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Transcription
00:00Et la conséquence de cela, c'est qu'on a aujourd'hui des députés qui, je considère, moi, je vous le dis, comme Rima Hassan, être des Français de papier.
00:07Voilà, c'est des gens, ils ont la carte d'identité française.
00:09De papier ?
00:09Oui, de papier.
00:10Ça va faire beaucoup réagir. Pourquoi cette expression ?
00:12Très simplement, parce que je pense que ces gens...
00:15Leur nationalité, leur citoyenneté.
00:16La démonstration qu'aujourd'hui, nous avons une politique de naturalisation, d'obtention de la nationalité,
00:21beaucoup trop laxiste, trop peu exigeante, puisque des gens comme M. Delogui ou Mme Rima Hassan l'ont obtenue.
00:26Pour en faire quoi ? C'est-à-dire pour aller faire l'apologie de régimes qui, aujourd'hui, ne crachent pas de bons Français à vos yeux.
00:32Excusez-moi, je ne sais pas ce qu'est aujourd'hui de Français Rima Hassan, à part la carte d'identité,
00:36quand je la vois à mes côtés au Parlement européen, parce que vous savez qu'elle est députée européenne aujourd'hui.
00:41Depuis un an, j'ai regardé l'ensemble de ses interventions.
00:44Elle n'a pas parlé une seule fois d'autre chose que du sujet du conflit israélo-palestinien.
00:50Qui n'est pas illégitime, par ailleurs ?
00:51Pas autre chose, pas une seule fois.
00:53Elle n'a pas pris la parole une seule fois pour parler des intérêts et de la défense des Français.
00:57La seule fois, d'ailleurs, où elle a pris la parole, c'est en effet sur la femme Boile Nsansal pour cracher sur la France.
01:02Donc oui, je suis désolée de vous le dire qu'aujourd'hui, je ne comprends pas comment cette femme a pu obtenir la nationalité.
01:06Je ne comprends pas comment elle peut encore, d'ailleurs, la conserver sans en être déchue, alors qu'elle fait l'apologie du terrorisme.
01:11Déchoir de sa nationalité, Rima Hassan, ce qui est techniquement impossible.
01:15Ce qui est malheureusement, aujourd'hui, impossible depuis quelques mois seulement,
01:17qui aurait peut-être été possible il y a encore quelques mois, parce que nous avons là encore une loi qui est trop restrictive.
01:22Mais oui, c'est la démonstration, et M. Delogu en est aussi l'exemple,
01:25que nous avons eu une fabrication industrielle, oui, de français de papier, qui aujourd'hui se retourne contre nous.
01:30Et français de papier, ça veut dire aussi, Marie-Homme, on va commencer à faire le tri entre certains Français
01:34pour savoir qui mérite ou pas la nationalité, jusqu'où peut-on aller dans ce cas.
01:37Non, la loi et la loi. Il ne s'agit pas ensuite de faire une différence face à la loi.
01:41Mais indéniablement, il faut poser un diagnostic.
01:43On voit bien aujourd'hui qu'on a fabriqué, une fois de plus, de manière industrielle,
01:47des gens qui ne se reconnaissent pas dans ce qu'est la France,
01:49qui n'aiment pas la France, qui ne veulent pas défendre les intérêts de la France,
01:52jusqu'à parfois se faire élire pour utiliser ce mandat contre elle.
01:55Donc oui, l'objectif étant derrière de ne pas recommencer cette erreur
01:58et de limiter évidemment l'obtention de la nationalité.
02:01Il aime la France, il parle au seul droit du sang.
02:05Ou la naturalisation.

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