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Pascal Praud - Laurent Nunez nie les violences urbaines lors de la victoire du PSG en Ligue des champions : «Il n’y a pas eu de chaos sécuritaire»
Europe 1
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11/06/2025
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News
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00:00
30 au soir, abonné à la page 13h, Pascal Praud sur Europe 1.
00:04
Merci Sarah, c'était un plaisir.
00:05
Ah je pars.
00:06
Ah bah je pars, le vol de nuit s'en va, vous connaissez cette chanson de Nicolas Perrac ?
00:11
Non.
00:11
Je pars, ton ton ton ton, le vol de nuit s'en va, ton ton ton ton, et la nuit de Lila, vous connaissez pas ?
00:20
Non, mais on peut peut-être la mettre.
00:21
Bon, le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, a affirmé hier soir à l'Assemblée
00:25
qu'il n'y avait pas eu de grave dysfonctionnement dans le dispositif de sécurité mis en place pour la finale de l'Aïe des champions.
00:31
Ce n'était pas un fiasco sécurité, on ne peut pas dire des choses comme ça.
00:35
Il a d'ailleurs sans doute raison, monsieur Nunez, même s'il y a eu les débordements qu'on connaît.
00:40
Écoutez ce qu'il disait hier à l'Assemblée nationale.
00:44
Les incidents ont été très sectorisés.
00:47
Donc il y a l'effet image, l'effet chaîne d'information continue, vidéo,
00:51
qui donne l'impression, en tout cas pour ceux qui veulent le voir,
00:56
une impression d'absence de maîtrise de la situation.
00:59
Ça n'est pas le cas.
01:00
Voilà, ce soir-là, on a eu deux véhicules brûlés
01:02
qui ont tourné en boucle sur les chaînes d'information continue.
01:06
Laurent Nunez, préfet de police, toujours hier soir à l'Assemblée nationale en audition.
01:13
Écoutez ce qu'il dit sur le profil des jeunes.
01:15
L'essentiel du profil, l'essentiel des profils, c'est plutôt des jeunes des quartiers,
01:21
de petites et grandes couronnes.
01:22
On est plutôt sur ce profil.
01:24
On a quand même commencé à étudier le profil, notamment des personnes
01:29
qui ont été placées en garde à vue.
01:32
On a un tiers de mineurs, un tiers de mineurs.
01:35
Et pour 70% d'entre eux, ils proviennent de la petite ou de la grande couronne, essentiellement.
01:40
Contrairement à ce que j'ai pu lire ou entendre,
01:44
on n'a pas l'échantillon complet encore de l'ensemble des personnes gardées à vue.
01:47
Mais moi, j'ai un petit échantillon qu'on a regardé autour de 160 personnes gardées à vue sur Paris.
01:53
Pas loin de 130 sont déjà connues des services.
01:56
On n'est pas sur du primo délinquant.
01:58
Et puis Laurent Nunez s'est exprimé également ce matin.
02:01
Il était avec Sonia Mabrouk sur CNews et sur Europe 1.
02:05
Quand on voit des forces en mobilité comme on leur demande,
02:07
quand on voit des forces interpellées,
02:08
il est parfois présenté sur les réseaux sociaux et sur certaines chaînes d'informations.
02:12
Mais ce que je respecte comme étant un chaos sécuritaire.
02:15
Non, ce sont des forces de police qui travaillent et qui interpellent.
02:17
Comment vous qualifiez en un mot ce qui s'est passé ?
02:19
Vous avez souvent dit pas un échec, pas une réussite.
02:22
Ce sont des violences urbaines.
02:23
Nous avions un dispositif costaud qui les a contenues.
02:26
Et on a évité des pillages et des dégradations bien pires.
02:29
Quand on a vu ces violences hybridées,
02:31
y compris à l'égard des forces de l'ordre,
02:34
c'est contenu, c'est maîtrisé.
02:35
Mais les violences hybridées, elles ont une réponse systématique.
02:38
A 12h37 sur Europe 1, nous sommes avec Max.
02:41
Bonjour Max.
02:43
Bonjour.
02:44
Et merci Max.
02:45
Vous nous appelez d'où ?
02:47
De Moselle.
02:48
De Moselle.
02:50
Et vous souhaitiez réagir évidemment sur le drame,
02:54
hier en Haute-Marne,
02:56
et la mort de Mélanie.
02:58
Oui, c'est dramatique parce que déjà en plus,
03:04
il y a même un nom connu,
03:05
c'est tout près de Goncourt,
03:06
d'un village qui a donné son nom au prix Goncourt,
03:09
donc des gens qui étaient des écrivains.
03:11
Et aujourd'hui, la civilisation dans laquelle on est,
03:13
c'est tout à fait la même.
03:14
Si vous voulez, il y a 60 ans,
03:15
et vous le savez très bien,
03:17
quand un élève rentrait chez lui
03:18
et qu'il avait pris une claque de l'incisiteur,
03:21
il en prenait une deuxième.
03:22
Aujourd'hui, les parents vont avec l'enfant
03:25
pour aller tabasser l'enseignant.
03:27
Je crois que, et en plus,
03:28
pourtant je suis passionné de football et vous aussi,
03:31
vous savez, une société dans laquelle
03:32
c'est pas même une circe inceste, c'est à Rome,
03:34
c'est Lupin et des Jeux, c'est la décadence de Rome.
03:37
Je crois que malheureusement on y est
03:38
et que le président de la République,
03:40
lui, a un peu déconnecté
03:41
parce que parler des petits phénomènes,
03:43
vous le savez aussi bien que moi,
03:44
et vous en parlez à longueur de journée,
03:46
c'est très sympathique.
03:47
On ne peut que vous féliciter tout le groupe Bolloré,
03:50
même s'il est fortement critiqué,
03:52
parce qu'il n'y a que vous qui dites la vérité.
03:55
Le reste, tout le groupe Radio France,
03:57
on peut peut-être l'appeler la propagande Starfall,
03:59
ça serait peut-être plus juste.
04:00
Bon, là je modère,
04:01
je retire ce que vous venez de dire
04:03
pour nos amis de Radio France,
04:05
parce que le modérateur que je suis,
04:07
effectivement, pourrait trouver
04:08
que c'est insultant pour Radio France.
04:11
Alors le mot propagande...
04:12
Attendez, attendez, attendez, attendez.
04:14
Je vous en prie.
04:15
Quand on donne la parole
04:16
à des gens qui en permanence
04:18
critiquent Israël,
04:20
disent ce qu'ils veulent faire,
04:21
d'ailleurs vous le dénoncez vous-même,
04:23
dites que c'est un génocide,
04:24
vous le savez très bien,
04:25
vous l'avez dit,
04:26
la patronne de Radio France,
04:27
elle s'appelle Madame Sibylle Veil,
04:30
son mari,
04:31
c'est le petit-fils de Simone Veil.
04:32
Vous ne croyez pas
04:33
que la grand-mère
04:34
doit se retourner dans sa tombe ?
04:35
Bon, je vous propose également
04:37
de ne pas cibler personnellement,
04:41
peut-être, en tout cas,
04:42
pas de cette manière-là.
04:44
On peut attaquer Madame Sibylle Veil
04:46
sur l'éditorial qu'elle propose
04:48
sur Radio France,
04:50
ça m'est arrivé de le faire,
04:51
mais laissons Simone Veil
04:53
là où elle est.
04:54
Je pense qu'elle n'a pas
04:56
entré dans la discussion.
04:57
Donc je me permets de faire
04:58
ce travail de modérateur
05:00
sur ce deuxième sujet,
05:02
cher Max.
05:03
Bon, mais au-delà
05:05
de cet aspect, effectivement,
05:08
des médias,
05:08
puisque c'est à la fois lié,
05:10
puisque le Président de la République
05:11
hier a regretté
05:13
que les médias,
05:15
comme si les médias
05:16
étaient responsables
05:17
de l'actualité en France,
05:18
vous, votre sentiment personnel,
05:20
est-ce que vous,
05:21
dans la vie de tous les jours,
05:22
vous trouvez que la société
05:23
est plus violente
05:24
qu'elle ne l'était
05:25
il y a 15 ans, 20 ans,
05:26
pour vous ?
05:26
Est-ce que vous avez des exemples ?
05:27
Par exemple,
05:28
est-ce que vous avez été agressé
05:29
ces dernières années ?
05:30
Non, non, mais quand vous voyez
05:31
ce qui se passe,
05:32
la manière dont les gens
05:33
conduisent dans la rue,
05:34
n'ont aucun respect, etc.
05:36
Je donne un exemple,
05:37
et ça, c'est un autre exemple.
05:38
Vous allez au feu rouge,
05:40
les gars, ils balancent
05:40
leurs cigarettes,
05:41
comme s'ils ne pouvaient pas
05:42
mettre un sachet
05:43
dans leur voiture
05:44
et puis mettre
05:45
la cigarette dedans.
05:46
Il n'y a plus aucun respect.
05:48
Mais vous trouvez que ça,
05:50
c'est que, par exemple,
05:52
le civisme
05:53
était plus
05:54
plus partagé,
05:57
je dirais,
05:58
il y a 50 ans ?
06:00
Ah ben, ça me paraît,
06:01
ça me paraît,
06:02
et vous le dénoncez fortement.
06:03
Quand vous dites que,
06:04
comment dirait,
06:04
la société dans la...
06:05
Est-ce que vous croyez
06:06
qu'à 60 ans,
06:07
les élèves seraient venus
06:08
avec un couteau en classe ?
06:10
Non, mais moi,
06:10
je partage sur beaucoup de points
06:12
votre avis.
06:12
Vous avez quel âge, Max ?
06:14
75 ans.
06:15
Bon, ça, c'est intéressant.
06:18
Vous vous souvenez
06:18
de l'école primaire ?
06:20
Ah, totalement.
06:21
Oh ben, vous pensez.
06:22
Donc, 75 ans,
06:23
vous êtes de 48, 49 ?
06:26
Oui, c'est ça.
06:27
49, c'est la promotion
06:29
du président du Sénat.
06:31
Donc, vous êtes de 49,
06:33
donc vous aviez 10 ans en 59.
06:35
Oui, c'est ça.
06:36
Vous étiez dans une école
06:37
de Moselle en 59 ?
06:39
Non, j'étais dans les Vosges,
06:40
mais c'est pas important.
06:41
Bon, et alors,
06:43
est-ce que, par exemple,
06:44
vous avez été frappé
06:45
durant votre scolarité ?
06:48
Jamais.
06:48
Jamais, attendez.
06:50
Convenez que c'est bien,
06:51
quand même,
06:51
qu'il y ait quelques progrès.
06:53
On ne frappe pas un enfant,
06:54
on ne frappe pas un élève.
06:56
Ah non, mais attendez,
06:57
c'était quand même...
06:58
Les gens n'en sont pas morts.
07:01
Non, mais qu'ils n'en soient pas morts,
07:03
mais on sait aujourd'hui
07:04
que ce n'est pas une bonne manière
07:05
d'éducation
07:06
de donner des claques,
07:07
de frapper,
07:08
parce que la violence
07:09
amène la violence.
07:10
Est-ce que vous croyez
07:11
que l'éducation actuelle,
07:12
elle est bonne ?
07:13
Ben, ça dépend.
07:14
Elle peut parfois...
07:16
Un enfant doit être cadré.
07:17
Voilà.
07:18
Mais tu n'es pas obligé
07:18
de le frapper
07:19
pour qu'il soit cadré.
07:21
Pardonnez-moi.
07:22
Juste une petite explication
07:24
en plus
07:25
par rapport
07:25
à l'éducation.
07:27
En 1963,
07:28
j'ai passé mon bac
07:29
passant,
07:30
parce que ce n'est pas
07:30
tout à fait juste
07:31
ce que je vous ai dit l'année,
07:33
mais ça n'est pas important.
07:34
Il n'y avait pas eu
07:34
une mention très bien
07:35
dans toute l'académie
07:36
de Nancy-Messe.
07:37
Aujourd'hui,
07:37
je vous laisse résumer
07:38
de ce qui s'y passe.
07:40
Vous croyez
07:40
qu'on a fait des progrès ?
07:41
Ah non, mais on a amené...
07:43
Là, c'est-à-dire que l'idée
07:44
d'hierarchie,
07:44
de compétition
07:45
et de sanction
07:46
n'existe plus.
07:46
C'est ce que je vous ai dit.
07:47
On a créé une société
07:48
sans sanction
07:49
et sans obligation.
07:50
Et effectivement,
07:51
vous faites bien de le dire.
07:52
Alors, comme il reste
07:53
quelques minutes,
07:53
je voulais que Rock...
07:54
Je vous en prie.
07:55
Je vous en prie.
07:56
Il y avait...
07:57
Max.
07:58
D'ailleurs,
07:58
il est dans Primozib.
07:59
Max, la menace.
07:59
Il était un résistant politique
08:01
des Vosges.
08:02
Il disait
08:02
c'est l'exemplarité
08:04
qui conduit à l'autorité.
08:05
Mais il a...
08:06
Oui, il n'a pas tort.
08:08
Max.
08:08
Moi, j'aime bien le prénom Max.
08:11
Voilà.
08:11
C'est Maxime
08:13
ou c'est Max,
08:13
votre prénom ?
08:15
Comment ?
08:15
C'est Maxime
08:16
ou c'est Max,
08:17
votre prénom ?
08:17
Max, Max, Max.
08:19
Max, c'est bien.
08:20
C'est bien, Max.
08:21
Max, vous vous souvenez
08:21
de Max, la menace ?
08:23
Mais évidemment...
08:24
Max, la menace,
08:25
c'était un...
08:26
Il y avait aussi
08:26
un monsieur
08:28
qui était sur RTL
08:29
qui s'appelait Zappimax.
08:31
Zappimax, bien évidemment.
08:33
Zappimax, je crois
08:34
qu'il faisait...
08:35
Zappimax,
08:36
il faisait quoi ?
08:37
Zappimax, le...
08:38
Ça va bouillir.
08:40
Ça va bouillir.
08:40
Ça va bouillir
08:41
et puis il faisait également
08:42
quitte ou double,
08:44
je crois.
08:44
Quitte ou double,
08:44
il me semble.
08:45
Tout à fait.
08:46
Quitte ou double !
08:48
Oui, et il y avait Zappimax,
08:49
il y avait le professeur
08:50
von Schwarzenberg.
08:52
Bien sûr,
08:52
il y avait Max Favalelier
08:53
également qui était là
08:55
et puis il est libre, Max.
08:56
Mais ça,
08:56
on doit vous le faire...
08:58
Ça nous donne un peu
09:01
de légèreté
09:01
dans des émissions
09:02
qui a souvent été rugueuses.
09:04
Bon, merci Max.
09:05
Je peux que vous remerciez
09:06
de m'avoir donné la parole.
09:07
Je vous en prie,
09:08
Max, la menace.
09:08
C'est très sympathie.
09:10
Ben, c'est gentil Max.
09:11
Qu'est-ce que vous allez faire
09:12
aujourd'hui ?
09:13
Ben, je vais essayer
09:14
d'aller peut-être marcher
09:15
avec un club.
09:16
Un club ?
09:17
Un club de quoi ?
09:19
Un club de golf ?
09:20
Un club de marche ?
09:21
Un club de marche ?
09:22
Il y a des clubs de marche ?
09:23
Oui.
09:23
Oui, de randonnée, bien sûr.
09:24
Un club de marche.
09:25
Ah !
09:26
Je ne savais pas
09:27
que le club de marche...
09:28
C'est un club de marche.
09:29
Un club de vaugien,
09:30
ça s'appelle.
09:30
Pardon ?
09:32
Le club vaugien.
09:33
Ah, ça m'émerre.
09:35
Comment ?
09:36
Le vaugien,
09:37
ah, ça m'émerre,
09:37
bien évidemment.
09:38
Non, mais c'est une blague, Max.
09:40
Bon, je vous embrasse, Max.
09:41
Elle ne marche pas avec tout le monde.
09:42
Elle ne marche pas.
09:43
Merci Max.
09:44
Alors, Roch,
09:45
Roch comme Roxy Freddy.
09:47
Bonjour Roch.
09:48
Oui, bonjour Pascal.
09:49
Comme ça, Roch de Montpellier aussi.
09:51
C'est un peu mieux.
09:51
Exactement.
09:52
Vous êtes agriculteur.
09:53
Oui, tout à fait.
09:54
Mais vous êtes un père aujourd'hui.
09:56
C'est en tant que père
09:56
que vous nous appelez.
09:58
Père de trois enfants
09:59
dont l'aîné a quatre ans et demi.
10:01
Donc, j'imagine la douleur
10:02
du petit orphelin de Mélanie là.
10:05
Et j'implore tous les saints du ciel
10:07
de consoler le plus possible
10:09
ce petit et le père
10:10
qui reste tout seul.
10:12
Mais au-delà de ça,
10:13
c'est une colère immense
10:15
qui m'émeut
10:16
de toute la classe politique
10:19
et particulièrement du président Macron
10:21
qui a eu des mots hier,
10:22
mais d'une indécence,
10:24
d'une suffisance
10:24
qui est insupportable.
10:27
Mais vous voyez,
10:28
François Béroux a dit
10:29
oui, il faut interdire
10:29
la vente de couteaux.
10:31
Vous savez, ce week-end,
10:31
il y avait le périnage de Chartres,
10:33
il y avait 20 000 pèlerins.
10:34
Les 20 000 pèlerins
10:34
avaient un couteau sur eux.
10:36
Il n'y a pas eu un problème.
10:37
Les bivouacs ont été laissés
10:39
plus propres
10:39
qu'avant le passage
10:40
des 20 000 pèlerins.
10:42
Cette société est complètement décadente.
10:44
Aujourd'hui,
10:44
on a constitutionnisé l'avortement,
10:47
on a légalisé l'euthanasie.
10:48
On aménuise la valeur
10:51
de la vie humaine
10:52
et aujourd'hui,
10:53
la vie humaine
10:53
n'est plus du tout sacrée
10:54
comme autrefois.
10:55
Le degré de violence
10:56
est le même dans la société.
10:58
Il y a toujours eu le mal
10:59
et la violence qui est là.
11:00
Mais dans une société décadente
11:01
sur tous les plans,
11:02
tout par rapport...
11:03
Vous faites des rapports
11:04
qui sont audacieux
11:05
parce qu'il n'y a pas de rapport
11:07
entre constitutionnaliser
11:09
la loi sur l'avortement,
11:12
la loi sur la fin de vie
11:13
et puis ce qui est arrivé hier.
11:15
Je ne vois pas le chemin,
11:17
je ne vois pas le lien.
11:19
Toute comparaison n'est pas raison
11:21
mais juste ce que je veux dire
11:21
c'est que dans une société
11:23
où la valeur de la vie humaine
11:24
a perdu de sa valeur intrinsèque
11:28
et puis il y a un ensemble de choses.
11:30
On a moins le goût de l'effort
11:31
donc dans l'éducation
11:32
les enfants sont moins...
11:33
Mais je dirais qu'elle est paradoxale
11:35
cette société
11:35
parce que d'un autre côté
11:36
la place des femmes
11:37
est plus importante
11:39
et la souffrance des femmes
11:40
est entendue
11:41
comme elle ne l'était pas avant.
11:42
C'est pour ça qu'il y a des éléments,
11:43
il y a beaucoup de morale aussi
11:44
dans notre société
11:45
qui est faite.
11:46
Ce qui n'était pas le cas,
11:47
il y a 40 ou 50 ans
11:48
en tout cas,
11:48
ce n'était pas la même morale.
11:49
Donc il y a des choses
11:50
qui sont assez paradoxales
11:53
disons-le
11:53
et je trouve que l'exemple
11:55
MeToo est un bon exemple.
11:58
C'est d'une certaine manière
11:59
quelque chose de positif
12:00
dans la société française
12:02
que les femmes
12:03
aujourd'hui soient protégées
12:05
et beaucoup plus
12:06
qu'elles ne l'étaient
12:07
en 1970.
12:08
Oui,
12:09
mais on ne va pas rentrer
12:10
dans le sujet
12:10
de l'avortement
12:11
maintenant,
12:11
ce n'est pas le sujet.
12:12
Non,
12:12
ce n'est pas l'avortement.
12:14
Vous disiez
12:15
l'aval de la place
12:16
de la femme
12:16
où vous faites
12:16
un gros paquet
12:18
avec ce sujet
12:18
avec ce que j'entends.
12:19
Mais aujourd'hui,
12:20
pour que cette violence
12:22
diminue,
12:23
il faut resserrer
12:23
les boulons
12:24
de partout,
12:25
rétablir
12:25
des peines
12:26
qui soient exemplaires,
12:28
que les juges
12:28
appliquent les peines
12:29
existantes
12:30
qui ont été votées
12:31
par les députés.
12:32
Si ces lois-là
12:33
ne sont pas assez sévères,
12:34
et bien que les députés
12:35
votent des lois plus sévères,
12:37
et puis M. Macron
12:38
et toute sa clique,
12:39
si jamais ils n'arrivent pas,
12:40
et bien qu'ils s'en aillent.
12:41
Et d'autres arriveront.
12:43
Et si ce n'est pas le cas,
12:44
il faut que les Français
12:45
mettent la pression
12:46
pour que Macron s'en aille
12:47
et aux prochaines élections
12:48
qu'ils votent enfin
12:49
comme il faut
12:49
et qu'ils arrêtent
12:50
de faire les castors
12:52
à préserver
12:54
de je ne sais quel mal
12:55
qui peut arriver
12:56
alors que le mal
12:56
est déjà là
12:56
et que tout ce qui peut arriver
12:58
avec des gens plus rigoureux
13:01
et plus sévères,
13:02
tout peut qu'aller mieux.
13:04
Bon,
13:04
bah écoutez,
13:05
merci en tout cas
13:06
de ce témoignage.
13:08
Roch,
13:09
vous êtes agriculteur,
13:09
vous êtes dans quelle région Roch ?
13:11
Je suis dans la région lyonnaise,
13:13
le Dauphiné.
13:13
Et bien écoutez,
13:14
bonne journée à vous,
13:15
il est 12h48,
13:16
je vois que Laurent Tessier
13:17
est arrivé.
13:18
Présent.
13:18
Vous n'ayez pas entendu
13:19
tout à l'heure
13:20
M. Olivier Guenek
13:23
nous dire
13:23
qu'il donnerait
13:24
des nouvelles
13:25
de la page Facebook ?
13:26
On n'a rien eu.
13:26
Mais il a tout prévu
13:27
pour demain,
13:28
ça va être exceptionnel.
13:29
Ah oui, ça va être très bon.
13:30
Non !
13:31
Vous n'aviez pas entendu ça ?
13:33
Oh là là là !
13:34
Non, non, non,
13:35
c'est un ami,
13:36
donc j'irai dans son sens.
13:37
Ah non,
13:37
mais vous allez attendre
13:38
combien d'années
13:39
avec cette page Facebook ?
13:41
Il semblait avoir entendu ça.
13:42
J'ai entendu aussi.
13:43
Ah bah oui,
13:43
moi j'ai préparé le générique,
13:44
j'ai bien entendu.
13:45
Ça manque de rigueur.
13:46
Ça manque de rigueur.
13:48
Il va falloir faire le deuil
13:49
de cette page Facebook ?
13:50
Ah non,
13:51
elle est éternelle.
13:53
On va réfléchir.
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Elle est immortelle.
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Vous avez raison,
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c'est juste.
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12h40,
13:57
c'est juste ?
13:58
C'est votre prénom ?
14:00
Il est 12h49.
14:02
Dans un instant,
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de Laurent Tessier
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sera avant.
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