TEMPO LA SO: Thème de l’émission : le Budget 2025 / 2026

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Ce lundi, de 17h30 à 19h, suivez une édition spéciale de « Tempo La So » sur TOP FM. Thème de l’émission : le Budget 2025 / 2026, les principaux défis à relever et les marges de manœuvre disponibles. Pour en débattre, trois invités seront sur le plateau, le député Roshan Jhumun, le syndicaliste Ivor Tan Yan et l’expert-comptable Irshad Mallam-Hassam. Vous pourrez poser vos questions en direct à partir de 18h30 au 213 7777. A suivre également sur toutes nos plateformes digitales.

Transcript

00:00:00TEMPOLA SOU

00:00:15TEMPOLA SOU

00:00:17Où la voie, où s'y met la nuit

00:00:19Bonsoir et bienvenue dans TEMPOLA SOU

00:00:25Aujourd'hui, puisque c'est le 5 juin,

00:00:32on présente BUDGET 2025-2026

00:00:37et on va commencer une série, ou bien,

00:00:40je ne sais pas, on va continuer

00:00:42une série de budgets

00:00:46qui mangent des manoeuvres gouvernement énantes,

00:00:50c'est-à-dire, qu'est-ce qu'on va faire avec ce qui est énant ?

00:00:53Si on a 100 rubis devant la case,

00:00:55combien est-ce qu'on va dépenser là-dedans ?

00:00:57Combien est-ce qu'on peut payer sur dette ?

00:00:58Combien est-ce qu'on peut donner à manger ?

00:01:00Combien est-ce qu'on peut payer l'école,

00:01:01valer l'école, etc. ?

00:01:03Et aussi, aujourd'hui, en 2025,

00:01:07plus que 6 mois après l'élection générale

00:01:11et la victoire des 60 euros,

00:01:15quels sont les grands défis qui peuvent atteindre nos pays ?

00:01:19C'est-à-dire, quels sont les gros macadams

00:01:22ou même les gros montagnes qui peuvent ouvrir la route ?

00:01:26Et troisièmement,

00:01:28quelles sont les façons de faire face à ce problème-là ?

00:01:31Et quelles sont les façons de pouvoir,

00:01:33dans la situation actuelle,

00:01:35répondre aux besoins,

00:01:37à la fois économiques,

00:01:39parce qu'il y a des investisseurs,

00:01:41il y a tout,

00:01:42mais il y a aussi le social,

00:01:44le travail,

00:01:46et il y a aussi la culture.

00:01:49Il y a toute une série de choses.

00:01:51Donc, maintenant, à ma droite,

00:01:53Roshan Jaman,

00:01:57un député petit-travailliste du numéro 13,

00:02:01et il enseigne l'économie pendant plus de 25 ans.

00:02:07Et à ma gauche, là-bas,

00:02:10c'est Irshad Malamassam,

00:02:14qui est un expert comptable,

00:02:16et budget, souvent manager,

00:02:18c'est aussi un exercice comptable.

00:02:20Voilà.

00:02:21Et ensuite, maintenant à ma gauche,

00:02:23il y a mon ami Ayvo Tagnan,

00:02:26militant syndical,

00:02:28il n'est pas comptable,

00:02:29mais il est syndicaliste.

00:02:31Donc, messieurs,

00:02:33bon après-midi ou bonsoir,

00:02:35et bienvenue dans nos studios.

00:02:37Je vous présente mon exquise,

00:02:39qui nous permet d'avoir un élément féminin,

00:02:41pas de récit,

00:02:42il y a un élément féminin à temps,

00:02:44et donc, pitch.p, gender balance.

00:02:48Voilà.

00:02:49Et voilà, nous...

00:02:51Bonsoir, les auditeurs.

00:02:54Ça va ?

00:02:55Bonsoir, les auditeurs, bonsoir, les auditeurs.

00:02:56Il est OK, là, quand on peut assister ?

00:02:58Apparemment, oui.

00:03:00La régie, chacun écoute si le son passe bien.

00:03:03Donc, nous posons la question,

00:03:06mon fille, il y a tous les trois noms, là, non ?

00:03:08Voilà.

00:03:09Et nous posons la question au député,

00:03:12qui est représentant de l'Alliance du changement,

00:03:16et elle n'est même pas une des 60 élues.

00:03:21Donc, voilà.

00:03:23Aujourd'hui, mon tante Paule Béranger,

00:03:25moi qui connais qu'il fait Aline et Khalil et tout ça,

00:03:27mon épée chagrin,

00:03:29qui est dans ma tête en tout,

00:03:31je n'ai que Vincia et la crasse,

00:03:32ça ne fait pas mon poisson là-bas,

00:03:34et je n'ai pas envie de retourner dans ma tête.

00:03:37Et ce que je voulais dire, c'est qu'aujourd'hui,

00:03:40quelle est la lecture, très brièvement,

00:03:44de la situation économique du pays,

00:03:47et là-bas, je peux vous dire

00:03:49qu'il y a un grand défi qui est là-bas.

00:03:51Là-bas, nous devons, nous devons

00:03:53résoudre ce problème-là.

00:03:56Et merci à vous,

00:03:59bonsoir pour commencer,

00:04:00bonsoir à vous et à vos camarades,

00:04:03à Sam et à Chad.

00:04:06Et bonsoir à l'île Maurice,

00:04:08tous les Mauriciens et Mauriciennes qui nous écoutent,

00:04:10ici et ailleurs.

00:04:11Moi, j'ai eu l'occasion de vous souhaiter

00:04:13à toutes vos mamans une bonne fête,

00:04:15la fête des mères.

00:04:17Et moi, j'ai eu l'occasion aussi

00:04:19de féliciter tous les fans de Liverpool,

00:04:23qui ont gagné leur 20e victoire dans la Ligue.

00:04:28Vous avez dit 20e, là?

00:04:2920e, 20e, bien sûr.

00:04:3220e!

00:04:34Et voilà, bon,

00:04:36pour revenir à votre question,

00:04:38Bayabi,

00:04:39il y a un mot anglais qui se trouve,

00:04:41un proverbe,

00:04:42« cut your coat according to your cloth ».

00:04:45Si vous n'avez pas de toile,

00:04:47ne pensez pas à tout,

00:04:48ce qui vous coûte 3 mètres de toile.

00:04:49Pour faire la rigueur, il y a un petit saut.

00:04:51Exactement.

00:04:52Alors, je pensais que ça résume tout.

00:04:54Mon papa t'aime taillé, alors.

00:04:57Ça résume tout,

00:04:58ça résume tout ce que vous payez,

00:05:00une demande de moi, right?

00:05:02Moi, je m'en oeuvre,

00:05:03bien, bien limité.

00:05:04Dettes publiques,

00:05:05c'est pas moi qui vous en ai dit,

00:05:07il y a un chiffre là.

00:05:08Non, mais combien de pourcent du...

00:05:10Exactement.

00:05:11En mars, c'était 611 milliards.

00:05:13Quand j'ai montré,

00:05:14ce n'est pas parce que j'ai montré 3 milliards,

00:05:15en mars 2025,

00:05:16611 milliards d'dettes.

00:05:20À ce moment-là,

00:05:21l'amortisseur est là-haut,

00:05:22628 milliards.

00:05:24Et, à la fin du juin 2025,

00:05:27à la fin de l'année financière,

00:05:29nous pouvons prévoir

00:05:30qu'il y a 644 milliards d'rupees

00:05:34qui représentent, là-haut,

00:05:3690% de nos produits intérieurs bruts.

00:05:41Mon corps de langue est simple.

00:05:43Tout le monde comprend,

00:05:44tout le monde comprend.

00:05:45C'est pas que tout le monde comprend

00:05:46c'est quoi PIB,

00:05:47produits intérieurs bruts,

00:05:48c'est totale valeur monétaire

00:05:50de tous les produits et services

00:05:53qu'ils nous produisent

00:05:54dans un an dans le pays.

00:05:56Dans l'année financière.

00:05:57Exactement.

00:05:58D'accord?

00:05:59Alors,

00:06:01dans ça,

00:06:0290%,

00:06:04si on prend là,

00:06:05on doit payer des...

00:06:08Sinon, on ne peut pas payer ça.

00:06:09Il y a le site Vichy,

00:06:10nous pouvons continuer à payer.

00:06:11Nous pouvons continuer à payer.

00:06:12Exactement.

00:06:14Dernier budget,

00:06:15le ministre Padé a dit,

00:06:17pour ne pas la faire démagoger,

00:06:19mais pour dire des affaires à ASITIS,

00:06:21comme tel,

00:06:22il prévoit un déficit budgétaire

00:06:25de 26,8 milliards.

00:06:28Explique ce déficit budgétaire

00:06:30très brièvement.

00:06:31Très bien.

00:06:32Alors,

00:06:33c'est quoi un budget?

00:06:34C'est un plan,

00:06:36un focus,

00:06:37comment dire,

00:06:38de tous les revenus

00:06:40que nous pépons pour gagner

00:06:42et comment nous dépenser.

00:06:44Alors, d'après lui,

00:06:45les revenus,

00:06:46si pensé,

00:06:49descendent 10 milliards

00:06:51descendent 10,5 milliards

00:06:53et dépensent pour 237,3 milliards.

00:06:56Oui, oui.

00:06:57Pour ne pas les causer.

00:06:58Oui, oui.

00:06:59Il y a plein d'argent qui est dans le vide.

00:07:01Alors,

00:07:02il prévoit un déficit pour 26,8 milliards.

00:07:05Ou,

00:07:06d'après Touban et Simard,

00:07:08qui sont là actuellement,

00:07:10nos revenus,

00:07:11au lieu de descendre 10 milliards,

00:07:13nous pépons à 193 milliards.

00:07:16Ou, nous dépensons,

00:07:18au lieu de 237 milliards,

00:07:20nous dépensons à peu près 242 milliards.

00:07:24Ça, c'est comment dire?

00:07:26Alors, d'après Simard et Simard,

00:07:31les revenus peuvent baisser,

00:07:33les dépenses peuvent augmenter.

00:07:35Et le déficit, là,

00:07:37c'est 26,8 milliards.

00:07:40Là, nous pépons à 48,5 milliards.

00:07:44C'est une différence de 20 milliards en plus.

00:07:48Nous devons prendre quatre ans et demi dans un chagos

00:07:50pour nous cramer en bourse.

00:07:52C'est un déficit, là.

00:07:54C'est un déficit budgétaire, là.

00:07:56D'accord?

00:07:57On comprend ça très, très bien,

00:07:59c'est un problème, là.

00:08:00Récemment, il y a eu deux mois,

00:08:02au Parlement,

00:08:03nous passons un Supplementary Appropriation Bill

00:08:06pour des dépenses additionnelles.

00:08:08Vous connaissez comment ça s'appelle?

00:08:10Pour 2023-2024,

00:08:12nous dépensons 2,8 milliards.

00:08:14Pour 2024-2025,

00:08:16nous dépensons 21 milliards.

00:08:19C'est-à-dire deux fois plus.

00:08:22Qui sait qui nous peut gagner?

00:08:24Ça, c'est additionnel,

00:08:26c'est-à-dire supplémentaire sur nous-mêmes.

00:08:28Oui, oui, je connais.

00:08:29D'accord?

00:08:30Et voilà, nous nous retrouvons aujourd'hui

00:08:32avec une dette d'à peu près 644 milliards.

00:08:35Nous passons la parole aux autres invités.

00:08:40Bien sûr, bien sûr.

00:08:41Là, on ne cause que la dette publique,

00:08:44on cause le déficit visitaire

00:08:46et on crée un petit mot

00:08:47sur le déficit commercial aussi

00:08:48pour le compléter.

00:08:49Ah, justement.

00:08:50Déficit commercial.

00:08:51Là, nous laissons maintenant.

00:08:52Vous pouvez noter combien de minutes

00:08:53que nous causons là.

00:08:54Déficit commercial, c'est quoi?

00:08:56C'est la différence entre ce qui nous paye

00:08:58d'acheter des pays étrangers,

00:09:00on appelle ça impôts,

00:09:01et la différence avec ce qui nous paye exportés.

00:09:03Ce qui nous paye en expôts, voilà.

00:09:05Et les services qui nous...

00:09:07Oh, bon, ça tout le monde connaît, right?

00:09:10Ce qui nous importe beaucoup plus

00:09:12que ce qui nous paye exportés.

00:09:13Il n'y a pas de problème, ça.

00:09:14Il n'y a pas de problème.

00:09:15Plus tard, nous ne causons pas ça.

00:09:17Si on peut importer en matière première,

00:09:19on peut importer en technologie,

00:09:21on peut importer dans le service...

00:09:22Non, mais plus tard,

00:09:23on est allé à un mot pour faire

00:09:24des minutes, ça va, non, moi?

00:09:25D'accord.

00:09:26Le problème, c'est...

00:09:27C'est nos consommations,

00:09:28du monde, manger...

00:09:29Exactement.

00:09:30Et les mains, en fait, tout va bien.

00:09:31Voilà, voilà, voilà.

00:09:32Ceux-là tournent à peu près

00:09:33des 30 milliards déficits, là.

00:09:36Tu ne peux pas continuer.

00:09:38Si nous faisons 100 milliards,

00:09:40nous gagnons en importation,

00:09:42nous devons acheter 130 milliards.

00:09:44130 milliards.

00:09:45Déficit-là, l'île a.

00:09:46Et nous devons payer.

00:09:47Et payer la...

00:09:48Bon.

00:09:49Donc, voilà.

00:09:50Laisse-nous checker un coup

00:09:51avec Lili Cohen-Jokes.

00:09:53Lili Cohen-Jokes.

00:09:55Lili Cohen-Jokes, hein.

00:09:56Il est un expert comptable.

00:09:58Donc, de quelle manière

00:09:59vous trouvez la situation?

00:10:01Ajoutez-le ce qu'il a dit, lui.

00:10:05Qui vous trouve aujourd'hui

00:10:07la situation comme elle était

00:10:09pour qu'ils nous puissent trouver

00:10:10qui mange, qui manoeuvre.

00:10:12Le gouvernement, mais le pays,

00:10:15la population,

00:10:16qui les travaille,

00:10:17qui les capitalise,

00:10:18qui les employe,

00:10:19qui les sommeille.

00:10:20Et niveau dit, nous tous,

00:10:21nous avons une expectation,

00:10:23nous avons une semaine pour nous aller.

00:10:26Donc, dans ce cas-là,

00:10:27de quelle manière vous trouvez la situation

00:10:29pour qu'on puisse vivre la question suivante,

00:10:32c'est-à-dire,

00:10:33qui mange, qui manoeuvre.

00:10:35Le gouvernement, il y en a.

00:10:36Et les parents, les familles,

00:10:38l'endettement familial,

00:10:39c'est une autre grosse histoire.

00:10:41Nous, écoute, Yassad.

00:10:44Il y a une langue par rapport à ce que

00:10:49l'honorable German dit,

00:10:51déficit budgétaire,

00:10:53il y a une affaire extrêmement importante

00:10:55que nous devons suivre de près,

00:10:57mais nous ne devons pas oublier

00:10:59qu'il y a différents pays dans le monde

00:11:01qui ont un déficit budgétaire

00:11:03encore plus important qui mourrit.

00:11:05Bien sûr, le Japon revient à l'esprit

00:11:08parce que c'est un des pays

00:11:10les plus endettés, etc.,

00:11:12au niveau du déficit budgétaire.

00:11:14225 % de ce pays.

00:11:16Combien ?

00:11:17225 %.

00:11:18225 %, exactement, le chiffre.

00:11:19Il y a une autre cause.

00:11:20Il est bon qu'il nous resitue.

00:11:22Il y a une autre cause, 90 %,

00:11:24et le député en France,

00:11:27il a tout à fait raison

00:11:28que ça l'interpelle,

00:11:30mais pour mettre en perspective,

00:11:31le Japon, c'est 225 %.

00:11:34Donc, c'est presque trois fois la somme.

00:11:38Le cœur du problème, véritablement,

00:11:42c'est est-ce que l'économie du pays

00:11:46inspire confiance pour le futur ?

00:11:48Ça, c'est un facteur extrêmement important.

00:11:50Donc, évidemment,

00:11:51ça, déficit budgétaire, déficit, etc.,

00:11:55ça, est-ce que c'est un facteur

00:11:59qui pousse les gens, les entreprises

00:12:02à investir dans nos pays ?

00:12:04Non, non, non.

00:12:05On peut prendre l'inverse.

00:12:06Ça veut dire,

00:12:07pour qu'on finance le déficit,

00:12:09il faut dire qu'on peut emprunter

00:12:11avec un tiers parti.

00:12:13Ce tiers parti-là,

00:12:15s'il y a une confiance

00:12:17où il y a ce qu'il faut,

00:12:19où il n'y a pas l'économie

00:12:20qui peut aller en faillite,

00:12:21où il n'y a pas...

00:12:22Tu peux rembourser.

00:12:23Tu peux rembourser, voilà.

00:12:24Tu paies-moi la banque,

00:12:25je fais un grand alété,

00:12:26on peut faire rien.

00:12:27Tu peux rembourser,

00:12:28ou tu peux continuer à financer la dette.

00:12:32D'accord.

00:12:33Et beaucoup d'économies, au fait,

00:12:35je te laisse ça déficit budgétaire,

00:12:38parce que nous avons carrément

00:12:41de grandes théories économiques,

00:12:43mais si nous arrêtons les dépenses,

00:12:45nous pouvons ralentir l'économie.

00:12:46Et si nous ralentissons l'économie,

00:12:48nous pouvons créer

00:12:49une récession économique

00:12:50et qu'il y ait encore plus de dégâts.

00:12:52Et il ne faut pas oublier

00:12:53qu'aussi les États-Unis,

00:12:55la plus grande économie du monde,

00:12:58ils roulaient à travers un déficit

00:13:00qui est presque perpétuel,

00:13:03d'année en année.

00:13:04Sauf que, même le gouvernement Trump

00:13:07est assez préoccupé

00:13:09par le niveau de déficit qui est arrivé.

00:13:12Donc là, nous sommes en situation

00:13:14de se dire que,

00:13:16est-ce que 90%

00:13:18il y a un chiffre qui nous atteint

00:13:20la rupture,

00:13:21c'est-à-dire nous ne pouvons pas

00:13:22continuer à sustainer,

00:13:23ou soit nous ne pouvons pas

00:13:24continuer à sustainer.

00:13:25Il y a des écoles de pensée

00:13:26par rapport à ça.

00:13:27Et où est l'école des penseurs?

00:13:30Alors, l'école de pensée,

00:13:32l'école de pensée,

00:13:33là, les plus vignent

00:13:34à si nous continuons

00:13:37à ce type de déficit budgétaire.

00:13:39Si nous sommes du 99, 92, 95,

00:13:41non, allez.

00:13:42Oui, exactement.

00:13:43Donc la réponse, c'est

00:13:44qui nous fait en sa casse-là?

00:13:46Qu'ont-nous pu investir

00:13:47en sa casse-là?

00:13:48Vous pensez, le député Jobin,

00:13:50il dirait d'une certaine conversation.

00:13:53C'est-à-dire qu'il est important

00:13:55de comprendre

00:13:56qu'est-ce qu'il peut faire

00:13:57avec sa...

00:13:58Si nous payons un impôt

00:14:00si nous payons un...

00:14:01Si nous payons un emprunteur,

00:14:02qui nous fait ça?

00:14:03Donc, la réponse se situe

00:14:05comment...

00:14:06Quelle est la nature

00:14:07de sa déficit?

00:14:10Et deuxièmement...

00:14:12Très bruyamment, vous allez dire, moi,

00:14:14quelle est cette nature-là?

00:14:15Si il y a un moyen,

00:14:1620, moins 15, là.

00:14:18Et deuxièmement,

00:14:19c'est qui nous paye

00:14:20l'aspect de croissance?

00:14:21Parce que si nous payons

00:14:22l'aspect de croissance,

00:14:23c'est faux, il n'est pas capable

00:14:24de couvrir ça.

00:14:25Là, je suis là...

00:14:26Bon, c'est vrai que l'économie,

00:14:27ce n'est pas une science

00:14:28exacte et simple.

00:14:29Parce que plus je tourne

00:14:30dans les détails,

00:14:31il y a plusieurs facettes

00:14:32d'analyse.

00:14:33D'accord.

00:14:34Maintenant, Aïvo,

00:14:35une cause déficit public,

00:14:38une cause d'aide publique,

00:14:41une cause déficit budgétaire,

00:14:43une cause déficit commercial,

00:14:45une cause, ben,

00:14:46les autres problèmes,

00:14:47une cause croissance,

00:14:49ben, moi, qu'est-ce qu'on me pose

00:14:51aux militants syndicals,

00:14:52et qu'on appelle

00:14:53les militants syndicals,

00:14:54et pas syndicalistes.

00:14:56Donc, aux militants syndicals,

00:14:57ils me posent la question,

00:14:59mais qu'ils, ou,

00:15:01après qu'ils nous écoutent des spécialistes,

00:15:04on va dire,

00:15:06ou, en tant que militants syndicals,

00:15:09et qui ont trouvé, ou,

00:15:12comme le plus gros problème,

00:15:15ou les plus grands mannes françaises,

00:15:17il y en a,

00:15:18avec sa problématique,

00:15:19ou qu'il y a plus grand issue

00:15:21qu'il nous en a aujourd'hui,

00:15:23en 2025,

00:15:24du point de vue

00:15:25de la grosse majorité

00:15:27des americains

00:15:28qui salariés,

00:15:29comme moi,

00:15:30comme, ou,

00:15:31comme ça, des gens là aussi.

00:15:33Alors,

00:15:34nous, tous nos salariés,

00:15:35de toute cette façon, non?

00:15:36D'abord,

00:15:37d'abord,

00:15:38je suis bien content,

00:15:39je me réjouis,

00:15:40je salue mes auditeurs

00:15:41et mes camarades au plateau.

00:15:42D'abord,

00:15:43je pensais qu'il y avait

00:15:45un très bon exposé

00:15:46qu'ils faisaient

00:15:47pour causer la dette,

00:15:48et une cause,

00:15:49effectivement,

00:15:50avec différents éléments.

00:15:51Il y a un élément

00:15:52qu'ils nous ont causé,

00:15:53et qui,

00:15:54définitivement,

00:15:55c'est un élément,

00:15:56on l'a dit,

00:15:57contrairement à la dette,

00:15:58ne pas qu'à passer

00:15:59une simple mainterie

00:16:00dans le Parlement,

00:16:01ça, c'est revenu.

00:16:02Revenu de l'État,

00:16:03quand même,

00:16:04assez fixe,

00:16:05et la marge de manœuvre

00:16:06de l'État

00:16:07vis-à-vis de ce revenu-là,

00:16:08il prend le temps

00:16:09pour mettre en œuvre.

00:16:10Vous comprenez?

00:16:11Si, comme on disait,

00:16:12nous développons

00:16:13un nouveau pilier

00:16:14de l'économie.

00:16:15C'est ce qui nous met

00:16:16pour mieux

00:16:17depuis 50 ans,

00:16:1820 ans,

00:16:1910 ans.

00:16:20Nous avons trois piliers

00:16:21aujourd'hui,

00:16:22nous avons le tourisme,

00:16:23trois piliers,

00:16:24trois piliers solides,

00:16:25quand même,

00:16:26et je rappelle que ça,

00:16:27d'une manière...

00:16:28Il y a l'industrialisation aussi.

00:16:29Il y en a,

00:16:30l'industrie textile,

00:16:31secteur manufacturier,

00:16:32oui, secteur manufacturier,

00:16:33services financiers,

00:16:34mais tout ça,

00:16:35en tout cas,

00:16:36c'est qu'il y en a aujourd'hui,

00:16:37il n'y a pas,

00:16:38par exemple,

00:16:39secteur financier,

00:16:40il n'y a pas,

00:16:41il n'y a pas ce secteur

00:16:42qui nous peut attendre,

00:16:43on le connaît,

00:16:44il limite-t-il

00:16:45à certains types de services

00:16:46qui nous peuvent développer,

00:16:47par exemple,

00:16:48aujourd'hui.

00:16:49Alors,

00:16:50quand on peut dire à nous,

00:16:51c'est d'abord,

00:16:52quelles sont les craintes.

00:16:53La plupart du monde,

00:16:54nous on dit,

00:16:55et écoute,

00:16:56nous on dit,

00:16:57il y a des pays

00:16:58qui sont perdus

00:16:59par l'avantage social

00:17:00qui se les emplacent.

00:17:01Moi,

00:17:02je ne vais pas vous prononcer

00:17:03à ce sujet-là,

00:17:04parce que nous tous

00:17:05connaissons dans quel contexte

00:17:06cet avantage social-là

00:17:07est arrivé.

00:17:08Donc,

00:17:09je ne vais pas vous prononcer

00:17:10plus que ça à ce sujet-là,

00:17:11le gouvernement,

00:17:12pour que vous ayez

00:17:13plus de responsabilité

00:17:14vis-à-vis de ça.

00:17:15Ça, c'est premièrement.

00:17:16Deuxièmement,

00:17:17il ne faut pas oublier

00:17:18que le gouvernement

00:17:19finit hérite

00:17:20l'économique inflationniste

00:17:21parce que,

00:17:22suite à Covid,

00:17:23nous devons le faire

00:17:24face à une récession

00:17:25et nous nous décidons

00:17:26pour contrer

00:17:27cette récession-là

00:17:28avec une inflation.

00:17:29Alors,

00:17:30pour que tout le monde

00:17:31comprenne,

00:17:32à un moment,

00:17:33après Covid,

00:17:34la production dans le monde

00:17:35a baissé.

00:17:36Mais les besoins

00:17:37en argent,

00:17:38non,

00:17:39ils n'ont pas baissé.

00:17:40Dans tous les pays de l'État,

00:17:41ils ont payé

00:17:42les salaires

00:17:43alors qu'il n'y avait

00:17:44pas de production

00:17:45de richesse.

00:17:46Ils mouriront même

00:17:47si tu les payes.

00:17:48Ils mouriront même,

00:17:49partout.

00:17:50Nous t'il y a une phase

00:17:51récessionniste

00:17:52avec des économistes

00:17:53qui vont profiter

00:17:54pour causer...

00:17:55Ils donnent transition.

00:17:56Pour qu'ils soient capables

00:17:57justement de courir nous

00:17:58quand nous,

00:17:59nous pouvons faire rire.

00:18:00Bien sûr,

00:18:01je te la prouve,

00:18:02j'aime ça.

00:18:03Alors,

00:18:04récession-là,

00:18:05nous ne c'est contrer

00:18:06avec une stratégie

00:18:07inflationniste

00:18:08mais ils ont dit

00:18:09qu'ils nous connaissent.

00:18:10Le précédent gouvernement,

00:18:11il a défraudé

00:18:12cette monnaie

00:18:13de MIC

00:18:14et il a envoyé-la

00:18:15dans divers endroits

00:18:16quand il n'y avait pas

00:18:17de retrouve-lit

00:18:19C'est qu'il y a

00:18:20pour autant que nous comprenons

00:18:21c'est la crainte

00:18:22aujourd'hui des gens.

00:18:23Mais s'il y a une récession,

00:18:24il y en a trois,

00:18:25quatre ans de ça,

00:18:26nous nous propulser

00:18:27dans un système économique

00:18:28inflationniste

00:18:29qu'on peut augmenter

00:18:30le salaire,

00:18:31qu'on peut augmenter

00:18:32le revenu minimum,

00:18:33revenu minimum

00:18:34qui peut augmenter

00:18:35aussi le salaire minimum,

00:18:36qui peut diminuer le profit,

00:18:37qui peut tenir

00:18:38les PME,

00:18:39il y en a beaucoup

00:18:40des PME

00:18:41qui mettent la clé

00:18:42à la porte,

00:18:43etc.

00:18:44Et donc,

00:18:45nous retrouvons

00:18:46une situation

00:18:47où il y a

00:18:48une spirale

00:18:49inflationniste

00:18:50dans sa spirale

00:18:51inflationniste.

00:18:52Aujourd'hui,

00:18:53il y a un gouvernement

00:18:54qui a dit

00:18:55qu'il allait redresser

00:18:56la barre

00:18:57et qu'il allait

00:18:58baser là

00:18:59des affaires.

00:19:00D'abord,

00:19:01comment il pouvait

00:19:02maintenir

00:19:03les banquiers sociaux

00:19:04?

00:19:05Ils ont dit

00:19:06que ce n'est pas

00:19:07que les banquiers sociaux,

00:19:08c'est ce qui peut

00:19:09permettre à beaucoup

00:19:10de gens

00:19:11de survivre,

00:19:12de vivre,

00:19:13de faire

00:19:14leur budget.

00:19:15De l'autre côté,

00:19:16quand on regarde

00:19:17ce qu'il y a

00:19:18dans la presse,

00:19:19le secteur privé,

00:19:20il compte même

00:19:21bien bénéficier

00:19:22pendant,

00:19:23je peux dire,

00:19:24les cinq dernières

00:19:25années seulement.

00:19:26S'il s'en basse

00:19:27un régime MSM

00:19:28qui tient là-là,

00:19:29là,

00:19:30il y a bien bénéficier

00:19:31mais à outrance

00:19:32nous devons regarder.

00:19:33Il y en a

00:19:34une compagnie

00:19:35qui peut profiter

00:19:36de COVID

00:19:37qu'elle ne peut pas

00:19:38mettre en compte

00:19:39et après,

00:19:40elle peut avoir

00:19:41des dividendes

00:19:42pour

00:19:43beaucoup,

00:19:44beaucoup d'argent.

00:19:45Et puis,

00:19:46il y a

00:19:47beaucoup,

00:19:48beaucoup,

00:19:49beaucoup de casse.

00:19:50Je vais vous rendre

00:19:51dans un détail

00:19:52parce qu'il nous va

00:19:53parler head by head.

00:19:54Ouais,

00:19:55la tête de personne

00:19:56qui est bien exposé

00:19:57pendant l'époque.

00:19:58Voilà.

00:19:59Ce qu'il me peut dire

00:20:00simplement,

00:20:01c'est qu'aujourd'hui,

00:20:02la crainte,

00:20:03c'est

00:20:04l'avenir économique

00:20:05du pays.

00:20:06Le modèle lui-même.

00:20:07À travers le modèle,

00:20:08est-ce que le modèle

00:20:09social va être préservé?

00:20:10Est-ce que le modèle

00:20:11social va continuer

00:20:12à être financé

00:20:13par de l'argent

00:20:14ou est-ce que

00:20:15rien n'a été fait

00:20:16pour financer le modèle

00:20:17social et n'a une

00:20:18nécessité pour mettre

00:20:19quelque chose en place

00:20:20pour financer un modèle

00:20:21social là,

00:20:22nous on a la capacité

00:20:23avec mon camarade

00:20:24qui est au plateau

00:20:25et vous-même,

00:20:26moi,

00:20:27mon visite,

00:20:28c'est un pays d'Afrique

00:20:29qui m'occupe

00:20:30nous,

00:20:31nous visons être le

00:20:32fort de l'Afrique.

00:20:33Tout bon étudiant

00:20:34africain qui peut

00:20:35venir dans Maurice,

00:20:36tout bon africain

00:20:37qui peut venir dans

00:20:38Maurice pour travailler,

00:20:39je te laisse dans

00:20:40Maurice,

00:20:41je te laisse rester,

00:20:42je te dis,

00:20:43c'est un pays

00:20:44qui a besoin

00:20:45qu'on joue le coup

00:20:46dans sa budget

00:20:47qui peut venir là

00:20:48pour jeter un pont

00:20:49vers l'Afrique

00:20:50beaucoup plus sérieux

00:20:51et profiter de

00:20:52nos positions.

00:20:53Voilà,

00:20:54et permette-moi

00:20:55qu'on mène les mêmes

00:20:56parce que,

00:20:57vraiment,

00:20:58l'économie,

00:20:59moi,

00:21:00je comprends

00:21:01très bien

00:21:02et

00:21:03beaucoup

00:21:04disent

00:21:05pendant des

00:21:06années

00:21:07une parole

00:21:08qui,

00:21:09dans les années

00:21:10soixante-dix

00:21:11qui dit

00:21:12très,

00:21:13très

00:21:14brisé

00:21:15du monde

00:21:16qui peut causer

00:21:17beaucoup,

00:21:18c'est

00:21:19diversification

00:21:20de l'économie,

00:21:21c'est-à-dire

00:21:22amène

00:21:23à côté

00:21:24de

00:21:25l'industrie

00:21:26manufacturière

00:21:27tournée

00:21:28à l'exploitation

00:21:29principalement,

00:21:30amène

00:21:31vers

00:21:32l'industrie

00:21:33sucrière

00:21:34ou cannière

00:21:35qui peut

00:21:36qui peut

00:21:37pas le temps

00:21:38qui peut

00:21:39descendre

00:21:40et

00:21:42et n'a

00:21:43pas de service

00:21:44et n'a

00:21:45pas de l'affaire

00:21:46donc,

00:21:47on sort,

00:21:48enfin,

00:21:49il n'y a qu'entre les affaires

00:21:50qui

00:21:51me tourne-moi vers

00:21:52M. et Mme Assam

00:21:53d'abord,

00:21:54après,

00:21:55ça n'a rien de sens

00:21:56qu'on en prenie

00:21:57et qu'on en gagne.

00:21:58Donc,

00:21:59qui

00:22:00est-ce

00:22:01qui nous modèle

00:22:02l'économique,

00:22:03nous structure

00:22:04nous l'architecture

00:22:05c'est-à-dire

00:22:06le service à terme là

00:22:07de notre

00:22:08économie

00:22:09nationale

00:22:10et ce qui

00:22:11est

00:22:12dépassé

00:22:13dans beaucoup

00:22:14des cas

00:22:15est que

00:22:16il y a une

00:22:17aberration

00:22:18qui,

00:22:19moi,

00:22:20Mauritien

00:22:21quand je suis né

00:22:22en bas de la montagne

00:22:23de Pythébos

00:22:24je dis ça

00:22:25à tout le monde

00:22:26je le répète

00:22:27quand je lis

00:22:28comment je vois

00:22:29et lise

00:22:30et je comprends

00:22:31c'est un charbon

00:22:32de zinc

00:22:33je suis né

00:22:34à côté

00:22:35d'un charbon

00:22:36de zinc

00:22:37un livre de zinc

00:22:38vend 400 épisodes

00:22:39d'un pays qu'on va mourir, une banane qui coûte 15 ou 20 rupees,

00:22:43mon grand-mère se demande pas tel, qui reste au méditerranéen,

00:22:47il a le grand B, pourquoi une banane ne coûte pas 20 ou 25 rupees ?

00:22:52Ou imaginons une pamplemousse qui coûte 70 rupees,

00:22:55l'entendu des footballeurs.

00:22:58Donc, quels sont,

00:23:01qui, je ne vais pas faire grand-détail, mais en gros,

00:23:05quelles diversifications je peux amener pour que moi qui compte manger des poissons,

00:23:11je puisse manger des poissons de la première grade

00:23:16à un prix acceptable, au lieu que moi, dans une supermarché,

00:23:20je trouve des belles poissons, coupés, tout bien jolis,

00:23:23et ça, moi, j'ai dit, c'est fait, mais importé de Thaïlande, Indonésie,

00:23:29c'est extraordinaire.

00:23:31Mais mon recrutement, j'ai pas une peine à mourir,

00:23:33mais peine à rien pratiquement.

00:23:35Faudrait voir dans le coin où il se trouve un peu, carton, un peu,

00:23:39un peu, euh, poisson, cordonnier, vous voyez, un petit poisson,

00:23:43mais comment c'est fait-il ?

00:23:45M. Yassad, Mme Assam.

00:23:49Il y en a plusieurs aspects encore, une fois, moi, qu'on a bien considéré.

00:23:53On a bien posé nous la question, est-ce qu'ils nous mettent en valeur

00:23:56sa communauté de pêcheurs qui nous est non traditionnelle ?

00:23:59Moi, je ne crois pas qu'aussi, personnellement,

00:24:02que nous néglige une révalorisation de ce métier.

00:24:06C'est un métier extrêmement dur et avec très peu de protection sociale

00:24:12et personne ne le pense déjà, à la base, premier d'abord.

00:24:18Si nous suffisons de voir la plus grande compétence,

00:24:21on a besoin une politique de réflexion à long terme,

00:24:24comment nous rendre le métier attrayant.

00:24:25Et ça, il y a beaucoup de réflexion qui se déroule autour.

00:24:28qui a été battu par un gros bateau de pêche, un petit bateau de pêche.

00:24:32Mais il n'y a pas que la pêche intérieure, il y a aussi la pêche pas haute,

00:24:36il n'y a pas de total net, mais juste un petit peu d'horizon.

00:24:40Voilà, un petit peu d'horizon. Donc ça, réfléchissez.

00:24:42Mais la pêche doit être bonne.

00:24:44Alors si nous ne pouvons pas avoir un schéma, mais surtout qu'il marche bien,

00:24:47et qu'il n'y a pas un bateau de qualité, pas un petit pirogue fragile-fragile.

00:24:52Donc il ne peut pas faire face...

00:24:54Certainement, nous devons avoir une vision 5 en 10 ans,

00:24:58Déjà, est-ce que les eaux, nos eaux de la mer...

00:25:05Nos zones économiques exclusives.

00:25:07Est-ce qu'elles peuvent dégrader d'eux-mêmes ?

00:25:09Est-ce qu'il y a autant de poissons dans la Grande-Bretagne

00:25:13plutôt que dans les restes ?

00:25:15Donc c'est la vraie question à se poser.

00:25:17Est-ce que ce n'est pas des pesticides ou toutes sortes de pollutions

00:25:20qui affectent par exemple nos coraux ?

00:25:22Ça crase le corail avec le type de pêche.

00:25:25Par exemple, la Seine, tout à l'heure, il crase le corail.

00:25:28Donc, est-ce que ça n'est pas un autre gros problème ?

00:25:30C'est-à-dire, vous réalisez que ce problème-là...

00:25:33Avec nous, dès l'eau, avec nous, la mer.

00:25:35L'écologie rentre là-dedans, l'environnement rentre là-dedans,

00:25:39la coopérative rentre là-dedans, le bateau de pêche rentre là-dedans.

00:25:43La coopération régionale aussi rentre là-dedans.

00:25:45A ce terme, nous sommes sortis un petit peu plus qu'en dehors.

00:25:51Là, nous pêchons véritablement des millions de kilomètres carrés de mer.

00:25:572,5 millions.

00:25:58L'espace économique marin là est énorme.

00:26:012,5 millions.

00:26:022,5 millions.

00:26:03Ça veut dire que si on ajoute nous la terre et nous la mer,

00:26:06nous vivons dans les plus grands pays.

00:26:08En termes de kilomètres carrés.

00:26:10En termes de kilomètres carrés.

00:26:11Et jusqu'à aujourd'hui, façon parlée, nous pêchons une véritable...

00:26:19C'est ça.

00:26:20T'as besoin de protéger sa zone.

00:26:22Parce que nous avons toutes les bonnes intentions,

00:26:24mais si on ne va pas protéger, ça va être très difficile.

00:26:27Est-ce qu'il n'y a pas des véritables bateaux pour surveiller la zone ?

00:26:31Est-ce qu'il y a besoin de coopération militaire ?

00:26:33Nous vous conseillons tout à l'heure dans que faire, s'il vous plaît.

00:26:36Non, c'est plus facile.

00:26:38Ça, ce sera un secteur, à mon avis, qui, si nous réfléchissons bien...

00:26:43Il faut aider nous pour...

00:26:46Si vous permettez, nous allons s'approcher.

00:26:49Parce que la pêche, aujourd'hui, n'est pas quelque chose qui est important.

00:26:55S'il vous plaît, nous allons s'arrêter.

00:26:57Parce que vous, les militants syndicales, vous le savez bien,

00:26:59nous allons faire une pause.

00:27:01Et si vous faites cette pause, nous ne pourrons pas...

00:27:03Nous ne pourrons pas la pêcher.

00:27:05Ni moi, ni mon patron, nous ne pourrons rien faire.

00:27:08Alors, nous faisons une pause commerciale,

00:27:10et juste après, nous continuons jusqu'à sept heures.

00:27:14Parce qu'il n'y a pas encore de temps pour nous aller.

00:27:16Et nous pourrions...

00:27:18Nous vous causerons aussi l'aspect de la bonne gouvernance.

00:27:22On ne va pas prendre un casse-prêté après au Bengali.

00:27:25On ne va pas prendre un casse-prêté, on ne va pas le mettre dans ce petit hôtel.

00:27:28On ne va pas prendre un casse-prêté sur le grand Michelin, sur l'hôtel.

00:27:30Si il y a un problème, donne-nous une casse-prêté,

00:27:32parce qu'on ne va pas rembourser jusqu'à aujourd'hui.

00:27:34Donc, tout ça, nous vous causer, n'est-ce pas ?

00:27:36Nous faisons une pause à la régie, et nous nous retrouvons juste après.

00:27:45TENPULA SOU

00:27:48OU LA VOIE, OU SI MÉLANIE

00:27:50MES CHERCHEURS

00:27:52QUAND VOUS ÊTES CHEZ VOUS, TALOD

00:27:54J'ai fait de la pâte avec des paquets de Talod.

00:27:56Khaman, handwa, khichdi, goulab jamun.

00:27:59J'ai fait tout tout tout.

00:28:02TALOD POOLS

00:28:04VOUS AVEZ DIT, NOUS AVONS FAIT.

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00:59:12Sous-titrage Société Radio-Canada

00:59:14Soutien à la chaîne Youtube

00:59:16à la maison, c'est TALOT.

00:59:18J'ai fait de la pâte à l'aide de TALOT.

00:59:20J'ai fait du khaman, du handwa, du khichdi,

00:59:22du gulab jamun, j'ai fait tout ça.

00:59:26TALOT FOODS

00:59:27Vous avez dit, nous avons fait.

00:59:47Découvrez notre studio,

00:59:49nos animateurs,

00:59:51vos hits musiques préférés en clips

00:59:54et l'info complète, factuelle et crédible.

01:00:17Le meilleur goût vert,

01:00:18les herbes et les goûts,

01:00:20donne un goût qui est deux fois plus agréable.

01:00:23Détox, maintenant fait facilement.

01:00:25Juste déposer et manger.

01:00:27Sans doute qu'ils disent,

01:00:28Girnar, mon thé, mon temps.

01:00:47TALOT FOODS

01:01:03Dans ce cas, nous avons des objets

01:01:05qui nous permettent d'attendre,

01:01:09qui nous offrent des défis

01:01:11et qui offrent des défis,

01:01:14des défis et des défis prioritaires.

01:01:16C'est ce que nous allons attaquer en premier.

01:01:19Nous nous faisons un peu les tours

01:01:21et tout à l'heure, nous nous posons une question

01:01:23un peu plus idéologique,

01:01:25un peu plus politique.

01:01:27Les relations, les rapports

01:01:30entre le pouvoir politique,

01:01:32c'est-à-dire le gouvernement

01:01:34qui est à la tête de l'État,

01:01:36il y en a le gouvernement et il y en a tout

01:01:38ce que le public appelle l'État,

01:01:41et les pouvoirs économiques

01:01:45et là-dedans il y en a aussi

01:01:47et c'est très clair, il y a un petit pourcentage,

01:01:49tout, après il y en a middle class,

01:01:52après il y en a...

01:01:54Donc, dis-moi un coup,

01:01:56quelle manière nous pouvons-nous faire

01:01:58dans un nouveau modèle qui nous peut causer

01:02:00nous tous depuis 20 ans,

01:02:02qui, puisqu'il y a 20 ans,

01:02:04qui nous pouvons-nous faire

01:02:06pour nous, quelle est la place

01:02:08de sa relationship,

01:02:10sa relation, les rapports

01:02:12entre le pouvoir

01:02:14politique élu

01:02:16et

01:02:18les pouvoirs économiques qu'il y a héréditaires ?

01:02:22Ben, c'est un...

01:02:24C'est une relation ambigüe,

01:02:26souvent des fois,

01:02:28parce que l'un a besoin de l'autre,

01:02:30et d'ailleurs...

01:02:32Complémentaire, si je peux dire.

01:02:34Mais il ne faudrait pas

01:02:36un degré de copinage.

01:02:38Donc, c'est sa fine line-là

01:02:40qui est bien difficile à respecter.

01:02:42Et d'ailleurs, je pensais que

01:02:44Maurice nous fait extrêmement bien.

01:02:46Dans nos relations

01:02:48publiques-privées,

01:02:50parce que nous compartons tous un bon pays d'Afrique,

01:02:52nous avons beaucoup de synergies

01:02:54entre le pouvoir public

01:02:56et les compagnies privées.

01:02:58Quand un secteur est décidé

01:03:00pour être développé,

01:03:02c'est souvent le gouvernement

01:03:04qui nous donne les infrastructures de base

01:03:06et les incentives, et c'est le secteur privé

01:03:08qui nous prend en charge.

01:03:10Donc, il y a une relation extrêmement

01:03:12étroite entre ça et l'autre.

01:03:14Oui, mais cette relation,

01:03:16ou ces relations, ces rapports,

01:03:18comme le français est habitué de dire,

01:03:20est-ce qu'il existe

01:03:22comme on dirait,

01:03:24Michel Aintel, Mme Aintel,

01:03:26l'élu ministre,

01:03:28Michel Aintel, il y a une grande entrepreneure,

01:03:30pas du tout une petite entrepreneure,

01:03:32belle compagnie,

01:03:34belle coopérative,

01:03:36ça c'est ce qui nous fait penser

01:03:38qu'il y a besoin d'aider. Mais est-ce que

01:03:40les cinq dernières années, moi je dis

01:03:42les dix dernières années,

01:03:44Arnaud nous donne un nouveau

01:03:46l'idée là,

01:03:48nous prenons l'hiperthéâtre.

01:03:50Covid. Nous prenons l'hyperthéâtre 2019,

01:03:52élection 2019.

01:03:54Dans cette situation-là,

01:03:56est-ce que vous pensez,

01:03:58juste à cause de notre bonne volonté,

01:04:00à cause de M. Nanzoliti Moustache,

01:04:02ou bien de l'autre Nanzoliti Labob,

01:04:04ou bien, il parle bien,

01:04:06non, est-ce que ces relations-là,

01:04:08est-ce que ce qu'il peut dire

01:04:10est obligatoire,

01:04:12incontournable,

01:04:14est-ce que ça fait

01:04:16qu'il n'est pas tout le temps,

01:04:18plus que tout le temps, en faveur

01:04:20du pouvoir économique, dans toutes les décisions

01:04:22que le gouvernement prend ?

01:04:24Non, je crois que nous avons...

01:04:26Dans pratiquement toutes les décisions.

01:04:28J'ai une perspective, depuis nous l'indépendant,

01:04:30de 58 ans.

01:04:32Oui, prend du début l'indépendant.

01:04:34Dans la généralité,

01:04:36c'est une valse

01:04:38à quatre temps,

01:04:40à deux temps, qui ne fonctionne

01:04:42bien, c'est-à-dire, chacun connaît son rôle

01:04:44et chacun, il fait son part aussi,

01:04:46et d'ailleurs, le pays-là est extrêmement progressé.

01:04:48Mais c'est vrai que si nous guettons,

01:04:50peut-être sur les cinq dernières années,

01:04:52il y a une bonne situation.

01:04:54Le balance est débalancé.

01:04:56Et je crois, quelque part,

01:04:58que l'histoire peut démontrer

01:05:00que ce fut une parenthèse. Parce que je ne crois pas

01:05:02que Mauricien Comté soit le modèle.

01:05:04C'est-à-dire que Mauricien Comté donne un coup de pied

01:05:06sur l'expression à ce modèle-là.

01:05:08Aïvo, le militant syndicat...

01:05:10Moi, je pense

01:05:12qu'il ne fallait pas nous bousculer

01:05:14la relation

01:05:16secteur privé, l'État.

01:05:18Bien sûr, je ne crois pas

01:05:20qu'ils étaient en état de chauffer,

01:05:22mais seulement, sans qu'ils nous bousculent

01:05:24la relation, parce qu'il y a beaucoup de choses

01:05:26que le secteur privé peut faire.

01:05:28Et s'ils arrêtent à faire,

01:05:30ils arrêtent de manger. Un premier exemple,

01:05:32ils arrêtent de manger dans nos pays.

01:05:34C'est le secteur privé qui met de la mange dans la table.

01:05:36Donc, encore une fois...

01:05:38Malheureusement, est-ce que c'est le fait?

01:05:40C'est pour ça qu'il me dit tout le temps

01:05:42qu'il ne faut pas faire les choses de manière dépassionnée

01:05:44quand il y a des questions pareilles.

01:05:46Je dis qu'il peut le faire. Bien sûr

01:05:48qu'il n'y a pas de grands capitalistes

01:05:50dans ce pays-là, je ne sais pas.

01:05:52Nous nous inquiétons sur comment faire

01:05:54pour qu'il y ait un secteur émergent

01:05:56dans le secteur PME.

01:06:00Nous comprenons-nous bien.

01:06:02J'ai entendu beaucoup parler du PME

01:06:04qui est très successeux,

01:06:06qui grandit,

01:06:08arrive à un niveau d'être acheté

01:06:10par un grand groupe.

01:06:14Oui, d'être acheté par un grand groupe

01:06:16pour des raisons. Premièrement, par rapport

01:06:18à la qualité du travail.

01:06:20Et deuxièmement, par rapport

01:06:22à la sérieux procédure qu'ils mettent en place

01:06:24au sein même des autres structures.

01:06:26Donc, il ne faudrait pas

01:06:28qu'ils nous sous-estiment.

01:06:30En fait, le plus grand

01:06:32employé de l'île,

01:06:34ce sont les PME.

01:06:36Si encore une fois, dans ce budget-là,

01:06:38nous ne trouvons rien pour une

01:06:40soulagement de PME, je me rappelle

01:06:42qu'ils ont dit que dans le PME,

01:06:44tout peut être contrôlé par le CSG.

01:06:46Mais c'est une nouvelle chose qu'ils financent.

01:06:48Est-ce qu'il y a une certaine mesure

01:06:50où PME

01:06:52défiscalise

01:06:54les dépenses additionnelles

01:06:56qu'ils nous donnent

01:06:58depuis les cinq dernières années?

01:07:00Depuis les cinq, six dernières années.

01:07:02Il y a une nouvelle chose sur les épaules des PME

01:07:04qui à aucun moment n'a fait

01:07:06rien pour permettre aux autres

01:07:08l'aide qu'ils nous donnent

01:07:10par exemple pendant la COVID.

01:07:12Ils nous ont remboursé ça.

01:07:14Ils nous ont remboursé.

01:07:16Donc, moi,

01:07:18mon appel principal,

01:07:20c'est de dire

01:07:22encore une fois que je ne crois pas

01:07:24qu'ils sont capables de briser

01:07:26le partenariat qui existait entre le secteur

01:07:28privé et l'État qui déjà existait.

01:07:30Moi, au départ,

01:07:32vous comprenez bien,

01:07:34au départ, je ne pensais pas qu'il fallait

01:07:36casser, brûler,

01:07:38finir. Je pensais qu'il fallait

01:07:40régler, révoler

01:07:42pour que non seulement son efficacité

01:07:44en termes de production

01:07:46augmente, mais aussi en termes

01:07:48de bien-être des travailleurs,

01:07:50de santé, de sécurité, tout ça.

01:07:52Un élément,

01:07:54un élément bien simple.

01:07:56Aujourd'hui, 80-85%

01:07:58de mon contrat d'État

01:08:00pour maintenance,

01:08:02pour mon travail

01:08:04dans mon bâtiment

01:08:06public,

01:08:0885% de mon contrat

01:08:10même plus

01:08:12à mon grand groupe,

01:08:14à mon grand compagnon.

01:08:16Mon Dieu. Réalloquer ça

01:08:18à un petit entrepreneur qui est dans leur localité

01:08:20là. Donc pour lui,

01:08:22t'es pas entrepreneur là, tu peux gagner un travail

01:08:24si

01:08:26tu peux donner ça. Et pour qu'ils soient capables de donner ça,

01:08:28ils insisteraient à voir comment faire 10 dollars.

01:08:30Parce qu'ils ont dit, manière qu'ils fassent 10 dollars,

01:08:32ils ne permettent pas de PME

01:08:34positionner eux-mêmes dans ces 10 dollars.

01:08:36Alors, il y a des affaires très, très simples

01:08:38qu'il peut faire dans ce budget-là,

01:08:40en fait, permettant à l'économie

01:08:42d'être un peu plus diversifiée.

01:08:44D'accord. Et avant

01:08:46de me passer la parole à

01:08:48Rossane et la régie,

01:08:50vous pouvez dire moi qu'il y en a à l'appel ?

01:08:52Passe-moi l'appel, s'il vous plaît.

01:08:54C'est qui à l'appareil ?

01:08:56Allô ?

01:08:58Allô ?

01:09:00Allô ?

01:09:02Allô ?

01:09:04Non mais moi, je ne peux pas vous poser, c'est pas moi qui pose

01:09:06la question. C'est Michela qui

01:09:08pose la question à madame-là. Vous avez l'autre appel ?

01:09:10Non.

01:09:12Allez-y. Donc,

01:09:14nous retournons

01:09:16pour conclure cette histoire-là.

01:09:18Que faire ?

01:09:20Il y a tellement d'affaires à faire,

01:09:22tellement de démarches, tellement de défauts,

01:09:24tellement de manquements qui nous sont rélevés.

01:09:26Donc, justement, les rapports

01:09:28entre le pouvoir politique

01:09:30et le pouvoir économique

01:09:32à un moment donné dans l'histoire,

01:09:34ça, ça me connaît,

01:09:36il y a un problème

01:09:38de racialisation.

01:09:40Il y a une grande bourgeoisie

01:09:42dans l'école

01:09:44démocratique à l'époque.

01:09:46La grande bourgeoisie, c'était

01:09:48les blancs, les franco-mauriciens.

01:09:50Après, il y a eu

01:09:52une quantité de petits plantés, de moyens plantés,

01:09:54etc.

01:09:56Allô ?

01:09:58Allô, oui ?

01:10:00Oui, bonsoir.

01:10:02Bonsoir.

01:10:04C'est à Sainte-Nazie.

01:10:06Pardon ?

01:10:08À Sainte-Nazie, du Mont-Au-Treize,

01:10:10de Batshmaré.

01:10:12Oui.

01:10:14En fait, moi, moi j'ai envie,

01:10:16mon consommateur,

01:10:18qui tout à l'heure, là,

01:10:20il y a une étonnance là,

01:10:22m'a fait approcher, s'assister là,

01:10:24à M. Rossane Djamon.

01:10:26Oui.

01:10:28Il y a une boule, là, actuellement.

01:10:30Tout...

01:10:32Tout est approché, là.

01:10:34Le tout, le tout,

01:10:36le consommateur.

01:10:38Voilà, c'est une boîte d'pommes d'amour de la boutique.

01:10:42La boutique est là-bas, au bout de nous.

01:10:44Parce qu'ils ont approché, là.

01:10:48Il faut dire, comme ça,

01:10:50la boîte d'pommes d'amour, elle a mis son pied.

01:10:54Vous avez raison, vous connaissez sa pratique, là.

01:10:56Vous avez raison.

01:10:58Pratique, ça, bon.

01:11:00Vous avez raison.

01:11:04Pour changer ça,

01:11:06le changement, moi, écoute,

01:11:08le député qui est élu dans le numéro 13,

01:11:10d'ailleurs,

01:11:12tombe dans le numéro 13,

01:11:14et dans, aussi, quand j'aime cela pas, là, non?

01:11:16Allez-y.

01:11:18Je l'écoute.

01:11:20Moi, je connais bien Basse-Marée,

01:11:22il y a une camarade avec moi,

01:11:24et il y a une chose que j'ai fait,

01:11:26c'est qu'il y a une fois,

01:11:28de l'autre côté-là,

01:11:30et qu'il a dit, je parle de la boite d'pommes d'amour,

01:11:32mais je lui ai dit, la cigarette n'a pas gagné.

01:11:34Et là, comment on peut dire?

01:11:36Pour la taxe de la cigarette.

01:11:38Pour les mensonges, les revendéas,

01:11:40sans scrupules,

01:11:42les détaillants,

01:11:44pour commencer à ramasser une cigarette,

01:11:46et les autres produits,

01:11:48pareil comme les ferrailles, les ciments,

01:11:50si on n'a pas anticipé les prix augmenter.

01:11:52D'accord?

01:11:54Je fais un appel à l'autorité,

01:11:56D'accord? Si vous voulez la cigarette dans la boutique, d'accord, au buisin, il est à la disposition.

01:12:01Il est à la disposition.

01:12:02Holding, exactement, exactement.

01:12:04Alors, pas guère quoi faire ça, tout à fait pas guère quoi faire ça.

01:12:07Je suis d'accord avec l'auditeur.

01:12:09Donc, nous restons 5, 10, 15, 20.

01:12:14Restons à peu près 18 minutes.

01:12:16Et donc, mon beau-buisin nous accorde 10 points de notoire.

01:12:20Ou moi, j'ai des autres collègues qui vont faire l'émission, l'eau et le buisin.

01:12:25Mais je pose des autres questions là.

01:12:27Mais tout d'un seul sac.

01:12:29Donc, pour terminer,

01:12:33Moi, je m'adresse à Yashad.

01:12:35Yashad, hein? Pas Yafad.

01:12:37C'est la manoulite.

01:12:39C'est interpellé Yafad, interpellé Yafad.

01:12:41Des jumeaux.

01:12:42Et donc, Yashad,

01:12:45nous reprends l'énigme sur le titre d'un livre qui n'est pas trop gros,

01:12:50et tu appelles que faire.

01:12:52En fait, quelles sont les solutions et les actions à prendre pour résoudre,

01:12:59pour attaquer, ça n'a pas de problème qu'une fête,

01:13:01nous tourner une cité depuis plus d'une année à temps.

01:13:07Me pensez à un point important qui s'appuie là pour que vous réussissiez.

01:13:11Pas trop dans le détail, parce que moi j'ai un petit critère.

01:13:13Me pensez à un point important qui s'appuie là pour que vous réussissiez,

01:13:15c'est qu'il y a des gens,

01:13:17les gens quand ils écoutent leur budget, ils disent,

01:13:19ouais, il y a des gens qui ont un budget.

01:13:21Me pensez à des multi-years par des years,

01:13:24souvent, nous nous disons,

01:13:26nous recherchons réaction,

01:13:27il y a plein d'années qu'on a un budget.

01:13:29Il n'y a pas de taxes.

01:13:31Il n'y a pas du tout un long terme,

01:13:33comment dire, feuille de roue.

01:13:35Et il y a pour autant qu'il y a un petit budget qui peut attaquer l'immédiat,

01:13:41l'inflation, déficit commercial, budgeté, ça d'accord.

01:13:45Il y a une moyenneté pour une industrie qui est capable d'actionner tout de suite,

01:13:50une bonne partie, le député Djamal, est anxieux de ça.

01:13:54Mais moi je pense qu'il n'y a pas autant qui, dans ce qu'il fait,

01:13:56est capable d'avoir une vision sur les dix prochaines années

01:14:00qui peut inspirer ce peuple-là pour dire,

01:14:02ouais, voilà quand on peut y aller,

01:14:04qu'est-ce qu'on peut aller faire, etc.

01:14:06Et ça lui demande une réflexion stratégique de longue haleine.

01:14:09Par exemple, nous ne sommes pas venus de Dubaï du jour au lendemain,

01:14:11ça veut dire que nous avons envie de décider,

01:14:14comment dire, nous voulons vraiment décider pour une comédie à Dubaï ou à Singapour,

01:14:18c'est-à-dire nous décidons vraiment,

01:14:20parce que souvent on n'est pas en mesure de s'arrêter.

01:14:23Là, c'est une série de mesures en cascade

01:14:26que vous devez mettre en place

01:14:28pour pouvoir atteindre ce qui a été le but là.

01:14:31Ça c'est une bonne réflexion stratégique sur le long terme.

01:14:34Donc sans pouvoir, malheureusement,

01:14:36le temps, j'ai un petit peu pas carotte dans les détails,

01:14:39mais moi je pense qu'il y a une fausse de frappe énorme

01:14:43qui s'appelle la fiscalité.

01:14:45Ça veut dire que si nous jouons avec nos moyens d'incentives,

01:14:48par exemple, tous les fonds managers européens

01:14:50qui ont envie de ramener les autres d'un endroit à l'autre,

01:14:53si nous donnons un package fiscal

01:14:55qui est extrêmement intéressant et attrayant,

01:14:57par exemple, il y a des gens qui vivent dans l'Onde,

01:14:59les pays, les fonds managers payent jusqu'à 50% de taxes,

01:15:02de leurs revenus, income,

01:15:05qui est énorme.

01:15:06Si nous donnons une fiscalité basse

01:15:08et nous donnons une série de mesures,

01:15:10nous ne pourrons pas récemment diminuer.

01:15:12Donc il faut une réflexion fiscale,

01:15:14intelligente et stratégique.

01:15:16Et ça, c'est l'application de la vision.

01:15:19Après, nous nous attaquons aux autres.

01:15:21Je laisse la parole à mes autres collègues.

01:15:23D'accord.

01:15:24Aïvo, que faire ?

01:15:26Parce que vous êtes bien content de nous.

01:15:28Que faire ?

01:15:30Tu crois que vous êtes content de nous ?

01:15:34Pas grave.

01:15:35Mais quoi qu'il en soit,

01:15:37moi je pense que d'abord et avant tout,

01:15:39nous devons soulager la population.

01:15:41Soulager la population,

01:15:42donc il faut des prix baissés

01:15:43dans le bazar et dans le supermarché.

01:15:45Pour que les prix baissés dans le bazar

01:15:47et dans le supermarché

01:15:48soient différents éléments

01:15:49sur lesquels le gouvernement doit agir,

01:15:51nous devons être capables

01:15:52d'une plus forte vis-à-vis du dollar,

01:15:54ou alors trouver des deals commerciaux

01:15:56comme vous avez dit tout à l'heure,

01:15:59l'honorable Juman.

01:16:01Et aussi,

01:16:02nous devons être capables

01:16:04de développer une nouvelle filière commerciale.

01:16:10Alors là, je ne veux pas détruire ces affaires.

01:16:12Ce qu'ils ont dit,

01:16:13c'est qu'il y a beaucoup de choses qu'ils peuvent faire

01:16:15dans nos pays.

01:16:16Ils peuvent exporter tout.

01:16:18Et, au bout d'un moment, détruire l'exemple.

01:16:21Bred Mouroum,

01:16:22qui maintenant s'appelle

01:16:24Mouronga Maranga.

01:16:26Et l'autre nom s'appelle Lidéo.

01:16:28Ecoute-moi bien ce que je veux dire.

01:16:30Un paquet.

01:16:31Douze infusions de tissacées.

01:16:34Faites-le dans la cour, Monsieur et Madame.

01:16:36Faites-le dans la cour.

01:16:38Et les gens, dans ce pays,

01:16:39ils peuvent faire ça.

01:16:40Ils peuvent mettre ça dans une tissacée.

01:16:41Ils peuvent mettre ça dans une tissacée.

01:16:42Et vous voyez,

01:16:435 euros, la boîte peut vendre là-bas dans le rayon.

01:16:45Et un euro combien ?

01:16:46Et oula !

01:16:47Et oula !

01:16:48Combien de pieds ?

01:16:49Combien de pieds Bred Mouroum a-t-il ?

01:16:51Ça, c'est un.

01:16:52Je vais vous donner un deuxième.

01:16:53Noni.

01:16:54Noni, pouce sauvage, sportif.

01:16:56Moi, je bois ça.

01:16:58Moi, je bois ça tous les matins.

01:16:59Tous les matins.

01:17:00Et il y a une seule personne qui me connaît dans mon espérance,

01:17:02qui trouve un process pour faire des vins vraiment

01:17:05faciles à consommer.

01:17:07OK ?

01:17:08Pas Péphé, non.

01:17:09Pas trop en détail.

01:17:10Pas Péphé, non.

01:17:11OK ?

01:17:12Moi, je vais vous donner un autre exemple.

01:17:13Jackfruit,

01:17:14dans nos pays,

01:17:15full,

01:17:16mais seulement,

01:17:17allez à la boutique de Jackfruit,

01:17:18allez à la cité d'Ambazor,

01:17:20vous trouvez qu'ils peuvent vous payer ça.

01:17:21La culture du chanvre.

01:17:23La culture du chanvre.

01:17:25Ils ont arrêté ce genre de cinéma-là.

01:17:27Ils ont arrêté ce genre de cinéma-là.

01:17:29J'ai vu la culture du...

01:17:30C'est du cannabis.

01:17:31Cannabis.

01:17:32Cannabis.

01:17:33Ils ont arrêté ce genre de cinéma-là.

01:17:36Qui nous laisse nos populations morts,

01:17:38hors la drogue synthétique,

01:17:40et nous pas pousser en ce qui est bizarre dans ce pays-là.

01:17:43Ça, ils ont arrêté avec ce genre de cinéma-là.

01:17:45Et après, finalement,

01:17:47bien sûr, nous avons soulagé

01:17:49le plus grand employeur de l'île,

01:17:51qui sont les PME.

01:17:53Les PME sont le plus grand employeur de l'île.

01:17:55Moi, je peux dire qu'il faut permettre aux PME

01:17:58de réduire le coût du travail

01:18:01depuis leurs bénéfices.

01:18:03Ça veut dire quoi?

01:18:04Moi, une PME,

01:18:05moi, j'ai trois immunes.

01:18:06Je dois payer CSG pour eux.

01:18:08Quand vous êtes malades,

01:18:09vous n'êtes pas en congé,

01:18:10vous devez payer votre local.

01:18:12Vous avez une maternité,

01:18:13vous devez payer votre maternité.

01:18:14Vous avez une paternité,

01:18:15vous devez payer votre...

01:18:16Je dois réduire le coût du travail

01:18:20depuis mes bénéfices.

01:18:22Pour que moi, en tant qu'une PME,

01:18:24à la fin de l'année,

01:18:25quand je me retrouve,

01:18:26je me dis, OK, je me retrouve.

01:18:28Je ne suis pas en congé pour travailler.

01:18:30En plus, ce qui est important,

01:18:32c'est de permettre aux PME

01:18:33de réduire le coût du travail.

01:18:35Quand une travailleuse peut prendre un congé,

01:18:37OK, il y a un droit, hein,

01:18:39d'être PME.

01:18:40Il y a un droit pour ce congé,

01:18:41local, si, quoi que ce soit.

01:18:43Il est inexorable

01:18:44qu'il faut être remplacé

01:18:45par un autre congé.

01:18:46Il est inexorable

01:18:47qu'il faut payer

01:18:49pour un autre congé.

01:18:51En plus, si vous payez local,

01:18:53alors, c'est pour ça que je me dis,

01:18:55vous devez permettre la déduction

01:18:57des coûts du travail

01:18:59dans le chiffre d'affaires.

01:19:03Ce que je peux vous dire,

01:19:04c'est qu'il y a une PME.

01:19:06Déduction du coût du travail,

01:19:07ça veut dire qu'il y a une PME.

01:19:09Et bien sûr, je peux cibler ma PME.

01:19:12Ma PME, vous êtes capables,

01:19:14tous ceux qui ont des avantages sociaux

01:19:16qui travaillent à gagner,

01:19:17comme sur les congés maladie,

01:19:18sur les locales,

01:19:19sur les vacances individuelles,

01:19:20sur les maternités,

01:19:21sur les casuels,

01:19:22ça veut dire que

01:19:23tous les autres avantages

01:19:24qui travaillent à gagner,

01:19:25une PME, vous avez le droit

01:19:27de déduire ça

01:19:28depuis ce bénéfice qu'ils y font.

01:19:30C'est-à-dire qu'on dit

01:19:32quand on paye la taxe,

01:19:33c'est ça qu'on salue.

01:19:34Exactement.

01:19:35Défiscalise ça.

01:19:37Défiscalise ça pour une PME,

01:19:39je t'embauche plus.

01:19:41Je te donne plus d'opportunités

01:19:42de travail sur le marché.

01:19:44Donc, voilà.

01:19:45Voilà.

01:19:47Notre salue est là

01:19:48pour demain quand on va la reprendre.

01:19:50Bien sûr.

01:19:51Allez, on termine

01:19:52avec le seul député

01:19:54qui nous a dans sa plateau là.

01:19:57Et donc, Auchan,

01:19:59et nous, Djenko,

01:20:02qu'est-ce qu'il nous faut faire

01:20:04dans Sabidzella

01:20:05pour qu'il n'y passe jusqu'à un an

01:20:08et qu'il n'y ait pas d'effet,

01:20:10qu'il descende et qu'il comporte tous.

01:20:13Effectivement.

01:20:14Dans quatre ans qu'il reste.

01:20:15Bien, Habib,

01:20:16pour être franc,

01:20:17je vais te faire une idée

01:20:18depuis le début moi-même.

01:20:19Tu as envie d'être à la place

01:20:21du premier ministre

01:20:22dans une situation pareille.

01:20:24Non, mais dis-moi

01:20:25qu'est-ce qu'il nous faut faire.

01:20:26Parce qu'il s'accorde,

01:20:27c'était coup de cycle pour vous en faire.

01:20:28Oui, mais dis-moi

01:20:29qu'est-ce qu'il nous faut faire.

01:20:30Alors, pour commencer,

01:20:31les affaires du public,

01:20:32nous ne pouvons pas les réduire.

01:20:33Nous ne pouvons pas réduire ça.

01:20:35Nous ne sommes pas capables.

01:20:37Quand on a une troupe,

01:20:38les premières affaires

01:20:39qu'il nous faut faire,

01:20:40c'est arrêter de fouiller.

01:20:41Mais nous ne pouvons pas laisser

01:20:42continuer d'augmenter ça,

01:20:43d'être là, augmenter même.

01:20:44Deuxième déficit commercial,

01:20:46Troisième déficit commercial,

01:20:47je rejoins Nilo là,

01:20:48nous devons trouver des moyens

01:20:50pour baisser l'inflation,

01:20:51pour baisser le coût de la vie.

01:20:53Surtout quand on peut

01:20:54causer prix de la nourriture,

01:20:56prix de médicaments,

01:20:57prix de l'énergie,

01:20:58prix de l'électricité,

01:21:00prix de l'essence,

01:21:02nous devons trouver des moyens.

01:21:04Pour ce faire,

01:21:05nous devons contrôler ça

01:21:06pour qu'on puisse

01:21:07les déprécier encore.

01:21:09Le deuxième problème dans ma rue,

01:21:11c'est la surconsommation.

01:21:12Pas tout le monde.

01:21:13Mais surconsommation,

01:21:14pour quelques-uns,

01:21:15peut faire les autres du monde

01:21:16payer les pots cassés,

01:21:17comme on dit.

01:21:18Ou on peut consommer trop beaucoup,

01:21:19prix va monter,

01:21:20quand le prix va monter,

01:21:21tout le monde paye pareil.

01:21:22Ou on peut mal servir l'électricité,

01:21:24ou on peut brûler le carburant,

01:21:26quand le prix va monter,

01:21:27tout le monde souffre.

01:21:28Alors, il ne faut pas s'inquiéter

01:21:29que je n'ai pas diminué

01:21:30la surconsommation.

01:21:31Croissance et la baisse,

01:21:33nous devons augmenter la croissance,

01:21:35mais comme on cause croissance,

01:21:36on doit causer croissance durable,

01:21:37nous devons causer une croissance

01:21:39inclusive,

01:21:40qui nous permet de dire là,

01:21:41il ne faut pas que tout le monde

01:21:43part du prix, non.

01:21:44Moi, j'ai bien dit,

01:21:45il y a la trickle-down.

01:21:46Je veux dire,

01:21:47bénéfique-là,

01:21:48les besoins descendent à la même,

01:21:49ce qui fait que plus le monde

01:21:50est plus pauvre ici.

01:21:51Ici, les besoins sont gagnants,

01:21:52effectivement.

01:21:53Comme je l'ai déjà dit,

01:21:54les besoins sont sortis

01:21:55from social exclusion

01:21:56to social integration.

01:21:57Ils donnent l'aisselle,

01:21:58ils donnent la merde au monde,

01:21:59ils donnent un trou,

01:22:00et de l'eau pour les sortir.

01:22:01Vous savez,

01:22:02il y a une grande disparité

01:22:03qui nous peut causer,

01:22:04dans l'île Maurice.

01:22:05Il n'y a plus que disparité

01:22:06entre les pauvres.

01:22:07Ça, il y en a encore.

01:22:09Dans le bâtiment,

01:22:10il y a des gens qui viennent

01:22:11pour vivre de la pauvreté

01:22:12extrême.

01:22:13Vous connaissez,

01:22:14vous connaissez le bâtiment

01:22:15très bien.

01:22:16C'est incroyable.

01:22:17C'est incroyable.

01:22:18Pendant dix ans,

01:22:19pas trouvé.

01:22:20Je pose la question

01:22:21dans le parlement,

01:22:22je pose la question

01:22:23au ministre Bagouane,

01:22:24je pose la question

01:22:25au ministre Mohamed.

01:22:26La question,

01:22:27on a besoin de revoir

01:22:28pour le logement.

01:22:29D'accord?

01:22:30Alors,

01:22:31la disparité entre la ville

01:22:32et la campagne,

01:22:33là,

01:22:34elle est flagrante.

01:22:35On va nous compter

01:22:37dans la ville

01:22:38transport,

01:22:39métro,

01:22:40malgré qu'il n'y a pas

01:22:41d'hélices,

01:22:42de sa façon-là,

01:22:43nous,

01:22:44nous prenons notre plan

01:22:45pour ça.

01:22:46Bongrès,

01:22:47malgré le métro,

01:22:48nous venons.

01:22:49Mais dans la campagne,

01:22:50au moins,

01:22:51transport,

01:22:52bus,

01:22:53il y a des transports

01:22:54de descente.

01:22:55C'est terrible.

01:22:56C'est terrible.

01:22:57C'est terrible.

01:22:58Tous les dimanches,

01:22:59il y a des gens

01:23:00qui racontent.

01:23:01C'est terrible.

01:23:02C'est un truc

01:23:03en panne.

01:23:04C'est un truc

01:23:05CNT c'est tout.

01:23:06BIPPE c'est tout.

01:23:07Alors,

01:23:08nous ne pourons pas

01:23:09révoir ça.

01:23:10Parce qu'à part,

01:23:11il y a un développement

01:23:12qu'on me propose

01:23:13de ces qualités-là.

01:23:14Nous devons révoir

01:23:15la productivité.

01:23:16Mais vous savez,

01:23:17il y a un problème

01:23:18dans le pays du monde.

01:23:19Mais en ce sens,

01:23:20la ville n'est plus productif.

01:23:21Il y a une institution

01:23:22nationale de productivité

01:23:23et de compétitivité

01:23:24dans ce conseil

01:23:25qui me pose une question

01:23:26qui est sur le bilan.

01:23:27Comment est-ce qu'il se passe

01:23:29les dépens?

01:23:30L'efficience dans le service

01:23:31public,

01:23:32Là, avec l'intelligence artificielle, avec l'intelligence artificielle,

01:23:39on connaît combien de monde peut payer du travail ?

01:23:42C'est un grand challenge, ça.

01:23:44Vous devez trouver une façon, comment,

01:23:46d'un côté, on paie du travail, et de l'autre côté,

01:23:48on empêche du monde de quitter le pays.

01:23:50D'accord ?

01:23:52La population peut vieillir,

01:23:53nous devons regarder comment nous pouvons venir avec

01:23:55pour travailler à l'étranger, nous devons revoir.

01:23:57Nous, le welfare state, pensons,

01:23:59nous n'avons pas de cause, je vous l'ai dit tout à l'heure,

01:24:01nous n'avons pas de cause, oui.

01:24:02Vous connaissez combien ça coûte, nous ?

01:24:03Nous, ça coûte moins que les autres.

01:24:0484 milliards rupies,

01:24:07je vous le répète, je vous le répète,

01:24:0984 milliards rupies,

01:24:12nous payons pour les gens invalides,

01:24:15nous payons pour les pensions.

01:24:17Veuve.

01:24:18Troisième âge, veuve et veuf.

01:24:20Invalide.

01:24:21D'accord ? Troisième âge, 60ème milliard,

01:24:23invalide, 5 milliards,

01:24:26veuve, veuf, 5,4 milliards,

01:24:2984 milliards dans un pays pareil,

01:24:31nos pensées, nous ne pouvons rien voir,

01:24:33nous n'avons beaucoup de choses à poser,

01:24:35nous n'avons pas de cause.

01:24:36Corruption, la drogue, camarades,

01:24:38nous n'avons pas de cause.

01:24:39D'accord ?

01:24:40Changement climatique.

01:24:41Changement climatique, oui.

01:24:42C'est un grand défi encore.

01:24:44Nous n'avons pas beaucoup de choses à poser.

01:24:45Mais en fait, c'est que nous pouvons

01:24:46parler avec les autres jours,

01:24:47à propos de demain, à propos de demain,

01:24:49nous pouvons parler avec les autres,

01:24:50nous pouvons parler avec nos collègues,

01:24:51nous pouvons parler avec les autres du monde,

01:24:52mais ce n'est pas une question,

01:24:53nous n'avons pas de question.

01:24:54Non, bien sûr.

01:24:56La dette, pour moi, n'est pas un problème.

01:24:58Nous payons, point d'été encore,

01:25:00si nous gâchons la dette publique de Maurice

01:25:02depuis 2008,

01:25:03Vinième, constamment, elle monte.

01:25:06Donc, nous, arrêtons les gens

01:25:08qui pensent qu'ils peuvent baisser la dette publique.

01:25:10Ce n'est pas vrai.

01:25:11Nous n'avons pas pour baisser la dette publique.

01:25:12Nous, nous ne pouvons pas,

01:25:13nous pouvons essayer.

01:25:14Nous n'avons pas pour baisser la dette publique.

01:25:15Non, nous pouvons essayer.

01:25:16Non, depuis 2008, il n'a pas baissé,

01:25:18il n'a pas pour baisser.

01:25:19Mais par contre,

01:25:20mais par contre,

01:25:21je termine là,

01:25:22je peux dire, moi,

01:25:23que nous payons suffisamment confiance,

01:25:25que ce soit vis-à-vis de l'Afrique,

01:25:27que ce soit vis-à-vis de l'Asie,

01:25:28que ce soit vis-à-vis de l'Europe,

01:25:30pour qui, nous, l'endettement,

01:25:32il faut que nous connaissons la ville.

01:25:34Nous payons suffisamment confiance.

01:25:36Vous connaissez, vous-même,

01:25:37tous les gens qui nous appellent,

01:25:38vous connaissez,

01:25:39que juste après les élections,

01:25:40il y a eu des investissements directs étrangers

01:25:42qui rentraient,

01:25:43beaucoup d'argent,

01:25:44qui devinent dépenser.

01:25:45Oui, mais cet argent-là,

01:25:46il n'a pas créé de travail.

01:25:47Non, non, non.

01:25:48Il n'a pas créé de travail.

01:25:49Parce que l'élément de confiance est là.

01:25:50Donc, c'est pour ça que je peux dire,

01:25:51qu'il ne faut pas dire

01:25:52qu'il n'a pas créé de travail.

01:25:53Les investissements directs étrangers

01:25:54qui sont venus,

01:25:55ils ont créé du travail.

01:25:56Ce n'est pas qu'ils sont venus

01:25:57pour gagner un taxabon,

01:25:58ou bien pour gagner l'intérêt,

01:25:59mais ils ont créé du travail.

01:26:01Alors, nous, je le répète,

01:26:03nous ne pouvons pas trouver des moyens

01:26:05pour nous baisser d'état.

01:26:06Bien sûr, il n'est pas pour tout de suite.

01:26:07Proportionnellement, peut-être,

01:26:08mais pas physiquement,

01:26:09pas mathématiquement.

01:26:10Non, nous ne pouvons pas baisser,

01:26:11nous ne pouvons pas baisser

01:26:12à ce percentage,

01:26:13comment dire,

01:26:14proportion,

01:26:15de PIB.

01:26:17Mais nous pouvons être capables

01:26:18d'avoir une figure absolue aussi.

01:26:19D'ailleurs, le docteur Nnamoula

01:26:20m'a dit ça.

01:26:21Bon.

01:26:22S'il baissait par 5%,

01:26:23nous pouvons faire

01:26:24à peu près 35 milliards.

01:26:25D'accord?

01:26:26Nous ne pouvons pas trouver

01:26:27de moyens pour baisser.

01:26:28Nous ne pouvons pas arrêter

01:26:29parce qu'il est au courant

01:26:30à 7h moins 1.

01:26:31Il reste quand même une minute

01:26:32et nous remercions

01:26:33les autres,

01:26:34tous les trois.

01:26:35Nous présentons nos excuses

01:26:36à nos bonnes auditeurs et auditrices

01:26:37qui ne sont pas capables

01:26:38de faire les tours

01:26:39du problème

01:26:40et qui ne sont pas capables

01:26:41de faire les tours

01:26:42du problème

01:26:43et qui ne sont pas capables

01:26:44de faire les tours

01:26:45du problème

01:26:46et qui ne sont pas capables

01:26:47de faire les tours

01:26:48du problème.

01:26:49Ce type de problème-là

01:26:50est difficile.

01:26:51Et d'ailleurs,

01:26:52nous pouvons faire

01:26:53aujourd'hui

01:26:54ce qu'il m'a dit

01:26:55mon bon camarade

01:26:56pour faire jeudi

01:26:57et l'autre semaine.

01:26:58Nous pouvons rouler

01:26:59jusqu'à les 2,

01:27:00les 3 et les 5.

01:27:01Oui?

01:27:02Le mot de la fin,

01:27:03si vous me permettez.

01:27:04Allez-y.

01:27:05Allez-y.

01:27:06Moi, je pense que nous tous,

01:27:07pour une fois,

01:27:08nous pensons en termes

01:27:09patriotes.

01:27:10Une situation bien difficile.

01:27:11Mon père disait

01:27:12qu'il nous faisait

01:27:13un coup de poing

01:27:15dans le droit,

01:27:16dans l'anarchie,

01:27:17il disait ça.

01:27:18Et dans son exercice,

01:27:19c'est middle class

01:27:20tous les temps

01:27:21qui finit par être coincés.

01:27:22Mais pour une fois,

01:27:23nous nous apprenons

01:27:24en termes de patriotes.

01:27:25Demain,

01:27:26après deux ans,

01:27:27trois ans,

01:27:28quand nous ne réussirons

01:27:29de sortir de ce trou-là,

01:27:30nous-mêmes,

01:27:31nous avons vu pour une meilleure.

01:27:32Merci.

01:27:33Aïbo,

01:27:34vous avez tout.

01:27:35Moi, je veux dire

01:27:36simplement que la stratégie

01:27:37économique qui repose

01:27:38sur la dette

01:27:39est classique

01:27:40comme ça

01:27:41dans tous les pays du monde

01:27:42aujourd'hui,

01:27:43dans l'économie moderne.

01:27:44Donc nous,

01:27:45Mauriciens,

01:27:46il ne fallait pas nous souffrir

01:27:47qu'ils nous,

01:27:48comment dire,

01:27:49nous viennent coupables

01:27:50de la dette,

01:27:51nous pas coupables

01:27:52de la dette,

01:27:53nous nous faisons veiller

01:27:54à ce qu'ils nous disent

01:27:55être là,

01:27:56dans l'investissement

01:27:57transparent dans l'économie

01:27:58et puis que leurs gens

01:27:59publics soient utilisés

01:28:00de manière transparente.

01:28:01Voilà.

01:28:02Très rapidement,

01:28:03moi je pensais

01:28:04que Mauriciens

01:28:05c'est un peuple

01:28:06travailleur,

01:28:07courageux,

01:28:08hein,

01:28:09et qui fait beaucoup d'efforts.

01:28:10Donc,

01:28:11tout ce qu'il me souhaitait

01:28:12c'est que ce soit

01:28:13Lille-Maurice

01:28:14qui gagne

01:28:15parce que

01:28:16at the end of the day

01:28:17nous vivons,

01:28:18nous vivons dans un pays

01:28:19là-même,

01:28:20à peine à plan B

01:28:21d'une certaine façon

01:28:22et donc,

01:28:23je souhaitais

01:28:24qu'il nous gagne

01:28:25le ministre des Finances

01:28:26qui comprend les enjeux

01:28:27à la fois tout de suite

01:28:28et le long terme

01:28:29et c'est Lille-Maurice

01:28:30comme un pays

01:28:31qui est une nation

01:28:32qui soit le gagnant

01:28:33de cet exercice.

01:28:34Voilà,

01:28:35nous finaliseons

01:28:36la fin

01:28:37de nous,

01:28:38l'émission

01:28:39et demain

01:28:40c'est

01:28:41la fin

01:28:42de l'émission

01:28:43de Lille-Maurice

01:28:44et de Lille-Maurice

01:28:45et de Lille-Maurice

01:28:46et de Lille-Maurice

01:28:47et de Lille-Maurice

01:28:48et de Lille-Maurice

01:28:49et de Lille-Maurice

01:28:50et de Lille-Maurice

01:28:51et de Lille-Maurice

01:28:52et de Lille-Maurice

01:28:53et de Lille-Maurice

01:28:54et de Lille-Maurice

01:28:55et de Lille-Maurice

01:28:56et de Lille-Maurice

01:28:57et de Lille-Maurice

01:28:58et de Lille-Maurice

01:28:59et de Lille-Maurice

01:29:00et de Lille-Maurice

01:29:01et de Lille-Maurice

01:29:02et de Lille-Maurice

01:29:03et de Lille-Maurice

01:29:04et de Lille-Maurice

01:29:05et de Lille-Maurice

01:29:06et de Lille-Maurice

01:29:07et de Lille-Maurice

01:29:08et de Lille-Maurice

01:29:09et de Lille-Maurice

01:29:10et de Lille-Maurice

01:29:11et de Lille-Maurice

01:29:12et de Lille-Maurice

01:29:13et de Lille-Maurice

01:29:14et de Lille-Maurice

01:29:15et de Lille-Maurice

01:29:16et de Lille-Maurice

01:29:17et de Lille-Maurice

01:29:18et de Lille-Maurice

01:29:19et de Lille-Maurice

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01:29:21et de Lille-Maurice

01:29:22et de Lille-Maurice

01:29:23et de Lille-Maurice

01:29:24et de Lille-Maurice

01:29:25et de Lille-Maurice

01:29:26Où la voie, où s'y met la lumière

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