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  • 30/05/2025
Regardez Les auditeurs ont la parole avec Vincent Parizot et Isabelle Choquet du 30 mai 2025.

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Transcription
00:00Jusqu'à 14h, les auditeurs ont la parole sur RTL, avec Vincent Parizeau et Isabelle Choquet.
00:07Et oui, c'est à vous de jouer, et aujourd'hui on va se faire un petit plateau foot et tabac, si vous le voulez bien, ensemble.
00:14On parlait notamment du tabac et des interdictions annoncées au 1er juillet, pas de cigarettes à la plage, dans les parcs, sous les abribus, près des écoles, collèges, d'hissées.
00:24On a Maria qui a fait le 3210 et qu'on accueille avec plaisir.
00:27Bonjour Maria.
00:28Bonjour.
00:30Une question avant d'une petite interruption, vous êtes fumeuse ?
00:35Je l'ai été en fait.
00:37Ex-fumeuse. Et vous approuvez les mesures annoncées ?
00:41Non, pas du tout. C'est pour ça que je suis en accord avec vous, enfin avec, je suis sur RTL.
00:49Écoutez, vous avez bien fait de faire le 3210, vous allez nous expliquer tout cela.
00:53Dans un instant, le temps pour Isabelle Choquet de nous rappeler l'essentiel de l'actualité.
00:58Et d'abord ce dispositif de sécurité massif pour la finale de la Ligue des champions demain soir à Munich, entre le PSG et l'Inter Milan.
01:045400 policiers et gendarmes mobilisés tout le week-end à Paris, sur les champs et aux abords du Parc des Princes.
01:10Une parade est prévue dimanche en cas de victoire.
01:12Les parisiens qui sont en route en ce moment vers leur hôtel à Munich.
01:16Maura Djabari, vous êtes sur place pour RTL et si on peut dire, vous attendez le bus ?
01:21Exactement. Et puis les joueurs parisiens devraient arriver dans quelques instants, dans quelques minutes.
01:26Ils sont tout proches, on le sait, parce que les policiers nous ont demandé de changer de trottoir.
01:30Ils ont commencé à fermer la route pour permettre aux bus parisiens d'arriver.
01:35Donc dans quelques instants, accueillis par une poignée de supporters, le bus parisien devrait arriver dans cet hôtel pour prendre leur quartier en vue de cette finale historique qui se déroulera demain soir.
01:44Merci Maura, vous nous prévenez bien sûr si le bus arrive.
01:48La cigarette interdite dès le 1er juillet dans les parcs, sur les plages et aux abords des écoles, collèges et lycées.
01:54Partout où il y a des enfants, le tabac doit disparaître, c'est ce que dit la ministre de la Santé.
01:58Amende de 135 euros pour les contrevenants, les terrasses sont épargnées.
02:02Et puis à Roland-Garros, en attendant, Quentin Alice contre le Danois à Rune.
02:05On suit Lorenzo Muzetti contre l'argentin Navon, un 7 partout pour l'instant.
02:10Soirée avec le tenant du titre, Carlos Alcaraz. Bonjour Maxime Martinez.
02:13Bonjour Isabelle, bonjour à tous.
02:15Rendez-vous à 20h15 sur le cours central.
02:18Et le numéro 2 mondial fait face au Bosnien, Damir Dzumur, 69e mondial.
02:23C'est lui qui a fait tomber le français Giovanni Mpeci-Péricard au précédent tour.
02:27Un match déséquilibré où Alcaraz est donc très largement favori.
02:31Sa cote pour Alcaraz, 1-0-1, 40 pour Dzumur.
02:35Alors si vous êtes très très joueur et que vous avez de la chance,
02:38vous misez 10 euros sur le Bosnien, vous en gagnez 400 en cas de victoire.
02:41Mais alors je vous préviens, le joueur de 33 ans n'a jamais dépassé le 3ème tour d'un tournoi du Grand Chelem.
02:47Ce serait donc un exploit XXL s'il s'impose face aux jeunes Espagnols favoris de la compétition.
02:53La météo avec vous Claire Delambre, dites-le moi qu'il va faire beau, j'adore.
02:58Il va faire beau, il va faire chaud.
03:00Il fait déjà beau et chaud.
03:01Il fait déjà beau et chaud.
03:03En effet c'est la plus belle journée et aussi la plus chaude journée.
03:06Attention on peut battre d'ailleurs des records de chaleur cet après-midi en direction du Car Sud-Ouest.
03:11Jusqu'à 37 degrés, attendu potentiellement du codé de Mont-de-Marsan.
03:15Bon, tout le monde sera concerné par la chaleur.
03:1730 degrés en moyenne quand même à l'échelle du pays.
03:19Il n'y a qu'en direction de la Manche où évidemment les températures seront un petit peu plus fraîches,
03:22influencées par un air océanique.
03:24Donc ça se traduit par des températures comprises entre 20 et 23 degrés.
03:28Un soleil qui règne en mètres mais tout de même en fin d'après-midi.
03:31Début de soirée, les nuages vont finir par gagner l'arc atlantique avec en prime quelques ondées,
03:36quelques orages qui vont commencer à éclater en direction du sud de la Guéronne
03:39et qui va sonner le glas justement de cette chaleur écrasante.
03:42Ça démarrait bien cette météo, ça finit un petit peu moins bien.
03:45Merci quand même, je vous en prie.
03:55Normalement, on est quand même un peu libre de notre pays.
03:58Je ne fume pas sur la plage, je ne jette pas mes égaux n'importe où.
04:02Quand je suis en terrasse, je demande toujours aux personnes autour de moi si ça les dérange.
04:06Si vraiment le gouvernement veut arrêter que les gens fument, il ferme tous les bureaux de tabac.
04:12Voilà, Christelle, pas très satisfaite, on le comprend visiblement des mesures qui ont été annoncées,
04:20qui vont être mises en oeuvre.
04:21Donc au 1er juillet, on la rappelle, pas de cigarettes à la plage,
04:25pas de cigarettes dans les parcs et jardins, pas de cigarettes sous les abribus,
04:28pas de cigarettes près des écoles, collèges et lycées et une amende de 135 euros pour les contrevenants.
04:36On retrouve Maria, notre amie, auditrice, qu'on a écouté quelques secondes juste avant 13h.
04:42Vous êtes toujours là, Maria ?
04:44Oui, bonjour tout le monde.
04:46Je résume, ancienne fumeuse, c'est ce que vous nous avez dit.
04:50Pendant des années, vous avez longtemps fumé et beaucoup ?
04:55Alors j'ai fumé depuis l'âge, quand on rentre au lycée,
04:59et jusqu'à il y a 14 ans, j'ai arrêté de fumer.
05:03D'accord.
05:04Voilà.
05:04On peut savoir pourquoi vous avez arrêté ?
05:07Je prends de l'âge, j'ai une petite fille, bientôt 18 ans,
05:13j'avais envie de retrouver une autre façon de récupérer ma santé déjà avant tout.
05:19Bon, vous avez senti la différence, vraiment ?
05:23Ah oui, oui, oui, oui, oui, tout à fait.
05:25Je suis, j'ai mis des pattes, vraiment j'ai repris le sport que je ne savais plus faire,
05:31mais vraiment j'ai senti la différence, oui.
05:33Alors quel est votre avis, Maria, sur les mesures qui ont été annoncées ?
05:38Enfin, ça faisait d'ailleurs longtemps qu'elles auraient dû être mises en oeuvre,
05:41elles le seront au 1er juillet.
05:44Malheureusement, je ne suis pas satisfaite de cet avis-là.
05:47Alors, on nous retire tous les droits.
05:52Alors, moi je suis ancienne fumée, c'est vrai que j'ai respecté ceux qui mentent pour,
05:58mais moi je trouve qu'on retire tous nos droits et c'est triste.
06:02Et je suis bien contente d'être née en 1967, comme je disais à mon conjoint.
06:08Aujourd'hui, c'est difficile à vivre dans cette société.
06:11Il y a beaucoup d'interdits.
06:12Il y a beaucoup d'interdits.
06:15Et malheureusement, les amendes, 135 euros d'amende, ça va, je ne sais pas,
06:21j'ai de la misère à projeter qui va payer ça.
06:26Les gens qui fument bien souvent, c'est des gens, enfin, je dis des bêtises,
06:32mais il y a beaucoup de gens qui fument parce qu'ils sont stressés,
06:36ils sont énergés, enfin, il n'y a pas de boulot.
06:40Les études sociologiques montrent que moins on est fortuné, plus on fume.
06:45Ça, c'est assez clair.
06:48Il y a des interdictions qui entrent en vigueur le 1er juillet,
06:51qui font quasiment l'unanimité, près des écoles, collèges, lycées.
06:57Mais à la plage, il y a des réticences.
07:00On entend dans les reportages, on le voit dans les reportages.
07:03Vous partagez ça, Maria ?
07:06Non, je ne partage pas non plus.
07:08On me dirait, je ne partage rien.
07:10Moi, quand j'allais à la plage, j'avais mon petit gobelet.
07:16J'adorais fumer une cigarette après avoir été baigner.
07:20Elle était bonne, celle-là, parce que moi aussi, je suis ancien fumeur.
07:24Et j'ai vu que la cigarette en revenant de la mer,
07:26quand on se pose sur sa serviette, elle était délicieuse.
07:31J'adorais, j'adorais.
07:32Et je suis quand même civilisée.
07:35J'avais mon petit gobelet, mon petit sable, je mettais dedans.
07:37Parce que c'est vrai qu'on trouve beaucoup de mégots dans le sable.
07:40Tout à fait, je suis d'accord.
07:41Attention, je suis d'accord.
07:43Il faut effectivement que les fumeurs soient disciplinés,
07:46qu'ils ne laissent pas leurs mégots dans le sable.
07:49Et puis, il faut aussi que, quelque part,
07:51les serviettes soient un petit peu loin les unes des autres.
07:53Parce que c'est vrai que quand on est un peu serré sur une petite plage...
07:56Au 1er août, sur une petite plage de la Côte d'Azur,
07:58je veux bien comprendre que celui qui fume à côté de vous, il vous gêne.
08:00Et en fait, donc, tout dépend de la plage.
08:03Bon, de toute façon, maintenant, il n'y aura pas à tortiller.
08:05C'est non.
08:06Ce sera non.
08:07Puis alors, Maria, on va entendre maintenant Sébastien qui est en ligne avec nous.
08:11Bonjour Sébastien.
08:12Bonjour Isabelle.
08:13Bonjour Vincent.
08:14Bonjour Sébastien.
08:15Vous n'êtes pas tout à fait sur la même ligne que Maria.
08:17Vous vous trouvez que c'est très, très bien, ces interdictions.
08:19Ah oui.
08:20Alors, après, je ne fume pas.
08:23Je tiens vraiment à insister sur le fait que je n'ai rien du tout contre les fumeurs.
08:27Oui.
08:28Mais bon, je trouve quand même qu'il y a quand même pas mal de laissés aller.
08:33Je peux vous donner plein d'exemples.
08:34Allez-y.
08:34Vous suivez une voiture.
08:36L'autre fois, je suivais une voiture dans la côte de Verdun.
08:39J'étais derrière cette voiture.
08:40La personne ne veut pas salir sa voiture, mais balance tous ses mégots par la fenêtre.
08:44J'ai mon vitrier qui passe pour nettoyer la vie de mon agence à l'époque quand je travaillais à Verdun.
08:49Il n'a à peine fini qu'il y a plein de mégots devant.
08:53Alors ça, c'est plus l'aspect écologique, les mégots pollueurs.
08:57C'est du manque de savoir-vivre, ça.
08:59Voilà, c'est une question de savoir-vivre, tout à fait.
09:01Ça n'a pas vraiment de lien avec la santé ?
09:03Après, encore une fois, les gens, s'ils décident de fumer parce qu'ils sont stressés ou qu'ils ne vont pas bien,
09:09ils font ce qu'ils veulent.
09:09Moi, je n'ai rien contre.
09:11Mais moi, par contre, si je me retrouve, admettons, sur la plage, je mets ma serviette,
09:14il y a plein de mégots partout, j'ai une dame à côté, elle s'installe,
09:17elle me fout sa fumée dans la figure, moi, ça me dérange.
09:19La liberté des uns, ça arrête à faire des autres.
09:20Alors j'imagine, Sébastien, que vous seriez favorable à ce qu'on interdise la cigarette
09:26aux terrasses des cafés en extérieur.
09:30Après, encore une fois, le vrai problème,
09:32même si les gens seraient disciplinés et respecteraient,
09:34il y a quand même des gens qui ramassent les mégots toute la journée,
09:36je pense que ce n'est pas forcément leur boulot.
09:38Si les gens, ils ont leur petit cendrier ou qu'ils mettent leurs mégots dans un cendrier,
09:41ils font ce qu'ils veulent.
09:42Si vous dites la santé ou pas, ce qu'ils veulent, ce n'est pas mon problème.
09:44Moi, ça me dérange à partir du moment où on ne respecte pas les lieux, la forêt, la plage.
09:47Ce n'est pas forcément sympa pour les gosses sur la plage d'avoir des mégots
09:51quand ils veulent faire leur château de sable.
09:53Après, il faut mesurer.
09:56Les interdictions, elles sont nécessaires.
09:57Pourquoi ? Pourquoi on met des radars ?
09:59Pourquoi dans certains restaurants, ça commence à arriver en France,
10:03on empêche les enfants ?
10:03Parce qu'aujourd'hui, les gens ne respectent plus les autres.
10:06Le problème...
10:06En l'augurrence, l'interdiction, ce n'est pas tellement pour éviter les mégots qui traînent.
10:09C'est véritablement une question de santé publique pour éviter le tabagisme passif.
10:13Et éviter et écarter, en fait, les fumeurs des enfants.
10:16Et voilà, éviter de bien mauvais exemples.
10:18Pour ne pas les inciter à fumer, etc.
10:20Je trouve ça bien.
10:21Je trouve ça bien.
10:22Après, les gens, ils ont le droit, entre guillemets, si vraiment ils veulent fumer.
10:25On sait très bien que quelqu'un qui arrête de fumer,
10:26c'est parce qu'il faudra qu'il trouve lui-même la motivation.
10:29On pourrait lui dire 50 fois arrête, c'est pas bon.
10:30S'il veut fumer, il fumera.
10:31Il fera ce qu'il veut.
10:32Mais par contre, effectivement, pour les enfants, pour tout ce qui est tabagisme passif,
10:35par exemple, oui, c'est une très bonne idée.
10:38On est obligé aujourd'hui de mettre des règles
10:39parce que les gens se foutent des autres.
10:41Enfin, pas tous.
10:42Je ne veux pas stigmatiser tous les fumeurs.
10:44Mais certains fumeurs se moquent
10:45que les autres respirent la fumée des autres.
10:48Un manque de civisme.
10:50Oui, vous vous disiez.
10:51Je crois que vous, vous aviez fumé.
10:52Je pense que même si vous fumiez, vous respectiez les autres.
10:54Je faisais très attention à ça.
10:56J'ai longtemps fumé.
10:57Mais je suis très fier d'avoir arrêté.
10:59Pareil.
11:00Et le porte-monnaie et la santé s'en portent mieux.
11:02Oh là !
11:03On peut se payer un beau petit voyage avec ça.
11:05Avec ce qu'on a économisé.
11:07Merci Sébastien.
11:09En tout cas, on remercie également Maria.
11:11Mais on ne va pas écarter ce sujet pour autant.
11:15Il y a bien des choses à dire.
11:16Elisabeth, Audrey, Mathilde veulent intervenir.
11:19A tout de suite, 3210.
11:20Envoyez-nous vos messages sur l'application RTL
11:24ou appelez-nous au 3210.
11:2650 centimes la minute.
11:27Jusqu'à 14h.
11:28Les auditeurs ont la parole sur RTL.
11:31Avec Vincent Parizeau et Isabelle Choquet.
11:34Est-ce que les non-fumeurs, comme moi,
11:36on est obligés de prendre l'odeur de la fumée de cigarette
11:39qui nous arrive dans la gueule ?
11:42Il n'y a pas d'autre mot.
11:42C'était juste une petite question comme ça
11:44pour savoir ce que les fumeurs entendent.
11:46Est-ce qu'on est obligés de subir l'odeur
11:48que je trouve nauséabonde du tabac ?
11:51Oui, la fumée dans la figure, ce n'est pas très agréable.
11:53C'est un petit peu ce que nous disait aussi tout à l'heure
11:55Sébastien, qui est toujours en ligne avec nous d'ailleurs.
11:57Et on va faire intervenir maintenant Mathilde.
12:01Parce que Mathilde, elle est non fumeuse,
12:03tout comme Sébastien d'ailleurs,
12:04mais elle, elle est contre l'interdiction
12:07qui vient d'être annoncée par la ministre Catherine Vautrin.
12:09Bonjour Mathilde.
12:11Oui, bonjour à tous.
12:11Merci de prendre mon appel.
12:13Alors donc vous, vous n'avez jamais fumé ?
12:15Non, je n'ai jamais fumé.
12:17J'ai eu des parents gros fumeurs tous les deux,
12:19mais bon, on a le droit de réfléchir un petit peu dans la vie
12:22et de ne pas faire comme tout le monde.
12:24Après, on pourrait lancer le sujet de l'éducation,
12:29des points de suspension.
12:30On pourrait lancer le sujet de la politesse.
12:34Si on commence à taxer tous ceux qui balancent,
12:36que ce soit leur mégot, que ce soit leur McDo,
12:39que ce soit tout ce qu'on veut sur la planète,
12:43on n'a pas fini.
12:43Mais moi, ce que je voulais surtout mettre en exergue
12:46et condamner, c'est un petit peu le manque de courage
12:49de nos politiques.
12:50Allez-y.
12:51Mais pourquoi ?
12:52Parce que là, c'est assez courageux quand même, non ?
12:54Ça ne vous paraît pas courageux de prendre cette mesure ?
12:56Non, parce qu'on va encore s'en prendre,
12:58voilà, monsieur, madame, tout le monde.
13:00Effectivement, je pense que beaucoup de choses
13:02pourraient se régler par l'éducation.
13:05effectivement, je pense que les fumeurs
13:08peuvent se déplacer un petit peu.
13:11Je pense qu'on peut quand même,
13:12avec un peu d'intelligence et d'éducation,
13:13cohabiter.
13:14Mais après, je trouve ça très lâche.
13:17Je suis quand même très en colère de cette société
13:18qui va encore une fois verbaliser,
13:22on va dire, des gens un petit peu comme tout le monde.
13:26Qui ne font pas grand chose de mal, voilà.
13:27Les mêmes cigarettes à la plage, c'est pas...
13:30Certes, qui s'adonnent à leur vie,
13:31mais enfin, on sait très bien,
13:33pour les raisons, pareil, qu'on connaît,
13:35qu'on ne s'en prendra jamais,
13:37à ceux qui boivent de l'alcool,
13:38trois petits points de suspension.
13:40Et en revanche, on préfère déménager des écoles.
13:43Et ça, moi, c'est vraiment quelque chose
13:45qui m'a mis très en colère.
13:46Comment ça, déménager des écoles ?
13:48Eh bien, quand il y a des dealers
13:49qui s'adonnent à leur business à côté des écoles,
13:53eh bien, on va préférer déménager des écoles.
13:56Et laisser tranquilles ces personnes-là,
13:58qui, à mon avis, font beaucoup, beaucoup plus de mal.
14:01C'est la solution de facilité, voilà.
14:03Ce que vous voulez dire, Mathilde, c'est que, voilà.
14:06Et c'est à l'image de tout ce qu'on vit en ce moment,
14:09où on va préférer, voilà,
14:10t'as accès des gens qui font quand même,
14:12voilà, pas grand-chose.
14:14Mais qu'est-ce qu'il faudrait faire, selon vous,
14:15pour faire reculer un petit peu le tabac ?
14:20Ben, je pense qu'un petit peu de réflexion,
14:23on pourrait un petit peu réfléchir.
14:25Pour éduquer, alors pareil,
14:27j'ai cru comprendre ce matin,
14:28en écoutant vos trentaines,
14:31qu'on n'allait pas non plus,
14:33enfin, que les, comment on appelle ça,
14:34les peufs, je crois,
14:35n'étaient pas concernés.
14:38Et j'entendais...
14:38Pour l'instant,
14:39les cigarettes électroniques ne sont pas concernées.
14:41Pour l'instant,
14:42les terrasses des cafés ne sont pas concernées.
14:45mais je rajoute,
14:46pour l'instant,
14:47parce que c'est déjà visiblement
14:50dans les tuyaux pour les années à venir.
14:53Oui, et on s'en prend à des vies,
14:55finalement,
14:55qui sont, entre guillemets,
14:57facilement pénalisables
14:59et qu'on ne s'attaque pas,
15:01peut-être, au fond du problème.
15:02Je pense que la santé des enfants,
15:04il faudrait peut-être commencer par les peufs.
15:06Mais là, je crois que c'est l'un de vos collègues
15:07qui disait que son enfant
15:09avait des camarades de classe
15:11qui avaient commencé la peufs à 10 ans.
15:12Là, on fait quoi ?
15:15Donc, il y a peut-être un petit peu
15:16plus de travail,
15:18de fond à faire,
15:19plutôt que de verbaliser des gens, finalement.
15:22Voilà.
15:23Après, ça n'empêche pas de les éduquer.
15:24Effectivement, on ne balance pas son égo.
15:26Mais on ne balance pas tellement de choses
15:27sur la planète, également.
15:29Bien sûr.
15:30Bien sûr.
15:31Et tout est une question de savoir vivre.
15:34Exactement.
15:35Et d'éducation.
15:36Et d'éducation.
15:37À ce sujet,
15:39restez avec nous, Mathilde.
15:40J'aimerais qu'on accueille Elisabeth.
15:41Bonjour, Elisabeth.
15:44Bonjour, Elisabeth.
15:45Bonjour, Vincent.
15:45Bonjour.
15:46Bienvenue.
15:47On s'est déjà parlé, si je me souviens bien.
15:52Ancienne fumeuse.
15:53Alors, je vais juste vous prendre la parole.
15:56Deux minutes.
15:57Oui.
15:57Mais, bien sûr, il n'y a pas de pathos dans ce que je dis.
16:01Ancienne fumeuse, qui, depuis qu'elle a arrêté, a fait quand même 100 000 euros d'économie.
16:07Combien ?
16:07Combien ?
16:08100 000 euros.
16:09100 000 !
16:11Ça fait 10 ans que j'ai arrêté.
16:13Je fumais deux paquets par jour.
16:14Vous avez fait le compte.
16:16Et ça, ça fait 100 000 euros, vraiment ?
16:18Eh bien, oui.
16:19Avec le prix actuel du paquet.
16:21Oui, on va le mettre au milieu, parce que j'ai calculé au milieu.
16:26Vous êtes le bon ?
16:26En tout cas, effectivement, 100 000 euros d'économie, ça se dit.
16:29100 000 euros d'économie, ça, c'est important.
16:31Et puis, surtout, quelques années de vie, sans doute, Elisabeth, non ?
16:34Non.
16:34Non ?
16:34Non, non.
16:35Alors, ça, c'est du n'importe quoi.
16:37Ah bon ?
16:38J'ai arrêté parce que j'étais malade.
16:41Et ma maladie est une maladie qui va, disons, de pire en pire, et qui fait des trucs oxygènes, tagada, tagada.
16:49Donc, c'est une maladie du tabac que vous avez, Elisabeth ?
16:51Absolument.
16:52Et c'est ça que je veux dire.
16:53Il ne faut pas penser qu'au seul cancer du poumon.
16:58Il n'y a pas que ça.
16:59La BPCO, c'est ce que j'ai, c'est 80% des fumeurs.
17:0480% des fumeurs.
17:06Voilà.
17:06Et puis, alors, auquel je parle, il faut aussi arrêter ces campagnes avec des bisous de l'ours autour.
17:15Oh, j'ai fait ma baguette, en fait, non.
17:17Je ne vais pas fumer ma cigarette.
17:19Oh là là.
17:20Non, ce n'est pas ça qu'il faut montrer.
17:22Il faut montrer la réalité.
17:24La réalité, c'est-à-dire que moi, vous me connaissez depuis 20 ans.
17:28J'ai toujours été active.
17:30Et maintenant, je me retrouve attachée à un tuyau d'oxygène.
17:35Jour et nuit.
17:37Et vous pensez que c'est ça qu'on devrait montrer dans les campagnes anti-tabac ?
17:41Mais oui, ça va.
17:41Faire des campagnes choc, en fait.
17:42Ça serait plus efficace qu'une interdiction de fumer sur les plages ?
17:49Alors, je suis d'accord.
17:50Parce que je vais vous dire, moi, j'ai été une fumeuse.
17:52Oui.
17:53Bon, j'avoue que je fumais dans la voiture.
17:55Pas mieux.
17:57Est-ce que je fumais à la plage ?
17:58Je crois que oui.
18:00Quand on est fumeur, on fume partout.
18:03Voilà.
18:05Et moi, je suis assez pour ces interdictions.
18:09Bien que vous êtes d'accord avec moi, il y a quand même un certain civisme.
18:12On ne crache pas sa fumée de choc devant un gamin.
18:16Je ne sais pas.
18:17Il y a des choses qu'on ne fait pas.
18:19Théoriquement.
18:20Vous parlez des campagnes chocs, Elisabeth.
18:22En même temps, il y a déjà des images sur les paquets de cigarettes
18:25qui sont, pour le coup, très choquantes, effectivement,
18:29de poux malades, de bouche malade.
18:31Ça ne change pas grand-chose, en vérité, pour les...
18:34Non, Elisabeth, je vais vous dire une chose.
18:36Ces photos, elles étaient là quand moi, je fumais encore.
18:39Et l'autre jour, j'ai retrouvé dans un tiroir
18:41un truc où je me suis demandé ce que c'était.
18:43C'était une housse en cuir
18:44qui, justement, j'achetais un paquet de clopes
18:46et je ne voyais pas la photo qui était immonde.
18:51Vous aviez des personnes sans dents, les trous de dé...
18:54Oui, oui, oui.
18:55Mais on peut se demander quand même si ça n'a pas eu un certain effet.
18:58Ce qui est sûr, c'est qu'on fume de moins en moins.
19:00Alors, restez avec nous, Elisabeth,
19:02parce que j'aimerais beaucoup qu'on écoute Audrey.
19:05Parce qu'Audrey, elle a vécu dans un endroit
19:07où, si on veut fumer, il faut, j'allais dire,
19:11presque raser les murs.
19:12Bonjour, Audrey.
19:13Bonjour, Vincent. Bonjour, Isabelle.
19:15Bienvenue.
19:16Vous avez vécu où ?
19:18À Singapour.
19:19À Singapour.
19:19Combien de temps vous avez passé à Singapour ?
19:21J'ai vécu deux ans à Singapour et c'est effectivement un pays
19:24où il y a des endroits fumeurs qui sont limités
19:28et du coup, les non-fumeurs dont je suis vivent leur meilleure vie.
19:32Ah oui, c'est-à-dire que chez nous, il y a des espaces...
19:34On décide d'interdire la cigarette dans certains endroits.
19:38C'est ça.
19:38Tandis que là-bas, il y a quelques espaces fumeurs.
19:43Tout à fait.
19:44Et l'amende, si vous ne respectez pas cela,
19:48est d'environ...
19:49Enfin, est de 1 000 Singapour dollars
19:51qui fait à peu près 680 euros.
19:53C'est-à-dire qu'on ne fume pas dans la rue, par exemple, à Singapour ?
19:56Non, pas du tout.
19:57Il y a des endroits dédiés près des immeubles, en général.
20:01Il peut y en avoir plusieurs pour un même immeuble,
20:03des centres commerciaux, etc.
20:05Mais il est interdit de fumer dans la rue
20:06et il est interdit de fumer dans les espaces publics
20:09autres que ceux qui sont désignés à cet effet.
20:12Ce qui fait aussi, effectivement,
20:13que les gens ne fument pas dans la rue.
20:15Il n'y a pas de pollution liée au mégot.
20:16Il n'y a pas de pollution non plus pour les non-fumeurs
20:19liés à ceux qui fument.
20:20Et tout le monde respecte ça de manière civilisée.
20:26Aussi parce que l'amende est forte.
20:27Je rebondis sur ce que vous dites.
20:30Audrey, franchement, oui, on est dans un monde civilisé.
20:34Je vais être un petit peu provoque.
20:35Est-ce que vous pensez vraiment qu'en France,
20:36on saurait faire ça ?
20:38Ah, mais jamais de la vie !
20:40Jamais de la vie !
20:41Parce qu'on entend depuis que c'est sorti,
20:44oui, ma liberté, ma liberté, ma liberté.
20:46Mais en fait, est-ce qu'on pense à la liberté
20:48de ceux qui ne fument pas ?
20:49Parce que je veux bien, effectivement,
20:50il y a des enfants à protéger,
20:51mais il y a aussi toutes ces personnes
20:53qui ne veulent pas fumer
20:54et qui ne veulent pas de la cigarette.
20:57Et moi, par exemple,
20:58le nombre de fois où je me retrouve
21:00sur les quais de gare
21:02à devoir m'éloigner,
21:04et plus je m'éloigne,
21:05plus il y a des fumeurs qui se rapprochent de moi.
21:06Normalement, c'est interdit de fumer
21:08sur les quais de gare.
21:10C'est-à-dire que de nombreux fumeurs
21:12font fi des introductions.
21:14Mais si vous saviez, Audrey,
21:15vous n'avez que 35 ans,
21:17mais d'où on vient ?
21:18Je vois Jean-Alphonse Richard
21:19entrer dans ce studio
21:21qui est à peu près de ma génération.
21:22Dans les années 70-80,
21:26le tabac était partout.
21:27À partout, oui.
21:28Dans les avions,
21:29dans les trains.
21:30Les avions dans la queue de l'avion.
21:31À l'arrière de l'avion.
21:33À l'arrière, dans les trains.
21:33Dans les trains,
21:34il y avait des wagons fumeurs.
21:35Restaurants.
21:36Où l'odeur était...
21:38Au restaurant, dans les bars,
21:40on fumait partout.
21:41À la fac, dans les amphis.
21:43Au boulot.
21:44Et au travail.
21:46Et au travail, évidemment.
21:47On fumait ce qui était horrible
21:48pour les bons fumeurs.
21:49Il y a des choses
21:50qui ne nous manquent pas, quand même.
21:51C'est l'avion, les bureaux
21:53ou les restaurants.
21:55Non, franchement,
21:56je n'ai pas la nostalgie
21:57de cette époque-là.
21:57Pas du tout, Audrey.
21:58Mais il faut voir le chemin parcouru.
22:01J'ai bien conscience
22:01parce que j'ai des fumeurs
22:02quand même dans ma famille.
22:04Comme une de vos auditrices,
22:06ce n'est pas parce que ma mère
22:07est une fumeuse invétérée
22:09que justement,
22:10ça m'a toujours dégoûtée.
22:12Donc moi, j'ai rejeté ça
22:13à mes soeurs aussi.
22:15Mais je sais d'où on vient.
22:16J'ai des photos
22:17de quand j'étais petite.
22:18Je vois tout le monde
22:18qui fume à table aussi.
22:19Regardez les émissions
22:22de télévision
22:22que vous avez
22:23des années 60-70.
22:26Rien que quand on voit
22:26Gainsbourg qui fumaient
22:28tout le temps.
22:28Oui, bien sûr.
22:29Donc,
22:30beaucoup de chemin parcouru.
22:31J'ai conscience
22:32du chemin qui a été parcouru.
22:34Mais moi,
22:35quand j'entends les gens dire
22:36oui,
22:37on nous prive de nos libertés,
22:38etc.
22:39Non, la liberté,
22:39ce n'est pas ça.
22:40La liberté,
22:40c'est vous allez fumer
22:42ou vous avez envie
22:43de fumer peut-être.
22:43mais respecter ceux
22:45qui ne fument pas.
22:46Et en fait,
22:47ce qui est insupportable
22:47et c'est ce que je disais
22:49aussi à Victor,
22:51c'est que j'ai été
22:52notamment volontaire
22:53pendant la Coupe du monde
22:54de rugby
22:54au Stade de France
22:55et nos consignes,
22:57c'était
22:58les gens n'ont pas le droit
22:59de fumer dans le stade.
23:00C'est pareil,
23:00c'est une interdiction.
23:02Dans l'enceinte du stade,
23:03c'est interdit.
23:03Donc,
23:04on devait leur dire
23:04quand ils fumaient,
23:05vous ne devez pas fumer.
23:07Vous pouvez sortir
23:08derrière les grilles,
23:09etc.
23:10et fumer.
23:11Et vous avez des gens
23:11qui disaient
23:12mais moi,
23:12j'ai payé ma place,
23:13je fais ce que je veux,
23:14j'en mers certaines.
23:15Voilà,
23:15ça c'est la société aussi
23:17dans laquelle on vit aujourd'hui.
23:18Vous pouvez rester avec nous Audrey.
23:19Oui,
23:20merci Audrey.
23:20Alors,
23:21je rebondis puisque vous nous parlez
23:22de stade et de rugby.
23:23Moi,
23:23je vais vous parler foot.
23:24On va filer à Munich
23:25parce que figurez-vous
23:26que ça y est,
23:26ça y est,
23:27les Parisiens,
23:28le PSG est arrivé
23:30à son hôtel.
23:30Le PSG est gagné.
23:31Non,
23:32pas encore.
23:33Non,
23:33ça sera peut-être
23:34demain soir,
23:34on espère.
23:35On va retrouver
23:35Morad Jabari.
23:36Bonjour Morad.
23:37Re-bonjour.
23:37Bonjour.
23:38Ça y est,
23:38le bus des Parisiens est arrivé.
23:41Absolument,
23:41il vient tout juste arriver,
23:42escorté par la police,
23:44un bus magnifique
23:46aux hautes couleurs
23:46du Paris Saint-Germain,
23:48bleu,
23:48blanc,
23:48rouge avec l'écusson
23:49du club
23:50et puis écrit en grand
23:51Paris.
23:52Alors,
23:52on n'a pas vu les joueurs,
23:53malheureusement,
23:54les vitres sont teintées.
23:55On a pu voir à l'avant du bus
23:56l'entraîneur,
23:57Louis Senriquet,
23:58adresser un petit coucou
23:59à la dizaine de supporters présents
24:00et puis les joueurs
24:01se sont tout de suite engouffrés
24:02dans cet hôtel
24:04à la façade
24:04un peu sinistre,
24:06un peu sombre,
24:06un noir avec cette banderole
24:08ici Paris en bleu,
24:10blanc, rouge
24:10pour un peu égayer tout ça.
24:12Donc,
24:12les joueurs sont rentrés
24:13dans l'hôtel,
24:14ont pris leur quartier,
24:16ils vont déjeuner,
24:16ensuite la sieste
24:17et puis ça sera
24:18l'entraînement
24:19à une dizaine de minutes d'ici
24:20à l'Allianz Arena,
24:21le stade,
24:22le théâtre de la finale
24:23demain soir.
24:24Donc,
24:24les joueurs restent
24:26dans leur bulle,
24:27ils sont concentrés
24:27et le compte à rebours
24:29est enfin lancé.
24:30Merci beaucoup
24:31Morad Jabari
24:32en direct de Munich
24:33pour RTL.
24:33Et Jean-Alphonse Richard,
24:34est parmi nous.
24:36Et je vous rejoins,
24:36oui,
24:36mon cher Vincent
24:37et ma chère Isabelle,
24:38aujourd'hui dans l'heure du crime,
24:40peut-être l'évasion
24:42peut-être la plus célèbre au monde
24:43et finalement
24:43la cavale la plus incroyable
24:45qui soit.
24:46Vous allez comprendre tout de suite
24:47et vous la connaissez par cœur
24:48cette histoire,
24:49évidemment,
24:49même s'il y a bien des mystères.
24:51Un rocher aux Etats-Unis,
24:52la baie de San Francisco.
24:53Bien sûr,
24:55les évasés d'Alcatraz
24:57qu'on n'a jamais retrouvés.
24:58Alors,
24:59c'est la grande question.
25:00En 1962,
25:02sur ce rocher,
25:03il y a trois
25:04Bagnards
25:05qui réussissent à s'enfuir
25:07sur des radeaux de fortune.
25:07Il y a deux frères,
25:08les frères Anglines
25:09parmi eux.
25:10C'est le début,
25:11tout juste le début de l'histoire.
25:12Il faut savoir que ce Bagnon,
25:13personne ne s'est échappé
25:14jusqu'à présent.
25:14C'est une première,
25:15déjà aux Etats-Unis,
25:16on ne comprend pas.
25:18La question,
25:19la vraie question
25:19qui va se poser tout de suite,
25:21c'est est-ce qu'ils sont arrivés
25:22de l'autre côté
25:23sur la terre ferme ?
25:23Alors,
25:24il y a des signes
25:24qui disent que oui.
25:26Il y a des signes
25:26qui disent que oui,
25:27ils ont posé le pied
25:28ou tout au moins
25:29un ou deux
25:30ont posé le pied,
25:31sans doute pas les trois.
25:32Mais qu'est-ce qu'ils sont devenus
25:33par la suite ?
25:34Figurez-vous qu'aujourd'hui,
25:35l'enquête continue.
25:36Le FBI,
25:37il n'a jamais refermé ce dossier
25:38parce qu'aux Etats-Unis,
25:39on ne referme pas les dossiers.
25:40C'est toujours en cours.
25:40Et ils sont toujours recherchés
25:41les trois bannières.
25:43Les évadés d'Alcatraz,
25:44passionnant dossier.
25:47À tout à l'heure,
25:47Jean-Alphonse Richard.
25:49Une courte pause,
25:49c'est dans un instant,
25:50on se retrouve au 3210
25:51autour de cette interdiction
25:53du tabac.
25:54Je sais qu'on aura
25:55notamment Benjamin.
25:56Benjamin,
25:57il est fumeur,
25:57deux paquets par jour.
25:58À tout de suite.
26:00Jusqu'à 14h,
26:02Vincent Parizeau,
26:03Isabelle Choquet
26:04vous donne la parole
26:05sur RTL.
26:07Vivez Roland-Garros 2025
26:09sur RTL.
26:10Et on retrouve tout de suite
26:12Sébastien Rouxelles
26:13à Roland-Garros.
26:14Vous êtes toujours là,
26:14Sébastien ?
26:15Absolument.
26:16Sur le cours central
26:17où l'on attend
26:18d'une minute à l'autre
26:19Quentin Alice,
26:20le français qui s'attaque
26:21à une montagne.
26:22Aujourd'hui,
26:22le redoutable danois
26:23Holger Rune,
26:24dixième mondial.
26:25Ça va commencer
26:26d'ici une dizaine de minutes
26:27puisque la numéro un mondiale
26:29Sabalenka vient de se qualifier
26:30pour les huitièmes de finale
26:31en écartant la serbe
26:33Danilovic.
26:34Victoire en 2-7,
26:356-3,
26:356-3,
26:36malgré les quelques moments
26:37de flottement de la Bélarusse.
26:38Et puis d'un mot,
26:39ça va un peu mieux
26:40pour Lorenzo Mousseti,
26:42l'italien,
26:42tête de série numéro 8
26:43qui est revenu
26:44à une manche partout
26:45face à l'argentin navonné
26:46et qui mène
26:47cinq jeux à deux
26:48dans le troisième set.
26:49Merci Sébastien Rouxelles.
26:51On vous retrouve
26:51dans le flash de 14h.
26:52Isabelle Choquet,
26:55Vincent Parizeau,
26:56les auditeurs ont la parole
26:57sur RTL.
26:59Je trouve que Mme Vautrin
27:00a tort d'emberlificoter
27:02tout le monde.
27:03Il suffirait qu'elle interdise
27:04la vente de tabac
27:06et l'affaire est dans le sac.
27:07Mais il faut cesser
27:09d'infantiliser les gens.
27:11Radical donc cette auditrice.
27:13Interdisons purement
27:14et simplement
27:15la vente de tabac.
27:17Cela dit,
27:17c'est un chemin
27:18que est en train
27:19d'emprunter la Grande-Bretagne.
27:20Un chemin qui est en route
27:22et qui commence aussi
27:24avec les annonces
27:24de Catherine Vautrin
27:25sur l'interdiction
27:26de la cigarette
27:27dans les lieux
27:28où il y a des enfants
27:28la plupart du temps.
27:29C'est-à-dire aux abords
27:30des écoles,
27:31des collèges,
27:31des lycées,
27:32dans les parcs,
27:32sur les plages.
27:34Cela vous fait beaucoup réagir
27:35et cela fait réagir aussi
27:36sur les réseaux sociaux.
27:38Victor D'Arcas.
27:38Bonjour Isabelle,
27:39bonjour Vincent,
27:40bonjour à tous.
27:41C'est un sujet
27:41qui vous fait réagir
27:42sur notre application RTL
27:44et sur la page Facebook.
27:45Gwenola par exemple
27:46nous dit,
27:46dans ma ville,
27:47l'interdiction est déjà en vigueur
27:49devant les écoles.
27:50Des panneaux zone non-fumeurs
27:51sont installés
27:52et puis Michel nous dit
27:53je suis asthmatique
27:54et je ne veux pas
27:54que les gens fument
27:55à côté de moi.
27:56Un point c'est tout.
27:57Et puis on termine avec Kael
27:58qui nous dit,
27:59moi j'en ai marre
27:59de voir plein de mégots
28:01partout au sol,
28:02surtout dans les parcs
28:03de ma ville.
28:04Donc l'interdiction
28:04est la bienvenue.
28:05Voilà,
28:06les avis sont partagés
28:07mais globalement
28:08on peut dire que
28:09la tendance
28:11est quand même
28:11à l'approbation
28:12de ces mesures.
28:13Je voudrais qu'on demande
28:14l'avis de Benjamin.
28:16Alors on l'accueille
28:17sur RTL.
28:17Bonjour Benjamin.
28:19Bonjour, bonjour.
28:20Je vous ai présenté
28:21d'ores et déjà
28:21fumeur.
28:22On peut dire gros fumeur.
28:24Oui,
28:25quasiment deux paquets
28:25par jour.
28:26Oui.
28:27J'ai diminué
28:28avec l'augmentation
28:28du tabac forcément.
28:30L'augmentation du prix
28:31parce que ça vous coûte
28:32C'est un budget, oui.
28:35Oui, deux paquets
28:36ça fait 22, 23 euros
28:38par jour.
28:39À peu près 600 euros
28:41par mois, oui.
28:42Oui, c'est ça.
28:43C'est une belle maison
28:44à la fin d'un cas de 20 ans.
28:467000 euros par an,
28:47un peu plus de 7000 euros par an.
28:48C'est bien ça.
28:49Oui.
28:50Ça fait réfléchir, forcément.
28:52Ça fait réfléchir.
28:53Bon, après,
28:54on est comme tout tabacologue,
28:57il n'est jamais évident
28:58d'arrêter.
28:58On n'est pas éco
28:59face à la nicotine.
29:01Bien sûr.
29:01Vous avez déjà essayé
29:03d'arrêter ou pas ?
29:04Il n'y a rien qui fonctionne.
29:05Il n'y a rien qui fonctionne.
29:06Qu'est-ce que vous avez essayé,
29:07Benjamin ?
29:08Bon, j'ai fait
29:09nicopache, nicorette.
29:11Les substituts, oui.
29:13Oui, voilà.
29:14J'ai fait cigarette électronique aussi.
29:16Oui, sans succès.
29:17Alors, il n'y a rien
29:18qui remplace
29:19la cigarette actuelle.
29:21Je pense qu'au fur et à mesure
29:22des années,
29:22ils ont mis des agents
29:24plus, comment dirais-je,
29:26addictifs.
29:27Oui.
29:28Et que l'addiction
29:29est de plus en plus forte.
29:30Oui.
29:31Est-ce que vous ne pensez pas
29:32que justement
29:32les interdictions,
29:34finalement la restriction
29:35des espaces fumeurs,
29:36on va dire,
29:37ou des espaces
29:37où on peut fumer,
29:38est-ce que ça n'est pas aussi
29:40une incitation à arrêter ?
29:41Moi, je vais vous dire,
29:42franchement, j'étais fumeuse
29:43puisqu'on raconte tous notre vie.
29:44Oui, on est là pour ça aussi.
29:45Moi, j'étais fumeuse
29:46et alors franchement,
29:46ce qui m'a achevé,
29:47c'est quand la cigarette
29:49a été interdite
29:50dans les bureaux
29:51et dans les restaurants
29:51parce que ça ne m'intéressait pas
29:53de sortir pour fumer
29:54et ça a fini par me faire arrêter.
29:57Ça vous fait rien, vous ?
29:58Moi, non.
29:59Personnellement, non.
30:00Sauf que j'habite dans le Nord
30:01donc il fallait sortir
30:02et il fait froid.
30:03Ah oui, parfois il fait froid.
30:04Il y a eu l'opération
30:06des chaufferettes de terrasse
30:07justement pour les fumeurs.
30:08Mais maintenant, c'est interdit.
30:10Voilà.
30:11Mais vous fumez partout, Benjamin ?
30:14Partout.
30:15Partout.
30:16Partout.
30:17Je vais vous dire
30:18telle l'addiction est,
30:20je n'ai pas encore mis
30:22un pied par terre
30:23que je fume déjà.
30:24Ah oui, vous fumez
30:25la première cigarette au lit
30:26avant de mettre un pied par terre.
30:28Oui, oui, oui.
30:28Quand j'ai dit tout ça.
30:29Et la dernière ?
30:30La dernière, pareil,
30:32au même endroit.
30:33Et du coup,
30:34les interdictions qui sont annoncées,
30:35là, pour vous,
30:36c'est quoi ?
30:36C'est inefficace ?
30:38Pour moi,
30:38c'est ce que je disais
30:39à votre collaborateur d'avant.
30:41Moi, je n'ai pas vécu
30:43dans une famille de fumeurs.
30:44Mon père, ancien fumeur,
30:45mais je ne l'ai jamais connu fumer.
30:47Ma mère, jamais fumait.
30:48Et ce n'est pas des gens
30:50qui sortaient au restaurant
30:52régulièrement au croquet
30:53donc ce n'est pas là non plus
30:54que j'ai été influencé.
30:55J'ai été influencé
30:56par notamment
30:57les gens qui venaient
30:58chez mes parents,
30:59les ouvriers à mon père
31:00ou la famille,
31:03tout simplement,
31:04les amis de la famille.
31:04Vous avez commencé
31:05à quel âge, Benjamin ?
31:07Je commençais,
31:08j'étais en quatrième,
31:09donc je ne sais pas
31:09quelle journée,
31:10on a 14 ans, 15 ans.
31:11Oui, mais c'est souvent ça,
31:13ça fait bien,
31:14ça fait cool
31:14de fumer quand on a 15 ans.
31:17C'est ça,
31:17mais moi, j'ai adoré
31:18la fumée de cigarette,
31:20la gîte à de maïs
31:20d'un ouvrier à mon père.
31:22Alors, ça n'existe plus
31:24la gîte à de maïs,
31:25effectivement,
31:26mais on pouvait la fumer
31:28pendant des heures
31:28parce qu'elle s'éteignait
31:30sans arrêt.
31:31Oui, bien sûr.
31:32Mais par exemple,
31:33vous fumiez à la plage,
31:34vous fumez à la plage, Benjamin ?
31:36Mais tout à fait, tout à fait.
31:37Donc ça, ça va vous contrarier
31:40de ne pas pouvoir fumer
31:40ou vous allez prendre le risque ?
31:43Non, je ne suis pas du genre
31:44à prendre le risque
31:45parce que j'ai la poisse,
31:46moi, donc je vais mettre
31:47un pied de travers,
31:49je vais me faire avoir.
31:51Non, non, mais par contre,
31:52étant dans le Nord,
31:53moi, déjà, naturellement,
31:55je vais sur les plages belges
31:56où il n'y a pas d'interdiction,
31:58donc moi, ça ne va pas changer
31:59trop ma vie, quelque part.
32:01Non, après, moi,
32:02ce que je dis,
32:04l'influence, effectivement,
32:06l'interdiction aux abords,
32:08oui, c'est dommage
32:08d'en devoir en interdire.
32:11C'est ça, le problème.
32:12Moi, je pense que le problème,
32:13il est plus profond,
32:14il vient de l'éducation.
32:16Il vient de l'éducation
32:17et il y a un truc
32:18que je déplore,
32:18c'est l'éducation civique
32:19que j'ai connue, moi,
32:21parce qu'aujourd'hui,
32:21je viens d'avoir 44 ans,
32:23donc à l'école,
32:24qu'on n'a plus du tout.
32:25Non, c'est fini, ça.
32:26Qu'on n'a plus du tout
32:27et ça, je pense que
32:29c'est la première des choses
32:31à faire.
32:32Parce qu'effectivement,
32:33et ça, ça revient souvent,
32:34la liberté des fumeurs
32:36s'arrête là où commence
32:37celle des non-fumeurs,
32:39forcément,
32:40et que c'est une question
32:41de savoir vivre
32:42et de vivre ensemble.
32:44Bien sûr, Benjamin,
32:45on ne peut que vous conseiller
32:46d'arrêter,
32:46mais là,
32:47ce sont deux anciens fumeurs
32:48qui vous le disent,
32:49Isabelle et moi.
32:50Vous allez voir
32:50comme on est fiers
32:51quand on y arrive.
32:53Tout est mieux.
32:53C'est tout ce qu'on vous souhaite,
32:54en tout cas.
32:55On s'excuse auprès de Thibaut,
32:57justement,
32:58qui, lui,
32:59en tant que non-fumeur,
33:00d'ailleurs,
33:01voulait nous parler
33:01de la liberté
33:02des non-fumeurs.
33:03On aura l'occasion
33:04de l'accueillir Thibaut.
33:05On le remercie
33:06d'avoir fait le 3210.
33:08Il nous écoute à Périgueux.
33:10On marque une pause,
33:11puis dans un instant
33:12dossier sérieux.
33:13Le foot.
33:14Le foot.
33:15Alors,
33:15OUAI, Milan.
33:17Mais comment allez-vous
33:18vivre cette soirée ?
33:19Et puis surtout,
33:20qui est votre favori ?
33:21On peut en parler,
33:213210.
33:22Je sais qu'on a un appel
33:23de Milan.
33:24Allez, à tout de suite.
33:25Contactez-nous gratuitement
33:26via l'appli RTL
33:28ou au 3210.
33:2950 centimes la minute.
33:31Journée spéciale
33:32finale de la Ligue des Champions
33:33sur RTL.
33:37Le foot.
33:38Alors,
33:38OUAI, Milan.
33:40Pardon, Vincent ?
33:42Je me suis fait avoir,
33:44comme on dit.
33:45Mais pourquoi ?
33:45Tout simplement...
33:46Non, ce n'est pas
33:46de la pensée magique.
33:48C'est juste que sur mon écran,
33:49j'avais...
33:50Et là, je parle quand même
33:51sous le contrôle d'Isabelle.
33:52Absolument, je confirme.
33:52La fiche d'un auditeur,
33:54supporter de l'OM,
33:55qui veut intervenir.
33:56Et j'étais en train
33:56de la lire en même temps.
33:57Donc, j'ai une bonne excuse.
33:58Il n'y a que l'auditeur
33:58qui est supporter de l'OM, Vincent ?
34:00J'ai une bonne excuse.
34:01PSG, Milan.
34:03Allez, Paris !
34:04Je préfère.
34:05Et je le maintiens.
34:06On a beaucoup de supporters
34:07du PSG.
34:08On a un derrière la vitre,
34:10là, aux manettes, Damien.
34:11Pas du tout.
34:12Et on aura également,
34:13je le disais,
34:14un auditeur de Milan.
34:15Mais pour l'instant,
34:16on accueille Baptiste.
34:19Jeune supporter du PSG.
34:21Bonjour Baptiste.
34:22Bonjour Vincent,
34:23vous allez bien ?
34:23Bien, très bien.
34:25Et vous-même ?
34:26Ça va, ça va.
34:27Avec Isabelle, bien sûr,
34:28à mes côtés.
34:29Alors, parlez-nous
34:30de ce match demain soir.
34:32Comment vous allez le vivre ?
34:34Écoutez, je vais le vivre
34:35avec une très, très grande intensité.
34:38Je vais le voir
34:38avec mon meilleur ami d'enfance
34:41avec qui on soutient le PSG
34:43depuis qu'on est petit.
34:44Et alors, lui,
34:45lui est...
34:46Moi, je me considère déjà
34:48comme un grand fan du PSG.
34:50Lui est fond furieux du PSG.
34:51Je pense qu'il peut faire
34:52une crise cardiaque
34:53à chaque but.
34:54Vous, vous avez 21 ans, Baptiste.
34:56Donc, voilà.
34:56Ça fait, quoi,
34:57une dizaine d'années
34:58que vous suivez le PSG
35:00et que vous êtes supporter ?
35:02Depuis que je connais le foot.
35:03Depuis que je connais le foot,
35:04je suis le PSG.
35:06Et après, pour tout vous dire,
35:07pour vous dire la vérité,
35:08c'est que ces dernières années,
35:09moi, je commençais
35:10à en avoir marre
35:11de voir la stratégie
35:13qui était répétée
35:14de dépenser de l'argent
35:15dans des stars
35:16qui n'est pas stratégique.
35:17On subisse les caprices
35:19des joueurs
35:19contrairement peut-être
35:21à la stratégie du Real Madrid
35:22qui, eux, en fait,
35:23sont beaucoup plus cadrés.
35:25Donc, ça, ça commençait
35:25à m'énerver un peu.
35:26Le summum ayant été
35:27la triplette
35:29Neymar, Mbappé, Messi.
35:32Voilà.
35:33Et où, finalement,
35:33on était des stars
35:34et on n'arrivait jamais au bout.
35:36On mettait tous les moyens
35:37et on n'y arrivait pas.
35:38Alors que nous,
35:39on rêve de voir le PSG gagner.
35:40Bien sûr.
35:41Au bout d'un moment,
35:41ça m'a un peu embêté
35:42et alors beaucoup de gens
35:44m'ont reproché
35:44moins d'être un traître
35:46alors que je disais,
35:48alors que moi,
35:48je disais que non,
35:49que c'était Paris.
35:50Paris qui me travissait
35:51et Paris qui n'était pas
35:52à la hauteur de la confiance
35:53qu'on leur faisait.
35:54Alors, j'ai commencé
35:55à m'intéresser récemment
35:57au Paris FC
35:58qui a un grand projet.
35:59qui va rentrer dans l'élite.
36:02Voilà.
36:02Tout ça, ça reste Paris.
36:03Ce soir, vous êtes PSG.
36:06Demain.
36:07Demain soir.
36:08Ce soir aussi,
36:09vous avez raison.
36:10Demain encore plus.
36:11Et donc,
36:12vous êtes retombé amoureux
36:13du PSG, on peut dire.
36:16Écoutez,
36:16on attend demain.
36:17On attend demain.
36:18Mais en tout cas,
36:18ce que je veux dire,
36:19c'est que je suis très intéressé
36:21par le projet du Paris FC
36:22mais que là,
36:24vu ce qui se passe cette saison,
36:25c'est peut-être enfin l'année
36:27où on a fait quelque chose
36:28qu'il fallait faire
36:29et où on a joué
36:29vraiment collectivement
36:30et où peut-être
36:31on va gagner
36:32la Ligue des Champions.
36:33C'est ce que nous disait
36:34Vincent Guérin.
36:35Je ne sais pas
36:35si vous avez entendu
36:36tout à l'heure
36:36mais qu'effectivement,
36:38cette année,
36:39les super méga stars
36:40ne sont plus là
36:41mais il y a un jeu,
36:43il y a une équipe
36:44et il y a finalement
36:46une forme d'assurance
36:48sur le terrain
36:49qui nous laisse espérer
36:51qu'enfin,
36:53le PSG va décrocher
36:54cette coupe aux grandes érailles.
36:56C'est tout ce qu'on leur souhaite.
36:57Et je serai totalement réconcilié
36:58avec l'affaire.
37:00Ah ben voilà,
37:00espérons,
37:01c'est tout ce qu'on vous souhaite.
37:03Voilà,
37:03on espère.
37:04Allez Paris !
37:05Allez Paris,
37:06bien évidemment.
37:07On est maintenant en ligne
37:08avec Hugo.
37:09Bonjour Hugo !
37:10Bonjour !
37:10Bonjour Hugo !
37:11Vous, vous êtes un fan
37:12depuis très très longtemps
37:13également du PSG.
37:14Exactement !
37:15Et je rajouterais même
37:16un fan inconditionnel
37:18depuis toujours
37:19parce que j'ai cru comprendre
37:20avec le dernier auditeur
37:21que ce n'est pas tout le temps le cas.
37:22Vous avez entendu Baptiste ?
37:23Oui, Baptiste,
37:24je pense qu'à un moment
37:24les rebonds de Tadda et autres,
37:26il en a eu.
37:27Exactement !
37:28Moi aussi,
37:28je n'ai pas souffert,
37:29on a tous souffert,
37:30d'accord ?
37:30Mais l'adversité,
37:31quand on choisit un club de foot,
37:33on le supporte depuis toujours.
37:34Moi,
37:34quand j'ai commencé
37:35à supporter le PSG,
37:36on était relégable.
37:38Voilà,
37:39mes icônes,
37:40c'était Chanto,
37:40Mourotène et Paoleta.
37:42On en est bien loin aujourd'hui
37:43avec tout ce qui s'est passé
37:45dans le club.
37:45Mais en tout cas,
37:46que ce soit
37:47quand on était en difficulté
37:48en championnat,
37:49que ce soit après le rachat
37:49avec toutes les délusions
37:50qu'on a eues,
37:51on a toujours été avec le PSG,
37:53même si le cœur en souffre un peu.
37:55Racontez-nous,
37:55enfin,
37:56dites-nous comment vous allez vivre
37:57ce match demain soir, Hugo ?
37:59D'accord.
38:00Déjà,
38:00avec beaucoup d'intensité,
38:02d'impréhension.
38:04Mais vous serez où ?
38:05Vous serez où physiquement ?
38:06Chez vous ?
38:06Alors non,
38:08je suis avec des amis en extérieur.
38:09On est encore
38:10en train de décider à Paris
38:11si Grand Control
38:12ou alors le Café Ose.
38:14On a vraiment envie
38:15d'être dans l'ambiance
38:16et puis si jamais on arrive
38:17à ne pas trouver de place,
38:18etc.
38:18Moi,
38:18j'ai un appartenant dans le 11er,
38:19mais ce sera chez moi.
38:20Il ne faut pas réserver.
38:21On vient tous chez vous,
38:22évidemment.
38:23Oui,
38:23il faut réserver,
38:25mais bon,
38:25il fallait le faire il y a deux semaines
38:26parce que nous,
38:27ça fait une semaine ou dix jours
38:28qu'on essaye d'appeler partout.
38:30Donc,
38:30il y a une autre stratégie,
38:31c'est qu'on a des amis
38:32qui vont aller sur place
38:33très très tôt demain
38:34pour réserver des places.
38:35On espère que ça va bien se passer.
38:39Comment vous le voyez,
38:40ce match ?
38:40Parce que,
38:41bon,
38:41les bookmakers,
38:43on entend une certaine assurance
38:45sur le thème
38:46le PSG est favori.
38:48Oui,
38:48moi,
38:48je me méfie toujours de ça
38:49parce que quand on s'est fait
38:50remonter par le Barça,
38:51il y avait quand même
38:52une de l'équipe
38:52qui disait 100% de chance
38:54de gagner,
38:54ça n'est jamais arrivé.
38:55Donc,
38:55à chaque fois qu'on a été favori,
38:57on a toujours été un peu
38:57en difficulté.
38:58moi,
38:59je suis beaucoup de football,
39:00j'ai beaucoup d'amis
39:01qui étaient plus contents
39:01d'avoir l'Inter
39:02que Barcelone.
39:03Il faut voir les matchs
39:04aller-retour
39:05que l'Inter a fait
39:05contre le Barça.
39:06C'est ça,
39:07l'Inter à Milan
39:08a fait preuve
39:09d'un courage exceptionnel
39:11pour battre Barcelone.
39:12C'est incroyable.
39:12Exactement,
39:13ça va être un match très dur,
39:14ça va être un match
39:14physiquement très compliqué.
39:16Par contre,
39:16je pense qu'on aura le ballon
39:17parce que notre milieu de terrain
39:18est plus technique
39:19que celui de l'Inter.
39:20Par contre,
39:20ce qui est sûr,
39:21c'est que l'Inter
39:21ne va rien lâcher
39:22et le but d'Acherbi
39:23à la dernière minute
39:24en demi-finale,
39:25on risque de se le prendre aussi
39:26donc il va falloir être vigilant
39:27pour le match.
39:28Vous avez un petit pronostic,
39:29Hugo ?
39:30Écoutez,
39:31moi,
39:31je vois bien un 2-1
39:32ou 3-1 pour le PSG
39:33parce que je vois quand même
39:34l'Inter marqué
39:35mais globalement
39:36avec le fait qu'on aura le ballon
39:37et avec nos attaquants
39:38qui sont très offensifs
39:38et qui vont faire beaucoup d'appels,
39:40je pense que ça peut tourner
39:41en notre faveur.
39:41Maintenant,
39:42il y a toujours un petit scénario
39:43que j'ai en train de ma tête
39:44c'est que si jamais
39:45on est un peu fébrile
39:46sur les fins de match
39:48comme on a pu le connaître,
39:49ça peut être un 2-2
39:51et qu'on se retrouve
39:52en prolongation,
39:53évidemment,
39:53je ne souhaite pas
39:54ce scénario.
39:56Mais voilà,
39:56de toute façon,
39:57on espère tous
39:57que le PSG gagne.
39:59On en parlait
39:59avec Vincent Guérin,
40:00une victoire du PSG,
40:02est-ce que ça donnerait
40:05une autre dimension
40:05au Paris Saint-Germain
40:07dans la France entière ?
40:09La cote d'amour du PSG
40:11qui n'a pas toujours été,
40:12ce n'est pas simple
40:13parce qu'entre les régions,
40:15la province et Paris,
40:16il y a toujours
40:17un peu d'animosité.
40:18Est-ce que là,
40:21ça serait,
40:22j'allais dire,
40:24un ticket gagnant
40:25pour le PSG ?
40:26Évidemment,
40:27je pense que le PSG,
40:28cette saison,
40:28il a gagné le cœur
40:29des supporters parisiens,
40:30mais pas que parisiens.
40:31Que ce soit en France
40:32ou dans le monde entier,
40:33on voit une vraie équipe,
40:34un vrai collectif
40:35qu'on a plaisir à regarder.
40:36C'est ça.
40:36Et donc,
40:37je pense que,
40:37bon,
40:37à part du côté de Marseille,
40:39globalement,
40:40la France se passe avec.
40:41C'est un peu du folklore aussi.
40:44C'est un peu du folklore,
40:45effectivement.
40:45Et puis,
40:46j'écoutais certains supporters
40:47qui disaient,
40:47oui,
40:48toi,
40:48si Marseille était
40:49au Champions League,
40:49est-ce que tu serais derrière,
40:50etc.
40:51Bon,
40:51c'est pas tout noir ou blanc,
40:52mais je me suis souvenu quand même
40:53qu'en finale de l'Europa League
40:54en 2018 de Marseille
40:55contre l'Atlético Madrid,
40:57moi,
40:57je souhaitais que Marseille gagnait
40:58parce que je voulais
40:58qu'un club français
40:59puisse briller au niveau européen.
41:01Voilà,
41:01mais je pense qu'il y a
41:02beaucoup de Marseillais
41:02qui, au fond,
41:03pensent la même chose,
41:04même si on ne peut pas le dire.
41:06Voilà.
41:06On ne peut pas le dire.
41:06On ne peut pas le dire.
41:07Merci, Hugo.
41:09Merci, Hugo.
41:09Merci à vous.
41:10On n'est pas que chauvins
41:11quand même sur RTL.
41:12On accueille aussi
41:13les supporters italiens
41:14et les supporters italiens
41:15d'Italie,
41:15s'il vous plaît,
41:16puisque nous sommes en ligne
41:16avec Emanuele.
41:18Est-ce que je prononce bien ?
41:19Bonjour.
41:20Bonjour.
41:22C'est très bien.
41:23Bonjour.
41:23Alors,
41:24vous êtes à Milan,
41:25Emanuele.
41:26Pardon ?
41:27Vous êtes à Milan.
41:28Exactement,
41:29dans le centre de Milan.
41:30Voilà.
41:30Et paradoxalement,
41:31parce que dans le foot,
41:32rien n'est jamais simple,
41:33vous êtes à Milan
41:34et vous êtes un grand supporter
41:36de la Juve,
41:37de Turin.
41:38Et d'accord.
41:38Mais demain soir.
41:41Qui est comme
41:41Paris Saint-Germain
41:43et Marseille,
41:43pratiquement en Italie.
41:44C'est ça.
41:45C'est ça.
41:45C'est les meilleurs ennemis,
41:47on va dire.
41:48Voilà.
41:48N'empêche,
41:49forcément,
41:50ce soir,
41:51vous allez dire...
41:52Demain soir.
41:53Demain soir.
41:54Pourquoi ?
41:54Parce que je suis pressé.
41:55Je suis pressé.
41:56Vous allez dire
41:57aller Milan
41:58ou aller Paris ?
41:59Parce que vous avez aussi
42:00des racines parisiennes
42:02ou pas françaises ?
42:02Ni l'un ni l'autre.
42:03Ni l'un ni l'autre.
42:04Ah oui.
42:06Moi, je suis ici en France.
42:07J'étais supporter du FC Nantes
42:09parce que je suis né
42:10pas loin.
42:11C'est pour ça.
42:12Mais maintenant,
42:13ici...
42:13Non, c'est pour voir
42:14un bon match,
42:14simplement.
42:15C'est ça l'intention
42:16et que les deux équipes
42:19jouent leur meilleur football.
42:20C'est ça la plus chose
42:21et la plus importante.
42:21Comment vous jugez
42:21le Paris Saint-Germain
42:22aujourd'hui, Emmanuel,
42:23et vous qui êtes
42:24grand amateur de foot ?
42:26Très fort.
42:26Oui.
42:27Oui, très fort.
42:28Très fort.
42:28Ici en Italie,
42:29même la presse italienne
42:30reconnaît que cette année,
42:31le Paris Saint-Germain
42:32est vraiment monté
42:34d'un étage
42:35sur la qualité du jeu
42:36et les résultats.
42:38Je crois que des joueurs
42:39comme Mbappé et Neymar
42:40étaient très nocifs
42:41pour l'équipe
42:42et ils ont fait
42:43une très bonne chose
42:44simplement
42:44de s'en séparer.
42:46Mais le PSG
42:48est vraiment
42:49une très jolie équipe
42:50et qui arrive en finale
42:51d'ailleurs.
42:51Ce n'est pas une chance.
42:54C'est simplement
42:54parce qu'ils ont bien travaillé.
42:56C'est ça.
42:56Oui, bien sûr.
42:58En plus,
42:58ils n'ont pas eu
42:59la vie facile,
43:00surtout au début
43:01de cette Ligue des Champions.
43:03Ils y sont arrivés.
43:06J'allais dire
43:07un pronostic
43:07ou pas, Emmanuel ?
43:08Alors,
43:10je ne sais pas.
43:11Je pense que c'est un match
43:13qui va être très dur
43:14à jouer.
43:14Ça va peut-être
43:15un match finir
43:15aux prolongations,
43:16même voir au pénalty.
43:19Simplement,
43:19la chose indifférente,
43:20c'est que Paris Saint-Germain
43:21a fini le championnat
43:22bien avant
43:23en gagnant le titre
43:24en France.
43:24que la semaine dernière
43:26c'était terminé
43:27pour l'Inter.
43:28Donc l'Inter
43:28est assez fatigué
43:29quand même.
43:30Je pense que
43:31la coupe
43:31sera levée
43:33par le Paris Saint-Germain.
43:34C'est dit.
43:35Parole d'Italien.
43:36Parole de supporters
43:38de la Juve.
43:39Merci beaucoup,
43:40Emmanuel.
43:41Une petite pause
43:42et on continue
43:42à parler foot.
43:43Bien sûr,
43:43on vous attend
43:44au 3210.
43:46Midi,
43:4714h.
43:48Les auditeurs
43:49ont la parole
43:49avec Vincent Parizeau
43:51et Isabelle Choquet.
43:54RTL,
43:55journée spéciale.
43:56Tout le monde est à 100%
43:57et tout le monde est prêt
43:58pour ce match.
43:59En route vers la finale
44:00de la Ligue des Champions.
44:01Allez Paris !
44:02On sent l'ambiance monter
44:13avec les tribunes
44:14du Paris Saint-Germain.
44:15On va vous reprendre
44:16dans un instant
44:17au 3210,
44:18mais j'accueille
44:19dans ce studio
44:20Enzo
44:20que vous connaissez bien
44:21et que vous entendez
44:22régulièrement
44:22dans cette émission.
44:24Bonjour Enzo.
44:25Vincent,
44:25Isabelle,
44:25bonjour à tous.
44:26Enzo qui accueille
44:27les auditeurs
44:28au 3210
44:29et qui a une particularité.
44:31Nul n'est parfait
44:31dans ce monde.
44:33Il est grand supporter
44:34du Paris Saint-Germain.
44:36Donc,
44:36première question Enzo.
44:38Qu'est-ce que vous faites
44:39demain soir ?
44:40À la maison
44:40avec les copains.
44:41On va prier après,
44:43c'est tout.
44:43On va être concentré
44:44pendant 90 minutes
44:45et espérer
44:45que ça fasse le taf.
44:47Et un petit pronostic ?
44:49De 1.
44:49De 1 comme beaucoup,
44:50ça va être un matchéré
44:51ou alors 2-2
44:52et aller au péno.
44:53Mais je pense que
44:54physiquement,
44:55on peut être au-dessus
44:55des Italiens.
44:56Et je termine.
44:57Est-ce que vous êtes d'accord
44:57à ce que nous disent
44:58quand même régulièrement
44:59les auditeurs
45:00à savoir qu'ils préfèrent
45:01cette équipe
45:02aujourd'hui
45:03sans les super méga stars
45:05que celles d'il y a
45:07deux ans,
45:07trois ans
45:08avec Neymar,
45:10Mbappé et Messi ?
45:11100%.
45:12Je pense qu'on ne peut
45:12que aimer une équipe de foot
45:13qui tourne bien
45:14ou il y a un entraîneur
45:15ou c'est comme
45:16quand on jouait
45:17quand on était petits en fait.
45:18C'est la même énergie,
45:19on le ressent.
45:19C'est incroyable.
45:20C'est un groupe
45:20qui est jeune,
45:21qui a beaucoup de talent.
45:23Il prend les choses
45:24très à cœur,
45:25vous l'avez compris.
45:27Restez avec nous Enzo.
45:28J'ai un auditeur
45:28à vous présenter.
45:29Anis.
45:30Bonjour Anis.
45:31Bonjour Anis.
45:32Bienvenue Anis.
45:33Vous nous appelez
45:34de région parisienne ?
45:36Exactement,
45:37de Montigny-de-Bretonneux.
45:39Et votre club de cœur ?
45:41Moi c'est l'OM.
45:44C'est intéressant
45:46d'avoir un supporter
45:47de l'OM.
45:48Demain soir,
45:50le cœur penche
45:52pour le club français
45:53ou contre l'ennemi juré ?
45:55Moi demain,
45:56je serai à fond pour l'Inter.
45:59C'est vrai.
46:00Demain vraiment,
46:01c'est personnel.
46:02C'est parce que j'ai eu
46:03beaucoup de rivalités
46:04dans ma vie,
46:05beaucoup d'amis parisiens
46:06qui vont toujours
46:06chambrer pour Marseille,
46:07moi qui les ai toujours
46:08chambrés en retour.
46:09C'est ce qui va se passer
46:10demain soir aussi.
46:11Si Paris gagne,
46:13félicite un soin à eux
46:14et je ne vais m'en prendre
46:14plein la trouche.
46:16Si c'est l'inverse,
46:17mes amis aussi.
46:19Vous parlez de
46:20chambrage
46:21ou chambrette,
46:22d'ailleurs,
46:22je ne sais pas exactement
46:23comment on dit.
46:24Ça veut dire qu'il y a
46:25quand même une part
46:26de folklore
46:26dans tout ça
46:27à Nice.
46:28Exactement.
46:30C'est une animosité
46:32mais ça ne reste que du football.
46:33Bien sûr,
46:33il faut que ça s'arrête
46:34au stade du football,
46:35ça ne reste que du foot
46:36mais il faut garder
46:37cette petite rivalité.
46:40Je trouve par exemple
46:41en parlant des légendes
46:42marseillaises
46:42qu'ils ont déclaré
46:43leurs flammes
46:43pour le Paris Saint-Germain.
46:44Au-delà de la légende,
46:45Basile Bolli,
46:46c'est quand même lui
46:46qui marque le but
46:47de la victoire en 1993
46:49et il soutient le PSG
46:51donc ça ne vous fait
46:52pas réfléchir ça ?
46:54Non,
46:54ça ne fait pas réfléchir,
46:55ça me fait plus mal
46:56qu'autre chose
46:57que je lui ai dit
46:57on se sent quand même
46:58représenté par ces personnes-là
46:59surtout Basile Bolli
47:01qui a été l'unique buteur
47:03lors de la finale en 1993
47:04et là en train de dire
47:05soutenir l'Inter
47:07je trouve ça
47:07entre guillemets
47:08on va dire absurde.
47:09Ça vous reste un petit peu
47:11en travers de la gorge.
47:12On comprend ça à Nice
47:14en tout cas
47:15on est avec vous
47:16que vous soyez
47:17pour l'Inter
47:19comme à Nice
47:19ou comme vous
47:21pour le Paris Saint-Germain.
47:23Merci beaucoup Enzo.
47:24Et alors donc pour vous
47:25ce sera sur le canapé
47:26en regardant M6
47:27mais on est en ligne
47:28avec Cédric
47:29qui lui est en route
47:30pour Munich.
47:30Ce n'est pas vrai.
47:31Vous serez au stade Cédric ?
47:32Bonjour !
47:33Bonjour à tous !
47:35Vous êtes sur la route ?
47:36On est sur la route
47:37on a passé
47:38la frontière allemande
47:39donc il nous reste
47:40270 kilomètres
47:42et on arrive
47:43dans à peu près
47:44à peu près 3 heures.
47:45Et donc la nuit
47:46à Munich ?
47:48Alors la nuit
47:49à Munich ce soir
47:49la nuit à Munich
47:50demain soir
47:51et en espérant
47:52une super bonne nouvelle
47:54et qu'on puisse passer
47:55une magnifique soirée.
47:57Ça on imagine.
47:58L'ambiance
47:58qu'est-ce que vous avez prévu ?
47:59Les maillots,
48:00les écharpes,
48:00les casquettes ?
48:02Alors on a prévu
48:03les écharpes,
48:04on a prévu
48:05les maillots collector,
48:06on a prévu aussi
48:07on n'a pas le prix
48:09de maquillage
48:10les gars.
48:11Ah oui !
48:12Il faut vous trouver
48:12du maquillage bleu bleu rouge.
48:13Vous avez toute la journée
48:14de demain
48:15pour trouver le maquillage
48:16mais vous vous entendez ?
48:16Vous êtes combien ?
48:18Là en fait
48:19on est quatre dans la voiture
48:20en covoiturage
48:22on a passé la nuit
48:23sur Strasbourg
48:23et puis après
48:24on a repris la route
48:26donc voilà
48:27des gens de tout horizon
48:29essentiellement
48:31région parisienne certes
48:32mais voilà
48:33on fait connaissance
48:35et puis on partage
48:35ce bon moment
48:36pour...
48:36Et cette fois-ci
48:37c'est la bonne ?
48:39Ah !
48:39On l'espère !
48:41On l'espère !
48:43Ça fait des années
48:44qu'on l'attend
48:44ça là.
48:45Moi j'ai eu 47 ans
48:46il y a deux jours
48:46et là je suis supporter
48:48du PSG
48:49depuis l'âge de 15 ans
48:51Et là...
48:52Et bien là oui
48:53c'est forcément...
48:54Et voilà
48:54et ça sera à suivre
48:55soit au stade comme vous
48:56soit sur RTL
48:58et sur M6
48:59pour les images
48:59Merci beaucoup
49:00Bonne route
49:01soyez prudents
49:01RTL il est 14h ?
49:04Ah non !
49:05Mais non mais non
49:05il est presque 14h
49:06Mais pas tout de suite
49:07mais je ne vous ai pas vu
49:09entrer Jean-Alphonse Richard
49:10Il est discret
49:10Il est silencieux
49:12Avec l'heure du crime
49:13aujourd'hui
49:13les évadés de l'Alcatraz
49:14où sont passés
49:15les trois banniards ?
49:16C'est tout de suite
49:17Tous les jours
49:18RTL vous donne la parole
49:20entre midi et 14h
49:21Et puis...

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