateurs
00:57:02vont rentrer et sortir
00:57:03etc.
00:57:04essayez de prévoir
00:57:05effectivement ces interruptions
00:57:07de vous dire
00:57:08ben voilà
00:57:08entre mon premier rendez-vous
00:57:10et mon second rendez-vous
00:57:11j'ai une demi-heure
00:57:13pendant cette demi-heure
00:57:14il y a des choses
00:57:14que je ne peux pas faire
00:57:15j'ai pas un laps de temps
00:57:17assez important
00:57:18pour initier quelque chose
00:57:19mais je peux répondre
00:57:20à des emails
00:57:21je peux éventuellement
00:57:23passer un coup de téléphone
00:57:24pour répondre à quelqu'un
00:57:25etc.
00:57:26vous voyez ce que vous voyez
00:57:27c'est-à-dire prévoir à peu près
00:57:28pour essayer après
00:57:30à la fin d'un jour
00:57:31et de ne pas vous dire
00:57:31mais finalement
00:57:32je n'ai rien fait
00:57:32j'ai l'impression
00:57:33de ne pas avoir avancé
00:57:34vous aurez fait
00:57:34vous allez voir
00:57:35beaucoup de choses
00:57:35c'est pareil
00:57:37là je vois
00:57:38certains de mes étudiants
00:57:39il y a des pauses
00:57:39entre deux ans
00:57:40vous allez voir
00:57:40la grosse pause
00:57:41si c'est d'une heure
00:57:42deux heures
00:57:43trois heures
00:57:43d'une demi-heure
00:57:44ça peut pouvoir
00:57:45je ne sais pas
00:57:45vous pouvez gérer
00:57:46certaines choses
00:57:47on ne commence pas
00:57:48à
00:57:49je ne sais pas
00:57:51peut-être
00:57:52un pour
00:57:53alors on n'a qu'une demi-heure
00:57:55mais on peut en relire un
00:57:56pareil moi
00:57:57quand je fais
00:57:57je monte des conférences
00:57:59je crée des cours
00:58:00je ne vais pas forcément
00:58:02créer un cours
00:58:03lorsque j'ai qu'une demi-heure
00:58:04de l'âge de temps
00:58:05en revanche
00:58:06ça va me permettre
00:58:06de répondre à des étudiantes
00:58:07de répondre à un mail
00:58:08éventuellement
00:58:09de chercher un ou deux articles
00:58:11pour pouvoir le lire après
00:58:12de ne pas dire cherche
00:58:12pour optimiser
00:58:14et ne pas rester
00:58:14effectivement
00:58:15sauf quand mon ordinateur
00:58:16me bâle
00:58:17et qu'il serait démarre
00:58:18et que je n'ai plus accès
00:58:19et que je m'énerve dessus
00:58:20effectivement de cela
00:58:22et on va mettre
00:58:24effectivement
00:58:24en place
00:58:25des habitudes
00:58:26plus vous en mettrez
00:58:27en place
00:58:28des habitudes
00:58:28plus vous allez voir
00:58:29vous pouvoir gérer
00:58:30votre souffrance
00:58:31alors la mathèse
00:58:34des édodontes
00:58:35c'est ça
00:58:35c'est hiérarchiser
00:58:37effectivement
00:58:38ce que vous avez à faire
00:58:39vous avez ce cadran là
00:58:40alors il en existe
00:58:41la possibilité
00:58:42de les télécharger
00:58:43sur internet
00:58:45des formats vides
00:58:46et ça va dire
00:58:47de dire voilà
00:58:47il y a des tâches
00:58:48qui sont importantes
00:58:49et urgentes
00:58:50mais celle-ci
00:58:50est en priorité
00:58:51il y a des tâches
00:58:53vous voyez ici
00:58:54qui sont non importantes
00:58:55mais urgentes
00:58:56donc là
00:58:57vous allez les déléguer
00:58:58là
00:59:02tâches non importantes
00:59:03et non urgentes
00:59:04vous allez les abandonner
00:59:05pour l'instant
00:59:06et les tâches
00:59:08qui sont importantes
00:59:09mais non urgentes
00:59:11vous allez les planifier
00:59:11et il peut y avoir
00:59:12des tâches
00:59:13qui sont super importantes
00:59:14pour nous
00:59:14mais c'est pas
00:59:14une planifier
00:59:15tout de suite
00:59:15donc ce que vous allez faire
00:59:16vous allez le planifier
00:59:17à plus tard
00:59:18tout de suite
00:59:19en vous pour répondre
00:59:20là vous pouvez déléguer
00:59:21si vous pouvez déléguer
00:59:23vous allez déléguer
00:59:24donc ça peut être
00:59:25tâches importantes
00:59:26mais urgentes
00:59:26ça peut être
00:59:27peut-être faire une course
00:59:28pour vous
00:59:28parce que vous pouvez
00:59:29envoyer un de vos enfants
00:59:30pourquoi pas
00:59:31mais vous voyez
00:59:32ça veut dire
00:59:32de hiérarchiser
00:59:33et de faire en priorité
00:59:35les tâches
00:59:36qui sont les plus importantes
00:59:37et les plus urgentes
00:59:38qui sont à traiter
00:59:39en priorité
00:59:40autrement dit
00:59:41si vous avez
00:59:42plusieurs rignons
00:59:43on commence par traiter
00:59:44la rignons du lundi
00:59:44non pas celle du vendredi
00:59:45si on est
00:59:46par exemple
00:59:47pour aujourd'hui
00:59:47on est jeudi
00:59:48si vous avez une réunion
00:59:49on va dire mardi
00:59:50une réunion
00:59:51vendredi prochain
00:59:52on commence par
00:59:53la réunion de mardi
00:59:54pas celle du vendredi
00:59:55et on fait pas les deux maintenant
00:59:57on peut être là
00:59:58c'est vraiment hiérarchisé
01:00:00parce que justement
01:00:01il y a parfois
01:00:01des réponses
01:00:02qu'on doit faire
01:00:03à des clients
01:00:03des réponses
01:00:04que l'on doit apporter
01:00:05à des personnes
01:00:06ou un travail
01:00:07que l'on doit rendre
01:00:08que ce soit un article
01:00:09etc
01:00:09on va le faire en priorité
01:00:11moi honnêtement
01:00:12c'est ce que j'essaie de faire
01:00:13sans forcément
01:00:14faire le cadran
01:00:14parce que j'ai tendance
01:00:16parfois à vouloir tout faire
01:00:17en même temps
01:00:17malheureusement
01:00:18parce que
01:00:19j'ai beau dire
01:00:19ce qu'il faut faire
01:00:20comme tout le monde
01:00:21je tombe dedans
01:00:22mais je sais que là
01:00:24on demande plusieurs fois
01:00:24donc je sais que
01:00:25il y a certains cours
01:00:26que je dois créer
01:00:26ce qu'il doit créer
01:00:28pour le 18 novembre
01:00:30soit à créer en priorité
01:00:31par rapport à ce que je dois créer
01:00:32pour le 12 décembre
01:00:33parce que si je commence
01:00:35par ce du 12 décembre
01:00:36et je ne crée pas
01:00:37ça ne va pas le faire
01:00:37donc je sais
01:00:38que je me mets
01:00:39finalement
01:00:39cette hiérarchisation
01:00:40qui me permet effectivement
01:00:42de me dire ok
01:00:43ça coule de source
01:00:44même si à un moment donné
01:00:46ça prend parfois
01:00:46plus de temps
01:00:47donc faites-le
01:00:49hiérarchiser
01:00:50et en hérarchisant
01:00:52déjà vous allez pouvoir
01:00:53faire diminuer cette pression
01:00:56et voir qu'il y a beaucoup de choses
01:00:57qui finalement sont inutiles
01:00:58vous pouvez
01:00:59enlever
01:01:00et voir
01:01:01soit encore plus tard
01:01:02soit pour l'instant
01:01:03les abandonner
01:01:04et traiter
01:01:04ce qui est en priorité
01:01:05et là vous allez voir
01:01:06que vous allez avoir
01:01:06votre esprit dégagé
01:01:08et c'est ça
01:01:08le plus important
01:01:09pour ne pas avoir
01:01:09ce chargent mental
01:01:10il faut avoir
01:01:10l'esprit dégagé
01:01:11pour se concentrer
01:01:12sur une seule chose
01:01:13à la fois
01:01:13on ne se concentre pas
01:01:15sur tout à la fois
01:01:16vous vous metz au défi
01:01:18de regarder la télévision
01:01:20ce soir
01:01:21et de regarder
01:01:24votre téléphone portable
01:01:25et de lire un article
01:01:26ou de répondre
01:01:27à des messages
01:01:27en même temps
01:01:28vous allez voir
01:01:29vous allez lire
01:01:29je peux faire les deux
01:01:30en même temps
01:01:30vous suite
01:01:31et vous ne pourrez pas
01:01:33faire les deux
01:01:33en même temps
01:01:33vous allez louper
01:01:34un morceau de film
01:01:35et peut-être
01:01:36les deux ou trois minutes
01:01:37important
01:01:37la méthode pour vos euros
01:01:42alors
01:01:43c'est pas possible
01:01:45qu'on peut la faire
01:01:46c'est quoi
01:01:46c'était en fait
01:01:47pour aider les gens
01:01:48à se concentrer
01:01:48c'est un peu plus scientifiquement
01:01:49ce qu'il faut savoir
01:01:51c'est que notre capacité
01:01:52attentionnelle
01:01:52elle est en train
01:01:54de 50 minutes
01:01:55réelle
01:01:56si on ne bouge pas
01:01:58si on ne fait pas
01:01:59de poignées
01:01:59évidemment
01:02:00qu'on peut l'étendre
01:02:00parce qu'on arrive
01:02:01à rester un peu
01:02:01tout attenté
01:02:02les capacités attentionnelles
01:02:0350 minutes
01:02:04et Pomodoro
01:02:05il a dit quoi
01:02:06enfin celui qui a inventé ça
01:02:08alors pourquoi Pomodoro
01:02:09c'est tout simplement
01:02:10qu'il a pris un minuteur
01:02:11en forme de tomate
01:02:12et un minuteur de grand-mère
01:02:13ça s'appelle une forme de tomate
01:02:14donc ça s'appelle
01:02:15la méthode Pomodoro
01:02:16donc on dit
01:02:17vous prenez le minuteur
01:02:17comme vous voulez
01:02:18même la somme
01:02:19de téléphone
01:02:19ça fonctionnera toujours
01:02:20il a dit quoi
01:02:22il a dit qu'en fait
01:02:22notre attention
01:02:23était à son maximum
01:02:25à 25 minutes
01:02:26donc le but
01:02:27c'était de dire
01:02:28à ce moment là
01:02:29on fait une petite pause
01:02:30de quelques minutes
01:02:30de 5 minutes
01:02:31pour justement
01:02:32rester à la preuve
01:02:33pour éviter qu'il y ait
01:02:34la descente de l'attention
01:02:35et qu'il y ait ce phénomène
01:02:36de je perds l'attention
01:02:38j'ai du mal à me mettre
01:02:39à ma motivation
01:02:39et j'en peux plus
01:02:40alors après
01:02:42c'est pas forcément
01:02:4225 minutes
01:02:43mais ça veut dire
01:02:45que je dois pas devoir
01:02:45évidemment faire des pauses
01:02:47de temps en temps
01:02:48et des pauses
01:02:49on va voir quelques petites pauses
01:02:50parce que pas toutes les pauses
01:02:52sont bonnes
01:02:52mais normalement
01:02:53c'est
01:02:53je travaille 25 minutes
01:02:54d'un acte de temps
01:02:55mais je suis concentrée
01:02:56là je ne fais rien
01:02:56donc tu n'as pas mon téléphone
01:02:57je ne fais rien
01:02:58je n'as pas mes mails
01:02:59je fais la tâche
01:03:00que je dois faire
01:03:01ensuite j'ai fait 5 minutes
01:03:02de pause
01:03:03je recommence
01:03:05je vais faire 4 fois
01:03:07et après j'ai une pause
01:03:08un peu plus grande
01:03:08justement pour pouvoir
01:03:10me détendre
01:03:11et rester effectivement
01:03:13au maximum
01:03:13de mon attention
01:03:14sinon plus à mesure
01:03:16ça fait ça
01:03:16et après vous êtes
01:03:17totalement creux
01:03:18vous avez du mal
01:03:20à la pause
01:03:20vous avez du mal
01:03:22à la pause
01:03:22peut-être sur faire contact
01:03:23parce que vous n'allez plus
01:03:24par quel bout
01:03:24prendre les choses
01:03:25alors la pause
01:03:26on va voir ce que c'est
01:03:27parce qu'évidemment
01:03:27c'est pas répondre à l'email
01:03:29c'est pas aller sur son téléphone portable
01:03:31pour jouer avec un stade
01:03:32un bon
01:03:32ne sais quoi
01:03:33bien évidemment
01:03:34ce sont évidemment
01:03:36deux vraies causes
01:03:36il faut laisser son cerveau divaguer
01:03:39je sais bien que c'est mauvais
01:03:41la procrastination
01:03:41mais il y a des moments
01:03:42où elle est bénéfique
01:03:43et bien là
01:03:43c'est ce que je voulais vous demander
01:03:44procrastiner
01:03:45Alors, les étudiants, je vous vois dire
01:03:48non, il n'y aura pas des postes de bésanité
01:03:50pendant notre année de cours en présentiel.
01:03:53Mais effectivement, ça peut être quoi ?
01:03:54Ça peut être juste de m'étirer un petit peu,
01:03:56de bouge, de boire quelques goûts d'eau,
01:03:58voilà, vous voyez ce que je veux dire ?
01:04:00Ça peut être ça les causes.
01:04:01C'est de faire clairement un petit peu marcher
01:04:04si on peut, s'étirer, boire un verre d'eau,
01:04:07éventuellement discuter
01:04:08avec mes collègues. Là, c'est quand on est
01:04:10en entreprise. Parce qu'en fait, il faut
01:04:12penser que quelqu'un qui fait des causes
01:04:14est moins performant. En entreprise,
01:04:16ça n'était vraiment montré. Ils ont fait la différence
01:04:18entre les gens qui étaient bien considérés
01:04:20au rêve, qui ont travaillé, qui n'étaient plus de causes.
01:04:22Ah, c'est bien. Alors, il fait des causes.
01:04:26Sauf que,
01:04:26finalement, c'était ceux qui faisaient des causes qui étaient
01:04:28le plus performant. Parce que là, finalement,
01:04:30au bout d'un moment, il s'est effusé. Donc, oui, il est à son bureau.
01:04:33Mais ce n'est pas parce qu'il a son bureau
01:04:34qu'il travaille, qu'il réfléchit ou que son esprit
01:04:36n'est pas ailleurs. Alors, évidemment,
01:04:38ça ne veut pas dire
01:04:39de dire à son patron demain, on va dire qu'il va aller
01:04:42faire des causes et de faire plus de causes que de travail
01:04:44ou tous les 25 minutes,
01:04:46prendre un quart d'heure de pause, etc.
01:04:48Non. Ça veut tout simplement dire une pause.
01:04:50Ça peut être se tirer, marcher quelque part,
01:04:52reprendre son son, bouger,
01:04:54justement pour éviter de rester focus
01:04:56sur ce qu'on est en train de faire. Et c'est notamment
01:04:58plus pour les tâches qui vous demandent
01:05:00de l'attention devant l'ordinateur.
01:05:02Donc, typiquement, lorsqu'on est devant un fichier Excel,
01:05:04typiquement, lorsqu'on doit rendre un dossier
01:05:06en train d'écrire quelque chose, par exemple,
01:05:08parce qu'on doit rendre un travail de recherche, pour certains,
01:05:10quand on doit préparer une réunion, etc.,
01:05:13et qu'on est focus, évidemment,
01:05:15sur son ordinateur, sur le dossier,
01:05:16c'est là où il faut faire le plus de causes.
01:05:21Évidemment, pas Instagram,
01:05:22manières, mais je suis pour le laisser,
01:05:23ouh, le cerveau a besoin de calme.
01:05:25Donc, sinon, ça va le sur-signaler,
01:05:26ça fait comme la prise électrique,
01:05:27elle est en surcoche, il va, là aussi,
01:05:30parce que ça va être anxiogène,
01:05:32vous allez voir les messieurs,
01:05:33et vous allez répondre, non, c'est out tout ça,
01:05:36c'est repos pour le cerveau,
01:05:37c'est le fait de la pause.
01:05:39Apparemment, il y a même des pays du Nord,
01:05:41de l'Europe,
01:05:42qui payent l'apéro aux salariés,
01:05:44justement, pour éviter les conflits, etc.,
01:05:46et ça fonctionne bien,
01:05:48parce qu'il faut savoir aussi,
01:05:49on y reviendra,
01:05:50c'est que finalement,
01:05:51c'est parfois pour un repas d'un moment convivial
01:05:53que tout se règle,
01:05:54et de manière un peu plus cool
01:05:56qu'autour de Dames de Réunion,
01:05:59et c'est pas pour rien que les cols blancs,
01:06:01comme on les appelle,
01:06:02font des repas professionnels.
01:06:04Les repas d'affaires, à la base,
01:06:05c'est parce qu'on peut passer,
01:06:06les messages qu'on peut faire passer,
01:06:07c'est beaucoup plus facile autour d'un repas
01:06:09qu' autour d'un rendez-vous,
01:06:11autour d'une table et en réunion.
01:06:14Alors, se détendre,
01:06:15ça peut être d'écouter de la musique,
01:06:16ça peut être de faire des mandalas,
01:06:18de coloriage,
01:06:20quand on était gamin,
01:06:22finalement, ça revient à la même,
01:06:23même pour les adultes,
01:06:24pourquoi pas,
01:06:25ça peut être effectivement sardiné,
01:06:26ça peut être tout ce qui vous détend.
01:06:29Il n'y a pas de loi pour ça.
01:06:34Il y a la fameuse cohérence cardiaque.
01:06:38Ah, la cohérence cardiaque,
01:06:39c'est une méthode de respiration.
01:06:40Souvenez-vous,
01:06:41vous avez dit tout à l'heure
01:06:42que vous allez vous apprendre
01:06:43à recontrôler votre système nerveux autonome,
01:06:46le sympathique et le sympathique.
01:06:49Celui qui vous permet d'être en alerte,
01:06:50de gérer une situation stressante,
01:06:52et celui qui va vous permettre
01:06:53de revenir à la normale,
01:06:54à la situation de votre corps.
01:06:55cohérence cardiaque.
01:06:58Ça, je vais vous montrer
01:06:59ce que c'est tout de suite.
01:07:00Donc, on inspire par la lumière
01:07:02en 5 secondes,
01:07:03comme ça,
01:07:06et après, on souffle
01:07:07en 5 secondes.
01:07:08C'est-à-dire qu'il faut
01:07:09tenir l'inspiration pendant 5 secondes
01:07:11et souffler pendant 5 secondes.
01:07:14Alors, soit on compte 5 secondes
01:07:15dans la tête,
01:07:16ce qui n'est pas toujours évident,
01:07:17soit il y a des applications
01:07:19sur le téléphone portable,
01:07:20le smartphone,
01:07:20comme Respire Relax Plus,
01:07:22qui vous permet de suivre une boule
01:07:23qui monte,
01:07:24c'est-à-dire que vous inspirez
01:07:25jusqu'à ce que la boule soit en haut
01:07:26et vous expirez
01:07:27jusqu'à ce que la boule soit en bas.
01:07:29Là, je ne vais pas pouvoir
01:07:30vous montrer l'application,
01:07:31parce que c'est des applications
01:07:32sur le téléphone,
01:07:33mais j'étais déchargé de Osas
01:07:34que je vais pouvoir vous montrer
01:07:36qu'on la voit assez
01:07:37pour vous montrer
01:07:37ce que c'est aussi
01:07:38sur l'ordinateur.
01:07:40Pendant 5 minutes,
01:07:41pendant 5 minutes,
01:07:433 fois par jour,
01:07:44le matin,
01:07:45en milieu de journée,
01:07:45fin d'après-midi.
01:07:47Pourquoi ?
01:07:48Le matin,
01:07:48il faut bien démarrer.
01:07:49Allez, on bouche un petit peu
01:07:50les bâtiments.
01:07:51On est bien.
01:07:52Avant d'enlever,
01:07:54pour refaire
01:07:55le dessin de la pression
01:07:55la matinée
01:07:56et éviter tout comportement
01:07:57compulsif,
01:07:58notamment vis-à-vis
01:07:59de l'alimentation,
01:07:59puisqu'on aura
01:08:00fait le dessin de la pression,
01:08:01donc on sera
01:08:02un peu plus détendu.
01:08:03Ça ne veut pas dire
01:08:04qu'on ne va pas
01:08:04mourir son gâteau de chocolat.
01:08:06Ça veut dire
01:08:06qu'on ne va peut-être
01:08:07pas mourir
01:08:07tout le gâteau de chocolat
01:08:08ou se bourrer
01:08:09de n'importe quoi
01:08:09pendant qu'on pèse deux.
01:08:11Et ensuite,
01:08:11le soir,
01:08:12pour faire le dessin de la pression.
01:08:13Les effets sont immédiats.
01:08:15Il faut pratiquer régulièrement.
01:08:17Donc,
01:08:17trois fois par mois,
01:08:18ça fait 15 minutes par mois.
01:08:19Pour que ce soit
01:08:19réellement efficace,
01:08:20il faudrait pratiquer
01:08:21tout le temps,
01:08:22tous les jours.
01:08:23Quand quelqu'un
01:08:23qui veut courir un marathon,
01:08:25il s'entraîne tous les jours,
01:08:25pratiquement.
01:08:26Ce n'est pas
01:08:26une fois de temps en temps.
01:08:28Sauf que ça a déjà
01:08:29des effets immédiats
01:08:30dès la première séance
01:08:32parce que les effets
01:08:33ne perdurent pas longtemps.
01:08:34C'est-à-dire,
01:08:34ce n'est pas que je le fais un mois
01:08:35et que je les effets
01:08:36en prépare dans six mois.
01:08:37Si j'abandonne,
01:08:38les effets vont diminuer.
01:08:39Mais dès la première séance,
01:08:40on voit un bien fait
01:08:41et notamment,
01:08:42ce qui a été montré,
01:08:43c'est notamment
01:08:43lorsqu'on fait ça,
01:08:44diminution du cortisol.
01:08:47Déjà.
01:08:48C'est bien,
01:08:48le cortisol est diminué.
01:08:49On va augmenter
01:08:50ce qu'on fait.
01:08:52On va avoir,
01:08:53parce que là,
01:08:53c'est le cortisol
01:08:53qui décharge au départ,
01:08:54donc on va moins puiser
01:08:55son taux de cortisol
01:08:56et on va pouvoir le garder
01:08:57pour gérer les tâches
01:08:58que l'on doit faire.
01:09:00Deuxièmement,
01:09:00on va avoir quoi ?
01:09:01On va avoir
01:09:02une augmentation
01:09:02des zones cérébrales alpha.
01:09:04Alpha,
01:09:05c'est des zones
01:09:05au niveau du cerveau
01:09:07qui permettent
01:09:07l'éveil
01:09:08et une nouvelle
01:09:09de relaxation.
01:09:10C'est-à-dire,
01:09:10on est concentré,
01:09:11on est attentif,
01:09:12mais on est relaxé,
01:09:13on n'est pas stressé.
01:09:14Plus il y a d'un alpha,
01:09:17mieux vous êtes relaxé,
01:09:18plus vous êtes éveillé,
01:09:19plus vous êtes concentré.
01:09:20C'est super,
01:09:21ça les augmente.
01:09:22Ça permet aussi
01:09:22d'augmenter
01:09:24l'efficacité
01:09:25du système immunitaire.
01:09:27Ça a été prouvé
01:09:28qu'il y avait
01:09:28les immunoglobulins
01:09:29qui vont augmenter,
01:09:34c'est-à-dire
01:09:34si un,
01:09:35les immunoglobulins
01:09:36ne peuvent pas coûter
01:09:36comme il est,
01:09:37quand c'est effectivement
01:09:38dans les infections,
01:09:39etc.
01:09:40Donc voilà pourquoi
01:09:41c'est important.
01:09:42Donc,
01:09:43matin,
01:09:43nuit de journée,
01:09:44fin après-midi,
01:09:45trois fois par jour,
01:09:46les bénéfices sont
01:09:47une durée de 4 heures,
01:09:49c'est immédiat.
01:09:49Et plus vous le faites,
01:09:50vous allez le faire régulièrement,
01:09:52plus effectivement,
01:09:53vous allez en avoir
01:09:53les bénéfices
01:09:54parce que,
01:09:54évidemment,
01:09:55ça va devenir
01:09:57quelque part
01:09:57pérenne,
01:09:58ça va devenir une routine.
01:09:59Sans ça,
01:09:59ça peut devenir
01:10:00une habitude.
01:10:01C'est une routine.
01:10:0115 minutes,
01:10:02ça vous paraît beaucoup,
01:10:03mais c'est peu,
01:10:04finalement,
01:10:04parfois.
01:10:05De plus,
01:10:06lorsque vous êtes
01:10:07dans une situation
01:10:07de stress
01:10:07parce que vous êtes
01:10:08rentré face à des examens,
01:10:11soit un examen médical,
01:10:13soit un examen,
01:10:14soit un rendez-vous,
01:10:14une réunion avec votre
01:10:15N plus 1,
01:10:16ou une situation
01:10:17qui vous stresse un peu
01:10:17parce que vous avez
01:10:18un rendez-vous professionnel.
01:10:19Ça arrive.
01:10:20Vous pouvez le faire
01:10:21juste avant de rentrer,
01:10:22c'est-à-dire,
01:10:22ça va avoir des bénéfices
01:10:23en voiture.
01:10:24Moi,
01:10:25je me souviens,
01:10:26j'étais il y a dernièrement
01:10:27parce que mon médecin
01:10:29voulait regarder
01:10:31mes comptes vocales
01:10:31et il me mettait
01:10:32un truc dans le nez
01:10:33pour regarder
01:10:34la sonde vocale.
01:10:35J'aime pas du tout.
01:10:36J'aime pas du tout
01:10:37quand on me met
01:10:38un truc dans le nez
01:10:38pour regarder la sonde.
01:10:39Ça ne passe pas.
01:10:39J'ai mordu d'ailleurs.
01:10:41Et en fait,
01:10:43j'ai fait de la cohérence
01:10:44carrière.
01:10:45Justement,
01:10:45pour essayer
01:10:46de me détendre
01:10:47parce que justement,
01:10:48vous savez
01:10:48que ce n'était pas possible.
01:10:50Après,
01:10:51on peut me dire,
01:10:52vous pouvez me dire,
01:10:52mais moi,
01:10:52je n'ai pas forcément
01:10:53cinq minutes.
01:10:54Ça peut être
01:10:55de faire une ou deux minutes.
01:10:56Alors,
01:10:56même si vous n'arriverez pas
01:10:57à la cohérence cardiaque
01:10:58à propos de m'en parler,
01:11:00ça va déjà avoir
01:11:00un effet relaxant
01:11:01et vous faire descendre
01:11:02à la question.
01:11:03Pourquoi cinq minutes ?
01:11:03Parce que ça va vous permettre
01:11:05à variabilité cardiaque
01:11:06et à votre fréquence inspiratoire
01:11:08d'être
01:11:09pareil,
01:11:12d'être sur la même
01:11:12longueur d'autre,
01:11:13c'est-à-dire finalement
01:11:14d'être sur la même fréquence.
01:11:15Donc,
01:11:16d'être à l'émission.
01:11:17Et je parle bien
01:11:18de variabilité cardiaque
01:11:19et pas de fréquence cardiaque.
01:11:21La fréquence cardiaque,
01:11:22on vous prend le coup,
01:11:23vous avez 60 vatements
01:11:24par minute.
01:11:24C'est de la fréquence cardiaque.
01:11:26Sauf que
01:11:26c'est du vatement
01:11:27par minute,
01:11:27on a les 60,
01:11:28entre le premier et le deuxième.
01:11:30Il n'y a pas la même distance,
01:11:32le même nombre de millisecondes
01:11:33qu'entre le deuxième et le troisième.
01:11:34Fort heureusement pour nous.
01:11:36Sinon,
01:11:37ça serait dramatique.
01:11:37Plus la variabilité cardiaque
01:11:39est grande,
01:11:40plus vous êtes
01:11:41en bonne santé.
01:11:42Sauf qu'à un moment donné,
01:11:44c'est la machin
01:11:44et la cohérence cardiaque
01:11:46vous permet de faire
01:11:46vous remunir
01:11:47au lieu que ce soit comme ça.
01:11:50C'est en forme de base
01:11:51qui ça vous permet
01:11:52de faire vous remunir
01:11:53effectivement quelque chose
01:11:54de plus carrément
01:11:55d'avoir un canon.
01:11:55Il ne faut pas être
01:11:56tout le temps
01:11:56de cohérence cardiaque
01:11:57bien évidemment
01:11:58parce que le but
01:11:59c'est que la variabilité cardiaque
01:12:00est une normitude cardiaque.
01:12:01Ça nous montre
01:12:02que vous réagissez bien
01:12:04aux événements
01:12:04que vous vous adaptez,
01:12:05que votre cœur s'adapte.
01:12:06On parle beaucoup
01:12:07de l'axe intestin,
01:12:08c'est rond,
01:12:08mais maintenant,
01:12:09il y a l'axe
01:12:09c'est à vos cœurs
01:12:10parce qu'il y a des neurones
01:12:12au niveau du cœur,
01:12:13etc.
01:12:13On sait qu'il y a vraiment
01:12:14cet axe-là.
01:12:15Donc,
01:12:15il ne faut pas hésiter
01:12:16parce qu'elle va vous permettre
01:12:16pour défendre la pression
01:12:17et de gagner
01:12:18en plénitude.
01:12:20Et effectivement,
01:12:21même si la surface mentale
01:12:22ne fait pas du stress,
01:12:23on sait que lorsqu'on est
01:12:24à une trop grosse surface mentale,
01:12:26ça va nous conduire
01:12:26à stresser.
01:12:27Donc,
01:12:27si déjà,
01:12:28vous enlevez
01:12:29cette partie stress,
01:12:30vous allez mieux appréhender
01:12:31le travail à faire
01:12:32et la surface
01:12:32que nous vous demandons.
01:12:33La charge de travail
01:12:34par contre en vous.
01:12:37Alors là,
01:12:37je ne sais pas si on le voit,
01:12:38c'est la rosace.
01:12:39Donc,
01:12:39normalement,
01:12:42quand elle bouffe
01:12:44comme ça,
01:12:45vous inspirez,
01:12:46et ça nous permet
01:12:52de compter
01:12:52effectivement
01:12:53les 5 secondes.
01:13:00Là,
01:13:01maintenant,
01:13:02donc ça,
01:13:02c'est plutôt,
01:13:03c'était
01:13:03comment on s'est avancé
01:13:04vers l'administration intermienne
01:13:05où vous avez des tas de choses.
01:13:06Je suis ma mère,
01:13:07je fais quoi pour mes salariés ?
01:13:09On va être à l'écoute
01:13:10des différents
01:13:11précurseurs,
01:13:13d'organiser
01:13:13des échanges,
01:13:15de former,
01:13:15de sensibiliser
01:13:16ces salariés
01:13:17finalement
01:13:17à détecter
01:13:18des premiers signes.
01:13:19Si personne
01:13:20ne sait détecter
01:13:21des premiers signes,
01:13:21d'abord le manager
01:13:22ou le chef
01:13:23va détecter
01:13:24des premiers signes
01:13:24sur lui,
01:13:25mais aussi
01:13:25le former
01:13:26ces salariés
01:13:26pour leur dire
01:13:27d'être à l'écoute
01:13:28et de voir
01:13:29s'il n'y a pas
01:13:30un problème.
01:13:31De déculpabiliser
01:13:32et de renforcer
01:13:32la cohésion.
01:13:33On déculpabilise.
01:13:33Ce n'est pas
01:13:34parce qu'on est
01:13:35en super mentale
01:13:36qu'on est en son homme
01:13:37que c'était dramatique.
01:13:38Ça arrive à tout le monde.
01:13:39Il faut déculpabiliser.
01:13:42Un management positif.
01:13:43On reconnaît
01:13:44le travail bien fait.
01:13:45Il ne s'agit pas
01:13:45de l'écarité
01:13:47dans le sens du poil.
01:13:48Il s'agit de récompenser
01:13:49quand même
01:13:49le travail bien fait.
01:13:51On ne donne pas
01:13:51d'ordre contradictoire.
01:13:52Une fois A,
01:13:53une fois B,
01:13:53etc.
01:13:54On ne sait plus
01:13:54ce qu'on doit faire
01:13:55si on doit faire
01:13:55A, B, C ou B.
01:13:56À un moment donné,
01:13:57c'est l'axe super mentale.
01:13:58C'est un or
01:13:59point bas.
01:14:00On fait attention
01:14:01à la sorte de travail.
01:14:03On les associe
01:14:04pour les décisions
01:14:05et on évite
01:14:06d'envoyer des mails
01:14:07en dehors
01:14:07des heures du bureau.
01:14:08Si on le fait,
01:14:09ça peut arriver.
01:14:10Moi, je fais souvent
01:14:11ça m'arrive de le faire
01:14:12à mes étudiants,
01:14:13etc.
01:14:13ou à d'autres personnes.
01:14:14Mais,
01:14:15parce que c'est
01:14:16à ce moment-là
01:14:16du travail,
01:14:17ça dépend
01:14:17quel est le travail.
01:14:18On peut avoir
01:14:18une trace de désir.
01:14:20Effectivement,
01:14:21en fait,
01:14:21pour expliquer à la personne
01:14:22que ce n'est pas
01:14:23parce qu'ils reçoivent
01:14:23le mail à 23h
01:14:25qu'il faut qu'ils répondent
01:14:26à 23h.
01:14:27C'est juste que vous,
01:14:27vous êtes en train
01:14:28de travailler
01:14:28à cette heure-là
01:14:29et que vous n'avez
01:14:30pas le temps
01:14:30d'envoyer avant.
01:14:34On insère
01:14:35des pauses régulières.
01:14:37On fait des formations
01:14:38par les professionnels.
01:14:39On demande
01:14:39à des professionnels
01:14:40de venir former
01:14:41les gens
01:14:41à l'alimentation,
01:14:42à l'activité physique,
01:14:43à la gestion du stress
01:14:44pour effectivement
01:14:45les formes
01:14:46et leur apprendre
01:14:47aux salariés
01:14:48à mieux appréhender
01:14:49ces problèmes
01:14:49de gestion du stress.
01:14:53L'activité physique,
01:14:55puisque vous avez dit
01:14:55que c'était bien,
01:14:56on peut très bien
01:14:57soit mettre
01:14:58une salle de sport
01:14:59dans l'entreprise
01:14:59et c'est grande,
01:15:01soit éventuellement
01:15:02faire venir
01:15:02quelqu'un soit
01:15:03l'entreprise
01:15:03qui pourrait
01:15:04évidemment dispenser
01:15:05un trou de sport
01:15:06ou alors
01:15:07essayer d'avoir
01:15:08effectivement
01:15:09des coopérations
01:15:10finalement
01:15:11avec un abonnement
01:15:13en salle de sport
01:15:14à tarif réduit
01:15:15pour les employés
01:15:16de l'entreprise.
01:15:17Pourquoi pas ?
01:15:18Pour inciter les gens
01:15:19d'un activité physique.
01:15:20Pareil pour l'alimentation,
01:15:22on peut qu'il y ait
01:15:22une cantine,
01:15:23on peut proposer
01:15:24des plats
01:15:25qui sont obligatoires
01:15:26avec une alimentation
01:15:27saine et équilibrée
01:15:28qui donne tout
01:15:29ce que dans le cerveau
01:15:30à besoin pour bien fonctionner.
01:15:31Et là,
01:15:32à ce moment-là,
01:15:32on s'appelle
01:15:32une ététicienne nutritionniste
01:15:34qui peut construire
01:15:34des menus
01:15:35qui va permettre
01:15:36effectivement,
01:15:37au lieu qu'il y ait
01:15:38que steak frites,
01:15:39pizza et des choses
01:15:40comme ça,
01:15:41donner une alimentation
01:15:43saine
01:15:43qui va permettre
01:15:44effectivement
01:15:44de dire,
01:15:45voilà,
01:15:45il y a tout ce qu'il faut
01:15:46pour que le cerveau
01:15:47fonctionne bien
01:15:47et pour guérir le stress
01:15:48et augmenter
01:15:50et booster son cerveau.
01:15:50Merci pour votre écoute active.
01:15:57Est-ce que vous avez des questions ?
01:15:58Merci à votre écoute.
01:15:59Et là,
01:15:59c'était toute la vidéo
01:16:00qui m'a servi
01:16:01évidemment
01:16:02à faire le...
01:16:04Le travail.
01:16:12N'hésitez pas
01:16:13si vous avez des questions.
01:16:15On n'a pas demandé
01:16:17les émotions
01:16:18si on pouvait.
01:16:19Ah, vous pouvez.
01:16:21Ah, pour du temps-là.
01:16:27Ah, alors,
01:16:28je vous laisse un peu
01:16:28et là,
01:16:30je vais vous donner
01:16:31ma carte
01:16:31que vous en verrez.
01:16:34Est-ce qu'il y a des questions ?
01:16:42Quand certaines personnes
01:16:42avaient des comportements
01:16:43à risque
01:16:44type alcool,
01:16:46ça vient par
01:16:47on va dire
01:16:49de chaque titre
01:16:51que vous avez
01:16:51sur la nourriture
01:16:52du cerveau.
01:16:54Oui,
01:16:54alors effectivement,
01:16:55quand il y a des addictions
01:16:56au niveau d'alcool,
01:16:57c'est vrai que malheureusement,
01:16:58les personnes
01:16:58qui sont alcoolodépendantes
01:16:59vont avoir des problèmes
01:17:00notamment de manque
01:17:01de vitamine B1
01:17:02qui sont à pétail
01:17:03et c'est pour ça
01:17:03généralement
01:17:04on les supplémente
01:17:04en vitamine B1
01:17:05quand vraiment
01:17:06l'alcoolisme
01:17:06est très important.
01:17:08Et très important.
01:17:11Mais effectivement,
01:17:12l'alcool modifie
01:17:13les comportements
01:17:14alimentaires
01:17:15avec certainement
01:17:16une consommation
01:17:16d'aliments
01:17:17parfois,
01:17:18soit ils ne se nourrissent plus
01:17:19parce qu'ils ne pensent
01:17:20qu'à l'alcool
01:17:20et ils ont plus faim,
01:17:21soit l'alimentation
01:17:22très riche en graisse
01:17:23et en sucre.
01:17:23c'est un petit peu
01:17:25de problème.
01:17:25C'est-à-dire qu'en fait,
01:17:26ils vont avoir
01:17:27une alimentation
01:17:27qui ne vaut plus
01:17:29effectivement
01:17:29pour apprendre
01:17:30le bonheur
01:17:30et c'est-à-dire qu'il y a
01:17:31aussi un problème
01:17:32de dénutrition
01:17:32de ces personnes-là
01:17:33avec un manque
01:17:34de vitamine,
01:17:35un manque de protéines
01:17:36où forcément,
01:17:37il va y avoir
01:17:38des conséquences
01:17:39et que si on ne les
01:17:39supplémente pas,
01:17:40ils manquent de quelque chose
01:17:41qui la peut conduire
01:17:42à la limite.
01:17:44Et du coup,
01:17:45ils récupèrent moins bien
01:17:46quand ils sont en charge
01:17:48de l'antale,
01:17:48ils récupèrent moins bien.
01:17:50Ah ben en fait,
01:17:50forcément.
01:17:51C'est-à-dire que déjà,
01:17:52si ce sont des députations
01:17:53qui vont faire un nutriment
01:17:54qui n'ont pas,
01:17:55si ils ont besoin
01:17:56pour fonctionner correctement,
01:17:57si on leur a un peu
01:17:58encore un tour sur la tête,
01:18:00entre guillemets,
01:18:00ça va être beaucoup
01:18:01plus difficile pour eux
01:18:02d'être récupérer.
01:18:03C'est certain.
01:18:08Je ne parle pas
01:18:08qu'est-ce qui est le GABA ?
01:18:10Le GABA,
01:18:11c'est un neurotransmetteur
01:18:12qui est impliqué
01:18:12justement dans la relaxation
01:18:13et la gestion du stress.
01:18:14Quand on a du GABA,
01:18:16c'est un peu
01:18:16le neurotransmetteur
01:18:17sédatif de l'organisme,
01:18:18du cerveau.
01:18:19Ce qui permet,
01:18:20en fait,
01:18:20le cerveau est sollicité,
01:18:22stimulé, hyperactif.
01:18:24Donc, il y a une simulation
01:18:25d'hyperactilité cérébrale
01:18:26et ce qui va permettre
01:18:27de faire diminuer
01:18:28l'actilité cérébrale,
01:18:29c'est le GABA.
01:18:30Si on n'a pas
01:18:30cette GABA,
01:18:31on peut devenir
01:18:32épileptique,
01:18:32épileptique,
01:18:33ou comme on ne peut
01:18:34à quoi qu'on parle.
01:18:35C'est pas que ça.
01:18:36Une épileptie
01:18:37allait avoir
01:18:37une hyperactilité
01:18:38de l'actilité cérébrale
01:18:39et donc, de fait,
01:18:41c'est le GABA
01:18:41qui a pas mal
01:18:42de diminuer
01:18:42l'actilité cérébrale.
01:18:47Est-ce qu'il y a
01:18:48encore des questions ?
01:18:49Oui, il y a une question.
01:18:50Il y a une question.
01:18:52C'est que je pense
01:18:53qu'il y a des gens
01:18:53qui ne sont pas
01:18:54plus consciencieux
01:18:58et qui ne sont pas
01:19:07avec les autres.
01:19:13Alors,
01:19:14effectivement,
01:19:14il n'y a pas
01:19:16de professeur type
01:19:17qui en sentent,
01:19:18il n'y a pas
01:19:18de professeur type,
01:19:19il n'y a pas
01:19:19de professeur type
01:19:20particulier
01:19:20qui mène au Bernard.
01:19:22En revanche,
01:19:23effectivement,
01:19:23quelqu'un qui a
01:19:24un bon coup
01:19:25qui s'en fout
01:19:25et qui s'oublie
01:19:26avant le travail
01:19:27il doit bien
01:19:27pour le faire
01:19:27et qui s'en fout
01:19:28et qui n'est pas
01:19:29oublié
01:19:29et qui va probablement
01:19:30parce qu'il est dans la route
01:19:31parce qu'il va.
01:19:32En fait,
01:19:33il y a aussi problème.
01:19:35Généralement,
01:19:36là,
01:19:36les personnes
01:19:37de ce genre
01:19:37de personnes
01:19:38malheureusement,
01:19:39vraiment,
01:19:40elles peuvent se faire
01:19:40vivre leur emploi.
01:19:41C'est-à-dire que
01:19:42si elles ne font pas
01:19:42un travail qui m'a fait
01:19:43tout n'importe comment
01:19:45sera,
01:19:46ça dépend
01:19:47dans quel...
01:19:48en étant médecin,
01:19:50en étant médecin,
01:19:54en étant médecin,
01:19:54en étant médecin libéral,
01:20:01effectivement,
01:20:01on ne va pas se guérir tout seul.
01:20:02Le médecin ne va pas se guérir tout seul.
01:20:04Mais effectivement,
01:20:05il a besoin de patient
01:20:05parce qu'il n'est pas
01:20:06consciencieux
01:20:06avec ses patients.
01:20:07Moi, j'ai eu des médecins
01:20:08qui n'ont pas été
01:20:08consciencieux avec moi,
01:20:09qui me trouvent
01:20:10et qui n'étaient pas
01:20:11assez d'écoute,
01:20:11je suis partie
01:20:12chez quelqu'un d'autre.
01:20:12à un moment donné,
01:20:13j'ai plutôt ça.
01:20:17Mais effectivement,
01:20:19c'est plutôt
01:20:20les personnes qui travaillent
01:20:21qui sont,
01:20:21comme tout le monde,
01:20:22tout le monde peut être
01:20:23entre soi-même.
01:20:24Après,
01:20:24ceux qui sont tous
01:20:25qui sont tous à la légère
01:20:26et qui sont
01:20:27complètement foutus,
01:20:28c'est effectivement
01:20:28la force et non.
01:20:30Eux,
01:20:30c'est pas rien.
01:20:32Il y a tout ce problème-là.
01:20:34Oui,
01:20:35quelque part,
01:20:36c'est moins de problèmes.
01:20:38C'est un peu ça.
01:20:38mais généralement,
01:20:42ça touche comme
01:20:44un toucher du monde,
01:20:44même ceux qui ne sont pas
01:20:45ultra consciencieux
01:20:46parce qu'on leur demande
01:20:47de travailler
01:20:48n'importe quelle personne
01:20:50qui a un travail
01:20:52parce qu'elles ont demandé
01:20:55au moment où
01:20:55elles ont besoin de gérer
01:20:56entre ça,
01:20:57etc.
01:20:59Et le burn-out
01:21:00en prenne la dépression ?
01:21:02Le burn-out,
01:21:03généralement,
01:21:03en prenne la dépression.
01:21:04Même si ce n'est pas
01:21:05tout à fait la même chose,
01:21:06mais effectivement,
01:21:07on n'est pas bien.
01:21:07Ça va être
01:21:08parce qu'il y a
01:21:09beaucoup de retransmetteurs
01:21:10communs qui sont touchés.
01:21:11Donc forcément,
01:21:11on va avoir
01:21:11les mêmes symptômes.
01:21:13Il n'y a pas.
01:21:15Et on se remet toujours
01:21:16dans le burn-out ?
01:21:18Si c'est bien géré
01:21:20et traité, oui.
01:21:21Après,
01:21:21ça peut être
01:21:22plus ou moins difficile
01:21:22si le burn-out
01:21:23est plus ou moins important.
01:21:25Ça peut être aussi
01:21:25nous conduire
01:21:26à changer d'emploi.
01:21:27C'est-à-dire,
01:21:27souvent,
01:21:28ça peut être
01:21:28je ne peux plus retourner
01:21:29là au VT,
01:21:29ça ne va plus.
01:21:30Je ne peux plus,
01:21:31je ne peux plus,
01:21:31je suis complètement aversive
01:21:33à ce que je faisais.
01:21:34Donc,
01:21:34on change d'emploi
01:21:35ou on prend un truc
01:21:35un peu plus calme
01:21:36parce qu'on ne peut plus.
01:21:37Après,
01:21:38il y a des personnes
01:21:39qui peuvent
01:21:39ne pas en venir
01:21:41entre guillemets
01:21:42parce que ça a été
01:21:43trop important
01:21:45et qu'elles sont détruites
01:21:49quelque part.
01:21:50Mais ça peut être
01:21:50le cas pour une démonition,
01:21:51ça peut être le cas
01:21:51pour une beaucoup
01:21:52de choses.
01:21:53Mais effectivement,
01:21:53moi,
01:21:54j'ai fait un burn-out
01:21:55parce que je suis
01:21:56au directrice
01:21:57de Bradford Stadis
01:21:58dans une université
01:21:59en Belgique
01:21:59avec un patron
01:22:01qui est venu
01:22:02de l'Union
01:22:03parce que je travaille
01:22:04une fois
01:22:05avec la 10e année
01:22:06et il y a eu
01:22:06un nouveau directeur
01:22:07qui ne faisait
01:22:08que des bruits
01:22:10de mailles
01:22:10aux femmes
01:22:11et vraiment terrible
01:22:14et j'ai senti
01:22:16que ce que je faisais
01:22:19n'était jamais bien
01:22:20et qu'on trafait le travail.
01:22:22Il m'a vraiment
01:22:23comme ça
01:22:24et puis un mardi,
01:22:26je pense que
01:22:26il m'a dit,
01:22:27il m'a convoqué
01:22:28deux heures
01:22:29dans son bureau
01:22:30à me dire
01:22:30comment j'étais nue.
01:22:32Je suis partie
01:22:33à moitié
01:22:33et je suis revenue
01:22:35dans le bureau
01:22:36normal
01:22:36pour m'occuper
01:22:37des étudiants
01:22:37et le vendredi matin
01:22:39je ne pouvais plus
01:22:42mettre mon pied
01:22:42par terre.
01:22:44Mon corps
01:22:44il a lâché
01:22:45je ne pouvais plus
01:22:47dans ça.
01:22:48C'était fini.
01:22:49Je pouvais plus
01:22:49j'avais mon frère
01:22:50pour qu'il me mène
01:22:52à me lever
01:22:52et donc ça
01:22:54j'ai connu ça
01:22:54et après vous avez
01:22:55l'impression
01:22:55c'est quand même
01:22:56la létression
01:22:57et finalement
01:22:58je me suis sortie
01:22:59en portant plainte
01:23:01contre lui
01:23:01et en allant
01:23:02au Prud'homme.
01:23:03J'ai été la seule
01:23:04d'ailleurs
01:23:05parce que
01:23:05dans ce métro
01:23:06où il se fait ça
01:23:07il n'y a plus personne
01:23:08pour me
01:23:09pour m'occuper.
01:23:10Et ça je l'ai vu
01:23:11parce que les autres
01:23:12souvent femmes
01:23:13il s'appelait
01:23:14beaucoup de femmes
01:23:15les autres
01:23:17finalement
01:23:17elles ont négocié
01:23:19des chèques
01:23:20pour partir
01:23:21et j'ai été la seule
01:23:23à porter plainte
01:23:24et à remercier
01:23:25finalement
01:23:25un système
01:23:26c'est une université américaine
01:23:27New York université
01:23:28une université prestigieuse
01:23:31mais
01:23:31qui traitait
01:23:33ces confessions
01:23:34plus comme ça
01:23:35et j'ai reversé
01:23:36le pied
01:23:37à voir qu'on est
01:23:37plus d'hommes
01:23:38où j'ai dit
01:23:41j'ai gagné
01:23:42peu d'argent
01:23:43mais après
01:23:44j'ai plus
01:23:44j'avais
01:23:44en idée
01:23:45c'est pas une question
01:23:45de l'argent
01:23:46c'est une question
01:23:46d'attendre
01:23:47mais c'est comme quoi
01:23:48il y a eu
01:23:48un problème
01:23:48c'est tout ça
01:23:49le plus important
01:23:50mais c'est vrai
01:23:51que ça peut aller
01:23:51juste là
01:23:52pour pouvoir se lever
01:23:53physiquement
01:23:54il n'y a rien
01:23:54et il faudrait
01:23:55à bien en trouver
01:23:56pour justement
01:23:57trouver une solution
01:23:58pour dire
01:23:58ça y est
01:23:59je mets un point
01:24:00interne
01:24:00parce que
01:24:01je vais jusqu'au bout
01:24:02et j'attaque
01:24:02mais
01:24:03beaucoup s'en remettent
01:24:05mais c'est vrai
01:24:06que beaucoup
01:24:06font un emploi
01:24:07mais pas forcément
01:24:11d'emploi
01:24:11dans le même domaine
01:24:12oui je suis partie
01:24:14bien sûr
01:24:15je ne pouvais même plus
01:24:16je ne me prépare pas
01:24:18que j'avais ce truc
01:24:19là aussi
01:24:20mais je suis partie
01:24:21je suis un peu plus
01:24:25je suis un peu plus
01:24:26je suis un peu plus
01:24:27je suis un peu plus
01:24:27pour voir si tu vas
01:24:30Merci.
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